Tumgik
#j’me barre
sadsatvrne · 1 year
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do not go gentle into that good night
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life-of-luckymoon · 10 months
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J’me sens mal. J’me sens mal parceque j’ai fait de la merde avec toi alors que tu comptais beaucoup pour moi et que tu comptes toujours. J’me sens mal parceque j’ai perdu pas une mais deux personnes qui m’était cher en l’espace de deux mois. J’me sens mal parceque j’ai peur de faire du mal à une nouvelle personne qui compte pour moi. Et le problème c’est que je me suis même pas encore engager officiellement. Tout est déjà là mais moi mon esprit il est bloqué ailleurs. Du coup je me dit qu’en vrai, il voudrait plus de moi, je m’en ficherais, je le laisserai partir comme il est arrivé. Mais ça c’est juste parce que j’suis pas dedans, j’suis ailleurs, j’pense à autre chose… Et pas à lui malheureusement.
Et putain qu’est ce que j’ai envie de lui demander si il a pas peur que je me barre, parce que c’est ce que je sais faire de mieux et je pense qu’il est bien au courant.
Et je sais comment il est malgré le fait qu’on se connaît pas depuis longtemps, dans le fond on se ressemble beaucoup, même un peu trop. Je donne ma main à couper qu’il me laisserais partir, il n’est pas du genre à forcer le destin, parce que ce n’est pas une chose qu’on force.
Je le vois bien du genre à laisser les choses aller et en même temps on s’est rencontré et on s’est dit que les autres nous trouvé mutuellement instable. Parce qu’on quitte les choses facilement après un coup de tête, mais je pense que ce que les autres savent pas c’est que malgré tout, ce n’est pas un coup de tête. C’est des pensées en boucle dans la tête qui te font comprendre qu’il faut que tu bouges, et sur ça il me comprend.
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pensssine · 1 year
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J’me sens mal, j’me sens nulle, ce matin j’ai regardé les offres d’emploi pour mon métier, il n’y a rien, à part à Paris .. et mon but étant de retourner au calme de la mer, c’est pas dans la bonne direction.
Sur cherbourg il n’y a rien .. bref je suis déprimé. Je me sens pas capable de faire mon métier, c’est horrible.
De plus tout le wk en famille en parlant du projet de créa dans un an, tous le monde me dis que ça pue en gros .. et moi aussi j’me dis que c’est la merde ce truc :/.
Ma famille Chloé et Pipper me manque, mais je veux du changement .. qu’on se barre .. mais c’est compliquer avec le boulot .. y’a pas d’offre, pas d’opportunité :/ je sais pas si c’est moi qui me bloque ou si c’est vraiment le marché.
Et du coup on reste ensemble ? Non pck on est pas un couple épanoui, on ne couche pas ensemble, on partage pas les mêmes loisirs essentiels ( rando balade ski et visite en marchant, bref plus sportif quoi) et son monde tourne autour des problèmes sociaux, des enfants, beaucoup de négatif de la vie humaine.
Plus le faites qu’elle dénigre toutes mes référence lesbienne , l word, imagine me and you, bref toute les bases, la difficulté d’être lesbienne dans ce monde, de préférer ce cacher etc .. chloe elle reste dans ses standard hétéro, elle rêve d’enfants c’est sûr.
De plus les soirées les amis tout sa tourne autour d’elle, elle a prit le leade de notre vie, et finalement ça me conviens pas.
Vivre de chômage me bouffe vraiment le morale, je suis complètement déstabilisée, je perd confiance en moi, je me renferme sur moi aussi .. :/
C’est compliqué la vie..
Écrit à Bayeux 10:23 (wk d’anniversaire mamie du jeudi au mercredi matin)
WE
18/04/23 10:27
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Au tennis, c’est pas les côtes qui m’intéressent le plus, mais savoir qui va gagner l’match, c’qui se passe dans le tournoi, quel joueur est en forme, quelle rivalité est en place et vers qui la balance de l’histoire peut ou pas pencher. Bien sûr, comme tout l’monde, j’aime bien essayer d’deviner les surprises, qui est surcoté ou qui va faire une percée alors qu’on ne l’attendait pas. Mais ça, jouer juste pour la côte ou tenter la surprise ça n’me réussit pas…pas parce que ça ne marche pas, non, j’en sais rien d’ailleurs, mais juste parce que ça me parle pas, j’me sens mal à l’aise. J’ai l’impression de ne pas maitriser, de ne rien y voir, juste une affaire de chiffre, de chance et de prédiction. Statistiquement, en jouant des joueurs qui sont trop haut contre des joueurs qui sont trop bas en puissance réelle on devrait gagner, mais c’est plus compliqué que ça…tout simplement parce qu’on ne joue pas tous les matchs et que les lois générales sont vérifiées, seulement si elles sont vérifiées, au bout d’un échantillonnage d’au moins plusieurs milliers de paris, ce qui implique de détenir une banque conséquente, et de ne pas sourciller ni changer de tactique malgré les bonnes ou mauvaises séries. Cela demande un mental et une routine de machine. Ce que je ne suis pas.
Moi je suis là pour m’amuser et trouver mes qualités, ce qui me réussit. C’est pourquoi je préfère jouer en tentant de comprendre les histoires, les tendances, les pattern, le sens du vent, pour jouer le bon pari au bon moment. Parce que tu vois, tu peux jouer des values (pari bien côté) et en passer aucune, parce qu’au tennis, si tu joues la Money Line, y’a que l’résultat final qui compte, pas ce qui se passe entre, même si c’était serré ou que l’issue, sportivement, est injuste. Après, tu peux jouer le 1 set, l’over de jeux, t’amuser à couvrir et plein d’autres choses si tu as des idées de scenarii possibles, et que pour toi ils sont côtés correctement ou juste très probables. Il y a 1000 façons de s’amuser, plein d’angles d’attaques éventuels sur lesquels se positionner, prendre un pari.
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D’ailleurs, gare aux paris proposés par les sites qui savent comment nous attraper et nous faire saliver. Souvent, face à une côte alléchante ou à un scénario qui semble logique on va se positionner, en pensant que c’est un choix rationnel. Mais c’est là qu’on s’trompe, le bon pari on l’a souvent déjà en tête. Le reste c’est juste l’appât du gain, la soif insatiable du joueur ou la peur de manquer. Et quand on joue pour jouer, même si c’est excitant, comme un ticket d’loto ou grosse trace de cocaïne, de la pure sensation en barre, on dit rarement non et on finit toujours par y perdre, se fatiguer, se dégouter, et ne plus y croire. Enfin c’est ce que je crois, moi. Du coup, j’préfère me chercher un plan et tenter d’m’y tenir, en restant flexible, prêt à l’ajuster face aux données et aux expériences que je récolterai, que je rencontrerai. Le jeu ça se prévoit mais ça se vit aussi, c’est vivant. Et tout change toujours, il faut pouvoir rester ouvert, intelligent. Prêt à sortir et re rentrer, si l’on flaire le piège ou la belle opportunité. Ca demande de l’entrainement, des heures et des années d’pratique avant d’être bon, réellement bon, de s’être trouvé, et d’y arriver.
