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#il suffit d'une fois (1946)
la-cocotte-de-paris · 6 months
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She's just like me fr
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lyslily · 7 years
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Edwige Feuillère Il suffit d'une fois, Andrée Feix (1946).
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claudehenrion · 3 years
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L'Etrange défaite...
 Après Romain Rolland hier, c'est le grand Marc Bloch que je vais appeler à l'aide aujourd'hui. Ce grand français, trop jeune assassiné par la Gestapo, en des temps où, comme aujourd'hui dans 99 % du monde musulman, il ne faisait pas bon s'appeler Bloch (le 1 % qui manque étant, bien sur, mon cher Maroc !) avait écrit, entre juillet à septembre 1940, un ouvrage qui sera publié  en 1946 (Ed. Franc-Tireur), deux ans après son assassinat. J'ai n'ai pas oublié la stupeur admirative de mes parent découvrant ce chef d’œuvre. J’avais 13 ans. Je l’ai lu pour la 1ère fois.
  L'Étrange Défaite est un témoignage devant le tribunal de l'Histoire. Marc Bloch tire de cette ''Déposition d'un vaincu'' un ''Examen de conscience'' sur les carences évidentes et leur lien avec la société française de ''l'entre-deux-guerres''. Je l'ai relu, une fois de plus, avant d’en parler aujourd'hui, et le parallèle qui peut être fait entre ces deux époques, ces deux situations et les problématiques qui en résultent est dramatiquement comparable : il suffit de remplacer ''Armée française'' par ''système sanitaire'' et ''généraux'' par ''experts ès-riens-du-tout'' pour sauter de 1940 à 2021 !
  Marc Bloch dénonce tout d'abord le caractère bureaucratique de l'armée, qu'il attribue à de mauvaises habitudes prises en temps de paix, au culte de la chose écrite et à une peur patente de mécontenter un puissant d'aujourd'hui ou de demain (Ça devrait vous rappeler quelque chose !). Ces habitudes induisent une dilution de la responsabilité entre de trop nombreux niveaux hiérarchiques qui entraîne une déresponsabilisation généralisée (Et ça aussi !). Il écrit : ''Nous venons de subir une incroyable défaite. À qui la faute ? Mais voyons, répondent nos généraux, au régime parlementaire, à la troupe, aux Anglais, à la cinquième colonne... À tout le monde, en somme, sauf à eux''. On attend avec impatience l'écrivain de génie qui va reprendre, demain, cette belle tradition française d'analystes qui dissèquent sans complaisance les effarants manquements des responsables de nos défaites.
  Car dans sa recherche des rapports entre les carences de l'armée, responsable visible de la défaite, et l'impréparation et la myopie du peuple français dans son ensemble, la première cible, de Marc Bloch, c'est l'État et les partis. Il dénonce ''l’absurdité de notre propagande officielle, son irritant et grossier optimisme et l’impuissance de notre gouvernement à définir honnêtement ses buts de guerre'' (NDLR : on s'y croirait !). Il stigmatise l'immobilisme et la mollesse des ministres qui abandonnent leurs responsabilités à des techniciens, recrutés par copinage et corporatisme (il visait alors Polytechnique et Science-Po. Mais que n'aurait-il écrit, s'il avait connu l'ENA !). Tout ce petit monde avance à l'ancienneté dans une culture commune de mépris du peuple (Nihil novi sub sole : la soif de pouvoir des énarques-managers --de très mauvais managers, en plus !-- contre les médecins-hospitaliers exaspérés explique et rythme notre ''étrange défaite-bis'' !).
  Il écrit aussi : ''Peu de gens sont aveugles, mais personne n'ose dénoncer les carences avant qu'elles ne soient révélées par les faits. Et après, personne n'ose remettre en cause les idées reçues''. Aujourd'hui, en plus, on a les médias, qui, très contrôlés par le Pouvoir, ne jouent absolument pas leur rôle et considèrent qu'ils doivent faire taire toute voix dissidente, empêcher toute question d'être posée, et interdire à toute personne qui ne souscrit pas à la mensongère ''vérité d'Etat'' tout accès aux médias ''main stream'' --dociles au plus petit des désir des puissants.
  Devant l’avalanche de panique non-assumée et de mauvaises décisions, on doit faire honte à tous ces “bac + 18” qui pontifient sur nos petits écrans : ils affolent au lieu de rassurer, et plus ils vaccinent, plus ils manquent de lits... (mais pas au point d'en ajouter de nouveaux, tout de même !). Se moquent-ils de nous… ne savent-ils vraiment rien… ou raisonnent-ils comme des grosses caisses ? En tout cas, “ils” ont ouvert la porte à des forces dont ils ignorent absolument tout… Et on ne voit guère qu’un énorme coup de bol (ou de balai ?) pour que tout cet amateurisme mondialisé se termine autrement que par une vraie catastrophe.
