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#décision partisane
indra69 · 1 month
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Verre à moitié plein, ou à moitié vide
L’alcool de retour en Nouvelle-Calédonie, un soulagement ou une bombe à retardement ?
Lundi 19 août 2024, la vente d’alcool sera de nouveau autorisée en Nouvelle-Calédonie, après plus de deux mois de prohibition imposée suite à l’insurrection du 13 mai 2024. Une décision qui divise, qui suscite à la fois l’enthousiasme et l’inquiétude.
Depuis l’annonce de cette réouverture, les réseaux sociaux s’enflamment. Deux camps s’affrontent, chacun défendant ardemment son point de vue.
D’un côté, les partisans d’un retour à la normale, qui voient dans cette décision une bouffée d’oxygène pour l’économie locale. La fermeture prolongée des points de vente a, certes, eu pour effet de réduire certains excès, mais elle a aussi eu pour conséquence de frustrer une population qui se sentait pénalisée pour les actes d’une minorité.
Cependant, d’autres redoutent que cette réouverture ne ravive les flammes encore fumantes des tensions sociales. Les abus, qui avaient mené à la fermeture des ventes, ne sont pas un lointain souvenir et la parenthèse de réouverture en avait été le triste rappel. Pour ces personnes, la fin de l’interdiction pourrait bien marquer le début d’une nouvelle série de débordements, faisant craindre que la situation ne dégénère à nouveau.
Cette polarisation reflète bien la complexité de la question. L’alcool, c’est bien plus qu’une simple boisson. C’est un enjeu de société qui touche à notre identité, à notre rapport à la fête, mais aussi à notre santé en général et aujourd’hui à notre sécurité.
Quoi qu’il en soit, lundi soir, certains déboucheront une bouteille pour célébrer cette “liberté”, tandis que d’autres resteront sur le qui-vive, craignant que cette liberté retrouvée ne soit que de courte durée.
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claudehenrion · 3 months
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Des escouades de pieds nickelés lancés à l'assaut de ruines
J'ai eu la chance, ces jours derniers, en lisant un de mes ''quotidiens-du-matin'', de tomber sur deux textes que j'ai trouvés excellents, au point de m'en inspirer plus que largement et de soumettre des parties de leur contenu à votre curiosité, comme nous le faisons de temps en temps. L'un d'entre eux est signé par Vincent Trémollet de Villers et l'autre par Arnaud Benedetti, tous deux chroniqueurs au Figaro : la finesse de leurs analyses comme les mots choisis m'ont semblé fournir une description particulièrement juste du drame potentiel que traverse notre France.
Non seulement, affirme le premier, la politique n'est pas un jeu, mais c'est une matière sensible et dangereuse, qui peut parfois exploser dans des violences imprévisibles et inattendues. Une décision impulsive peut déchaîner des dégâts en chaîne, sans que personne ne puisse arrêter la mécanique de destruction lancée. Nous y sommes. Des ministres ''zombifiés'', des députés dépités, des conseillers désemparés : la majorité avance, exsangue, vers une bataille qu'elle ne s'attendait pas à mener, pour laquelle elle n'est pas prête, et qu'elle a de fortes chances de perdre.
A Gauche, l'esprit manœuvrier des trotskystes l'emporte sur la morale la plus élémentaire : oubliées les déclarations assassines des Insoumis sur Israël et sur Gaza, et oublié aussi l'antisémitisme d'atmosphère qui entache la Gauche radicale... Le nouveau ''Front populaire'' ne s'encombre pas de principes, il veut un maximum de circonscriptions. C'est le génie de la soi-disant ''Gauche morale'' : faire des remontrances à la terre entière, en piétinant allègrement les pseudo-vertus qu'elle professe. Mais il y a longtemps qu'il est de notoriété publique que la Gauche sait, toute honte bue, se regrouper pour se présenter ''unie'' (que ne fait-on dire aux mots !) lors des ''distribution des sièges''...
A Droite, à l'inverse, ce sont les retrouvailles avec les grandes déclarations et les querelles microscopiques, les accords signés sur un coin de table et les manifestes des caciques-à-plumes... Après des années de silence, Laurent Wauquiez s'auto-extrait de sa tanière pour se précipiter dans une bataille partisane d'arrière garde, qui est de toute façon perdue d'avance, Après des mois de présidence, Eric Ciotti scelle une alliance dans la logique des choses et de son histoire personnelle, que rejettent les galonnés mais qui enchante une majorité des électeurs et des militants... qui l'espéraient depuis longtemps. LR n'est plus qu'un petit groupe de notables déconnectés du réel. Ce mouvement, analyse Arnaud Benedetti, s'est fracturé de l'intérieur, s'encalminant dans une indécision prudente et s'immobilisant dans le vain espoir d'un rebond. Il agonise sous nos yeux, faute d'avoir choisi.
Au gouvernement, les ministres vont chercher des insultes hors sujet au plus profond d d'analogies paresseuses et absurdes : ''collaboration'' (sic ! Il faut ne pas savoir de quoi on parle, pour oser !) ''Munich'' ou ''fascisme'' (mêmes commentaires) pour dénoncer une clarification qu'Emmanuel Macron appelle depuis longtemps de ses vœux et que nous voyons se mettre en place ''en direct''. Les ''demi-habiles'' qui prétendent conseiller le chef de l'Etat se frottent les mains devant les premiers effets de cette folle décision (Raphaël Glucksmann humilié par une Gauche qui perd son honneur, et une Droite qui s'entre-déchire...), en refusant de voir que c'est eux qui sont les vraies victimes de cette partie de ''à qui perd, perd''. Il faut remonter à 1968 et à toutes ses folies pour trouver une crise d'une violence comparable, où le pire ne fait plus partie des ''impossibles''.
Le très problématique et encore plus improbable ''dépassement'' (ça veut dire quoi ?) soi-disant souhaité par Emmanuel Macron (qui ne voit là qu'un gadget pour affaiblir ses opposants !) rétrécit comme peau de chagrin, et le clivage ''Gauche-Droite'', dont il avait annoncé la fin puis proclamé le Requiem, renaît de ses cendres, mais sous une forme plus radicale et infiniment plus violente. La France, à cause de cette faute majeure, est en passe de se retrouver réduite à deux blocs solides et sauvagement hostiles l'un à l'autre, l'un sous la tutelle ombrageuse de Marine le Pen et l'autre, ballotté entre les ''plus-disants'', selon les impressions de vote plus ou moins utile ici ou là... entre lesquels coule sans direction le magma informe et ratatiné de ce qui ose encore se prétendre ''une majorité''... de plus en plus minoritaire !
En résumé, nous assistons à un face à face dans le grand bordel créé par cette décision absurde, entre, écrit Benedetti, le dernier des Mohicans (LR) qui continue à s'astreindre servilement à la ruse mitterrandienne (ruse en forme de piège vicelard, comme il l'était lui-même) du ''cordon sanitaire''... et une Gauche qui continue à se prétendre ''de gouvernement'' mais qui n'hésite pas, pour quelques sièges de plus, à s'allier avec des formations dont le degré de diabolisation (réelle, elle) est beaucoup plus nocif que celui –à peu près inexistant-- du Rassemblement national.
Le tout, au milieu d'un peuple français dont les quatre cinquièmes refusent d'écouter un seul mot de ce que tente de lui raconter un Président que plus de 80 % des électeurs rejettent, mais qui, confisquant la parole publique (pendant des heures d'ennui profond pour ceux qui n'ont pas tout de suite éteint leur récepteur), est le seul à n'avoir pas compris que, loin d'être une solution, c'est lui qui est ''LE'' problème......
H-Cl.
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aisakalegacy · 4 months
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Hiver 1921, Hylewood, Canada (1/15)
Mers chers cousins,
Je suis heureux d’avoir de vos nouvelles. Ces histoires simples sont un vrai plaisir à lire quand on revient d’un voyage éreintant, où la mort guette à chaque montagne. Je suis rentré d’Egypte il y a quelques semaines et il faut que je vous raconte mon périple.
Je vous ai laissé dans mon repère, le temple mortuaire de Seti Ier, où je me suis caché pendant près d’un an. La vieille Amina m’amenait à manger et me visitait dans mon exil en attendant que les tensions se calment. Loin de se calmer, elles n’ont fait que s’accroître. Le pays est à feu et à sang, divisé entre les saadistes partisans d’une indépendance radicale et sans conditions, et les modérés qui veulent compromettre avec la Grande-Bretagne. Les négociations sont toutes infructueuses, la colère gronde, et des émeutes éclatent en permanence. Amina a fini par être suivie (je soupçonne que ma découverte a été orchestrée par son fils), et j’ai été contraint de fuir. J’ai donc pris la décision de gagner le Soudan, afin de demander de l’aide aux Américains. J’ai donc entrepris de remonter à la nage le Nil et ses canaux, de manière à éviter les villes.