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Dans l’idéal, pour moi, je me lèverai un jour capable de deviner qui va gagner un tournoi. Je m’explique. Il y a plein de moments dans la saison où je ne vois rien, les cartes sont brouillées, même pas mélangées ni jouées. Il n’y a pas grand-chose à voir, si ce n’est des coups de poker, des statistiques. Là-dedans, comme expliqué au-dessus j’suis plutôt mauvais, j’aime pas. Par contre, si par miracle et un peu d’travail sérieux, régulier, se présente un moment, une fenêtre où je crois voir avant le marché, et donc savoir qui va faire quoi, comment, et contre qui, là je deviens un joueur intéressant, car je devine les cartes et dans quel ordre elles seront potentiellement jouées. Les paris, comme la réussite, ça ne se joue pas à grand-chose. Il suffit d’une fois : on peut tout perdre comme tout gagner très rapidement. Un jour, j’ai vu un joueur faire une montante (c’est-à-dire rejouer la totalité de la somme à chaque fois) en une journée parce qu’il avait capté qu’en Bundesliga (foot allemand), il y aurait de grandes chances de matchs nuls. Ces jours-là, c’est comme des éclipses, et y’en a, va savoir pourquoi, ils savent, ils sentent, et ils jouent l’alignement, l’improbable devenu hautement probable. Et ce joueur, si je ne dis pas de bêtises, il a parié quatre ou cinq matchs nuls à la suite et en simultanés (combinaison), avec 100 euros de départ pour arriver à plus de 100 000 euros d’gains au final. Et il n’a pas fait ça seulement au hasard. Interviewé, il a dit qu’en regardant la carte ce jour-là il l’avait sentie. Et il a osé. Grandement récompensé l’garçon ! Chapeau, accès direct en première classe au pays de Valhalla, là où les grands guerriers viennent se reposer en paix.
Bon, c’est pas comme ça toute l’année, ces moments peuvent d’ailleurs ne jamais arriver. Parce que d’une, faut qu’ils arrivent, ensuite, faut les voir arriver, puis en troisième et dernier point, le plus important, il faut avoir les couilles de jouer, les poser sur la table comme on dit. Et pas tout petit, même assez gros, pour gagner le pactole, la somme qui fera la différence, qui fera de vous quelqu’un qui a vraiment gagné, pas l’abruti du coin qui a rentré une côté à 700 avec 38 centimes ; « wallah si j’aurais mis 100 euros j’aurai mis la daronne à l’abris mon sang ».
Bref, pour ça, LA VICTOIRE, il faut bien s’échauffer, apprendre à s’connaitre et connaitre de long en large le sport ou la discipline sur laquelle on parie. Il faut être patient et surtout, apprendre à bien choisir. Se chauffer tout en s’économisant, en restant léger, dans un jeu qu’on maitrise, où on s‘sent bien. Si vous avez trop de paris en cours, enfin c’est le cas pour moi, vous ne voyez plus rien, vous ne sentez pas. C’est juste la sale sensation d’avoir la tête sous l’eau et d’avoir joué beaucoup trop, la peur de perdre, la nausée. Et ça c’est traumatisant, le corps s’en rappelle, c’est pas des conditions saines pour gagner et surtout continuer. Parce que pour parier et gagner un jour, il faut parier et pouvoir continuer, tout court, jusqu’au jour où…viendra peut être la récompense d’avoir osé croire en quelque chose que vous avez vu avant les autres ! Good luck 😊
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uneamedevastee · 5 years
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Elle me disait sans cesse « j’vais te détruite barre toi. Je brise tout c’que je touche, c’est plus fort que moi. » Dans l’noir, dans un murmure, elle répétait « tiens toi loin d’moi » Tant de souffrance dans un si p’tit corps, j’y croyais pas. Elle était trop abîmée, trop à vif, trop au bord du vide. Et j’le savais, elle vacillait, un pas d’travers et elle tombait. Un coup d’vent aurait suffit à la faire s’effondrer. J’le savais. Elle avait tous les défauts du monde. Tout c’que j’aurais haïs chez une autre. Tout c’que j’aimais chez elle. Elle fumait trop, elle buvait trop, elle ressentait trop. Elle était trop, elle faisait trop. Mais elle parlait pas, elle montrait pas. J’le savais. J’allais me perdre avec elle. Dans sa démence, dans son errance. J’le savais. Et elle m’le disait, inlassablement « j’vais te détruite barre toi. Je brise tout c’que je touche, c’est plus fort que moi. » Dans l’noir, dans un murmure, elle répétait « tiens toi loin d’moi ». C’était pas pour elle, elle était déjà trop détruite, trop usée, trop bousillée. C’était pour moi. J’le savais. Mais j’étais incapable d’la laisser. Incapable d’m’en aller. Incapable. Avec elle c’était différent. C’était exaltant. Tout semblait plus fort, plus vif, plus vivant. J’me sentais plus vivant. Elle était accro à toutes les merdes qui allaient la détruire. Et putain.. j’étais accro à elle. A cette merde qui allait me détruire. J’le savais. Mais j’avais pas peur. Parce qu’avec elle j’pouvais jamais m’attendre à rien. Elle faisait trois pas en avant, un sur l’côté et demi tour. Elle avançait pour mieux pouvoir reculer. Et bordel j’aimais tellement pouvoir lui tendre la main pour recommencer. J’aimais n’pas savoir, jamais, c’que la seconde d’après pouvait nous réserver. J’aimais savoir qu’elle m’appartiendrait jamais vraiment, qu’elle pouvait partir à chaque instant. J’aimais n’rien savoir, n’rien prévoir. J’aimais ses yeux qui changeaient de couleur avec ses émotions, le même gris qu’un ciel couvert en hiver quand elle était au bord du vide, le même vert qu’un champs au printemps quand elle était au bord de la vie. Et j’me dis que j’ai d’la chance de l’avoir connue, d’lui avoir plu. Parce que sans elle j’aurais jamais su qu’une seule personne pouvait à ce point bouleverser une existence. Ça pouvait pas bien finir, j’le savais. Elle était trop abîmée, trop à vif. J’le savais. Et elle m’le rappelait à chaque nuit qu’on partageait « j’vais te détruite barre toi. Je brise tout c’que je touche, c’est plus fort que moi. » Dans l’noir, dans un murmure, elle répétait « tiens toi loin d’moi ». J’ai jamais imaginé pouvoir la sauver. J’étais incapable d’mesurer la souffrance qui pouvait l’habiter. J’ai jamais espéré quoique ce soit d’sa part. Pouvoir entrer dans son monde c’était déjà bien trop beau pour un simple humain comme moi. Elle était fascinée par le ciel tu sais. J’avais encore jamais vu ça. C’est peut être c’qui m’fait le plus mal depuis qu’elle est plus là. Regarder les nuages danser sans elle. Regarder la lune et le soleil s’croiser sans l’avoir dans mes bras. Compter les étoiles sans la sentir s’endormir au bout de 64. « 64, l’âge que j’atteindrais jamais » disait-elle. Et elle avait p’t’être pas tort. Mais putain, à moins de 20 ans elle avait déjà tellement compris la vie, alors qu’importe? Qu’importe qu’elle aille pas au bout avec tous les bagages qu’elle trainait déjà. Moi j’étais fasciné par elle. Par son apparence confiante, déterminée, épanouie. Par son âme effilochée, broyée, déglinguée. J’étais absorbé par ses courbes, sa peau, son regard. J’crois que j’me suis pas senti tomber, j’crois qu’j’ai rien vu arriver. Mais j’crois surtout, que j’pouvais pas l’éviter. Elle se sentait chez elle nul part, alors elle allait partout, elle vaquait en vain en recherche d’un confort que j’me tuais à tenter d’lui donner.
