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#el mingus bar
adanyeti · 11 months
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Adan Yeti en El Mingus, Montevideo, 09 de Setiembre de 2013.
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weirdgoogleearth · 10 months
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Liminal: Bar
El Mingus is a cozy restaurant and bar that takes you back in time Name: Liminal: Bar Lat, Long: -34.9111645,-56.1726156 Location: Montevideo, Uruguay
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antana666 · 5 years
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Trabajé 16 horas en el camping y a las 8 de la mañana tenía 2.200 pesetas pese a ganar 2.400 no sé qué hice con las otras 200 supongo que comí y bebí cervezas y café con leche en el bar de Pepe García dentro del camping y llovió la noche del domingo y toda la mañana del lunes y a las 10 fui donde Javier Lentini y cobré 2.500 pesetas por una antología de poesía mexicana que aparecerá en su revista y ya tenía más de 4.000 pesetas y decidí comprar un par de cintas vírgenes para grabar a Cecil Taylor Azimuth Dizzie Gillespie Charlie Mingus y comerme un buen bistec de cerdo con tomate y cebolla y huevos fritos y escribir este poema o esta nota que es como un pulmón o una boca transitoria que dice que estoy feliz porque hace mucho que no tenía tanto dinero en los bolsillos.
- ROBERTO BOLAÑO
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haitilegends · 5 years
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MERCI HERBY
Par Jean Jean-Pierre
Le Nouvelliste | Publié le :25 juillet 2013
Si l'actualisation de soi (Self-Actualization), d'après le psychologue américain Abraham Maslow, c'est aspirer à devenir la meilleure version de soi-même, à manifester ses talents dans la vraie vie, il est évident qu'Herby Widmaïer a accédé au degré où il peut s'enorgueillir d'avoir atteint son actualisation tout en menant une existence utilitaire. Utile à son environnement immédiat. Utile à la société. Utile à son pays.
A 17 ans, Herby conçut et exécuta le son et le bruitage pour le film �� Moi Je suis belle » (circa 1950), réalisé par son père, l'un des pionniers de la radio et du cinéma en Haïti, Ricardo Widmaier et Edouard Guilbaud. Le scénario du film était de Jean Dominique -il en avait été aussi le narrateur-. Plus tard, quand Herby rejoint les rangs de l'orchestre d'Issa El Saieh, nous avions pu découvrir un jeune et talentueux chanteur qui n'avait rien à envier aux Mel Torme, Frank Sinatra ou Tony Bennett. Exagérations, direz-vous. Ecoutez « Women in love » et « Choucoune », ou plus récemment « Fanm Peyi m ».
La vedette des stations
Suivant le même itinéraire emprunté (tracé conviendrait mieux) par son père, Herby introduira une myriade d'innovations dans la radio en Haïti. Citons-en quelques-unes :
"Jingles" d'identification :«La station des vedettes, La vedette des stations. Radio Haïti,». Certes, nous avions les Théophile Salnave (dit Zo), Jean Sorel, Gwo Djo, Jazz des Jeunes (cigarette Banda), Nemours Jean-Baptiste (Step Over, Energetic, Barbancourt) et Raoul Guillaume (Esso) qui faisaient de la pub enregistrée, mais c'était la première fois qu'on produisait en Haïti des spots promo d'identification avec de la musique originale. Quand il fonda Radio Métropole le 7 mars 1970, c'était l'échappée permanente d'un déversoir de créativité. « Nous aimons le compas, le jazz et la bossa... » (avec son ami Michel Desgrottes, assisté de l'orchestre Septentrional), « 129 sur votre cadran », « Bon week-end » et tant d'autres encore sont au départ de toute une tradition.
Bande FM : si l'Américain Edwin Howard Armstrong est le père de la bande FM (fréquence modulée), pour l'avoir inventée en 1933, Herby Widmaïer est le fier papa de sa diffusion en Haïti. Radio Métropole a été la première station commerciale émettant sur bande FM. Emission interactive : la première émission en Haïti conçue avec la participation directe des auditeurs à travers des lignes téléphoniques (en ce temps-là, il n'y en avait pas beaucoup en Haïti) fut produite par Herby Widmaïer. M. et Mme X fut présentée par feu René Toussaint et Iveline Sokol, devenue plus tard son épouse. Donc, Herby a été le premier à mettre en ondes les auditeurs et les reporters.
(Sois rassuré, Herby, que l'histoire ne te tiendra pas rigueur de l'utilisation abusive que nous faisons de ce système de communication au travers duquel nous débitons nos conneries et nos délations à longueur de journée.)
Reportage mobile : Herby inaugura le reportage mobile en Haïti avec ce programme matinal « Quand Port-au- Prince bouge » mettant en vedette l'original Bob Lemoine, un modèle dans la radio en Haïti. Ce programme avait aussi permis au public de découvrir les talents de ce technicien hors pair qu'est M. Roland Dupoux, membre fondateur de la station.
Nouvelles à chaque heure :je me souviens de cet excellent musicien Michel Déjean, ancien directeur du Choeur Déjean, qui était le propriétaire/opérateur de ce bar à la rue Bonne Foi et qui cavalait chaque 15 minutes avant l'heure à Radio Métropole, rue Pavée, à l'étage de la bonbonnièreMadame et Mademoiselle, pour présenter les nouvelles internationales « toutes les heures, 5 minutes avant l'heure ».
Ingénieur du son (studio d'enregistrement): entre 1955 et 1972, Herby a enregistré plus de 80% des albums réalisés par tous les orchestres haïtiens. Quant à ses prouesses de technicien de radio, d'amplificateurs, etc., n'en parlons pas.
« Music from 10 to 11 », une école sur les ondes.
Si la Dessalinienne était notre hymne national du matin, pour nous autres, jeunes musiciens de l'époque, le thème de l'émission de jazz « Music from 10 to 11 » -sur fond de rythme bossanova-, présentée tous les soirs par Herby lui-même, était devenu notre hymne du soir. A travers ce programme, cela dès la genèse de Radio Métropole, Herby élargissait nos horizons musicaux. Nous fûmes exposés aux Stan Getz, Dizzy Gillespie, George Benson, Ella Fitzgerald, Charles Mingus, Cannonball Adderly, John Coltrane, Charlie Parker, etc. Nous devînmes familiers des big bands de Duke Ellington, Woody Herman, Artie Shaw et de Count Basie.
Trois ans plus tard, avec son ami Gérald Merceron (un autre contributeur de la musique en Haïti), il nous a permis de voir évoluer sur scène (et de rencontrer) ces musiciens pour lesquels nous nous accrochions à nos cadrans (ainsi le chantait si bien Herby «129 on radio dial... »). D'autres, tels Lee Konitz, Jim Hall, Ron Carter, Jack de Johnette, Sarah Vaughn, Eumir Deodato, Herby Mann, s'ajoutèrent à la liste des illustres visiteurs. On rencontrait parfois ce dernier déambulant tout seul au Boulevard Jean Jacques Dessalines.
Herby n'était pas à son coup d'essai. Déjà en 1962, il encourageait David Young (un ami commun qui est parti) à faire venir en Haïti le grand Jazz saxophoniste américain Zoot Sims (de son vrai nom John Haley Sims). (Arrivés ici en Haïti, la première personne qu'ils se sont fait le devoir de visiter fut Mme Georgette à son Flamingo Bar -et lupanar- à Martissant).
« Excellence », est le mot que je préfère utiliser pour qualifier la carrière de Herby Widmaïer. Car toutes ses entreprises sont imprégnées de ce désir contagieux de surpasser le standard ordinaire. Il est indéniable que nous, qui grandissions en Haïti à cette époque, avions pleinement bénéficié de cette ambition de bien faire. De faire mieux. Quant à moi, je me suis servi de ce modèle pour me guider dans mes nombreuses productions à Carnegie Hall et au Lincoln Center. En plus, j'ai été vraiment honoré d'avoir pu inclure la voix d'Herby (Haïti de Marcel Sylvain son dernier enregistrement à date), dans mon CD « 1804-2004 Happy Birthday Haiti ».
Aujourd'hui, la station qu'il a créée reste encore une institution de référence qui priorise la qualité. Pas de nivellement par le bas. Pas d'«informations sous toutes réserves ». Il avait bien inculqué à ses fils Richard et Joël les principes primordiaux du medium. Les normes inéluctables de la déontologie de la profession.
