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#devenir immensément riche au travail
christophe76460 · 5 months
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Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
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mediummaraboutdako · 2 years
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DEVENIR IMMENSÉMENT RICHE
DEVENEZ IMMENSÉMENT RICHE EN 5 JOURS Qui ne rêve pas de devenir riche rapidement en ne partant de rien ? Contrairement à ce qu’on peut croire, n’importe qui peut s’enrichir, quelle que soit sa situation, si on est véritablement motivé.Devenir riche de nos jours est une question de choix, de volonté et réservé seulement aux audacieux et aux courageux. Il est disponible des rituels ancestraux…
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claudehenrion · 6 years
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Un grand débat national... Pourquoi ? Et... après ?
  Rassurez-vous braves gens, tout est sous contrôle, même le bordel hebdomadaire (c'est l'ordre... en ''version Castaner''!) ! Nous étions prévenus : Jupiter ''ne lâchera RRRien''. On va user tous ces gens dans des ''rounds'' interminables auxquels ils ne sont pas habitués, où ils se fatigueront avant lui ! Il va amuser le populo (ce n'est pas du populisme, même si c'est pareil : c'est l'intention qui compte, et elle est nettement différente, puisqu'il vous le dit !). Le sujet, ce n'est pas une ''sortie de crise'', mais c'est le maintien du non-programme qui n'avait pas été présenté lors du simulacre d'élection présidentielle, après l'élimination sans aucune raison valable du candidat qui devait être élu. Et tout ça pour finir par un débat à une seule voix ? 
  Je dois vous avouer, chers amis lecteurs, que je vis très mal les heures que traverse notre pays. Oh ! elles sont loin d'être parmi les plus noires, il s'en faut de beaucoup : sans aller fouiller dans les profondeurs de l'Histoire, ma vie a été assez longue pour avoir eu son lot de guerres, de crises, de troubles, d'heures sombres : je suis né juste après que Hitler ait été élu Chancelier du Reich, c'est tout dire ! Mais ici, c'est autre chose ! Je trouve que le moment présent est (qu'on me pardonne) ''sale''. Très sale, même. Et moche. Hier par exemple, en voyant ces masses qui scandaient qu'il faut être contre l'antisémitisme de ceux qui ne défilent jamais sous ce drapeau, et en voyant se pavaner tous les irresponsables qui sont responsables de la situation que connaissent en ce moment mes nombreux amis juifs, je ne me sentais pas bien. Car toute la ''bien-pensance'' voulait être vue là... 
  Ca fait des décennies qu'ils poussent des hurlements d'orfraie dès que quelqu'un les avertit qu'ils laissent entrer des renards dans le poulailler, ou qu'ils réchauffent des serpents dans leur sein, pour reprendre deux vieux dictons français. A chaque fois que ceux qui savent ce que ''islam'' veut dire et qui ont étudié et le Coran les mettent en garde contre certains aspects fondamentaux de cette religion et de cette civilisation,  ils nous traitent d'islamophobes. Ils ne ratent pas une seule occasion de nier l'évidence, de tourner le dos à ce qui crève les yeux... pour ne pas avoir à remettre en cause leurs idées mortifères qui ne reposent sur rien : ils sont tous redoutablement incultes. Couverts de diplômes, mais incultes à en crever. (Juppé, le nouveau grand Mammamouchi de notre Constitution, avoue n’avoir jamais lu le Coran... ce qui ne l’empêche pas d’avoir un avis définitif sur l’Islam, évidemment !). 