  En effet, si le système français avait été… ne serait-ce que ‘’pas trop mauvais’’, ‘’ils’’ ne se seraient pas écharpés sur les masques, les tests de dépistage et ces vaccins si âprement disputés (C'est le mien-à-moi, na ! Je veux pas te le prêter...) que nous allons mendier aux quatre coins de la planète, à grand renfort de l'argent que nous n'avons plus, l'ayant gaspillé en idées absurdes, et en faux humanisme immigrationniste ! Au réveil… nous n'avons plus le ‘’meilleur système’’, et nous ne sommes plus un grand pays mais une petite nation mesquine et endettée, qui est bouffie d’orgueil et de prétention, dont les chefs regardent leur propre échec avec une indulgence coupable, et se répandent en ''auto-cocoricos'' à leur propre gloire : stupéfaction, il y a 48 heures, en entendant notre Président se tresser à lui-même (seul au monde à le faire. Mais il a l’air sincère quand il dit que c'est tous les autres qui sont cons !) des couronnes de lauriers. Pas l'ombre d'un regret, d'un remords, d'une compassion, d'un sentiment humain... mais de l’orgueil, de l’arrogance et de la prétention, qui ne servent pas à grand chose, face à un virus plutôt vicelard !
  La question ''pourquoi un tel désastre ?'' renvoie aujourd'hui aux mêmes mots qu'hier : incompétence, inexpérience, mépris, prétention,  absence de vision, improvisation, mensonges, et nullité de dirigeants irresponsables (Buzyn, après Touraine, a été exfiltrée mais promue, à Genève où elles peuvent continuer à nuire en étalant leur vacuité). Cette camarilla de petits chefs tout dégoulinants de morgue et de suffisance va entrer dans l’Histoire par la porte de la honte, comme les généraux de 40. Mais ceux qui vont payer le prix, c'est ceux qui sont morts, les vieux, les soignants... Et demain, toute une génération, ces jeunes qui sont en train d'être sacrifiés sur l'autel des fausses bonnes idées, de l'impéritie et de la trouille institutionnalisées. Le prix final à payer pour ces énormes fautes va être terrible.
  Toutes ces mesures sont illogiques et incompréhensibles (puisque inexplicables). Elles créent et cultivent un sentiment d'injustice insupportable, dont il faudra répondre un jour, d’une manière ou d’une autre, car le désastre est si grand qu'on ne pourra pas se contenter de marches blanches, de gerbes aux Invalides et de quelques Légions d’honneur à titre posthume : le sentiment de justice est le ciment d'une société, et quand il est bafoué, ce n’est pas seulement un système, de santé ou autre qui s’effondre, mais l'édifice tout entier. Le nôtre est en train de se lézarder en profondeur, à un point tel qu'il est permis de se pose la question : ‘’Pourquoi ?’’.
  Hier comme aujourd'hui, les responsables-en-chef sont la bureaucratie, les routines, le culte de la procédure, l'adoration des ''normes'', la peur de mécontenter les puissants et d’inadmissibles querelles d'ego entre hiérarques jaloux de leurs prérogatives.  “Ces élites internationalistes (nous dirions ''mondialistes'', de nos jours) incompatibles avec l'amour de la patrie, et encouragées par l’égoïsme et le cynisme économique de l'époque, où des syndicats, obsédés par l'intérêt immédiat de leurs membres, n'ont d'autres revendications que matérielles, au détriment de l'intérêt du pays, et où le Front Populaire (en français 2021 : ’'le politiquement correct”) n'a bien entendu pas pu tenir ses promesses’’. A trois mots près, il n'y a rien à changer... puisque rien n’a changé ! L'Histoire serait-elle donc cet ‘’éternel recommencement’’ dont parlait Thucydide quelque 450 ans avant l’ère chrétienne ?
Dans ce cadre plus historique que les considérations habituelles, commenter les déclarations du chef de l’Etat ce soir serait sans doute déplacé, d’autant qu’elles vont soulager autant de gens qu’elles vont en irriter. Pour une fois, ‘’je passe’’. 
H-Cl.
