Tumgik
#jambes nues
reacherlegs · 5 months
Text
Tumblr media
Emmanuelle Seigner by Jean Francois Jonvelle
66 notes · View notes
abdou-lorenzo · 2 months
Text
J'étale tes jambes nues, je les ouvre comme un livre où je lis ce qui me tue........💞✨✨
Tumblr media
G. Bataille
29 notes · View notes
oldsardens · 23 days
Text
Tumblr media
Pierre Auguste Renoir - Femme nue debout, s'essuyant la jambe
22 notes · View notes
coolvieilledentelle · 8 months
Text
Tumblr media
Dans les rues surpeuplées de voitures qui klaxonnent, je roule tranquillement sur mon vieux vélo gris. Mes jambes aérées sous la robe de plumes, je pédale doucement. Zigzaguant entre les voitures folles, je tortille mon vélo pour m'insérer dans le flot. Il fait chaud malgré la légèreté du tissus. Dans leurs voitures à l'arrêt les chauffeurs klaxonnent. Je n'avais pas compris. Ce sont mes jambes nues qui les affolent ainsi....
Charlotte
55 notes · View notes
homomenhommes · 20 days
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 156
Dimanche soir Voeux chez Emma
Je prend ma Mercédès et file chez Emma. Il est 18h30 quand j'entre la voiture au garage.
Je sais que son chauffeur et sa cuisinière sont absent, j'entre dans la maison et je la trouve au salon, endormie sur un canapé, nue dans un grand peignoir de soie ouvert. Sur la table basse une bouteille de champagne dans son seau plein de glace.
Je fais très attention de déboucher la bouteille sans faire sauter le bouchon, verse une coupe et m'approchant d'Emma verse doucement le champagne sur ses seins. Elle se réveille quand mes lèvres entrent en contact avec sa peau. Je lèche, aspire le vin renversé. Elle attrape ma tête et la tire vers la sienne. Mes yeux dans les siens, je lui souhaite une bonne année. Elle me cloue le bec en écrasant ses lèvres sur les miennes.
Nous nous embrassons un long moment, suffisamment pour que je me mette à bander ! Je me déshabilles puis m'allonge sur elle. Le canapé est trop étroit et nous ne pouvons exprimer nos envies. Je la prends dans mes bras et la porte jusqu'à sa/notre chambre et sur le lit. Elle commence une phrase mais je lui fait " chut " et entreprend de lui faire l'amour. A 4 pattes au dessus de son corps, ma bouche reprend possession de la sienne. Baisser langoureux puis violent, nos langues se battent. Mes mains bloquent ses poignets au dessus de sa tête, je descends vers son sexe. Je m'attarde sur ses seins et leurs tétons hypersensibles, les faisant se dresser tout gonflés de désire. Je recule jusqu'à être ente ses jambes. Je lâche ses poignets pour les lui écarter et dévoiler ainsi son sexe parfaitement épilé nonobstant le petit triangle de poils taillés qui couronne son mont vénus. Je me penche et passe ma langue sur sa fente. Je recommence jusqu'à ce qu'elle soit folle et m'écrase la tête dessus. Je passe alors ma langue entre les grandes lèvres et cherche son clitoris. Trouvé, je m'amuse avec lui jusqu'à ce que ses cuisses écrasent mes oreilles sous l'effet de son premier orgasme. J'insiste dessus pour prolonger l'effet. Comme je ne veux pas qu'elle se " refroidisse ", je me redresse et m'enfonce en elle. Elle est brulante, mouillée, j'entre mes 20cm sans rencontrer de difficultés. Son vagin épouse parfaitement les contours de ma bite et sans être aussi serré que dans son cul, cela reste correct (en tout cas bien mieux que dans la chatte de la mère de Jean, chez elle les doubles pénétrations à répétition ont eu des effets indésirables !). Je m'applique à bien bouger dedans, finissant mes pénétrations par un bon écrasement de son clito contre mon pubis. Comme elle est encore très souple, je peux mettre ses jambes sur mes épaules et en les écrasant venir l'embrasser quand même. Ainsi collés, je la sens une nouvelle fois secouée par la jouissance. Mon poids l'empêche de me rejeter lors de ses contractions. Je sens ma bite compressée spasmodiquement par ses muscles vaginaux et je me retiens. Ma queue, bien lubrifiée de ses secrétions vaginales, trouve l'accès au trou que je préfère entre tous, son anus. Je profite de sa légère déconnexion avec la réalité pour investir son cul. On a beau dire, y'a rien de meilleur que la sodomie. Sphincter nerveux, résistance à la pénétration autrement plus intéressante que la mollesse d'une chatte, tout me fait préférer l'enculage. L'ayant prise un peu plus rudement que je ne l'avais pensé, elle reprend pied plus vite avec la réalité. D'elle même elle se tourne pour adopter la position de la levrette. Mes mains sur ses hanches, mes genoux écartant les siens, je la possède entièrement. Je la vois passer ses mains sous les polochons et en ressortir avec deux godes. Elle s'en met un d'office dans sa chatte et je ressent bien la progression du gland en plastique contre la queue. Ça me resserre encore plus dans son intérieur, trop bon ! Elle ne se lime pas la chatte avec, c'est juste pour se sentir bien remplie. Elle passe le second (et pas le plus petit !) entre ses cuisses et vient me titiller l'anus avec. Je ne suis pas préparé, le gland est sec, ça ne le fait pas. Comme par magie elle sort un tube de gel d'on ne sait où et après en avoir tartiné le gode, repart à l'assaut. Je ralentis mes mouvements pour lui laisser le loisir de m'enculer avec le second gode. Je me détends et m'arrête de lui limer le cul pour la laisser me pénétrer.
