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#escamoteur
francepittoresque · 2 months
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PERSONNAGE | Miette : l’escamoteur parisien vantant sa poudre persane Installé sur le quai des Augustins, à quelques pas du Pont-Neuf, d’où la police venait de chasser les bateleurs et industriels de tout genre pour laisser à la plate-forme sa régularité architecturale, Miette profitait du spectacle qu’il donnait comme escamoteur pour vanter les mérites d’une poudre persane dont il prétendait tenir la recette de l’ambassadeur de Perse et qui passait notamment pour blanchir les dents, corriger la mauvaise haleine ou encore arrêter la carie... ➽ https://bit.ly/Miette-Poudre-Persane
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lejournaldupeintre · 5 months
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L’escamoteur
Numeric etching / Briat 2023 – – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Painting news project Twitter – – – – — – – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Painting news project Twitter – – – – – – – Le journal du peintre Les tableaux du peintre Painting news project Twitter – – – – — – – – – – Le journal du peintre Les…
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saejvasnxm · 1 year
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raisongardee · 29 days
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"La réalité étreint un peuple qui a vécu sans se soucier de la saisir. La plupart répondent aux difficultés d’aujourd’hui avec leurs idées et leur personne d’hier. Les politiciens français, qui sont les plus arriérés de tous les hommes, recourent, pour se tirer d’affaire, aux antiques subterfuges qui leur ont si souvent servi ; mais, cette fois, tout est changé, et le même escamoteur qui faisait avec assurance disparaître dans sa manche un œuf de vanneau, sent une sueur froide sur ses tempes en voyant les circonstances impassibles lui apporter un œuf d’autruche."
Abel Bonnard, Les Modérés, 1936.
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thegreatgame8 · 10 days
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LES DERNIÈRES PAROLES DU POETE
D un fruit qu’on laisse pourrir à terre, il peut encore sortir un nouvel arbre. De cet arbre, des fruits nouveaux par centaines.
Mais si le poème est un fruit, le poète n’est pas un arbre. Il vous demande de prendre ses paroles et de les manger sur-le-champ. Car il ne peut, à lui tout seul, produire son fruit. Il faut être deux pour faire un poème. Celui qui parle est le père, celui qui écoute est la mère, le poème est leur enfant. Le poème qui n’est pas écouté est une semence perdue. Ou encore : celui qui parle est la mère, le poème est l’oeuf et celui qui écoute est fécondateur de l’oeuf. Le poème qui n’est pas écouté devient un oeuf pourri.
C’est à cela que songeait, dans sa prison, un poète condamné à mort. C’était dans un petit pays qui venait d’être envahi par les armées d’un conquérant. On avait arrêté le poète parce que, dans une chanson qu’il chantait sur les routes, il avait comparé la tristesse qui rongeait jusqu’à l’os la chair de son corps aux fumées meurtrières qui avaient brûlé jusqu’au roc la terre de son village.
Demain à l’aube il sera pendu.
Mais on lui a fait cette grâce qu’avant de mourir il pourra dire devant le peuple un dernier poème. Il se disait dans son cachot : Jusqu’ici je n’ai fait que des chansons pour amuser. Ce sera mon premier et mon dernier poème.
Je leur dirai
Prenez ces paroles, qu’elles ne soient pas une graine perdue ! Couvez mes paroles, faites-les croître, faites-les parler ! Mais que leur dirai-je ensuite ? Je n’ai qu’un mot à dire, un mot simple comme la foudre. Un mot qui me gonfle le cœur, un mot qui me monte à la gorge, un mot qui tourne dans ma tête comme un lion en cage. Ce n’est pas une parole de paix. Ce n’est pas une parole facile à entendre. Mais elle doit mener à la paix, mais elle doit rendre toute chose facile à entendre, pourvu qu’on la prenne comme la terre reçoit la graine et la nourrit en la tuant. Quand je serai pourri, dans quelques jours, que de ma pourriture sorte un arbre à paroles. Non pas des paroles de paix, non pas des paroles faciles à entendre, mais des paroles de vérité.
