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#espèces animales protégées
reyolivier · 2 years
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Le manchot du Cap peut mesurer entre 60 et 70 cm et pèse entre 2 et 4 kg. Les petits ont le corps recouvert d’un fin duvet gris, lequel tombe durant la puberté (entre 12 et 22 mois) pour laisser place à leur plumage d’adulte. Le manchot du Cap est une espèce endémique d’Afrique australe. Le manchot du Cap est une espèce monogame. Au début du XIXème siècle, on estime que la population de manchots du Cap s’élevait à environs 4 millions d’individus. Ils seraient à peine plus de 55 000 aujourd’hui, leur population ayant presque été réduite à néant par l’activité humaine. Il s’agit désormais d’une espèce protégée classée sur la liste rouge des espèces menacées par l’IUCN . The Cape penguin can measure between 60 and 70 cm and weigh between 2 and 4 kg. The young have their bodies covered with a fine gray down, which falls during puberty (between 12 and 22 months) to give way to their adult plumage. The African penguin is endemic to southern Africa. The African penguin is a monogamous species. At the beginning of the 19th century, it is estimated that the population of Cape penguins amounted to around 4 million individuals. They would be just over 55,000 today, their population having been almost wiped out by human activity. It is now a protected species listed on the IUCN Red List of Threatened Species. . #southafrica #southafrica🇿🇦 #afriquedusud #afrique #africa #manchot #pinguin #beach #capetownsouthafrica #travel #travelphotography #travelgram #travelblogger #travels #voyage #voyageursdumonde #national_geography #nature #naturephotography #naturerey #naturelovers #animales #animallovers #animal #birds #bird #summer #summervibes #goodvibes #happy (à Cap of Good Hope) https://www.instagram.com/p/Cpmr7ldsoro/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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photoriadoc · 1 year
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Les dunes de Biville - Février 2021
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Les dunes de Biville sont un site naturel remarquable situé dans le département de la Manche, en Normandie. Elles s'étendent sur environ 10 kilomètres de long, de Vauville à Siouville-Hague. Les dunes de Biville sont formées par l'action conjointe de la mer et du vent. Elles sont constituées de sable fin, qui est transporté par les vents d'ouest. Au fil du temps, les dunes ont formé un relief escarpé, avec des dunes culminant à 114 mètres d'altitude. Les dunes de Biville abritent une flore et une faune diversifiées. On y trouve notamment des espèces végétales rares ou menacées, telles que la sagine noueuse, la littorelle uniflore ou l'œillet des dunes. Les dunes sont également un habitat important pour de nombreuses espèces animales, telles que les oiseaux, les reptiles et les insectes. Les dunes de Biville sont un site protégé, classé en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) et en site Natura 2000. Elles sont également gérées par le Conservatoire du littoral. Les dunes de Biville sont une destination touristique populaire. Elles offrent de nombreuses possibilités de randonnées, de baignades et d'activités de plein air. Camera: Canon EOS 2000D Objectif: Canon EF-S 18-55 IS II Post-production avec Skylum Luminar 3 Read the full article
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entomoblog · 3 months
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Programme du Nouveau Front populaire : le plus petit dénominateur commun ?
See on Scoop.it - Variétés entomologiques
Le contrat de législature publié ce 14 juin 2024, présente les propositions de la gauche rassemblée. Des mesures nombreuses, mais marquées par des imprécisions, contradictions ou impasses et qui peinent souvent à masquer les divergences. Éclairage.
  Décryptage  |  Gouvernance  |  15.06.2024
  David Ascher, directeur de publication d'Actu-Environnement et Arnaud Gossement, avocat, docteur en droit, cosignent une série de tribunes pour analyser les programmes parus ou à paraître, des principales formations candidates aux prochaines élections législatives.
    [...]
  Biodiversité : une nature sans animaux sauvages ?
  Il faut attendre la page 16 du programme pour que la biodiversité soit enfin abordée. Nul besoin de rappeler que cet enjeu devrait être traité dans le même mouvement et avec la même rigueur que l'enjeu climatique.
  Les trois mesures ici présentées sont aussi insuffisantes que floues. "Défendre les zones agricoles" ou "Protéger la forêt" ne nous renseigne pas sur les votes à venir des députés sur les chantiers législatifs. De même "améliorer la protection des aires maritimes protégées" peut se faire de bien des manières et il est étrange que la question des aires protégées soit réduite aux aires marines. Il est également surprenant que ce programme ne comporte aucune référence précise à la lutte contre l'artificialisation des sols qui reste une des menaces principales pour les sols et le vivant et continue d'être controversée malgré deux lois récentes (2021 et 2023) sur ce sujet.
  S'agissant du volet "rompre avec la maltraitance animale", il est dommage de l'avoir isolé de celui sur la biodiversité et de n'avoir pas pris position sur la vie sauvage et notamment sur le droit des espèces et habitats protégés. Le débat est pourtant très vif – notamment devant le juge administratif – sur les conditions d'octroi des dérogations préfectorales à l'interdiction de destruction d'espèces protégées. Le projet de loi d'orientation agricole (article 13) actuellement au Sénat promet pour sa part de réduire le risque de punition consécutive à de telles destructions. Il est également dommage d'avoir fait l'impasse sur la chasse, domaine dans lequel la France ne cesse de violer le droit de l'Union européenne depuis des années. Même dans un document de 22 pages, il était possible d'en dire un peu plus.
  Dans le même sens, il aurait été intéressant de réunir les enjeux biodiversité, eau et agriculture et, plutôt que de se borner à "rétablir le plan Ecophyto", proposer de manière détaillée une réécriture du projet de loi d'orientation agricole s'agissant par exemple des mesures de compensation ou de renaturation."
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omagazineparis · 5 months
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Initiatives pour la protection des espaces naturels et la biodiversité
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La protection des espaces naturels et la préservation de la biodiversité sont essentielles pour l'équilibre de notre planète. Diverses initiatives sont mises en place à l'échelle locale, nationale et internationale pour soutenir ces objectifs. Voici quelques-unes de ces initiatives : Réserves naturelles et parcs nationaux Ces zones sont protégées contre toute activité humaine nuisible. Elles offrent un habitat sûr pour la faune et la flore, tout en permettant aux humains de profiter de la beauté naturelle sans la perturber. Programmes de réintroduction d'espèces Ces programmes ont pour but de réintroduire des espèces en voie de disparition dans leur habitat naturel. Projets de reforestation La plantation d'arbres aide à restaurer les habitats détruits, à séquestrer le carbone et à protéger la biodiversité. Éco-tourisme Cette forme de tourisme soutient la conservation tout en permettant aux touristes de s'immerger dans la nature. Les revenus générés sont souvent réinvestis dans des projets de conservation. Certifications écologiques Ces labels encouragent les pratiques agricoles et de pêche durables qui respectent l'environnement. Éducation et sensibilisation Informer le public sur l'importance de la biodiversité et comment la protéger est essentiel pour encourager la conservation. Banques de graines Ces institutions stockent des graines pour protéger la diversité génétique des plantes contre d'éventuelles catastrophes ou changements climatiques. Réseaux écologiques Il s'agit de corridors naturels qui relient des zones protégées, permettant aux espèces animales de se déplacer librement et en sécurité. Financements participatifs pour la conservation De nombreuses organisations utilisent des plateformes de crowdfunding pour financer des projets de conservation. Lisez aussi : Révolution verte en ville : composter en appartement, c’est facile Accords internationaux Des accords comme la Convention sur la diversité biologique encouragent la coopération internationale pour protéger la biodiversité. Partenariats public-privé Certains projets combinent les ressources du secteur public et du secteur privé pour protéger des zones naturelles. Initiatives locales De nombreux projets locaux, souvent menés par des communautés ou des groupes de citoyens, prennent des mesures pour protéger des zones spécifiques ou des espèces particulières. Applications et technologies modernes Les technologies comme l'IA, les drones et les applications mobiles sont de plus en plus utilisées pour surveiller, étudier et protéger la biodiversité. Chacune de ces initiatives joue un rôle vital dans la protection des espaces naturels et la conservation de la biodiversité. La combinaison de ces efforts à différents niveaux garantit une approche holistique et efficace de la conservation. Read the full article
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hogscallingblues · 5 months
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utrefois rare dans nos campagnes, le sanglier est aujourd’hui considéré comme un nuisible qu’on pourchasse sans relâche. L’écologue Raphaël Mathevet explique comment les populations de sangliers ont été développées à partir des années 1970, et s’interroge : qu’avons-nous fait de cet animal sauvage ?
l’ouvrage Sangliers, géographies d’un animal politique. Pourquoi vous êtes-vous intéressés à cet animal mal-aimé ?
l y a cinquante ans encore, le sanglier était un animal difficile à voir, qui représentait l’espèce sauvage par excellence et fascinait les naturalistes autant que les chasseurs. Ces derniers mesuraient volontiers leur bravoure en s’affrontant à cet animal farouche, dangereux, qui n’hésitait pas à attaquer leurs chiens ; dans la mythologie grecque, combattre un sanglier était d’ailleurs l’un des douze travaux d’Hercule ! Aujourd’hui, le sanglier semble omniprésent, au bord des routes, dans nos villes même. Partout où nos travaux en écologie nous mènent, du massif des Écrins aux Cévennes, en passant par la Camargue, on ne nous parle que de lui et des dégâts qu’il occasionne. Nous voyons également fleurir les contentieux entre fédérations de chasseurs et aires protégées : les premiers accusant les secondes d’être un refuge pour les sangliers.