Trop bon, comme toujours, il n'y a rien de meilleur que de se faire un cul tout en ayant le sien occupé aussi. Je recule pour venir à m'asseoir sur mes chevilles, posant l'extrémité du gode sur le lit. Dans le mouvement Emma s'est redressée et toujours planté sur ma bite vient s'asseoir sur mes cuisses. Ses mains retiennent en elle le gode qui lui encombre le vagin. Mes mains sur ses hanches je donne la cadence du va et vient de ma queue en elle comme du gode en moi. C'est tellement bon que je ne tarde pas à lui juter dedans (les analyses sont faites et bonnes pour nous deux !). Je n'en fini pas de me vider (et pourtant c'est pas la première fois de la journée !). mes doigts trouvent son clito et quelques caresses plus tard c'est à son tour de jouir. Ça la couche sur le lit et ses contractions anales tirent la dernière goutte de sperme de mes couilles. Je me couche sur elle et nous sombrons quelques instants dans une non réalité post coïtale. Je me " réveille " à temps pour expulser le gode de mon cul avant qu'il ne soit trop sec et je retire celui du vagin d'Emma dans le même état.
Là, nous nous endormons réellement deux bonnes heures. J'émerge le premier, il est 21h 30, je file sous la douche, la sueur séchée j'aime pas trop. Je suis rejoint par Emma que le bruit de l'eau a réveillé. Nous nous lavons mutuellement étalant le savon par frottement de nos corps l'un contre l'autre. Je suis trop fatigué pour bander.
En peignoirs nous pillons le frigo du diner froid préparé par sa cuisinière.
Alors qu'elle me demande quand je repasse la voir, je lui dis que je reste coucher cette nuit. Elle est contente pensant que j'allais retourner chez Marc direct. Couchés, avant de nous endormir, Emma me fait part de la demande de son ami (celui de Kev) de me voir rapidement en ce début d'année. Quand je lui en demande la raison, elle ne peut me le dire ne la connaissant pas.
Je m'endors sur cette interrogation.
Je ne la quitte que le lendemain matin après un réveil très sexuel et les voeux affectueux de son personnel.
Dès l'arrivée à la maison, je téléphone à Kev pour savoir ce que me veut son patron. Il me dit qu'il n'en sait rien et me dit de l'appeler directement.
Je prend quelques minutes puis l ;"appelle finalement. Je demande si je ne le dérange pas (j'appelle sur son portable). Réponse négative. Je lui dis qu'Emma m'avait prévenu que je devais l'appeler. Il me remercie d'avoir fait aussi vite et me dit que c'est juste qu'il aimerait me voir rapidement. Deux secondes de réflexion pour me remémorer mon planning des jours à venir et décide de le bouleverser pour pouvoir le voir rapidement. Nous nous fixons un déjeuner ensemble le lendemain. Quand je raccroche, je ne sais toujours pas ce qu'il veut.
Je profite de l'après midi pour voir André (mon banquier et père de Ric). Echange de voeux, point sur ma situation financière puis remise à jour de mes connaissances du monde des affaires. Je m'aperçois alors que je n'ai pas trop de retard, il faut avouer que la télé est maintenant plus souvent sur les chaines d'infos en continu et d'analyses économiques que sur celles qui diffusent les mangas !