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ka9oukeuktakal · 1 year
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Revue de presse Sénégal : Macky Sall et sa déclaration de candidat en 2024 ? Les quotidiens sénégalais parvenus jeudi à la rédaction titrent principalement sur la déclaration que le président Macky Sall a faite depuis la France à ses militants, laissant penser qu’il serait candidat à l’élection présidentielle de février 2024. Macky Sall et sa déclaration de candidat en 2024 ? sport et la politique à la Une des quotidiens revue de presse du 21 juin 2023 Le Soleil indique que « la candidature ou non » de Macky Sall à l’élection présidentielle de février 2024 « se précise ». « Devant la forte mobilisation de ses partisans décidés à redorer le blason de la coalition présidentielle, +Benno Bokk Yakaar+, dans l’Hexagone, le président Macky Sall a prononcé des propos qui pourraient faire penser à sa possible candidature en 2024 », souligne le quotidien national Bés Bi précise que le chef de l’Etat sénégalais a fait cette déclaration depuis Paris, la capitale française. « Après mon message à la nation (le 25 juin prochain), nous irons vers la victoire de 2024 », a dit Macky Sall, assurant que « nous nous maintiendrons au pouvoir ». Sur cette lancée, le directeur général de l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) estime avoir déjà récolté « 800.000 signatures pour continuer avec Macky » Sall. →> A lire aussi Le Poids des Décisions Politiques : Un Impact Profond sur l'Histoire des Sociétés et des États Walf Quotidien constate aussi que « Macky donne la primeur à l’étranger » pour sa « déclaration de candidature » à la présidentielle de 2024. « +Ce que je peux vous promettre, c’est que grâce à notre travail, nous nous maintiendrons au pouvoir avec la volonté du peuple sénégalais+, a-t-il lancé devant un parterre de jeunes. Pour atteindre cet objectif, le chef de l’Alliance pour la République (APR, pouvoir) mise sur l’unité au sein de la mouvance, la mobilisation et la générosité entre militants. Tout le reste, dit-il, sera une question de stratégie et de tactique politique », souligne le journal. Volonté de ses partisans d’imposer sa candidature quotidiens tournés vers la suite du dialogue national revue de presse du 24 juin 2023 Le Quotidien croit savoir, avec la déclaration de Paris, que « Macky dope ses troupes ». Le chef de l’Etat sénégalais « semble vouloir se convaincre que s’il se présente à une prochaine élection, il sera en mesure de rempiler, car son aura sera restée intacte. D’où la volonté de ses partisans d’imposer sa candidature. Lui-même, qui en est convaincu, a déclaré hier : +Grâce à notre travail, nous nous maintiendrons au pouvoir, avec la volonté du peuple+ », rapporte le journal qui se fait l’écho par ailleurs de la « révision du procès » de Karim Wade, fils de l’ex-président Abdoulaye Wade (2000 – 2012) et ex-puissant ministre condamné pour malversations quatre ans après la chute du régime libéral. →> A lire aussi Le Brésil veut assurer le spectacle face au Sénégal Pour ce journal, « le procès de Karim Wade sera révisé » et c’est « une victoire du Parti démocratique sénégalais (PDS) », qui en a fait son candidat pour 2024 pour perpétuer le legs de son père. « Dernier point important du dialogue politique, le procès en révision de Karim Wade a été arraché hier par ses partisans. Constat de l’échec d’une histoire qui avait tenu le pays en haleine préfet de Dakar interdit les manifestations prévues par Walf, YAW et F24, les 23 et 25 juin Il reste à savoir si cette révision interviendra avant ou après la prochaine présidentielle, car il semble qu’elle ne conditionne pas la participation de l’ancien +ministre du ciel et de la terre+ à l’élection à venir, qui est déjà actée. Une victoire qui sonne aussi comme le constat de l’échec d’une histoire qui avait tenu le pays en haleine durant de longs mois », souligne le journal. Macky Sall et sa déclaration de candidat en 2024 →> A lire aussi Coulisses des événements meurtriers de 1962 au Sénégal: Un sombre chapitre de l'histoire nationale
Critiquant cette décision des participants au dialogue lancé par Macky Sall, l’ex-Premier ministre Aminata Touré regrette que « les Sénégalais feront le deuil des 138 milliards de francs CFA que Karim Wade doit au Trésor » sénégalais. L’Observateur affirme que la révision du procès du fils d’Abdoulaye Wade est « le coup de poker du dialogue » national, analysant « les énormes conséquences d’une réouverture du procès ». Certains analystes interrogés par le journal estiment que « la révision du procès de Karim est quelque chose de possible » là où d’autres précisent que « le droit de demander la révision appartient au Garde des Sceaux, ministre de la Justice seul ».
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bresilenfrancais · 24 days
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La fin de Twitter au Brésil
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Je pense que la plupart des gens dans le monde ne comprendront pas pourquoi Twitter a été interdit aujourd'hui au Brésil. En fait, cette situation est si complexe que je ne pourrais pas te l'expliquer, et la plupart des étrangers ne pourraient pas comprendre.
Dans notre monde moderne, la réalité est devenue relative. Ceux qui contrôlent les récits peuvent transformer les faits à leur avantage. Ainsi, selon le Brésilien, il y aura une histoire totalement différente sur ce qui s'est passé avec Twitter.
La plupart des Brésiliens n'aiment pas la politique et s'en fichent, mais pour les passionnés de politique, les fans de sport et les amateurs de télé-réalité, Twitter était leur principale source de divertissement.
Pour faire court, certains conservateurs d'extrême droite ont ouvertement plaidé pour une dictature afin d'imposer leur volonté par la force après avoir perdu les dernières élections. Si la justice brésilienne n'était pas rapide et agressive, ce groupe pourrait prendre le pouvoir, alors ils ont décidé de donner des pouvoirs extrajudiciaires au ministre Alexandre de Moraes pour qu'il préserve la démocratie brésilienne et le statu quo, quoi qu'il en coûte.
Selon les conservateurs, Alexandre de Moraes, le juge de la Cour suprême du Brésil, est un dictateur qui persécute les militants de droite, et l'interdiction de Twitter n'est qu'un épisode de plus de ses mesures autoritaires pour imposer la censure et arrêter ses ennemis politiques.
D'un autre côté, les gauchistes au Brésil voient la décision judiciaire brésilienne d'interdire Twitter sous un angle totalement différent. Pour eux, le Brésil, en tant que pays souverain, ne peut être intimidé par des entreprises globalistes transnationales. Dans ce cas, si Twitter veut opérer au Brésil, il doit se conformer aux lois brésiliennes qui obligent toute entreprise étrangère à avoir un représentant sur place.
Comme Elon Musk, le propriétaire de Twitter, n'a pas envoyé de représentant au Brésil en représailles aux ordres de la Cour suprême de supprimer les comptes de personnes accusées d'actes antidémocratiques et d'incitation à la tentative de coup d'État du 8 janvier, Alexandre de Moraes, le juge de la Cour suprême, a décidé, après consultation d'autres ministres de la Cour suprême, d'ordonner la fin de Twitter sur tout le territoire national.
Avec cette décision, Alexandre de Moraes, qui a reçu des super-pouvoirs pour combattre les partisans d'extrême droite antidémocratiques de l'ancien président brésilien, consolide désormais son pouvoir en tant que personne la plus puissante du pays. S'il est capable de couper l'accès des 20 millions d'utilisateurs brésiliens de Twitter sans répercussion, alors il montre à tout le monde qu'il est capable de faire tout ce qu'il juge nécessaire pour combattre ce qu'il considère comme l'extrême droite antidémocratique.
Ces dernières années, les comportements de plus en plus abusifs et autoritaires de l'extrême droite ont rendu Alexandre de plus en plus autoritaire, et en réponse, l'extrême droite devient plus radicale, hystérique et conspirationniste. Cette escalade ne semble pas s'arrêter et va finir par toucher tous les Brésiliens.
Si une démocratie libérale repose sur le concept de tolérance, que se passe-t-il lorsqu'un groupe de personnes intolérantes veut utiliser notre démocratie et notre tolérance pour arriver au pouvoir, puis se débarrasser de la démocratie ?
La colère envers Alexandre de Moraes dans le mouvement conservateur est devenue si forte qu'elle leur a fait perdre leur capacité de jugement. Pour eux, le Brésil est déjà une dictature, et le fait que Twitter ait été censuré est la preuve finale qui les pousse à devenir plus radicaux et à concentrer toutes leurs forces sur la destitution du ministre Alexandre de Moraes, ce qui est extrêmement difficile.
Alors que la gauche parle de pauvreté, d'économie et d'autres problèmes réels, la droite brésilienne semble obsédée par Moraes. Leur principal objectif maintenant est de le destituer, et ils croient profondément non seulement qu'ils doivent le faire, mais que c'est possible. Le problème est qu'ils sont peut-être tombés dans un piège. Pendant qu'ils dépensent leurs forces et leur capital politique dans une bataille qu'ils ne peuvent probablement pas gagner, la gauche devient plus populaire en s'occupant des problèmes économiques plus importants pour le Brésilien moyen non politisé.
Ce processus, où les Brésiliens politisés deviennent chaque jour plus radicaux à droite, les fait perdre confiance dans le processus électoral, car il est contrôlé par la Cour suprême. De plus en plus, le mouvement conservateur devient une caricature des pires stéréotypes de la gauche : antidémocratique, conspirationniste, sectaire et appelant quiconque n'est pas d'accord avec eux un communiste. Cette radicalisation est dangereuse car elle mènera inévitablement à de nouvelles tentatives de coup d'État jusqu'à atteindre un point où, pour empêcher une dictature de droite, le système brésilien devra imposer un régime autoritaire de gauche.
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Le Guide Sur Les Fonds Indiciels
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Les fonds indiciels se distinguent par leur simplicité et leur efficacité. Que vous soyez un investisseur chevronné ou débutant, ce guide est conçu pour vous offrir tout ce qu'il faut savoir sur ce type de placement.
