Tumgik
#et une de mes manières de le faire c'est prendre mes crayons pour dessiner un bon coup
lilias42 · 10 months
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Quelques gribouillis des Braves
Bon, j'avais bien besoin de dessiner un peu alors, j'ai passé au noir quelques dessins : un de Pyrkaïa et un de Gloucester Paenitens !
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(la deuxième est une photocopie de l'original qui est resté en noir et blanc)
C'est toujours ultra long de faire chaque petit détail de la peau de Pyrkaïa mais, c'est aussi très satisfaisant à faire, quand chaque petite rainure et craquement se détache et devient bien plus net qu'au crayon ! Idem pour le coloriage, même si j'ai eu de la chance, mon rouge était plus couvrant que le crayon que j'utilise pour faire la peau de Pyrkaïa alors, j'ai pu colorier sa peau à grand coup de crayon.
J'ai essayé de la dessiner comme ses ennemis la perçoit au combat et de faire ressortir son oeil gauche qui s'enflamme. C'est un des éléments qui ressort le plus de son design pour moi (même s'il est assez classique aussi) alors, je voulais le mettre en valeur avec sa flamme bleue. Je la voie au combat comme étant vraiment monstrueuse pour ses ennemis au combat : elle est très solide comme tous les sorciers et se régénère très vite, les armes fondent quand on les approche trop d'elle, et elle est sans cesse entouré de flamme, ce qui donne l'impression que c'est un vrai monstre. Pyrkaïa en est très consciente et même si elle se battra toujours pour défendre les siens et les plus faibles (notamment les hilotes, elle s'est fait une spécialité de repousser les jeunes homoioi qui participent à la cryptie et les hilotes vont souvent se planquer chez elle pour se protéger), elle reste toujours très critique et refusera d'attaquer des innocents ou des personnes sans défense, et préviendra toujours ses ennemis de s'enfuir avant le début du combat car s'ils l'affrontent, seul la mort les attend donc, autant fuir et continuer sa vie plutôt que de la jeter dans le feu (j'ai notamment une idée où elle arrive au début de la bataille contre Lonato où elle dit qu'elle se charge tout elle-même, faisant fuir les paysans ou les capturant, capturant aussi Lonato pour lui passer le savon de sa vie mais malgré tout, ils sont mort de peur devant elle à cause de sa puissance et de l'état où elle a laissé ceux qui ont refusé de fuir et qu'elle n'a pas pu neutraliser, faisant littéralement cuire les soldats blindés dans leur armure)
Pour Paenitens, je le met sous la coupe car, un élément de son apparence peut rentrer dans de l'horreur corporelle : il a la moitié du visage sans peau, ce qui expose ses os et son oeil dans son orbite. Il est devenu ainsi quand, aveuglé par la vengeance, il a essayé d'utiliser l'énergie d'un animal pour alimenter son pouvoir. Cependant, les règles de la sorcellerie sont formelles : le sorcier doit payer les conséquences de sa sorcellerie lui-même et ne jamais les faire subir à d'autres. Elle s'est donc retournée contre lui et au lieu de lui ajouter quelque chose comme le font toujours les fiertés, elle lui a enlevé une partie de sa peau, le rendant également boiteux étant donné qu'il n'a plus beaucoup de force sur son côté droit, ce qui l'oblige à marcher avec une canne.
Kelon Riegan est arrivé à temps pour le sauver mais, personne ne serait intervenu, Paenitens serait sans doute mort, ce qui l'a poussé à se remettre en question et à abandonner sa vengeance, prenant le surnom de Paenitens pour souligner qu'il se repent de ses anciennes actions, même s'il voue toujours une haine farouche à la "créature de feu" qui a chassé son peuple de ses terres, même si ça créera des problèmes avec son autre voisine, Daphnel, qui connait très bien cette "créature" et l'aime beaucoup, cette attaque lui ayant évité d'être vendu au plus offrant comme esclave.
Il est également bien moins flamboyant que Lorenz, même s'ils se ressemblent beaucoup physiquement, étant bien plus calme et réservé que son descendant alors, j'ai essayé de montrer sa gravité, ainsi que le contraste entre les deux côtés de son visage, son côté droit étant caché par sa longue mèche sur le côté, même s'il la remonte quand il met les autres en garde. Etant donné qu'il est lié à la terre, j'ai essayé de rendre son visage un peu craquelé comme de l'argile sèche, avec des morceaux plus meubles qui peuvent être remanier à sa guise, Paenitens étant aussi potier.