On ne le voit plus comme une espèce sauvage, mais comme une masse animale indistincte qu’il faut réguler, en intensifiant les battues et les actes de chasse. Plus personne ne semble s’intéresser à l’animal, ni ne prend sa défense comme on peut le voir pour l’ours ou pour le loup – pas même les naturalistes. Nous avons voulu comprendre comment il avait pu changer de statut aussi vite et ce qu’il dit de notre rapport à la nature.
Autrefois, le sanglier était surtout présent dans l’espace forestier, mais aujourd’hui, on le retrouve dans tous les milieux : en bord de mer, en plaine, en montagne jusqu’à 3 500 mètres d’altitude, et bien sûr en milieu urbain, notamment en période de sécheresse, où il profite des parcs et jardins arrosés. Le sanglier est un animal omnivore qui possède une très grande capacité d’adaptation.
Mais l’événement majeur, c’est la modernisation de l’agriculture. L’arrachage des haies, l’utilisation d’insecticides et la mécanisation ont entraîné la quasi-disparition du petit gibier dans l’espace agricole, comme les lièvres, lapins, perdrix, faisans...
ais la disparition du petit gibier, cible de prédilection des chasseurs, menaçait la pérennité de l’activité. L’idée est alors apparue de développer les populations de grand gibier, tout particulièrement de sangliers, afin de proposer de nouvelles proies aux chasseurs.
our ce faire, plusieurs mesures ont été mises en place. Tout d’abord l’élevage, qui a permis de faire des lâchers d’individus dans des milieux où le sanglier n’était pas ou plus présent, mais aussi le nourrissage des animaux : du grain et des légumes abîmés ont été mis à leur disposition, ainsi que de l’eau pour s’abreuver.
En effet. Pour augmenter la capacité reproductive des populations de sangliers, on a encouragé l’hybridation de sangliers mâles avec des porcs domestiques femelles – produisant ce qu’on appelle communément des « cochongliers ». La truie, la femelle du porc domestique, met en effet bas de 8 à 10 petits, contre 4 à 6 seulement pour la laie... À travers toutes ces pratiques, le sanglier a été pour ainsi dire « cynégétisé » : on a fait de lui, non plus
Il faut savoir qu’en France, ce sont les chasseurs qui dans chaque département ont la charge de la gestion des populations de sangliers – les agriculteurs ont en effet perdu dans les années 1960 le droit d’affût qui les autorisait à tirer sur l’animal en cas de dégâts sur les cultures
GUERRE TEXAS
La guerre du Texas contre les sangliers prend un tournant décisif
Une lutte sanglante et sourde terrorise le Texas depuis des années. Les hommes et les sangliers se livrent à une épouvantable guerre de territoire. Qui gagnera ?
La chasse aux porcs sauvages est ouverte au Texas ! Mais attention, si vous voulez aller chasser le sanglier tel un Obélix du XXIe siècle, il faudra posséder une montgolfière. Une cour de justice texane a en effet validé cette nouvelle méthode de chasse, jeudi 25 mai, en vertu de la terrible guerre que le Texas mène contre ces animaux depuis des années.
Au Texas, les sangliers sont un vrai fléau. Ils sont partout et s’attaquent violemment aux cultures, aux productions agricoles, aux jardins des particuliers. Ils seraient plus de deux millions dans l’État, causant plus de quinze millions de dollars de dommages chaque année, selon le groupe de recherche Texas A&M’s Agrilife Extension program.
En plus de ça, ils font beaucoup de petits gorets et ne subissent plus vraiment d'attaques de prédateurs. Du coup, le nombre de sangliers a explosé ces dernières années. "Nous prédisons qu’une large portion des États-Unis risque de subir une imminente invasion de sangliers", affirmaient en février des chercheurs de l’USDA National Wildlife Reasearch Center.
Une guerre chimique contre les sangliers
Le résumé de la semaine
France 24 vous propose de revenir sur les actualités qui ont marqué la semaine Je m'abonne
Ça vous fait marrer ? Ne riez pas. Le porc sauvage est un vrai problème et il a déclenché une véritable guerre chimique dans le sud des États-Unis. En février, Sid Miller, commissaire de l’État du Texas à l’agriculture, approuvait l’utilisation de poisons chimiques dans les sols pour annihiler les nuisibles. "Ça va être une véritable apocalypse des porcs. Si vous voulez qu’ils s’en aillent, ça va les faire partir", affirmait-il au Austin American-Statesman.
Mais la "porcalypse" n’a pas eu lieu. Les sangliers sont toujours très présents au Texas. Du coup, une cour de justice texane a approuvé la chasse aux sangliers (et aux coyotes) depuis une montgolfière. Cette décision fait suite à l’échec de la chasse aux sangliers depuis un hélicoptère. Cette méthide, mise en place depuis plusieurs années, avait fait le bonheur de touristes un peu bizarres, venus spécialement pour défoncer du sanglier à coup de mitraillettes. Voyez plutôt.
Mais en terme de chiffres, l’échec a été retentissant. Les sangliers se sont vite rendus compte de l’offensive menée par les humains. "Les porcs sont devenus intelligents. C’est comme s’ils se rendaient compte de ce que le bruit de l’hélicoptère signifie et qu’ils se mettaient à couvert", affirmait Steve Lightfoot, représentant du Texas Parks and Wildlife Department, au Dallas News.
Du coup, les Texans espèrent que la chasse aux porcs sauvages depuis une montgolfière va surprendre l’ennemi. Si vous souhaitez partir en guerre, c’est le moment. Vous pourrez même acheter un tee-shirt "chasseur de porcs" de l'association Texas Hog Hunter hyper classe. Elle est pas belle, la vie ?  
Les États-Unis font face à une nouvelle menace du "super-porc" canadien
Un porc venu du Canada capable de se cacher des humains et de détruire les cultures semble poser problème aux agriculteurs américains. Et aucune solution ne permettrait actuellement de limiter les dégâts causés par ce "super-porc".
L’invasion de porcs n’est pas un phénomène récent outre-Atlantique, comme le rappelle The Guardian qui raconte dans ses colonnes comment des populations de cochons ont été relâchées de manière anarchique à travers tout le pays. D’abord au XVIe siècle, lorsque l'explorateur espagnol Hernando De Soto a importé des porcs qui se sont reproduits à un rythme exponentiel, passant de 13 à 700 individus en quatre ans.
Puis lorsque les chasseurs américains les laissaient sur des terres inoccupées pour s’en servir de cibles, mais sans y prêter davantage attention. Résultat, à partir des années 1980, la population s’est mise à croître de manière incontrôlée jusqu’à atteindre 6 millions de porcs répartis dans 34 États !
Des porcs qui seraient notamment responsables de 1,5 milliard de dollars de dégâts chaque année. De l’autre côté de la frontière canadienne, à partir des années 1980, des éleveurs auraient, quant à eux, croisé des cochons domestiques avec des sangliers, ce qui aurait donné naissance à des bêtes énormes pesant jusqu’à 300 kilos, soit plus du double d’un cochon domestique ordinaire.
INFO SANGLIER
Cette espèce abondamment chassée est aussi considérée comme une espèce ingénieure1, capable de développer des stratégies d'adaptation à la pression de chasse.
Le porc (ou cochon), issu de la domestication du sanglier, est une sous-espèce du Sanglier, connu sous l'appellation scientifique Sus scrofa domesticus.
l’animal qui nous ressemble le plus : livre histoire du cochon 
L'avant-train est puissant, le cou massif. La tête (hure) a une forme globalement conique. Les flancs sont comprimés. Le pelage est constitué de longs jarres très rêches (les soies) ainsi que d'un épais duvet.
Les adultes sont de couleur gris-brun uniforme, foncé en général ; les plus jeunes ont un pelage formé de bandes rousses et crème horizontales. Plus tard, ce pelage prend une couleur rousse (couleur acquise autour de leur cinquième mois). Puis aux alentours de 10 mois, leur pelage s'assombrit pour donner la couleur sombre des animaux subadultes et adultes.