Actualisation de soi ? Herby a utilisé son potentiel pour servir.
Nous sommes tous partie à un contrat social tacite qui stipule que nous devons laisser l'espace où nous évoluons mieux que nous l'avons trouvé. Herby Widmaïer peut être fier d'avoir honoré ses obligations contractuelles.
Merci Herby!
Jean Jean-Pierre
Source :
http://lenouvelliste.com/article4.php?newsid=119041
📸 http://lenouvelliste.com/images/nouvelliste/2013-07-15/herbyaupupitre.jpg
HAITI⭐LEGENDS
#HerbyWidmaier
#JeanJeanPierre
#LeNouvelliste
#MerciHerby #FM #RadioMétropole
#Jazz #radio #Tv
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jaimemv-blog · 6 years
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Charles Mingus, Roy Haynes, Charlie Parker y Thelonious Monk Una noche tranquila de 1953. Los Dodgers conseguían un campeonato. J.F.K. y Jaqueline Bouvier se acaban de de casar. Y cuatro gigantes del Bepbop se juntaban en el bar Open Door para un Jam Session
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sdshwbb · 6 years
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faltam 2000 páginas para eu ser melhor que 2017
2 textões.
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o primeiro é sobre como gastamos tanto tempo - 2 ou 3 meses - recebendo posts e mais posts sobre as loucuras da política e esquecemos de cuidar do que realmente é importante.
eu por exemplo esqueci do meu desafio de leitura. esqueci é desonesto, deixei de lado mesmo. nenhuma vontade de pegar num livro, e quando tentava não tinha atenção para mais do que 3 páginas - provavelmente culpa daquela série comando sul que foi insuportável, fique com o filme.
enfim, nunca me propus a me superar em nada, então agora tenho a chance de um desafio. 8 livros até final de dezembro. livros tenho, um monte começado e que vou precisar voltar do começo, e uns tantos mais que nem mexi. tempo vai ser fácil achar também agora que passada copa, eleição, show do nick cave e meta não tem nada para me ocupar das 20h às 10h.
os tropeços serão álcool, que as vezes ajuda mas sempre atrapalha, e as redes sociais, que jesus como sugam a gente e não acrescentam nada na vida. são quase 4h por dia rodando entre facebook, twitter, instagram, tinder, apenas tentando sentir que algo está acontecendo e quem sabe talvez eu faça parte (quem sabe ser marcado ou comentar algo). mas as próprias redes se sabotam e se você souber aproveitar acha o gatilho para cair fora.
o instagram por exemplo está saturando a linha do tempo de propaganda, com uma proporção de 1 ad para cada 4 fotos. é esquisito, mas quando você repara que está lá passando a tela para ver propagandas de mochila e sapato ao invés de fotos de amigos (ou bebida, ou cachorro, ou amigos na piscina com comida e cachorro) você tem um estalo e pá! cansei disso aqui. na verdade aqui cabe uma referência ao primeiro parágrafo, e o instagram já estava insuportável meses atrás quando as fotos sumiram para prints e cartazes de apoio a candidatos.
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o segundo textão é sobre o Goodreads, a rede social que eu uso para guardar os livros que vou lendo para disfarçar o hobby de ficar sentado em mesa de bar.
uso essa rede desde 2009, e enquanto fuçava no que li nos anos passados - cara, 2017 foi realmente um ano bom - reparei em alguns detalhes que fizeram essa ser a única rede “isenta” em toda essa loucura que passamos.
vale lembrar que isenta nenhuma rede social, ou site, ou qualquer serviço que captura um byte que você manda pela rede é. eles vão cruzar, amassar, _taggerar e trackear_, e te enfiar uma propaganda aleatória de mochila ou sapato, isso no melhor dos casos. o Goodreads por exemplo é da Amazon, uma rede social de leitores do maior vendedor de livros. mas voltemos.
o Goodreads não é uma rede para você _postar_ ou compartilhar coisas. é uma rede sobre livros. livros que você diz que vai ler algum dia, ou que está lendo, ou desistiu porque é chato demais carregar 0.5kg de livro na mochila. ou até curtir aquele livro que seu amigo está lendo enquanto você dá uma desculpa.
então se você quer comentar sobre política, mídia, governo ou fakenews, não tem como fazer textão. você tem que dizer que está lendo “1984″ e num comentário de canto dizer que sente arrepios e não consegue mais dormir.
ou você pode ser um jovem otimista, e ao invés de compartilhar imagens motivacionais da mafalda ou fé, foco, força, você marca que terminou de ler “Escolha sua Catástrofe” do Asimov e um comentário “com o coração aquecido pelo capítulo final do que ele esperava do futuro em 79 (spoiler, ele falou do futuro da educação com EaD e sem limite de idade).
o que você não consegue é fazer um _post textão_ sobre como não vai conseguir terminar de ler os 8 livros que faltam para seu desafio, com algumas fotos de como foi bem nos anos anteriores e com desculpas de que esse ano foi difícil. porque isso é sobre você e sua experiência, não sobre algum livro.
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então a conclusão é que assim como cigarros, as redes sociais fazem muito mal. quanto mais ferramentas para divulgar _você_, mas você está divulgando alguma ideia absurda. quanto mais restrito - um livro, filme, disco, jogo, boteco do centro - mais você consegue realmente compartilhar o que está se passando aí na caixola.
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a mochila do anúncio chegou semana passada e é de uma qualidade boa, os tênis do mês passado são muito ruins.
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https://www.goodreads.com/user/year_in_books/2017/2516385
meu perfil de leitura de 2017, você consegue ver sem login sem email sem nada
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Charles Mingus’ Finest Hour - Charles Mingus
https://open.spotify.com/album/7w3uhA8Nq0Ahfcn9d0BuoF?si=9R47i2A6Q8af6Ia609uFsw
Fresh Fruit For Rotting Vegetables - Dead Kennedys
https://open.spotify.com/album/6tg1dxmyylhE7oFXcnK0P6?si=PyuiqLjDTJuoio_2A6KG5A
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themusicjerk · 6 years
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A Tribe Called Quest - People’s Instinctive Travels And The Paths Of Rhythm
On my way back to Travis’s house to return his copy of Never Mind The Bollocks, I ran into my friend Dom. We started talking and I told him about my new blog. I showed him the CD Travis had lent me, told him how awful it was, and asked him how anyone could possibly think music was a worthwhile endeavor. He just laughed, went inside, and handed me another CD. A Tribe Called Quest, as I understand it, is a hip-hop group, and my brief exposure to hip-hop through the aural onslaught which is Drake’s “Best I Ever Had,” leaves me with no high hopes for this record. Dom insists that this album is nothing like Drake. I can only hope that’s true.
A Tribe Called Quest is composed of Q-Tip, Phife Dawg, Ali Shaheed Muhammed, and Jarobi White, so they were following in the Sex Pistols’ footsteps of having two people with gross names and two people with normal names. Perhaps when one’s parents are so self-centered as to name their child after a cottonswab, that child has no choice but to devote him or herself to the sordid and good for nothing trade of music. But I digress.
The album begins with the whooshing of wind chimes and echoes of gongs. Apparently, they recorded this on a very blustery day. A baby cries. I agree, baby. I agree. I will agree that this is unlike Drake - Drake at least made some effort to introduce a melody into his songs.
Once the baby finally shuts up, we are treated to a two bar drum loop with a piano line of ugly chords and a guitar riff repeated over and over again. Q-Tip starts monologuing about something or other - someone forgot to tell him that music is not theatre, music involves melody. At various points in the first song, “Push It Along,” the guitar, piano, and drums just stop playing entirely, as if to say, “If Q-Tip doesn’t want to try music, we shouldn’t either.” But then, like some sort of twisted Chinese water torture, the instruments come back in. 
Four minutes in, they bring out a saxophone, the worst of all instruments. Saxophones are reedy, and listening to them sounds for all the world like someone wiggling a piece of wood in my ear. I’m almost happy to hear Q-Tip’s monologue return after the saxophone goes away - but perhaps that’s Stockholm Syndrome.