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beatlesonline-blog · 2 years
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contesdefleurs · 2 years
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Écrire quotidiennement
Écrire quotidiennement ne signifie pas nécessairement écrire 1000 mots par jour ou n'écrire que des romans. Cela dépend des objectifs de chacun-e, et les personnes qui visent des chiffres, petits ou grands en particulier, que ce soit dans le cadre d'un défi, personnel ou non, n'est ni une bonne ni une mauvaise chose en soi. Ce qui compte, c'est ce que cela apporte à chaque écrivain-e. Parfois, il peut arriver que l'on culpabilise de ne pas écrire tous les jours, et ce n'est pas chose aisée non plus de le faire. Il existe plein de manières de libérer sa plume, et dans les périodes de page blanche, peut-être que les quelques exemples présentés dans ce billet pourront vous être utiles. En tout cas, j'espère qu'ils le seront. Voici quelques moyens pour écrire quotidiennement.
TENIR UN SUPPORT LIBRE
Il arrive qu'on ne sache pas quoi écrire, parce qu'on se met beaucoup de pression avec la forme, le fond, la cohérence, ou que l'on obtienne difficilement satisfaction, ce qui peut être frustrant. Quand on travaille sur un projet qu'on compte publier, plateformes et formats confondus, c'est normal. Encore plus quand il s'agit d'une œuvre qui nous tient très à cœur.
Cependant, il y a des supports où il est possible de se libérer de ces règles. Par exemple, en tenant un cahier, un carnet, un classeur ou un document numérique pour écrire tout ce que l'on souhaite sans que tout soit cohérent, se suive, et sans se soucier de la quantité, de la forme ou du fond. On peut même dessiner pour accompagner les textes. En bref, un support où on se donne toutes les libertés, pour expérimenter, y coucher ce qui nous traverse l'esprit, que ce soit un mot, une phrase, un vers, un paragraphe, qu'importe.
De cette façon, selon les jours, la motivation et l'envie, on peut écrire assez régulièrement. Concernant le support, physique ou numérique, prenez ce qui semble le mieux pour vous. Et si vous n'en avez aucune idée, commencez très petit si c'est un support physique. Si vous vous rendez compte qu'il vous faut un support plus grand, n'hésitez pas à vous en procurer un.
Personnellement, je tiens deux carnets. Un que j'emmène de partout dans lequel j'écris des histoires non préparées où j'improvise tout et un second où je varie les formes (prose, vers, citations, dialogues, etc). Au début, ça ne marchait pas trop, mais en me laissant plus de libertés, j'ai fini par écrire de plus en plus souvent, sans me soucier de la quantité de mots. Plein de choses sont possibles.
UN CARNET DE BONS SOUVENIRS
Plein de déclencheurs peuvent être intéressants pour écrire de manière quotidienne. Il est possible de prendre un carnet qui n'ait qu'une seule fonction. Ça peut être par exemple un carnet de bons souvenirs.
Consigner des évènements qui procurent du bien-être un peu tous les jours, peu importe la quantité de mots, non seulement ça va possiblement vous permettre de constituer un objet unique que vous pourrez utiliser dans des moments compliqués, mais en plus c'est un bon moyen pour écrire régulièrement : en fin ou début de journée, à une heure précise, de façon libre selon les moments, etc. Un petit carnet et un crayon ou un stylo à avoir tout le temps à portée de main peut être pratique, mais tout dépend de vos préférences.
ÉCRIRE UNE PHRASE PAR JOUR
Pour ne pas écrire des textes qui risquent de paraître trop longs, donc d'être peu motivants, et si vous avez un emploi du temps plutôt chargé, viser des formes très courtes de textes permet parfois de tenir un rythme très régulier. Il n'est pas nécessaire de faire de longs paragraphes. Par exemple, écrire une phrase par jour peut être un compromis si on a trop de choses à gérer ou à faire. Elle peut être liée à plein de choses :
Une saison
Une sensation
Un mot
Un plat
Une personne
Une ambiance
Un évènement
Une période
Une fête
Une créature/un animal
Une musique
Liste non exhaustive.
AVOIR UNE CORRESPONDANCE
Réelle, fictive, entre vos personnages, avec des proches, des ami-e-s, dans le cadre d'un JDR, qu'importe. Quand le texte est destiné à être lu, ou qu'il vise davantage une forme de dialogue, même s'il n'y a pas de réponse, ça peut être un bon moyen d'écrire un peu tous les jours. Pour les détails, c'est à vous de décider. Pour avoir tenté la correspondance, même si je ne faisais jamais lire mes lettres, ça m'a bien aidé, et en partie soulagé quand je ne savais pas comment parler aux autres.
