#frayay

[crucial1news]

He has done that to bring all the parts together as one body. All the parts work together to help each other. [26] Then if one part of the body hurts, every other part also hurts. If people praise one part, every part of the body is also happy.

‭‭1 Corinthians‬ ‭12:25‭-‬26‬ ‭EASY‬‬

It's Frayay my dear family! 🤗 I pray everyone's day is going well. 👍🏾 Looking forward to a Fantastic weekend. As members of the body of Christ we are mindful that "We are One!" (As Frankie Beverly & Maze sings!) Never forget how important that is and that Love 💘is the glue that holds our family together!🥰 It's the same in the body of Christ!💯 We love Jesus bc he loved us 1st!! 💖😇🙌🏾🙌🏾💞🙏🏾🙏🏾😍

https://youtu.be/WoFt3_m76eg?si=Jpy8XNA-MOhw290Q

[tarotvibes333]

COLLECTIVE READING ! 4 U! Happy Frayay!

[lemuseedesmiroirs]

Ruban jaune

La scène avait préalablement été enveloppée de son doux ruban jaune. À mon arrivée, je me frayai un chemin à travers les gyrophares. Je sortis de ma Cadillac d’un noir sobre se mariant parfaitement avec cette nuit qui semble avoir été si douloureuse. Je brandis mon badge à l’agent m’attendant sur place. Il y lut mon titre de sergent-détective, puis me laissa pénétrer l’endroit à condition de maintenir certaines précautions de base. Un civil avait été abattu, poignardé, meurtri en pleine rue, puis retrouvé dans un entrepôt tout près.

Pas besoin d’autopsie pour révéler des traces de violences sur la dépouille: elles étaient plus qu’apparentes. Je parierais sur un couteau de chasse, les entailles ne paraissent pas assez profondes pour que ce soit une machette, par exemple. J’allai effectuer mon travail, laissant du fait même l’identité judiciaire se charger d’examiner la situation au peigne fin.

C’est étrange, ce genre de cas était bien plus rare maintenant avec l’arrivée de ces satanés implants au cerveau. Sacrée mauvaise idée quant à moi, celle de détruire la beauté de l’erreur humaine. Désormais, les émotions étaient balancées, les problèmes mentaux, gérés, tout comme la pauvreté: les paresseux retrouvaient enfin l’envie de travailler. La question reste, sans ces facteurs, qui donc oserait ôter la vie à quelqu’un d’un tel innocent?

Le lendemain, j’entrai en jeu: il fallait bien enquêter. J’appelai père, épouse, mère, frères, sœurs et autres relatifs afin de les rencontrer au poste et essayer d’isoler une cause. Par la suite, je pourrai en identifier les suspects. Je reçus la mère et le père, tous deux pleuraient à chaudes larmes, incapables de verbaliser comme de concevoir ce qui aurait pu se passer. J’ai l’impression qu’ils ne seront pas de grande aide. Ils prônaient leur fils comme étant un homme si banal et sage—très peu probable considérant son tragique sort.

Je passai à l’épouse. Celle-ci me confirma qu’il n’y avait ni présence de violence conjugale ni de maîtresse, ne laissant pas beaucoup de voies vers une possible vengeance de sa part. Elle pourrait dire de telle chose pour ne pas être suspecte, mais son récit tient debout. Je la crois.

Le frère et les sœurs n’ont pas pu me dire tellement plus que leurs parents. Les chats ne font pas des chiens. Cela s’appliquerait peut-être aussi au défunt, mais j’en doute. Cependant, c’est étrange: tout au long de l'interrogatoire, les proches de la victime ont collaboré sans broncher. Personne d’entre eux ne semble cacher un grave secret. « Je suis de retour à la case départ… » me dis-je au même moment où, dans ma boîte mail, je reçus les résultats de l’autopsie. J’y lis que le civil aurait été assassinés au karambit, j’étais près. L’analyse du cadavre permit aussi aux médecins-légistes d’établir le temps approximatif du décès.

Les patrouilleurs s'étaient déjà occupés de récolter les vidéos de surveillance aux alentours de la scène. Rapidement, je me mis à les regarder aux environ de l’heure m’ayant été fournie. L’une des caméras n’était pas équipée d’éclairage nocturne et n’a donc capté que le noir glacial de la nuit. Une autre avait été saboté juste avant le meurtre. Le coupable s’y connaitrait alors en la matière. La lentille de la dernière, elle, avait été si abîmée que l’image n’était qu’un abstrait amas de couleurs. Je n’avais donc toujours rien…

« Ma dernière chance, c’est le téléphone de l’homme. », me dis-je en me glissant dans l’obscur bureau de l’agente de renseignement. Une main m’attrapa. Une voix retentit ensuite dans mes oreilles: « Monsieur Bernard Desrochers, vous êtes en état d’arrestation. Vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. »

On m’enfila les menottes.

