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#fontaine des danaïdes
philoursmars · 1 year
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Je reviens ENCORE une fois à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ).  On est en 2017 et comme ce blog est né en 2017, j’arriverai donc au bout de cette présentation.
Marseille, au printemps. 
- les 3 premières : Le Palais Longchamp (et le Palais des Beaux-Arts)
- Rue Saint-Ferréol : vue du dernier étage des Galeries Lafayette sur Noailles
- idem, mini expo sur Eddy Kamuanga : “Negbele 1″
- Place Stalingrad: la Fontaine des Danaïdes devant l’église des Réformés, en haut de la Canebière
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markward-stahl · 2 years
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Die 'Fontaine des Danaïdes' von 1893 in Stalingrad.
Die mythologische Ikonographie illustriert das Schicksal der fünfzig Töchter von König Danaos, die dazu verdammt sind, ein bodenloses Fass zu füllen, um für den Mord an ihren Ehemännern während ihrer Hochzeitsnacht zu büßen. 
Heute wird eine qualvolle, sinnlose Mühe deshalb auch eine Danaidenarbeit genannt.
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claudehenrion · 5 years
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“Il a… très bien parlé…. Buvons… à sa santé…”                       (vieille chanson ’à boire’ sur l'air de Aux armes, citoyens).
  Les lampions élyséens sont éteints, et “la messe est dite’‘ : l'Oracle a laissé tomber son analyse. Après un trop long silence (mal venu dans ces circonstances), les français attendaient… au fond, ils n'attendaient rien. C'est l'homme-Macron qui est décrédibilisé : son absence chronique d'empathie est multidirectionnelle. Il ne comprend rien ! Même en ayant lu et relu ’'la Psychologie des foules” de Gustave le Bon, je n'arrive toujours pas à comprendre pourquoi les français ont mis tant de temps à voir ce qui crevait les yeux depuis le début. Et plus étonnant encore, pourquoi le “socle dur” des 21 % qui ont soutenu son absence de programme en 2017 semblerait rester fidèle à cette non-doctrine. Tout cela me dépasse.
 Il faut reconnaître à sa décharge que ça doit être particulièrement inconfortable de se sentir rejeté  en tant que “soi-même” par tout un peuple qu'on croyait avoir séduit. On sait bien que le cuir des hommes politiques n'est pas le même que celui des hommes normaux, mais celui-là est tout de même un perdreau du printemps qui n'a sans doute pas eu encore le temps de se tanner devant l'adversité. Mais après avoir cru qu'on était élu pour ce que l'on est, pour un programme  (même inexistant) et sur des idées que l'on avait soigneusement choisies parce qu'on les avait imaginées susceptibles d'attirer suffrages et popularité (Pas populisme, hein ! Quelle horreur ! Etre “du peuple” et “au peuple’' ? Et puis quoi encore ?),  comme ça doit faire mal, de se rendre compte qu'on est pour les français, ce que Rome était aux yeux de Camille ’'l'unique objet de (leur) ressentiment” (Horace, IV - 5)
 Pour éviter les hurlement des fonctionnaires -ses frères- Emmanuel Macron a refusé de faire “la chasse au gaspi” dans le “pognon dingue” des dépenses de l'Etat, ces gabegies inutiles faites de doublons à tous les étages, des 1250 (mais oui ! C'est le chiffre IFRAP) “Comités Théodule”, inutiles à 95 % si on est indulgent, des placards dorés, des prébendes pour petits copains, de népotisme de caste (et d'ENA), d'emplois inutiles, d'avantages immérités, d'absentéisme institutionnel, de subventions mortifères, de cumuls de fonctions, de choix dangereux, inutiles et parfois mortels (telles la “Transition écologique”, le puits des Danaïdes qu'est devenue l'immigration, les mauvais budgets-menteurs… et j'en oublie tellement…).
 Il ne fait aucun doute que les milliards gaspillés par toutes les “politiques de la ville” ou pour “la lutte contre le réchauffement” ont eu pour seul résultat de… chauffer les esprits jusqu'à les porter à ébullition, et à foutre en l'air la réputation de paradis touristique de notre pays, sa respectabilité, son économie, son commerce, un peu son industrie, et certainement son image…  Au fait… Pour sortir du marasme où son impéritie et son entêtement, sa morgue et sa prétention, la nullité crasse et l'inculture profonde de son entourage nous ont  plongés, qu'a-t-il dit, hier soir ?
