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#globicéphales
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47 globicéphales adultes, dont 8 femelles gestantes, ont été tués ce mardi 16 mai lors du second Grindadrap de l'année aux Îles Féroé. Mardi dernier, cette pêche toujours autorisée a encore fait couler le sang sur les plages des Îles Féroé. Chaque année, cette tradition barbare attire les dauphins sur une plage où les couteaux féringiens les tueront un à un, dans une mer de sang. Il y a deux ans, Brigitte Bardot et sa Fondation avaient saisi la présidente de la Commission européenne pour que l'UE engage une procédure contre le Danemark et fasse cesser cette hécatombe !
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icariebzh · 6 months
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BESTIAIRE ÉROTIQUE
"Des caps pris en beauté malgré les déferlantes, Larguée, un peu cramée, quarantaines rugissantes, Se laisser glisser pour ressurgir en grande orque, Une ode au punk à l’aube des cinquantièmes hurlantes.
Envie folle d’un bestiaire érotique et braque, D’alexandrins stylés qui déchirent et qui claquent. D’un poème utérin sur fond de ménopause, De plombs fondus, fantasmes, et de métamorphoses.
Loin des mines compassées, de la pondération, Des salons trop feutrés, de la mort des saisons. Le délire situé d’une nature ni douce, ni con.
Y fourrer l’illusion de complétude visuelle, Qui défait le réel et oxyde la raison. Un brin de rêves mystiques et de cauchemars séquelles, Raptus anxieux passé sous les démangeaisons.
Canines vulpines, cauchemars, corps de chiens mutilés, Avenir radieux fuyant à vives et grandes foulées.
L’hystérie née d’esprits tordus de mâles pétés, Imagine les fureurs viscérales d’un loir, Bestiole en quête de sang, s’agitant tard le soir De la tête à la vulve de la femme infertile, Fou de manque, vomissant l’aménorrhée, fébrile. Vives bouffées de chaleur, subite mélancolie, Bûchers, internements, vapeurs et insomnies.
Musculosité crasse et flambées d’urticaire, Herbacées maléfiques et vipérine vulgaire, Hermaphrodite velue, érigée, narcotique, Mucosités visqueuses et rêv(es) fous de mastic.
Là, des licornes en joie chient des paillettes dorées, De petites chattes bourgeoises suc(ent) des cadavr(es) rongés, Une foule de galériens accrochée à leurs pieds.
La glande supra-caudale de renardes violettes, La danse d’animalcules sur une peau offerte, Créatures de ténèbres, de chimères, de nuées - Noms féminins pluriel aux racines emmêlées.
Les flashs lubriques de mille lucioles dévergondées, Leur désir débridé, palpitant et veiné Luminescences fiévreuses pleines de luciférine Diaboliques femelles déguisées en ballerines.
La flamboyance de nos crises clastiques et cosmiques, L’endurance inouïe de la manie psychotique. Imperturbablement. « Le jour, le soir, la nuit ».
Orques ménopausées au mitan de leur vie, Lourdes globicéphales, bélugas aquatiques, Libérées des contraintes et rapports domestiques, Menant leur espèce en cheffes claniques respectées. Elles arborent au melon, comme un grand vit dressé, Une palanquée d’humaines pleurant leur puits séché.
Un troupeau de mille poulpes, cerveau tentaculaire, Et des pieuvres mourantes qui ne seront qu’une fois mères. Des castors résistant à la binarité, Munis d’un habile trou polyactivités, L’œuvre d’un dieu foutraque, nommée pseudo cloaque.
Le moine d’Alexandra David-Neel au Tibet, Enfanté de rêves zen et de méditation, Le Morel de Gary et sa Mademoiselle Repeuplant les bloks d’un camp de concentration. Les mésanges de Rosa, le lierre de Cyrano, Les mouches de Jack London et de son vagabond, Des tulpa, des chenils, des égrégores, des vifs, Notre insatiable besoin d’une consolation..."
