Tumgik
#infirmière scolaire
tijasadahip · 2 years
Text
Temps plein. Publié hier.Emploi du temps : 1ère Année en Sciences Infirmières (semaine du 16_04 au 21_04_2018)
TEMPS DE TRAVAIL · 36 semaines pour les infirmiers et infirmières. · 36 semaines pour les personnels infirmiers. · 5 journées au moins · 1 heure travaillée équivaut
Toute l'info utile pour infirmières aide-soignantes étudiant en IFSI, candidat au concours paramédicaux, cadre de santé, infirmière libérale
Vous êtes à la recherche d'un emploi : Infirmier Temps Partiel ? Il y en a 25 819 disponibles sur Indeed.com, le plus grand site d'emploi mondial.
Les emplois du temps sont établis sur la base de 35 h 00 par semaine. L'enseignement clinique. Il s'effectue dans des structures diverses : Établissements de
</p><br>https://mukuheboq.tumblr.com/post/694280723100844032/hyundai-pdf, https://simapotaba.tumblr.com/post/694282355753566208/classic-respecter-la-notice-dutilisation-du-pari, https://mukuheboq.tumblr.com/post/694280723100844032/hyundai-pdf, https://mukuheboq.tumblr.com/post/694280305961549824/urmet-mini-note-2-notice-installation, https://mukuheboq.tumblr.com/post/694280305961549824/urmet-mini-note-2-notice-installation.
0 notes
Text
18/01
L'une des pionne a découvert ma liste de règles dans ma chambre à l'internat. Elle l'a donné à infirmière scolaire qui veut contacter mon médecin traitant. Mais de quoi ils se mêlent tous ???? Depuis quand ça regarde le lycée ? Tout ce qui est important c'est mes notes et mes appréciations, je suis une bonne élève, je suis suivie par une psychiatre qui m'a dit que c'était à moi de gérer et surtout JE NE SUIS PAS EN SOUS POIDS.
Ma mère va l'apprendre, quand elle le saura je n'aurais plus le droit d'aller à Paris voir mes amis et ils ne pourront pas venir me rendre visite, ma mère ne le permettra pas. Je vais être hospitalisée de force, encore une fois, et surtout, j'aurais l'interdiction de partir l'année prochaine. Le seul et unique rêve que j'avais vient d'être anéanti par Anaïs.
2 notes · View notes
catherine-geoffray · 8 months
Text
26–09–23 C’est la rentrée : les étudiants doivent inscrire leur nom sur une liste puis sur un emploi du temps pour prendre rendez-vous avec leur professeur principal ainsi que pour une visite médicale. Dans les couloirs je croise une commissaire d’exposition avec laquelle je viens de travailler qui enseigne dans cette école. Avec ses enfants, elle n’a plus le temps pour ses rendez-vous extra-scolaires. Elle ne donne plus de créneaux à aucun étudiant. Je cherche un rendez-vous libre avec l’infirmière pour lui montrer les estafilades que je me suis faites sur la cuisse, à cause d’un bord métallique coupant d’une table de classe. Quand je pointe les déchirures sur mon pantalon au directeur, il me rétorque que je n’ai qu’à utiliser les machines à coudre de l’école pour les repriser. Quant à l’infirmière, elle me fait une piqûre dans une grosse veine boursouflée et rougie qui va de mon poignet au bord externe de ma paume. Elle me prévient que c’est un peu douloureux, mais je ne sens rien. Elle me prélève du sang dans un flacon sous le regard d’une élève infirmière. 
0 notes
pdj-france · 10 months
Text
L'infirmière américaine Alix Dorsainvil et sa fille ont été libérées 13 jours après avoir été enlevées du ministère communautaire où Dorsainvil travaille en Haïti, a indiqué l'organisation."C'est avec un cœur de gratitude et une immense joie que nous, à El Roi Haïti, confirmons la libération sain et sauf de notre membre du personnel et amie, Alix Dorsainvil et de son enfant qui ont été retenus en otage à Port-au-Prince, Haïti. Aujourd'hui, nous louons Dieu pour prière exaucée", indique le déclaration.L'organisation a demandé que personne ne contacte Dorsainvil ou sa famille en disant: "Il y a encore beaucoup à traiter et à guérir dans cette situation."Alix Dorsainvil, une infirmière d'El Roi Haïti (à droite), et sa fille ont été enlevées jeudi, a indiqué l'organisation dans une déclaration samedi. (CNN)Le département d'État américain a affirmé qu'il "accueille favorablement les informations provoquant état de la libération de deux citoyens captifs en Haïti", a affirmé mercredi un porte-parole à CNN, ajoutant qu'ils "n'ont pas de plus grande priorité que la sûreté et la sécurité des citoyens américains à l'étranger".La police nationale haïtienne a affirmé à CNN qu'elle ne pouvait pas commenter l'affaire car elle fait toujours l'objet d'une enquête.L'enlèvement – ​​y compris un homme sortant une arme à feu – s'est déroulé sous les yeux d'un patient attendant un examen médical, a affirmé le patient à l'Associated Press."Quand j'ai vu l'arme, j'ai eu tellement peur", a affirmé Lormina Louima à AP."J'ai dit : 'Je ne veux pas voir ça, laisse-moi partir.'"Le même jour, le Département d'État américain a ordonné le départ du personnel gouvernemental non urgent d'Haïti tandis que la situation sécuritaire dans le pays se détériore.Port-au-Prince et ses environs sont en proie à une épidémie d'enlèvements à but lucratif qui dure depuis des années, avec des centaines d'Haïtiens ciblés par des gangs cherchant chaque année à payer une rançon.La coque d'une voiture de police carbonisée, incendiée par des membres de gangs, se trouve dans le bidonville de Drouillard à Port-au-Prince, en Haïti. Le gouvernement américain a exhorté les ressortissants américains à quitter Haïti au milieu de la violence croissante entre les gangs et les autorités. (PA)Une femme devant sa maison de fortune construite après que des gangs eurent incendié sa maison, dans le bidonville de Cité Soleil à Port-au-Prince. (PA)La majorité des victimes sont locales, mais des étrangers ont été saisis dans le passé.En 2021, 17 missionnaires des États-Unis et du Canada ont été emmenés par un gang local alors qu'ils voyageaient sur la route au nord de la capitale et détenus pendant plus d'un mois.Les autorités ont relevé 1 014 enlèvements en Haïti de janvier à juin de cette année - dont 256 femmes, 13 filles et 24 garçons - d'après un rapport de l'ONU.Dorsainvil, originaire du New Hampshire, fait partie du personnel qui s'occupe des écoliers en tant qu'infirmière depuis 2020 et a épousé Sandro Dorsainvil, directeur d'El Roi Haïti en 2021, d'après l'organisation à but non lucratif.Elle s'est rendue pour la première fois en Haïti après le séisme de 2010 alors qu'elle était encore à l'université et "est tombée amoureuse des gens", a affirmé l'organisation à but non lucratif dans une déclaration.Elle a ensuite passé des vacances scolaires et des étés à visiter Haïti, économisant son argent et payant son propre chemin vers la nation des Caraïbes aussi souvent qu'elle le pouvait.L'enlèvement de Dorsainvil a incité les étudiants d'El Roi Haïti et d'autres résidents à organiser une manifestation exigeant la liberté de l'infirmière bien-aimée et de sa fille.Inscrivez-vous ici pour recevoir nos newsletters quotidiennes et nos alertes d'actualité, envoyées directement dans votre boîte de réception.
0 notes
travaillerauquebecinfo · 11 months
Text
Tumblr media
Les secteurs qui recrutent :
Génie : Le domaine du génie regroupe plusieurs spécialités et joue un rôle essentiel dans le développement des infrastructures et des technologies. Quelques métiers associés sont ingénieur civil, ingénieur mécanique, ingénieur électrique, ingénieur en informatique, ingénieur chimiste, ingénieur environnemental, etc.