Qu'Est-Ce Qu'Un Fonds Indiciel ? Comprendre Les Bases
Les fonds indiciels, également connus sous le nom de trackers, sont des fonds d'investissement qui répliquent la performance d’un indice boursier spécifique. Contrairement aux fonds gérés activement, où un gestionnaire de portefeuille prend des décisions pour acheter ou vendre des actions, les fonds indiciels suivent passivement un indice prédéfini. Cela signifie que le fonds achète toutes les actions présentes dans l'indice qu'il réplique, dans les mêmes proportions que celles présentes dans l'indice de référence. Fonctionnement Des Fonds Indiciels Par exemple, un fonds indiciel suivant le S&P 500 investira dans les 500 entreprises cotées sur cet indice, en conservant la même pondération que l’indice lui-même. Vanguard est l'une des sociétés pionnières dans ce domaine, ayant lancé le premier fonds indiciel en 1976. Ce qui rend un fonds indiciel attrayant, c'est sa capacité à offrir aux investisseurs une diversification instantanée. En achetant un seul fonds indiciel, vous obtenez une exposition à un large éventail d'actions ou d'obligations, en fonction de l’indice suivi. Cela réduit le risque individuel lié à une seule entreprise ou à un seul secteur. Les frais de gestion associés à un fonds indiciel sont généralement plus faibles que ceux des fonds gérés activement. Cela s'explique par le fait que le fonds ne nécessite pas une gestion active au quotidien pour choisir les actions, mais simplement un suivi de l'indice. Ces fonds sont conçus pour suivre un indice, qu'il soit en hausse ou en baisse. Cela signifie que si l'indice sous-jacent perd de la valeur, la valeur du fonds suivra également cette tendance. Cependant, à long terme, les indices les plus suivis, comme le S&P 500, ont historiquement montré une croissance, ce qui fait de ces fonds un placement solide pour les investisseurs cherchant à diversifier leur portefeuille avec un rendement potentiellement stable. Mais qu'en est-il des différences entre un fonds indiciel et les autres types de fonds disponibles sur le marché ? La Différence avec les Fonds Actifs Alors que les fonds indiciels se contentent de répliquer un indice, les fonds actifs sont gérés par des professionnels qui tentent de battre le marché en sélectionnant des actions qui, selon eux, surpasseront l'indice de référence. Les partisans de la gestion passive soutiennent que les fonds indiciels sont un meilleur choix pour la majorité des investisseurs, car ils offrent une diversification instantanée à un coût relativement bas. En effet, les coûts de gestion des fonds actifs sont souvent beaucoup plus élevés en raison des frais liés à la recherche et à la prise de décisions actives. Cependant, ces fonds ne garantissent pas nécessairement de meilleurs rendements. De nombreuses études ont montré que très peu de fonds gérés activement parviennent à surperformer de manière constante leur indice de référence sur le long terme. D'un autre côté, les investisseurs qui choisissent les fonds actifs espèrent obtenir des rendements supérieurs à ceux du marché, ce qui peut arriver lorsque le gestionnaire de portefeuille prend des décisions éclairées qui vont à l'encontre des tendances générales du marché. Cependant, cela nécessite un niveau élevé de compétence et, surtout, de chance. Une autre distinction clé est la flexibilité. Dans un fonds actif, le gestionnaire peut ajuster le portefeuille en fonction des conditions du marché, en achetant ou en vendant des actions pour essayer d'éviter les pertes ou de maximiser les gains. Les fonds indiciels, en revanche, sont limités par la composition de l'indice qu'ils suivent, ce qui peut être à la fois un avantage et un inconvénient. Maintenant que nous avons clarifié la différence entre un fonds indiciel et un fonds actif, voyons pourquoi les fonds indiciels peuvent être particulièrement avantageux pour votre portefeuille.
Les Avantages Des Fonds Indiciels Pour Votre Portefeuille
Diversification Facile Et Automatique L'un des avantages les plus significatifs de l'investissement dans les fonds indiciels est la diversification automatique qu'ils offrent. En achetant un seul fonds indiciel, vous obtenez une exposition à un large éventail d'actions ou d'obligations, selon l’indice suivi. Cela signifie que votre portefeuille ne dépend pas de la performance d'une seule entreprise ou d'un seul secteur, mais plutôt de celle de l'ensemble de l'indice. Cette diversification réduit le risque de perte importante dans votre portefeuille. Par exemple, si une entreprise individuelle connaît une baisse importante de sa valeur, l'impact sur votre portefeuille sera minime si vous avez investi dans un fonds indiciel qui suit un indice diversifié. Cela aide à lisser les fluctuations de marché et à fournir un rendement plus stable au fil du temps. De plus, les fonds indiciels sont particulièrement adaptés aux investisseurs débutants qui ne sont pas encore familiarisés avec le processus de sélection des actions. Plutôt que d'essayer de choisir les gagnants parmi des milliers d'actions disponibles sur le marché, vous pouvez simplement investir dans un indice boursier complet, comme le CAC 40 ou le S&P 500, et bénéficier de la croissance globale du marché. Les fonds indiciels peuvent également être utilisés comme un moyen de diversifier un portefeuille existant. Par exemple, si vous avez déjà investi dans des actions d'une seule entreprise ou d'un seul secteur, vous pouvez ajouter un fonds indiciel à votre portefeuille pour étendre votre exposition à d'autres secteurs et entreprises. Enfin, la diversification offerte par les fonds indiciels est souvent plus rentable que d'essayer de créer votre propre portefeuille diversifié. Le fait de devoir acheter de nombreuses actions différentes pour atteindre le même niveau de diversification que les fonds indiciels entraînerait des frais de gestion et de transaction beaucoup plus élevés. En investissant dans un fonds indiciel, vous bénéficiez de la diversification à un coût beaucoup plus faible. Maintenant que nous avons vu comment les fonds indiciels peuvent offrir une diversification facile et automatique, passons à un autre avantage clé : les frais de gestion réduits. Frais De Gestion C'est ici que les fonds indiciels brillent vraiment. Les coûts de gestion des fonds indiciels sont généralement beaucoup plus bas que ceux des fonds gérés activement. Cela s'explique par le fait que la gestion passive de ces fonds nécessite moins d'intervention humaine, ce qui réduit les coûts opérationnels. Les frais de gestion des fonds indiciels sont souvent exprimés sous forme de ratio des dépenses. Ce ratio représente le pourcentage de vos actifs que vous payez chaque année pour couvrir les coûts de gestion du fonds. Par exemple, un fonds actif peut avoir un ratio des dépenses de 1 % ou plus, tandis que celui d'un fonds indiciel est souvent inférieur à 0,2 %. Cette différence peut sembler minime à première vue, mais elle peut avoir un impact significatif sur la performance de votre portefeuille à long terme. En fait, une réduction même minime des frais de gestion peut se traduire par des milliers, voire des dizaines de milliers d'euros supplémentaires dans votre poche au fil des ans. C’est l’un des secrets des fonds indiciels : en réduisant les coûts, ils augmentent votre rendement net. C'est pourquoi de nombreux experts en investissement recommandent de privilégier les fonds indiciels à faible coût, surtout pour les investisseurs à long terme. De plus, les fonds indiciels ne nécessitent pas de recherche approfondie sur les actions individuelles. Comme le portefeuille du fonds est simplement une réplique de l'indice, il n'y a pas besoin de payer des analystes pour rechercher des actions potentielles à acheter ou à vendre. Cela se traduit par une économie supplémentaire pour les investisseurs, qui peuvent ainsi maximiser leur rendement. Il est important de noter que certains fonds indiciels peuvent avoir des frais de gestion plus élevés que d'autres. Il est donc crucial de comparer les coûts avant de faire votre choix. Toutefois, en règle générale, les fonds indiciels restent l'une des options d'investissement les plus économiques disponibles sur le marché. Il est temps de se pencher sur leur performance historique et leur potentiel de croissance à long terme. Performance Historique Et Potentiel De Croissance
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Lorsque vous investissez dans un fonds indiciel qui suit un indice comme le S&P 500, vous bénéficiez de la performance collective des 500 plus grandes entreprises américaines. Historiquement, ce fonds indiciel a généré un rendement moyen d'environ 7 % à 10 % par an, après ajustement pour l'inflation. C’est une croissance solide, surtout lorsqu'elle est comparée aux rendements souvent plus volatils des fonds gérés activement. L'un des principaux avantages de l'investissement dans les fonds indiciels est leur capacité à capturer la croissance du marché à long terme. Contrairement aux fonds gérés activement, qui peuvent avoir des performances très variables en fonction des compétences du gestionnaire et des conditions du marché, les fonds indiciels sont conçus pour suivre l'évolution d'un indice boursier particulier. Cela signifie que, tant que l'indice progresse, la valeur de votre fonds indiciel augmentera également. Un autre point à considérer est que les indices suivis par les fonds indiciels sont souvent composés des meilleures entreprises de leur secteur ou de leur pays. Par exemple, le CAC 40 comprend les 40 plus grandes entreprises françaises cotées en bourse. Ces entreprises sont généralement des leaders dans leur domaine, avec des revenus stables et une forte capitalisation boursière. En investissant dans un fonds indiciel qui réplique cet indice, vous bénéficiez de la solidité et de la résilience de ces entreprises, ce qui contribue à la stabilité et à la croissance de votre portefeuille. Cependant, il est important de se rappeler que tout investissement comporte des risques. Bien que les fonds indiciels aient montré des performances solides à long terme, il existe toujours la possibilité que le marché connaisse des périodes de baisse prolongées. Cependant, l'histoire montre que, malgré ces périodes de volatilité, le marché boursier a tendance à augmenter sur le long terme, ce qui fait des fonds indiciels un choix judicieux pour les investisseurs patients.