CONCLUSION
Ces quelques moyens ne marcheront pas systématiquement, peut-être même qu'ils ne fonctionneront pas du tout, et il en existe bien d'autres. Toutefois, il est possible que ça donne des pistes de recherche pour trouver des méthodes adaptées à vos besoins, goûts et envies. Je l'espère. Je vous souhaite une bonne continuation dans ce que vous faites en attendant.
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Merci pour ta lecture ! À bientôt pour de nouvelles aventures !
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mina-thms · 4 years
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Psychotic Love
Chapitre 6 : jeu d’énigmes
Chapitre 1 : le dossier | Chapitre 2 : la demande de stage | Chapitre 3 : le patient | Chapitre 4 : la première discussion | Chapitre 5 : coup de cœur | Chapitre 6 : jeu d’énigmes |  Chapitre 7 : talent caché | Chapitre 8 : garde de nuit | Chapitre 9 : calmants douloureux | Chapitre 10 : sentiments ambigus | Chapitre 11 : conversation intense | Chapitre 12 : effrayant passé | Chapitre 13 : sentiments dévoilés | Chapitre 14 : règlement enfreint | Chapitre 15 : étrange ressentiment | Chapitre 16 : jalousie maladive | Chapitre 17 : intimement liés | Chapitre 18 : échec et mat | Chapitre 19 : suicide | Chapitre 20 : état de choc | Chapitre 21 : sortie illégale | Chapitre 22 : cavale improvisée | Chapitre 23 : cachette improbable | Chapitre 24 : crise de panique | Chapitre 25 : horribles révélations | Chapitre 26 : cœur brisé | Chapitre 27 : vérités | Chapitre 28 : réconciliation troublante | Chapitre 29 : évadé retrouvé | Chapitre 30 : une fin anticipée
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Lexa émergea doucement de son sommeil en s'asseyant lentement dans son lit enveloppée dans sa douce couverture blanche. Elle étira ses bras vers le plafond avant de retirer la couverture de son corps. Elle posa ses pieds sur le sol froid de sa chambre et se dirigea vers la salle de bain pour faire sa routine matinale avant d'y sortir et d'aller dans sa cuisine pour prendre son petit-déjeuner. La jeune fille se prépara un thé à la pomme et à la cannelle accompagné d'un croissant. Elle s'assit et souffla doucement sur le dessus de sa tasse pour refroidir le liquide se trouvant à l'intérieur avant de boire son thé par petite gorgée tout en admirant le paysage par sa fenêtre. Lexa posa sa tasse dans l'évier une fois terminée et la nettoya avant de retourner dans sa chambre pour se préparer pour sa nouvelle journée de cours. Arrivée dans sa chambre, elle prit son téléphone et vérifia si elle n'avait pas reçu de message de la part de Tiana avant de le reposer en voyant qu'il n'y avait pas de nouveau message et se prépara. Elle enfila une chemise colorée à manche longue en flanelle ainsi qu'un jeans noir retroussé au niveau des chevilles. La jeune femme prit son téléphone ainsi qu'une veste légère après avoir fait son lit et se dirigea dans son bureau pour récupérer son sac avant de se diriger vers sa porte d'entrée. Elle regarda sa montre et remarqua qu'il est seulement 09H13. Elle vérifia que les lumières sont éteintes après avoir enfilé ses chaussures. Elle ouvrit la porte et sortit de son appartement avant de claquer sa porte. Elle descendit les escaliers et sortit de l'immeuble. Elle sentit son téléphone vibrer, le sortit et sourit en remarquant un message de sa mère l'informant d'un appel vidéo prévu dans la soirée. Elle parla un peu avec sa mère et mit fin à la discussion en remarquant qu'elle se trouvait devant la faculté. Elle entra et fit face à Nick qui semblait l'attendre. — Salut Lexa ! déclara-t-il vivement en passant son bras sur les épaules de la jeune fille. Ma mère m'a dit de te prévenir que tu recevras sans doute un message de sa part vers 15H00. Tu verras avec elle pour la visite et tout le reste, du coup. Ils se dirigèrent tous les deux vers la salle de cours de Monsieur Kesey. Ça allait être la dernière fois que Lexa verrait son professeur avant 6 mois. Ils entrèrent tous les deux dans la salle de classe et saluèrent leur professeur alors que Nick retira son bras des épaules de Lexa. Ils s'installèrent à leur place et attendirent le début du cours qui ne tarda pas à arriver après que tous les élèves soient arrivés. — C'est la dernière fois que nous nous voyons avant le début de votre stage. La prochaine fois que nous nous verrons, ce sera dans 6 mois. Je vois que tout le monde a validé sa demande de stage sauf deux personnes : Aymerick Schmitt et Nathan Becker. Avez-vous tous les deux