Santé et services sociaux : Ce domaine englobe les professions liées à la santé et au bien-être des individus. On y retrouve des métiers tels que médecin, infirmier/infirmière, pharmacien/pharmacienne, physiothérapeute, ergothérapeute, psychologue, travailleur social, technicien(ne) en radiologie, et bien d'autres.
Éducation : Ce domaine concerne les métiers liés à l'enseignement et à l'éducation des enfants, des adolescents et des adultes. Parmi les métiers associés, on trouve enseignant/enseignante (primaire, secondaire, collégial, universitaire), conseiller/conseillère d'orientation, directeur/directrice d'établissement scolaire, éducateur/éducatrice spécialisé(e), etc.
Services de garde éducatifs à l'enfance : Ce domaine se concentre sur les services de garde et l'éducation des jeunes enfants. Les métiers associés incluent éducatrice/éducateur en petite enfance, responsable de service de garde, animatrice/animateur de garderie, intervenant/intervenante en milieu familial, etc.
Technologies de l'information : Ce domaine est axé sur les technologies de l'information et de la communication. Les métiers associés sont développeur/développeuse web, analyste-programmeur/analyste-programmeuse, administrateur/administratrice de réseaux, spécialiste en cybersécurité, concepteur/conceptrice UX/UI, etc.
Fabrication et usinage : Ce domaine concerne la production, la transformation et la fabrication de divers produits. Les métiers associés incluent soudeur/soudeuse, machiniste, opérateur/opératrice de machine, ajusteur/ajusteuse-monteur/monteuse, technicien/technicienne en contrôle de la qualité, etc.
Il convient de noter que ces domaines et métiers sont assez vastes, et chaque domaine peut comporter de nombreuses spécialités et professions spécifiques. Il est recommandé de faire des recherches approfondies et de consulter les autorités compétentes pour obtenir des informations détaillées sur les opportunités d'emploi et les exigences spécifiques dans chaque domaine au Québec.
1 note · View note
jogallice · 1 year
Text
Santé : Infirmière scolaire, un documentaire au plus près de collégiens de l'Aube pour mettre en lumière « ce métier vraiment crucial ».
See on Scoop.it - JamesO
Entretien : France 2 a diffusé le mercredi 12/04/23, dans le cadre de l'émission Infrarouge, une immersion dans le quotidien d'une infirmière scolaire. Ce documentaire porte un éclairage édifiant sur le rôle clef de ces soignants auprès d'élèves en pleine mutation. Interview avec la réalisatrice Delphine Dhilly.
JamesO's insight:
Via l’agence JamesO Média❗️N.D.L.R. : article de presse (temps de lecture : 6 minutes) publié par Franceinfo (France Télévisions) le mercredi 12/04/23.
  🤸‍♀️ Du 1er au dernier jour de l’année 🏄‍♀️
🤸 Du lundi au dimanche 🏄
🤸‍♂️ Jours fériés compris 🏄‍♂️
  #santé #collèges
#jeunes #jeunesse
#culture #documentaires
#métiers #professions #infirmiers
#Aube #GrandEst
  ⏳ JamesO.InfO ⌛️
⚖️ Sobriété informationnelle 🖊
  🌹 Le fil rose de JamesO.InfO
L’alimentation, la consommation et la santé.
0 notes
coulisses-tv · 1 year
Text
"Infirmière scolaire" : document inédit sur France 2 mercredi 12 avril 2023 dans "Infrarouge"
http://dlvr.it/SmFp8p
0 notes
justmylifefr · 1 year
Text
Manque vital
/// Ce si est un texte personnel écrit comme exutoire
Il est libre actuellement à vous de vous en faire votre propre jugement
Ce soir monotone le mood, j’ai pas eu le complément vital à ma journée. Mais qu’est-ce que l’élément vital, un trajet pour réfléchir ? J’aime et je resterais à cette école dans le seul bienfait quel m’apporte, un rythme dans mes journées et semaines. Je profite des vacances pour élaborer mes shootings dans le sens du fil scolaire rythmer par ma vie continue. J’aime bien ça mais aujourd’hui nous sommes en vacances mais je garde la pression quotidienne du travail. Il me faudrait une alternance pour ne pas perdre ce rythme continuer tel un robot nouer d’émotion et d’un œil unique. Je souhaiterais vraiment cela, j’attends des nouvelles mais ça me met une notification en haut de ma vision qui me dit incertitude. Je déteste ça… Aujourd’hui j’ai appris ce qu’il me manquer à ma vie. Toujours plus de photo, Pierre me casse un peu dans ce rythme. Car je ne dois véhiculé d’émotions pour être cohérent dans ma démarche. J’ai besoin de solitude pour bien travailler. C’est ma vue que je ne partage pas avant éclosion du projet fini. Je pourrais faire des masterclass mais je sais qu’ils n’ont pas mon niveau. J’ai appris sur le tas ils n’ont pas ma vision j’aimerais qu’il l’ai. Mais je ne souhaite pas partager mes yeux à ce point. Je ne suis pas un sensei et ils ne sont pas mes disciples. Je suis seul c’est tout. J’ai peut-être des gens qui partagent mes journées et aventures avec moi. Mais ça ne changera rien au fait que je suis seul ici, seul à écrire ça, seul à lire ça, seul à comprendre, seul à vivre ça ils peuvent faire mine de comprendre mais il faut pas une discussion pour élaborer ma psychologie il faudrait une vie. Le docteur veut pas me lâcher car il est loin de me cerner. Comme chatGPT je fixerais mon débat sur la solitude comme le premier bouquin. Seul à le conserver jamais publier. J’aimerais une fille pour qui je gliche dans un nid, j’adorerais. Tant d’amour que je n’attendais pas. Mais dans ce livre aussi je resterais seul, promis dans le troisième livre l’amour sera arriver. Mais pour l’instant il me reste de longue ligne à écrire pour en arriver là. Mais qui sais ce que la vie nous réserve… Dieu merci j’ai compris comment tu m’aider j’aimerais plus le répercuter. Dites pas que je suis non croyant, j’ai mon monde, mes yeux, mes idées, votre dieu. C’est croyance ne devrait pas créer conflit au fond on vient tous du même endroit. Pourquoi ça devrait diviser et non pas rassembler. On est tout humain, je considère tout le monde pas pour autant que je les respecte ou estime. J’aimerais te parler comme si j’en attendais de toi mais tu as tes tords j’ai les miens et on partage pas pour l’instant la même ligne de vie. Bientôt je rencontrerais mon fil rouge et la vie reprendra de cette pose qui a terminer quand tu es partie. Toi, elle qui sait il finisse tous pareil… De vieux souvenirs qu’on aime ce remémorer et qui blesse pour autant. Infirmière ou infecté elle on toute leur chanson… Je veux voir ce qui nous attend mais pour l’instant je suis qu’une silhouette vagabonde. Solaire je reflète, triste blues j’écoute au quotidien. Des sons qui me détruisent comme me poussent a avancer. Des musiques significatives à tout type d’idée. Pourquoi j’écoute beaucoup parce que je pense beaucoup. L’anniversaire de ma mère… 50 ans un jour elle sera plus là et j’écrirais plus, j’aurais perdu mon pilier ma raison de vivre. Elle souffre et j’écris. J’ai conscience de ça, sceller en moi je ne peux pas en profiter à 100%. Faut que je vive pour ces sacrifices faut pas que je fasse le capricieux. Mais un jour j’aurais la maison que je vois, cette voiture pour me perdre dans son quartier, mes œuvres d’art, des pièces de collection et ma perle rare. De la lumière dans ma vie arrivera vite j’y crois. Les beaux jours arrivent et je serais les célébrer dignement. Je veux pas d’excès mon joint et mon verre de vin. Tout ces efforts ne finiront pas en vain. 