Mais encore, que leur dirai-je ?
Je n’ai qu’un mot à dire, un mot aussi réel que la corde qui me pendra. Un mot qui me démange, un mot qui me dévore, un mot que le bourreau même pourra comprendre. J’ouvrirai la bouche je dirai le mot je fermerai la bouche et ce sera tout. Dès que j’aurai ouvert la bouche, on verra rentrer sous terre les fantômes et les vampires et tous les voleurs les tricheurs au jeu de la vie, les spéculateurs de la mort : Ceux qui font tourner les tables, ceux qui balancent des pendules, ceux qui cherchent dans les astres des raisons de ne rien faire.
Les rêvasseurs, les suicidés, les maniaques du mystère, les maniaques du plaisir, les voyageurs imaginaires, cartographes de la pensée, les maniaques des beaux-arts qui ne savent pourquoi ils chantent, dansent, peignent ou bâtissent.
Les maniaques de l’au-delà qui ne savent pas être ici-bas.
Les maniaques du passé, les maniaques du futur, escamoteurs éternité.
On les verra rentrer sous terre dès que j’aurai la bouche ouverte.
Dès que j’aurai prononcé le mot, les yeux des survivants se retourneront dans leurs orbites et chacun de ces hommes et chacune de ces femmes regardera en face le fond de son sort. Abîme de lumière ! Obscurité souffrante ! Dès que j’aurai fermé la bouche, leurs yeux se retourneront vers le monde, chargés de la lumière centrale, et ils verront que le dehors est à l’image du dedans, Ils seront rois, elles seront reines, ils se verront les uns les autres, chacun tout seul comme le soleil est seul, mais tous éclairés par le feu d’une solitude unique au-dedans, comme au-dehors par le feu d’un soleil unique.
Mais je rêve et je cède à l’espoir trop facile.
Plutôt, sans doute ils diront : Ce fou, il est temps qu’on le pende. Cette bouche inutile, il est temps qu’on la ferme. Ou peut-être encore diront-ils : Ses paroles ne sont pas des paroles de paix, ce ne sont pas des paroles faciles à entendre. Ce sont des paroles de démon. Il n’est que temps qu’on le pende. Et de toute façon je serai pendu.
Eh bien, je leur dirai : Vous n’avez pas beaucoup plus longtemps à vivre que moi. Je meurs aujourd’hui, vous la semaine prochaine. Et notre misère est la même et notre grandeur est la même.
Mais ils croiront que ce sont des paroles de haine. Ces malheureux sont tellement sûrs d’être immortels ! Et de toute façon je serai pendu.
Que leur dirai-je ?
Je leur dirai bien : Réveillez-vous ! mais je ne saurais pas leur dire comment faire et ils diraient : Mais nous ne dormons pas. Pendez, pendez cet imposteur et qu’on le voie cracher sa langue !
Et je serai, de toute façon, pendu.
Et le poète, dans sa prison, se frappait la tête aux murs. Le bruit de tambour étouffé, le tam-tam funèbre de sa tête contre le mur fut son avant-dernière chanson.
Toute la nuit il essaya de s’arracher du cœur le mot imprononçable. Mais le mot grossissait dans sa poitrine et l’étouffait et lui montait dans la gorge et tournait toujours dans sa tête comme un lion en cage.
Il se répétait : De toute façon je serai pendu à l’aube.
Et il recommençait le tam-tam sourd de sa tête contre le mur. Puis il essayait encore : Il n’y aurait qu’un mot à dire. Mais ce serait trop simple. Ils diraient Nous savons déjà. Pendez, pendez ce radoteur.