  En ce qui me concerne, catho-catho grand teint, la première fois que j'ai lu le Coran -sur ordre exprès de mon Père, comme mes frères et soeurs- j'avais 14 ans (puisque ‘’le Coran ne peut être traduit’’, dans une traduction aussi acceptable que possible : il y en a quatre, dans ma bibliothèque), et ce ne fut pas la dernière...           Et vers la soixantaine, j'ai suivi les cours du Lundi sur ''la Foi d'Israël'' du grand Rabbin Sitruk (que j'ai immensément admiré et respecté), et c'est à tout cela que je pensais, devant mon poste de télévision... en me disant que, au moment où nous devions et où nous devons déchoir ces ordures de la nationalité française dont ils (ou elles) ne veulent pas... ceux-là même qui défilent (en se défilant !) se préparent sans le dire à toutes les ''marches blanches'' qui les attendent dans les semaines, les mois et les années qui viennent, le monde étant... ce qu'ils en font, hélas.             Franchement, on se demande bien comment a fait le bon Dieu pour oublier le déni de la réalité dans la liste des péchés mortels, ceux qui ne méritent que l'enfer.
Pour en revenir aux ébats du soi-disant ''Grand débat'', les salles de rédaction, qui n'y sont pas hostiles (elles se trompent toujours sur tout, c'est une espèce de loi générale) ont tout de même voulu savoir ce qui se cachait derrière tout ce jaune canari : on ne sait jamais, il pourrait y avoir des idées non-conformes à la doxa politiquement correcte ! Et ça, pas question ! ''Montrez-nous donc ce que vous avez sous vos gilets ''... L’identité nationale, l’immigration, l’Islam et la peine de mort pour les terroristes ? N'y pensez même pas, c’est niet : nos prompteurs ne savent même pas imprimer ces mots, et nos oreillettes grésillent en les entendant. La prolifération excessive des radars en Corrèze (alors que dans le ''9-3'', on roule en scooter volé sans casque et sans assurance) ? On préférerait parler d'autre chose : le lobby des anti-vitesse pathologiques est encore vivant, vous savez... 
  Ah ! Mais le retour de l’ISF, en revanche, ça, c’est bien : ça plaît toujours. Le RIC, la démocratie directe ? Mouais, on peut en discuter. Mais attention, hein, pas de connerie : aucun référendum sur des sujets choisis par vous, on est bien d’accord ? Et qu’est-ce que je vois là au fond de votre besace ? Le pouvoir d’achat ! Et ‘’i’’ disait rien le fripon ! Ce que tu demandes, c’est plus de pognon à la fin du mois ? Ca va pas, la tête ? Heureusement qu'on est là pour t'éviter une grosse connerie ! Et tu vois... dès qu'on t'aide à réfléchir, c’est mieux. Pour te montrer que tu n’as pas affaire à un ingrat, je te fais un petit ''sujet'' sur les 80 km/h, et si ça se trouve, au terme du ''Grand débat'', il y aura deux ou trois départementales autour de ton bled sur lesquelles tu pourras te lâcher à 90 km/h. Mets donc un coup de polish sur ta vieille Diesel, pour fêter ça. Tout va bien : les gilets jaunes sont en train de devenir des cégétistes comme les autres (les gros bras en moins, pour l’instant).
  Après plusieurs semaines passées à se faire ''castaner'', les gilets jaunes peuvent enfin devenir, mais dans  les médias seulement, ''un mouvement pour la survie du modèle social français'' : hausse des salaires généralisée, plein de services publics dans nos 36 000 communes, les aristocrates de l’ISF à la lanterne, et encore plus d'impôts pour tout le monde, toutes les autres préoccupations ayant été passées à la trappe. On soupçonne certes encore certains défenseurs du RIC de vouloir soumettre aux urnes une question autre que ''voulez-vous le SMIC à 3 000 € et la retraite à 55 ans, le tout financé par le capital à face de hyène et les riches (tous fraudeurs, et tapis dans leurs paradis fiscaux) ?'', mais dans l’ensemble, tout est sous contrôle. Mais on l'a échappé belle : on a failli leur rendre un brin de dignité !