Les oreilles (les écoutes) triangulaires sont toujours dressées. Les canines sont particulièrement développées. Celles de la mâchoire supérieure, les grès, se recourbent vers le haut durant la croissance. La taille des mâles est plus importante que celle des femelles
Le poids d'un sanglier de plaine où les cultures de maïs abondent est significativement plus important que celui de son congénère établi en montagne.
Le sanglier possède un corps trapu et une tête volumineuse. Sa tête est prolongée d'un groin très allongé, appelé boutoir, et de deux grandes oreilles mobiles. Ses canines sont très développées : les supérieures s'appellent les grès et les inférieures les défenses. Ces défenses poussent tout au long de la vie du sanglier. En ouvrant et fermant sa gueule, le sanglier aiguise ses défenses sur les grès ; elles sont ainsi acérées en permanence.
Le squelette est massif et solide.
Le sanglier a été introduit par l'homme hors de son aire naturelle de répartition, dont en Amérique du Nord où il a parfois été croisé avec diverses souches de cochons. Ceci complexifie encore sa génétique, mais aussi sa dénomination commerciale légale. En Amérique du Nord, où il n'existe normalement pas dans la nature, certaines étiquettes commerciales qualifient sa viande de « sanglier sauvage », alors qu'il est élevé et introduit
Les sangliers sont grégaires31. Ils forment des troupes (ou bandes) appelées hardes32 ou compagnies33 et dont la taille varie selon le lieu et la saison31. Une harde (ou compagnie) compte d'ordinaire de six à vingt individus31, quoique des troupes (ou bandes) de plus de cent individus aient déjà été observées31. L'unité de base est un noyau composé d'une ou plusieurs laies (souvent 2 ou 3) et leurs dernières portées de marcassins, on dit que ces femelles sont suitées31. La dynamique du groupe inclut l'isolement de la laie (pré)parturiente puis sa rentrée avec sa portée, l'entrée de laies nullipares ainsi que l'arrivée de mâles adultes avec le départ simultané d'individus subadultes31. Les ragots (sangliers de deux à quatre ans) ferment la marche lors des déplacements, mais sont remplacés par des mâles plus âgés en période de rut. Les cortèges sont souvent bruyants, non seulement par le bruit lourd des pas, mais aussi par les grognements, cris, soufflements et reniflements. Cependant, les sangliers savent se montrer discrets et silencieux s'ils se sentent menacés.
Le sanglier, omnivore et volontiers fouisseur, consomme de très nombreuses parties d'un grand nombre de végétaux (tubercules, rhizomes fruits dont les glands et les noix, céréales, etc.), des champignons (dont champignons à fructification souterraine tels que truffe ou truffe du cerf) et de nombreux animaux (vers (vers de terre notamment)34, mollusques, insectes et leurs larves, petits mammifères, lissamphibiens, oiseaux et autres sauropsides) morts ou vivants. S'il est affamé, il est réputé pour pouvoir occasionnellement s'attaquer à un animal plus grand mourant, voire à une brebis en bonne santé, en particulier lors de la mise-bas. Il se montre volontiers nécrophage.
À l'approche de l'homme, le sanglier prend généralement la fuite avant qu'on ne l'ait détecté et peut se montrer étonnamment agile et rapide. Une laie pressentant un danger pour ses marcassins peut se montrer dangereuse et charger, ou attaquer un chien, de même qu'un adulte blessé. Irrité, un sanglier claque violemment des dents ; on dit alors qu'il « casse la noisette ».
Les déplacements importants d'individus ou de groupes sont habituellement induits par le manque de nourriture ou d'eau, mais d'autres facteurs (croissants) existent : 1) le dérangement (surfréquentation des forêts par les promeneurs, chasseurs et cueilleurs de champignons, poursuite par les chiens non tenus en laisse, traque et battues de chasse, chantiers forestiers) ; 2) leur exclusion par l'engrillagement de parcelles qui leur étaient favorables, les constructions de lotissements en forêt ou en lisière de forêt, sur des prairies ou terres cultivées où ils se nourrissaient. Ils fuient aussi parfois les incendies de forêt.
Les sangliers peuvent ainsi, seuls ou en groupe, parcourir des distances très importantes, traverser des fleuves et des routes, ce qui occasionne de nombreuses collisions avec des véhicules. Néanmoins, les individus semblent généralement ensuite chercher à revenir sur leur territoire.
À certaines périodes de l'année, il est d'autant plus important de respecter la tranquillité du sanglier, afin de ne pas l'encourager à investir les cultures agricoles :
15 avril, période des semis de maïs ;
mi-juin, période où les blés sont dits en lait (stade de maturation pendant lequel le sanglier raffole des épis) ;
fin août à début octobre, car les champs de maïs sont d'immenses étendues où le sanglier va pouvoir trouver à la fois quiétude et nourriture en abondance.
À défaut, les agriculteurs subissent d'importants dégâts dans leurs récoltes.
Reproduction
En 2004, à Saint-Amand (Nord), un sanglier s'est réfugié 18 heures (avant d'être abattu par un chasseur) dans la cour intérieure de l'hôpital40. En octobre 2011, le terrain de football de Metz-en-Couture est en partie « muloté » (retourné) par des sangliers41. En novembre 2011 à Toulouse, une laie désorientée a erré plusieurs heures dans le centre historique de Toulouse, traversant la place du Capitole, avant de plonger dans le Canal du Midi face à la gare où elle a été abattue sur ordre du préfet42, au lieu d'être sortie de l’eau et relâchée dans la nature, comme le réclamaient quelques témoins de la scène.
n 2009, le ministre français de l'Écologie Jean-Louis Borloo lance un Plan national de maîtrise du sanglier45
Plusieurs importations ont eu lieu sur le continent américain dès le milieu du xvie siècle par Hernán Cortés et Hernando de Soto, et au milieu du xviie siècle par le sieur de La Salle.
Le sanglier est essentiellement nocturne (une évolution peut-être due à la présence de l'homme). Il est plutôt sédentaire et apparemment attaché à son territoire quand il est entouré d'obstacles27, mais dans un milieu qui lui convient, il peut parcourir plusieurs dizaines de kilomètres dans la nuit et son aire vitale peut atteindre de 100 hectares à plus de 1 000 ha28,29. Il sélectionne ses habitats selon la saison, l'heure du jour ou de la nuit et ses besoins alimentaires30.
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calydriarpg · 6 months
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Les Éthéria - origine
Origines des Éthéria :
Les Éthéria sont les gardiens ancestraux de la magie et des mystères du monde. Leur origine remonte aux temps immémoriaux, où ils étaient vénérés comme des protecteurs de la nature et des êtres de lumière.
Chaque espèce fantastique, qu'il s'agisse de dragons majestueux, de licornes élégantes, de fées gracieuses, de gobelins malicieux ou de trolls redoutables, trouve sa place dans la société des Éthéria.
Royaume d'Auroria :
Auroria est un royaume caché, dissimulé aux yeux des humains et des autres peuples de Calydria par des enchantements puissants. Il se trouve dans les recoins les plus reculés et les plus sauvages du monde, protégé par des barrières magiques infranchissables.
Le royaume d'Auroria est un lieu de beauté sauvage, où les forêts anciennes côtoient les montagnes majestueuses, les rivières scintillantes et les vallées enchantées. La magie imprègne chaque pierre, chaque arbre, chaque créature qui peuple ce territoire.
Société des Éthéria :
Les Éthéria vivent en harmonie avec la nature et les forces mystiques qui les entourent. Ils forment une société diversifiée, où chaque espèce fantastique occupe une place importante dans l'équilibre écologique et spirituel du royaume.
Les différentes espèces coexistent pacifiquement, partageant leurs connaissances, leurs traditions et leur sagesse au sein de conseils et d'assemblées où tous sont entendus et respectés.
Rôle des Éthéria :
Les Éthéria sont les gardiens de la magie et les protecteurs des lieux sacrés de Calydria. Ils veillent sur les sources de pouvoir magique, les portails dimensionnels et les artefacts anciens disséminés à travers le monde.
Ils interviennent également dans les affaires des autres peuples de Calydria lorsqu'ils menacent l'équilibre de la nature ou les intérêts des Éthéria, agissant comme des guides, des sages et parfois même des défenseurs.
Participation à la guerre contre les dévoreurs d'ombre et Solastria
Alors que la paix vivait paisiblement dans Calydria, des humains ambitieux et puissants de Solastria décidèrent de se venger de ce continent voisin, trouvant que ces derniers prenaient trop de places et avaient plus de ressources qu'eux. Utilisant de la magie du chaos, ils créèrent des abominations : les Dévoreurs d'Ombre, ces dernières épuisent l'énergie vitale de la magie de toutes vies (minéraux, végétale, animale, humaine) ce qui affaiblit le cœur de Calydria menaçant la perte et l’extinction de la magie, mais aussi du royaume d'Auroria et de ces habitants. C'est pour cette raison que les Éthéria décidèrent de prendre les choses en main et de rejoindre les humains d'Erydor pour les aider dans leur lutte pour rétablir l'équilibre entre le chaos et l'harmonie.