Remember my analogy to Chinese water torture? Five minutes into the song, you can hear the dripping. They did this on purpose. Over a one-bar bass and clapping loop, Q-Tip recites the title of the album and introduces the group, while they all hoot and holler behind him. “Music” is far too positive a word for this, and this from someone who hates music. I’d be happy to meet these people individually, but their insistence to “keep [the one-bar loop] rolling” suggests that knowing them would be to endure their brand of Chinese water torture.
 “Luck Of Lucien” is the same thing - two-bar drum loop, guitar and bass lines in conflicting keys, stranger, monologuing on top. And what is he saying?
“But listen brother man, I really think you can Succeed with the breed of the brothers on your back It’s the creme de la creme, and you can vouch for that It’ll take a minute, rice, so take my advice Trust in us, and thus you trust in your life Lucien, Lucien, Lucien, Lucien - you should know” I don’t want to trust anyone who shoehorns lyrics about creamy minute rice into his soliloquys. Shakespeare must be rolling over in his grave.
The sound of a broken record player or possibly a man wiping a tablecloth with a sponge introduces the third song, “After Hours.” Unlike The Sex Pistols, who had to rely on vulgar noises from their own bodies and voices, A Tribe Called Quest is willing to bring in whatever vulgar noises from outside they might want, including chirping frogs.
I must say, though, Dom was absolutely right about this not sounding like Drake. In fact, of the three songs I knew before I started this project, this is most similar to Charles Mingus’ “Goodbye Pork Pie Hat” in that notes are thrown together haphazardly as if the composers had never heard what the major scale is actually supposed to sound like. At least the Sex Pistols used scales, and even they had more melody than this.
The torturous stop-and-start of the instrumentals makes me wonder if the band gets tired of playing their boring music. It doesn’t sound particularly difficult to play. Hold on, let me do some more research. Nobody? Nobody in this band played in an instrument? No wonder they’re stuck playing the same two bars over and over again. If none of them can play an instrument, and none of them can sing, where did they get the idea to be musicians? At least Steve Jones pretended to know how to play the guitar. To think Dom had the audacity to tell me this was BETTER than the Sex Pistols. Somehow, this has managed to be worse.
It would also explain why the out-of-tune trumpet blasts on “Footprints” seemed like a good idea to anyone. I hate music, and I know more about music than these guys. And just like the Sex Pistols, they appear to have invited marching Christmas carolers into the studio.
“I left my wallet in El Segundo?” Q-Tip isn’t even trying anymore. This isn’t a song. This is a complaint. This is a thing you mutter on the subway to your decreasingly enthused travel companions. Someone vaguely banging on things in the background that might as well just be the sound of a subway train going over train tracks and in and out of tunnels. I can get this experience just by riding my local bullet train.
“Pubic Enemy?” Did they even proofread this? There’s an ‘L’ in “public.” Also, anyone who writes a song about being a sexual skeeve should rethink their “pubic” [sic] image. Is the appeal of all music that we have "pubic” [sic] confessions from wanted criminals? Yesterday we humored anarchists and here perverts. 
“There’s four friends of mine that thought they were bad And laid up this girl, so now, they’re sad.” That’s what guilt can lead to. So sorry you compromised your virtues and now have to suffer the consequences. Not.
“Bonita Applebum” features some strange kazoo-like instrument that is simultaneously sharp and flat that only plays when the other instruments get tired. This is clever because they’ve changed the game on us - no longer is the drum loop the anxiety-causing torturous drip, because now the silence is filled by something much worse. 
Yes, you may “kick it,” if by “kick it,” you refer to leaving. At this point the drum beats don’t even sound like real drums, but distorted and warped like they were soaked in water beforehand, or perhaps replaced with a cow slowly being pressed through a loom against her will. I’m even starting to miss Johnny Rotten’s ear for cacophony, as it made me want to tear my own hair out considerably less.
In addition to the two-bar drum-and-bass loop and the bizarre recitation on “Youthful Expression,” the group has decided to artificially raise and lower the pitches of their voice for squeaky grievances reminiscent of a puppet show.
“No banana, I ain’t no primate,” Q-Tip repeats his preference for creamy minute rice. To each their own, I guess. Toward the end of the song, we get what might actually be enjoyable piano phrases - but again, repeated so endlessly that we’re sick of them before the already-played-out drum-and-bass loop comes back in full swing.
Sonically, nothing is happening on this record. Just like the Sex Pistols, the band has written the same song 12 times - except that there are 14 songs on this album. “Rhythm (Devoted To The Art Of Moving Butts),” for its vulgar name, seems to have based itself around the noise of an angry puma, or perhaps a dying macaw, which I can only imagine is complaining about the drum loop they’ve been forced to listen to on and off for the last forty minutes.
Dom did mention that the importance of hip-hop was in the lyrics, but lyrics like:
“You’re a disc jock, then jock this Rhythms can’t lose, rhythms can’t miss If you feel uptight and need to freak It’ll be all right once we drop this beat” Seem as vapid and puerile as you could expect any lyric to be.
“Mr. Muhammed” leads with a man singing the same three-note non-melody over and over again over a bass that sounds like a wet fart or a mud drill. This is punctuated by what is either a crowd cheering (for some unknown reason) or the sound of an ocean wave because a tsunami is approaching the studio. In Phife Dawg’s verse, he rhymes such exciting words as dish with dish, tense with tense, groove with groove, and it with no.
To further extol the virtues of minute rice, the group denounces ham and eggs. This is the closest thing to a melody I’ve heard since I started this project, but someone should tell the group that the emphasis in “cholesterol” is not on the last syllable. At least they tried. Phife also lets us in on a secret: his favorite foods are lemons and limes. What important lyrics these are.
“Go Ahead In The Rain,” distinguishes its two-bar loop with the sound of a lost and confused man saying, “huh?” as if he’s trying to figure out why this band is even allowed in the studio. Q-Tip even repeats “devoted to the art of moving butts,” indicating that he himself can’t tell the difference between any of these songs. Two-bar drum loop, rambling about minute rice on top, and occasionally dropping the beat because the non-existent band gets tired.
The last song on the album is called “Description of a Fool.” Let me see - wears glasses, hates music, and has best friends named Travis and Dom. That’s me. I’m a fool for having agreed to listen to this trash or to have started this project. I have a feeling that my friends are giving me the worst of the worst on purpose. I knew music was bad, but I didn’t know it could be this bad. I’m a fool for sitting here for the last hour hoping I would hear something good in this, only to be teased by maybe two seconds of enjoyable piano on a CD lasting over an hour. Q-Tip doesn’t even talk for the last two minutes of the album, he just leaves us with the same two-bar drum loop and a couple different repetitive guitar riffs. I wouldn’t be surprised to find that this album was made entirely from that GarageBand software that came with my MacBook. 
GarageBand? More like GarbageBand. That’s my whole review of A Tribe Called Quest. Anyway, I have to go return Travis’s CD.
If you think music is good, send me music, and I will tell you why you are wrong!
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hammondgrooves · 7 years
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Roy Haynes: Mandando ver!
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Roy Haynes ficou um pouco surpreso com o comentário. Claro que tem uma carga erótica na maneira dele toca bateria. “Notei que nos últimos 10 ou 15 anos, muitas mulheres apareciam depois de meus shows,” ele diz. “Algumas diziam que nunca haviam visto um baterista tocar assim.”
Uma instantânea confiança jovial vinda de um homem que já passou dos 80. Haynes fala, anda age assim. Seu senso fashion, assim como seu estilo empolgante de tocar, tem sido sua assinatura por décadas - o baixista Al McKibbon não nega o termo “Mandando ver até explodir” (Snap, Pop and Crack, em inglês)  . “Ele é a pessoa mais estilosa, sempre,” diz  Jeff “Tain” Watts. “Ele é assim faz muito tempo. Eu li esse termo sobre ele na revista Esquire nos anos 60. Sim-‘Mandando ver’ já diz tudo.”
Como um terno sob medida, o apelido que Haynes tinha nos anos 50 ainda lhe cabe perfeitamente. Com um ataque de caixa usando as duas baquetas, Haynes consegue chamar a atenção mesmo em um bar cheio e barulhento. É um recurso que ele anda usando muito ultimamente durante a tour com a banda "Fountain of Youth", um dos mais empolgantes quartetos. Mas nada consegue abalar seu estado descolado status de um homem que esta além de ser octagenário. "Esta entrevista foi em celebração de seus 80 anos em 2005, hoje ele tem mais de 90 e ainda tocando como nunca ;-)
“8.0? Cara, é inédito,” ele balança a cabeça e fica sério tirando um sarro. “Eu nunca imaginei chegar nos 80. Mas aqui estamos. A idade me alcançou.”