  On a droit, maintenant, au ballet des pleureuses mélenchoniennes sur les dégâts provoqués par les 2 ans de timide libéralisme soi-disant caractéristique de Macron (Ah ! Si seulement on avait eu un Chavez ou un Maduro... ce serait le vrai bonheur, comme à Pyong-Yang ou à Caracas !). Mais les euros qui manquent en fin de mois pour les Français des classes dites moyennes sont, tout simplement, les points de croissance que notre modèle social n’a pas su créer ou qu'il a détruits pendant que la plupart de nos voisins les fabriquaient, sous les quolibets de nos irresponsables.
  Question dérangeante pour nos nuls : comment ont fait les Allemands ou les Bataves pour avoir 3% de chômeurs et une croissance plus forte ? Aucune réponse, à France Inter et à France-Télévision. Pourtant,  les gilets jaunes sont chez nous et non en Allemagne! Et, pire encore, ils ont tant de points communs avec les brexiters et avec les électeurs de Salvini, d'Orban et de tant d'autres européens, de Bolsonaro ou de Trump. Il faut une mauvaise foi ''de gauche'' pour penser qu’ils pourraient communier dans la perspective de l’ISF ou des 35h, alors que la vérité, dérangeante mais incontournable, est que l’enjeu du siècle, c’est celui des frontières et de la protection d’une identité culturelle.      Accessoirement, il existe un ''cessez de nous emmerder !'' global, que ce soit à propos du véganisme, du féminisme #metoo, de la prolifération des radars, de l'écriture inclusive, de l’apocalypse écologique ou du sexe des anges. Et si on pouvait nous rendre un peu de notre Liberté, si confisquée par tant de normes absurdes et de lois de circonstance, toutes perverses et liberticides, on est ''pour'' !
  Et pendant ces trois mois perdus pour la France... Abracadabra ! les gilets jaunes sont devenus d’inconsistants cégétistes et des sales casseurs, mais en version fluo. Les faux magiciens ont fait disparaître les revendications sociétales ou identitaires des défilés, et le Débat va donc pouvoir s'arrêter, faute de combattants (ils ont été... battus, si j’ose !) : dans la fatigue des uns, l'épuisement des autres et la lassitude de tous, les bien-pensants politiquement corrects vont pouvoir se remettre au lent travail de sape systématique de ce qui fut ''la France'', ce petit bout d'Europe où il faisait si bon vivre... Mais ça, c'était... ''avant''.
H-Cl.
PS - Et voilà ! Le temps est revenu de nous quitter pour quelques jours...  je vais me mettre ''en RTT de clavier'' et aller respirer la bonne odeur des pins, en contemplant la Grande Bleue, si belle et si chère à mon cœur.  Sauf si des événements le justifiaient, nous ne nous retrouverons pas avant le 14 mars (''date à reporter sur vos agendas''), ‘’si Dieu le veut’’. En effet, de gros travaux de ''mise aux normes'' risquent (contre mon gré : rien n’est plus bête qu’une norme européenne) de me retenir au delà des vacances scolaires. Bonnes vacances...
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sloujba · 5 years
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Les dix principales violations de la Constitution commises par M. Macron
François Asselineau
La Constitution de la Ve République a été adoptée par le peuple français, par le référendum du 28 septembre 1958, avec le score écrasant de 82,6 % des suffrages exprimés et de 65,9 % des électeurs inscrits. Ayant ainsi obtenu un très large consensus national, elle a été promulguée le 4 octobre 1958 et elle constitue depuis lors la Loi fondamentale de la République française.
Comme dans la plupart des démocraties, notre Constitution a prévu la nécessité et la possibilité de destituer le chef de l’exécutif. L’article qui traite cette question est l’article 68. Il pose que « le président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ».
Dossier à faire circuler en masse – DESTITUTION DE MACRON, MODE D’EMPLOI (faites connaitre aux députés et sénateurs tous les arguments de notre dossier irréfutable !)
Les dix principales violations de la Constitution commises par M. Macron:
Violation n°1 : la paupérisation et la précarisation de pans entiers de la société française,
notamment des retraités, des chômeurs et des jeunes, mais aussi des professions indépendantes et libérales, des petits commerçants et des fonctionnaires. Cette montée de la pauvreté se produit tandis qu’une infime minorité devient immensément riche.