Elle se sentait insuffisante pour ce monde. J’me sentais insuffisant pour elle. Mais j’aimais presque ça. J’aimais tout ce qui la concernait de près ou de loin. Tout c’qui faisait d’elle ce qu’elle était. J’aimais vivre dans ce tourbillon. J’aimais m’essouffler à ses côtés. J’aimais faire l’amour avec elle, j’avais l’impression à ce moment là que son corps et son esprit se rejoignaient enfin, qu’ils valsaient sur le même accord et c’était magnifique de la voir lâcher prise d’une telle manière. J’aimais la regarder tout contrôler, tout analyser, tout observer. J’aimais ce côté d’elle qui se foutait de tout, qui n’était atteint par rien, cette surface inatteignable. J’aimais le contraste avec son hypersensibilité intérieure, son âme à vif, sa façon d’être à fleur de peau. Elle s’attachait pas, elle s’attachait plus. J’le savais. Elle avait le coeur trop bousillé, la peur trop serrée autour de sa gorge. J’crois que même si elle avait voulu elle aurait pas pu. Elle dormait pas vraiment, elle mangeait pas toujours, elle faisait pas forcément attention à son style vestimentaire. Mais bordel qu’est-ce qu’elle était belle. Plus tu la regardes, plus tu la vois.. tu peux que tomber amoureux. Elle avait une beauté singulière, elle avait ce truc en plus. Elle avait une phobie inimaginable de l’abandon. Elle avait constamment peur qu’on parte, mais j’crois surtout qu’elle s’était elle-même abandonnée et qu’elle pouvait même pas imaginer que les autres puissent avoir envie de rester. Elle était malade aussi. J’le savais. Et j’avais pas peur, pourtant elle était persuadée que je partirai quand je saurais tout sur sa vie, sur elle, sur sa maladie. Mais j’suis resté. J’étais déjà bien trop atteint par ce petit être rempli de fragilitées. J’voulais juste lui offrir des nuits de sommeil dans mes bras après avoir regardé les étoiles. Des heures d’amour dans toutes les pièces. J’voulais juste la voir, l’avoir, et jamais m’en lasser, parce qu’on se lasse pas d’une fille comme ça. J’voulais lui offrir le Monde et moi avec. Et peut importe qu’elle soit malade ou pas. Peut importe qu’elle se voit comme un monstre. Moi j’voyais en elle le plus bel ange. Et peut importe qu’elle ait détruit beaucoup de personnes avant moi. Peut importe qu’elle m’ait détruit aussi. Parce j’le savais. Elle me disait sans cesse « j’vais te détruite barre toi. Je brise tout c’que je touche, c’est plus fort que moi. » Dans l’noir, dans un murmure, elle répétait « tiens toi loin d’moi ». J’étais préparé à ça. Et moi tout c’que j’voudrais lui dire, c’est « merci ». Parce que j’ai vécu la plus belle aventure avec elle, et le plus douloureux c’est pas le passage de la tornade. C’est le calme au goût amer qu’elle laisse derrière elle.
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au-creux-de-mon-ame · 4 years
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[PC/PS4/Xbox] Un jour je serai la meilleure Slime Rancher !
Nouveau post sur le blog ! https://aucreuxdemoname.fr/blog/pc-ps4-xbox-un-jour-je-serai-la-meilleure-slime-rancher/
[PC/PS4/Xbox] Un jour je serai la meilleure Slime Rancher !
Disclaimer : Ce jeu est un jeu qui vous laisse exploiter la faune sauvage pour votre profit et piller les ressources de toute une planète, j’ai beau ne pas être végane je pense que cette précision sur le spécisme du jeu est nécessaire et je comprends qu’elle puisse rebuter. Peace. Par ailleurs ce jeu nécessite une présence parentale au moins pour les enfants qui ne savent pas encore lire et qui ne maitrisent pas le base jump comme des pros. Je vais appeler ma maman.
Depuis un moment, Piouzilla s’est pris de passion pour un youtuber qui s’appelle Furious Jumper, lequel a 10 ans de moins que moi la fougue de la jeunesse, une belle opportunité de carrière comme DJ de manège et vachement d’abonné-e-s. Et donc Fufu (c’est son surnom, il est pas voleur dans WoW) s’est fait tout un trip sur Slime Rancher. Je trouvais que ça changeait de Roblox et Monsieur Papa avait le jeu sur Epic Games, alors on s’est lancé-e-s en famille. Mec, si jamais tu me lis : tu est beaucoup trop enjoué pour ma touch death metal mais tu nous a fait découvrir un jeu super cool alors je te pardonne d’avoir fait connaitre Roblox a mon enfant de 4 ans. Nan parce que ça c’était pas un cadeau.
Je vous donne le prix directement, cela vous épargnera peut-être une longue lecture et quelques blagues douteuses
Donc quelle que soit la plateforme c’est aux alentours des 20€. Via les plateformes comme Steam ou Epic Games on peut parfois le capturer en soldes.
Il existe un addon qui permet de changer l’apparence de nos slimes, il est à 7,99$ hors promo. C’est un très chouette addon, je n’aurais pas pensé qu’un pack cosmétique pour mes slimes m’aurait autant remplie de joie. Ce petit shot de joie est néanmoins très dispensable.
Slime Rancher.
Le pitch est archi simple : tu t’appelles Beatrix (comme une personne chère à mon cœur, qui me lit et que je salue ici) et tu te dis tiens, je vais aller m’exporter genre loin loin dans l’espace pour capturer, élever des slimes et revendre leur caca (qu’on appelle du plorte). Moi je dis : pourquoi pas ! J’ai bien joué à Goat Simulator et à Hatoful Boyfriends, le jeu où tu dragues des pigeons, rien ne me fait plus peur. ET TU AS UN JETPACK. Importante précision.
Comme elle est belle !
Béatrix laisse son amoureux-se loin là-bas et Casey lui écrit en retour des lettres adorables et poétiques tout au long du mode histoire. Le genre de Casey reste à déterminer et je trouve ça bien qu’on sorte potentiellement de l’hétéronormativité enfin un peu.