Corrine Morel Darleux-Masto
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jojobegood1 · 1 year
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⚠️⚠️⚠️⚠️⚠️😈
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christophe76460 · 25 days
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SAMEDI 31 AOÛT 2024 RÉFLEXION DU JOUR
SOIGNER AVEC SAGESSE
L’homme prudent voit le mal et se met à l’abri, mais ceux qui manquent d’expérience vont de l’avant et en subissent les conséquences. Proverbes V. 3
La scène fendait le cœur. Cinquante-cinq globicéphales s’étaient échoués sur une plage de l’Écosse. Des bénévoles ont tenté de les secourir, mais en vain. Personne ne connaît la raison d’un tel naufrage de masse, mais il se peut qu’il soit dû aux forts liens sociaux de ces mammifères : quand l’un se retrouve dans le pétrin, les autres viennent à son secours – un instinct de compassion qui risque ironiquement de leur nuire.
La Bible nous appelle clairement à venir en aide aux autres, mais avec prudence. Par exemple, quand nous aidons à redresser une personne en proie au péché, nous devons éviter d’y sombrer nous-mêmes (GA 6.1). Et nous devons nous aimer nous-mêmes comme nous devons aimer notre prochain (MT 22.39). Notre verset du jour exprime la même chose. Tâchons de nous en rappeler quand notre aide commence à nous nuire.
Il y a quelques années, un couple très démuni a commencé à fréquenter notre église. Des membres compatissants se sont vite épuisés à répondre à ses cris à l’aide. La solution ne consistait pas à lui fermer la porte, mais à lui imposer des limites pour éviter que ses bienfaiteurs en paient le prix. Jésus, l’aide ultime, a pris le temps de se reposer (MC 4.38), et il a veillé à combler les besoins de ses disciples avant ceux des autres (6.31). Pour être sages, suivons son exemple. En prenant soin de notre propre santé, nous aurons plus d’aide à apporter à long terme.
RÉFLEXION
À quoi reconnaissez-vous votre besoin de repos ? Qu’est-ce qui vous aide à servir autrui sur le long terme?
PRIÈRE
Saint-Esprit, aide-moi à servir les autres de manière saine et soutenable.
LECTURE
PSAUMES 132 - 134
1 CORINTHIENS 11 :17 -34
BON SAMEDI & BON WEEK-END
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zehub · 3 months
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Une baleine à bosse escortée par des globicéphales près des côtes françaises
Une baleine escortée par un banc de dauphins ? Vous ne rêvez pas, cette scène fut récemment observée dans le Golfe de Gascogne, le long de la côte Atlantique française. Un photographe e
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yzoard · 7 years
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Whales surfing rough seas! 💦 Sailing when the sea is rough is an adventure, you'll get to see pilot whales much better as they impulse their bodies higher on the waves to breathe. #pilotwhale #pilotwhales #dolphinphotography #dolphins #whale #whales #globicéphales #globi #calderón #calderones #Tenerife #wildlifephotography #wilddolphins #wild #sailing #seas #roughsea #adventure (en Atlantic/Canary)
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cquadavre-debil · 5 years
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Chapitre II
IV
           Natacha habitait tout près, dans un quatre et demi juché au sommet d’un escalier en colimaçon dont les rampes de fonte ornées de fioritures florales Art déco tenaient le coup en dépit de leur grinçante vétusté. Le balcon ne semblait pas plus solide et craquait sous nos pas. À l’intérieur, dans le vacillant clair-obscur en périphérie duquel s’étendait la nuit autour de la triple flamme d’un candélabre de bronze posé sur le bureau en face de l’une des fenêtres où il se répliquait tel un Cerbère, on nous enjoignit de nous asseoir au salon où de moelleux coussins de peluche s’éparpillaient sur le tapis tigré au pied de lion d’une ottomane léopard. L’amphitryonne nous servit un bordeaux qui n’avait de commun avec ce qu’elle avait bu à l’Assommoir que la couleur. Pierre s’exerçait à la patience en attendant que nous partissions. Il déchanta lorsque celle – dont les doigts aux ongles sans vernis se couvraient de sparadraps – sortit de son sac à main ocellé un sachet de plastique transparent à moitié plein de cocaïne dont elle saupoudra la table de verre où étaient posés les nôtres, scintillant de rubis liquides. Elle divisa la poudre en quatre lignes avec sa carte Visa, puis sortit de son portefeuille un billet de dix dollars qu’elle roula en cylindre et me tendit.
          « Non merci.