1 note · View note
actu24hp · 1 year
Text
Aider les étudiants de la CUNY à se loger les aide dans leurs études – New York Daily News
Isabella est comme n’importe quel étudiant à travers le pays. Elle s’est inscrite au Medgar Evers College de Brooklyn avec le rêve d’obtenir un diplôme et de devenir infirmière. Mais comme de nombreux étudiants, Isabella a rencontré des obstacles qui ont rendu difficile le suivi de ses travaux scolaires et de rester sur la bonne voie pour obtenir son diplôme. Isabella avait du mal à joindre les…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
adsps · 1 year
Text
A D S P S
Association nationale de défense des  soignants, Médicaux Sociaux et personnels sociaux* de toutes origines salariés intérimaires, vacataires, CDD, CDI, Fonctionnaire.
L'essentiel étant d'être de ces professionnels et salariés, nous n'agissons pas sur le secteur libérale.
Association sans but lucratif !
0 % de financement employeurs
100 % de financement issue des adhésions et des dons des particuliers.
Cela donne une grande liberté de mouvement et aucun retour de service.
Écoute, Entraide, Conseils y compris juridique si besoin.
15 euros par année civile, glissante.
de date à date année plus 1.
Adsps.fr
*Liste exhaustive des professions    éligible à l'association Adsps.
Médecin, Infirmière, Aide-Soignante, AMP, Auxiliaire de Vie, Auxiliaire de Vie scolaire, Manipulateur radio, Laborantin, Pharmacien, Préparateur en pharmacie, Aide-ménagère, Infirmière Scolaire, Éducateur spécialisé…
-N'hésitez pas à nous contacter en cas de doute sur votre éligibilité.
-Pour plus d'informations nous pouvons vous adresser par mail les statuts de l'association nationale Adsps.
N'hésitez pas à nous contacter ici:
Si vous souhaitez déjà nous rejoindre voici le lien pour adhésion par carte bleue.
https://www.adsps.fr/connexion-adherents/
0 notes
bouxmounir · 2 years
Text
"J'ai hâte de travailler avec les enfants"... Emploi réussi sur le site de rencontres de l'Académie de Versailles
“J’ai hâte de travailler avec les enfants”… Emploi réussi sur le site de rencontres de l’Académie de Versailles
Ce mardi, le lycée Alfred-Kastler de Pontoise (Val-d’Oise) s’affaire à recruter. Car l’académie de Versailles organise son premier job dating pour former des enseignants contractuels, mais aussi de AESH (accompagnant des élèves en situation de handicap), des psychologues de l’Education Nationale, des infirmières et des médecins scolaires. Une opération coup de pouce puisqu’elle dure 4 jours* et…
View On WordPress
0 notes
Les clichés sur les règles dans le milieu scolaire
L’infirmière scolaire : “C’est normal. C’est juste un problème émotionnel ou respiratoire.”
- Pinpin
Faute de formation, le personnel médical répète machinalement des clichés populaires...
Tumblr media
5 notes · View notes
aaltjelng · 3 years
Text
hälsa, kropp och välmående - ordlista✨
sve - fin - fra
Tumblr media
ångestfull - ahdistunut - inquiet
tillgänglighet, -en - esteettömyys - l'accessibilité
tillgänglig - saatavilla, vapaa - accessible
tandvärk, -en - hammassärky - le mal aux dents
en drog 3 - huumausaine - la drogue, la narcotique
knark, -et; narkotika, -n - huumeet - la drogue, la narcotique
knarkmissbruk, -et - huumeidenkäyttö - l'abus de drogue (m)
en skolsköterska 1 - kouluterveydenhoitaja - l'infirmier/infirmière scolaire
motionera I - kuntoilla - faire de l'exercice
ont i halsen - kurkkukipu - le mal de gorge
feber, -n - kuume - la fièvre
lyssna I på lungorna - kuunnella keuhkoja - écouter les poumons
använda II droger; knarka I - käyttää huumeita - consommer des drogues
snusa I - käyttää nuuskaa
banta I - laihduttaa - se maigrir, perdre du poids
gå ner/upp i vikt - laihtua, lihoa - perdre/prendre du poids
funktionshindrad - liikuntarajoitteinen - handicapé
ta temperaturen/tempen - mitata kuume - mesurer la fièvre
en nacke 2 - niska - la nuque
snuva, -n - nuha - le rhume
ta en tupplur - nukkua päiväunet - faire une sieste
snus, -et - nuuska - le tabac à priser
ett symtom 5 - oire - le symptôme
vara beroende av något - olla riippuvainen jostain - être dépendant de qqch
avslappnad; avkopplad - rentoutunut - détendu
beroendeframkallande - riippuvuutta aiheuttava - addictif
en sjuksköterska 1 - sairaanhoitaja - l'infirmier/infirmière
en cigarrett 3 - savuke - la cigarette
unna I sig något - suoda itselleen jotakin miellyttävää - se faire plaisir
en värktablett 3 - särkylääke - l'anti douleur
tobak, -en - tupakka - le tabac
en funktionsnedsättning 2 - vamma - le handicap
blodtryck, -et - verenpaine - la tension artérielle
bli förkyld - vilustua - prendre froid, attraper un rhume
må dåligt - voida huonosti - se sentir mal
må illa - voida pahoin - se sentir mal
hosta, -n - yskä - la toux
19 notes · View notes
profenscene · 3 years
Text
Jeudi 23 septembre
Tumblr media
Comme souvent lorsque la situation se présente, je suis gréviste aujourd'hui. Et comme souvent, l'avoinée que se prennent les personnels d'éducation qui arrêtent le travail est impressionnante. Bien entendu, les réseaux sociaux ont un pouvoir déformant qu'envieraient nombre de nos responsables politiques, mais je pense que l'excès des réactions ne vient pas de là.
Je pense que les métiers tournant autour de l'enseignement - CPE, AESH, prof, infirmières scolaires et j'en passe énormément - sont souvent perçus comme une sorte de sacerdoce. Et, pour les observer au quotidien depuis des années, je peux comprendre pourquoi : aucune autre expérience professionnelle ne m'a montré des gens aussi dévoués, sur le moment, à leurs métiers. Non pas que les enseignants ou les AED soient des êtres supérieurs : c'est juste que, durant une journée de cours, il n'est pas possible de relâcher la tension. Comme je le pouvais, par exemple, quand je travaillais en entreprise. À partir du moment où nous entrons dans un bahut et, souvent, même, quand nous en sortons, les mômes occupent toutes nos pensées. Savoir gérer ce poids est l'une des premières compétences que nous tentons d'ailleurs d'acquérir.
Et c'est justement pour cela que j'estime nécessaire de défendre les acquis de ma profession, et de lutter contre sa dégradation : oui je me voue à mes élèves. Oui, je suis souvent prêt à faire les pas en plus pour améliorer un cours, aider un gamin en difficulté, rassurer des parents.
Mais j'exerce un métier. Hors des murs du lycée, mon paquet de copies rangé, je m'astreins à me protéger. Professeur est un rôle, pas une partie de mon ADN. Je pourrais être quelqu'un d'autre. Faire quelque chose de différent. Et j'ai donc le droit, comme tous mes collègues dans le monde de l'éducation, que l'on traite ma profession comme toutes les autres. Si, parfois, et peut-être trop souvent, j'injecte de l'��motion dans mon travail, c'est un choix, pas une obligation.
Et peut-être, souvent, cette évidence est perçue comme violente. Parce qu'il faut "penser aux élèves". J'y pense. Comme nombre de mes collègues, j'y pense souvent, et la lutte qui se poursuit aujourd'hui est avant tout menée pour eux. Mais ils ne sont pas mes enfants. Je me dois, par éthique et par sanité mentale, de me mettre à distance. D'observer d'abord le cadre de ma profession, de me rendre compte qu'il est bien malmené. Et que ce n'est pas à nous, personnels d'éducation, de le bricoler pour palier aux insuffisances de nos dirigeants.
Aujourd'hui je fais grève. Pour que mon métier reste un métier. Et que je puisse m'y consacrer, sans crainte et de toutes mes forces.