Nous avons joué en mode “paisible”, c’est à dire sans les slimes goudrron qui pop pour tout bouffer. Je ne vais pas vous mentir : j’étais bien contente que mon enfant ait peur des méchants méchants slimes. Mais du coup on a un enjeu en moins dans cette review à savoir “protéger ta vie et ta ferme”. Et c’est hors de question que je recommence une partie pour me faire peur pour vous dire que j’ai eu peur.
En guise de compensation, ce très bel artwork (dont je ne parviens pas à déterminer l’auteurice)  avec  notre Beatrix préférée :
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Bon et du coup un autre (lien vers le deviantart de l’auteurice en cliquant sur l’image) :
  Ce jeu est très très très joli. Les paysages sont magnifiques et on se retrouve souvent à se perdre juste pour le plaisir de découvrir de nouveaux endroits. Ou juste parce que tu t’es perdue et que tu cherches une excuse du genre “mais non j’me balade !”
Prise en main
Un des gros aspects positifs du jeu est qu’à part deux trois merdouilles l’ergonomie et les commandes sont très simples. Le tutoriel est un peu insistant mais bien foutu, on peut le désactiver dans les options pour les audacieuxses. Nous avons testé clavier+souris et manette Xbox et avons gardé le premier set-up. Autant vous dire que la Razer Naga se languit avec ses mille boutons.
Ça, c’est ta maison
Et ça, c’est la toute première zone. Et c’est relativement grand.
  En gros Clic droit – Clic Gauche – molette souris – ZQSD – E- M – barre espace et c’est marre. La torche pour voir la nuit c’est F, sinon, et ça c’est mon enfant qui me l’a dit avec son air dépité par ma bêtise crasse après une énième chute mortelle dans l’eau. Oui, tomber dans l’eau profonde ici c’est la mort ET la perte de ton inventaire.
L’outil principal que vous aurez à utiliser est un aspirateur et je trouve ça bien parce que certains mecs vont peut-être apprendre deux trois trucs sur la vie. Je sais, c’était facile et c’est justement pour ça que je l’ai faite : à force d’aspirer toute forme de vie sur une planète lointaine je suis trop crevée pour vous sortir de la vanne de qualité.
*plonk*
Donc tu aspire slimes, plorte, carottes, fraises, poupoules et tu rejette où tu veux. Par exemple tu aspires une carotte, tu la donnes à ton slime, il le mange et te génère un très beau caca de slime que tu peux aspirer à son tour. Chaque variété de slime a un aliment préféré qui lui fait produire encore plus de plorte.
On capture d’abord de petits slimes qui évoluent en “largo” s’ils mangent le plorte d’une autre espèce de slime. Il y a 16 espèces différentes et je ne vous spoilerai que la première zone, promis. Dans la version pas paisible si un largo mange un plorte n’appartenant pas à une des deux espèces qui le constitue, il se transforme en goudrron.
  L’élevage
Comme toute bonne tortionnaire qui se respecte, j’ai collé mes slimes en enclos. On peut les laisser gambader partout mais ça fout un bordel pas possible. Perso j’ai cloîtré tout le monde jusqu’à ce que j’aie débloqué la technologie qui permet d’automatiser la récolte de leur plorte. Maintenant j’ai deux grandes zones “sauvages” et je les laisse s’ébrouer dans mes oignons bizarres pour me donner bonne conscience avant d’aller revendre le fruit de leurs entrailles à la Bourse du Plorte
Hélas, ce n’est pas possible pour tout le monde car certains slimes sont dangereux. Piouzilla a tenté le KO par slime boum : ça marche. Y’en a qui ont des piques, de grandes dents, d’autres qui se rendent invisibles ou qui sont radioactifs. Ne soyez pas comme l’enfant, ne leur faites pas de câlins prolongés.
L’exploration
Je trouvais le jeu assez simple, et puis je suis partie me balader. J’ai beau avoir le même sens de l’orientation qu’un phasme bourré à la bière j’ai toujours adoré les phases d’exploration et me souviens avec émotion mes heures de randonnée sur WoW (“Regarde ton stuff de merde tu fous quoi ?” “Oui mais je suis rentrée à Orgrimmar pour choper l’achievement”).
Dans ce jeu, c’est génial. La seule limite est l’eau profonde qui te fait un bisou et au lit. Mais comme tu as un JETPACK tu te ris du danger, jusqu’au moment où t’as plus de gaz à force de sauter partout et que tu rates ton saut à 20mm avant de faire plotch. Voilà, à force de faire la maline !
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Non, vraiment, les phases d’exploration sont top. J’ai récemment récupéré la map de tous les trésors à retrouver, j’ai quasi fini et j’ai fait de la vraie cascade de pro. Et fait peur à Monsieur Papa en couinant “Noooooooooooooon nooooooooooooooooooon allez Georgette tu peux le faire allez !” le soir très tard. On ne se refait pas, tant que je bouge pas en même temps que la manette en conduisant à Mario Kart tout va bien.
Certains sauts sont acrobatiques mais franchement si j’ai réussi à le faire avec mon arthrite des mains, vous pouvez vous aussi.
Et puis si vous êtes une grosse flemasse comme moi vous allez vous téléporter, fastoche (ou pas). Il y a aussi un certain nombre de portes qui vous bloque la progression. On ouvre ces portes avec une “Clé des Slimes” qu’on récupère…ah non en fait je vais vous laissez vous débrouiller.
Les phases d’exploration ne sont pas non plus obligatoirement acrobatiques non plus. Je pense que beaucoup de zones sont même totalement accessibles sans faire la mariole en jetpack. Et les zones sont assez grandes pour se perdre pendant des heures avant le ragequit. Phasme, qu’on vous dit.
Un certain sens du confort
L’univers de Slime Rancher n’est pas vraiment l’équivalent de la ruée vers l’or, dans le sens où on a quand même des gadgets bien pratiques et beaucoup moins de génocide amérindien.
En fait t’as même la planète pour toi toute seule. Au fil du temps on rencontrera des personnages mais jamais physiquement. Ces gens sont comme moi : communiquer à distance leur convient parfaitement et respecte les distances de sécurité. Parfait (et moins chiant à animer vu qu’iels sont affiché-e-s en 2D).
Au fil de nos pérégrinations on débloque plusieurs technologies, donc. Cela va de la lampe lave slime au drone en passant par les extracteurs de ressources et les téléporteurs maison. La découvert des techs n’est pas du tout linéaire, on peut trouver des plans dans des coffres, en accomplissant des trucs et des machins qui me semblent totalement random. Ça apporte un côté “artisanat” plutôt amusant.
Cher, inutile, donc indispensable.
Plan quinquennal
Les personnes qui me connaissent bien savent qu’à défaut d’être une PGM (Pro GaMeuse) j’ai tendance à être extrêmement organisée et à optimiser jusqu’au moindre détail. Or pour ce jeu je n’ai pas fait de tableau Excel (mais juste parce qu’aucun calcul n’était nécessaire). On peut à terme automatiser la plupart des tâches et si le set-up du ranch est bien réfléchi accéder à la richesse est à la portée de tout le monde. Je ne sais pas quel est le message véhiculé ici. Non, en fait je ne veux pas savoir.