Pour des raisons de puissances et de sauvegarde, uniquement les Éthéria ailés sont autorisés à quitter Auroria pour participer à la guerre. En effet, grâce à leur capacité de vol, ils sont plus difficiles, dur à abattre (mais pas impossible). Chaque mort d'un Éthéria affaiblit Auroria c'est pour ça qu'ils sont très sévères lors de leur sélection de cavalier, estimant que si ce dernier n'est pas en mesure de les défendre alors, il ne mérite pas le lien.
Lien entre Éthéria et son cavalier
Un Éthéria est capable de communiquer entre elles par télépathie, mais également de communiquer avec les humains. Cependant, en général, elles s'adressent exclusivement à leur cavalier, qui leur sert de porte-parole et de représentant. Un humain est incapable de parler à un Éthéria autre que celui auquel il est lié.
La Marque de l'Éthéria :
Chaque Éthéria laisse une marque spécifique sur son cavalier lorsqu'ils forment leur lien. Cette marque peut apparaître sous forme de tatouage, de cicatrice ou même de motif lumineux gravé sur la peau du cavalier.
La marque est unique à chaque Éthéria, reflétant à la fois sa race, sa personnalité et sa magie primordiale. Elle peut varier en taille, en forme et en apparence, et peut parfois évoluer au fil du temps en fonction de la relation entre le cavalier et son Éthéria.
Formation du Lien :
Lorsque le lien se forme entre un cavalier et son Éthéria, cela peut être un processus intense et occasionnellement douloureux. Les deux êtres doivent s'ouvrir complètement l'un à l'autre, fusionnant leurs âmes et leurs esprits pour créer un lien indestructible.
Certains cavaliers peuvent ne pas survivre à ce processus, leur corps et leur esprit étant incapables de supporter l'intensité du lien. Cependant, ceux qui le font deviennent des partenaires inséparables, liés par une connexion profonde et transcendante.
Si un cavalier meurt, cela n'affecte pas l'Éthéria bien que selon la profondeur de l'attachement, ils peuvent avoir un blocage à relier un lien avec un humain. Toutefois, si un Éthéria meurt, son humain mourra aussi, cela prenant quelques minutes à quelques heures maximum si le lien n'était pas fort.
Pouvoirs Uniques :
Une fois que le lien est formé, le cavalier développe un pouvoir unique lié à son Éthéria. Ce pouvoir peut être aussi diversifié que la magie de l'Éthéria elle-même, reflétant ses compétences, ses attributs et sa nature.
Par exemple, un cavalier peut développer une magie de guérison, un autre une magie de bouclier, lire dans les esprits ou encore voir de loin, etc. /!\ Ce pouvoir unique n'a aucun lien avec la magie que développent les élémentaristes, soyez originaux et créatifs il y a de quoi faire comme pouvoir sans que ce soit lié à un élément.
Évolution du Lien :
Au fur et à mesure que la relation entre le cavalier et son Éthéria se renforce, leur lien devient plus puissant et plus profond. Cela peut se traduire par une augmentation des pouvoirs du cavalier, ainsi que par une meilleure compréhension mutuelle et une synergie accrue dans le combat et les autres aspects de leur vie.
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The Virgin Suicide
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Première long-métrage de la réalisatrice américaine, adapté du roman du même nom de Jeffrey Eugenides, The Virgin Sucide raconte l’histoire de cinq sœurs, coincées entre les affres de l’adolescence et du passage à l’âge adulte et une famille ultra-religieuse. La plus jeune, Cécilia, fait une tentative de suicide au début du film, avant de vraiment se suicider une dizaine de minutes plus tard. S’en suit alors une descente des quatre sœurs restantes, alors objet de curioisté d’un quartier qui ne sait comment réagir et d’une famille qui se replie sur elle-même. La narration est faite de manière rétrospective par un des jeunes garçons du quartier, qui formait alors un groupe obsédé par les sœurs et qui cherchent à comprendre, encore au présent de la narration, comment fonctionnait la famille et si il n’y aurait pas une explication au geste final réalisé par les sœurs Lisbon.
Dans ce film, nous retrouvons tous les éléments qui font la patte de Sofia Coppola. En effet, la réalisatrice a une forme de complaisance pour la période de l’adolescence et cherche à en montrer ses dysfonctionnements, ses oppositions internes qu’elle renferme. Il y a une esthétique très particulière de la jeune fille qui est girly, pop, presque dans un rêve alors que ce qui est raconté témoigne plutôt des blessures les plus vives de l’adolescence. Cette dichotomie entre les deux façonnent le film : lumineux, stylisé, le film parle pourtant du suicide et de l’insurmontable impression que le monde ne nous comprend pas.
Ainsi, on suit les sœurs dans toutes les étapes de l’adolescence : le lycée, les premiers regards avec les garçons, les premiers petits-amis, le bal du lycée, la première fois. Ce crescendo constant des étapes de l’adolescence arrivent à leur acmé quand la réalité rattrape Lux. En effet, après avoir couché avec Trip, il l’abandonne au milieu du terrain de football, la mettant dans une position délicate face à ses parents quand elle ne rentre que le lendemain matin. S’entraîne alors une spirale infernale dans laquelle descend la famille. Il y a une volonté de montrer le dysfonctionnement de cette famille, avec un père isolé en tant que seul homme de cette famille, silencié et pas écouté, une mère stricte qui se cache derrière une religiosité très prégnante sur la famille, et des enfants qui ne peuvent plus s’exprimer et se renferment entre elles, dans une sororité aux liens ultra puissants.
Mais alors, que penser de Cécilia ? Pourquoi cette sororité ne l’a pas protégée du suicide ? On voit bien qu’au sein de sa propre famille, de ses propres sœurs, elle est encore plus isolée. Elle a une chambre pour elle toute seule, fascinée par la religion elle-aussi (sa chambre fourmille de représentations de la Vierge). Elle passe des heures à écrire dans son journal, isolée. Pourtant, on voit bien qu’elle essaie de communiquer son angoisse. Ainsi, il y a une forme d’éco-anxiété (anachroiquement) qui se dégage : elle dit à sa mère qu’une troisième espèce animale s’est éteinte dans l’indifférence du monde et de son interlocutrice, elle tente de sauver l’arbre familial infesté d’une maladie contagieuse. Il y a cette impuissance à exister au sein de cette famille, qui se retranscrit dans l’impuissance d’être au monde. L’adolescence est le moment où l’enfant comprend qu’il est dans une société partagée, qu’il n’est qu’un être parmi tant d’autres. Et c’est cette oppression de se rendre compte de la violence du monde qui pourrait justifier le suicide de Cécilia. Il y a une forme d’haine de la vacuité des personnes de son âge, d’indifférence à ses grandes étapes citées précédemment. Et l’imagerie religieuse semble être inutile, témoignant peut-être de l’absurdité de se rattacher à un dogme essayant de nous faire vivre quand mourir est la seule réponse au mal-être. 
L’histoire de cette famille se répercute au niveau général, en étant source d’observation du quartier entier. Le suicide paraît déjà comme une peur de ces bourgeois, qui se délectent des drames de la famille, les regardant, les observant, critiquant les réponses apportées par les parents. Effectivement, couper les adolescentes du monde n’est pas la meilleure solution mais qui saurait comment réagir face au suicide d’un enfant ? Qui n’aurait pas envie de protéger les autres du mond epour ne pas les perdre eux aussi ? Il y a une forme de moquerie des réactions pour cacher la propre peur que ça nous arrive aussi. Cette prolifération qui pourrait se généraliser renvoie à la malaide des arbres qui se propagent de terrain en terrain, chacun essayant de couper l’accès aussi vite qui le peut. De ces dynamiques sortent encore de cette incompréhension générale qui est la motivation du film. Et cette incompréhension est celle du groupe de garçons qui cherchent à comprendre, encore 25 ans plus tard, l’acte. Mais pourtant ce n’est pas le suicide qu’il faut comprendre, c’est le monde. Les garçons ont pu grandir en se construisant face à cette réalité, et chacun des personnages qui parlent rétrospectivement témoigne aussi de la beauté d’avoir rencontré ces personnes. Le suicide n’est qu’une réponse à une angoisse montante, à un passage à l’âge adulte de plus en plus compliqué. Et c’est là que je trouve cec film de Sofia Coppola réussi : elle parvient à allier ce chemin de passage à l’âge adulte au sujet sensible du suicide, dans une représentation visuelle percutante, porteuse de sens.