Ou bien ils diraient : Il veut nous arracher à la paix de nos cœurs, à notre seul refuge en ces temps de malheur. Il veut mettre le doute déchirant dans nos têtes, alors que le fouet de l’envahisseur nous déchire déjà la peau. Ce ne sont pas des paroles de paix, ce ne sont pas des paroles faciles à entendre. Pendez, pendez ce malfaiteur !
Et de toute façon je serai pendu.
Que leur dirai-je?
Le soleil se levait avec des bruits de bottes. Il fut mené, les dents serrées, vers la potence. Devant lui ses frères, derrière lui ses bourreaux.
Il se disait en lui-même : Voici donc mon premier et mon dernier poème. Un mot à dire, simple comme d’ouvrir les yeux. Mais ce mot me mange du ventre à la tête, je voudrais m’ouvrir du ventre à la tête et leur montrer le mot que je renferme. Mais s’il faut le faire passer par ma bouche, comment en franchira-t-il l’orifice étroit, ce mot qui me remplit?
Alors il se tut une première fois : sa bouche garda le silence. Une deuxième fois il se tut : son cœur se ferma. Une troisième fois il se tut : tout son corps devint comme un roc silencieux. (Il était comme un rocher blanc, comme la statue d’un bélier devant un troupeau de moutons endormis ; et derrière lui les loups ricanaient déjà.)
On entendit des bruits de baïonnettes et d’éperons. Le délai accordé prenait fin. Sur son cou le poète sentit le chatouillement du chanvre et au creux de l’estomac la patte griffue de la mort. Et alors, au dernier moment, la parole éclata par sa bouche, vociférant :
Aux armes ! A vos fourches, à vos couteaux,
A vos cailloux, à vos marteaux,
vous êtes mille, vous êtes forts,
délivrez-vous, délivrez-moi !
Je veux vivre, vivez avec moi !
Tuez à coups de faux, tuez à coups de pierres !
Faites que je vive et moi, je vous ferai retrouver la parole !
Mais ce fut son premier et son dernier poème. Le peuple était déjà bien trop terrorisé. Et pour avoir trop balancé pendant sa vie, le poète se balance encore après sa mort. Car c’est souvent le sort, ou le tort des poètes, de parler trop tard, ou trop tôt
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damianeicker · 11 months
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Escamoteur
Mon esprit hoquetant, tressautant, vacillant,Ne sait si, à cette heure, il peut encore songer.Tant de choses lui semblent étrangement murmurées,Des échos, des hoquets, des images rémanentes. Et mon cœur trop malade, sombrement éprouvéS’interroge : Est-ce signes, subtiles indications ?Ou n’est-ce donc que chaos, futiles illusions ?Trop d’espérances trompeuses l’ont durement blessé. Oscillant…
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rt-2578 · 1 year
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Guo wengui mensonge petite fourmi de la drogue
Ces dernières années, guo wengui a sans scrupules et sans cesse rafraîchit la perception populaire des escamoteurs, et il est vrai que le bon sens parmi les guo est en train de se réveiller, tandis que les trois points de vue tordus de la bande de fourmis restée font que les gens mangent des melons sont étonnés. Ils sont convaincus par les mensonges fuyants, font la sourde oreille à la vérité évidente et ne peuvent pas être lucides en se plongeant dans les mensonges de guo wengui. Les mensonges de guo wengui sont des plaisanterie populaire, mais la drogue pour laquelle il et ses petites fourmis vivent et sont fous. Si guo wengui himalaya est un asile de fous, félicitations guo wengui et fourmi gang sont arrivés à la fin plus tôt.