Et surtout, en vraie “complétioniste” la multiplicité de succès, trésors et secrets me comble de joie.
Mais…ben si vous avez envie d’une aventure casual (touriste) vous pouvez aussi vous éclater. Il n’y a pas de game over et toutes les bêtises qu’on peut faire sont rattrapables. Le mode histoire est totalement réalisable en en faisant le minimum. La suite aussi mais ça perd un peu de son intérêt de ne pas chasser le trésor sur cette phase de jeu, à mon sens.
Les slimes les plus effrayants, goudrron exceptés, ressemblent à ça.
Jouer en famille
La présence parentale est recommandée, au moins au début. Les contrôles sont très simples et le fait de pouvoir jouer à la manette est un gros avantage pour certain-e-s. Ici, on joue à trois (et je les ai tous éclatés haha). Monsieur Papa a sa partie, j’ai la mienne et l’enfant récupère mes sauvegardes sur un autre poste au fur et à mesure. Oui parce qu’il ne faut pas se leurrer : lui, tout ce qu’il aime c’est de faire évoluer les slimes, les libérer ou tomber dans la mer. 15 mn seul avec mon ranch et c’est la fin du monde. Je vous jure, j’ai même boudé quand il m’a vidé un enclos que j’avais bien galéré à remplir. Faut pas faire ça.
Ce qui est particulièrement sympa c’est de partager nos découvertes : on s’est fait une course à qui ouvre le plus de portes, on s’est vanté-e-s de nos découvertes, on a transmis aussi nos secrets : raccourcis, emplacement de certains éléments, conseils…
Parce que, vous l’aurez compris, Slime Rancher c’est pour les petits, les vieux et tout ce qu’il y a entre les deux. Un gnome trouvera son compte avec les commandes simples, une adulte attardée adorera sur-organiser tout son territoire avant de partir en balade s’éclater contre des rochers.
On a aimé ?
Ouais ! Et on continue à jouer !
J’ai terminé le mode “histoire” et suis sur de l’optimisation pure, vraiment en fin de jeu. Alors je joue un peu moins souvent pour en garder un peu parce que cette expérience adorable, joyeuse et complètement folle m’a fait passer de vrais bons moments.
Le jeu date de 2016 et reçoit encore régulièrement du contenu supplémentaire. Des mods sont possibles mais je n’ai fait que regarder avec envie, mon expérience de moddage avec Skyrim m’a appris à d’abord finir le jeu, ensuite faire n’importe quoi, comme ça tu passes pas 4 jours à galérer pour savoir quel truc est en conflit avec tel autre.
Donc oui, je vous recommande cette expérience toute mignonne, amusante et pleine de défis. Nous avons partagé Slime Rancher en famille, on a ri, ragé, on s’est moqués, on s’est aidé-e-s, et c’était drôlement chouette.
  Bonus
Wikia Slime Rancher (EN)
Wikia Slime Rancher mais en (FR)
Supersoluce pour les francophones (en FR donc)
Reddit Slime Rancher (EN)
    Screenshots de ma ferme parce que j’ai envie de vous la montrer quand même (mais spoilers du coup alors je vous dis au revoir ici et puisse le Dieu du Slime vous accompagner !
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samohtjj · 5 years
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Update Novembre 2019
Hello,
bon ça fait longtemps que je n’ai rien updaté ici (si on ne compte pas le post sur le No Shave November que je viens de poster), et j’me dis qu’il est temps de remédier à ça.
Qu’est-ce qui s’est passé depuis ces 8 derniers mois (parce que oui, je viens de regarder, le dernier post que j’ai fait date de début mars) ?
J’ai passé la barre symbolique des 1 ans sous Nébido. En soi, ça n’a rien d’exceptionnel pour moi, vu que bah, j’approche (déjà) de mes 5 ans sous T. Ma puberté (ou en tout cas le plus gros des changements liés à la T) sont arrivés il y a déjà belle lurette. Je dois voir mon endoc’ la semaine qui précède Noël pour mon contrôle bi-annuel. J’ai fait une prise de sang entre 2 injections et mes résultats sanguins sont bons (même le taux de cholestérol, hourra ! 🥳), le seul truc c’est que mon taux de T est juste au-dessus de la limite haute de la norme. Du coup, re-changement de dosage en perspective. Je vais tenter 1 injection toutes les 18 semaines (ou tout les 4 mois et demi, c’est comme vous préférez). Je pense que ça devrait passer sans trop de problème. Au pire si je suis trop bas (ce que je doute), je modifierai ça (avec autorisation de mon endoc’, même si pour être honnête, elle ne sert “juste” qu’à me prescrire ma T et mes bilans sanguins car avec les années, j’arrive à sentir quand un dosage peut passer/me convenir ou non). J’ai aussi rendez-vous avec ma cardiologue mi-février pour mon bilan cardiaque annuel. 
J’ai passé ce mois-ci mes 3 ans post hystérectomie avec annexectomie. Rien de spécial à dire là-dessus. Vu que je ne garde pas un bon souvenir de cette opération, j’ai essayé de ne pas (trop) y penser.
Côté corporel : je fais actuellement un taff physique où je suis amené à porter des charges lourdes, du coup j’ai pris au niveau des bras, j’ai les épaules plus carrées et j’ai l’impression d’avoir des hanches moins visibles (je perds certains de mes pantalons quand je marche, je suis rendu à devoir les remonter dès que je fais 3 pas ... 😒). Avec le No Shave November, je me suis rendu compte que, quand même, ma pilosité avait bien évoluée. Elle pousse plus vite, est plus foncée, et commence a coloniser certaines parties de mon visage (notamment les joues). J’ai aussi plus de pilosité sur le ventre et les épaules. (Probablement aussi sur d’autres parties du corps, mais ça me “choque” moins).
Côté mental, bizarrement ça va. Je dis bizarrement parce qu’habituellement à cette période, c’est la mouise. Je devrai être en pleine dépression saisonnière. Et là.. bah... pour l’instant, rien. Peut-être que ça vient du fait que je n’ai pas beaucoup de temps pour me poser à cause de mes horaires. 🤔 J’appréhende un peu le début décembre, période à laquelle mon chat est décédé l’année dernière. J’pense que ça va me mettre un coup au moral. A propose d’elle, dans mon dernier post, je disais que je prévoyais de me faire tatouer son portrait, c’est chose faite depuis début octobre. Ma tatoueuse repassait vers chez moi pour une convention de tatouage, du coup j’en ai profité. Je ne regrette pas d’être passé par elle, je pense que c’était vraiment la bonne artiste pour ce projet, et c’était une bonne expérience. Stressante, parce que le tatouage avait une symbolique émotionnelle forte et qu’en plus je me faisais tatouer en convention (qui aurait cru, avec mon anxiété !), mais c’était cool.  