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jogallice · 1 year
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Maltraitance animale : le cabaret du Moulin Rouge annonce l'arrêt d'un numéro contesté avec une espèce de serpents protégée.
See on Scoop.it - JamesO
Société : l'association de protection animale Paris Animaux Zoopolis (PAZ) avait dénoncé l'utilisation, dans un spectacle quotidien du cabaret parisien, de grands pythons.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse publié par Franceinfo (France Télévisions) avec l’AFP (Agence France-Presse) le mardi 09/05/23 (mis à jour le mercredi 10/05/23).
  😃 Avec des si on mettrait 😄
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  #associations #société
#environnement #écologie #biodiversité
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L’environnement, l’écologie et la biodiversité.
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zehub · 2 years
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Servals, perroquets, ouistitis… Un trafic d’animaux démantelé
Un réseau de trafic international d’espèces menacées a été démantelé, s’est réjoui l’Office français de la biodiversité (OFB) — qui a contribué à l’opération — dans un communiqué. Lundi 5 décembre, une femme de 22 ans, soupçonnée d’avoir organisé les ventes, a été mise en examen pour « détention, transport, mise en vente, vente non autorisée d’animal d’espèce non domestique », « atteinte non autorisée en bande organisée à la conservation d’une espèce animale protégée » et « participation à une association de malfaiteurs (...)
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reyolivier · 2 years
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Le manchot du Cap peut mesurer entre 60 et 70 cm et pèse entre 2 et 4 kg. Les petits ont le corps recouvert d’un fin duvet gris, lequel tombe durant la puberté (entre 12 et 22 mois) pour laisser place à leur plumage d’adulte. Le manchot du Cap est une espèce endémique d’Afrique australe. Le manchot du Cap est une espèce monogame. Au début du XIXème siècle, on estime que la population de manchots du Cap s’élevait à environs 4 millions d’individus. Ils seraient à peine plus de 55 000 aujourd’hui, leur population ayant presque été réduite à néant par l’activité humaine. Il s’agit désormais d’une espèce protégée classée sur la liste rouge des espèces menacées par l’IUCN . The Cape penguin can measure between 60 and 70 cm and weigh between 2 and 4 kg. The young have their bodies covered with a fine gray down, which falls during puberty (between 12 and 22 months) to give way to their adult plumage. The African penguin is endemic to southern Africa. The African penguin is a monogamous species. At the beginning of the 19th century, it is estimated that the population of Cape penguins amounted to around 4 million individuals. They would be just over 55,000 today, their population having been almost wiped out by human activity. It is now a protected species listed on the IUCN Red List of Threatened Species. . #southafrica #southafrica🇿🇦 #afriquedusud #afrique #africa #manchot #pinguin #beach #capetownsouthafrica #travel #travelphotography #travelgram #travelblogger #travels #voyage #voyageursdumonde #national_geography #nature #naturephotography #naturerey #naturelovers #animales #animallovers #animal #birds #bird #summer #summervibes #goodvibes #happy (à Hout Bay, Western Cape, South Africa) https://www.instagram.com/p/Cphimu-seEh/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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panelun · 4 years
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Happy STS : En réaction à ton dernier post ;) quelles réflexions sur l'évolution de la société actuelle sont importantes pour toi et comment les as-tu incluses dans ton histoire ?
Beware le pavé !
Avant de me lancer, je veux dire que le pays de mon roman n’est pas une dystopie. À certains égards, c’est plus une proposition d’un système alternatif qu’une critique du nôtre. Le gros du sujet porte sur l’environnement, même si ça ne s’arrête pas là. Donc vais donc me cantonner à cela pour l’instant. Si tu veux des détails sur ce que j’ai listé en fin de post, n’hésite pas.
La condition animale 
 La préservation des espèces, le respect des territoires réservés aux animaux est primordial dans cette société, même si cela engendre des problèmes divers et variés. L’expérimentation animale, les abattoirs, les animaux utilisés pour le divertissement n’existent pas. Nourrir les animaux sauvage en hiver, soigner une bête blessée est un devoir civique. Je voulais montrer une alternative à notre système actuel, basé sur la souffrance animale.
 L’écologie 
Dans cette continuité, l’étude de l’environnement est primordial. Des organismes de recherches se répartissent le travail sur tout le territoire. Il serait impensable d’autoriser une usine à relâcher des produits chimiques dans une rivière ou de raser une forêt entière pour des raisons économiques. Le réchauffement climatique, la pollution sont traités comme des problèmes importants, voire prioritaires, ce qui n’empêche pas certaines corporations de tenter de contourner les lois pour leur profit personnel.
La science 
Toujours dans cette même continuité, et afin de vivre au mieux avec le reste de la nature, la recherche scientifique est considérée comme essentielle. Les chercheurs sont très respectés. L’état les finance totalement afin que les organismes privés n’influencent pas les résultats ou ne leur impose pas des pratiques illégales et immorales. Les savants parlent de leurs découvertes dans les journaux ou les émissions, le système des revues n’existe pas… Le savoir est facilement accessible pour tous et les universités publiques sont gratuites. 
 Le tourisme 
Dans les suites du premier diptyque, je voulais parler de l’avidité de certaines compagnies qui, voyant dans le tourisme un moyen de s’enrichir, s’avèrent capable du pire. Je me souviens, plus jeune, d’avoir appris que des compagnies touristiques étaient à l’origine d’actes criminels : elles avaient détruit des zones protégées pour acheter ensuite les terrains puis y avait construit des immeubles pour les touristes. J’aimerais que ce genre de chose ne soit plus possible à l’avenir. 
Parmi les autres thèmes, il y aura bien sûr une révision du système politique, la religion, la peine de mort, toutes les formes de discrimination, la prostitution et j’en passe…
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entomoblog · 3 months
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Papillons, poissons, araignées… En France, plus de la moitié des espèces menacées ne sont pas protégées
See on Scoop.it - Les Colocs du jardin
Une étude du Comité français de l'Union internationale pour la conservation de la nature, publiée jeudi, indique que 56% des espèces animales ou végétales menacées en France ne sont pas protégées.
  franceinfo
Radio France
  Publié le 13/06/2024 19:25
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omagazineparis · 5 months
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Initiatives pour la protection des espaces naturels et la biodiversité
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La protection des espaces naturels et la préservation de la biodiversité sont essentielles pour l'équilibre de notre planète. Diverses initiatives sont mises en place à l'échelle locale, nationale et internationale pour soutenir ces objectifs. Voici quelques-unes de ces initiatives : Réserves naturelles et parcs nationaux Ces zones sont protégées contre toute activité humaine nuisible. Elles offrent un habitat sûr pour la faune et la flore, tout en permettant aux humains de profiter de la beauté naturelle sans la perturber. Programmes de réintroduction d'espèces Ces programmes ont pour but de réintroduire des espèces en voie de disparition dans leur habitat naturel. Projets de reforestation La plantation d'arbres aide à restaurer les habitats détruits, à séquestrer le carbone et à protéger la biodiversité. Éco-tourisme Cette forme de tourisme soutient la conservation tout en permettant aux touristes de s'immerger dans la nature. Les revenus générés sont souvent réinvestis dans des projets de conservation. Certifications écologiques Ces labels encouragent les pratiques agricoles et de pêche durables qui respectent l'environnement. Éducation et sensibilisation Informer le public sur l'importance de la biodiversité et comment la protéger est essentiel pour encourager la conservation. Banques de graines Ces institutions stockent des graines pour protéger la diversité génétique des plantes contre d'éventuelles catastrophes ou changements climatiques. Réseaux écologiques Il s'agit de corridors naturels qui relient des zones protégées, permettant aux espèces animales de se déplacer librement et en sécurité. Financements participatifs pour la conservation De nombreuses organisations utilisent des plateformes de crowdfunding pour financer des projets de conservation. Lisez aussi : Révolution verte en ville : composter en appartement, c’est facile Accords internationaux Des accords comme la Convention sur la diversité biologique encouragent la coopération internationale pour protéger la biodiversité. Partenariats public-privé Certains projets combinent les ressources du secteur public et du secteur privé pour protéger des zones naturelles. Initiatives locales De nombreux projets locaux, souvent menés par des communautés ou des groupes de citoyens, prennent des mesures pour protéger des zones spécifiques ou des espèces particulières. Applications et technologies modernes Les technologies comme l'IA, les drones et les applications mobiles sont de plus en plus utilisées pour surveiller, étudier et protéger la biodiversité. Chacune de ces initiatives joue un rôle vital dans la protection des espaces naturels et la conservation de la biodiversité. La combinaison de ces efforts à différents niveaux garantit une approche holistique et efficace de la conservation. Read the full article
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L’Amazonie sous le feu des projecteurs
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© Valdemir Cunha / Greenpeace. L’Amazonie abrite une espèce connue sur dix sur Terre, et est l’un des derniers refuges pour les jaguars.