Claro que todo o mundo do jazz estava esperando impaciente para atingir que Haynes atingisse este marco. Quase todo show de Haynes em 2005 tinha um brinde e um bolo em forma de tambor. “Até mesmo depois do meu aniversário,” ele lembra da sua cidade, “o prefeito de Boston até criou o ‘dia do Roy Haynes.'
Em 16 de março de 2005, dia em que fez 80, novos e velhos amigos como Chick Corea e Watts voaram para Bay Area para celebrar com Haynes no bar Yoshi’s. Logo depois, na cidade de New York, fez uma semana de shows no bar Village Vanguard e no domingo seus companheiros de baquetas Jimmy Cobb, Ben Riley, Louis Hayes, Billy Hart e Kenny Washington apareceram por lá. Semanas depois em New Orleans, Haynes foi ovacionado pela platéia do JazzFest. De volta a a cidade de New York em meados de Junho, a associação de jornalistas  "Jazz Journalists Association" o consagrou como baterista do ano.
“Tem sido muito bom,” diz Haynes, “Mas te digo, Eu tento viver um dia de cada vez. Eu sonho muito. Eu penso muito.” "O Manda Ver" engasga por um momento e adiciona, “Eu gosto mesmo é de subir lá e tocar.”
Roy Owen Haynes é "old-school". Ele prefere falar “paca” ao invés de “muito.” Numa conversa, ele domina, direciona para onde ele quer, preferindo um toma-lá-da-cá de um bom papo do que uma entrevista onde ele responde de forma cautelosa. “Para quem é?” ele quer saber antes de falar. “Do que estamos falando?”
Haynes já foi abordado por “muita gente por ai que é superficial. Fazem suas perguntas, recebem suas respostas, mas não conseguem ir além disso. Sabe, sou melhor quando estou tocando de noite, quando estou no meu instrumento, ai eu posso responder. Se eles tiverem bons ouvidos e uma boa imaginação eles conseguem entender enquanto estou tocando. nem tenho que falar sobre.”
Pode-se entender a admiração reverente que atinge muitos que conseguem um momento com o ele. É a lenda das lendas, uma conexão direta com Charlie Parker, Bud Powell, Lester Young, Sarah Vaughan, Thelonious Monk e John Coltrane. Como líder, seus álbuns são muitos, a maioria viraram clássicos: Cymbalism, Out of the Afternoon e We Three. Mais que uma célebre carreira de 60 anos, jovial, cheio de energia, continua liderando com tudo junto de jovens talentos sendo nomeado 
"Jazz Master" pelo National Endowment for the Arts em 1995. O ano que marcou o 50o aniversário de sua chegada na cena do jazz, onde garoto de Roxbury, Mas tocou pela primeira vez na cidade de New York . Uma história que nunca se cansa de contar.
“Era um show de baile do Savoy em Setembro de1945. Estava tocando em New England, no vinhedo de Martha para ser exato, de uma pequena banda vinda de Boston. Eu recebi uma carta-convite do [pioneiro] Luis Russell, que não conhecia, mas ele havia ouvido falar de mim. eu respondi com um telegrama dizendo que estava interessado em fazer parte da banda, mas não poderia antes do Dia do Trabalho. E foi o começo.”
Acabara a Segunda Guerra Mundial. A economia esta subindo assim como a cena.
“O Harlem estava bombando naqueles dias. Havia vindo para New York quando meu irmão estava no exército. Vinha com meu pai e minha madrasta para visitá-lo, ir lá na rua 52 e etc. Mas [em 1945] eu já era crescido e estava em ponto de bala!”
Antes de terminar a década Haynes se tornou primeira escolha de bandas grandes e pequenas, tocou com importantes músicos como Lester Young em 1947 e dois anos depois com Charlie Parker. “Eu tocava o chamado bebop, mas era um baterista de swing que, de uma forma ou de outra, acabava fazendo as pessoas dançarem quando tocava com o Bird” diz Haynes. “Isso quando não estavam dançando paca. Aconteceu no último verão ou num verão anterior quando eu estava no Harlem para o festival Charlie Parker. Fizemos uma balada mais lenta e até lá tinha um cara dançando, faz o maior sentido.”
Também faz sentido que Haynes foca na dança como parâmetros de progresso de sua carreira. Mesmo após deixar os salões de baile trocando com os beboppers como Miles Davis, Kai Winding e Bud Powell, ele manteve o balanço de seu estilo. Esta na maioria das gravações dos anos 50: menciono duas músicas com piano e bateria pulsantes “Little Willie Leaps” e “Woody N’You”- no disco Powell’s Inner Fires, um show ao vivo de 1953 em trio com o pianista Charles Mingus. Haynes lembra da data e de seu amigo em seu auge logo antes dos problemas mentais que começaram a drenar Powell.
“Naquela época Bud estava internado. Tinha vezes que ele ia até a ponte e voltava diversas vezes - um monte de coisas estranhas. Mas eu o conhecia antes em 45 e 46 quanto tinha 20, 21 anos, antes do tratamento de choque.
Era um Bud Powell totalmente diferente. Sempre tocávamos juntos no bar Minton. Costumava a ir na casa dele que ficava na 141a e na Av. St. Nicholas e ele tocávamos sem parar. Ele tinha "mucho fuego" naquela época, sempre pegando fogo!”
Nos anos 50, Haynes refinava seu estilo. Ficou conhecido por um sentido melódico mais comum dos timbales do que o kit comum, e pelo seu distinto som autoconfiante. Charles Mingus o idolatrava por sua habilidade de sugerir uma batida, ao invés de impor. Tain Watts disse sobre Haynes “tem um negócio, tocando além do tempo, que parece livre, mas é "groovado" ao mesmo tempo como se ele tivesse uma clave ou um relógio africano dentro dele que faz tudo ficar enraizado. Eu diria que sua assinatura esta definitivamente na marcação do chimbal - sempre bonito e solto, ainda sim suingando forte - e o som da sua caixa, sempre afiada no tempo, alta, seca, estalada e empolgante.”
Este som afirmava sua versatilidade também. Haynes trabalhou com a Sarah Vaughan por nove anos e só então em 57 entrou para a banda do Thelonious Monk até 59. Por volta de 63 ele cobria os shows do Elvin Jones no quarteto de John Coltrane, adorado pelo saxofonista por seu jeito de  “esticar o ritmo.”
“Eu só tentei me inserir no som,” conta Haynes. “Um lance interessante sobre todas estas pessoas diferentes, eles estavam acostumados comigo, então era só chegar e fazer o meu som, enquanto eu ouvia o tempo todo o que estava acontecendo. Eu não consigo descrever exatamente o que fazia. Eu ia pelo sentimento.”
Nos anos 60, Haynes adicionou sua abordagem livre nas bandas conduzidas por George Shearing, Kenny Burrell e Stan Getz, num dos lineups ele conheceu um jovem pianista chamado Chick Corea, com quem formaria times ainda muitas vezes. Ao perguntar qual músicas de sua carreira como  acompanhante, Haynes sugere uma música mais que todas.
“A que eu ouço muito sobre foi a ‘Shulie a Bop’ com a Sarah Vaughan de 1954 - música que ela apresentava o trio, e logo depois de anunciar meu nome eu respondia na bateria, “Bap!” e ela respondeu “Roy!” Eu “Bap-bap-bap!”, e ela “Haynes!” Era o máximo. E tinha uma com Chick Corea, “Now He Sings, Now He Sobs,” que as pessoas falam por todo mundo. Estava em Paris há alguns dias atras fazendo uma master class e, naturalmente, alguém trouxe um disco para eu autografar. Era de 1963 em Newport: “My Favorite Things” com o Coltrane, versão de 18 minutos. Eu nem sabia que estava sendo gravado!”
Das gravações favoritas como líder, Haynes rapidamente cita  “Out of the Afternoon de 1962, com o  [saxofonista] Rahsaan Roland Kirk, [pianista] Tommy Flanagan e [baixista] Henry Grimes. De fato, hoje mesmo eu recebi alguns royalties e fui retirar no banco.”