En fait, je vous ai menti. Pardon. Depuis le début, je connais le coupable. J’espère que vous ne m’en voudrez pas trop. J’ai tué ce complet innocent. À quoi donc servirait mon boulot, sinon?

© Alexis Tremblay 2022

[lanuitlennuie]

Une liste imprévue s’est montée dans mon sac tandis que je frayais mon chemin au-milieu de la foule des deux tronçons de rues concentrées: une tapette à mouches géante et rose, un rice cooker, des claquettes à cailloux médicinaux, un petit bol avec dessinés un coq rouge et une plante verte, trois coquetiers, des biscuits japonais aux châtaignes, un sac d’épicerie bleu, du riz, une bouteille de sauce mirin. J’ai remonté la pente comme un lapin du nouvel an pour rentrer égayer les enfants.

[chopmunky]

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[samboca]

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[rtrumbic]

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[billysigudla]

#Humour #Frayay #TrueorFalse (at Gauteng) https://www.instagram.com/p/Bsf3oI0h8X5/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=18avfu188uast

[mrlafont]

Les historiens avaient inventé des expressions pour classer les époques de l'humanité : l'âge de la pierre, l'âge du fer, l'âge du bronze s'étaient succédé, puis les âges antiques et féodaux. Ces temps-là étaient des temps immobiles. Notre époque consacrait soudain un « âge du flux ». Les avions croisaient, les cargos voguaient, les particules de plastique flottaient dans l'océan. La moindre brosse à dents faisait le tour du monde, les petits Normands partaient au djihad pour poster des vidéos sur YouTube. Les hommes dansaient sur l'échiquier. Ce tournis avait même été érigé en dogme. Une culture se devait à la circulation et aux contacts si elle voulait une chance de se voir célébrée. L'ode à la « diversité », à l'« échange », à la « communication des univers » était le nouveau catéchisme des professionnels de la production culturelle en Europe.  La crise de Parkinson de l'Histoire portait le nom de mondialisation. La traduction de ce phénomène dans nos vies quotidiennes mettait à notre disposition fruits et légumes tropicaux dans l'épicerie la plus modeste d'une campagne en marge. Une question venait alors : pourquoi n'acceptait-on pas qu'un voleur de pommes s'introduise dans un verger et pourquoi permettait-on à une mangue du Brésil de trôner dans une épicerie de l'Ardèche ? Où commençait l'infraction ? Comme la planète était promue théâtre de la circulation générale des êtres et des marchandises, par contrecoup les vallées s'étaient vu affliger de leurs grand-routes, les montagnes de leurs tunnels. L'« aménagement du territoire » organisait le mouvement. Même le bleu du ciel était strié du panache des longs-courriers. Le paysage étaient devenu le décor du passage. La ruralité s'instituait en principe de résistance à cet emportement général. En choisissant la sédentarité, on créait une île dans le débit. En s'enfonçant sur les chemins noirs, on naviguait d'île en île. Depuis un mois, je me frayais passage dans l'archipel.

Sylvain Tesson, Sur les chemins noirs.

[bacheloretteshoptee-blog]

#squad drinking #tea#, the weekend is starting just right. Happy Friday to all ♥️🥂🍾♥️🥂🍾♥️🥂🍾 #friday #frayay #drinking #weekendmoon #bachelorettepartyideas

[ninonolimp]

🍁🍁 FRIYAY! 🍁🍁 . . . #vsco #vscocam #vscorussia #frayay #vdk #vl #dvfu #ifyouhappyandyouknowitclapyourhands #autumn #nature #october #shadowsofyellow (at Far Eastern Federal University)

[rstav-blog]

~Que tu #meta sea ganarle a tu mejor excusa~ #frayay #goodvibes #thankful #enjoyingtheride #thisismycoolestshirt #stjudehero #lapiezadearte #crew01 #livelovelaugh

[wastedonchocolate]

Happy FraYAY everyone!! ✌

[nakshadil-blog]

FRAYAY 💃🏼🙌🏻 . . . . . #friday #friyay #friyayvibes #training #gymtime #workout #morning #london #londoner #ornamentsoftheheart #nike #virginactivecrouchend (at Crouch End) https://www.instagram.com/p/B0po0PkHMbv/?igshid=179yjujvkahgj

[vincentdelaplage]

"LE VISAGE HUMAIN FUT TOUJOURS MON GRAND PAYSAGE." (COLETTE)

UNE IDÉE MUSICALE : Jan Dismas Zelenka - "Te Deum" [ZWV 146] https://youtu.be/nwI5nPDwp1M Jan Dismas Zelenka (1679-1745), également connu sous le nom de Johann Dismas Zelenka, était un compositeur baroque tchèque dont la musique était particulièrement aventureuse avec une grande invention harmonique et une maîtrise du contrepoint.