 De manière peu surprenante, il a fait “du Macron”… ce qui était un peu prévu, mais est le contraire de ce qui était espéré : on lui parle de sentiments, de cœur, de souffrance… et aussi d'argent, et il n'entend que ce qui tourne autour de ce dernier mot. Secrètement, j'espérais un mot sur les radars (à diviser par deux de toute urgence : c'est nécessaire, facile et peu coûteux), sur les 80 km/heure (c'est urgent, et tellement attendu), ou sur un changement prochain du personnel politique.               Pourtant, un nouveau premier ministre et un nouveau ministre de l'Intérieur, un départ des plus antipathiques et des plus insupportables de ses ministres -les Darmanin, Castaner, Griveaux, Schiappa, Béloubet…  sans parler de tous ceux qui ne servent à rien- aurait fait baisser la température de plusieurs degrés. Mais j'ai eu tort d'espérer : l'empathie de notre Président est aussi limitée que sa “comprenette”, et rien, dans son parcours personnel, ne lui permet d'avoir un cœur. Lorsqu'on lui demande : aimez-vous les français ?, il répond : “J'aime la France ”(ce qui, pour un Président de la République française, est vraiment le minimum syndical !). 
  Du coup,… aucune des mesures qu'il propose n'est mauvaise en soi : un smic à +100 €… des heures sup’ enfin revenues là où Sarkozy les avait portées… l'annulation des invraisemblables super-punitions pour les retraites de < 1200 €… une “prime de fin d'année” éventuelle -mais qui ne coûte rien à l'Etat (à qui, il faut le noter, aucun effort spécifique n'est demandé, ce qui est un comble !)… Aucune de ces mesures n'est critiquable… mis à part qu'il eût impérativement fallu les annoncer dès la première semaine de manifestation. En gros, rien à redire. Mais…
 Mais le prix à payer, c'est son refus de changer sur le fond, ce qui est la seule chose qui lui est demandée par tout le monde ! Il a, si on me pardonne, “fait dans le Macron’' ! Poursuite des réformes (alors qu'on attendait un ’'moratoire” comme son grand dadais les adore), dont celles relatives au climat (on frémit à ce qui va nous tomber sur la cafetière dès que la température retombera un peu sur les ronds-points !). Notons au passage qu'il a parlé à 6 reprises de “Climat” (avec l'apparition de ce néologisme paniquant : “la dette climatique”. Au fou !).  Il devait dire : “On parlera de la fin du monde dans un an, si la crise des fins de mois est résorbée”… 
 En face de ces 6 mentions de ce sujet si controversé et en très grande partie responsable des demandes des manifestants, il n'a parlé qu'une seule fois d'immigration et encore, dans une liste de sujets sur lesquels ‘’il faudra que des groupes de travail se penchent’’, sans tenir compte des milliards dépensés pour réchauffer des serpents dans notre sein, ni de l'impression d'injustice des pauvres retraités de l'agriculture qui touchent moins que n'importe quel clampin descendant d'un bateau de passeurs dits “ONG”. Et ça, c'est une faute bien plus qu'une erreur.       En revanche, les “Gilets jaunes ” sont prévenus : “Jupiter ne tolère pas leurs exactions” (et s'ils recommencent, il fait quoi ? Les gros yeux ? La déportation ? La case “Prison’' ? Ou, plus vraisemblablement… il les regarde faire, comme depuis 4 semaines... (comme quoi, on peut avoir raison sur le fond et tort sur la forme ! ’'Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute…” aurait commenté la Fontaine !).
 L'ennui, c'est que je ne vois pas, à chaud, et tout de suite après ce (n + 1) ième discours pour rien, de vraies raisons de ramener tous les retraités à la maison : ils sont majoritaires sur les barrages, très solidaires les uns des autres, et pensent, avec juste raison que c'est un “dû” pour tous que de “profiter” des efforts énormes consentis pendant leur longue vie professionnelle :  il répond “économie” à une “question de principe”. Une fois de plus, j'espère me tromper… mais je ne nous vois pas sortir de l'ornière dans les jours qui viennent. Plaise au Ciel que j’aie tort !
H-Cl.