13 notes · View notes
Text
Projet Scolaire || 02
Par instants, ton corps luttait afin de te faire revenir à toi. Dans ses moments là, tu sentais l’engourdissement de tes muscles, la douleur des os brisés. L’inquiétude te gagnait, ton cœur se mettait et s’accélérait dans ta poitrine, jusqu’à raisonner à tes oreilles, tambourinant sur tes tempes alors que tu avais l’impression que ta tête allait imploser. Et puis à nouveau plus rien. Comme si tu te rendormais profondément. Tu retrouvais un sentiment quelque peu paisible jusqu’à la nouvelle sensation de la douleur qui te prenait tout le corps. Autour, tu n’entendais qu’un brouhaha constant, des voix que tu ne connaissais pas ici et là. Le froid, la chaleur, les frissons, l'angoisse, la tristesse, la peur. Tu avais l’impression de tout éprouver en même temps. Tu étais perdu, déboussolé… Tu ne voulais qu’une chose, te réveiller. Car si c’était un cauchemar, il fallait que tu te réveilles, que tu sortes de tes songes, que tu reprennes le cours de ta vie car enfin tu avais trouvé un intérêt à la vivre. Eux. Ceux avec qui tu avais passé ses trois derniers mois, ceux que tu considérais maintenant comme tes amis. Et surtout lui. Ses cheveux noirs en batailles comme s’il sortait de son lit, ce sourire aux coins des lèvres, ces blagues à doubles sens, ses allusions lourdes et douteuses… En une fraction de seconde il avait changé ta vie, s’il ne s’était pas tourné vers toi ce jour-là, il n’aurait pas brisé ta routine et ta monotonie. Il avait ouvert en grand les portes de ton cœur, t'invitant à regarder le monde qui t'entourait. Alors pour lui au moins, il fallait que tu te réveilles… 
Quand tes yeux se sont ouverts, tu fis face à la lumière aveuglante du plafond de ta chambre d’hôpital. Il t’a fallu un moment avant de pouvoir bien discerner ce qui t'entourait dans la pièce, levant avec difficulté la main afin de la passée sur tes yeux. Tes muscles endoloris étaient un vrai calvaire. Tu voulais te redresser mais la fatigue était bien trop forte pour que tu puisses y arriver. Tu as entendu la porte s’ouvrir, aperçu le visage d’une infirmière qui t’a souri avant de repartir presque aussitôt afin d’aller chercher le médecin de garde. Ce dernier t’a immédiatement rassuré, te confiant que même si ta chute avait été spectaculaire, tu n’avais pour ainsi dire rien de très grave, juste une jambe cassée et une petite contusion à la tête qui t’avais plongé dans un coma de quelques semaines. Ce n’était rien, cela dit, juste un mécanisme de ton corps afin que tu puisses guérir et récupérer suffisamment de forces, alors ils ne s’étaient pas trop inquiété. Il te confia que tu avais fait une sacrée frayeur à ta famille et qu’un groupe de lycéen avait débarquée en trombe dans l’hôpital tout affoler. Tu ne pus t’empêcher de sourire et rire légèrement à sa remarque, c’était bien le genre de tes amis de Nekoma. Le médecin allait encore te garder en observation pendant quelques semaines pour s’assurer que tout allait bien. Il te conseillait du repos surtout mais avant de partir, il te demanda comment tu étais tombé.
Est-ce que tu avais eu une perte d’équilibre, tu avais glissé ou quelqu’un t’avais poussé volontairement ? Tu hésitais à répondre car toi-même tu ne savais pas. Tu avais eu clairement la sensation que quelqu’un t'avait agrippée et t’avait tiré violemment en arrière, tu en étais persuadé mais est-ce que ton esprit ne t’avais pas joué un tour ? Le doute s'insinuait en toi, tout était encore flou dans ton esprit et tu ne préférais pas pensé que l’un des élèves était allé aussi loin pour pas grand-chose finalement… Pour une relation amicale un peu bizarre et très familière. Alors tu as répondu par la négative, que tu ne savais pas comment tu t’étais retrouvé en bas de l’escalier, que tout était allé très vite et que tu n’avais pas eu le temps de comprendre ce qu’il t’arrivait. Le médecin a simplement répondu un “Je vois…” avant de sortir de la chambre l’air quelque peu suspicieux. Comme la fatigue commençait à te gagner, tu as doucement fermé les yeux et laissé le royaume des songes venir à toi. Ton corps était toujours autant engourdi mais tu sentais que progressivement, la sensation passait et que la douleur devenait de plus en plus supportable. 
A ton réveil, tu aperçu brièvement la silhouette de ta mère qui regardait par une des fenêtres de ta chambre, les yeux un peu dans le vague, elle semblait ailleurs. Tu l’as appelé, elle s’est immédiatement tourné vers toi, souriant l’air soulagé. Elle était encore dans sa tenue de travail, ses yeux étaient rouges du fait d’avoir trop pleuré et tu sentis sa main, légèrement tremblantes se poser sur ta joue afin de t’accorder une caresse. Vous vous êtes décrocher un sourire, elle s’est assise sur le bord du lit et vous avez un peu discuté. En observant la pièce, tu aperçut sur la table un tas de bouquet de fleurs et de cartes te souhaitant un bon rétablissement. Comme tu les fixais quelque peu intensément, te demandant qui avait pu t’envoyer tout ça, ta mère répondit sans le vouloir à ta question. 
- Tes camarades de classe ont apporté tout ça… 
- Mes camarades de classe ?
- Oui ! Des jeunes filles charmantes ! Elles s’inquiétaient beaucoup pour toi !
- Je n’ai aucune amie… 
- Ne dis pas de bêtise ! Pourquoi elles auraient apporté tout cela sinon ?
- Ce ne sont que des faux culs. Répondis-tu froidement. Comment est-ce que tu crois que je me suis retrouvé ici ? 
Ta mère allait prendre leurs défenses une seconde fois mais lorsqu’elle vit ton expression, oscillant entre colère et dégoût, elle comprit bien vite que quelque chose n’allait pas. Tu n’étais pas tombé de toi-même dans ses escaliers, non, quelqu’un t’y avait volontairement tiré. Alors qu’elle allait sans doute aborder le sujet afin de connaître le fin mot de cette histoire, tu as simplement dit que tu étais fatigué et que tu voulais te reposer. Elle c’est lever après avoir déposé un baiser sur ton front et une caresse sur ta joue, regagnant la sortie afin de te laisser récupérer tes forces. Le médecin ne t’avait pas encore autorisé à avoir de visite, il jugeait que tu n’étais pas encore en état d’en recevoir mais lorsqu’il donna son feu vert, les joueurs de l’équipe de volley masculine de Nekoma furent les premiers à défiler dans ta chambre. Tu reçus la visite de Lev qui t'avait apporté quelques bandes dessinées et même si elles n’étaient pas trop à ton goût, tu l’avais quand même remercié pour l’attention. Yaku avait emmené avec lui un jeu de cartes et vous avez fait quelques parties avec Yamamoto et Kai. Mais celui avec qui tu passais le plus de temps c’était Kenma. Comme le petit flamby n’habitait pas loin de l’hôpital, il passait te voir chaque jour après le club. Vous discutiez longtemps et il t’avait même laissé sa console portable afin que tu ne t’ennuie pas trop. Le seul qui n’était pas encore venue te voir, c’était Kuroo et tu te demandais bien pourquoi d’ailleurs.