Par Reykia Fick, chargée de campagne nature et alimentation
C’est avec effroi que nous avons vu d’immenses brasiers dévaster la forêt amazonienne l’année dernière. Mais la saison des incendies risque d’être tout aussi catastrophique cette année.
Les feux de forêt en Amazonie n’ont rien de naturel. Ils sont délibérément allumés par des agriculteurs et des éleveurs de bétail qui accaparent des terres pour étendre l’emprise de l’industrie agroalimentaire.
Le problème ne fait que s’aggraver depuis l’arrivée au pouvoir de Jair Bolsonaro en janvier 2019. Le président brésilien fait une promotion active du développement industriel de l’Amazonie. Son gouvernement emploie toutes sortes de mécanismes pour affaiblir les lois environnementales du pays. Il coupe le financement de l’agence nationale de protection de l’environnement et se moque des revendications territoriales des peuples autochtones.
La destruction de la forêt amazonienne peut donc continuer en toute impunité. L’accaparement des terres autochtones se poursuit, et le nombre d’assassinats de gardes forestiers autochtones ne cesse d’augmenter.
Quels sont les enjeux?
La forêt amazonienne abrite un nombre stupéfiant d’espèces végétales et animales. On y trouve environ 10 pour cent de toutes les espèces de vertébrés de la planète, et plusieurs espèces que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. Les incendies détruisent ces plantes et tuent les animaux trop lents pour s’enfuir. Privés de leur habitat, même les animaux les plus rapides finissent par mourir eux aussi. 
La combinaison de ces incendies et des politiques odieuses du gouvernement Bolsonaro menace l’existence même des peuples autochtones de l ’Amazonie. Déjà éprouvées par un taux de mortalité élevé en raison de la COVID-19, les communautés locales doivent subir les effets de la fumée, avec tous les risques sanitaires que cela comporte. 
L’impact de ces incendies se fait sentir bien au-delà de la région elle-même. Tous les habitants de cette planète comptent sur la forêt amazonienne pour réguler le climat. Les forêts tropicales séquestrent le carbone de l’atmosphère et le stockent dans des milliards d’arbres. Cet échange crée un flux aérien de vapeur d’eau qui irrigue toute l’Amérique du Sud et va jusqu’à influencer le climat des autres continents.
Si la déforestation se poursuit, le biome complet de l’Amazonie risque d’atteindre un point de rupture irréversible. La forêt restante ne générera pas assez de vapeur d’eau pour la récupérer sous forme de pluie, ce qui transformera toute la région en savane aride. De nombreuses espèces disparaîtront, et des quantités faramineuses de dioxyde de carbone seront libérées dans l’atmosphère.
Que pouvons-nous faire?
Le gouvernement Bolsonaro doit mettre fin à ses attaques contre les droits autochtones et les lois environnementales, et poser des gestes concrets pour préserver la forêt amazonienne.
La seule chose qui a fait plier Bolsonaro jusqu’à maintenant est la pression exercée par les entreprises, les investisseurs et les gouvernements étrangers, qui menacent de rompre leurs liens commerciaux tant que l’Amazonie ne sera pas adéquatement protégée.
En dépit de ces récents développements, notre propre gouvernement continue de négocier un accord de libre-échange entre le Canada et les pays du Mercosur, dont fait partie le Brésil. Il est hors de question que notre gouvernement encourage la politique anti-environnement de Jair Bolsonaro avec la complicité tacite de toute la population canadienne.
Pour connaître les moyens d’agir, visitez greenpeace.ca/amazonie.
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reseau-actu · 5 years
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Il est désormais possible de reproduire l'ADN d'un mammouth laineux, et peut-être même de ramener une icône de la période glaciaire à la vie.
Jurassic Park imaginait un futur dans lequel les dinosaures étaient ramenés à la vie. La fiction serait sur le point de devenir réalité alors que des généticiens cherchent le moyen de ressusciter le mammouth laineux.
Cet herbivore de la période glaciaire, dont les éléphants d'Asie sont les lointains cousins, a vécu sur plusieurs territoires du Nord, protégé du froid extrême par une épaisse fourrure. L'animal hirsute s'est éteint il y a environ 4 000 ans mais la révolution génétique actuelle qui combat les effets de l'âge, les maladies les plus répandues et la création de « bébés sur mesure », pourrait changer cet état de fait.
Dans son nouveau livre, Wooly : La vraie histoire de la recherche pour relancer l'une des espèces les plus iconiques de l'histoire (Woolly: The True Story Of The Quest To Revive One Of History’s Most Iconic Extinct Species), Ben Mezrich nous entraîne des laboratoires aux steppes de Sibérie où les scientifiques étudient les possibilités de faire revivre le mammouth laineux, menaçant potentiellement l'écosystème présent.
National Geographic s'est entretenu par téléphone avec Mezrich ; il nous a expliqué pourquoi certains scientifiques pensent que la résurgence des mammouths laineux pourrait aider à combattre le changement climatique et a exposé les craintes éthiques qui accompagnent ces grandes ambitions.
  L'idée de ressusciter un mammouth laineux semble sortir tout droit d'un roman de Michael Crichton [auteur entre autres de Jurassic Park, ndlr]. Est-ce vraiment possible ? Est-ce que cela révolutionnerait la science telle qu'on la connaît ?
C'est vrai que ça ressemble à du Michael Crichton [rires]. Mais c'est vrai ! Ce qu'il imaginait dans Jurassic Park est maintenant scientifiquement possible. Nous avons désormais les outils génétiques, comme CRISPR qui est en soi une révolution pour les sciences génétiques. Ils nous permettent de placer des gènes individuels qui codent des caractéristiques spécifiques dans le génome des êtres vivants.
C'est que cherche à faire le projet Woolly Mammoth. Avant, nous recherchions des informations dans l'ADN. Maintenant nous pouvons le composer. Le monde dans lequel nous vivons est très différent du monde de 2050, surtout si l'on tient compte de ce que l'on développe aujourd'hui en laboratoires. On parle de différents types de technologies, d'intelligence artificielle et de robotique. Mais je crois que ce n'est rien comparé aux avancées constatées en biologie. À partir du moment où vous pouvez re-créer des gènes, reconstruire les bases de toute forme de vie, il n'y a pas de limite à ce que vous pouvez faire.
Une défense de mammouth immaculée est découverte toujours attachée au crâne.
photographie de Evgenia Arbugaeva, National Geographic Creative
La force motrice de ce projet est le généticien américain George Church. Pourriez-vous nous en dire plus sur cet homme et sur ce projet ?
Il sort tout droit d'un film hollywoodien ! Il fait 2 mètres, a une énorme barbe et des cheveux poivre et sel. Il ressemble un peu à l'image qu'on se fait de Dieu...[rires]. Il a grandi près de Tampa, en Floride, a été élevé par sa mère. À partir de l'âge de 12 ans, George a commencé à penser qu'il avait été envoyé du futur et que sa mission était de transformer le monde pour lui donner les traits de son univers d'origine.
C'est un peu le Einstein moderne. Il a été le plus jeune scientifique à faire partie du Human Genome Project, dans le cadre duquel il a développé des moyens plus rapides de séquencer les génomes humains.
  L'autre pôle de cette initiative est la steppe sibérienne. Parlez-nous de l'équipe père-fils formée par Sergei et Nikita Zimov et l'idée derrière la création du parc Pleistocène.
La grande question est : « Pourquoi ressusciter un mammouth laineux ? » La raison, c'est la Russie. Les plaines sibériennes, ou les steppes, sont ces vastes étendues de terre composées de pergélisol, où les populations animales sont sur le déclin. Cela n'a pas toujours été le cas. Et le problème, c'est que la toundra est une sorte de bombe à retardement. Il faudrait brûler toutes les forêts du monde trois fois pour obtenir la quantité de carbone prise au piège dans le pergélisol. Et au fur et à mesure que le monde se réchauffe, le pergélisol fond et libère le CO2. 
Sergei et son fils Nikita mènent une expérience depuis les années 1980. Ils ont délimité une zone de la toundra dans laquelle ils ont réintroduit les animaux de l'époque du Pléistocène, comme des rennes, des bisons et des chevaux Yakut. Ils ont également apporté un tank soviétique pour imiter un mammouth. Ce qu'ils ont découvert, c'est que vous pouvez réduire la température du pergélisol jusqu'à 9.4°C en réintroduisant ces animaux. Parce que les grands herbivores encouragent la croissance des graminées des steppes, qui à leur tour ont un effet albédo élevé. Ces graminées de couleur claire reflètent la lumière du soleil dans l'atmosphère comme un miroir, réduisant la chaleur absorbée dans la Terre, les températures et donc la fonte du pergélisol.