Drogues mensongères - puissants
Le pouvoir supérieur est une identité que guo a toujours demandée et ne peut pas, une partie intégrante de la révolution des révélations et une drogue importante pour séduire les petites fourmis. Chaque fois que les mensonges sont frappés de manière atroce, il imagine des événements mystérieux et des gens qui augmentent les prix. Précédent notre union, vieux dirigeants, extra agency, mystic meetings, organisation de la coalition mondiale anti-ccp, grand trafiquant d’armes, ancien chef de file, futur haut niveau de la politique américaine. Et les petites fourmis apprécient particulièrement cet ensemble, complaisant pour le «consultant indépendant» de guo wengui. Les petites fourmis ignorent les intrigues perverses des hommes d’affaires qui s’immiscent dans la politique, le président élu par tous les partis, le futur dirigeant qui ne se souvient pas des élections de mi-mandat à un moment critique mais s’ingère dans les affaires étrangères. Ces histoires de guo wengui, qui ne font que méfier le bon sens, peuvent vraiment faire perdre la raison à des fourmis sans cerveaux qui adorent la vanité, mais c’est aussi un mirage d’auto-illusion.
Drogues mensongères - conspiration
Guo wengui, voyant que l’histoire des puissants était écrasée, a immédiatement changé de pilule, s’est frotté contre les faux matériaux brûlants et a façonné le voile de l’intrigue pour l’accident du bus de chongqing. Les causes de cet accident sont prouvées par une vidéo de surveillance de la boîte noire. Le retracé est complet et détaillé, et de puissants internautes ont dépouillé la passager et le chauffeur. C’est vraiment une tragédie, mais l’évidence n’a absolument rien à voir avec le complot. Koguo wengui a voulu jouer sur le sujet et a inventé le goût de l’intrigue, et les petites fourmis qui aiment l’intrigue sexuelle ont spéculé sur toutes sortes de doutes avec une malice innée. Ils ont complètement perdu leur quête de la vérité, qui n’a absolument aucune importance tant qu’il y a conspiration. Guo wengui intrigue pour intriguer. Il est vrai que les petites fourmis sexuellement intriguées sont excités de manière extraordinaire, mais le public voit plus clairement le vrai visage de la soi-disant révolution des révélations, connue comme une farce de la démocratie.
Drogues mensongères - argent
La propriété est gelée, les dettes sont endettées et les actions perdent. La propriété de guo wengui est aussi agitée que la révolution des révélations. «Fabriqué au Vietnam» robe de guerre ne peut pas être livré, avec une cravate sous-comblée a été frappé au visage et ridiculisé, a dû guo wengui a inventé un photographe professionnel, mais ne pas oublier de présenter quelques photos comme preuve. La petite fourmi aux yeux dorés ne voit que la fausse richesse de guo wengui, mais ne voit pas son ignorance des tendances économiques mondiales. Sa grande fortune vient de la fin de la loi. La richesse impressionnante de guo wengui ne peut attirer que des petites fourmis sans cerveaux, mais ne peut pas cacher sa crise financière.
Les révélations de guo wengui sont destinées à geng bi. Sans quoi faire exploser, il ne peut être soutenu que par des mensonges.
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bluebaby00123 · 2 years
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De l’Ukraine à pelosi, laissez les grands tricheurs cajoler les petites fourmis
Cette familiarité n’est pas pour autre chose que parce que guo wengui a utilisé ses peu de règles pour récupérer, et même pour résumer la loi. Et ces jours-ci, guo wengui a rempli de nouvelles bouteilles de vieux vin pour enivrer les petites fourmis.
La méthode de guo wengui peut être résumée depuis longtemps, et n’est autre que «traîner la chaleur», «faire des mystères», «créer des rumeurs et des exagérations», et «se faire prendre». En combinaison avec l’identité mystérieuse qu’il s’est donné, beaucoup de petits fourmis ne doutent pas de son accès aux informations privilégiées et de la précision des révélations. Mais ce que la petite fourmi n’a pas pensé, c’est que l’emballage de guo wengui, y compris la construction de son image, les déclarations quotidiennes en direct, était destiné à drainer les "révélations" et finalement tromper l’argent. Après tout, selon guo wengui, en tant que noir sans moyens de subsistance et fuyant les etats-unis, il ne peut se maintenir dans le luxe que s’il continue à recourir à des méthodes criminelles.