Quels Sont Les Risques Associés Aux Fonds Indiciels ?
Tout investissement comporte des risques, et les fonds indiciels ne font pas exception. Bien qu'ils soient généralement considérés comme une option plus sûre que d'autres types d'investissements, il est crucial de comprendre les risques potentiels avant de prendre une décision. Volatilité Du Marché Et Risques Systémiques La valeur d'un indice boursier peut fluctuer en fonction des conditions économiques, des événements mondiaux, et de nombreux autres facteurs. Lorsque vous investissez dans un fonds indiciel, vous êtes exposé à ces fluctuations. Si l'indice que vous suivez subit une baisse, la valeur de votre fonds baissera également. C'est ce qu'on appelle le risque systémique, un risque qui affecte l'ensemble du marché. Bien que la diversification d'un fonds indiciel puisse réduire le risque spécifique à une seule entreprise, elle ne protège pas contre les baisses générales du marché. Par exemple, lors de la crise financière de 2008, même les fonds indiciels ont subi des pertes importantes. Cependant, il est important de noter que le marché a finalement récupéré et même surpassé ses niveaux précédents, ce qui montre la résilience à long terme des indices boursiers. Il est également essentiel de comprendre que les fonds indiciels sont conçus pour répliquer la performance d'un indice, qu'il soit en hausse ou en baisse. Si l'indice que vous suivez entre dans une phase prolongée de déclin, votre investissement en souffrira. C'est pourquoi il est crucial d'avoir une vision à long terme et de ne pas paniquer face aux fluctuations du marché. Un autre facteur à considérer est le risque de change, qui peut affecter les fonds indiciels investis dans des actifs internationaux. Si l'indice que vous suivez est libellé dans une devise différente de la vôtre, les fluctuations du taux de change peuvent affecter la performance de votre fonds. Par exemple, si vous investissez dans un fonds indiciel qui suit le S&P 500 mais que votre devise de référence est l'euro, un affaiblissement de l'euro par rapport au dollar américain pourrait augmenter la valeur de votre investissement. À l'inverse, un renforcement de l'euro pourrait réduire vos gains. Enfin, il est important de noter que certains fonds indiciels peuvent être plus volatils que d'autres en fonction de l'indice qu'ils suivent. Par exemple, un fonds indiciel suivant un indice composé de petites capitalisations sera probablement plus volatil qu'un fonds suivant un indice de grandes capitalisations comme le CAC 40. Maintenant que nous avons couvert les risques liés à la volatilité du marché, passons à un autre inconvénient potentiel des fonds indiciels : leur manque de flexibilité. Manque De Flexibilité Face Aux Opportunités De Marché Les fonds indiciels sont conçus pour répliquer un indice spécifique, ce qui signifie que leur composition ne change que lorsque la composition de l'indice change. Cela peut être un avantage en termes de simplicité et de faible coût, mais cela limite également la capacité du fonds à réagir aux changements rapides du marché. Par exemple, si une entreprise dans l'indice que vous suivez commence à sous-performer gravement ou à connaître des difficultés financières, le fonds indiciel continuera à détenir cette entreprise tant qu'elle fait partie de l'indice. Cela signifie que vous pourriez être exposé à des pertes prolongées dans des secteurs ou des entreprises en difficulté. Dans un fonds actif, un gestionnaire pourrait décider de vendre ces actions pour protéger le portefeuille, mais dans un fonds indiciel, vous n'avez pas cette option. De plus, les fonds indiciels suivent généralement un indice complet, ce qui signifie qu'ils investissent dans toutes les actions de l'indice, y compris celles qui ne sont peut-être pas les meilleures du lot. Par exemple, dans un indice large comme le S&P 500, toutes les entreprises ne sont pas nécessairement en bonne santé financière. Certaines peuvent être en déclin ou avoir des perspectives de croissance limitées. En investissant dans un fonds indiciel, vous êtes également exposé à ces entreprises. Un autre inconvénient potentiel du manque de flexibilité est l'incapacité de tirer parti des opportunités de marché à court terme. Par exemple, dans un marché en plein essor, un gestionnaire actif pourrait ajuster le portefeuille pour maximiser les gains en se concentrant sur les secteurs ou les actions les plus prometteurs. Les fonds indiciels, en revanche, sont limités à la composition de l'indice qu'ils suivent, ce qui peut signifier qu'ils manquent certaines opportunités de rendement à court terme. Cependant, il est important de se rappeler que pour de nombreux investisseurs, la simplicité et la prévisibilité de les fonds indiciels sont des avantages qui l'emportent sur le manque de flexibilité. Après tout, les indices qu'ils suivent sont souvent composés des entreprises les plus solides et les plus établies du marché, ce qui peut offrir une certaine tranquillité d'esprit. Maintenant que nous avons discuté du manque de flexibilité de les fonds indiciels, examinons un autre risque important : celui lié à les indices spécifiques suivis. Risques Spécifiques Liés Aux Indices Suivis
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Tous les indices ne sont pas créés égaux, et le choix de l'indice peut avoir un impact significatif sur la performance de votre investissement. Il est donc essentiel de comprendre les risques spécifiques liés aux indices que vous choisissez de suivre. Un premier risque à considérer est la concentration sectorielle. Certains indices sont fortement pondérés dans un ou deux secteurs, ce qui peut exposer votre portefeuille à un risque supplémentaire. Par exemple, un indice comme le Nasdaq 100 est dominé par les actions technologiques. Si ce secteur subit une correction, la valeur de votre fonds indiciel peut en souffrir de manière disproportionnée. De même, un indice focalisé sur un seul pays peut être affecté par des événements économiques ou politiques spécifiques à ce pays, ce qui peut introduire un risque supplémentaire. Il est également important de noter que certains indices incluent des entreprises à capitalisation boursière plus faible, ce qui peut ajouter une couche de volatilité à votre investissement. Les petites capitalisations ont tendance à être plus volatiles que les grandes capitalisations, car elles sont plus sensibles aux changements économiques et ont souvent des ressources financières limitées pour faire face aux crises. En investissant dans un fonds indiciel qui suit un indice de petites capitalisations, vous pourriez être exposé à des fluctuations plus importantes de la valeur de votre portefeuille. Un autre risque spécifique lié aux indices est le biais géographique. Si vous investissez dans un fonds indiciel qui suit un indice d'un marché émergent, vous êtes exposé à des risques spécifiques à ce marché, comme l'instabilité politique, la fluctuation des devises, ou une réglementation moins stricte. Ces facteurs peuvent tous contribuer à une plus grande volatilité de votre investissement. C'est pourquoi il est important de bien comprendre les caractéristiques et les risques de l'indice que vous suivez avant d'investir. Enfin, il convient de mentionner le risque de liquidité. Certains indices suivis par les fonds indiciels peuvent inclure des actions moins liquides, ce qui peut rendre plus difficile l'achat ou la vente de ces actions à un prix favorable. Read the full article
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devenirmilliardaire · 3 months
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Le réseau anti Etoo de Narcisse Mouelle Kombi, le ministre des Sports camerounais. Engagé dans un bras de fer inédit avec Samuel Eto’o au sujet de la désignation du staff des Lions indomptables du Cameroun, Narcisse Mouelle Kombi bénéficie du soutien d’alliés de circonstance, tous détracteurs du patron de la Fecafoot. Réseau anti Etoo de Narcisse Mouelle Kombi, le ministre des Sports camerounais réseau anti Etoo de Narcisse Mouelle Kombi, le ministre des Sports camerounais 2 Les tensions entre Narcisse Mouelle Kombi, ministre des Sports et de l'Éducation physique du Cameroun, et Samuel Eto’o, président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), ont atteint un niveau sans précédent. Le bras de fer entre les deux hommes a pris une nouvelle dimension avec la désignation du nouveau staff des Lions indomptables le 2 avril dernier. Mouelle Kombi a soutenu la nomination par l'État du Belge Marc Brys comme remplaçant de Rigobert Song au poste de sélectionneur, une décision qui a exacerbé les divisions au sein du football camerounais. Samuel Eto'o avec le Malgache Ahmad, au Liberia en 2018. →A lire aussi Cameroun- Nécrologie : David Eto’o, le père de Samuel Eto’o est mort Narcisse Mouelle Kombi n’est pas seul dans cette bataille. Il bénéficie du soutien d’alliés de circonstance, tous détracteurs notoires de Samuel Eto’o. Ce réseau anti-Eto’o se compose de diverses figures influentes du paysage sportif et politique camerounais, unies par leur opposition à la manière dont Eto’o dirige la Fecafoot. Promesse de réformer et de revitaliser le football national réseau anti Etoo de Narcisse Mouelle Kombi, le ministre des Sports camerounais Samuel Eto’o, légende du football camerounais, a été élu à la tête de la Fecafoot avec la promesse de réformer et de revitaliser le football national. Cependant, ses méthodes et ses choix ont souvent été controversés, créant des frictions avec les autorités gouvernementales et certains acteurs du milieu sportif. La nomination de Marc Brys par l'État, appuyée par Mouelle Kombi, a été perçue comme une tentative de contrecarrer l'influence d'Eto’o, qui avait son propre candidat en tête pour le poste de sélectionneur. Samuel Eto’o désigne le meilleur joueur africain « Tout le monde doit l’accepter » →A lire aussi Buzz Kafunel: Nathalie Koah parle des pratiques de Samuel Eto'o Ce conflit met en lumière les enjeux de pouvoir au sein du football camerounais. D'un côté, Narcisse Mouelle Kombi et ses alliés cherchent à maintenir une influence étatique forte sur les décisions sportives, arguant que la stabilité et l'expertise internationale sont nécessaires pour le succès des Lions indomptables. De l'autre, Samuel Eto’o défend une approche plus autonome pour la Fecafoot, visant à réduire l'ingérence politique et à favoriser une gestion plus professionnelle du football camerounais. La cohésion et à la performance de l'équipe nationale démission de Samuel Eto’o de son poste de président de la FECAFOOT Cameroun Les partisans de Mouelle Kombi critiquent la gestion d'Eto’o, l'accusant de favoritisme et de décisions impulsives qui, selon eux, nuisent à la cohésion et à la performance de l'équipe nationale. Ils voient en Marc Brys un technicien capable d'apporter une rigueur et une discipline nécessaires. réseau anti Etoo de Narcisse Mouelle Kombi, le ministre des Sports camerounais En revanche, les supporters d'Eto’o considèrent cette nomination comme une intrusion politique visant à miner l'autorité du président de la Fecafoot. Cette rivalité a également des répercussions sur la scène médiatique, avec une couverture intense et souvent partisane des événements. Chaque camp utilise les médias pour influencer l'opinion publique et rallier des soutiens à sa cause. Le conflit est loin d'être résolu et continue de diviser les amateurs de football et les acteurs politiques au Cameroun. réseau anti Etoo de Narcisse Mouelle Kombi, le ministre des Sports camerounais →A lire aussi URGENT – Nécrologie : Le monde du football sénégalais est en deuil (photo)
Le réseau anti-Eto’o de Narcisse Mouelle Kombi illustre les défis complexes auxquels le football camerounais est confronté. Au-delà des questions de performance sportive, ce sont des questions de pouvoir, de gouvernance et de vision pour l'avenir du sport qui sont en jeu. Les décisions prises dans ce contexte auront des impacts durables sur la trajectoire des Lions indomptables et sur la gestion du football au Cameroun.