Mardi 11h. J'arrive en voiture, costard cravate à mon rendez vous. Kev me fait entrer dans le grand bureau officiel de son boss et reste avec nous.
Voeux de vive voix, puis très sérieusement, il me propose de faire partie du conseil d'administration de sa boite en remerciement pour ce que je lui/leur ai apporté. Avant que j'ai pu réagir, il me dit qu'il s'est renseigné auprès d'Emma qui lui a confié que je ne lui fais pas honte dans son propre conseil d'administration. J'allais ouvrir ma bouche qu'il a continué pour me dire que de toute les façons sa décision était prise. Je le remercie. Il se lève de son fauteuil, contourne son bureau et vient me serrer dans ses bras. Je suis limite gêné. Quand il se décolle, c'est pour me dire que ma nouvelle position s'accompagne d'une distribution d'actions à hauteur de 1% du capital. Nouveaux remerciements. Mais ce n'est pas fini ! Kev me tend un petit paquet carré et me dit, " ça c'est de ma part ". J'ouvre et trouve un jonc en or blanc à mettre au poignet. Je le prend dans mes bras et le serre contre moi. Il me glisse à l'oreille qu'il n'avait pas encore les moyen de participer à ma collection de pierre d'oreille, mais qu'il tenait absolument à me remercier pour sa nouvelle situation. Je le mets aussitôt à mon poignet droit. Il passe difficilement ma main. Comme cela je ne risque pas de le perdre.
Son Boss qui en avait fini avec nous, nous chasse de son bureau et donnant d'un ton bourru à Kev son après midi. Comme il est midi, Kev m'emmène dans un de ses restaurants favoris. On nous accueille comme de la famille, c'est agréable. Le patron vient nous voir et nous fait ses propositions. Nous suivons ses avis et déjeunons léger (demande de Kev) et très bon.
Nous profitons du repas pour échanger les nouvelles. Le nouvel an, qu'eux ont passé à l'ile Maurice, nos tafs, puis les plans sexe.
Il m'entraine à son appart où, à peine la porte fermée, il se jette sur moi. En moins de 5 minutes nous sommes à poil dans son séjour et train de faire un 69 sur le tapis. Nous l'interrompons assez souvent pour nous rouler des pelles. Ma bouche glisse et dépasse ses couilles pour aller lui préparer l'oignon. Je sais qu'avec son boss cette partie de son anatomie est délaissée. A grands coups de langue et après maintes déposes de salive, son anneau s'attendri et je lui mets un doigt. Gémissement de plaisir de sa part. je continu jusqu'à ce que je le sente me poser une kpote. OK, pas besoin de faire un dessin, il souhaite que je le prenne ! Comme il est au dessus de moi à 4 pattes, je glisse et sans qu'il ne bouge, je me positionne pour l'enculer. Mon gland à peine posé sur sa rondelle il recule pour s'emmancher. Comme je rentre somme toute assez facilement (en tout cas plus que dans mes souvenirs), je lui demande s'il se gode régulièrement ou s'il a trouvé un plan bite. Sous mes coups de rein, il m'avoue de façon hachée qu'il s'est inscrit à un salle de gym qui s'est révélée une mine de mec. Sans problème il trouve maintenant de quoi se faire monter au moins deux fois par semaine. Mais sans encore être tombé sur un calibre à la Eric. Je dis cela mais c'est quand même pas devenu un garage à bites ! Il est encore bien serré et je prend un plaisir fou à le sodomiser. Comme j'aime cela autant que lui, au bout d'un moment, je décule et lui dit que c'est mon tour. Il se kpote et je ferme les yeux. ;Sa bite me ramène aux vacances. Il a un coup de rein particulier et reconnaissable entre tous, je ne saurais die exactement pourquoi mais je ne peux pas me tromper. C'est, je pense, ce qui faisait alors son succès auprès de ses clients (cf. les premières vacances à La Palmyre).