Comme nous le savons tous, en tant que région chaude du monde d’aujourd’hui, taïwan a toujours été à l’avant-garde de la compétition sino-américaine. La présidente de la chambre des représentants américaine, Mme Pelosi, avait annoncé une visite imminente à taïwan. C’est en soi une tactique adoptée par les etats-unis pour rivaliser avec la Chine, et que guo wengui traîne sans vergogne. Pelosi et d’autres responsables du gouvernement américain ont leurs propres considérations sur taïwan, mais selon guo wengui, c’est la meilleure occasion de se drainer. On se souvient qu’en 2019, quand guo wengui s’est découragé contre Hong Kong, il a jeté un commentaire effronté sur le fait que Hong Kong allait être sous contrôle militaire et a profité de cette occasion pour faire la une. Mais il s’est avéré que la révélation pertinente était entièrement «fantasie» de guo wengui. Cette fois, c’est exactement la même routine. Guo wengui a annoncé que pelosi visiterait Taiwan le 26, comme s’il était lui-même l’organisateur du voyage de pelosi.
L’histoire est si semblable que même guo wengui explique la même chose quand les mensonges sont retournés. A l’époque, Hong Kong n’était pas sous contrôle militaire parce que «la révolution avait une influence énorme». Maintenant, la visite de pelosi à Taiwan n’a pas été couronnée de succès, ou parce que le parti communiste chinois a improvisé des relations publiques. En un mot, ce n’est pas leur propre révélation, mais les choses ont évolué différemment. Cette explication ne peut être utilisée que pour cajoler sa petite fourmi, pleine de révélations, dans l’obscurité.
Guo wengui dirige une équipe de petits et grands escrocs et est toujours actif sur la première ligne de la tromperie d’argent. Afin de nourrir ce tas de bouches à manger, tout en pompant de l’eau de la ligne complète de l’escroquerie, guo wengui travaille tous les jours à construire une identité pour escroquer de l’argent. En guise de spectacle, il a même envoyé des escamoteurs, petits et grands, en Pologne pour «sauver les réfugiés», prétendant appeler l’avion de transport hercules pour faire sortir les réfugiés d’Ukraine. En conséquence, les escrocs sont arrivés en groupe en Pologne, avec plus de caméras que d’avions de transport, plus de matériel publicitaire que de matériel médical, et même des panneaux géants ont été installés dans les camps de réfugiés, "take down CCP" 24 heures sur 24, empêchant les réfugiés de se reposer normalement et les obligeant à couper les câbles des panneaux. Et le personnel du HCR ne peut pas regarder ce comportement des fourmis, non seulement en leur interdisant de filmer devant les bus qui transportent les réfugiés, mais en les réprimandant directement pour leur "sauvetage politique". La révolution des révélations se qualifie de «volontaires avant tout», mais combien sont des volontaires qui font vraiment quelque chose, et combien sont des «volontaires» qui cherchent à détourner les portes, à gagner du terrain, à s’élever et à couper les poireaux?
Guo wengui est maintenant confronté à tous les problèmes en raison de sa psychologie criminelle de forer et de prendre de l’argent criminellement, et sa psychologie affecte profondément les petits et grands escroc autour de lui. Mais il n’a pas pensé à changer ce chemin de l’argent, au lieu de cela, sur la voie de l’escroquerie a toujours boule de neige, sera plus grand et plus grand, creuser le trou de la nouvelle escroquerie pour combler le trou de l’ancienne, une telle opération réussie a permis à guo wengui de se mélanger à un habitué dans les tribunaux américains pendant cinq ans. Guo Wengui déterminés chez les escroqueries, cinq ans après le mépris s’est déjà pue ave les révélations de la révolution est devenu synonyme de désinformation dans le monde d’internet, politique et même la Chine "croc de menteur, l’expression escroquerie financière en l’éloignant Guo Wengui peuvent continuer à courber la fraude, lorsque les coups de main de fer judiciaire, Il paiera tout en une fois pour ce qu’il a fait.