trouvé un stage ou non ? leur demanda Monsieur Kesey. — Oui, nous avons trouvé Monsieur. Nous devons juste le faire valider par le proviseur, déclara un jeune homme blond dont Lexa soupçonnait être Aymerick. Le professeur hocha la tête avant de revenir à ses explications. — J'attends de vous, une conduite exemplaire de votre part. D'une part, pour vous permettre un possible avenir dans l'établissement que vous avez choisi et d'autre part, pour maintenir la réputation de cette école, qui est, si vous n'êtes pas au courant, très bonne. Chaque fin de semaine, vous devrez faire un compte-rendu de ce qui s'est passé ainsi que vos ressentis et vos impressions personnelles. Le professeur continuait de parler mais Lexa ne l'écoutait plus préférant dessiner des fleurs dans son cahier. — Imagines si le prof devient ton beau-père ! chuchota Nick en étouffant un ricanement. Lexa lui lança un regard glacial. Elle n'y avait même pas pensé. Si un jour ils venaient à se marier, l'homme qui aurait été un jour son professeur référent deviendrait son beau-père. Lexa reprit rapidement ses esprits avant de poser violemment sa tête sur la table après y avoir croisé ses bras et laisse un soupir échapper de sa bouche. Voilà qu'elle parlait mariage maintenant. Ils ne s'étaient parlé qu'une ou deux fois et elle pensait déjà à un mariage qui ne se ferait jamais au vu de la situation du jeune homme. La jeune femme se sentait pathétique et n'avait aucune idée de quoi faire. Alors que son esprit divaguait un peu trop loin dans sa relation quasi-inexistante avec Aedan Kesey, une question vint perturber l'esprit de Lexa qui se releva brusquement faisant sursauter son ami. — Au fait, tu sais où je vais faire mon stage mais moi, je ne sais pas où tu vas. Elle vit un sourire apparaître sur le visage de son ami. — Je pensais que tu ne demanderais jamais. Je vais faire mon stage dans une clinique vétérinaire. Lexa remarqua l'étincelle de joie dans les yeux de son ami et se mit à le contempler. Elle ne l'avait jamais encore regardé de cette façon. La jeune femme voyait très bien que son ami n'était pas moche, loin de là. Mais en le regardant de cette manière, Lexa sentit son estomac se contracter et commença à se sentir mal en se rendant compte de ce qu'elle faisait : admirer son ami qui se trouvait être en couple, n'était pas non plus la bonne chose à faire. Elle décida donc de s'occuper l'esprit en parlant avec Nick tout en espérant que cette attirance pour son ami disparaisse. — Oh ! Tu aimes les animaux ? Je savais pas. C'est pas trop mon truc pour ma part, mais je trouve ton ambition super, répliqua Lexa doucement. Elle se mit à dessiner un petit renard au crayon de papier dans son cahier, pour s'occuper les mains qu'elle risquerait de torturer. — Pourquoi n'aimes-tu pas les animaux ? demanda-t-il en jetant un coup d'œil au dessin de Lexa. Je vois que tu aimes pourtant beaucoup les renards. Si je ne m'abuse, ils ne sont pas les animaux les plus gentils. Lexa sourit doucement en repensant à un souvenir d'elle lorsqu'elle était petite accompagnée de sa mère. Elles se trouvaient toutes les deux dans un champs à cueillir des primevères officinales plus communément appelé coucou, lorsque Lexa aperçut une créature brune oranger courant à travers champs. La petite fille qu'était Lexa avait tiré sur le t-shirt de sa mère et lui avait montré le magnifique renard qui chassait quelque chose. Malgré la grande peur qu'elle possédait envers les animaux, elle ne put s'empêcher d'apprécier cette créature de feu. Sa mère lui avait ensuite dit que Lexa était son petit renard, un surnom que Lexa se souvint avoir adoré, et le faisant toujours. Lorsque sa mère l'appelait comme ça, la jeune femme avait l'impression de retourner à un âge où rien n'était grave et tout était à apprendre. Parfois Lexa regrettait cette période et elle considérait qu'elle n'en avait pas assez profité. Elle ne gardait que très peu de souvenirs de son enfance passée majoritairement avec son petit frère et sa mère. Son père n'était pas très souvent à la maison, en raison de son travail et Lexa regrettait de ne pas avoir profité de son père au maximum car depuis qu'elle était entrée dans l'adolescence, la relation avec son père était devenue très conflictuelle. Elle adorerait dire à son père qu'elle l'aimait et le serrer fortement dans ses bras comme elle le faisait avec sa mère mais chaque fois qu'elle s'apprêtait à le faire, quelque chose la bloquait et elle se rétractait. Lexa sentit son esprit divaguer vers tout autre