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wiwsport · 5 months
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infosisraelnews · 5 months
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Lapid contre le secrétaire général de l'ONU : " Il est devenu partisan du terrorisme"
Le chef de l’opposition, le député Yair Lapid, a vivement attaqué (mercredi) le secrétaire général de l’ONU après que celui-ci ait décidé de ne pas inclure le Hamas dans la liste des organisations soupçonnées de violences sexuelles. Dans un message qu’il a tweeté sur la page X (ancien Twitter), Lapid a écrit : « La décision du secrétaire général de l’ONU, Antonio Gutierrez, de ne pas inclure le…
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lepartidelamort · 5 months
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Révélations sur l’implication personnelle de Trump dans le nouveau financement massif de la guerre en Ukraine
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Mike Johnson
Enfin quelqu’un pour se dresser face au terroriste Donald Trump.
Il était temps.
Axios :
Le président Trump a réitéré son soutien à Mike Johnson, alors que le président de la Chambre des représentants est menacé par les partisans de la ligne dure du parti républicain. Ces commentaires interviennent alors que la représentante Marjorie Taylor Greene (R-Ga.), alliée de Trump, menace le poste de Mike Johnson, bien que l’ancien président ait déclaré au début du mois qu’il soutenait le président de la Chambre des représentants.
Contrairement à Trump, la grande Marjorie est aujourd’hui la véritable garante de la ligne « America First ».
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Pour sa part, l’octogénaire Donald Trump préfère rester sur la ligne qui est la sienne depuis 2015, laquelle consiste à trahir systématiquement tout le monde, sauf les juifs, l’état profond, la gauche et les noirs.
« Nous avons une majorité d’une personne, d’accord ? Ce n’est pas comme s’il pouvait faire ce qu’il veut. Je pense que c’est quelqu’un de très bien. Vous savez, il m’a soutenu fermement sur l’OTAN », a déclaré M. Trump lundi, selon Politico.
Et qu’a fait Trump sur l’OTAN ?
Rien, comme sur le reste.
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Il répète ces trucs d’il y a près de 10 ans, comme tous les vieillards gâteux le font.
Les commentaires de M. Trump pourraient contribuer à éviter une rébellion conservatrice contre M. Johnson, alors que M. Greene continue de s’en prendre aux décisions politiques du républicain de Louisiane, l’accusant de soutenir les priorités des démocrates. Des républicains de haut rang et des confidents de M. Trump ont déclaré qu’ils craignaient qu’une motion d’annulation ne soit préjudiciable à la fois à la tête du parti et aux électeurs en novembre.
M. Johnson s’est attiré les foudres des partisans de la ligne dure du GOP pour sa gestion des crédits, de la FISA et de la question du financement de l’Ukraine, mais il a reçu les éloges d’une grande partie de sa conférence, qui estime qu’il a fait preuve de leadership. Bien qu’il ait rompu avec M. Trump sur certaines politiques, M. Johnson a été un allié clé de l’ancien président, jouant un rôle important dans la défense de sa destitution et rédigeant un mémoire d’amicus curiae sur les résultats de l’élection de 2020.
Trump est aussi horrible que Biden, voire pire.
Selon le Wall Street Journal, M. Trump a élaboré une stratégie avec Lindsey Graham et d’autres sénateurs du GOP pour faire adopter le financement de l’Ukraine, ce qui a conduit à l’adoption de la fausse proposition de « prêt » de M. Trump dans la législation finale. « Le remboursement dépend de la défaite de la Russie ».
Selon M. Graham, M. Trump a hâte d’extraire les vastes ressources naturelles de l’Ukraine, dans le prolongement de sa philosophie antérieure consistant à « prendre le pétrole » de l’Irak et de la Syrie.
« Selon le WSJ, la position de M. Trump a joué un rôle clé dans l’adoption du projet de loi, tout comme les « convictions religieuses » du président Mike Johnson, l’émissaire de M. Trump à la Chambre des représentants.
Juste avant l’adoption du projet de loi, M. Trump a dîné avec le président polonais, M. Duda, à New York, à l’invitation de ce dernier. M. Duda était aux États-Unis pour une tournée de lobbying visant à obtenir des fonds pour l’Ukraine. Le lendemain, M. Trump a écrit son message social « Truth », déclarant que l’Ukraine était un « intérêt vital pour la sécurité nationale des États-Unis ».
Et voilà, c’est fait. Nous avons maintenant au moins deux autres années de guerre en Ukraine financées par le contribuable américain, sur ordre personnel de Trump.
En un sens, il faut vraiment admirer l’énormité de l’escroquerie de Trump. Une escroquerie totalement éhontée à l’égard de ses propres partisans. Il n’y a rien de nouveau pour lui, bien sûr, mais celle-ci doit être la plus importante à ce jour. Elle figurera certainement parmi les escroqueries les plus importantes de l’histoire politique américaine. MAGA ! 
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Cet homme a à peine idée de ce qu’il fait, a encore moins de convictions, hormis celle de défendre coûte que coûte la race juive.
Et comme les juifs ont décidé de mener une guerre à l’Iran, Trump en aura deux pour le prix d’une.
Démocratie Participative
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claudehenrion · 6 months
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Je vous souhaite une très joyeuse mort, en pleine fraternité macronienne…
Je n'ai jamais pu trouver d'explication à cette aberration : les mauvaises idées semblent être plus souvent prises en compte et mises en œuvre que les bonnes. Et je crois remarquer une accélération dans le processus actuellement en cours qui veut que de plus en plus d'idées de plus en plus mauvaises fleurissent (?) de plus en plus vite et de plus en plus souvent ! A la veille du Vendredi Saint, quel beau sujet que le dévoiement de notre mort, qui se met en place, dans une débauche de fausses informations, partielles ici, et partisanes, là, mais mensongères, toutes.
Mais pour une fois que les “bouffe-curés” et les “tue-dieu” admettent enfin que la mort peut être vaincue, comme les chrétiens le leur répètent depuis 20 siècles… on ne va pas mégoter notre plaisir, en cette Semaine Sainte où s'ouvre la phase finale de la mise en œuvre de ce caprice macronien, qui sera lancé sans qu'aient été évaluées –même un tout petit peu– les suites à long terme de cette initiative qui a toutes les chances de produire, au mieux, quelques avantages… et au pire des séries de drames dont l'humanité aurait préféré faire l'économie. Décidément, depuis le faux “vaccin” du covid, prendre des décisions mortifères est devenu un “marqueur” du progressisme, cette maladie infantile du modernisme !
Prenons la triple anti-idée terrifiante, qui a pourtant le vent en poupe, de l'invention d'un “droit à l'assassinat légal, au suicide aidé et à la mort par délégation’’. Ces trois modalités d'une même chose, la mort, ont inspiré des raz-de-marée de lavage de cerveau, de viol des consciences, de réinvention du sens des mots, et de détournement de l'attention de tous les vrais problèmes, à la macronie moribonde (NB : méfiez-vous des ultimes spasmes d'un animal blessé : ils peuvent être dangereux et faire beaucoup de dégâts !). Manque de bol, une fois encore, ça a marché, et bien des gens se sont laissés abuser, adoptant les expressions –toutes mensongères– qui ébranle,t l'intelligence.
Le nombre de paraboles, hyperboles, métaphores, fables, mensonges, bobards, et barbarismes qui ont été déversés sur nous par la Presse et la Gauche est très au delà de tout ce qui se pratique normalement. C'est simple : on ne sait plus du tout de quoi ils parlent ni ce à quoi ils pensent (car des milieux “généralement bien informés” m'assurent qu'il en resterait quelques uns qui pensent… Je ne les ai pas trouvés). Et s'il est toujours vrai que “les mots tuent”, c'est le moment où jamais : après, il sera trop tard ! Car depuis que le monde est monde, tuer, directement ou par délégation, un vieillard, un grand malade ou un embryon pas encore né mais parfaitement viable, ça avait un nom : un assassinat.