           – Sûr ? Je pensais que les écrivains expérimentaient toutes sortes de choses…
           – Pour être écrivain, il faudrait que je sois vendu en librairie !
           – Ça viendra. Et toi, Simon, t’en veux ?
           – J’hésite… Ça fait longtemps…
           – Pierre ?
           – Oui ! »
           Penchée sur la surface translucide où se refléta sa figure, elle se boucha de l’index une narine et de l’autre prit une longue inspiration à travers la paille de papier-monnaie mauve à l’effigie de Sir John A. Macdonald où fut aspiré, millimètre par millimètre, l’un des rails de « chimique ». Natacha céda sa place à Bouchard en reniflant et se passant la langue sur le doigt pour bien s’imprégner les muqueuses de ce qu’elle venait d’inhaler. Celui que j’avais toujours connu simple fumeur de THC, suivant son exemple, se lança à tête baissée dans la nuit de cristal. Au contraire de Simon, qui le relaya ensuite à la table en miroir, Pierre n’était point mû par sa propre volonté de jouir d’une euphorie factice, mais par le désir de plaire à Natacha en lui projetant l’image d’un amant qui l’accompagnerait dans ses bas-fonds.
           La première ligne l’avait réveillée en stimulant son activité cérébrale ; la seconde l’anesthésia dans la crispation d’un sourire que n’interrompit que la rapidité du débit de ses digressions. Tremblay l’écoutait avec une attention soutenue ; Bouchard, plus à l’aise dans sa peau momentanément oubliée, la regardait comme s’il se fut agi de la seule, unique et dernière femme dans tout l’univers. Sans pousser l’audace au point de nous confesser les détails de son intimité, elle accentua néanmoins la vulgarité de ses propos, s’enorgueillissant de certains vices auxquels elle prétendait exceller : boire jusqu’au black-out, se détruire les neurones aux amphétamines, à la « mesc », à l’ecstasy, au buvard… Tout en nous vantant ses excès, elle remplissait le cendrier de mégots de Gauloises qu’elle fumait avec Pierre.
          Il était environ une heure du matin lorsqu’on cogna à la porte. L’orchestre symphonique d’un ballet de Prokofiev assourdissait le bruit des toc-toc qui se faisait plus insistant. Natacha atténua le volume et alla s’enquérir de qui la réclamait. La pénombre dans laquelle était plongée l’embrasure de l’entrée où se tenait le visiteur – frêle Asiatique ou Mexicain au visage ridé – m’empêcha de distinguer de quoi était composé le bouquet de fleurs qu’il lui offrit. Elle le toisa désobligeamment.
          « Qu’est-ce que tu fais ici ? »
          L’être chétif bredouilla quelque chose, se confondit en excuses, déposa son présent aux pieds de celle qui le dédaignait, puis déguerpit. Elle ne ferma pas la porte ; prit les fleurs ; respira leur fragrance ; y cueillit une rose ; s’ensanglanta la paume de la main gauche avec les épines qu’elle serra d’un poing frémissant de colère ; jeta violemment la gerbe sur le sol ; la foula aux pieds ; reprit le bouquet ; en dispersa les différentes parties dans les airs comme autant de confettis lancés du haut de son balcon ; injuria l’importun qui rembarquait dans sa fourgonnette stationnée en face, et sur la tête duquel neigèrent les feuilles et les pétales tandis que les piquantes tiges, encore emballées dans leur cornet de papier, comme un avion d’origami raté, s’écrasaient pitoyablement sur la ligne jaune de la rue, en bas.
          « C’est ça, décâlice ! »
          En rentrant, elle claqua la porte, fonça vers la cuisine, tire-bouchonna une deuxième bouteille, s’en versa un grand verre qu’elle vida sur-le-champ, puis un second, moins généreux, qu’elle emporta sans le boire, remonta le son de la musique, ne laissa pas à Pierre l’occasion de l’aider, nous ignora pour aller à la salle de bains, enroula autour de sa main écorchée un pansement tiré de son armoire à pharmacie, repassa brièvement par la cuisine, en ramena un demi-litre de cabernet-sauvignon et vint nous le distribuer à parts égales. Constatant l’inutilité de sa démarche pour se rendre serviable, Bouchard se rassit en faisant tomber de sa poche un préservatif dont l’enveloppe dorée scintilla juste assez longtemps sur le tapis de tigre pour que celui qui l’avait égaré me décoch��t un regard d’incertitude chargé de reproche en le ramassant – comme si ses intentions n’étaient pas déjà limpides et que j’eusse eu besoin du hasard qui me fit seul témoin de ce bref accident pour me prouver qu’il espérait bien plus qu’une relation platonique.