chose et reprit ses esprits en voyant la main de Nick passer devant ses yeux. — Quand j'étais petite, nous avions un chien. Il s'appelait Milou. Mais je ne sais pas trop comment s'est arrivé, du jour au lendemain, j'ai développé une phobie pour les chiens. Ainsi que pour tout autre animaux susceptibles de me blesser mis à part les renards, rétorqua Lexa avec beaucoup de tristesse dans sa voix. J'aime beaucoup les renards, ils sont si intéressants et beaux. Ma mère me disait et me dit toujours que je suis son petit renard parce que j'étais très rusée pour mon âge. Et je trouve ces créatures vraiment magnifiques. Nick acquiesça, touché que Lexa se soit confié à lui car cette dernière ne parlait pas énormément d'elle et préférait écouter les autres parler plutôt que l'inverse. Pourtant Nick trouvait son amie très intéressante et se dit qu'elle ne devrait pas avoir peur de parler d'elle et de son expérience avec lui car il ne la jugerait jamais. Plusieurs dizaines de minutes plus tard, la sonnerie retentit signalant la fin de la journée pour Nick et Lexa. Lexa rangea ses affaires et se dirigea vers la sortie de la salle accompagnée de Nick après avoir salué leur professeur qui répéta une dernière fois à Lexa, de faire attention. La jeune femme remarqua qu'il était déjà 12H57 et accéléra un peu sa cadence en pensant à tout ce qui lui restait à faire. — Bonne chance avec Aedan, commença-t-il et Lexa se tourna vers lui avant de voir Ciarana arriver vers eux. Tout d'un coup ses pensées envers Nick lui reviennent et elle se sentit coupable. Mais elle décida de ne pas parler de ses pensées à Ciarana car elle ne voulait pas perdre son amitié avec Nick et ne souhaitait pas non plus briser la très belle relation qu'entretenaient les deux jeunes adultes. — Je passerai plusieurs fois par semaine de toute façon. Et je t'ordonne de me tenir au courant de ce qu'il se passe tous les soirs. Nick serra Lexa rapidement dans ses bras alors que la jeune fille acquiesça. Elle salua rapidement Ciarana qui la regarda avec scepticisme et sortit du bâtiment pour rentrer chez elle et pouvoir manger. Dès que Lexa arriva chez elle, elle posa ses affaires dans son bureau et se dirigea vers sa cuisine pour se préparer un plat qu'elle adorait : une quiche lorraine. Elle sortit une pâte brisée, des lardons, du beurre, 3 œufs, de la crème fraîche ainsi que du lait du réfrigérateur. Elle sortit de son placard de la noix de muscade en poudre ainsi que du sel et du poivre et prépara sa quiche en suivant la recette après avoir préchauffé son four à 180°C. Elle plaça la quiche dans le four une fois terminée et la laissa cuire pendant un peu moins d'une heure. Elle regarda l'heure et se détendit en voyant qu'il était à peine 13H30 ce qui signifiait qu'elle avait encore du temps devant elle. Elle fit un peu de ménage en attendant que sa quiche soit prête. Après avoir attendu que sa quiche soit prête, Lexa la sortit du four après avoir éteint ce dernier. Elle coupa la quiche en deux et mit une des parties dans une assiette tandis qu'elle laissa l'autre refroidir sur son plan de travail. Elle s'installa à table et dégusta sa quiche. Une fois fini de manger, elle lava son assiette et mit le reste de la quiche au réfrigérateur afin de pouvoir la déguster dans la soirée. Elle entendit son téléphone et se dirigea vers celui-ci pour voir ce que c'était. Lexa sourit en voyant qu'elle avait reçu un message de Tiana lui signifiant que tout était prêt et qu'elle pouvait aller chercher les papiers à l'hôpital. La jeune femme se prépara et prit son sac après avoir mis son téléphone ainsi que des choses nécessaires à l'intérieur. Elle sortit de son appartement et le ferma puis se dirigea vers l'hôpital. Une fois arrivée devant, elle sonna et le portail s'ouvrit quelques instants plus tard. Elle entra dans la propriété et toqua à la porte qui s'ouvrit ouvrant automatiquement. Lorsqu'elle pénétra dans le bâtiment, elle reconnut à peine l'endroit en raison du grillage ajouté. — Bonjour Lexa ! salua Monique en voyant la jeune fille entrer. Comment vas-tu ? Monique sourit en voyant l'expression choquée de Lexa par rapport au grillage. — Je vais bien et vous ? Elle avança vers Monique qui se leva et se dirigea vers la porte permettant d'accéder au couloir. — Je vais bien également. Ça me donne l'impression d'être super vieille lorsque tu me dis « vous ». Monique déverrouilla la porte menant au couloir avec son badge et elles avancèrent toutes les deux dans le couloir menant au bureau de Tiana. Une fois devant