Tu aurais tant aimé qu’il soit là, qu’il te fasse rire avec son humour un peu lourd, ses sous-entendus douteux, qu’il t'appelle encore par ce surnom que tu avais finis par apprécier. Tu y songeais tellement que c’était comme si Kenma avait lu dans tes pensées. Alors que le décolorer était assit sur le rebord du lit, qu’il observait les expressions changeantes de ton visage du coin de l’œil, passant de pensives à interrogateur puis quelque peu déçu, il soupira longuement. Tu sortis instantanément de tes songes tandis qu’il te décrochait un sourire, posant sa PSP sur le bord de la table de chevet. Quand Kenma voulait se lancer dans une discussion sérieuse, il faisait toujours ça, il se débarrassait des appareils électroniques qui pouvaient traîner autour de lui et qui pouvaient le distraire, se concentrant ainsi entièrement sur son interlocuteur. Tu savais donc que la conversation qui allait suivre était importante pour lui et peut-être difficile aussi pour les deux introvertis que vous étiez. Malgré cela, Kenma et toi étiez devenu assez proches, suffisamment pour pouvoir parler de tout et aborder n’importe quel sujet. Il était devenu un peu ton confident durant ses derniers mois.
- Tu te demandes pourquoi est-ce qu’il n’est toujours pas venue te voir ?
- Je… Oui, un peu… 
- Il s’en veut… 
- Pourquoi ? Demandas-tu légèrement étonner.
- Il pense qu’il est responsable de ce qu’il t’est arrivé…
- C’est ridicule… Ce n’est pas lui qui m’a poussé dans ses escaliers !
- Indirectement si… Soupira le petit flamby. C’est probablement une de ces groupies sanguinaires et hystériques qui t’a fait ça sans vraiment mesurer les conséquences de son action, alors il se sent coupable…
- Je vois… Tu pourrais lui demander de venir Kenma ? Dis-lui que c’est moi qui le demande… 
- Oui, je le ferais mais Kuroo est plus têtu qu’une mule tu sais ! Enfin… Je ne t’apprends rien ! Affirma-t-il en riant.
- Oui ça j’avais remarqué !
- Je ne devrai peut-être pas te le dire mais… Bon tant pis… C’est la première fois qu’il tombe amoureux, du coup il ne sait pas trop comment faire avec toi !
- Qu’il quoi ? Demandas-tu alors que tes joues devenaient rouges. Il est amoureux de moi ?
- Mince, je pensais que tu avais remarqué ! Oubli ce que je viens de dire !
- Mais comment tu veux que j’oublie ça Kenma ? Oh la la… Je… Mince alors ! Si je m’attendais à ça… 
- Bah c’est plutôt voyant en même temps… 
- Je pensais qu’il se comportait comme ça avec toutes les filles moi ! Il n’a pas vraiment la réputation d’un sentimental au lycée !
Une petite grimace s’étira sur les lèvres de Kenma qui opina doucement du chef avant de se remettre à rire en ta compagnie. Kuroo avait une sale réputation de coureur de jupons, ce n’était pas nouveau mais le décoloré te confia que depuis le début de votre projet scolaire, il n’était sorti avec aucune fille et n’avait vu aucun de ses plans culs réguliers. Le noiraud s’était même confié à Kenma sur le sujet, qu’il commençait à vraiment t'apprécier beaucoup et qu’il n’avait jamais ressenti ça pour personne auparavant. Que ça l’inquiétait, qu’il se demandait si tu ressentais la même chose à son égard et si sa réputation de dépraver n’allait pas tout foutre en l’air. Il avait même songé à changer de technique d’approche avec toi, à être moins direct, plus délicat, à faire un peu plus attention à toi et à moins se comporter comme un rustre, forceur et farceur. Les paroles de l’adolescent à tes côtés te rassuraient énormément, toi qui pensais être la seule à beaucoup l’apprécier, tu étais bien heureuse d’entendre toutes ses choses. Ton coeur se remplissait d’une joie immense et à la fin de la conversation, quand le petit flamby a quitté ta chambre d’hôpital, tu avais l’impression d’être sur un petit nuage. Cela dit, il fallait que tu mettes un peu d’ordre dans ce que tu ressentais, tu ne savais pas trop si tu l’aimais ou si tu l’appréciais juste beaucoup. Mais une sorte d'angoisse te pris soudainement, pensant que si tu continuais à te rapprocher de lui, tu subirais davantage les brimades de ses garces.
Cela t’effrayait quelque part. Tu laissais un petit soupir traverser tes lèvres tandis que Kenma avait quitté la pièce afin de te laisser te reposer. Avant de partir, le décolorer t’avait apporté ton téléphone comme tu le lui avais demandé. Tu voulais écrire un message à Kuroo, tu voulais prendre de ses nouvelles, il te manquait mais tu ne savais pas trop quoi lui dire. Quelque chose d’humoristique peut-être ? Afin de ne pas rendre votre conversation trop formelle et le rassurer quelque peu après ce que t’avait confié le petit flamby… En cherchant dans tes contacts, tu as trouvé le fil de votre conversation, les derniers messages que le noiraud t’avait envoyé te firent esquisser un sourire. “Il a toujours le mot pour rire celui-là !” songeas-tu en relisant votre discussion. Tu laissais un nouveau soupir passé entre tes lèvres, cherchant un moyen d’entamer la conversation mais rien ne te venait à l’esprit. Tu étais sur le point d’abandonner quand finalement, tu décidais d’écrire quelque chose d’assez banal, un simple “Coucou !”. Tu restais les yeux rivés sur l’écran du téléphone attendant qu’il ne daigne te répondre. L’impatience se faisait sentir et en même temps tu réfléchissais. Peut-être qu’il était occuper ? Qu’il faisait ses devoirs ? Qu’il se préparait à manger ? Peut-être qu’il dormait déjà ? Non, vu l’heure ce n’était pas dans son genre… Et s’il ne répondait pas volontairement ? S’il avait décidé de faire silence radio ?
A peine cinq minutes plus tard, tu décidais de lui envoyer un autre message lui demandant “Comment tu vas ?”. Là encore, tes yeux restaient rivés sur ton portable, attendant désespérément une réponse qui n’arrivait pas. S’il ne voulait pas te parler, qu’il le dise clairement, au moins tu serais fixé et tu n’aurais pas à attendre comme une idiote. Tu sentais une petite colère sourde s'insinuer en toi tout en lui posant la question “Tu m’évites ?” cinq minutes après la première. Tu reposais ton téléphone sur le coin de la table de nuit, pensant qu’il ne te répondrait pas de toute façon. Tu étais sur le point de t’endormir quand tu entendis la petite vibration de ton portable à côté de toi. Tu t’es empressé de le saisir et de le déverrouiller, observant le cœur battant la réponse du numéro un de Nekoma. 
“Hey ! Coucou petit chat ~ Désoler, j’étais sous la douche, je n’ai pas entendu mon téléphone vibrer ! ô.ô’ Je vais bien ~ Mais ce serait plutôt à moi de te demander comment tu vas ?”
“Sous la douche… ê.e Et je vais bien, le médecin m’a autorisé à recevoir de la visite, je m’attendais à te voir mais j’ai été déçu…”
“Bah oui, tu veux une preuve peut-être ? ~ Kenma me l’a dit mais j’ai été un peu déborder avec les cours et le volley, je viendrais bientôt te voir mon chaton ~”
“Non, non j’ai pas besoin de preuves !!! Gros pervers va !! Mais j’espère te voir bientôt dans ce cas !”
“Je viendrais dans les prochains jours promis ! Pour me faire pardonner de mon absence ~”
Avec ce dernier message, il t’a envoyé une photo, un peu oser dont le cadre s’arrêtait juste à la limite de son bassin. Elle dévoilait entre autres sa musculature, ses abdos où sur sa peau nue se trouvaient encore les fines gouttelettes d’eau de la douche. Tes joues prirent instantanément des couleurs, virant au rouges cramoisies alors que tu laissais ton téléphone retomber sur le matelas pour te cacher le visage à l’aide de tes mains. Ton corps avait brusquement grimpé en température lui aussi, tu étais un peu morte de honte à l’idée qu’il ne t'envoie une telle image de lui. “Qu’il est con ce chat…” Soupirais-tu alors que tu te mettais à rire légèrement. Kuroo avait le don pour te mettre dans des états indescriptibles. Il était du genre provocateur et imprévisible. Une fois tes rougeurs disparues, tu t’es saisis de ton téléphone afin de lui envoyer à ton tour une photo moins provocante que la sienne mais tu savais que cela allait lui faire plaisir. En retour tu reçus un petit “Hum ~ Trop mignonne mon chaton ♥” ce qui te fit sourire et vous avez continué à discuter un peu avant que tu ne t’endormes, soulager d’avoir repris contact avec lui. Après quelques jours, comme promis par le volleyeur, tu reçus sa visite. A vrai dire, c'était dans la surprise que vous vous êtes quelque peu retrouvé.