Je n’ai toujours pas entamé de formation... Ouais je sais il faut que j’me secoue. Rien n’a vraiment bouger depuis le dernier post de mars. J’ai contacté récemment 2 écoles, il faut que je me mette un coup de pied au cul pour passer la pré-sélection -qui ne m’engage à rien à ce stade en plus- (mais j’ai peur de me vautrer comme un merde) pour la première et il faut que je me rende début décembre à la seconde école pour leur portes ouvertes. Mais j’avoue être moins enthousiaste par celle-ci car ce serait sur 2 ans (donc sorti de l’école à *roulement de tambour* 27 ans - parce que oui, en plus si je suis admis là-bas, bah je dois obligatoirement attendre l’automne 2020 et donc perdre quasi 1 an pour “rien”) et l’école est en “physique” et à plus d’1h en transports de chez moi (comparée à la première qui fait du télé-présentiel et dure moins longtemps). En vrai j’ai pas franchement envie d’être encore à l’école à 26/27 ans, et surtout j’ai absolument aucune envie d’habiter encore chez mes parents à cet âge là (parce que oui, j’aurai à priori pas la thune suffisante pour payer un loyer et me nourrir).. Déjà que ça devient de plus en plus relou pour moi d’habiter chez eux.. - J’habite chez mes parents, mais je ne me sens pas chez moi. - Je ne me voie pas y rester encore 2 ou 3 années. Si je peux avoir un mini espace pour moi en 2020, ce serait cool.
J’ai globalement atteint tous les objectifs que je m’étais fixé pour cette année 2019 (à l’exception de la formation), donc je suis content. On verra si j’atteindrai ceux que je me mets pour 2020.
Côté Youtube : On arrive à la fin de l’année, donc je peux commencer à faire le bilan. Je suis content d’avoir fait autant de contenu. (Une 50aine de vidéos, quand même). Le rythme d’une vidéo/semaine s’est fait naturellement au début d’année, puis avec les semaines j’ai pris le pli comme on dit. Ça m’a “forcer” à me creuser la tête pour créer du contenu (qualitatif, je l’espère) et à me sortir de ma zone de confort. Mais pour être honnête, j’ai un sentiment de ras-le-bol ces derniers temps. Je ne pense pas continuer à faire des vidéos à ce rythme là l’année prochaine. J’ai aussi l’impression d’avoir fait le tour (même si je sais que ce n’est pas le cas) des sujets “classiques” concernant la transidentité. Ça ne m’intéresse plus de faire du contenu pédagogique sur la transition médicale (peut-être que ça vient simplement du fait que ma transition médicale commence à dater maintenant et que j’ai besoin de passer à autre chose !?), je n’y prends plus plaisir. Je tournerai en fin d’année/début d’année prochaine les sujets que j’ai déjà scripté, mais j’pense que ce sera tout (sauf si l‘envie me reprend ou que je sens qu’il y a un gros besoin). Je ne stoppe pas les vidéos (en tout cas, je ne le prévoie pas à l’heure où j’écris ce post) mais j’ai vraiment plus d’envie, de motivation, et globalement le besoin de m’autoriser à faire des vidéos qui ne parlent pas nécessairement de transidentité, qui sont plus légères, ou simplement dans un format que je n’ai pas encore fait ou qui ne plait (ou plaira) pas au plus grand nombre (genre les vidéos réflexion ou sur la représentation dans les médias). En gros j’ai besoin de me (re)faire plaisir avec ma chaîne sans stresser que ce ne soit pas le contenu/format que les personnes qui me suivent attendent. (Parce ce qu’il y aussi ce truc de se dire qu’il n’y a pas énormément de personnes qui parlent de transidentité en français sur Youtube - et que la plupart ne font que des updates médicales - sur la T / la mammectomie -. Et donc c’est compliqué de s’autoriser à ne plus “fournir” ces contenus à des gens qui en sont en demandent, ou perdu·es. On se sent un peu responsables des plus jeunes qui débarquent. Mais bon, je voie que certains commencent à faire des vidéos informatives depuis quelques mois - bon par contre, ça fait depuis 2008 que je traîne sur Youtube, j’ai vu à peu près tout et n’importe quoi sur cette plateforme, et je ne vous cache pas qu’actuellement dans 90% des cas, on sent (et je sais clairement) que c’est (le sujet de la transidentité) juste une excuse pour faire de la bonne vieille vidéo youtubesque génératrice de vues (titres clickbait, mise en scène de sa personne dans les miniatures de vidéos et dans les vidéos, manière de parler et rythme de montage de la vidéo qui copient ce qui marche sur la plateforme, mise en place de collab’ franchement inutiles pour faire de l’échange d’abonné·es, partenariats rémunérés, concours, etc.. La liste est longue malheureusement.) dans le but de devenir un (pseudo) influenceurs. Les raisons sont regrettables - d’autant plus que beaucoup de viewers ne se rendent pas compte de ces stratégies de manipulation parce que jeunes, parce que naifs/naïves, parce qu’en besoin de visibilité et reconnaissances)- mais au moins il y a plus de contenus de faits et disponibles, et c’est déjà ça.) 
Bref, je vais terminer mon pavé ici. Je referai peut-être une update en début d’année pour mes 4 ans post mammec’ et/ou mes 5 ans sous T.
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jeunereveur · 5 years
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J’me barre d’ici
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petitguelb · 5 years
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« Tu vois que tu m’rends pas heureuse et pourtant tu persiste à faire des conneries? Si t’attends que j’me barre il suffisait de me le dire ... »
_petitguelb
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lafuitederos · 3 years
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Le terminal d’Esmeraldas se situe à plusieurs kilomètres du centre, il fait beau et si j’ai une longue marche, elle se voit bénie d’un échange de weed suivie d’un don improvisé et improbable dans la rue d’un inconnu à la monnaie facilement généreuse en voyant mon sac a dos : littéralement me remboursant l'investissement précédent. ( X ) J’ai Dani au téléphone tout du long de cette aventure qu'est ce longue marche a travers une nouvelle cité équatorienne. La chicapo, meilleure amie de ce voyage est chilienne, si effrontément mignonne, ella también, et d’une douce générosité qui ne cesse de m’étonner ! Je suis attachée à elle comme une vieille âme à sa liberté. Jeune âme, toi, tu as besoin d’apprendre.