          Natacha reprit le sachet de cocaïne qu’elle avait laissé sur la table et répéta le rituel de tout à l’heure, accompagné de la même invitation à l’endroit de Pierre et Simon – lancée d’une voix plus morne, car imbibée de plus d’alcool –, puis, s’essuyant le nez du superflu glaireux dont elle se lécha l’annulaire, hagarde, perdue dans ses pensées, tandis que Bouchard et Tremblay se succédaient à la table verglacée de neige pour y priser un peu de déliquescence étoilée, elle pigea dans son paquet de carton bleu où était écrit le slogan : « Liberté toujours », une cigarette, la tint entre ses doigts tremblants – déjà bandés jusqu’aux jointures avant l’incident avec la rose, tant elle se rongeait les ongles –, l’alluma et s’en noircit les alvéoles pulmonaires avec volupté durant les intervalles qui espaçaient chaque gorgée du rouge qu’elle, désormais plus calme, sirotait.
          Bouchard tenta de se libérer du doute qui lui glaçait le cœur.
          « C’était qui, ce Chinois-là ?
           – Personne. »
           Ce nébuleux éclaircissement ne souffrit aucune réplique.
           Étant retournés à nos discussions, nous avions oublié cet intermède quand, une heure plus tard, on cogna de nouveau à la porte.
          « Quoi encore ? » s’exaspéra Natacha en se levant.
          Par un retournement contraire à ce que nous anticipions, en ouvrant, elle se montra fort affable et invita même le nouveau venu à entrer. Par une imprévisible coïncidence, j’étais face au massif propriétaire du Hummer qui m’avait aspergé ! Plus étrange que la réaction de Pierre, qui parut terriblement déconcerté, fut celle de l’homme au groin tubéreux de varices dont l’accent circonflexe des sourcils fit plisser le front de béluga rubicond.
           « Pierre !? Qu’est-ce que tu fais ici ?
           – Je pourrais te demander la même chose, mon oncle…
          – Vous vous connaissez ? s’amusa Natacha, que ce vaudeville divertissait.
           – Pierre est mon neveu, répondit le collectionneur de Jeep sexagénaire.
           – C’est le père d’Anne-Sophie, souffla Bouchard à Tremblay, qui opina du chef.
           – Tu sniffes encore cette cochonnerie-là ? » s’indigna le globicéphale en désignant d’une grimace la table où traînaient les décombres de la débauche qu’il condamnait.
           « C’est pas ça qui va t’aider avec la DPJ… Si tu veux récupérer la garde… »
           Blessée au plus profond d’elle-même par cette allusion au secret de son trésor perdu, son fils qu’on lui avait enlevé, Natacha s’indigna.
           « Tu es soûl ! Tes petites leçons, tu peux te les fourrer où j’pense ! T’es mal placé pour me juger, criss d’ivrogne ! Tu conduis ton char en boisson, tu empestes le cognac…
          – C’est mon eau de Cologne…
          – Pff… Bin oui, c’est ça…
           – Tu peux ignorer mes conseils, mais je peux te payer le meilleur avocat…
          – Arrête ! » s’écria-t-elle dans un murmure étranglé de sanglots qu’elle réprima.
           Un silence lourd de mystères irrésolus plana sur le gâchis de cette soirée. Natacha, tristement songeuse, implosait de désespoir en ravalant ses larmes dans un mutisme héroïque. Celui qui avait provoqué en elle autant d’émotions, se tournant vers son neveu, le tira de la stupeur où la révélation des démêlés juridiques de celle dont il ignorait qu’elle fût mère l’avait précipité.