UNE IDÉE LITTÉRAIRE D'UN TEXTE DE COLETTE ("Gabrielle et la religion -En pays connu") La romancière française Sidonie Gabrielle Colette naît à Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne). C'est son mari, l'écrivain Henri-Gauthier Villiers (dit Willy, à qui elle piqua le pseudo) – dont elle divorcera par la suite – qui la pousse vers la littérature : en ressortira la fameuse série à succès des "Claudine", au sulfureux parfum de scandale. D'une vie qu'elle désire libre et indépendante, elle s'attache à dépeindre les désillusions de jeunes filles faussement ingénues qui découvrent leur sexualité naissante ("Le Blé en herbe", 1924). Elle s'éteindra en 1954.

Dans mon pays natal, Noël ne comptait pas, quand j'étais enfant. Mon petit pays libre-penseur supprimait, dans la mesure de son possible, une fête dix-neuf fois centenaire, qui est celle de tous les enfants. Ma mère, ma très chère "Sido" athée, n'allait pas à la messe de minuit, rendez-vous, comme celle du dimanche, des familles bien pensantes et de quelques châtelains qui s'y rendaient en landaus fermés. Elle craignait pour moi la froide église au clocher foudroyé, ses courants d'air, ses dalles fendues, ne craignait-elle pas d'autres charmes, les pièges catholiques de l'encens, des fleurs, l'engourdissement des cantiques, le vertige doux des répons ?… Ce n'est pas avec moi qu'elle s'en fût expliquée, quand j'avais dix ans. Mais j'ai conté ailleurs que le vieux curé, en la préférant à ses ouailles pieuses, ne put jamais la réduire. Entre elle et lui point de casuistique, il n'était question que de moi, de mon instruction religieuse, du catéchisme, de ma première communion. Et Sido, les sourcils froncés, mordait l'ongle de son index. Il va sans dire que je m'alliai fougueusement au curé Millot, qui m'avait baptisée, et que je voulus catéchisme, vêpres chantées, robe blanche et bonnichon ruché. Je voulus, j'eus les Saluts du mois de Marie, en mai, quand les jours sont si longs que par la grande porte de l'église, ouverte face au maître-autel, on voit le soleil se coucher par-delà les cierges, et que l'odeur des troupeaux remontant vers le village se mêle à celle des camomilles, des premiers lis et des roses blanches autour de la Vierge de plâtre... Qui donc l'avait offerte à la paroisse, cette grande Vierge d'autrefois, blanche à ceinture bleue? Elle n'était pas ancienne, mais décolorée; l'humidité de notre église pauvre ne lui valait rien, en outre une retouche de couleur – la pupille noire de l'œil, qu'une main maladroite avait ravivée – lui ôtait la sérénité. C'est pendant mes premiers mois de catéchisme, à la rentrée d'octobre, que je frayais avec les élèves de l'école libre. D'habitude, nous les tenions, nous autres de la laïque, loin de nous. Car la force et la brutalité des sentiments enfantins sont grandes. Mais nous respirions aux leçons de catéchisme et aux offices une douceur propre à capter les mécréantes de plus de dix ans, et quel plaisir de faire amitié avec ce qu'on a honni! Le jour qu'à mon épaule de petite fille une épaule pareille s'appuya, qu'une tresse blonde glissa contre l'une de mes tresses et se lova sur mon livre ouvert, et qu'un doigt taché d'encre, un ongle noir soulignèrent le texte latin : "C'est là qu'on reprend : Ora-a pro-o nobis…" je fus conquise. Conquise à la piété? Non pas. Conquise à l'inconnu, à des refrains scolaires que mon école n'enseignait pas, à des "morceaux choisis" plus émus que les nôtres et pleins de Dieu, à des génuflexions, des prières volubiles, des échanges d'images et de chapelets, et surtout à des récits de "souliers de Noël"…

UNE IDÉE DE PEINTURE : Portrait de Marie-Victoire Lemoine (1754-1820) Le portrait de la princesse de Lamballe par Marie-Victoire Lemoine a été acheté par la banque de France en 2012 et se trouve depuis cette date dans le bureau du Gouverneur de la banque.

Marie-Victoire est la plus âgée des filles nées de Charles Lemoine et Marie-Anne Rouselle. Elle s'inscrit dans une tradition de peinture féminine qui prend son envol en France sous l'Ancien Régime et se maintient après la Révolution. Marie-Victoire Lemoine ne rencontra pas le même succès que Mme Le Brun, cependant sa réputation grandit dans les années 1770 et 1780, au point qu'elle reçut commande de membres de la famille royale et de la cour.

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