Après quelques examens un peu éprouvants que le médecin t’avait fait passer afin de s’assurer que tout allait bien, tu étais retourné dans ta chambre et t’étais endormi comme une masse, en plein milieu de l’après-midi. A ton réveil, tu pouvais sentir un poids sur le bord droit du lit, tandis que ta main était chaudement logée dans un espace de douceur. Lorsque tu as ouvert les yeux, tu as trouvé Kuroo, assis sur une chaise à proximité du lit, son corps totalement penché vers l’avant, ses bras lui servant de coussin de fortune alors que son visage était plongé la tête la première dans le creux qu’ils formaient. Sa main était refermée sur la tienne, tandis qu’il semblait somnoler. Il était encore habillé du jogging et de la veste rouge qui caractérisait tant l’équipe de volley de votre lycée. Tu t’es redressé doucement, tendant avec un peu d’hésitation ta main jusqu’à sa chevelure charbon. Tu ne le voyais pas, mais il avait esquissé un sourire en sentant cette dernière parcourire sa tignasse en bataille, profitant quelques instants de l’attention que tu lui portais. Au bout d’un instant, il tourna la tête afin de te regarder et en le sentant bouger, tu retiras immédiatement ta main de ses cheveux, les joues légèrements rouges. Il te décrochait un sourire moqueur, comme il savait si bien les faire, le regard empli de malice, les yeux rieurs. 
Il s’est doucement redressé, passant une main sur son visage alors qu’il tenait toujours la tienne de l’autre. Vous vous êtes décrocher un sourire avant que tu ne la sentes se refermer un peu plus. Puis en affirmant qu’il avait un “petit quelque chose pour toi”, il s’est penché en direction de son sac qui était posé non loin de sa chaise et en a sorti un cahier de dessin et une trousse contenant quelques crayons de papiers, des gommes, des fusains ainsi que des crayons de couleur. Il t’a tendu le tout, relâchant ta main afin de te laisser prendre tout ce qu’il te donnait. Tu lui as souri, l’attention te touchait beaucoup, tu ne savais pas trop comment le remercier, mis à part en lui disant merci évitement et puis tu te disais qu’un câlin peut-être lui ferait plaisir. Lui qui se montrait très tactil depuis le début de votre relation étrangement très amicale. Alors doucement tu as posé le cahier et la trousse sur la table de chevet non loin de ton lit, avant de tendre doucement les bras en sa direction tout en esquissant un sourire. Bien que son visage affichait une expression de surprise l’espace de quelques secondes, il ne s’est pas fait prier et n’a pas perdu de temps, venant s’asseoir sur le bord du lit afin de partager l’étreinte que tu lui offrais. Ses bras assez musclés vinrent se glisser autour de toi, te serrant avec délicatesse contre lui, tandis que sa tête se logeait contre le haut de ton épaule. 
Tu entendis un petit soupir d’aise sortir d’entre ses lèvres alors que son étreinte se refermait un peu plus. Il ne souhaitait pas te relâcher, il voulait que vous restiez là, dans les bras l’un de l’autre. Toi, bien que tes joues prenaient quelques couleurs tu te sentais bien là où tu étais, ne voulant pour rien au monde échanger ta place avec qui que ce soit. Tu avais fermé un peu les yeux, laissant son odeur t’apaiser lentement. Et malheureusement, comme toutes les bonnes choses ont une fin, vous vous êtes relâché, vous décrochant un sourire à la suite, tandis qu’il remettait une de tes mèches [C/C] en place. 
- Je suis désolé pour tout ça… Soupira-t-il doucement.
- Ce n’est pas ta faute Kuroo… 
- Pourtant j’ai l’impression d’être responsable… Si je ne m’étais pas rapproché de toi comme ça, tu n’aurais sans doute pas eu cet accident et tu ne serais pas là aujourd’hui… 
- Je vais bien, c’est le plus important… Dis-tu en souriant.
- Oui mais… Quand tu vas revenir au lycée… Je devrais peut-être moins être avec toi, ça t’attirera moins d’ennuis… 
- Écoute-moi. Affirmas-tu en prenant un petit air autoritaire. Si tu ne m’avais pas choisi comme partenaire de projet ce jour-là, je serais encore dans mon coin à broyer du noir ! Grâce à toi j’ai fais la connaissance de personnes formidables et je ne me sens plus seule… 
- Mais - 
- Non ! Tu ne peux pas débarquer comme ça dans ma vie, tout changer et te casser parce que ça te fout la trouille ! Alors s’il te plaît, comporte-toi comme d’habitude ! J’ai besoin de retrouver mon Kuroo un peu lourdingue et insupportable que je connais pour me sentir mieux !
Ses yeux s’étaient légèrement écarquillés sous la surprise, découvrant une nouvelle facette de ta personnalité qui le faisait t’aimer un peu plus encore. Face à tes remarques affirmées, il a esquissé un petit sourire et a laissé sa tête retomber lourdement contre ton épaule en ajoutant un “Je t’avais dit que tu t’y ferais ~” avant de se mettre à rire doucement. Tu t’es mis à rire toi aussi en songeant que oui, tu t’étais habitué à sa familiarité un peu dérangeante assez facilement au final. Vous êtes resté un long moment tous les deux sans voir les heures tournées, en faites, jusqu’à ce qu’une des infirmières ne vienne signaler que les temps de visites étaient terminée depuis trente minutes déjà. Kuroo s’est excusé auprès de l’agent hospitalier, s’inclinant respectueusement avant de prendre son sac de cours afin de le poser sur son épaule. A la suite, il s’est penché vers toi déposant ses lèvres contre ta joue, murmurant un “Je t'appelle ce soir chaton ~”. Un peu gêné qu’il t’appelle comme cela devant l’infirmière et qu’il se comporte de manière aussi familière, tu te sentis prendre quelques couleurs. Et le soir même, tu es bien rester un long moment à discuter avec lui. Il te faisait rire surtout par son humour un peu lourd, comme il en avait l’habitude. Il était redevenue lui-même et c’était le principal, tu l’aimais comme ça… Tu l’aimais... 
Les jours se sont succédé, ponctuée des visites de tes amis de ta famille. Kuroo t'apportait les devoirs que les professeurs vous avaient donnés, te donnant même quelques cours particuliers. Même si ta mère avait désapprouvé l’idée, qu’elle avait tenté de lui faire comprendre qu’il n’était pas le bienvenu, qu’elle ne l’appréciait pas, le capitaine de Nekoma était resté très courtois et avait capitulé sans broncher pour une fois, se montrant doux comme un agneau. Il avait respecté les conditions absurdes qu’elle lui avait imposés, comme des heures de visites, une distance de sécurité, le fait qu’elle reste dans la pièce avec vous durant vos heures de travail… Kuroo avait donc abordé un comportement bien différent de ses habitudes, arrêtant ses sous-entendus, ses vannes douteuses, se montrant plus sérieux et assidu afin d’amadouer sans doute la tigresse qu’était ta mère. Bien que la situation était dérangeante voir malaisante parfois, tu t’en amusais en lui lançant volontairement quelques perches qu’il ne pouvait évidemment pas saisir aux vues de la situation. Mais tu voyais dans ses yeux qu’il te le ferait regretter plus part. Et enfin, après quelques semaines d’hospitalisations, il était enfin temps pour toi de regagner le cocon familial afin de reprendre le cours de ta vie d’étudiante. 