Si la France connaît une réouverture rapide et violente de l’éventail des revenus et des patrimoines depuis une vingtaine d’années, c’est sous l’effet conjugué :
-de la désindustrialisation massive de la France – due aux délocalisations rendues possibles par la libre circulation des mouvements de capitaux imposée par l’article 63 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne ;
-de l’évasion fiscale, rendue quasiment légale sous le vocable « d’optimisation fiscale », par la libre circulation des capitaux du même article 63 du TFUE ;
-de l’augmentation continuelle de la pression fiscale et des contraintes budgétaires insurmontables que nous impose notre appartenance à l’Union européenne et à l’euro ;
-du grignotage sans fin des droits sociaux et des protections de toute nature sous l’effet des « déréglementations » exigées par l’Union européenne. Le Code du travail, élaboré tout au long de décennies de lutte sociale, est attaqué de toutes parts et ruine le rêve des générations antérieures, qui pensaient que leurs descendants auraient une meilleure vie qu’eux-mêmes.
L’objectif final étant de parvenir à une société anxiogène, où chacun serait en compétition avec tous, et où la seule valeur serait le culte de l’argent, au mépris de toute autre considération, qu’il s’agisse des valeurs de partage, de protection de l’environnement, de don, d’honnêteté et de respect de tout être humain, à commencer par les plus démunis.
Ce mépris outrageant pour les catégories les plus pauvres et les plus fragiles de la population, illustré par de nombreuses déclarations de M. Macron qui ont scandalisé l’opinion publique, est rendu plus choquant encore par le train de vie fastueux des occupants de l’Élysée, au moment où la misère frappe une part croissante des classes moyennes et où les inégalités de revenus ne cessent de s’accroître entre riches et pauvres.
Cette montée continuelle de la pauvreté et les pertes de pouvoir d’achat des classes moyennes, jointes aux « cadeaux aux riches » (suppression de l’Impôt de solidarité sur la fortune – ISF – , absence de toute lutte sérieuse contre l’évasion fiscale qui pourrait atteindre la somme astronomique de 100 milliards d’euros) constitue le cœur même du ressentiment des Français.
Les mesures prises par le président de la République sont tellement injustes et tellement contraires aux grands principes républicains de base qu’elles échappent au cadre naturel des options économiques pour devenir des violations pures et simples de la Constitution.
Sauf à ce que les mots n’aient pas de sens, l’action de M. Macron – qui jette des centaines de milliers de Français dans les rues – constitue une violation :
-de l’article premier de notre Constitution qui pose que « La France est une République […] sociale »,
-et de l’article 2 qui pose que « La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité » » et donc que la fraternité doit aller de pair avec le caractère social de la République.
Cette action outrageusement déséquilibrée en faveur de la catégorie la plus fortunée de la population constitue également une violation du Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, cité en préambule de la Constitution du 4 octobre 1958 et qui, de ce fait, est intégré dans le « bloc de constitutionnalité » défini par le Conseil Constitutionnel.
En particulier, la politique progressive d’abolition du Code du travail, les attaques contre les retraites et les minima sociaux, et la privatisation rampante de la santé violent l’alinéa 11 du Préambule de 1946 qui pose que « [la Nation] garantit à tous, notamment à l’enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. Tout être humain qui, en raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans l’incapacité de travailler a le droit d’obtenir de la collectivité des moyens convenables d’existence.»
Violation n°2 : le bradage d’intérêts stratégiques et de services publics
comme le TGV vendu à l’Allemand Siemens, le choix de fournitures militaires stratégiques à l’étranger, le démantèlement et la privatisation de services publics et de grandes infrastructures publiques, comme l’aéroport de Toulouse (vivement critiquée par la Cour des Comptes très récemment) et les Aéroports de Paris, et bientôt la vente de centaines de barrages hydro-électriques d’EDF à des intérêts privés.