le bureau, Monique laissa Lexa seule et retourna dans son bureau. Elle toqua à la porte et entra après en avoir eu la permission. Elle entra et ferma la porte derrière elle et eut la surprise de voir Tiana en compagnie d'Aedan. — Bonjour Lexa. Assieds-toi, je t'en prie, déclara Tiana avec un peu de précipitation. Lexa et Aedan se regardèrent longuement. Lexa s'assit après avoir tourné la tête pour briser leur jeu de regards et Lexa était sûre qu'Aedan souriait grandement à côté d'elle mais préféra ne pas le regarder. — Alors, voici ton emploi du temps pour les 6 mois à venir ainsi que celui d'Aedan. Il y a également des instructions pour accéder à la chambre d'Aedan et Connor et un plan pour évacuer la chambre en cas d'incendie, expliqua-t-elle en tendant plusieurs papiers à Lexa. Voici ta blouse et ton badge permettant de débloquer les portes des couloirs ainsi que les issues de secours. Elle lui tendit la blouse et le badge que Lexa récupéra. — Je suis désolée d'être si pressée mais nous avons quelques arrivants qui seront bientôt là alors je ne pourrai pas te faire visiter le bâtiment. Mais Aedan est d'accord pour le faire à ma place. Elle se leva et serra la main de Lexa qui lui expliqua que ce n'était pas grave. Ils sortirent tous les trois du bureau et Lexa vit Tiana s'éloigner rapidement après que cette dernière eut verrouillé sa porte avec son badge. La jeune femme se sentit un peu timide dû au fait qu'elle était seule avec Aedan qui n'avait pas encore parlé. — Comment tu vas ? demanda Lexa après s'être raclé la gorge pour récupérer un peu sa voix. Aedan la regardait quelques secondes sans expressions avant de sourire narquoisement. — Je vais bien et toi ? Tandis qu'il avancèrent, Aedan fit glisser la paume de sa main le long du mur. — Je vais bien également, dit-elle en tournant sa tête vers Aedan tout en avançant. Je suis super contente de travailler ici pendant 6 mois. Je suis en train de réaliser mon rêve. Aedan sourit et secoua la tête face au comportement de la jeune fille. — Aimes-tu les énigmes ? questionna Aedan en s'arrêtant faisant s'arrêter également Lexa. — Oui, j'adore ça. Mais, je ne suis pas super forte pour trouver les réponses. Lexa mit les mains dans les poches de son gilet trouvant la température trop peu élevée ce qu'Aedan remarqua. — Tu as froid ? Tu veux une veste supplémentaire ? demanda Aedan amusé quant au fait que Lexa avait froid alors que celle-ci portait une chemise épaisse en flanelle ainsi qu'un gilet molletonné. Elle sortit les mains de ses poches et s'arrêta en croisant les bras sur sa poitrine tout en faisant une moue vexée et Aedan se surprit à la trouver mignonne. Il se racla rapidement la gorge et supprima cette information inutile de son cerveau avant de s'humidifier les lèvres et de parler à nouveau pour lui faire oublier la pensée qu'il venait d'avoir envers Lexa. La jeune femme remit rapidement ses mains dans les poches de son gilet et reprit sa marche après Aedan. — Quand est-ce qu'une porte n'est pas une porte ? — Euh... je crois que j'avais lu quelque part qu'une porte n'est pas une porte quand elle est entrouverte. La réponse fit sourire Aedan qui hocha la tête positivement. — On me jette quand on a besoin de moi et on me récupère lorsque je suis inutile, qui suis-je ? Aedan regarda la jeune femme faisant au moins 15 centimètres de moins que lui, réfléchir.   S'il le voulait, il pourrait la briser en mille morceaux tel une poupée de porcelaine comme celles dont sa mère faisait la collection. Aedan détestait cette collection et un jour, il avait décidé que ça ne pouvait plus durer et avait rendu les étagères soutenant les poupées fragiles, pour que sa mère fasse tomber les étagères et donc briser les poupées, lorsque celle-ci ferait le ménage. Ça n'avait pas louper. Toutes les étagères qui étaient évidemment assembler les unes aux autres étaient tombées comme des dominos et Aedan se souvint très bien de son sentiment de satisfaction qu'il avait ressenti lorsqu'il vit le visage de sa mère dépité. Lexa était pratiquement pareil que ces poupées : fragile et blanchâtre, mais quelque chose différenciait Lexa de ses poupées qu'Aedan avait prit plaisir à vouloir détruire. Aedan n'arrivait pas à détruire Lexa. Dès la première fois qu'il avait posé ses yeux sur elle, un sentiment lui était parvenu, empêchant Aedan de la détester entièrement. Evidemment, ce sentiment qui le submergeait ne l'empêchait pas de détester quand même Lexa un minimum, en partie car elle était à l'origine de ce sentiment. Le jeune homme revint à lui lorsqu'il entendit la douce voix de sa nouvelle aide-soignante.   — Euh.. Je ne sais pas. déclara-t-elle doucement ne sachant pas quelle était la réponse. Peut-être une ancre ? compléta-t-elle après plusieurs minutes de réflexion. — C'est ça. C'est une ancre. Je pensais que tu étais nulle avec les énigmes ? se moqua Aedan. — Je suis peut-être nulle avec les énigmes, mais j'ai beaucoup de logique, expliqua Lexa faisant hocher la tête d'Aedan. Ils arrivèrent devant des marches d'escalier. — Tu m'emmènes où ? — Je te montre le chemin pour aller jusque dans ma chambre, répondit-il narquoisement. Il fit un clin d'œil à la jeune femme qui tentait de cacher son rougissement. — Je te propose une dernière énigme. Tout le monde en a une mais personne ne peut la perdre. Lexa le regarda longuement tout en montant les escaliers avant de s'exclamer bruyamment. — Une ombre ! C'est une ombre car tout le monde en possède une mais personne ne peut la perdre parce que ce n'est pas un objet ou quelque chose de matériel comme une partie de notre corps, s'écria-t-elle faisant sursauter Aedan. Il se retourna et la regarda avec un sourire avant de hocher la tête. — Je sens que je ne vais pas m'ennuyer avec toi, affirma Aedan en se retournant et en montant les escaliers. Il ne voyait pas Lexa rougir mais s'en doutait.
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und100 · 4 years
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Kingdomino Duel
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2 joueurs
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Ludovic Maublanc, Bruno Cathala
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8 ans
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Cyril Bouquet
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30 minutes
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Blue Orange
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Rolle&write
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Médiéval
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11€90 chez
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Dans Kingdomino Duel, on va constituer un royaume avec des blasons, y placer des dignitaires et se battre pour des pouvoirs de mages puissants. Le plus beau royaume remportera la partie. 4 dés blasons2 crayons de papierUn feuillet de règlesUn carnet de notes recto-verso Pour installer le jeu, chaque joueur va prendre un crayon et une feuille de notes côté royaume. On installe au milieu de la table les quatre dés et une feuille de note côté pouvoirs de mages. Enfin on défini un premier joueur qui sera appelé Joueur A Sur chaque face de dé, figure un blason avec éventuellement des croix qui représente les dignitaires ( comme les couronnes dans Kingdomino classique ) et une point d'interrogation qui est un joker et remplace n'importe quel blason. A son tour, le joueur A va lancer le quatre dés. Il choisi un dé, puis le joueur B choisi deux dés, enfin le premier joueur prend le dernier dé. Les deux dés obtenus par chaque protagoniste constituent un domino. Les dés sont désormais liés. Chaque joueur va ensuite reporter les différentes informations des dés sur ses feuilles de notes: Il reporte les blasons sur sa fiche royaume en respectant les mêmes règles d'association que les dominos: il doit toucher au moins un blason identique à l'un des dés. Le joueur dessine donc les blasons sur sa fiche.Il inscrit les éventuelles croix dans les cercles à côté du blason concernéIl coche autant de cases que de blasons sans crois dans la feuille pouvoirs de mage. Le premier à remplir une ligne, gagne le pouvoir et le rend indisponible pour l'autre joueur. Au début du tour suivant, le joueur B devient A et inversemment. Les tours s'enchaînent ainsi jusqu’à ce qu'un joueur ait rempli toute se feuille, ou que les deux joueurs ne peuvent placer de dominos lors du même tour. En fin de partie, on compte les points: On compte le nombre de blasons de chaque domaine qu'on multiplie par le nombre de croix. On ajoute d'éventuels bonus des mages. Le plus haut score l'emporte. C'est rapide et fluideC'est assez casse-têteOn retrouve bien le feeling Kingdomino On perde le fil de qui doit lancer les dés
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Design On retrouve bien sûr le design de Kingdomino et Queendomino. Les blasons sont assez faciles à reproduire, ils sont tout en traits, carrés, points. Ils sont clairs et faciles à distinguer. L'illustration des feuilles est sympathique.