Entre as sete faixas do Afternoon, se destaca a “Long Wharf,” que traz Haynes se esquivando entre as rápidas mudanças de tempo e espetaculares pausas. Só de mencionar esta música já provoca risadas: “Esta é uma das minhas composições, algo que desenvolvi com minha banda nos palcos,” conta Haynes. “Como a música 'Snap Crackle’ também. Outros músicos me chamavam assim, e eu achei que seria um bom nome para uma música, decidi fazer uma intro no estilo ‘Shulie a Bop.’ Que é o Tommy falando ‘Roy!’ e ‘Haynes!’ Ele tentou primeiro com Rahsaan, mas por algum motivo ele não estava concentrado o suficiente,” [risada]
Afternoon era uma faixa quebra-galho para a gravadora Impulse, inspirada em alguns improvisos ao vivo.
“Naquela época eu tocava muito no Five Spot”, diz Haynes. “Rahsaan chegava de Ohio ou Chicago ou sei lá de onde, ele tinha seu próprio grupo na mesma conta, e fazíamos algumas jams juntos. Henry e Tommy trabalhavam muito comigo. Eles eram do caramba! Ficamos entusiasmados em fazer algo juntos, então levei para Bob Thiele [chefe da Impulse], e fizemos.  Rudy Van Gelder [lendário técnico de som] também foi responsável por boa parte daquele álbum; Ele tirava aquele ótimo som de bateria no seu estúdio em New Jersey.”
Apesar da realização que ele tece nas gravações como líder, Haynes se dividia como músico acompanhante na maior parte de sua carreira. Em 1970, ele formou seu Hip Ensemble: um grupo rotativo, modernista que sempre incluía tecladistas (como Stanley Cowell) ou guitarristas (Hannibal Peterson, Kevin Eubanks) e na maioria das vezes saxofonistas na onda do Coltrane (John Klemmer, Ralph Moore, George Adams). Na chegada dos anos 80,  ele assumiu um projeto como Trio com Chick Corea e Miroslav Vitous e antes do final da década, atuou com principal músico de Pat Metheny.
Mas a inclinação de Haynes como líder que definiu sua carreira nos últimos anos:
“Toquei com todo mundo,” ele conta. “Mas quando eu tentava fazer a música deles soarem bem, surgiam um monte de coisas na minha cabeça que eu acabava não fazendo. Acho que tinha muito mais a ver colocar isso em um projeto meu. Agora eu posso fazer tudo que quero no meu próprio grupo.”
Em 2000 Haynes formou um trio com o pianista Danilo Perez e o baixista John Patitucci, gravando um disco The Roy Haynes Trio (Verve) que resumia várias músicas de sua carreira, incluindo “Shulie a Bop.” No ano seguinte, ele recrutou um time de estrelas como o Roy Hargrove, baixista Dave Holland, saxofonista Kenny Garrett e o pianista Dave Kikoski para seu tributo a Charlie Parker, Birds of a Feather (Dreyfus). E em 2002 fez uma impressionante gravação, lançada pela Columbia/Eighty-Eight’s como Love Letters, que incluía o guitarrista John Scofield, o sax tenor Joshua Redman e, alternando os pianistas Kikoski e Kenny Barron, os baixistas Holland e Christian McBride.
Mas Haynes esta mais focado em seu trabalho com o quarteto Fountain of Youth, com o saxofonista Marcus Strickland, o pianista Martin Bejerano e o baixista John Sullivan.
“Eu não esperava gravar o Fountain of Youth no Dreyfus para ser nomeado ao Grammy,” ele diz. Naquela época todos estavam nos seus 20 anos e eu nos meus 70 passados. Mas quando subíamos no palco era como se tivéssemos a mesma idade.”
A banda começou junto há alguns anos, como uma estreia de Strickland.
“Eu estava no Blue Note de New York quando Milt Jackson tocava com sua big band [no final dos anos 90] e eu estava no bar,” lembra Haynes. “Marcus chegou com seu saxofone nos ombros; ele só tocava com Milt naquela época. Chegou em mim e disse ‘Roy Haynes, quero tocar com você’- muitos anos antes tínhamos tocados juntos. Eu geralmente não tenho regras para escolher quem toca comigo. Então Marcus recomendou Martin- os dois eram de Miami- e ele recomendou John no baixo. Lá estava a conexão.”
A banda teve uma reconhecimento leal e entusiasmado no curto tempo juntos, muitas vezes requisitada como favoritas do show como a “My Heart Belongs to Daddy.”
“Eu fiz a mesma música com a banda Birds of a Feather, só em estúdio,” fala Haynes. “Decidi começar a tocar ela ao vivo, e todo lugar que íamos era uma das favoritas. Até as senhoras na Europe conheciam o nome e a melodia da música. Elas acabavam cantando junto cedo ou tarde!”
Estes eram momentos de surpresa e satisfação de qualquer show de Haynes, especialmente nesta última formação. O baterista mostra o caminho, dirigindo a forma e caminho da música através da sua bateria. “Era como dirigir. Eu sinto e logo todos estão ouvindo, Sério! Eu tento descrever o que quero ouvir com o instrumento, não com palavras.”
“Eu sou o que eu toco,” ele diz após uma sucedida temporada no Vanguard. Perguntando para explicar melhor essa ideia, Haynes diz, “Não posso descrever isso. Digo, se for verdade, se estiver tocando a verdade, então é você . Há muitos hoje que querem ser bateristas apenas indo para a escola, mas este não é o baterista que eu conheço bem. Tem que começar a fazer isso como se fosse uma coisa só, uma segunda natureza! É minha religião, minha vida.” 
Gearbox Ao longo dos anos Haynes tocou um conjunto tradicional de peças de bateria da marca Ludwigs da série transparente, Vistalites. Ele ficou conhecido tanto por tocar num kit simples de cinco peças quanto com um conjunto maior de ton-tons, array de blocos, instrumentos de percussion e um gongo. Hoje, to mestre usa um kit básico mas ainda com um gongo atrás dele. Yamaha Maple Nouveau drums: 5 1/2 x 14 Roy Haynes Signature copper snare drum; 7 1/2 x 10 e 8 x 12 tons; 14 x 14 e 16 x 16 surdos; bumbo de 16 x 18 Pratos Zildjian: um chimbal Custom de 14-polegadas; um crash Custom de 18-polegadas; K crash ride de 20-polegadas ; Custom flat-top ride de 18-polegadas; K Dark Thin crash de 17-polegadas Baquetas: Zildjian Roy Haynes Artist Series wood tip!
artigo original por Ashley Kahn de 11/01/2005 no JazzTimes
tradução e adaptação: Daniel Latorre
via Cult Jazz http://ift.tt/2AIb4d4
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terrypender · 7 years
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Under The Neon Palms - Again
CAMBRIDGE — In a corner of a bustling manufacturing plant on Pinebush Road is the original sign for the El Mocambo Tavern — the legendary night club on Toronto's Spadina Avenue.
It looks like a road-weary rock musician after a late-night gig in a small-town bar. Not a great look for a club with the slogan "under the neon palms." Since 1948, the iconic sign hung over the sidewalk on Spadina Avenue.
Some of the most famous entertainers in the world have walked under that sign, including Marilyn Monroe, U2, the Rolling Stones, Muddy Waters, Bo Diddley, Stevie Ray Vaughn, Blondie, Meat Loaf and Jimi Hendrix. Jazz greats Charles Mingus and Grover Washington played there too.
But Keith Richards looks better than the original El Mocambo sign.
The top part with the palm fronds and a quarter moon leans against the wall inside the Pride Signs plant at 255 Pinebush Rd. The paint is peeling, the bulbs are loose and it is covered by pieces of tape from patch jobs.
Stretched out on skids on the floor is the main section with its faded letters. Inside, it is a rusted mess and a hopeless tangle of wires left over from sketchy electrical repairs.
For more than a year, the sign has been at Pride Signs. It was photographed, measured and 3D modeled. A new sign, complete with flashing lights and neon tubes, is pretty much finished.
"We reproduced it exactly," says Brad Hillis, founder and president of Pride Signs. "So it is going to be identical in shape and size."
The old sign had neon lights. So too will the new one. The old one also had incandescent bulbs as well. The new one will use energy efficient LED lights instead. The exterior of the old sign was galvanized sheet metal, and inside it was unprimed steel, which rusted out. The new one is aluminum.