Tout cela constitue une violation :
-de l’article 5 de notre Constitution qui pose que « le président de la République […] est le garant de l’indépendance nationale ».
-du Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, cité en préambule de la Constitution du 4 octobre 1958, intégré dans le « bloc de constitutionnalité ». En particulier la politique frénétique de démantèlement et de privatisation des services publics poursuivie par M. Macron bafoue l’alinéa 9 de ce Préambule de 1946 qui pose que « tout bien, toute entreprise, dont l’exploitation a ou acquiert les caractères d’un service public national ou d’un monopole de fait, doit devenir la propriété de la collectivité ».
Violation n°3 : le dénigrement incessant des Français
auquel se livre M. Macron dès qu’il est en déplacement à l’étranger, où il prend plaisir à insulter son propre pays, ou lorsqu’il a demandé qu’on « vienne le chercher » lors de l’affaire Benalla, alors qu’il se sait protégé par l’article 67 de la Constitution.
Cette critique et ce mépris obsessionnels du peuple français constituent une offense suprême aux principes républicains puisque l’article 2 de notre Constitution pose que la « devise » de la République contient le mot « Fraternité » et que « le principe » de la République est : « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ».
Violation n°4 : le musellement en sa faveur des médias audiovisuels du service public, et la tentative sans précédent d’imposer une supposée Vérité par la loi, en particulier par le vote d’une loi contre les prétendues « fake news ».
Cette loi, qui serait proprement inimaginable dans un pays comme les États-Unis, a été adoptée malgré les très vives réticences du Sénat et du Conseil d’État. Elle est, en outre, inutile puisque des lois et une jurisprudence permettent déjà de lutter contre les fausses informations, la diffamation et les injures. Cette loi prétendument anti-« fake news » est, en réalité, une attaque pure et simple contre la liberté de pensée.
Tout cela constitue une violation du Préambule de la Constitution, qui « proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme […] tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789 ». Le Conseil constitutionnel a pour jurisprudence constante de considérer que ladite Déclaration de 1789 fait partie du « bloc de constitutionnalité » et que ses différents articles ont valeur constitutionnelle, en particulier son article 11 qui pose que « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. »
Violation n°5 : le travail de sape contre l’unité nationale
illustré notamment (parmi bien d’autres exemples) par la violation du résultat du référendum alsacien du 7 avril 2013, où les électeurs du Haut-Rhin avaient rejeté à 55,7 % la fusion des 2 départements d’Alsace, ce que le gouvernement a décidé pourtant d’imposer à partir de 2021. Cette violation s’accompagne de la décision de créer une « collectivité européenne d’Alsace » [sic], au mépris de la démocratie.
L’insistance à vouloir imposer cette innovation refusée par les Alsaciens en 2013 et que personne ne demande, vise en réalité à accélérer la mise en place de « l’Europe des régions » exigée par les idéologues de l’Europe fédérale, c’est-à-dire le démembrement progressif et programmé de la France.
Cela constitue une violation expresse de la Constitution :
-dont l’article Premier pose que « la France est une République indivisible »
-et dont l’article 5 pose que le président de la République est « le garant de l’intégrité du territoire ».
Violation n°6 : la destruction programmée de milliers de communes françaises
qui sont pourtant la base même de l’identité de la France et de sa démocratie locale. Cette destruction s’opère au moyen d’une politique hypocrite et sournoise, qui étrangle financièrement les communes rurales par une diminution constante des dotations de l’État, et qui écœure psychologiquement les maires par le retrait de tous leurs pouvoirs les uns après les autres, au profit de grands regroupements de communes impersonnels, bureaucratiques, opaques et dispendieux.
Outre que cette politique a des conséquences structurelles sur l’identité de la France qui sont d’une importance telle qu’elle aurait dû être impérativement soumise par référendum à l’assentiment des Français, elle constitue une violation de l’article 5 de notre Constitution qui pose que « le président de la République […] assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État ».
