Tumgik
#devenir immensément riche femme
mediummaraboutdako · 2 years
Text
DEVENIR IMMENSÉMENT RICHE
DEVENEZ IMMENSÉMENT RICHE EN 5 JOURS Qui ne rêve pas de devenir riche rapidement en ne partant de rien ? Contrairement à ce qu’on peut croire, n’importe qui peut s’enrichir, quelle que soit sa situation, si on est véritablement motivé.Devenir riche de nos jours est une question de choix, de volonté et réservé seulement aux audacieux et aux courageux. Il est disponible des rituels ancestraux…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
christophe76460 · 2 months
Text
Tumblr media
Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
0 notes
eric-sauvat · 4 years
Text
Immensément
Lavoûte-Chilhac, Dimanche 23 février 2020
Immensément
D'une manière immense : Être immensément riche. Qui est considérable, très grand par le nombre, la quantité, la force, la valeur, l'intensité : Obtenir un immense succès. Des vagues d'air, d'énormes ondes ébranlées de proche en proche passèrent comme des sursauts de vent. Puis l'espace redevint immobile, immensément silencieux. Ce lent tonnerre, l'espèce de solennité avec laquelle il avait passé, roulé à travers le ciel, avaient quelque chose de tragique. Genevoix, E. Charlebois, 1944
J'attends la communication de six chiffres pour jouer au loto et devenir immensément riche ; je ne sais pas si je le souhaite ?
J'entends mourir ici sans changer mes habitudes, la richesse amène à changer de vie et de plus ni moi, ni ma femme, ni mon fils ne sommes aptes à gérer une fortune ; aussi s'il m'incombe de le faire passerai-je la main à Sami, le jeune frère de Mouna, seul capable de se démerder avec ça.
Mon vœux serait comme je l'ai écrit dans Train de vie de voir se rassembler à Lavoûte tous les frères et sœurs de Mouna sous son égide pour qu'ensemble ils relancent l'activité du village pour le bonheur de tous.
Moi lorsque j'aurai sécurisé la maison pour que je puisse y résider même si ma mobilité se réduit avec l'âge vais poursuive mon enquête pour éventuellement y installer des monte-escaliers et acquérir un véhicule sans permis susceptible de m'amener à Langeac pour ensuite regarder benoîtement ce qui se passe autour de moi jusqu'au bout de mon existence.
Je ne veux pas me pourrir la vie en devenant riche !
Il est devoir des gens fortunés de faire fructifier leur avoir pour mieux venir en aide à ceux qui les entourent ; c'est trop tard pour moi. Place aux jeunes et à la compétence.
C'est pas une vie d'être riche !
0 notes
songedunenuitdete · 5 years
Text
[box type=”info” align=”” class=”” width=””]Album  Editeur : Rue de Sèvres Date de sortie : 18 septembre 2019 Collection : BD ADO-ADULTES Langue : Français ISBN-10: 2369814608 ISBN-13: 978-2369814603 Prix éditeur : 17€
De quoi ça parle ?
Comment un garçon, né dans un quartier pauvre de Londres, de deux parents artistes ratés, père alcoolique, mère folle, a pu devenir, à 25 ans, le plus grand cinéaste de son temps, en mettant Hollywood ses pieds ; l’inventeur du cinéma moderne, un créateur visionnaire et un acteur d’exception, légende vivante, porte-parole des misérables, des moins que rien, des vagabonds, et producteur immensément riche, artiste engagé dans tous les combats de son temps, dictatorial avec les siens, et que son amour des femmes rend un colosse aux pieds d’argile dans l’Amérique puritaine. C’est cette conquête de l’Amérique que retracera ce premier volume. D’une vie de misère à la Oliver Twist à la gloire absolue d’un géant, adulé de New York à San Francisco que vient déjà menacer la passion de la chair et l’engagement politique. Cette première aventure débute en 1910 quand il quitte l’Angleterre pour les Etats-Unis et se termine vers 1920, en pleine notoriété puisqu’il est déjà une des personnalités les plus connues au monde.
[/box]
Mon avis
Nous connaissons tous, plus ou moins, Charlie Chaplin ou Charlot, comme nous l’appelons en France. Pour ma part, j’ai toujours préféré Chaplin à Charlot, car derrière son chapeau melon, son maquillage et sa moustache se cachait un homme compliqué et torturé.
Ce premier tome d’un triptyque qui s’annonce passionnant à suivre nous entraîne sur le bateau qui emmène Chaplin aux États-Unis où il espère bien faire une grande carrière, et faire fortune par la même occasion. L’album se découpe comme un film. Nous avons une introduction courte qui nous présente le bateau puis Sydney et Charlie, avant de passer au générique s’ouvrant sur une double page, la fabuleuse histoire d’un homme qui a su marquer son époque et plus précisément l’Histoire du monde du cinéma.
Le lecteur découvre ou redécouvre donc l’ascension de Chaplin, la naissance de l’image que nous avons de lui, celle qui perdurera à travers le temps et même les siècles ! Charlie tente de trouver sa place dans le milieu artistique américain et c’est un peu par hasard qu’il va trouver l’art et la manière qui feront de lui l’homme comique que nous connaissons. Ses gaffes, ce côté romantique et désespéré, nous assistons à la naissance de Charlie Chaplin tel qu’il est resté en mémoire.
Mais également, tels d’innocents voyeurs que nous sommes, nous découvrons celui qui se cachait derrière le masque et le costume : un homme à femmes, un homme ambitieux qui était hanté par la misère vécue durant son enfance. Hanté par une mère profondément malade et un père alcoolique mort dans la fleur de l’âge d’une cirrhose.
Charlie va donc faire ses débuts et connaitre le succès, mais la fin de ce premier tome se clôture par une annonce dont Chaplin se serait bien passé.
Je vous ai parlé de l’histoire, mais je dois aussi vous avouer que j’ai un gros faible pour les dessins et la manière dont le dessinateur a su donner une nouvelle vie à Chaplin. Les illustrations sont telles que nous avons cette impression de mouvement perpétuel qui donne vie au scénario. J’aime aussi la mise en place des cases et leurs dispositions qui se découpent de manière à donner l’illusion d’un film qui se déroule sous nos yeux. Les dernières pages sont très bien présentées et donnent un effet “clap de fin” à suivre qui laisse le lecteur en haleine.
Dans l’ensemble, c’est un très bel ouvrage, une bande dessinée somptueuse qui relate avec brio la vie de l’un des acteurs les plus célèbres de l’histoire du 20e siècle.
[Chronique Artemissia]Mon #avis sur Chaplin T01 : En Amérique de David François & Laurent Seksik / @ruedesevresBD - Un ouvrage magnifique qui retrace le parcours d'un certain Charlie Chaplin - A lire d'urgence ! Album  Editeur : Rue de Sèvres Date de sortie : 18 septembre 2019 Collection : BD ADO-ADULTES…
0 notes
christophe76460 · 8 months
Text
Tumblr media
Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
0 notes
christophe76460 · 8 months
Text
Tumblr media
Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
0 notes
christophe76460 · 1 year
Text
Tumblr media
Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
0 notes
christophe76460 · 1 year
Text
Tumblr media
Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
0 notes