Tu n’avais pas eu trop de mal à retrouver tes petites habitudes. Le matin tu retrouvais Kuroo qui attendait devant la grille du portail afin que vous puissiez faire le trajet ensemble. Une fois dans les couloirs de l’établissement, il ne te quittait plus d’une semelle et t’accompagnait même jusqu’à la salle de ton club avant de rejoindre le gymnase. Les élèves de ta classe t’avaient accueilli comme si tu étais une héroïne, ils avaient même accroché une banderole au tableau indiquant qu’ils étaient heureux de te revoir. Tu avais ressenti un profond dégoût à les voir se soucier de toi maintenant qu’il t’était arrivé quelque chose de choquant. Cela dit, tu as simplement souris pour faire bonne figure. Tu les as remercié même si tu n’en pensais pas un traître mot. Mais au moins, les brimades de tes camarades féminines semblaient ne plus avoir lieu, peut-être qu’elles s’étaient rendu compte que les choses avaient été trop loin. Mais il faut dire que Kuroo y était aussi en grande partie responsable. Durant ton absence au lycée, pendant ta période de convalescence, il avait mis les points sur les “i” avec elles. Il avait rembarré toutes les filles qui lui avaient fait des avances, assez salement, avec plus de sarcasmes qu’à son habitude, se montrant grossier parfois. Il avait même affirmé haut et fort, à qui voulait bien l’entendre, en pleine pause-déjeuner, prenant place debout sur une table qu’il se “retirait du marché”.
Le jour de son annonce, la déception et la frustration se lisaient sur le visage de ses demoiselles, ce qui satisfaisait le sadisme du capitaine de Nekoma au plus haut point. Lui, après cela, s’en trouvait soulagé, comme si un poids s’était retiré de ses épaules. Et un soir, alors que vous rentriez tous les deux côte à côte qu’une légère tension s’était installé entre vous sans vraiment de raison, il s’est arrêté brusquement dans sa marche soupirant longuement tout en passant une main à l’arrière de sa nuque. Tu t’es tourné face à lui, observant son expression qui traduisait de la nervosité chez lui, ce qui était chose assez rare pour le jeune homme. Inquiète, tu allais lui demander ce qui n’allait pas quand il te posa LA question...
- [T/P]... Est-ce que… Est-ce que tu accepterais un date avec moi ?
- Hum… Bonne question… Fis-tu en posant ton index sur ton menton. Est-ce que tu accepterais un rendez-vous avec un pervers fétichiste des chats toi ?
- ça a l’air d’être un garçon charmant ~ Affirma-t-il dans un petit sourire gêné.
- Dans ce cas... Pourquoi pas !
- Alors… Samedi, dix heures devant chez toi ?
- ça me va !
Vous avez échangé un sourire avant de vous quitter devant le portail de ta maison. Tu es rentré, le cœur léger, le sourire jusqu’aux oreilles et la première chose que tu as fais, avant même de défaire tes chaussures fut d’envoyer un message à Kenma pour lui annoncer la nouvelle. Le petit flamby, en recevant ton SMS esquissa un sourire amusé derrière son écran et te répondit un “pas trop tôt” qui te fit rire. Maintenant allait être sans doute la partie la plus difficile, le choix de la tenue pour votre premier rendez-vous. Tu avais demandé de l’aide au décoloré bien sûr même s’il n’était pas porté sur la mode il avait au moins la notion de l’accord des couleurs et il était plutôt de bon conseils en règle générale. Les jours avaient défilé avec lenteur face à votre impatience commune mais le moment venue, c’est le cœur battant, le ventre papillonnant que tu avais rejoint le volleyeur qui attendait devant chez toi. Tu étais habillé d’une robe à manches courtes dans les tons bleu marine qui t’arrivait jusqu’aux genoux, autour de ta taille était accrochée une fine ceinture en cuir marron et tu avais jugé bon de mettre une veste blanche étant donné que les températures avaient tendance à vite changer au cours de la saison printanière. Enfin, aujourd’hui, vous aviez de la chance, le ciel était dégagé, le soleil brillait et il faisait chaud. Le temps idéal pour une sortie en sommes.
C’était bien la première fois que vous vous retrouviez dans les tenues informelles, sans l’uniforme du lycée et tu sentais les yeux du jeune homme te détailler progressivement. Lui aussi n’était pas mal non plus, habillé d’un jean noir, d’une paire de rangers, un t-shirt blanc et d’une veste bleue assez épaisse dans le style biker qui lui donnait un air rebel, s’était bien son genre de s’habiller ainsi. Tes yeux aussi ne se sont pas gênés pour le regarder sous toutes les coutures et une fois votre petite œillade échanger, il t’a tendu la main tout en esquissant un sourire. Tu ne t’es pas faites prier, glissant tes doigts dans sa paume avant de sentir ses derniers s’entremêler aux siens lorsque vous avez entamé la marche. Kuroo avait prévu tout un programme pour la journée, comme il savait que tu n’aimais pas beaucoup les endroits bondés, il avait fait attention à choisir des lieux pas trop fréquentés pour votre première entrevue en tête à tête. Ainsi, il avait réservé dans un restaurant de sushi, dans un quartier tranquille, une petite bâtisse qui ne payait pas de mine vue de l’extérieur mais la nourriture y était délicieuse. Par la suite, vous vous êtes un peu baladé le long des quais du fleuve Sumida, discutant de votre avenir, de ce que vous comptiez faire après le lycée surtout. 
Lui y avait déjà réfléchi, même s’il aimait le volley, il se voyait mal jouer en ligue professionnelle et en faire son métier mais comme il voulait aider les autres, il comptait s’orienter vers la médecine. Même si les études étaient longues, l’apprentissage difficile, cela ne lui faisait pas peur et tu sentais qu’il s’y accrocherait, qu’il était déterminé à le faire. Quant à toi, tu souhaitais poursuivre dans une école d’art après le lycée et tu avais déjà commencé à préparer les concours même s’ils ne se dérouleraient pas avant l’an prochain, il n’était jamais trop tard pour les préparer. Après votre promenade digestive, le capitaine de Nekoma t’entraîna avec lui dans un de ces musées aux expositions éphémères. Il savait, du moins il avait appris avec le temps quels étaient tes goûts et il s’était dit qu’il allait t’en mettre plein la vue avec toutes ses couleurs et ses jeux de lumière. L’effet était là, tes yeux brillaient devant les œuvres, les idées des artistes quelque peu engagés, tu trouvais leur travail inspirant, plein de passion et de vie. Mais alors que tu regardais tout cela, que tu profitais des différentes teintes, des assortiments parfois étranges et sortant de la norme, ton cœur se muât d’une certaine tristesse, te rappelant qu’il y avait tout juste deux ans, s’était avec ton père que tu déambulais dans les couloirs de ce genre d’expositions. 
C’était avec lui que tu discutais d’art, que tu avais appris tout ce que tu savais. Sans vraiment y faire attention, ta main s’était refermé sur celle du noiraud tandis que les larmes se présentaient au bord de tes yeux. Lorsqu’il trouva sur ton visage cette mine un peu triste, il ne put s’empêcher de se demander ce qui n’allait pas, se demandant si c'était lui qui était à l’origine de cette tristesse soudaine… 
- Quelque chose ne va pas [T/P] ?
- Oh heu… Ce n’est rien ! Dis-tu en passant ton index sur le bord de tes yeux. Je… Je repensais à un truc et… Enfin… Dis-tu en soupirant avant de reprendre ton sourire.
- C’est… C’est ce tableau qui te rend triste ? Demanda-t-il en le pointant du doigt. Si tu veux je peux aller toucher deux mots à l’artiste qui l’a peint en lui expliquant ma façon de penser pour avoir fait pleurer ma copine ~ Poursuivit-il dans un sourire en coin.