Elle constitue aussi une violation de l’article 72-2 de notre Constitution, qui pose notamment que « tout transfert de compétences entre l’État et les collectivités territoriales s’accompagne de l’attribution de ressources équivalentes à celles qui étaient consacrées à leur exercice. Toute création ou extension de compétences ayant pour conséquence d’augmenter les dépenses des collectivités territoriales est accompagnée de ressources déterminées par la loi. »
Violation n°7 : une politique visant à éroder constamment notre indépendance nationale et à dissoudre la France dans une Europe fédérale sous domination allemande,
par exemple avec les fuites organisées sur le projet de partage avec l’Allemagne du siège permanent de la France au Conseil de sécurité de l’ONU, voire le partage futur de notre force de frappe nucléaire, ou avec l’annonce inopinée de la création d���une « assemblée parlementaire franco-allemande » dès janvier 2019, dont le principe n’a jamais été soumis au peuple français.
Ces décisions stratégiques essentielles constituent des « manquements » d’autant plus graves aux « devoirs » du président de la République que M. Macron a lui-même reconnu – devant la chaîne de télévision britannique BBC le 18 janvier 2018 – que les Français voteraient probablement en faveur de la sortie de la France de l’Union européenne (Frexit) s’il daignait les interroger par référendum à ce sujet.
M. Macron, qui précisément se refuse d’organiser ce référendum dont il anticipe le résultat qui ne lui plaît pas, sait donc pertinemment que la politique qu’il mène ne recueille pas l’assentiment majoritaire du peuple français, qu’elle est donc dépourvue de toute légitimité, et qu’elle bafoue en même temps :
-l’article 3 de notre Constitution qui pose que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum » et qu’« aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice ».
- et l’article 5 de notre Constitution qui pose que le président de la République « veille au respect de la Constitution » et « est le garant de l’indépendance nationale ».
Violation n°8 : la violation des droits du parlement et du droit international.
Cette politique est illustrée notamment par le bombardement de la Syrie en avril 2018, totalement illégal du point de vue du droit international puisque non autorisé par le Conseil de sécurité de l’ONU, ni sollicité par le gouvernement légitime de la Syrie.
N’ayant pas jugé utile de déclarer préalablement la guerre à la Syrie – et se soustrayant ainsi à l’article 35 de notre Constitution qui pose que « la déclaration de guerre est autorisée par le Parlement » –, M. Macron s’est ainsi octroyé le droit de déclencher seul l’envoi de missiles sur un allié de la Russie. Cette décision qui risquait d’entraîner une escalade aux conséquences potentiellement cataclysmiques entre la France et la Russie, 2e puissance militaire et nucléaire mondiale, a été prise sans que la représentation nationale n’ait été consultée ni même avertie.
Cela constitue aussi une violation de la Constitution, dont l’article premier pose que le président de la République « veille au respect de la Constitution » et dont l’article 5 pose que le président de la République est « le garant du respect des traités ».
Parmi les traités internationaux les plus importants ratifiés par la France figure celui de notre adhésion à l’Organisation des Nations-unies, dont l’article 2 alinéa 4 pose le principe essentiel du droit international public contemporain : « Les Membres de l’Organisation s’abstiennent, dans leurs relations internationales, de recourir à la menace ou à l’emploi de la force, soit contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de tout État, soit de toute autre manière incompatible avec les buts des Nations Unies. »
Violation n°9 : La mise en avant permanente d’une rhétorique guerrière visant à promouvoir un nationalisme continental européen.
Cette politique est notamment illustrée par les propositions de M. Macron de création d’une « armée européenne » explicitement destinée à s’opposer à la « Chine », à la « Russie » et aux « États-Unis ». Cette déclaration, aussitôt désavouée par plusieurs gouvernements européens, a provoqué une réaction virulente du président américain qui a rappelé que l’Union européenne est une chasse gardée américaine qui doit surtout payer son écot à l’OTAN. Sans parler de la réaction de la Chine qui a, elle aussi, contredit M. Macron.