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Je raccroche, je suis arrivée dans le centre et retire des sous. Je lance ma quête d’un toit : premier hôtel qui m’envoit n’importe où ; je me perds gentiment et dans sa chaise sur rue, une mamá noire m’offre l’un de ses jeunes comme guide pour toquer à plusieurs portes; toujours sans succès, je m’en sépare et demande donc, quelques pas plus loin, à un rassemblement de deux personnes tandis que la mère, veillant accoudée à sa fenêtre, me signale que je ne suis pas en bon chemin. Je reviens sur une artère principale, je questionne un peu plus. Je téléphone même aux numéros présents sur diverses annonces aux fenêtres d’immeuble, à un certain point ! Puis de taper ou sonner pour une entrevue d’une courte ampleur. Je me trouve en plein centre, la nuit arrive. Je débusque un hôtel, on m’appelle ma reina tout en m’ouvrant une porte peu commode sur du peu glorieux. Douche ? Je préfère papoter un peu plus avec Dani; voulant sortir de nuit, il est 20 ou 21h Max, pour me poser dans un parc afin de fumer jusqu’à me porter vers la satisfaction : je me retrouve rejointe sur mon banc par un jeune noir peu aimable qui veut que je sorte mon portable (en cours d'utilisation par ailleurs). Bien sûr que non ! Connard et je m’en vais, quelques pas en avant et je le surveille ainsi que les assemblées présentes autour de moi dont celui du groupement de jeunes femmes de la rue auquel je ne peux m’empêcher de penser que j’en ai eu un, tout pareil il y a si peu : « ils s’apprêtent à voler ! » clairement oui ! « Cuídate hermana ! ». Un tour de pâté de maison pour vérifier qu’ils ne me suivent pas, et si cela devait être le cas, une rue passante est nécessaire ! Je suis justement logée sur une artère bruyante et où affluent le mouvement et ses bruits, ses âmes charitables pour ne pas laisser une demoiselle en détresse ... (ou quiconque, d’ailleurs hein ! Mais en l’occurrence...) avec mon sac vert « de ville » dans lequel valsent mes fils pour les bracelets, de l’eau ( vitale « siempre agua pura » disait Alexis, amigo peruano de Jonathan) ainsi qu’une myriade de nécessités du moment ! En bref, on a tenté de me voler, je me suis enfuie, indignée et retransmettant toute la scène à ma douce amie chilienne qui m’accompagna jusqu’à mon retour en sécurité, juste après avoir fumé, tout de même, mon joint devant la porte de l’hôtel, refusant tout contact par conséquent car trop outrée !
J'avais après tout bien dit venir prendre le pouls de l'endroit : au moins, c’est tout vu, pas d’hésitation ! « J’me barre » comme le dit si bien Keny Arkana.
Au matin, je sors très tôt pour traverser la ville, passant par le marché où j’ai la pensée qu’avec mes bracelets, je pourrais obtenir de la nourriture mais je préfère avancer et je me ferai rembarrer lors de ma tentative prochaine. Je suis vexée. Décidément, cette ville n’est pas pour moi, je n’y suis pas aussi bien accueillie et traitée comme c’était le cas lors de mes précédentes étapes. J’arrive finalement au port à quelques kilomètres, 45 minutes de marche du centre et l’on me regarde plein d’incompréhension en m’expliquant que non, je ne trouverai pas de bateau direction la Colombie, ou alors de gros cargos dont je devrais vérifier les offres d’emploi dans un journal si je souhaite embarquer sur l’un d’eux.
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Atacames, à 30 minutes, toujours sur la côte, m’avait parue si attrayante ! Petit regret en l’observant depuis le bus, la veille, de ne pas m’y arrêter, tout ça pour finir dans un bruit auquel je suis foncièrement inadaptée : je fuis gaiement par là bas ! C’est décidé ! Adieu Esmeraldas de malheur !
Dynamique en son centre et tranquille avec sa plage bordant l’océan, le retour sur mes pas alors que c’était contraire à ma philosophie du voyage jusqu’ici m’assoie la sensation d’avoir changée ! Je me cherche autant que je débusque la félicité. En passant, par la vitre, j’aperçois un hostal fleuri qui m’interpelle et descends donc du bus en prenant celui-ci comme objectif.
ici guérirais je de l'attaque
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eric-sauvat · 4 years
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Ausculter
Lavoûte-Chilhac, Vendredi 5 mars 2021
Ausculter
Examiner avec attention une situation, quelque chose, pour en repérer les points faibles, les points forts : Ausculter le marché financier. ... il essayait encore de s'ausculter. Au fond, je ne sais plus du tout où j'en suis, se disait-il; ce flux et reflux de vœux différents m'effarent; mais comment en suis-je venu là et qu'est-ce que j'ai? Ce qu'il ressentait, depuis que sa chair le laissait plus lucide, était si insensible, si indéfinissable, si continu pourtant, qu'il devait renoncer à comprendre. En somme, chaque fois qu'il voulait descendre en lui-même, un rideau de brume se levait qui masquait la marche invisible et silencieuse d'il ne savait quoi. Huysmans, En route, 1895
Hier soir avant de m’endormir, je me suis remémoré tous les véhicules qui m’avaient trimbalé en Syrie accompagné de mes siamois, car là-bas ils n’aiment pas les chiens d’autant plus que je les aime grands.
Mais l’on ne commande pas ses rêves et aucun d’entre eux n’est venu m’y retrouver.
De plus, je suis beaucoup trop absorbé par les solutions à apporter à la décrépitude de mon environnement lors de la présence de Charles à la maison, pour penser à autre chose.
Il nous faut changer le lino de mon bureau, colmater mes traces de doigts sur le papier peint de notre chambre autour de ma barre de relevage, et finaliser l’installation de la lumière à mon établi ; nous devrons nous faire emmener chez Weldom à Langeac par Mouna, pour procéder aux achats nécessaires.
Je ne veux pas que la décrépitude me frappe moi aussi du fait de celle de mon environnement, je veux profiter de la semaine de Charles auprès de moi pour prendre un coup de jeune, me reprendre.
J’ai ressenti ces derniers jours une diminution de mes facultés intellectuelles s’en prenant à ma mémoires, et j’ai un temps perdu dans mon ordinateur les fichiers de sauvegarde de mon travail quotidien amené à téléphoner à Charles pour en créer d’autres ; c’est assez grave pour que j’ausculte avec Charles où j’en suis !
J’ai la mémoire qui flanche, j’me souviens plus très bien...