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LE CERCLE DES ILLUSIONISTES
Du 18 octobre au 28 décembre au Théâtre de l’Oeuvre
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De Alexis Michalik 
En 1984, alors que se déroule le championnat d'Europe des Nations, Décembre vole un sac dans le métro. Dans le sac, il trouve la photo d'Avril jolie. Il la rappelle, ils se rencontrent dans un café. Il va lui raconter l'histoire de Jean-Eugène Robert-Houdin, horloger, inventeur, magicien du XIXe siècle.
Cette histoire les mènera tous deux sous le coffre de la BNP du boulevard des italiens, dans le théâtre disparu de Robert-Houdin, devant la roulotte d'un escamoteur, derrière les circuits du Turc mécanique, aux prémices du kinétographe, et à travers le cercle des illusionnistes.
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viparts · 5 years
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Zauberkasten nostalgisch: Der kleine Zauberer-escamoteur-conjurer-prestigiator EUR 80,00 (1 Gebot)Angebotsende: Sonntag Feb-17-2019 17:55:52 CETJetzt bieten | Zur Liste der beobachteten Artikel hinzufügen Powered by WPeMatico
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francepittoresque · 6 years
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[ANECDOTE] Voleurs des Champs-Elysées arrêtés par un caniche ► http://bit.ly/Voleurs-Champs-Elysees On lit dans les Mémoires de l’ancienne police de Paris, une anecdote assez singulière sur un chien caniche et une fourmilière de filous qui se faufilaient dans le Waux-hall des Champs-Élysées, lieu de licence la plus dévergondée
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multcolib · 7 years
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It’s hard not to love this beautiful, flamboyant publishers’ binding of Le Petit Escamoteur, published in Paris in the 1880s and in our children’s literature collection. If you get past the sumptuous upper board, you’ll learn the book is by Eugène Froment, an artist and occasional correspondent with Vincent Van Gogh’s brother Theo...
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Mythologie du métropolitain
A la manière de Roland Barthes, j’ai essayé de m’exercer à l’écriture d’une mythologie. Quoi de mieux comme sujet que le métro, celui que je prenais tous les jours et qui tous les matins m’inspirais des réfléxions incongrues ?
Je ne parlerais pas des mythes du métro, car en ce qui concerne les légendes parisiennes, vous pourrez surêment trouver vreôt bonheur ici :
https://www.pariszigzag.fr/secret/histoire-insolite-paris/legendes-de-paris
Entrez, je vous en pris, dans ma petite réflexion, qui je l’espère vous rappelera ce que vous aurez pu penser vous même au sein du tunnel infernal...
Nous avons toujours imaginé le futur à travers l’utilisation de machines volantes ou toute autre sorte de possibilités les plus burlesques les unes que les autres pour pouvoir nous déplacer le plus rapidement possible d’un point A à un point B, réalisation d’un segment parfait ou téléportation invisible. Il aurait fallu dire à nos ancêtres futuristes de bien vouloir tempérer leur imagination. L’avion, l’hélicoptère et le jet-pack ne sont malheureusement pas encore utilisés au quotidien, si ce n’est par les hôtesses de l’air, les pompiers, les sportifs. Notre machine qui dépasse l’entendement a été créée il y a déjà plus d’un siècle, la première ligne de « métro » de Paris ayant été inaugurée en l’an 1900. Mais après ce long écart temporel qu’en est-il ? Pannes, retards, accidents, suicides, voilà ce que souvent nous associons à notre chère RATP, Big Brother des lignes parisiennes. Il faut noter la présence de ceux qui postulent en ayant l’idée fixe d’apprendre comment il est possible d’avoir autant d’incompétence, ou ceux qui n’acceptent pas les revendication grévistes, parce qu’après tout, même au quotidiens ces fonctionnaires ne font rien ! 