Cela constitue une violation de la Constitution :
-dont l’article 5 pose que le président de la République est « le garant du respect des traités »
-et de l’article 42 du traité de l’Union européenne qui pose le principe de la subordination à l’OTAN de la Politique européenne de sécurité et de défense (PESD), que M. Macron approuve par ailleurs, à la différence de l’UPR.
Violation n°10 : le mépris constant avec lequel M. Macron traite la langue française et les pays de la Francophonie
en choisissant quasi-systématiquement de s’exprimer en anglo-américain lorsqu’il est devant un public étranger, en traitant avec un dédain ostensible les sommets de la Francophonie, ou en humiliant les Africains, depuis les plus pauvres (comme les migrants clandestins comoriens se noyant dans le détroit de Mozambique qu’il a osé comparer à du poisson à pêcher, provoquant un scandale régional) jusqu’au chef d’État (comme le président du Burkina Faso qu’il a traité publiquement comme s’il n’était qu’un réparateur de climatisation lors d’un voyage à Ouagadougou).
Le devoir absolu du président de la République est au contraire :
-de ne s’exprimer toujours et en tout lieu qu’en français – conformément à l’article 2 de notre Constitution,
-et de viser au développement de nos liens avec tous les pays de la Francophonie – conformément à l’article 87 de notre Constitution.
Non seulement l’anglomanie de M. Macron provoque parfois des incidents diplomatiques qui ridiculisent notre pays (comme en Australie où son mauvais maniement de la langue de Shakespeare lui fit tenir publiquement des propos indécents à propos de la femme du Premier ministre), mais elle rabaisse de façon scandaleuse et indue le statut de la langue française, qui est l’une des 6 langues officielles de l’ONU – à égalité avec l’anglais, l’arabe, le chinois, l’espagnol et le russe – et l’une des deux seules langues de travail du Secrétariat général de l’ONU avec l’anglais.
Le « devoir » auquel M. Macron se refuse est pourtant d’être le premier ambassadeur de la langue française à travers le monde. Son refus de parler le français dans les rencontres internationales est un « manquement » d’autant plus injustifiable que la langue de Molière est, contrairement à une légende, l’une des langues en plus fort développement dans le monde, notamment du fait de l’expansion démographique de l’Afrique francophone.
Cette attitude constitue une violation :
-de l’article 2 de la Constitution qui pose que « la langue de la République est le français »
-et de l’article 87 qui pose que « la République participe au développement de la solidarité et de la coopération entre les États et les peuples ayant le français en partage. »
Dossier complet en pdf: https://www.upr.fr/actualite/france/proposition-de-resolution-pour-louverture-de-la-procedure-de-destitution-du-president-de-la-republique-en-application-de-larticle-68-de-la-constitution/#gallery
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christophe76460 · 11 months
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Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
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christophe76460 · 1 year
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Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
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christophe76460 · 1 year
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Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
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christophe76460 · 2 years
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Qui aime l’argent n’en aura jamais assez, et qui se complaît dans l’abondance ne sera jamais satisfait de ses revenus. Cela encore est dérisoire (Ecclésiaste 5:10).
Devant ce texte, Chrysostome, un Père de l’Église, a dit :
L’avare est le simple gardien et non pas le maître de ses biens.
Et le poète latin Horace a écrit :
L’avare est toujours pauvre et l’amour du gain grandit avec la fortune.
Le Prédicateur a étudié les sciences et les lois naturelles, la sagesse et la philosophie, le plaisir et le matérialisme, l’existentialisme, le fatalisme et la religion. Maintenant, il veut savoir où conduit l’amour de l’argent. De tous les Crésus de la terre, Salomon fut l’un des plus riches qui n’ait jamais vécu, ce qui le qualifie parfaitement pour mener cette enquête.