  J'ai été surpris d'apprendre qu'il y avait assez de mammouths laineux dans le pergélisol sibérien pour satisfaire des trafiquants d'ivoire...
Les mammouths laineux refont surface à mesure que le pergélisol fond. Leurs défenses valent environ 250 000 $ chacune (environ 220 000 €). Il y a donc un vrai trafic d'ivoire de mammouth, en particulier en Chine, ce qui est légal parce que ce n'est pas une espèce menacée mais une espèce éteinte. La récolte est très dangereuse. Il faut naviguer à travers l'eau gelée pour arriver à ces minuscules îlots où les carcasses sont les plus abondantes et creuser pour extraire les défenses. Une seule défense permet à un village de subvenir à ses besoins annuels.
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Représentation de mammouth dans une tente.
photographie de Evgenia Arbugaeva, National Geographic Creative
Comment résumeriez-vous les défis scientifiques que représente la résurrection d'un mammouth laineux ?
Alors d'abord, vous devez séquencer l'ADN d'un mammouth préhistorique. Les carcasses gelées remontent à la surface. Vous en extrayez un échantillon et vous séquencez le génome. Une fois le séquençage fait, vous connaissez le génome du mammouth. Vous choisissez donc les caractéristiques les plus importantes qui font du mammouth l'animal qu'il est. 99 % de son génome est similaire à celui de l'éléphant d'Asie. Le laboratoire de recherche dirigé par Church est donc convaincu que si un mammouth laineux s'accouplait avec un éléphant d'Asie, ils pourraient se reproduire. Contrairement à Jurassic Park, vous ne clonez pas un mammouth laineux. Le matériel disponible dans les carcasses s'est dégradé pendant les 3 000 à 12 000 ans au cours desquels il a été irradié et malmené par l'érosion naturelle.
Au lieu de cela, vous synthétisez les gènes, vous les placez dans un embryon d'éléphant d'Asie, vous replacez l'embryon dans le ventre de la génitrice et celle-ci donnera naissance à un mammouth laineux. Le laboratoire de Church travaille aussi sur le projet d'un ventre synthétique pour assurer la gestation. Leur objectif est d'obtenir un premier bébé d'ici deux à trois ans.
  L'idée de « fabriquer » des nouvelles formes de vie en laboratoire n'est pas sans rappeler Frankenstein, ou une tentation de se prendre pour Dieu. D'un point de vue éthique, que penser de ces avancées scientifiques ?
C'est une grande question.Il faut anticiper tous les aspects éthiques avant de se lancer dans une telle entreprise parce que la science peut prendre de l'avance sans se soucier de la morale. Dans ce cas, je crois que ramener à la vie des espèces éteintes comme le mammouth est moins de l'ordre de se prendre pour Dieu que de rectifier une erreur que l'être humain a commise. La plupart des conservationnistes seraient, je pense, d'accord avec ça. Et les scientifiques se prennent pour Dieu de façon quotidienne. Quand vous tentez de soigner le cancer ou d'éradiquer la malaria, vous interférez dans les processus de vie.
Ce qu'il y a de plus inquiétant, c'est qu'aucune entité n'encadre ces recherches. Partout dans le monde, il existe des laboratoires travaillant sur ce genre de sujets. Plusieurs pays sont impliqués et la plupart des scientifiques estiment que leurs recherches supplantent les autorités locales ou même étatiques.
  À la fin de votre livre, vous racontez qu'une équipe russo-coréenne a trouvé un mammouth congelé et que du sang figé dans ses veines était encore visible. Est-ce vrai et est-ce que leur projet est différent du projet américain ?
L'entreprise coréenne Sooam Biotech a été créée par un scientifique qui a depuis été discrédité pour avoir prétendu avoir cloné des cellules humaines. C'était faux mais il a tenté de se racheter une réputation en créant une société qui clone des chiens. Il tente lui aussi de ramener le mammouth laineux à la vie. Son objectif est de trouver du matériel génétique de mammouth dans les meilleures conditions de préservation possibles pour pouvoir le cloner. Nombreux sont les scientifiques qui estiment cela impossible. Mais une équipe russe avec laquelle il collabore a mis au jour un mammouth laineux à-demi émergé de la glace qui était dans un tel état de conservation que du sang liquide a pu être prélevé.
Que ce soit vrai ou pas... c'est difficile à dire. Ce matériel prélevé a été mis au secret dans une université russe. S'il existe vraiment, si un mammouth aussi bien conservé a pu livrer du sang liquide, peut-être pourra-t-on cloner ce matériel génétique et faire revivre les mammouths. George et son équipe ne pensent pas que cela soit possible. Mais qui sait ?
  Cet entretien a été édité et coupé pour des soucis de clarté.
Retrouvez Simon Worrall sur Twitter
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ouyander · 2 years
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La Réserve De La Somone, l'un des sites paradisiaques su Sénégal est un véritable Sanctuaire De La Biodiversité. D’une superficie de 700 ha, la lagune de la Somone est classée réserve naturelle. Réserve De La Somone, Un Sanctuaire De La Biodiversité Réserve De La Somone, Un Sanctuaire De La Biodiversité 2 L’aire marine protégée (AMP) de la Somone, dont l’écosystème naturel de mangroves ceinture une lagune salée, est un site écologique riche et plein de charme, qui s’étend sur plus de 4.000 hectares à cheval sur la mer et la terre ferme. Elle est, cependant, confrontée à un problème d’empiétement lié au fait que, faute de moyens, les autochtones n’ont plus de prise sur leur terroir, les investisseurs ayant commencé à se ruer vers sa lagune. Cela a réduit, du coup, la superficie de cette réserve qu’il est nécessaire de préserver et de sauvegarder, justifiant la nécessité d’éradiquer les activités humaines qui diminuent fortement son étendue. Situation géographique offrant un maximum d’espaces sur la lagune Somone doit, en effet, sa spécificité à sa mangrove, mais aussi, à sa situation géographique offrant un maximum d’espaces sur la lagune, déclare Chérif Khatab Diop, le conservateur de cette réserve. https://twitter.com/LamineNdiay11/status/1094353754072203269 ‘’Nous sommes là pour accompagner les populations largement attributaires de ces ressources, les réglementer, disposer d’un canevas les orientant sur ce qui est permis et leur interdisant ce qu’il y a à éviter’’, explique-t-il. ‘’L’homme dépend de la nature pour sa survie’’, lance-t-il d’emblée, en s’adressant à la presse, lors d’une visite de terrain organisée en marge d’un atelier de formation des journalistes sur ‘’les enjeux de l’eau et le développement durable’’, à l’initiative de l’association ‘’Africa 21’’. Il estime que lui et son équipe ont ‘’un travail exorbitant à accomplir avec l’aide du comité local de gestion de ce site et l’appui de l’Etat, dont la politique doit être valorisée à ce niveau’’. Richesse végétale, animale et ornithologique Réserve De La Somone, Un Sanctuaire De La Biodiversité3 Près de 9 agents étatiques et 12 éco-gardes assurent la surveillance de cet écosystème riche de diverses variétés végétales et animales. Soixante espèces végétales et quarante-trois espèces de poisson y sont recensées, compte non tenu des oiseaux qui le peuplent. ‘’Un suivi régulier se tient pour avoir le potentiel réel de la lagune en matière d’ornithologie’’, signale Chérif Khatab Diop. Il relève que l’AMP est aujourd’hui menacée par la prolifération de réceptifs hôteliers. Nom Somone vient de l’ethnie originaire du sud de la Casamance La Somone doit son nom au village éponyme, mais aussi, au bras de mer qui alimente sa lagune. Le nom Somone vient de l’ethnie somonos-somonos, originaire du sud de la Casamance. Pour la plupart, les membres de cette ethnie sont venus du Mali pour s’installer dans ce petit coin de La Somone, explique Saliou Mbodj, le président du comité de gestion du site. ‘’C’est une population qui s’était spécialisée dans la pêche. Même si nos parents habitaient la terre ferme, ils n’avaient pas tout à fait accès à la mer’’, rappelle-t-il. Les somonos-somonos, spécialisés dans la pêche, s’adonnaient à cette activité au niveau de la lagune et ravitaillaient les habitants en poissons. C’est par la suite que le village de la Somone est né. Très dégradé à cause de l’action humaine Réserve De La Somone, Un Sanctuaire De La Biodiversité1 Aujourd’hui, le bras de mer Somone a un écosystème très varié mais qui, à l’origine, était très dégradé à cause de l’action humaine. C’est un milieu composé de produits halieutiques (poissons et crustacés) et de mangroves et dont le bois peut servir à la cuisson, grâce à sa résistance aux termites. La réserve regroupe les villages environnants de Guéréw, Thiafoura Srokhassap, Popenguine et Ndayane. Leurs habitants se sont mis naturellement ensemble, accompagnés d’agents de l’Etat pour le reboisement de la lagune.