Mais dans un grand souffle libérateur, la hollando-macronie a tripoté les lettres et les syllabes, jusqu'à inventer les concepts affreux de “mort dans la dignité”, de “preuve de fraternité” (il y a des coups de pied… “occultes”, qui se perdent !), de “liberté de mourir” (et puis quoi, encore !), et de tant d'autres insanités. Nos irresponsables ont été jusqu'à inventer une soi-disant “aide à mourir”… pour le seul moment où aucune aide n'est possible ! Dieu, pour les uns, un “grand ordonnateur” pour d'autres, le “destin” pour d'autres encore, et… “rien” pour les plus pauvres d'esprit… fixe ou fixent le moment où la machine s'arrête, et personne ne peut avoir le moindre effet sur cette décision… si tant est qu'il y en ait une : on a beau bricoler l'horloge du temps, avancer l'échéance de quelques pouillèmes d'éternité, prétendre que “Moâ, ce petit dieu raté, je suis maître de mon corps” ou, comme d'aucuns, se proclamer (tout seul) “le maître des horloges”... c'est baratin & Co.
Car la seule chose qui ne fait pas de doute, c'est que nulle “force de l'ordre”, nul “agent de l'Etat”, nul GIGN, nulle “CRS 8”, nul dossier et nulle procédure “CERFA” ne pourra dire que la date de péremption est dépassée, qu'on a triché en respirant 3 fois de plus qu'indiqué sur la notice d'emploi, ou qu'un tel n'est plus qu'un nom à “zapper”, un sac noir à jeter au tri sélectif–(poubelle jaune) : la vision de la mort que peut avoir un élu macronien (je veux dire : “nul mais élu !”) est rien moins que désespérante… C'est à se demander avec quelle partie de leur corps ces trucs-là pensent ! Pour ces normateurs de l'innormable, “mourir dans la dignité” se résume à passer l'arme à gauche (NDLR : cette expression ancienne est une preuve éclatante que les mots ont un sens !) en se conformant scrupuleusement à un des 2 ou 3 protocoles prévus par une loi qui parle d'autre chose que du sujet de son titre ! Leur mort dans la dignité n'est qu'une mort dans les normes administratives.
Soulagez la souffrance, comme vous devriez apprendre à le faire, bande de Jocrisses, mais arrêtez de prétendre que vous pourriez avoir la plus petite influence sur un changement de nature de la mort : c'est la seule cérémonie à laquelle nous ne pourrons pas nous soustraire, et dans laquelle nous sommes certains de “ne pas avoir la main’‘ ! A l'opposé de leurs fatras fumeux, ’'mourir dans la dignité”, ce n'est pas “raccourcir ce qui ne doit pas l'être”, mais c'est –et ce n'est, ce ne peut être que– donner à chacun de pouvoir s'architecturer intérieurement, de résister aux sirènes trompeuses de l'époque, de trouver des contre-poids à la sous-culture du superficiel, de l'instant, de la trouille permanente, et de l'infantilisation, qui nous maintient dans une ignorance doucereuse et qui tue en nous tout sens moral, toute force spirituelle, toute résistance intellectuelle, la colonne vertébrale et le courage.
Bon ! Je sais bien que ces tentatives désespérées de rater son but affiché doivent tout à une pression morbide qui est dite “sociétale”, comme on dit dans le jargon gauchiste pour désigner l'amnésie volontaire… ce qui met la trop changeante “opinion publique” du côté des promoteurs de la vraie misère humaine : la plupart de nos contemporains ont, avec l'inévitable, un rapport fuyant, de déni et de rejet. C'est une triste évidence qui explique bien des malheurs que notre monde se fabrique en croyant résoudre l'insoluble… et qui n'existaient pas, lorsque le “métier d'homme” impliquait force, âme, courage et (j'ose !), la vie… jusqu'à en mourir.
Car mourir et vivre ne sont pas 2 choses séparées comme on nous le fait croire dans notre univers en voie de putréfaction en inutiles marches blanches, mais une seule et même chose, une seule et même aventure, un seul et même achèvement. Un éventuel “droit à mourir dans la dignité”, ce bobard fou pour politicards trop jeunes pour savoir de quoi ils parlent, ne saurait être ramené à un étalage de sensiblerie étalée complaisamment, comme sur les réseaux sociaux ! Partis comme nous le sommes… nous serons bientôt projetés dans un univers du type “Soleil vert”, ce Soylent Green, livre ou film sur la mort assistée, de Harry Harrison (1966)…  Encore un effort, Monsieur le bourreau…
Je veux bien, à la rigueur, qu'on me parle de modifier la définition de la mort : je suis poli, et j'écouterai… en pensant à autre chose. Mais alors, s'il vous plaît, messieurs les irresponsables, que ce soit avec Montaigne, avec Bossuet, voire avec Platon, Epicure, et même Spinoza… ou –comme le faisait Mitterrand– avec un Jean Guiton. Mais je vous en supplie, qu'on m'épargne le cornet acoustique miniaturisé pour pensée-clonée de ces fausses vedettes du petit écran qui sont les nouveaux “maîtres-à-ne-pas-penser” érigés au rang d'oracles par notre époque qui ne peut que devenir lamentable à leur contact (et sur ça, on est bien parti !).
Une authentique “dignité” consisterait à être de vrais humains et à le rester jusqu'au bout, souffrance ou pas. Si vous saviez dans quelle harmonie sont morts tous les êtres chers qui m'ont quitté… J'aime me souvenir d'eux, être fier d'eux jusqu'au bout, les admirer, et ne pas avoir le remords de leur avoir volé, au nom de la sensiblerie fadasse et pleurnicheuse qui a envahi nos jours et obscurci notre jugement, LEUR MOMENT absolu, le seul… le ''bilan'' de leur vie.
En lisant toutes les insanités, tous les mensonges et toutes contre-vérités qui encombrent, polluent et salissent ce débat, il m'est venu une idée que j'aimerais partager, amis-lecteurs, “pour ce quelle est’' : sans doute fausse, mais méritant peut-être qu'on y pense deux secondes : après bientôt deux quinquennats ratés, un Macron-superman, ivre de ce qu'il croit qu'il est, trouve génial de transformer notre société et tous ses membres, en clones de ce qu'il imagine être (sous-entendu : un être supérieur, au niveau des dieux, et (osons le dire, avec modestie) Dieu lui-même). Pour ce faire, il déforme les mots, les idées, l'histoire, la culture, les systèmes de pensée et de référence… et crée un univers où plus rien ne peut exister, hors de son propre (?) néant : en chamboulant tout, n'importe comment pourvu que ça soit vite, et en mettant tout ’'cul par dessus-tête”, il fait de nous des zombies incapables de résister à toutes ses folies prétendues “sociétales”.
Nous découvrons peu à peu que nous devenons non pas ce qu'il s'imagine être, mais ce qu'il est : un grand vide, un cyborg en creux, superficiel, insignifiant, sans colonne vertébrale, changeant, flou, sans bon sens autre qu'insensé, fuyant le réel, inconsistant, sans passé –donc sans présent et sans futur, et hésitant, dans un désert sidéral, entre une non-pensée et une anti-pensée. Le seul ennui, c'est que le train est lancé et que nous avons laissé faire, sans rien dire –au contraire, pour certains– ce grand pas vers notre destruction, en tant qu'humanité et que civilisation. Dis, Monsieur, comment ça s'arrête, une catastrophe en marche ?
H-Cl.
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aisakalegacy · 6 months
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⚠️ CW : Propos misogynes d'un homme blanc de 1918 ⚠️
Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (5/20)
À ce propos - et je vous promets qu’il s’agit de la dernière de mes digressions, les femmes blanches nées au Canada de plus de vingt-et-un ans ont désormais le droit de vote aux élections fédérales. Il faut qu’elles soient également propriétaires, ce qui exclue de facto ma fille aînée. Je ne suis pas très familier de la politique française, les femmes ont-elles le droit de vote chez vous, et si oui, quelles en sont les conditions ? Je n’ai pas le sentiment que cette loi ait provoqué beaucoup d'émotion autour de moi. Je dirais que chez les femmes de l’île, les sentiments étaient partagés. Un tiers était enthousiaste, un tiers y était opposé, un tiers était indifférent. Les hommes y sont, je pense, majoritairement opposés, mais je fais moi-même partie des indifférents - mais je suis indifférent à mon propre vote.
Je lis toutes sortes d’opinions dans le journal à ce sujet. Les partisans disent que de la propriété et de la taxation vient le droit légitime d’être représenté, et puisque les femmes sont propriétaires et taxées en raison de leur propriété, il n’est que naturel qu’elles puissent voter. Les opposants argumentent que le vote est l’expression d’une décision, et que cette décision doit ensuite être imposée et appliquée. Il faut donc être en mesure de pouvoir la défendre si l’opinion majoritaire ne devait pas être entendu, et que donc, en cet état, il n’est pas censé qu’une femme ait le droit de vote car elle se reposerait ensuite sur les hommes de son entourage pour s’assurer que sa décision soit mise en œuvre. Je vois du vrai dans cela également. Cependant cela m’amène à une réflexion. Je n’ai jamais voté de ma vie et je ne compte pas commencer à le faire, mais si je le souhaitais, j’en aurais le droit. Avec ma jambe en moins, je serais cependant bien incapable de reprendre les armes pour défendre la mise en application de mon choix - c’est d’ailleurs parce que l’armée me reconnaît comme incapable de continuer à défendre la nation que j’ai été réformé. Je me demande alors si les opposants argumenteraient qu’il faudrait, à moi aussi, me retirer le droit de vote.