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lupitovi · 6 years
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sommeil gros d’arbres las sourdes tortures les ébats des chairs dans leur écorce meurtrie des crépuscules furtifs les avalanches d’angéliques nudités martèlent les jours du pas lourd de tes amours tu laisses dans le nid de rêve le grain ailé ton géant oiseau sommeil gros d’arbres las tressées couronnes de pics entrelacées avec les nues lac coupé net dans l’humide front de la terre loin loin tout près de la mort et intarissable dans le ventre du sommeil qui ferme sur toi les doigts d’humbles hantises se creusent sur la carte du passé les rivières de la vie géographique sommeil gros d’arbres las avec un œil un seul tourné à l’intérieur soupape des danaïdes n’emplira jamais le sac la lueur et sur ton émail lunaire dieu de rêve je gratterai la marche des caravanes dont les longs sifflets assurent le départ brumeux une fontaine dans la poitrine et l’inépuisable saveur à l’intérieur vers les magiques insolences des paroles qui ne couvrent aucun sens chevauchant les tortures prises dans leur corset de vallées par bonds et hoquets lorsque j’ouvre le tiroir de ta voix fraîche sans nom rubans dentelles des âges bracelet des dents je le mets autour de mon poignet quand j’enfonce la porte du rêve pour sortir au seuil du jour lacéré de battements de cœur et de tambour
Tristan Tzara
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ladydarkglam · 7 years
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Océan de larmes "Broder mes larmes à l'écume des flots Les embruns en fils de brume de mes sanglots Ondoyante est la vague de l'océan de mon chagrin Vaste étendue de tout ce dont m'a offert destin Flux et reflux d'illusions échouées sur le rivage Rien ne le sait mieux que les rides de mon visage Le temps laisse empreintes que la vie oublie Traces de mers de sel fanée au triangle maudit Des Bermudes au Cap Espérance , le songe est sirène Nulle boréale n'est aurore poudrée de peines Tarie à la source de ma souffrance je me suis tue Un soir de lune noire et d'étoiles inconnues Terra nullus d'une Cassiopée soufflée aux vents Douce langueur de cette ivresse ambroisie de sang Au clair de cette fontaine où jadis je m'abreuvais L'ombre sourde d'une éclipse se dessinait À naviguer entre deux mondes on se perd toujours Et le fer que j'ai croisé la nuit à occis la lumière Au puits des danaïdes je me suis baignée Chantant et pleurant les noces de fiel endeuillées Pour moi les eaux se sont ouvertes trois fois Que n'ai je su y trouver l'écrin de la soie Au velours épineux des abysses j'ai voué allégeance Folle promesse qui vous mène à sentence Tant de moi s'est fondu dans les torrents de rivières Tellement je crois que mon coeur s'est paré de pierres Le ru scintillant de mon regard est lac d'obscurité Englouti l'arc en ciel où parfois je me reflétais Miroir déchaîné des houles ourdies de mes peurs Décousue tapisserie sur le récif des malheurs Les lèvres iodées de l'amertume d'une triste vie De ce baisé volé que j'attends l'âme en dépit Aux pétales des nénuphars je me suis faite ballerine L'espace d'une révérence sur une alcôve d'épines Mais la bruine ne connaît que la mort du cygne Alors que ne puis-je encore que je me résigne Profondeurs insoupçonnables sinon le silence de mes maux Ceux qui continueront de flotter en escale d'écho Parce qu'il y a de ces phares qui n'éclairent jamais Que la lande des cimetières des absences noyées Broder mes larmes à l'écume des flots Les embruns en fils de brume de mes sanglots." ©Gisèle-Luce de Christian-James
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reseau-actu · 6 years
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Chaque jour dans la montagne, sur les routes et dans les trains, ils sont des centaines à tenter l'impossible pour traverser la frontière entre l'Italie et la France malgré les contrôles et les barrages.
Dans la lumière jaune des réverbères, une silhouette se dessine, furtive, sous le porche étroit qui conduit sur la place de ce petit village de montagne italien, à quelques centaines de mètres du territoire français. Puis tout un groupe avance en silence, allongeant le pas. A la terrasse du bar, les clients qui profitent de la fraîcheur de la nuit regardent passer sans surprise ces migrants qui tentent de rejoindre clandestinement la France.
Hier c'étaient des Soudanais. Ce soir, ce sont des Erythréens. Une dizaine d'hommes et de femmes, jeunes ou très jeunes pour la plupart. Ils ont jusqu'au lever du jour pour essayer de déjouer les check-points et les patrouilles de la gendarmerie mobile et des militaires déployés dans le cadre de l'opération Sentinelle, qui tentent de les empêcher de passer la frontière. Un jeu du chat et de la souris qui dure depuis des années.