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Edwige did not need to slay these looks as hard as she did yet she chose to anyway
IL SUFFIT D'UNE FOIS // ONCE IS ENOUGH (1946), dir. Andrée Feix
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la-cocotte-de-paris · 3 years
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Something about Edwige petting a horse just has me in another dimension
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la-cocotte-de-paris · 2 years
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Introducing my favourite thruple <3
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la-cocotte-de-paris · 3 years
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What I wouldn't do to see Edwige smile and wink like that and be the cause of it 🥺🥺💖
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la-cocotte-de-paris · 2 years
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Henri Guisol, Edwige Feuillère, and Fernand Gravey attempt to figure out the mysterious gift bestowed upon them by two shady figures in IL SUFFIT D'UNE FOIS (1946)
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la-cocotte-de-paris · 3 years
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Gorgeous gorgeous girls go feral for her
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la-cocotte-de-paris · 3 years
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Does anyone have a link to Il suffit d'une fois (1946)? The only version I can find has a Russian dub, and I'd love to watch it with the original French audio (idm if there are subtitles or not tho!) 🥺
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lyslily · 7 years
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Fernand Gravey Il suffit d'une fois, Andrée Feix (1946).
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claudehenrion · 4 years
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Notre “Etrange défaite” : Marc Bloch, encore et toujours...
 Les lecteurs de ce Blog savent mon admiration pour cet historien, trop jeune assassiné par le nazisme, lui qui se disait “juif, sinon par la religion (que je ne pratique point, ni aucune autre), du moins par la naissance”, et qui précisait : “Je ne revendique jamais mon origine, sauf en face d’un antisémite”. Ce grand patriote et immense historien, qui avait fondé, avec Lucien Lefebvre les Annales d’histoire économique et sociale (et qui parlait une dizaine de langues), a laissé un ouvrage-culte, paru en 1946, “L’étrange défaite” qui a été le premier à accréditer l'idée que l'échec de l'armée française face aux troupes de Hitler était imputable aux plus hauts niveaux de commandement et de l’Etat, idée qui me hante, en ces jours d'une lourde défaite pour notre pays (et le monde, mais ceci est un autre sujet.)
  Notre Président s'était cru génial en déclarant la guerre à un ennemi insaisissable. Ça doit être une marotte, à l'Elysée : le lamentable Hollande avait utilisé le même mot, dont il ignorait aussi le sens ; pour le terrorisme. Mais si guerre il y a, le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle commence, comme celle de 1939-1945, par une sacrée déculottée : la France vit un désastre, pour lequel le mot crise ne suffit plus : c'est une désillusion aussi profonde que celle de mai 1940, où nous avions, répétaient nos chefs, “la meilleure armée du monde”… Ce coup-ci, c'est “le meilleur système de santé du monde” que la France pensait avoir ! Et dans les deux cas, tout s'est effondré en un clin d’œil. En 1939-40, c'est d’armements modernes, d'avions, de vrais chars d’assaut et de soldats (les nôtres portaient encore des bandes molletières quand les allemands avaient des bottes de cuir) que nous manquions. Aujourd’hui, c'est de masques, de respirateurs artificiels, de sur-blouses, de lits, de place, de personnel, de gants, d'hydralcool,… bref : de tout !
  Mais si le système français avait été… juste ‘’pas trop mauvais’’, nous n’en serions pas à nous disputer sur la réquisition abusive d'importations de masques, de tests de dépistage, et de tout ce que nous allons mendier aux quatre coins de la planète, à grand renfort de feu cet argent que nous avons gaspillé en idées folles, soi-disant humanistes, pseudo-immigrationnistes, et faussement ’’ouvertes’’ ! Au réveil… nous n'avons pas le ‘’meilleur système’’, et nous ne sommes même plus un grand pays, mais une petite nation mesquine, endettée, bouffie d’orgueil et de prétention. Et en face d’un virus teigneux, l’orgueil et la prétention, ça ne sert à rien.
  Il faut bien se demander pourquoi un tel désastre, et cela nous ramène toujours aux mêmes mots : incompétence, inorganisation, absence de vision, improvisation, prétention, mensonges. Et nullité de nos dirigeants, surtout de ceux en charge du système de santé qui ont, entre temps, été promus “Experts présidentiels” pour continuer leurs ravages. Cette génération de responsables de la santé en France est en train d’entrer dans l’Histoire, comme les généraux de l’armée française en 40. Comme les généraux de 1940 (sauf un), cette camarilla de petits chefs et de techniciens ivres de leur suffisance, a une guerre de retard face au Covid19. Ceux qui en payent le prix, c'est les morts, les vieux, les médecins, les soignants et tout un univers rempli d'héroïsme qui gravite autour d'eux, ceux qui se sacrifient pour rattraper des erreurs dont ils ne sont pas responsables. Souvent, le troufion de base paye de sa vie la nullité de ses chefs.
  Cette injustice insupportable, il faudra en répondre d’une manière ou d’une autre. Le président de la République a très vite comparé cette épidémie à une guerre, ce qui pouvait sembler habile, pour mobiliser la nation contre le terrible ennemi. Mais cette comparaison se retourne contre ceux qui croyaient en tirer parti, car en face d’un tel désastre, on ne pourra pas se contenter de gerbes de fleurs aux Invalides et de quelques Légions d’honneur à titre posthume : le sentiment de justice est le ciment d'une société, et quand il est bafoué, ce n’est pas seulement un système qui s’effondre, de santé ou autre, mais bien la totalité de l’édifice.