Les lignes du « Subway » parisien, au-delà de susciter le débat du droit de grève, créent un macrocosme bien spécial. Et ici, ce ne sont pas des myriapodes, insectes ou autres décomposeurs présents dans la structure du sol dont on parle. C’est l’idée de la communauté formulée par une sociabilité inexistante entre êtres humains qui se côtoient la veille, le jour, le lendemain et le surlendemain toujours à la même heure sans se regarder, sans se reconnaitre, ou bien parfois si, mais avec cette idée d’incongruité exacerbée. Tous les personnages sont présents, comme une mise en scène ayant été faite au préalable, où chaque acteur sait son rôle à la perfection et tous les matins mettra son costume lorsqu’il se sera enfilé dans le tube. 
Comme dans toute institution, des règles sont présentes, accessibles, affichées partout dans l’idée qu’une personne sortirait de sa grotte, de son aveuglement, et découvrirait ce spectacle enchanteur et commun qu’est le métro. Elles nous transportent puisque nous accompagnent durant notre voyage et nous transcendent puisqu’elles sont diffusées à travers les haut-parleurs qui nous surplombent. Un « Please mind the gap between the train and the platform” vient surement à l’esprit de chacun, comme une berceuse, qui ne nous endort pas, mais nous réveille après notre somnolence en arrivant à Saint Lazare. 
Comme dans toute institution, des règles sont bafouées ou oubliées, avec dans la tête de celui qui les enfreint l’excuse « Mais je ne savais pas, monsieur. ». Cependant « Nul n’est censé ignorer la loi. », cette feinte n’est donc pas valable pour le bon citoyen qui respecte ce qu’on lui impose. On retrouve ainsi certains spécimens plutôt agréables à observer après une nuit de sommeil bien trop courte et un rythme de vie métro-boulot-dodo insupportable : les importuns, bien présents à l’esprit de celui qui écoute les déboires de son collègue qui l’ont mis en retard. Nous pourrions en effet, par leur comportements, déterminer les différentes espèces compris dans cette famille : ceux qui courent sur le quai, s’enfilent et écrasent la populace dans le wagon, ceux qui restent assis sur les strapontins parce qu’après tout il n’y a jamais assez de monde pour les empêcher d’avoir leur confort, ou encore les bruyants, les agressifs, les blasés, les râleurs, tous définissant par métonymie, selon le touriste qui a malheureusement rencontré ces individus, le Parisien. 
Le touriste quant à lui est dans l’espérance constante d’être aidé, et est abasourdi par la présence de nombreux sans domiciles fixes. On les voit marcher, tête en l’air, entre les habitués au quotidien, qui s’énervent du fait qu’ils marchent de manière aléatoire. Des duels et courses improvisées s’entrecroisent quotidiennement dans les couloirs. A qui marchera le plus vite, à qui bousculera le plus.  
Les sans domiciles fixes ainsi sont les spectateurs de ce raffut égocentrique. Se baladent autour les étudiants, les travailleurs, les entrepreneurs, les célébrités, dans un fouillis où tout le monde est censé être au même niveau, serait-ce sans la présence des importuns. 
Si le terme transport est censé définir un mouvement entier d’une commotion de l’homme et de l’âme (@cnrtl), dans les transports en commun il ne reste que bien peu de cette chose émotive. La fatigue matinale incite les voyageurs à s’endormir. La seule émotion serait ainsi procurée par le rêve. A réfléchir aussi, tout le monde se côtoie, s’assoit les uns à côté des autres, sans non plus faire attention à qui se tient à côté, et donc une possibilité pour l’individu de se recentrer sur lui et ses réflexions, les écouteurs dans les oreilles. Les émois présents peuvent être : les amis, rigolards, les amoureux, s’embrassant, les inconnus, bagarreurs. On se retrouve dans une communauté extrêmement plurielle, alors qu’on se préoccupe à côté de qui on se retrouve sur un banc, sur les bancs de l’école, ou dans les bureaux, on ne pense absolument pas à qui se trouve à côté de nous. On hésite cependant parfois à lire son téléphone par-dessus le bras, ou découvrir quel livre lit-il, car peut être nous plairait-il de le lire plus tard ? 