[Transcription] Earnest Simmon : Désolé, je suis terriblement en retard, j’ai dû faire un détour avant de venir. Louise Le Bris : Je commençais à me demander si vous viendriez bien aujourd’hui. Earnest Simmon : Vous savez bien que je ne manquerais nos entretiens pour rien au monde. Louise Le Bris : Le feu est presque éteint. Asseyez-vous, je vais aller chercher Maria pour qu’elle le rallume. Earnest Simmon : Ne vous dérangez pas, il fait bien assez chaud ici. Louise Le Bris : Seriez-vous malade ? Vous n’avez pas l’air bien. Earnest Simmon : Je suis simplement nerveux, c’est tout. Puis-je vous poser une question, Miss Le Bris ? Louise Le Bris : Je vous en prie. Earnest Simmon : C’est une question plutôt personnelle, et je comprendrais que vous souhaitiez décliner. Louise Le Bris : Dites-moi ! Earnest Simmon : Ces dernières semaines, j’ai développé une certaine… affection pour vous. J’ai bien conscience de la nature de notre accord, mais… je ne serais pas opposé à l’idée d’en dépasser le cadre. Earnest Simmon : Nous nous entendons bien au-delà du simple prétexte de notre fausse fréquentation. Vos parents comme les miens nous approuvent, ni vous ni moi n’avons de véritable perspective de mariage pour l’instant. Earnest Simmon : Je suis en train de tomber amoureux de vous. Louise, peut-être… que nous devrions nous marier pour de vrai ? Louise Le Bris : Mr. Simmon… Earnest Simmon : Earnest. Louise Le Bris : Earnest… Je partage vos sentiments. Nos rendez-vous sont le point culminant de ma semaine. Avec vous, j’ai enfin l’impression d’être vraiment vue. J’accepte de vous épouser, pour de vrai.
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Les patrons de presse au palais, interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle. Peu serait de dire que le Président Macky Sall a gâté les patrons de presse lors d’une rencontre tenue au palais présidentiel ce lundi. En tant que chef national du patronat, le président de la République a bien fait de procéder à l’effacement des impôts et taxes dus par ces entreprises. Une bouffée d’oxygène financière certes, mais remis en question par le contexte mal choisi ou bien calculé, c’est selon. Patrons de presse au palais: interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle Revue de presse du 19 Mars 2024 sur Kafunel L'audience accordée par le Président Macky Sall aux patrons de presse juste avant la période électorale soulève des interrogations légitimes quant à ses motivations et ses implications potentielles sur l'indépendance de la presse. Cette rencontre, qui s'est soldée par l'annonce d'une annulation des dettes fiscales des entreprises de presse, pourrait être perçue comme un geste de bonne volonté envers un secteur crucial pour la démocratie. Toutefois, elle pourrait également être interprétée comme une tentative d'influencer la couverture médiatique en faveur du gouvernement en place. Madiambal Diagne fusille Macky Sall et adoube Amadou Ba →A lire aussi Moussa Bocar Thiam souligne l'urgence d’assainir le secteur des médias Il est essentiel de reconnaître l'importance d'une presse libre et indépendante, surtout en période électorale où les citoyens dépendent des médias pour prendre des décisions éclairées. Les patrons de presse ont donc une responsabilité considérable dans la manière dont ils choisissent de rapporter les événements et les politiques. L'effacement des impôts et taxes peut certes apporter un soulagement financier immédiat, mais il est impératif que cela ne compromette pas l'intégrité journalistique. La question demeure: cette audience était-elle une simple coïncidence ou un calcul politique? Idrissa Seck un phénomène politique devenu l’ombre de lui-même Présidentielle 2024 , les raisons d’une décadence ! La réponse à cette question pourrait avoir des répercussions significatives sur la confiance accordée aux médias et sur le paysage politique sénégalais dans son ensemble. La récente audience accordée par le palais à certains patrons de presse juste avant les élections présidentielles soulève des questions importantes sur l'indépendance et l'intégrité des médias dans le contexte politique actuel. Cette rencontre, qui pourrait être perçue comme une simple coïncidence, suscite néanmoins des interrogations légitimes quant à son timing et ses motivations potentielles. Plusieurs nominations au Conseil des ministres ce 20 mars 2024 →A lire aussi Quelle est la Différence entre Réseaux Sociaux et Médias Sociaux ? L'importance de la presse en tant que quatrième pouvoir est indéniable, jouant un rôle crucial dans la formation de l'opinion publique et dans la garantie d'une démocratie saine. Cependant, lorsque les médias sont perçus comme étant trop proches du pouvoir politique, cela peut éroder la confiance du public et soulever des questions sur leur capacité à rester objectifs et non partisans. Analyse approfondie des relations entre les médias et le pouvoir politique au Sénégal Me Moussa Bocar Thiam, Me Wade et Me Moussa Diop… quand la robe noire se déchire en public ! La question demeure donc: cette audience était-elle une simple coïncidence ou un calcul politique? La réponse à cette interrogation est complexe et nécessite une analyse approfondie des relations entre les médias et le pouvoir politique au Sénégal. Il est essentiel que les médias maintiennent leur indépendance pour préserver la confiance du public et assurer une couverture équitable et précise des événements politiques. Les répercussions d'une telle audience sont significatives, non seulement pour la crédibilité des médias concernés mais aussi pour le paysage politique sénégalais dans son ensemble.
patrons de presse au palais, interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle →A lire aussi Chancel Mbemba vainqueur du Prix Marc-Vivien Foe (médias) Il est impératif que les patrons de presse fassent preuve de transparence quant à leurs interactions avec les figures politiques pour éviter tout malentendu ou suspicion de partialité. En conclusion, bien que l'audience en question puisse être sujette à interprétation, il est crucial que les médias sénégalais continuent de s'engager en faveur d'un journalisme responsable et indépendant, surtout en période électorale où les enjeux sont particulièrement élevés.
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sports-100-buzz · 6 months
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Les patrons de presse au palais, interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle. Peu serait de dire que le Président Macky Sall a gâté les patrons de presse lors d’une rencontre tenue au palais présidentiel ce lundi. En tant que chef national du patronat, le président de la République a bien fait de procéder à l’effacement des impôts et taxes dus par ces entreprises. Une bouffée d’oxygène financière certes, mais remis en question par le contexte mal choisi ou bien calculé, c’est selon. Patrons de presse au palais: interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle Revue de presse du 19 Mars 2024 sur Kafunel L'audience accordée par le Président Macky Sall aux patrons de presse juste avant la période électorale soulève des interrogations légitimes quant à ses motivations et ses implications potentielles sur l'indépendance de la presse. Cette rencontre, qui s'est soldée par l'annonce d'une annulation des dettes fiscales des entreprises de presse, pourrait être perçue comme un geste de bonne volonté envers un secteur crucial pour la démocratie. Toutefois, elle pourrait également être interprétée comme une tentative d'influencer la couverture médiatique en faveur du gouvernement en place. Madiambal Diagne fusille Macky Sall et adoube Amadou Ba →A lire aussi Moussa Bocar Thiam souligne l'urgence d’assainir le secteur des médias Il est essentiel de reconnaître l'importance d'une presse libre et indépendante, surtout en période électorale où les citoyens dépendent des médias pour prendre des décisions éclairées. Les patrons de presse ont donc une responsabilité considérable dans la manière dont ils choisissent de rapporter les événements et les politiques. L'effacement des impôts et taxes peut certes apporter un soulagement financier immédiat, mais il est impératif que cela ne compromette pas l'intégrité journalistique. La question demeure: cette audience était-elle une simple coïncidence ou un calcul politique? Idrissa Seck un phénomène politique devenu l’ombre de lui-même Présidentielle 2024 , les raisons d’une décadence ! La réponse à cette question pourrait avoir des répercussions significatives sur la confiance accordée aux médias et sur le paysage politique sénégalais dans son ensemble. La récente audience accordée par le palais à certains patrons de presse juste avant les élections présidentielles soulève des questions importantes sur l'indépendance et l'intégrité des médias dans le contexte politique actuel. Cette rencontre, qui pourrait être perçue comme une simple coïncidence, suscite néanmoins des interrogations légitimes quant à son timing et ses motivations potentielles. Plusieurs nominations au Conseil des ministres ce 20 mars 2024 →A lire aussi Quelle est la Différence entre Réseaux Sociaux et Médias Sociaux ? L'importance de la presse en tant que quatrième pouvoir est indéniable, jouant un rôle crucial dans la formation de l'opinion publique et dans la garantie d'une démocratie saine. Cependant, lorsque les médias sont perçus comme étant trop proches du pouvoir politique, cela peut éroder la confiance du public et soulever des questions sur leur capacité à rester objectifs et non partisans. Analyse approfondie des relations entre les médias et le pouvoir politique au Sénégal Me Moussa Bocar Thiam, Me Wade et Me Moussa Diop… quand la robe noire se déchire en public ! La question demeure donc: cette audience était-elle une simple coïncidence ou un calcul politique? La réponse à cette interrogation est complexe et nécessite une analyse approfondie des relations entre les médias et le pouvoir politique au Sénégal. Il est essentiel que les médias maintiennent leur indépendance pour préserver la confiance du public et assurer une couverture équitable et précise des événements politiques. Les répercussions d'une telle audience sont significatives, non seulement pour la crédibilité des médias concernés mais aussi pour le paysage politique sénégalais dans son ensemble.
patrons de presse au palais, interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle →A lire aussi Chancel Mbemba vainqueur du Prix Marc-Vivien Foe (médias) Il est impératif que les patrons de presse fassent preuve de transparence quant à leurs interactions avec les figures politiques pour éviter tout malentendu ou suspicion de partialité. En conclusion, bien que l'audience en question puisse être sujette à interprétation, il est crucial que les médias sénégalais continuent de s'engager en faveur d'un journalisme responsable et indépendant, surtout en période électorale où les enjeux sont particulièrement élevés.