  Ce procès a déjà été fait par Marc Bloch, pour qui les responsables-en-chef  sont la bureaucratie, les routines, le culte de la procédure, la peur de mécontenter “un puissant d'aujourd'hui ou de demain”, une dilution des responsabilités, un système de “castes”, et des querelles d'ego entre hiérarques jaloux de leurs prérogatives. Il ajouterait aujourd'hui : une centralisation qui a depuis longtemps dépassé les limites du tolérable. Mais il n'oubliait pas ‘’le culte de la théorie’’ dans la formation des élites (il disait “Polytechnique et Sciences Po” : il ne connaissait pas l'ENA !)… avant d'ajouter : “Ces élites, dont l'internationalisme (nous dirions ‘’la mondialisation’‘ !) est incompatible avec l'amour de la patrie, ont été encouragées par l’égoïsme et le cynisme  économique de l'époque, où des syndicats, obsédés par l'intérêt immédiat de leurs membres, n'ont d'autres revendications que matérielles, au détriment de leur avenir et de l'intérêt du pays, et où le Front Populaire (nous dirions ’'le politiquement correct” ?) n'a bien entendu pas pu tenir ses promesses folles’’. A deux ou trois mots près, il n'y a rien à changer !
  “Peu de gens ont été aveugles, mais personne n'a osé élever la voix, mettre en cause les idées reçues et dénoncer les carences avant qu'elles ne soient révélées (NDLR - par le conflit, alors, et la maladie aujourd'hui). L’absurdité de la propagande officielle et son irritant optimisme déplacé, et l’impuissance de notre gouvernement à définir honnêtement ses intentions, s'il en a, ont entretenu un sentiment de sécurité”. Et aujourd'hui, sur un champ de décombres en partie évitables, “la mollesse et l’immobilisme des ministres apparaissent en clair, comme aussi l'abandon de leurs responsabilités à des techniciens recrutés sur la même base corporatiste de caste, dans une culture commune de mépris du peuple…”. On repense à Romain Rolland :“On dirait que le monde, pour le gouverner, a fait le choix des plus médiocres. Au cours de cette période si courte et où se décide le sort du monde et de la France, les hommes en place ne pensent qu’à gagner du temps et à vanter les mérites d'hommes dont ils connaissent la nullité… ” (“Jean-Christophe”). Tout est dit. L'Histoire serait-elle cet ‘’éternel recommencement’’ dont parlait Thucydide ?
   Je ne sais pas s'il est possible de trouver, aujourd'hui, des mots plus adaptés à la situation de notre pays en voie de ratatinement progressouillo-macronien devant l'Histoire –à laquelle notre Président tourne si haineusement le dos, sans que l'on puisse comprendre le pourquoi de ce masochisme militant… Il n'empêche : une fois ce terrible épisode mortifère passé, il faudra que quelques uns de ceux qui ont le plus failli, le plus menti, le plus nui à la France et à ses enfants, tous ceux qui ont raconté des salades, traficoté les informations, caché la vérité et cherché à nous faire prendre des vessies pour des lanternes… s'expliquent sur ce qui nous est arrivé. Et là, nous aurons bien besoin de Marc Bloch, une fois de plus !
H-Cl.
PS – En me rangeant à votre choix que “pendant les drames, les digressions continuent”, je vous avais demandé quelques libertés avec la quotidienneté de ces “billets”. Me permettrez-vous de me mettre en RTT demain, Vendredi Saint, pour un vrai week-end pascal ? Quand on voit que même une bête de combat comme Boris Johnson trébuche… on se sent tout petit ! A mardi prochain, donc, le 14 avril. Et malgré le confinement, JOYEUSES FETES DE PAQUES à tous :  Χριστός Ανέστη (Christos anesti !)…  Al-Masih-Qam…, Christus ist auferstanden… Kristus het opgestaan…Христос Воскресе (Christos Voskrese ! )… ハリストス復活!実に復活(Harisutosu fukkatsu !… tous  égaux dans le confinement : les cloches n'ont même pas pu aller à Rome, car la frontière était fermée ! Mais Voistinu Voskrese, Aleïthos anesti, Jitsu ni fukkatsu : En vérité, Il est ressuscité ! Les beaux jours vont revenir ! Et bonne PESSAH à mes amis juifs. Shabbat shalom aiemen, שַׁבָּת שָׁלוֹם ! 
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lyslily · 6 years
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Fernand Gravey Il suffit d'une fois, Andrée Feix (1946).
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