C’est en repiquant que l’on s’est rendu compte que la mangrove a commencé à reprendre forme, et les produits halieutiques sont de nouveaux apparus, déclare Saliou Mbodj. La suite d’une délibération du conseil rural ‘’C’est à ce moment que nous avons pris pour option de préserver la lagune ainsi que d’avoir cette vision de conservation’’, explique-t-il. A lire aussi Les fortes pluies font déborder le fleuve Sénégal entre Bakel et Matam La réserve naturelle d’intérêt communautaire, dont la superficie initiale est de 700 hectares, a été créée à la demande des populations, à la suite d’une délibération du conseil rural, qui regroupait à l’époque les villages de Guéréw (Guéréo), Thiafoura, Srokhassap et Somone. ‘’On s’est dit qu’un seul village ne peut pas préserver cette lagune si les autres continuent les mêmes pratiques. C’est la raison de cette union avec l’accompagnement des agents techniques de l’Etat’’, explique le volontaire. L’écotourisme et ses retombées Réserve De La Somone, Un Sanctuaire De La Biodiversité La destination Somone se portant bien, un système de tarification a été mis en place au niveau de la réserve pour réguler les visites dans le cadre de l’écotourisme, permettant ainsi aux populations de bénéficier de retombées. Suivant le type d’activités, les tickets d’entrée sont fixés entre 500 et 100 mille francs. ‘’L’activité première est d’abord de conserver ce site (…)’’, rappelle Saliou Mbodj. D’une superficie de 4.000 hectares, cette aire marine protégée permet le retour des oiseaux migrateurs. Et huîtres, arches, crevettes, crabes, crustacés et tortues marines, disparus depuis 15 ans, se côtoient dans la mangrove, sous le ballet des oiseaux migrateurs. Au confluent des milieux marin et terrestre se dressent des palétuviers, des arbres dotés de mécanismes physiologiques très particuliers qui leur permettent de s’adapter à des conditions de vie très difficiles. Au Sénégal, indique-t-on, seules six espèces de palétuviers ont réussi à s’adapter. Parmi elles, trois sont dominantes : rhizophora mangle (le mange rouge) rhizophora racemasa (le palétuvier rouge) et avicennia africana. ‘’La lagune ne doit pas subir trop de pression par rapport à ses ressources naturelles. C’est pourquoi on a mis en place une période de repos biologique d’une durée de quatre mois (du 1er août au 30 novembre)’’, informe-t-il. Durant cette période, a-t-il indiqué, certaines espèces doivent être laissées se développer et d’autres se reproduire, comme les poissons, les arches, les huîtres, notamment celle sauvages qui s’agrippent à la mangrove. Bienfaits du repos biologique Avec le respect du repos biologique, la lagune a renoué avec la présence de poissons de grande taille. Des normes de pêche sont en effet édictées de manière à équilibrer les activités et éviter ainsi la pression sur la ressource. ‘’Seule la pêche sélective est autorisée’’, précise Saliou Mbodj. Sur le sentier de la lagune qui s’étire sur près de 2 km vers l’autre bout de l’AMP maritime, peuplée de mangroves, se dresse une rivière abritant une grande diversité d’organismes vivants, de poissons, de crustacés, comme le crabe violoniste. Ce dernier, qui tient son nom de sa pince gauche proéminente, joue un rôle très important dans l’aération des sols de la mangrove. Aux heures chaudes de la journée, les crabes violonistes sortent et s’enfouissent dans leurs terriers, en attendant le reflux de la marée. A l’approche des visiteurs du jour, ils s’éloignent au plus vite du chemin et se réfugient au pied des palétuviers. Un paysage séduisant s’offre à la vue dans cette AMP créée par décret présidentiel en 2020, pour mieux préserver la lagune. Celle-ci est, aujourd’hui, menacée par l’ensablement causé par des aménagements effectués en amont de la rivière Somone. Pendant la saison de pluies, indique Saliou Mbodj, des effets de chasse d’eau doivent permettre à l’eau qui avait été entraînée par le courant maritime d’être remontée en mer.
Il prévient que si ces effets de chasse d’eau ne sont pas rétablis en amont, un ensablement de la lagune est à craindre. ‘’Nous sommes en train de chercher des partenaires, car cela demande des investissements lourds que l’Etat seul ne peut prendre en charge. Ainsi, l’Union européenne et la Direction des aires protégées, le GIZ [coopération allemande pour le développement] y réfléchissent. Des études bathymétriques et environnementales ont été effectuées’’, signale-t-il. Il ajoute qu’il ‘’reste à lancer l’appel d’offres pour aller vers le dragage de la lagune’’. ‘’Les populations aussi attendent cela, sinon nous perdons une grande partie d’elle et de son écosystème’’, avertit-il. Arrêt de l’exode rural Réserve De La Somone, Un Sanctuaire De La Biodiversité kafunel.comCapture Selon lui, le fait de préserver cette lagune a permis de maintenir les populations sur ce terroir, de lutter contre l’émigration clandestine en créant des emplois verts avec l’écotourisme, à travers les balades payantes en mer. A cela s’ajoute l’installation d’hôtels qui favorise également la création d’emplois. ‘’ On peut naître et rester sur place jusqu’à la retraite, sans quitter La Somone. C’est cela l’aspect économique et social qui vient s’y ajouter’’, se réjouit-il. Une balade en pirogue dans cette mangrove tropicale renseigne sur la diversité écologique de la lagune dont le lit et les canaux sont remplis en permanence d’eau. Cela permet aussi de découvrir les diverses espèces halieutiques et ornithologues dans cet endroit magique, dont le calme et la quiétude en cette période de l’année renseignent à suffisance sur l’effectivité du repos biologique. Le petit sentier qui y conduit, est balisé sur près d’une longueur de deux kilomètres. Pour guider les visiteurs, des panneaux pédagogiques sont implantés dans la réserve afin de faciliter la découverte de son écosystème soumis aux aléas climatiques L’ambiance, calme, est parfois dérangée par les cris de bandes d’oiseaux de diverses espèces qui viennent s’y réfugier. Au bout du chemin, un observatoire surplombe l’estuaire. Le site donnant une belle vue sur la vasière. A l’intérieur, des panneaux indiquent les espèces d’oiseaux fréquentant ce milieu aquatique peuplé de mangroves. Ces oiseaux le rendent attractif et jouent un rôle important dans cette réserve, qui abrite près de 172 espèces. L’endroit est prisé par bon nombre d’entre eux qui viennent se nourrir au cœur des bancs de sable et des racines des palétuviers en marée basse. L’écosystème est extrêmement riche mais fragile, prévient notre guide. Par moments, une volée vient briser la quiétude des lieux. Les crabes violonistes, non plus, ne sont pas en reste. La mangrove étant essentielle à la reproduction des poissons, régulièrement, les populations locales, en particulier les femmes, reboisent les palétuviers et nettoient la lagune des déchets plastiques charriés par la mer. Pendant la balade et sous un soleil de plomb, nous croisons un groupe de femmes portant des bassines sur la tête et partant pour la cueillette des coquillages au fond des eaux. Cette promenade sur ce plan d’eau connecté à l’océan Atlantique a permis de mesurer la beauté du site et sa splendeur. L’embouchure, large de quelques mètres, se jette dans le grand bleu avec, à l’arrière-plan, de modestes restaurants et des hôtels. A chaque fois que la vedette s’approche d’un endroit, le piroguier ralentit la vitesse du moteur, baissant d’un cran son vrombissement pour éviter de déranger les oiseaux. ’’Baye Sang’’, le génie "blanc’’ Bienvenue sur kafunel TV ! La balade se termine par la rencontre avec le génie du village, ‘’Baye Sang’’. Un génie de race blanche, dit-on. Sur un espace dénudé s’élève un baobab nain. L’arbre, sans feuilles, et paré de cauris, est, dit-on, sacré. Cet arbre, qui ne fait pas plus de deux mètres, a résisté au temps et serait plus que centenaire. Les populations et même certains visiteurs viennent y faire des sacrifices. Chaque coquillage posé est un vœu prononcé.
Des touristes viennent d’horizons divers pour l’admirer ou même parfois pour formuler des vœux. Saliou Mbodj précise à ce propos que c’est un seul vœu qui est accepté. Le seul à avoir résisté aux aléas marins, il est devenu un arbre-fétiche. En cela, il est considéré comme l’habitat du génie protecteur ‘’Baye Sang’’, déformation sémantique de ‘’Baye Jean’’ (le père Jean).
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