"That's the only modern technology in this, the incandescent bulbs are now LEDs," says Hillis.
The new marquee will be transported to Toronto in three pieces this fall, and installed on the façade of the storied night club. A new coat of paint every 10 years should be all it needs.
"It will last forever being made out of aluminum, and the LEDs are going to last," says Hillis. "The neon we are bending, doing a really good job on that, so it should last a minimum of 10 years."
The new El Mocambo sign sits in the middle of the plant, rising above the many new commercial signs around it.
This year is the 30th anniversary for Pride Signs, which employs 160 people in the sprawling 95,000-square-feet plant.
After learning how to do air-brushing and make neon lights, Hillis started Pride Signs in 1987. It is now the second-largest sign company in Canada, he says. Its clients include Kia, Mercedes, Ford, Mitsubishi Motors, Taco Bell, Esso, Arby's, Lowe's, Wendy's, Target, Best Western, Home Hardware and Tim Hortons among others.
The biggest sign it ever made is at Mosaic Stadium in Regina, the new home of the Canadian Football League's Saskatchewan Roughriders. It measures 120 feet long, 102 feet high and 18 feet deep.
"Seventeen tractor trailer loads for that one," says Hillis.
Hillis got the job for the El Mocambo sign after meeting Michael Wekerle during a charity lunch for the University of Waterloo. Wekerle, a colourful Bay Street financier, bought the El Mocambo in 2014. He is also behind the Waterloo Innovation Network, owner of several former BlackBerry buildings that are now leased to tech startups.
The El Mocambo is the not the only Toronto landmark Pride Signs is doing work for. It is working on a sign for the Paradise Theatre, an 80-year-old theatre on Bloor Street that is being restored and expanded into an arts and culture hub.
"We are reproducing the old Paradise Theatre sign from photos because it had been dismantled at some point," Hillis says.
"It's fun to do the fun signs once in a while," he adds. "These are unique signs."
Terry Pender covers business and can be reached via Twitter @PenderRecord.
eMail: [email protected] Facebook Twitter
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haitilegends · 7 years
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HERBY WIDMAIER: THE LEGEND LIVES ON... It is with a broken heart that I share the devastating news of Herby Widmaier's passing early this morning. Herby was the quintessential icon in music and radio. A pioneer. He was our Haitian Sinatra. He was passionate about film and photography. Our condolences to Herby Widmaier's family and everyone who knew and loved him. My dad and Herby were best friends and he was like an uncle to me. He will always be the "One and Only." LEGENDS never die: they remain in our hearts forever and in our collective minds. For Herby, it is much more: His qualitative contributions in the field of Radio are irreversible. We owe him a great debt of gratitude for allowing radio DJs to interact with listeners: the commercialisation of FM radio in Haiti: the hourly newscasts etc... Forever in our hearts... love Sandie, (his nickname for me) Sandra Gabriel Lmt/#iamgabrisan HERBY WIDMAIER on Vimeo https://vimeo.com/126011947?outro=1&ref=fb-share HAITI☆LEGENDS ----------------------------------------- Jeudi, 27 avril 2017 09:14 AUTEUR - EJ/RADIO MÉTROPOLE, HAÏTI Herby Widmaïer, icône de la radiodiffusion en Haïti, s'est éteint Le père fondateur de Radio Métropole Herby Widmaier est décédé tôt ce jeudi matin en sa résidence privée, à l'âge de 84 ans. Monsieur Widmaier était souffrant depuis plusieurs mois. Passionné de l'électronique, Herby Widmaïer, était devenu très jeune un radio amateur. Doté d'un talent inné et utilisant ses recherches personnelles, Herby à 14 ans construisit son premier émetteur radio. Il bénéficia de l'aide de son père, Ricardo, qui fonda radio Haïti. Cette station fonctionnera d'abord sur le HH3W et ensuite sur le 4VW. C'est la passion pour la radio diffusion qui sera le fil conducteur de la carrière d'Herby qui est également metteur en ondes et ingénieur de son. L'expérience à radio Haïti durera quelques années et Herby sera contraint de se lancer dans d'autres activités. Ces activités notamment l'enregistrement de groupes musicaux constituent également une page importante de l'histoire de la musique haïtienne. Widmaïer enregistrera les groupes les plus importants de l'époque. Les premiers enregistrements de Compa Direct ont été réalisés sur 78 tours. Il accueillait pratiquement tous les groupes de compas de l'époque. Musicien hors pair, compositeur et arrangeur, Herby était dans son assiette avec des grands noms de la musique haïtienne tels, Guy Durozier et Gérard Dupervil pour ne citer que ceux là. Il reviendra ensuite à la Radiodiffusion en fondant Radio Métropole en 1970, tout en poursuivant inlassablement son action dans la musique et la publicité. Rappelons que le cinéaste haïtien Arnold Antonin a réalisé un film documentaire intitulé « Herby, le Jazz et la musique haïtienne. Sorti en 2012, ce documentaire qui contient des images originales et inédites retrace une bonne partie de la vie de cet icône de la radiodiffusion en Haïti. ~ EJ/Radio Métropole Haïti/ Radio metropole,haiti Radio Metropole Haiti ! | Herby Widmaïer, icône de la radiodiffusion en Haïti, s'est éteint - Nouvelles d'Haiti, Haiti actualités, Haiti News, politique, économie, sports, culture http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=30100 --------------------------------------------- Le Nouvelliste - MERCI HERBY AUTEUR Jean Jean-Pierre Si l'actualisation de soi (Self-Actualization), d'après le psychologue américain Abraham Maslow, c'est aspirer à devenir la meilleure version de soi-même, à manifester ses talents dans la vraie vie, il est évident qu'Herby Widmaïer a accédé au degré où il peut s'enorgueillir d'avoir atteint son actualisation tout en menant une existence utilitaire. Utile à son environnement immédiat. Utile à la société. Utile à son pays. A 17 ans, Herby conçut et exécuta le son et le bruitage pour le film « Moi Je suis belle » (circa 1950), réalisé par son père, l'un des pionniers de la radio et du cinéma en Haïti, Ricardo Widmaier et Edouard Guilbaud. Le scénario du film était de Jean Dominique -il en avait été aussi le narrateur-. Plus tard, quand Herby rejoint les rangs de l'orchestre d'Issa El Saieh, nous avions pu découvrir un jeune et talentueux chanteur qui n'avait rien à envier aux Mel Torme, Frank Sinatra ou Tony Bennett. Exagérations, direz-vous. Ecoutez « Women in love » et « Choucoune », ou plus récemment « Fanm Peyi m ». La vedette des stations Suivant le même itinéraire emprunté (tracé conviendrait mieux) par son père, Herby introduira une myriade d'innovations dans la radio en Haïti. Citons-en quelques-unes "Jingles" d'identification : « Radio Haïti, la station des vedettes, La vedette des stations ». Certes, nous avions les Théophile Salnave (dit Zo), Jean Sorel, Gwo Djo, Jazz des Jeunes (cigarette Banda), Nemours Jean-Baptiste (Step Over, Energetic, Barbancourt) et Raoul Guillaume (Esso) qui faisaient de la pub enregistrée, mais c'était la première fois qu'on produisait en Haïti des spots promo d'identification avec de la musique originale. Quand il fonda Radio Métropole le 7 mars 1970, c'était l'échappée permanente d'un déversoir de créativité. « Nous aimons le compas, le jazz et la bossa... » (avec son ami Michel Desgrottes, assisté de l'orchestre Septentrional), « 129 sur votre cadran », « Bon week-end » et tant d'autres encore sont au départ de toute une tradition. Bande FM : si l'Américain Edwin Howard Armstrong est le père de la bande FM (fréquence modulée), pour l'avoir inventée en 1933, Herby Widmaïer est le fier papa de sa diffusion en Haïti. Radio Métropole a été la première station commerciale émettant sur bande FM. Emission interactive : la première émission en Haïti conçue avec