          « Hé ! Pierre, ça va ? »
          Celui-ci acquiesça distraitement à cette phrase dont la banalité n’avait pour but que de dissiper l’embarras qui rivait nos regards à terre. D’apprendre, par son satyre d’oncle, que la femme dont il recueillait au compte-gouttes les confidences depuis des mois s’était tue au sujet d’un problème aussi crucial que celui qui venait d’être évoqué avait réduit à néant le château de cartes de son amour où ne régnait plus que le chaos. La pesanteur qui s’était abattue sur son âme oppressait également celle de Simon, perplexe à l’idée que cet énergumène fût son éventuel beau-père. En ce qui me concernait, bien que je n’appréciasse guère la viscosité de cette atmosphère où nous étions englués, je me réjouissais des potentialités qu’offrait à la frénésie de ma plume l’existence d’un lien unissant de façon aussi inespérée qu’inouïe mon acheteur de joaillerie à tous les personnages de ce huis clos. L’éléphantesque homme d’affaires se montra cordial, serra la main de Tremblay, puis la mienne.
          « Eugène Girard… Mais vous pouvez m’appeler Junior… »
          Faisant un clin d’œil à son neveu :
          « Je pense qu’on a déjà été présentés. »
          Le rictus que Bouchard s’efforça d’afficher pour être agréable n’empêcha pas la jalousie de lui assombrir l’œil.
          « Inquiète-toi pas, j’dirai rien à tes parents… Tu peux me faire confiance : motus et bouche cousue ! »
          Et le cétacé des mers d’hydrocarbures mima, du majeur et du pouce, le zippage de  sa gueule close, et enfonça les doigts boudinés de sa main de pachyderme dans la poche de son pantalon remplie de petit change qu’il y fit sonner et trébucher en observant le garçon de sa sœur qui avait les mêmes yeux bleus que sa fille. Simon, que cette ressemblance frappait, se rappelant qu’Anne-Sophie se présentait sous le nom de Lavoie plutôt que d’assumer d’être une Girard, s’interrogeait sur ce qui l’avait poussée à renier son géniteur jusque dans son patronyme. Pierre, qui aurait pu répondre à cette question, s’en posait beaucoup d’autres. Quant à moi, rien ne m’intriguait plus que la comédie jouée par Natacha. Acculée à ses derniers retranchements par cet imbroglio, elle se ressaisit et trancha le nœud gordien d’une oiseuse explication en ajournant l’heure des comptes.
          « Messieurs, je vous aime bien, mais il se fait tard et j’ai des choses à régler avec Eugène ; je vais devoir vous mettre à la porte. »
          Ce disant, elle nous la montra d’un geste indiquant nos manteaux suspendus aux crochets du vestibule au-dessus de nos chaussures cordées sur le paillasson. Le désappointement de Bouchard quant à l’issue de ce premier rendez-vous avec Natacha était d’autant plus amer que tout ce qu’il y avait appris sur le sphinx dont il s’acharnait à vouloir déchiffrer l’énigme ne l’avait rendue que plus opaque.
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thaischarline · 4 years
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samissomar · 5 years
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matenchemin · 7 years
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Mardi 27 juin : Matthias le marin ! Aujourd'hui est un grand jour ! Pour notre dernier jour ensemble, nous partons en mer pendant 3 heures pour tenter d'observer des mammifères marins au large des côtes islandaises ! Après une première heure sans aucun signe de vie dans les environs, nous commençons à désespérer. Mais soudain, au loin, une immense queue de cachalot ! Et quelques minutes plus tard, une seconde ! Magnifique vision. Un peu plus tard, la mer nous a offert un véritable cadeau en nous offrant à voir des dizaines de globicéphales (aussi appelés baleine pilote ou dauphin pilote). Chassant en groupes, parfois si près du bateau. Les premières baleines vues de ma vie. Quelques minutes plus tard, des grands dauphins à bec blanc sillonnaient près du bateau ! Vraiment une excursion magnifique. Seul regret, nous n'avons vu aucun orque.. ce qui était notre plus chère espérance lors de cette traversée. Qui sait ? Peut-être​ en verrons nous plus tard ?
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actuzote · 4 years
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Aumoins 300 baleines et dauphins ont été tuées aux îles Féroé
Aumoins 300 baleines et dauphins ont été tuées aux îles Féroé
Un temps menacée d’annulation pour cause de coronavirus, la chasse controversée aux grands dauphins a débuté cette semaine aux îles Féroé, avec un premier « grind » qui a coûté la vie à près de 300 petits cétacés.