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Thème Alors c'est le même thème que Kingdomino, mais il est encore moins présent. Certes il est sympa et mignon, mais il n'apporte pas grand chose au jeu. On est presque face à un jeu abstrait pour moi. Le jeu ne raconte pas d'histoire. Il n'y a pas d'incohérence avec la mécanique, mais on l'oublie assez vite.
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Qualité du matériel Le matériel est assez minimaliste. Quatre gros dés de bonne qualité, un gros bloc de feuilles qui durera assez longtemps. J'aurais peut-être aimé des plateaux effaçable, mais cela aurait peut-être gonflé le prix. A l'heure où on doit faire attention à ne pas gâcher le papier, cela me gène toujours de trouver un bloc de feuilles dans les roll&write.
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Gameplay J'aime bien jouer à Kingdomino Duel tout comme j'aime bien joueur à Kingdomino et Queendomino. Le jeu est rapide et fluide même si on se perd un peu dans les alternances joueur A et B. On colorie nos blasons, on prend les dés qui intéressent l'autre joueur, on essaie de choper les mages en premier. Tout comme ses deux grands frères, Duel devient assez casse-tête pour placer ses dominos de la manière la plus optimale possible en essayant de ne pas bloquer son jeu. Il faut donc bien réfléchir au dés à sélectionner et à la façon de les placer. Les pouvoirs de mages peuvent être assez puissants, notamment les deux derniers.
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Simplicité des règles Les règles sont bien sûr très simples, elles s'expliques en quelques secondes. L'iconographie est claire et explicite, aucun retour à la règle n'est nécessaire.
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Le jeu se sort et se range et 10 secondes. Bon il n'y a que 4 dés et 3 feuilles à sortir ;) Un excellent roll&write à deux joueurs. Tout comme ses grands frères, il est assez léger mais profond stratégiquement. Le format de la boite permet le transport en vacances et il est jouable dans les transports en commun. Si vous avez aimé Kingdomino et Queendomino vous aimerez celui-ci! Read the full article
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pixel-noctis · 4 years
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Je n'arrive plus à dessiner depuis presque deux mois, l'envie s'est fait la malle et le doute s'est installé.
Doute sur mes capacités envers mes futurs projets dont je ne me sens pas apte à les entreprendre et à les réaliser.
Peut-être que je vise trop haut je ne sais pas...
Je ne suis pas motivé et pour moi ma période d'apprentissage et de progression n'est pas encore terminée dans les grandes lignes pour que je puisse me lancer à 100% dans un projet qui pourrait me prendre des mois et des mois, voir des années peut-être.
C'est un projet BD/Manga pour être honnête, je me suis renseigné sur des forums et autres blogs pour l'auto-édition, des gars et des nanas qui n'avaient quasiment pas touchés un crayon pour cette discipline ont débuté avec un tout petit niveau en dessin et ont fini par faire évoluer leur style de manière significative jusqu'à atteindre un très bon niveau et rendu.
Je n'ai pas de tablette graphique aussi, qui est bien pratique pour la bande dessinée.
Je dois faire ça de façon traditionnelle ne sachant pas quel format adopter, certains parlent de A4, d'autres de A3 et certains de B4 en respectant les marges pour les imprimeurs. La technique aussi, plumes, pinceaux, feutres? Bref je suis un peu paumé.
Ça ne fait qu'un an que j'ai repris le dessin mais j'ai l'impression que je veux aller trop vite en grillant les étapes.
J'ai aussi envie de faire du dessin traditionnel avec plusieurs médiums que je possède.
Bref je passe par une grosse période creuse dû à mon manque de confiance en moi.
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