la participation directe des auditeurs à travers des lignes téléphoniques (en ce temps-là, il n'y en avait pas beaucoup en Haïti) fut produite par Herby Widmaïer. M. et Mme X fut présentée par feu René Toussaint et Iveline Sokol, devenue plus tard son épouse. Donc, Herby a été le premier à mettre en ondes les auditeurs et les reporters. (Sois rassuré, Herby, que l'histoire ne te tiendra pas rigueur de l'utilisation abusive que nous faisons de ce système de communication au travers duquel nous débitons nos conneries et nos délations à longueur de journée.) Reportage mobile : Herby inaugura le reportage mobile en Haïti avec ce programme matinal « Quand Port-au- Prince bouge » mettant en vedette l'original Bob Lemoine, un modèle dans la radio en Haïti. Ce programme avait aussi permis au public de découvrir les talents de ce technicien hors pair qu'est M. Roland Dupoux, membre fondateur de la station. Nouvelles à chaque heure : je me souviens de cet excellent musicien Michel Déjean, ancien directeur du Choeur Déjean, qui était le propriétaire/opérateur de ce bar à la rue Bonne Foi et qui cavalait chaque 15 minutes avant l'heure à Radio Métropole, rue Pavée, à l'étage de la bonbonnière Madame et Mademoiselle, pour présenter les nouvelles internationales « toutes les heures, 5 minutes avant l'heure ». Ingénieur du son (studio d'enregistrement): entre 1955 et 1972, Herby a enregistré plus de 80% des albums réalisés par tous les orchestres haïtiens. Quant à ses prouesses de technicien de radio, d'amplificateurs, etc., n'en parlons pas. « Music from 10 to 11 », une école sur les ondes. Si la Dessalinienne était notre hymne national du matin, pour nous autres, jeunes musiciens de l'époque, le thème de l'émission de jazz « Music from 10 to 11 » -sur fond de rythme bossanova-, présentée tous les soirs par Herby lui-même, était devenu notre hymne du soir. A travers ce programme, cela dès la genèse de Radio Métropole, Herby élargissait nos horizons musicaux. Nous fûmes exposés aux Stan Getz, Dizzy Gillespie, George Benson, Ella Fitzgerald, Charles Mingus, Cannonball Adderly, John Coltrane, Charlie Parker, etc. Nous devînmes familiers des big bands de Duke Ellington, Woody Herman, Artie Shaw et de Count Basie. Trois ans plus tard, avec son ami Gérald Merceron (un autre contributeur de la musique en Haïti), il nous a permis de voir évoluer sur scène (et de rencontrer) ces musiciens pour lesquels nous nous accrochions à nos cadrans (ainsi le chantait si bien Herby «129 on radio dial... »). D'autres, tels Lee Konitz, Jim Hall, Ron Carter, Jack de Johnette, Sarah Vaughn, Eumir Deodato, Herby Mann, s'ajoutèrent à la liste des illustres visiteurs. On rencontrait parfois ce dernier déambulant tout seul au Boulevard Jean Jacques Dessalines. Herby n'était pas à son coup d'essai. Déjà en 1962, il encourageait David Young (un ami commun qui est parti) à faire venir en Haïti le grand Jazz saxophoniste américain Zoot Sims (de son vrai nom John Haley Sims). (Arrivés ici en Haïti, la première personne qu'ils se sont fait le devoir de visiter fut Mme Georgette à son Flamingo Bar -et lupanar- à Martissant). « Excellence », est le mot que je préfère utiliser pour qualifier la carrière de Herby Widmaïer. Car toutes ses entreprises sont imprégnées de ce désir contagieux de surpasser le standard ordinaire. Il est indéniable que nous, qui grandissions en Haïti à cette époque, avions pleinement bénéficié de cette ambition de bien faire. De faire mieux. Quant à moi, je me suis servi de ce modèle pour me guider dans mes nombreuses productions à Carnegie Hall et au Lincoln Center. En plus, j'ai été vraiment honoré d'avoir pu inclure la voix d'Herby (Haïti de Marcel Sylvain son dernier enregistrement en date), dans mon CD « 1804-2004 Happy Birthday Haiti ». Aujourd'hui, la station qu'il a créée reste encore une institution de référence qui priorise la qualité. Pas de nivellement par le bas. Pas d'«informations sous toutes réserves ». Il avait bien inculqué à ses fils Richard et Joël les principes primordiaux du medium. Les normes inéluctables de la déontologie de la profession. Actualisation de soi ? Herby a utilisé son potentiel pour servir. Nous sommes tous partie à un contrat social tacite qui stipule que nous devons laisser l'espace où nous évoluons mieux que nous l'avons trouvé. Herby Widmaïer peut être fier d'avoir honoré ses obligations contractuelles. Merci Herby! ~ Jean Jean-Pierre - See more at: http://lenouvelliste.com/lenouvelliste/article/119041/Merci-Herby.html#sthash.LV1zH2ZM.dpuf --------------------------------------- "Issa El Saieh - Choucoune" Lead Vocalist HERBY WIDMAIER https://youtu.be/kgqq0Upqkx8 Herbert Widmaier Rest in Peace and 💖 You are all in our thoughts and prayers Richard Widmaier, Mushy Widmaier Gousse, Joel Widmaier, and the entire family. Thank you Herby, for the endless beautiful #memories, the deeply captivating #conversations about music, the laughter, #childhood joys, for being such a dear friend to my dad and to me.. and all the letters shared, I have privately kept everyone! Rest in Peace Binou 😢 Sandie, @iamgabrisan HAITI☆LEGENDS #HerbyWidmaier #LEGENDSNeverdie #haitilegends #Radiométropole #Haiti #MerciHerby #JeanJeanPierre #iamgabrisan #TheoneandOnly
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haitilegends · 7 years
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HERBY WIDMAIER: THE LEGEND LIVES ON... It is with a broken heart that I share the devastating news of Herby Widmaier's passing early this morning. Herby was the quintessential icon in music and radio. A pioneer. He was our Haitian Sinatra. He was passionate about film and photography. Our condolences to Herby Widmaier's family and everyone who knew and loved him. My dad and Herby were best friends and he was like an uncle to me. He will always be the "One and Only." LEGENDS never die: they remain in our hearts forever and in our collective minds. For Herby, it is much more: His qualitative contributions in the field of Radio are irreversible. We owe him a great debt of gratitude for allowing radio DJs to interact with listeners: the commercialisation of FM radio in Haiti: the hourly newscasts etc... love Sandie, (his nickname for me) Sandra Gabriel Lmt/#iamgabrisan HAITI☆LEGENDS ----------------------------------------- Jeudi, 27 avril 2017 09:14 AUTEUR - EJ/RADIO MÉTROPOLE, HAÏTI Herby Widmaïer, icône de la radiodiffusion en Haïti, s'est éteint Le père fondateur de Radio Métropole Herby Widmaier est décédé tôt ce jeudi matin en sa résidence privée, à l'âge de 84 ans. Monsieur Widmaier était souffrant depuis plusieurs mois. Passionné de l'électronique, Herby Widmaïer, était devenu très jeune un radio amateur. Doté d'un talent inné et utilisant ses recherches personnelles, Herby à 14 ans construisit son premier émetteur radio. Il bénéficia de l'aide de son père, Ricardo, qui fonda radio Haïti. Cette station fonctionnera d'abord sur le HH3W et ensuite sur le 4VW. C'est la passion pour la radio diffusion qui sera le fil conducteur de la carrière d'Herby qui est également metteur en ondes et ingénieur de son. L'expérience à radio Haïti durera quelques années et Herby sera contraint de se lancer dans d'autres activités. Ces activités notamment l'enregistrement de groupes musicaux constituent également une page importante de l'histoire de la musique haïtienne. Widmaïer enregistrera les groupes les plus importants de l'époque. Les premiers enregistrements de Compa Direct ont été réalisés sur 78 tours. Il accueillait pratiquement tous les groupes de compas de l'époque. Musicien hors pair, compositeur et arrangeur, Herby était dans son assiette avec des grands noms de la musique haïtienne tels, Guy Durozier et Gérard Dupervil pour ne citer que ceux là. Il reviendra ensuite à la Radiodiffusion en fondant Radio Métropole en 1970, tout en poursuivant inlassablement son action dans la musique et la publicité. Rappelons que le cinéaste haïtien Arnold