«Ici, toutes les routes mènent en France»
Certains baragouinent quelques mots d'italien. Tous parlent assez bien anglais. Autour de la fontaine où ils se reposent quelques instants, ils consultent leurs téléphones portables pour regarder le logiciel Google Earth, sur lequel s'affiche l'image satellite de la région. Une mine d'informations qui les renseigne au centimètre près, bien mieux qu'une carte IGN, sur la topographie du département des Alpes-Maritimes et les sentiers de randonnée qui serpentent dans la montagne en direction de l'Hexagone. Encore quelques instants et ils auront disparu dans l'obscurité, quelque part dans les vallées de la Roya, de la Bévéra, les cols de Brouis, de Castillon ou au-dessus de Menton, par le Gramondo et Castellar. Combien seront interceptés?
«Ici, toutes les routes mènent en France, plaisante le patron du bar. Au XVIIIe et au XIXe siècle, c'étaient les contrebandiers de sel et de tabac qui passaient, puis au XXe siècle ceux qui fuyaient la misère ou la répression politique en Italie. Maintenant ce sont ceux qui quittent l'Afrique, l'Afghanistan ou la Syrie qui empruntent les mêmes chemins. Le monde est devenu fou.»
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«Le scénario est bien rodé, explique un humanitaire de Vintimille. De nombreux migrants arrivés en Italie, via la Méditerranée, se font conduire par des passeurs en voiture ou en minibus jusqu'aux villages frontaliers, autour d'Olivetta San Michele, dans la province d'Imperia, contre une somme qui peut atteindre jusqu'à 300 euros par personne. Puis ils sont lâchés dans la nature. D'autres, plus rarement, tentent leurs chances en solo. La plupart ont un point de chute quelque part en France: un autre passeur, de la famille, un ami, une connaissance ou un réseau associatif, officiel ou clandestin, qui les prend en charge, les héberge et s'occupe ensuite de leur situation juridique. Mais beaucoup ne veulent pas rester en France et rêvent d'aller en Angleterre, en Allemagne ou en Scandinavie. Dans les faits, nombreux sont ceux qui se retrouveront encore dans une nouvelle impasse à Calais. Il est impossible de savoir combien réussissent chaque jour à passer la frontière. Sans doute plusieurs dizaines, même si c'est actuellement de plus en plus difficile.»
À la frontière, les contrôles sont permanents
Sur les deux points de passages routiers entre Menton et Vintimille, CRS et fonctionnaires de la police aux frontières (PAF) font face aux Alpini, les chasseurs alpins, et à la police d'Etat italienne. La même scène se répète entre les gares des deux villes. Véhicules et trains sont minutieusement inspectés et lorsque des migrants enregistrés en Italie sont interpellés en France, ils sont systématiquement reconduits à la frontière italienne où la police les renvoie d'où ils viennent, à pied ou en bus. Direction Vintimille si leurs papiers sont en règle ou dans des camps plus loin en Italie s'ils en sont dépourvus. Du matin au soir, des groupes de migrants arrêtés à la frontière française défilent sur la route. «Et c'est comme cela tous les jours, explique Delia, la propriétaire du bar Hobbit, l'une des rares commerçantes de Vintimille à accueillir des migrants pour qu'ils puissent recharger leurs portables et se restaurer à moindres frais. Parfois, je vois arriver le matin ceux qui ont été refoulés la veille. C'est le tonneau des Danaïdes. La situation sanitaire ne cesse de s'aggraver, et les habitants de la ville n'en peuvent plus. Mais que pouvons-nous faire de plus ?»
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À Menton, ceux qui tentent de passer par le train pour rejoindre la France sont arrêtés et reconduits en Italie. - Crédits photo : @ Jean-Pierre Rey
Contrainte par le traité de Dublin, qui établit que le demandeur d'asile doit être pris en charge par l'Etat dans lequel il est entré dans l'Union européenne, l'Italie, qui reçoit l'écrasante majorité des migrants secourus au large de la Libye, a décidé, pour l'instant, de fermer ses ports aux navires des ONG pour l'accueil des étrangers et le ravitaillement en vivres et en carburant. Mais à charge pour elle d'aménager des camps et des centres d'accueil et de récupérer ceux qui sont déjà enregistrés comme demandeurs d'asile sur son territoire et qui ont été arrêtés comme clandestins dans les pays voisins.» LIRE AUSSI - Migrants: «les ports italiens seront fermés tout l'été» aux ONG, annonce Matteo Salvini«Tant que l'on n'a pas statué officiellement sur son sort, un étranger non communautaire ne peut pas quitter le pays dans lequel il a fait sa demande d'asile, précise un humanitaire de l'association italienne Caritas, qui distribue quotidiennement des centaines de repas à ceux qui errent dans Vintimille, entre les berges de la Roya et le pont autoroutier. Le problème, c'est que personne au départ ne leur explique qu'ils vont se retrouver dans une nasse. En Italie, cela peut prendre plusieurs années avant qu'une situation administrative ne se débloque. Or ceux qui veulent rester ici ne sont qu'une infime minorité. Pour eux, être là revient à vivre dans une prison à ciel ouvert. Et finalement, ce sont les passeurs, les mafias et les trafiquants de chair humaine qui s'enrichissent.»