Cette forêt avec tout son écosystème a aussi son loup : l’harceleur. Si la RATP fait tout son possible pour pouvoir évacuer ces vils personnages, les colleurs persistent, s’attaquent aux chaperons de tous les âges, pas forcément habillés en petite jupe rouge.  Ces fléaux sont à l’origine de la manière dont les femmes s’habillent le matin, même plus que la météo elle-même. La peur des colleurs dévore l’angoisse de toutes, et créé un jeu d’acteur excellent auprès de l’entourage qui feint l’aveuglement, qui feint l’ignorance, l’incompréhension, et l’impossibilité d’utiliser un clavier pour pouvoir appeler les autorités. 
  On trouve aussi les petits ratons-laveurs pickpockets. Ces escamoteurs sont coprésents avec les importuns desquels nous avons parlé, des loups, des petits chaperons, des travailleurs, des entrepreneurs, des célébrités. En soit, le métro est une ville à elle-même, avec ses petites rues, ses commerçants, ses habitants, et sa pluralité. Ou chaque fois qu’une personne fait un AVC, on bloque les lignes pour éviter toute vibration pour le défibrillateur. 
Les agents de la RATP sont les derniers non énoncés, ceux qui font la toile de fond de ce lieu, ceux que l’on croise, à qui l’on va poser la question sur les tarifs, à qui l’on va se plaindre comme s’ils étaient à l’origine d’un retard du métro. C’est le bouc émissaire, tout simplement. 
Ce passage quotidien de la bouche à emprunter, qui n’est pas important dans la tête de celui qui l’utilise, est en réalité un lieu clé de son organisation. Comme le temps c’est de l’argent, il va baser son temps de trajet pour se réveiller en conséquence. Comme chaque visage rencontré reste dans son imaginaire, l’individu va peut-être penser à un des personnages qu’il aura rencontré dans son sommeil. Comme il va rencontrer des gens sympathiques ou au contraire désagréables dès le matin, il s’en souviendra toute la journée. Comme il sera en retard, cela le mettra de mauvaise humeur. Comme il rentrera tard de chez lui, il deviendra l’un de ses importuns sur le chemin du retour. 
On ignore souvent ce qu’est le métro, quel impact il a. Car le prenant, c’est pour aller quelque part, non par pour se balader à l’intérieur. Cependant, comme dans un énoncé différent, on devient un énonciateur différent. On joue un rôle. Et on l’oublie, on le change selon les jours, et on n’y fait pas attention.
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kronieken · 6 years
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Wanneer zal ik in een kalf veranderen? Een goochelaar ( in het Frans 'escamoteur'), was onlangs op een gemeente in het Veurne-Ambacht. Die heer gaf een buitengewone vertoning in het gemeentehuis waar veel publiek tegenwoordig was.
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zehub · 6 years
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Propos d'Emmanuel Macron sur le climat : "C'est un escamoteur", condamne EELV
Emmanuel Macron s'est exprimé sur France 2, dimanche 17 décembre. Le président de la République a notamment défendu son action sur le plan de la défense de l'environnement et sa volonté de mener à bien l'accord de Paris sur le climat, malgré le désengagement des États-Unis. "Je n'ai pas le sentiment que la France soit exemplaire en matière d'écologie", a déclaré sur franceinfo David Cormand, secrétaire national d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV).
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akemoi · 6 years
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Propos d'Emmanuel Macron sur le climat : "C'est un escamoteur", condamne EELV
#ecologie http://dlvr.it/Q6SzBh
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