Antonin a réalisé un film documentaire intitulé « Herby, le Jazz et la musique haïtienne. Sorti en 2012, ce documentaire qui contient des images originales et inédites retrace une bonne partie de la vie de cet icône de la radiodiffusion en Haïti. ~ EJ/Radio Métropole Haïti/ Radio metropole,haiti Radio Metropole Haiti ! | Herby Widmaïer, icône de la radiodiffusion en Haïti, s'est éteint - Nouvelles d'Haiti, Haiti actualités, Haiti News, politique, économie, sports, culture http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=30100 --------------------------------------------- Le Nouvelliste - MERCI HERBY AUTEUR Jean Jean-Pierre Si l'actualisation de soi (Self-Actualization), d'après le psychologue américain Abraham Maslow, c'est aspirer à devenir la meilleure version de soi-même, à manifester ses talents dans la vraie vie, il est évident qu'Herby Widmaïer a accédé au degré où il peut s'enorgueillir d'avoir atteint son actualisation tout en menant une existence utilitaire. Utile à son environnement immédiat. Utile à la société. Utile à son pays. A 17 ans, Herby conçut et exécuta le son et le bruitage pour le film « Moi Je suis belle » (circa 1950), réalisé par son père, l'un des pionniers de la radio et du cinéma en Haïti, Ricardo Widmaier et Edouard Guilbaud. Le scénario du film était de Jean Dominique -il en avait été aussi le narrateur-. Plus tard, quand Herby rejoint les rangs de l'orchestre d'Issa El Saieh, nous avions pu découvrir un jeune et talentueux chanteur qui n'avait rien à envier aux Mel Torme, Frank Sinatra ou Tony Bennett. Exagérations, direz-vous. Ecoutez « Women in love » et « Choucoune », ou plus récemment « Fanm Peyi m ». La vedette des stations Suivant le même itinéraire emprunté (tracé conviendrait mieux) par son père, Herby introduira une myriade d'innovations dans la radio en Haïti. Citons-en quelques-unes "Jingles" d'identification : « Radio Haïti, la station des vedettes, La vedette des stations ». Certes, nous avions les Théophile Salnave (dit Zo), Jean Sorel, Gwo Djo, Jazz des Jeunes (cigarette Banda), Nemours Jean-Baptiste (Step Over, Energetic, Barbancourt) et Raoul Guillaume (Esso) qui faisaient de la pub enregistrée, mais c'était la première fois qu'on produisait en Haïti des spots promo d'identification avec de la musique originale. Quand il fonda Radio Métropole le 7 mars 1970, c'était l'échappée permanente d'un déversoir de créativité. « Nous aimons le compas, le jazz et la bossa... » (avec son ami Michel Desgrottes, assisté de l'orchestre Septentrional), « 129 sur votre cadran », « Bon week-end » et tant d'autres encore sont au départ de toute une tradition. Bande FM : si l'Américain Edwin Howard Armstrong est le père de la bande FM (fréquence modulée), pour l'avoir inventée en 1933, Herby Widmaïer est le fier papa de sa diffusion en Haïti. Radio Métropole a été la première station commerciale émettant sur bande FM. Emission interactive : la première émission en Haïti conçue avec la participation directe des auditeurs à travers des lignes téléphoniques (en ce temps-là, il n'y en avait pas beaucoup en Haïti) fut produite par Herby Widmaïer. M. et Mme X fut présentée par feu René Toussaint et Iveline Sokol, devenue plus tard son épouse. Donc, Herby a été le premier à mettre en ondes les auditeurs et les reporters. (Sois rassuré, Herby, que l'histoire ne te tiendra pas rigueur de l'utilisation abusive que nous faisons de ce système de communication au travers duquel nous débitons nos conneries et nos délations à longueur de journée.) Reportage mobile : Herby inaugura le reportage mobile en Haïti avec ce programme matinal « Quand Port-au- Prince bouge » mettant en vedette l'original Bob Lemoine, un modèle dans la radio en Haïti. Ce programme avait aussi permis au public de découvrir les talents de ce technicien hors pair qu'est M. Roland Dupoux, membre fondateur de la station. Nouvelles à chaque heure : je me souviens de cet excellent musicien Michel Déjean, ancien directeur du Choeur Déjean, qui était le propriétaire/opérateur de ce bar à la rue Bonne Foi et qui cavalait chaque 15 minutes avant l'heure à Radio Métropole, rue Pavée, à l'étage de la bonbonnière Madame et Mademoiselle, pour présenter les nouvelles internationales « toutes les heures, 5 minutes avant l'heure ». Ingénieur du son (studio d'enregistrement): entre 1955 et 1972, Herby a enregistré plus de 80% des albums réalisés par tous les orchestres haïtiens. Quant à ses prouesses de technicien de radio, d'amplificateurs, etc., n'en parlons pas. « Music from 10 to 11 », une école sur les ondes. Si la Dessalinienne était notre hymne national du matin, pour nous autres, jeunes musiciens de l'époque, le thème de l'émission de jazz « Music from 10 to 11 » -sur fond de rythme bossanova-, présentée tous les soirs par Herby lui-même, était devenu notre hymne du soir. A travers ce programme, cela dès la genèse de Radio Métropole, Herby élargissait nos horizons musicaux. Nous fûmes exposés aux Stan Getz, Dizzy Gillespie, George Benson, Ella Fitzgerald, Charles Mingus, Cannonball Adderly, John Coltrane, Charlie Parker, etc. Nous devînmes familiers des big bands de Duke Ellington, Woody Herman, Artie Shaw et de Count Basie. Trois ans plus tard, avec son ami Gérald Merceron (un autre contributeur de la musique en Haïti), il nous a permis de voir évoluer sur scène (et de rencontrer) ces musiciens pour lesquels nous nous accrochions à nos cadrans (ainsi le chantait si bien Herby «129 on radio dial... »). D'autres, tels Lee Konitz, Jim Hall, Ron Carter, Jack de Johnette, Sarah Vaughn, Eumir Deodato, Herby Mann, s'ajoutèrent à la liste des illustres visiteurs. On rencontrait parfois ce dernier déambulant tout seul au Boulevard Jean Jacques Dessalines. Herby n'était pas à son coup d'essai. Déjà en 1962, il encourageait David Young (un ami commun qui est parti) à faire venir en Haïti le grand Jazz saxophoniste américain Zoot Sims (de son vrai nom John Haley Sims). (Arrivés ici en Haïti, la première personne qu'ils se sont fait le devoir de visiter fut Mme Georgette à son Flamingo Bar -et lupanar- à Martissant). « Excellence », est le mot que je préfère utiliser pour qualifier la carrière de Herby Widmaïer. Car toutes ses entreprises sont imprégnées de ce désir contagieux de surpasser le standard ordinaire. Il est indéniable que nous, qui grandissions en Haïti à cette époque, avions pleinement bénéficié de cette ambition de bien faire. De faire mieux. Quant à moi, je me suis servi de ce modèle pour me guider dans mes nombreuses productions à Carnegie Hall et au Lincoln Center. En plus, j'ai été vraiment honoré d'avoir pu inclure la voix d'Herby (Haïti de Marcel Sylvain son dernier enregistrement en date), dans mon CD « 1804-2004 Happy Birthday Haiti ». Aujourd'hui, la station qu'il a créée reste encore une institution de référence qui priorise la qualité. Pas de nivellement par le bas. Pas d'«informations sous toutes réserves ». Il avait bien inculqué à ses fils Richard et Joël les principes primordiaux du medium. Les normes inéluctables de la déontologie de la profession. Actualisation de soi ? Herby a utilisé son potentiel pour servir. Nous sommes tous partie à un contrat social tacite qui stipule que nous devons laisser l'espace où nous évoluons mieux que nous l'avons trouvé. Herby Widmaïer peut être fier d'avoir honoré ses obligations contractuelles. Merci Herby! ~ Jean Jean-Pierre - See more at: http://lenouvelliste.com/lenouvelliste/article/119041/Merci-Herby.html#sthash.LV1zH2ZM.dpuf --------------------------------------- "Issa El Saieh - Choucoune" Lead Vocalist HERBY WIDMAIER https://youtu.be/kgqq0Upqkx8 Herbert Widmaier Rest in Peace and 💖 You are all in our thoughts and prayers Richard Widmaier, Mushy Widmaier Gousse, Joel Widmaier, and the entire family. HAITI☆LEGENDS #HerbyWidmaier #LEGENDSNeverdie #haitilegends #Radiométropole #Haiti #MerciHerby #JeanJeanPierre #iamgabrisan
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