- Ah ah ! Non, ça ira ! Affirmas-tu en riant. C’est juste que, ça m’a rappelé des souvenirs tout ça… Mon père aimait beaucoup les expositions comme celle-ci et on passait beaucoup de temps dans les musées tous les deux avant qu’il nous quitte… 
- Oh… Je suis désolé… Si j’avais su… 
- Non, ce n’est rien ! Tu ne pouvais pas savoir ! J’en parle jamais… Et c’est parfait comme rendez-vous, tu ne pouvais pas choisir meilleur endroit ! Ajoutas-tu dans un sourire. 
- Non, ce que je veux dire c’est que d’habitude je fais jamais pleurer les filles au premier rendez-vous, j’attends au moins le troisième ~ Répondit-il en riant. 
- T’es con !
Sur cette dernière phrase, tu lui donnais une petite tape sur le bras, lui, fit semblant d’être mortellement blessé par un jeu d’acteur époustouflant et tu lui lanças une petite pique, lui faisant remarquer qu’il devrait se lancer dans une carrière théâtrale plutôt que la médecine. Il prit une mine offusquée, faisant celui qui était outré avant que vous ne vous mettiez à rire tous les deux. Une petite heure plus tard, vous vous êtes assis à la terrasse d’un café, partageant une pâtisserie tout en discutant des membres de vos familles respectives. Tu lui parlais de ton père, de sa passion pour l’art qu’il t’avait transmis, de ta mère et de sa dévotion pour son métier d’urgentiste, des études d’informaticien que faisait ton frère, de tes oncles et tes tentes un peu gagas sur les bords et de ce cousin un peu spécial qui bousculait les codes de par son style vestimentaire excentrique et sa manière de s’exprimer… Lui abordait le sujet d’une mère qui s’était tiré peu de temps après sa naissance, d’un père qui l’avait élevée un peu à bout de bras et qui faisait chaque jour de son mieux pour qu’il soit à l'abri du besoin quitte à partir loin du domicile familiale pendant plusieurs semaines. L’absence de son père le pesait parfois mais il comprenait les raisons qui le poussaient à partir, s’était pour que lui ne manque de rien. 
Il n’avait pas eu une enfance très facile et avait appris à se débrouiller seul très jeune et à veiller sur ceux qui l’entouraient un peu comme un grand frère mais ça ne l’empêchait pas de déconner quelquefois. Alors l’esprit d’équipe dans le volley, ça l’aidait à se sentir bien, à garder les pieds sur terre, il avait trouvé parmi ses camarades une sorte de famille de substitution, surtout avec Kenma qu’il connaissait depuis l’école primaire. Et tandis que tu écoutais son récit, vos doigts s’étaient à nouveau entremêlés, vos mains se serraient progressivement plus forte. Il n’avait jamais parler à qui que ce soit de sa situation familiale mise à part au décoloré évidemment et cela avait l’air de le soulager de t’en faire part. Peu après, il t’a raccompagné jusqu’au portail de ta maison et une fois devant la grille, alors qu’il était sur le point de partir, il s’est penché en ta direction et s’est emparé avec douceur de tes lèvres. Ce fut le premier baiser d’une longue série et le premier rendez-vous qui précédait de nombreux autres. Kuroo te traitait toujours avec douceur, il se confiait à toi tout comme tu te confiais à lui, il profitait de chaque instant où vous étiez ensemble. Parfois il te taquinait, te faisait enrager et tourner en bourrique avant de se faire pardonner en t’envoyant quelques photos provocantes. 
Finalement, il était plutôt pas mal ton partenaire de projet scolaire...
3 notes · View notes
terrecorse · 4 years
Text
SURELLANZA
Tumblr media
Elles sont fortes, elles sont fières, et féministes et radicales et en colère….
Depuis deux mois elles expriment dans la rue et sur les murs de nos villes leurs douleurs, leurs colères et leurs espérances. Le mouvement IWASCORSICA (*) crée par de toutes jeunes femmes victimes de viols et/ou d’agressions sexuelles a enfin permis la libération d’une parole que la société Corse refusait d’entendre. Des jeunes filles, des garçons, des adultes ont rompu le silence.
Leurs témoignages sont poignants et courageux. Nous nous trouvons bien devant un véritable phénomène de société. Ici, comme partout dans le monde les femmes sont l’objet de violences et agressions sexuelles, dans une société complice de ces prédateurs. C’est pourquoi, elles ont décidé de ne plus se taire, pour réclamer, haut et fort la justice pour les victimes, les sanctions pour les agresseurs, l’écoute de la justice et de la police, et surtout l’éducation pour tous et toutes. « Eduquons nos fils à respecter les femmes » « Éduquons nos fils au consentement » « U mo corpu, a mo scelta ».
Les manifestations qu’elles ont organisées ont rassemblé des centaines de jeunes filles et garçons, d’hommes et de femmes, qui défilaient pour la reconnaissance de l’égalité à tous les niveaux et un respect mutuel des êtres humains : plus de dominations, plus d’exploitation, plus de violence. A chaque fois, les manifestant-e-s ciblent leur action en direction des préfectures et sous préfectures pour pointer la responsabilité de l’Etat dans ce déni de justice subi par les victimes. Ce mouvement a donné naissance à un collectif « Zitelle in zerga » (*) qui s’est chargé de rassembler les témoignages et d’effectuer les dépôts de plaintes au commissariat de Bastia. Et ce malgré les menaces et les insultes qu’elles reçoivent régulièrement.
Reçues par le préfet de Corse du Sud lors de la manifestation à Ajaccio elles ont déposé une liste de revendications très précises. Elles demandent la mise en place d’urgence d’un plan national d’envergure afin de prévenir et éduquer les jeunes aux questions d’équité et de vivre-ensemble.
Ces crimes doivent cesser. Elles expliquent qu’elles agissent pour que les enfants d’aujourd’hui et de demain n'aient pas à subir les mêmes traumatismes.
Voici la liste de leurs demandes au préfet :
- La présence renforcée de psychologues et infirmières formé.e.s aux violences sexuelles et aux questions liées à l’égalité dans tout les lycées et collèges, ceci pour permettre l’écoute et l’orientation des jeunes victimes.
- La formation de toutes les équipes éducatives sur les questions liées à l’égalité des filles et des garçons. Formation spécifique à intégrer au CAPES/CRPE (ou à valider en début d’année pour les professeurs déjà en fonction).
- La prise en compte de ces questions dans les programmes scolaires, de la maternelle au lycée.
- Dans le cadre de la prévention et de l’éducation, la mise en place d’un « brevet de la non violence » à l’instar de l’attestation de sécurité routière.
- La création d’une brigade formée aux violences sexuelles et sexistes, avec au moins un représentant dans chaque commissariat / gendarmerie, qui reçoive systématiquement les victimes, leurs plaintes et prenne en charge leurs dossiers.
- Pour cela, si besoin, une augmentation des moyens dans la police et gendarmerie pour permettre la prise en compte de toutes les plaintes, sans exception et dès la première, avec la diligence de vraies enquêtes.
- La formation des professionnels dans les secteurs de la santé, de la justice, de la police, de la gendarmerie, et de l’éducation en général, est nécessaire pour que la prise en charge des victimes de violences sexistes et sexuelles soit effectuée par des personnes spécialement formées sur ces questions.
A l’issue de cet entretien le préfet leur a donné rendez vous en septembre pour un premier point sur les propositions qu’il peut leur faire.
La mise en place d’outils pour construire cette égalité répond au désir d’organiser une société égalitaire. Elles sont déterminées à faire entendre les voix de toutes les victimes de crimes sexuels et d’agressions sexistes. C’est le message qu’elle délivre dans toutes leurs rencontres et leurs échanges.
Ce combat elles vont continuer à le mener jusqu’à ce que cette double peine pour les victimes ainsi que l’impunité des agresseurs prennent fin. Soyons nombreux et nombreuses à les soutenir dans leur engagement au service de la justice, de l’égalité de la solidarité et du féminisme.
Ghislaine PELUSO, communiste, membre du CA de l’Associu Amichi di l'Humanité
(*) Contacts
-Tel: 07 69 28 60 58
1 note · View note