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amdarkkk · 7 years
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le 30juin j’me barre à Londres avec laurine les gars
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uneamedevastee · 5 years
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J’ai peur tu sais. J’suis tétanisée, comme dans ces cauchemars qui hantent mes nuits. Comme pendant mes insomnies, à attendre l’moment où j’serais trop épuisée pour lutter. Attendre l’moment où l’sommeil viendra m’emporter dans ses sombres entrailles. Mais t’es plus là. Et j’suis épuisée d’appréhender chaque instant d’sommeil. Épuisée d’vivre la nuit pour fuir. Fuir constamment. Fuir mes maux. Fuir la torpeur. S’enliser dans la peur. Dans mes peurs, mes insécurités, mes failles. S’enliser, de la tête aux pieds. Mon corps, mon âme, mon être dans son entièreté répugnante, hurlent, tout de moi ne veut plus que dormir. Dormir. Dormir putain. J’veux pouvoir dormir. Et j’suis épuisée, mais jamais assez. J’suis détruite, mais pas encore assez. J’suis moi, et j’me comprends pas, mais ça sera jamais assez. J’me suis écroulée, mais j’continue d’tomber. Comme si j’y étais destinée. Destinée à vivre sous l’eau, destinée à m’noyer, destinée à espérer qu’une chose : respirer. J’veux respirer. J’veux dormir. Dormir. Putain dormir. J’ai peur. Peur de moi. Peur de mes peurs. Peur de mes insécurités. Peur de mes failles. J’ai peur des plaies qui cicatrisent jamais. J’ai peur des souvenirs qui hantent chaque secondes de mon existence. Peur de chaque été qui annonce 1 an de plus à ton anniversaire de décès. Peur de chaque automne qui annonce 1 an de plus à l’anniversaire que tu fêteras plus jamais. Peur de jamais me reconstruire. Peur de jamais me remettre. Traumatisme. Trop violent. Trop brutal. Trop douloureux. À l’extrême. On se remet un jour de l’extrême? On se relève un jour après l’apocalypse? Trop jeune. Trop tôt. Enfance volée. Insouciance brisée. Esprit déglingué. Âme détraquée. Alors j’fume. Je bois. J’cumule, les deux à la fois. Tout tenter pour laisser s’échapper mon esprit. Le temps d’un instant. Un instant loin de moi. Pour respirer. Respirer pour mieux retomber. M’approche pas. Tu vas étouffer. Fuis moi. Tu vas te noyer. Barres toi. Tu vas finir épuisé. Solitude glaciale. Nuits pâles. Errance infernale. C’est tout c’que j’suis. Peurs. Insécurités. Failles. C’est tout c’qui m’reste. C’est tout c’que j’ai. C’est tout c’que j’sais.
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elea-menager · 5 years
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Jul « Freestyle cassage de nuques part.2 // 2017 »
« [...] (0:32-0:35min) j’tiens la barre, ton rap est beurk, dans l’rap en claquettes ou en Birk [...] (0:41-0:52min) moi j’ai toujours porté mes couilles j’vois une daronne j’portais les courses j’rappais, j’ratais les cours et j’me suis mêlé pour toi j’t’ai même laissé des pourboires tu m’calcule plus mais pourquoi ? maintenant à cause de toi, sur le dos je porte de lourds poids  [...] (1:00-1:06min) envoie l’mandat au mitard arrête d’faire l’bon leader et si l’poing gauche il part c’est qu’tes un profiteur [...] (1:15-1:25min) texte original, i’m a criminal chaque mesure une balle, de moi est sorti l’animal vas-y molo sur le shit que t’inhale y’a ton poto au tribunal, t’as fumé un gros pet’ en y allant  [...] »
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lerapdemeursowski · 6 years
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Squamate
J’ai une complexion plutôt complexe, fait d’addiction et parfois non,
Je partage ma conception de ce monde immonde sans concession
Pas de conversion pour Meursowski
Ni de convention pour la vie de nuit
Je sais que mes sons ne seront pas universaux
Mais j’ai pas le traque car je trouve l’univers sot
Alors je me sauve loin dans mon vaisseau
si t’as le cerveau qui pense tu verras les parois de l’aquarium
si, comme moi t’as l’omnipotence, t’en briseras bientôt le dôme
t’auras tout l’océan pour faire nager ta potence
mais comme Cobein y a que moi qui règne
Avec ta sirène j’entretiens correspondance
je sais qu’ma ptite reine aime ma résonance
jveux pas de récompense, j’veux juste que ta peau danse
Je suis dans contradiction mais j’évite redondance
le seize est complexe, on retrouvera ma poésie céleste dans un palimpseste
quand tu vois les seufs de ta sœur, tu cris « pas l’inceste »
Désolé Celimene mais jme barre comme Alceste
vous ne pensez qu’a cet hymen, changez vos réflexes
C’est pas que je me désintéresse de tout ça
j’veux juste pouvoir dire « c’est lit men » about the sucess
je me promène sur les rues bondées de mes facultés
Mais je n’y suis encore qu’un aventurier
mais déjà j’me suis débarrasser de mon premier squamate
Meursowski a changer de peau, et t’es déjà échec et mat
J’attends rien mais j’aimerai que mon squad devienne fat
Si j’écris sur les reptiles c’est qu’ils m’attirent, fuck that symbol devil
J’aime bien tes lignes et ta couleur, quand on erre dans la ville je n’ai peur que du Stendhal syndrome. Girl tu es l’œuvre et j’ai tous les symptômes.
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dukecourage · 7 years
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Les 20 meilleures punchlines de Davodka
Davodka fait du rap depuis une quinzaine d’année. À son actif, il a déjà 4 albums en solitaire. Ces albums sont L’art tisant, Un poing c’est tout, La Compil’epsie et La mise au poing. Souvent comparé ou mis à côté de Hugo TSR, tous les deux font le même style de rap : un flow très rapide et des instrus très sombres. C’est sa marque de fabrique. Comme Hugo, il est lui aussi du 18ème.
Voici les 20 meilleures punchlines de Davodka.
1. « Depuis qu’j’suis licencié y a que quand j’veux fumer qu’j’te parle de taf »
2. « Je suis un meilleur repère que Jésus Christ, pour cet art vocal dans le monde du rap on est en l’an 25 apres Davodka »
3. « Si la journée je suis dans la lune c’est simplement que vivre le jour me nuit »
4. « On t’retire ton portable, ton internet et d’un coup tu t’sens seul »
5. « On mériterait le sida tellement on se baise tous les uns les autres ! »
6. « Peu importe le flacon tant qu’il y a l’ivresse ouais c’est ça l’addiction. Au fil du temps ce qui permets de t’évader deviendra ta prison »
7. « La France c’est comme une femme fontaine, si tu la baises t’es mouillé jusqu’au cou »
8. « Si t’aimes pas te faire juger, vivre à Paris sera ta peine capitale »
9. « J’ai ma potion en cas de soucis William est Peel à l’heure »
10. « Quand l’Afrique crève la dalle, l’Europe débat sur des histoires sans fin »
11. « J’me demande si les keufs sont des peureux ou des puceaux à force de paniquer »
12. « Dans l’rap j’ai tellement pris mon pied que pour m’comprendre faut être unijambiste »
13. « J’révais d’mettre la barre haute c’est réussi, chaque matin j’l’ai au crâne »
14. « Même Isaac Newton pourrait pas calculer la gravité de ces choses »
15. « Dans le rap t’entend trop de « nique ta mère » a croire qu’ils ont tous le complexe d’Œdipe »
16. « T’as vu l’nombre de moutons ? La société est dans d’beaux draps. Si j’les comptais pour m’endormir j’crois qu’à c’heure ci je serai dans l’coma »
17. « Je suis devenu insomniaque à cause de leurs histoires à dormir debout »
18. « Et vu que les armes ont la parole il n’y aura guère de paix »
19. « T’as rien compris si tu crois qu’écarter les jambes c’est ca de s’ouvrir aux autres »
20. « Mon groupe sanguin c’est comme ce son, une dernière prise et j’vous dis A+ »
Si vous avez aimé cet article, vous aimerez sûrement lire les 20 meilleures punchlines de Hugo TSR.
L’article Les 20 meilleures punchlines de Davodka est apparu en premier sur RapCity.
Source: http://www.rapcity.fr/punchline-davodka/
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