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La situation est la même dans le camp de la Croix-Rouge italienne Campo Roya qui voit défiler dans ses baraquements plus de 13 000 personnes par an. «Ici nous gérons l'urgence pour environ 500 personnes actuellement, déplore Isan, l'un des responsables. Nous ne pouvons que les aider moralement, les enregistrer administrativement, leur offrir des soins médicaux, les nourrir et les habiller. Personne n'a vocation à rester longtemps dans ces lieux, surtout les familles et les mineurs. Mais en l'absence de régulation et d'accord ou non du droit d'asile, la situation est très compliquée.» En attendant, de l'autre côté de la Méditerranée, des milliers de candidats à l'exil, otages des passeurs qui se servent souvent des ONG pour forcer la main des Etats de l'Union européenne, rêvent encore et toujours de l'Eldorado. Un monde imaginaire qui ne sait pas quoi faire d'eux.
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philoursmars · 2 years
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Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 52795 photos
2008. Retour à Marseille
- les escaliers de la Gare Sant-Charles
- Rue de la République (Amphitrite ?)
- Square Stalingrad, les Danaïdes, face à l’église des Réformés
- les 2 suivantes : la Géode de Géolide (sous laquelle il y a la station d’épuration souterraine) avec le métro passant derrière.
- coucher de soleil au dessus du Mont Rose
- Notre-Dame de la Garde, le Roucas Blanc et les Plages du David vus des hauteurs de Montredon.
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philoursmars · 1 year
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je suis à Marseille pour les vacances de fin d’année.
La fontaine des Danaïdes sur la Place Stalingrad, à côté de l’Eglise des Réformés, le Monument aux Mobiles et le haut de la Canebière.
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philoursmars · 4 years
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Marseille. Aucune logique entre ces 3 photos (peut-être de la lumière à l’ombre ?)
- Place aux Huiles, un cadran solaire
- id. une poulie d’époque (oui mais laquelle, d’époque ?!.... Peut-être du temps de l’Arsenal des Galères qui se trouvait à cet endroit du temps de Louis XIV ???)
- Square Stalingrad, la Fontaine des Danaïdes sous l’ombre des micocouliers
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philoursmars · 4 years
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Marseille. La fontaine des Danaïdes....un peu modifiée.
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philoursmars · 4 years
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Marseille. De la Place de Stalingrad avec sa fontaine des Danaïdes (un étonnant reflet était là) jusqu’à Noailles en descendant la Canebière...
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ladydarkglam · 7 years
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Méli-mémots "Le jour se lève sur cette autre nuit Ombres obscures de rosée poudrées Tout est néant dans le ciel de l'oubli Rituel par trop familier et pourtant singulier Quelques fresques se déclinent en nuages Blanches fumées de mauresques désuètes Un pourtour sans soleil dépeint un visage Tristes fils pour une vie de marionnette La terre est sèche de ce qu'elle a vu Les bruits étouffés dans le jardin du destin L'aléa de la rose éternelle est hasard inconnu Ici ne demeurent que les mémoires du lendemain Les rivières se sont taries à la fontaine Marée basse de l'albatros échoué sur le rivage Ondoyants sables mouvants de ces peines Le désert n'a que faire des augures et mirages Les falaises au loin griment les danaïdes Sanglants écueils aux récifs larmoyants À vol d'oiseau du paradis si proche du vide Il n'est point de petite mort hurlant aux vents À la droite des Cieux l'esquisse d'une flamme L'Enfer réside toujours dans les détails À travers les chemins escarpés de l'âme Cire de barbelés et le cierge brûlé d'une faille Failure originelle des êtres de bris de souffrance Un dévolu de cristal jeté sur des rêves profanés Ne plus rien percevoir que l'impasse et l'errance Le temps n'était pas celui de toutes ces années Les mots ne sont pas prophètes au Mont de Piété Et s'ils l'étaient se seraient au prix de leurs vies Alors que de couler l'encre cesse par pitié Car j'ai bien trop à écrire qui restera incompris ." ©Gisèle-Luce de Christian -James
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