Le PDG d’une grande société qui voit augmenter son chiffre d’affaires et son bénéfice a un sourire de contentement, mais pas pour longtemps. Il n’est pas tout à fait satisfait. Il rassemble son personnel et leur dit :
Ne vous endormez pas sur vos lauriers ; l’année prochaine, il faudra mieux faire.
M. Duchnok a un compte bancaire bien garni parce qu’il touche un gros salaire, mais il est insatisfait. Il a la mine sombre parce qu’il estime qu’il mérite mieux, surtout qu’il en connaît qui travaillent moins que lui et qui gagnent davantage et ça le met en boule.
Il n’y a aucun mal à être fortuné. Les Écritures ne condamnent pas les richesses en tant que telles. D’ailleurs sous l’Ancienne Alliance, elles étaient un signe de la bénédiction divine. Par contre, ce que Dieu réprouve est l’appât du gain et l’amour de l’argent que l’apôtre Paul appelle la racine de tout ce qui est mal (1Timothée 6:10).
L’accumulation des richesses pour elles-mêmes est une malédiction ; l’avare croit que les billets de banque sont plats afin de mieux pouvoir les empiler.
L’économie de marché qui récompense celui qui bosse dur est un bon système. Le problème vient des opérateurs qui profitent de leur position pour devenir immensément riche aux dépens des petits et des pauvres de la planète qui sont exploités comme une mine de charbon. Les sangsues de la finance s’associent juste pour faire du fric et pour l’amour du fric bien qu’ils n’en aient pas besoin, mais comme ils sont possédés par le dieu de l’argent, ils ont un désir insatiable qui les pousse à vouloir toujours plus. Le sage a écrit :
Il y a trois choses insatiables, et même quatre qui ne disent jamais : « Cela suffit » : le séjour des morts, la femme stérile, la terre aride et le feu (Proverbes 30:15-16).
On pourrait y ajouter les sangsues de la finance. L’avidité est la colle qui lie beaucoup d’hommes d’affaires entre eux.
Il y a déjà quelques années, le gouvernement américain a fait un procès aux firmes de tabac pour publicité mensongère. Je me souviens encore de tous les cadres dirigeants de Philips Morris, alignés en costume cravate, répondre aux questions du procureur. Un à un, ils ont juré sur l’honneur — mais ils l’auraient aussi fait sur la tête de leur mère — qu’ils ignoraient totalement que le tabac pouvait poser le moindre danger à la santé. Je n’en croyais pas mes oreilles.
Ces cadres qui étaient prêts à vendre leur âme au diable ont parlé en unisson parce qu’ils étaient liés ensemble par un ciment puissant, le même que celui qui unit les membres de la mafia ou de toute association de malfaiteurs : la cupidité, l’appât du gain et l’amour de l’argent. Faire un maximum de fric par n’importe quel moyen jusqu’à la limite de la légalité, telle est l’obsession des cadres dirigeants des grandes entreprises d’envergure nationale et surtout mondiale.
Non, je ne mets pas tout le monde dans le même panier parce que je crois que dans la majorité des cas, l’esprit des chefs de PME est différent. Ils cherchent surtout à faire tourner leur boîte afin d’assurer les salaires et les charges de fin de mois et ils se sentent responsables de leurs ouvriers ainsi que de leurs familles. Le grand mal du capitalisme sauvage est qu’il encourage un certain nombre de privilégiés à faire fortune aux dépens des autres.
Même les chefs des états les plus pauvres de la planète sont immensément riches, le plus souvent avec l’argent détourné que l’ONU et des associations caritatives ont contribué pour soulager la misère de leur pays. Alors que les Palestiniens crèvent la dalle, Arafat avait mis plusieurs milliards de côté pour ses vieux jours, mais il n’a pas fait aussi long feu qu’il espérait. Jésus a dit :
Malheur au monde à cause des scandales ! malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! (Matthieu 18:7).
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