Quelque 250 globicéphales noirs ainsi que 35 dauphins à flancs blancs ont été pêchés mercredi soir près de Hvalba, village de 700 âmes sur Suduroy, l’île la plus au sud de l’archipel,…
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stephanedugast · 4 years
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RÉSUMÉ La Fondation Prince Albert II de Monaco a saisi l'occasion historique de faible pollution acoustique liée au confinement, pour soutenir une mission scientifique exceptionnelle d'écoute du milieu marin, dans le sanctuaire Pelagos en Méditerranée.
Les drones de la mission Sphyrna Odyssey ont ainsi pris la mer, entre le 23 avril et le 10 mai 2020, pour l'expédition Quiet-Sea, dirigée par le Professeur Glotin, spécialiste mondial de l’acoustique marine.
Partons à la découverte des sons des cachalots, dauphins, et autres globicéphales, comme nos arrières grands-parents auraient pu les écouter.
Ensemble, protégeons et respectons cette nature qui nous accueille !
FICHE TECHNIQUE
Format : HD Diffuseur : La Fondation Prince Albert II de Monaco Durée : 3 min 41 Année : 2020 Réalisation : Victor Rault et Stéphane Dugast Mix : Augustin Brétillard Voix-off : Katy Varda
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jojobegood1 · 4 years
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Mort de 380 cétacés coincés dans une baie en Tasmanie, selon un bilan des sauveteurs - GoodPlanet mag'
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christophe76460 · 26 days
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SAMEDI 31 AOÛT 2024 RÉFLEXION DU JOUR
SOIGNER AVEC SAGESSE
L’homme prudent voit le mal et se met à l’abri, mais ceux qui manquent d’expérience vont de l’avant et en subissent les conséquences. Proverbes V. 3
La scène fendait le cœur. Cinquante-cinq globicéphales s’étaient échoués sur une plage de l’Écosse. Des bénévoles ont tenté de les secourir, mais en vain. Personne ne connaît la raison d’un tel naufrage de masse, mais il se peut qu’il soit dû aux forts liens sociaux de ces mammifères : quand l’un se retrouve dans le pétrin, les autres viennent à son secours – un instinct de compassion qui risque ironiquement de leur nuire.
La Bible nous appelle clairement à venir en aide aux autres, mais avec prudence. Par exemple, quand nous aidons à redresser une personne en proie au péché, nous devons éviter d’y sombrer nous-mêmes (GA 6.1). Et nous devons nous aimer nous-mêmes comme nous devons aimer notre prochain (MT 22.39). Notre verset du jour exprime la même chose. Tâchons de nous en rappeler quand notre aide commence à nous nuire.
Il y a quelques années, un couple très démuni a commencé à fréquenter notre église. Des membres compatissants se sont vite épuisés à répondre à ses cris à l’aide. La solution ne consistait pas à lui fermer la porte, mais à lui imposer des limites pour éviter que ses bienfaiteurs en paient le prix. Jésus, l’aide ultime, a pris le temps de se reposer (MC 4.38), et il a veillé à combler les besoins de ses disciples avant ceux des autres (6.31). Pour être sages, suivons son exemple. En prenant soin de notre propre santé, nous aurons plus d’aide à apporter à long terme.
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À quoi reconnaissez-vous votre besoin de repos ? Qu’est-ce qui vous aide à servir autrui sur le long terme?
PRIÈRE
Saint-Esprit, aide-moi à servir les autres de manière saine et soutenable.
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PSAUMES 132 - 134
1 CORINTHIENS 11 :17 -34
BON SAMEDI & BON WEEK-END
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zehub · 5 months
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Australie : Plus d’une centaine de dauphins-pilotes s’échouent sur une plage au sud du pays
Plus de 150 dauphins-pilotes, une espèce de cétacé globicéphale, se sont échoués sur la plage, et 26 ont déjà été retrouvés morts
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heartland301 · 5 years
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Les gens se rassemblent pour sauver des groupes de baleines échouées
Un groupe de amateurs de plage et plusieurs sauveteurs se sont réunis pour aider un groupe de globicéphales noirs à retourner dans des eaux plus profondes après s’être approchés trop près des côtes dans l’État américain de Géorgie.
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