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bresilenfrancais · 26 days
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LE BRÉSIL A DEUX PROBLÈMES ET L'UN EST PIRE
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En 2014, la population brésilienne était dans une apathie totale face à la politique. Cependant, elle se réveille de sa longue hibernation apolitique, motivée par l'échec et la corruption du gouvernement du parti de gauche au pouvoir.
L'avènement des applications de médias sociaux comme Twitter, Facebook et WhatsApp a permis au citoyen moyen de s'informer sur le contenu politique, de diffuser de fausses nouvelles et d'organiser des manifestations contre le parti de gauche au pouvoir.
Après des décennies de gauche au pouvoir, la classe moyenne brésilienne a montré qu'elle en avait assez des politiques socialistes et de leurs conséquences économiques. C'était l'occasion idéale pour la naissance d'une nouvelle vague conservatrice victorieuse.
Malheureusement, ce nouveau mouvement conservateur est né avec certaines caractéristiques qui ont entraîné dans le futur de terribles conséquences : le sectarisme, l'amour des théories du complot et le culte de la personnalité.
En 2016, après de nombreuses manifestations avec des millions de personnes dans les rues, le peuple a pu destituer la présidente de gauche Dilma Roussef, et une fenêtre s'est ouverte vers une certaine élection conservatrice lors des élections présidentielles de 2018.
En 2018, cette droite très radicalisée a choisi comme candidat l’apologiste de la dictature et de la torture, Jair Bolsonaro. Sans expérience exécutive, Bolsonaro était le candidat le plus anti-gauche, et c’était ce qui importait le plus à ses électeurs qui détestaient la gauche.
Gagner des élections en disant simplement ce que les gens veulent, c'est une chose. Gouverner un pays complexe et continental comme le Brésil et obtenir de bons résultats, c'est une autre chose, très différente. Et Bolsonaro était l'opposé de ce dont le Brésil avait besoin.
Bolsonaro, élu avec plus de 10 millions de voix d'avance, est devenu l'homme politique le plus aimé de l'histoire du Brésil uniquement parce qu'il était le conservateur le plus radical, malgré tous ses défauts.
Lorsque la crise du Covid est arrivée sur le sol brésilien, c'était l'occasion idéale pour Bolsonaro de faire preuve de leadership, mais c'est au moment où le Brésil avait le plus besoin de leadership que Bolsonaro a montré à quel point il pouvait être mauvais et fou.
Au début, Bolsonaro refusait de croire à l’existence du Covid. Plus tard, il a déclaré que ce n’était pas si dangereux. Lorsque les gens ont commencé à mourir, il a déclaré qu’ils mouraient pour d’autres raisons.
Alors que les Brésiliens mouraient, Bolsonaro ne faisait preuve d'aucune empathie et plaisantait même sur la situation. Pour lui, les gens doivent continuer à travailler et les plus forts survivront tandis que les plus faibles périront, comme dans la nature.
Avant la pandémie de Covid-19, la popularité de Bolsonaro était énorme. En adoptant des politiques négationnistes et anti-vaccinales qui ont causé des décès, une partie de la classe moyenne, les femmes blanches instruites, s'est éloignée de son mouvement.
Bolsonaro avait deux problèmes à gérer. L’un était le Congrès, l’autre la Cour suprême. Il pouvait utiliser l’argent du budget pour acheter les consciences du Congrès. Mais il ne pouvait pas faire la même chose avec la Cour suprême.
Les militants de Bolsonaro ont commencé à intimider les juges de la Cour suprême pour les amener à se ranger du côté de Bolsonaro. Et cet acte a poussé la Cour suprême à contre-attaquer.
Sous la direction du juge Alexandre de Moraes, la Cour suprême a commencé à persécuter certains partisans de Bolsonaro, qui sont devenus prisonniers politiques alors qu'il était encore au pouvoir.
Il était très clair que Bolsonaro avait choisi un combat qu'il ne pouvait pas gagner contre Alexandre de Moraes, qui était capable de prendre n'importe quelle décision contraire à la loi pour montrer sa force.
Bolsonaro a perdu les élections et Alexandre de Moraes peut désormais le condamner à une peine de prison pour ses nombreux crimes. Le problème est qu'Alexandre est devenu trop puissant et censure trop de gens.
En ordonnant la censure des partisans de Bolsonaro sur Twitter, Elon Musk, défenseur de la liberté d’expression, a refusé d’obéir aux impositions autoritaires d’Alexandre. En représailles, Alexandre a ordonné la fin des opérations de Twitter au Brésil.
En conclusion, un débat fait actuellement rage au Brésil. Les multinationales peuvent-elles refuser d’obéir aux décisions des gouvernements souverains en invoquant la liberté d’expression comme justification ?
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reussir-a-tout-prix · 6 months
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Les patrons de presse au palais, interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle. Peu serait de dire que le Président Macky Sall a gâté les patrons de presse lors d’une rencontre tenue au palais présidentiel ce lundi. En tant que chef national du patronat, le président de la République a bien fait de procéder à l’effacement des impôts et taxes dus par ces entreprises. Une bouffée d’oxygène financière certes, mais remis en question par le contexte mal choisi ou bien calculé, c’est selon. Patrons de presse au palais: interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle Revue de presse du 19 Mars 2024 sur Kafunel L'audience accordée par le Président Macky Sall aux patrons de presse juste avant la période électorale soulève des interrogations légitimes quant à ses motivations et ses implications potentielles sur l'indépendance de la presse. Cette rencontre, qui s'est soldée par l'annonce d'une annulation des dettes fiscales des entreprises de presse, pourrait être perçue comme un geste de bonne volonté envers un secteur crucial pour la démocratie. Toutefois, elle pourrait également être interprétée comme une tentative d'influencer la couverture médiatique en faveur du gouvernement en place. Madiambal Diagne fusille Macky Sall et adoube Amadou Ba →A lire aussi Moussa Bocar Thiam souligne l'urgence d’assainir le secteur des médias Il est essentiel de reconnaître l'importance d'une presse libre et indépendante, surtout en période électorale où les citoyens dépendent des médias pour prendre des décisions éclairées. Les patrons de presse ont donc une responsabilité considérable dans la manière dont ils choisissent de rapporter les événements et les politiques. L'effacement des impôts et taxes peut certes apporter un soulagement financier immédiat, mais il est impératif que cela ne compromette pas l'intégrité journalistique. La question demeure: cette audience était-elle une simple coïncidence ou un calcul politique? Idrissa Seck un phénomène politique devenu l’ombre de lui-même Présidentielle 2024 , les raisons d’une décadence ! La réponse à cette question pourrait avoir des répercussions significatives sur la confiance accordée aux médias et sur le paysage politique sénégalais dans son ensemble. La récente audience accordée par le palais à certains patrons de presse juste avant les élections présidentielles soulève des questions importantes sur l'indépendance et l'intégrité des médias dans le contexte politique actuel. Cette rencontre, qui pourrait être perçue comme une simple coïncidence, suscite néanmoins des interrogations légitimes quant à son timing et ses motivations potentielles. Plusieurs nominations au Conseil des ministres ce 20 mars 2024 →A lire aussi Quelle est la Différence entre Réseaux Sociaux et Médias Sociaux ? L'importance de la presse en tant que quatrième pouvoir est indéniable, jouant un rôle crucial dans la formation de l'opinion publique et dans la garantie d'une démocratie saine. Cependant, lorsque les médias sont perçus comme étant trop proches du pouvoir politique, cela peut éroder la confiance du public et soulever des questions sur leur capacité à rester objectifs et non partisans. Analyse approfondie des relations entre les médias et le pouvoir politique au Sénégal Me Moussa Bocar Thiam, Me Wade et Me Moussa Diop… quand la robe noire se déchire en public ! La question demeure donc: cette audience était-elle une simple coïncidence ou un calcul politique? La réponse à cette interrogation est complexe et nécessite une analyse approfondie des relations entre les médias et le pouvoir politique au Sénégal. Il est essentiel que les médias maintiennent leur indépendance pour préserver la confiance du public et assurer une couverture équitable et précise des événements politiques. Les répercussions d'une telle audience sont significatives, non seulement pour la crédibilité des médias concernés mais aussi pour le paysage politique sénégalais dans son ensemble.
patrons de presse au palais, interrogations autour d’une audience accordée avant la Présidentielle →A lire aussi Chancel Mbemba vainqueur du Prix Marc-Vivien Foe (médias) Il est impératif que les patrons de presse fassent preuve de transparence quant à leurs interactions avec les figures politiques pour éviter tout malentendu ou suspicion de partialité. En conclusion, bien que l'audience en question puisse être sujette à interprétation, il est crucial que les médias sénégalais continuent de s'engager en faveur d'un journalisme responsable et indépendant, surtout en période électorale où les enjeux sont particulièrement élevés.
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