Je savoure. Ses grandes mains sur mes hanches rythme ses pénétrations. Je veux que nous nous voyions jouir, je passe de 4 pattes sur le dos. Mes jambes relevées et bien écartées, je le tire vers moi et je lui roule un patin. Ça été l'étincelle. J'ai juté abondamment entre nos abdos et comme je bloquais sa queue au plus profond de moi, il a explosé dans sa kpote. Sur le dos, cote à cote, nous avons repris nos esprits. Je le remercie pour ce cadeau supplémentaire et lui dit en riant que cela me rassure, j'avais peur qu'en ne baisant que son boss, il ne devienne un mauvais coup ! Il roule sur moi et me boxe les cotes. Je vais pour me dégager, après tout je suis plus musclé que lui, mais me retrouve bloqué par une clé vicieuse. Quand je lui demande d'où il tient cela, il me dit qu'il s'est inscrit à des cours de self défense type armée Israélienne. Paris n'étant pas exempt de risque pour un Pd, il ne tenait pas à se faire défiguré. J'essaye une nouvelle fois de me défaire de lui, mais impossible malgré ma supériorité musculaire. Efficace son truc. Il me dit que je devrais bien faire comme lui. Sans être paranoïaque, avec mon pendant d'oreille et ma tête provocatrice... Comment ça ma tête provocatrice ?? Il me relâche et me confirme que sans que ce soit marqué sur mon front que je suis Pd, entre mon look choisi, les colifichets que j'ai aux poignets, je l'arrête, avant je n'avait que ma montre, oui mais quelle montre, pas une à moins de 10 ;000 € ! et surtout le pendentif à mon oreille, je suis susceptible d'attirer la convoitise de mecs qui ne pourrait voir en moi qu'une proie rêvée. Ça me fait réfléchir. Changement de conversation, il me dit être content d'avoir opté pour l'or blanc, il se souvenait que j'avais fait faire un cockring dans ce même métal et tirant mon bras vers mon sexe, prouva ses dire en collant les deux bijoux l'un contre l'autre.
Je l'ai quitté content de ce qu'il était devenu et avec l'assurance qu'ils (lui et son boss) nous inviteraient (Emma, Marc et moi) à la fête qu'ils comptaient organiser pour son adoption.
Retour à la maison. Le soir je racontais tout à Marc. Il était tout content de ce qui arrivait à Kev et a admiré son choix de cadeau. Il m'a fait l'amour et là, je me suis dit que lui aussi je ne pouvais le confondre avec aucun autre. Avec lui c'est sexe + amour, le meilleur cocktail possible d'après moi.
JARDINIER
Tumblr media
protagonistes
Tumblr media
au tapin
+
Tumblr media
11 notes · View notes
lupitovi · 1 year
Photo
Tumblr media
Ernest Pignon-Ernest 
Quel crédit accorder à un artiste (un écrivain aussi bien) qui ne toucherait à aucun moment de son art au cœur même de l'humain ? Qui ne serait cet archer qui annonce à sa façon, en poète qu'il est : « Et d'un oeil avisé nous mirons droit dans la rime.» Bonheur de l'anagramme : rime, mire (rima). Le cœur de l'humain ? Métaphore du romantisme à travers les siècles, pour reprendre le titre d'un livre de Philippe Muray qui désigne en vérité, comme nous le signifie un poème du XVIII siècle, le sexe, plus précisément le sexe de la femme. Le tireur à l'arc, chasseur de fauves : « Et nous mettons droit les yeux dans la fente/Et nous ne tirons jamais de coups décochés en vain. S'il est un artiste, poète et chasseur qui sait mettre droit les yeux dans la fente du réel, de tout le réel, c'est-à-dire dans le lieu où le réel s'ouvre pour délivrer son sens; s'il est un dessinateur qui ne tire jamais un trait décoché en vain, c'est bien Ernest Pignon-Ernest. Archée : principe de vie, feu central de la terre. Viser le feu de la femme, c’est viser dans le même temps et plus fondamentalement le feu de la terre, le principe même de la vie. Titre du tableau de Courbet : L'Origine du monde. Le Vésuve sait faire jaillir sa rougeoyante semence sur Naples et la côte amalfitaine. Zelda, épouse de Francis Scott Fitzgerald, dans une rue de Paris, brise la vitre d'une borne d'appel aux pompiers: « Vite, vite, venez Vite, j’ai le feu au cul ! » Naples n'est pas choisi au hasard par Ernest Pignon-Ernest. Présence de Virgile, bien sûr, près de la tombe duquel, en manière d'hommage, il colle son dessin. C'est aussi la ville où Vivant Denon situe sa Belle Napolitaine vue de dos. Vue de dos mais, robe relevée, exhibant son magnifique cul, et la tête tournée, regard aguicheur, vers les mâles suiveurs, vers nous aujourd'hui, les voyeurs du dessin, vers ceux de demain, pour s'assurer auprès de nous, auprès d'eux, d'un effet maximum. Qui m'aime me suive ! Qui me suit me baise ! Force du dessin d'Ernest : il indique que le siècle libertin de Vivant Denon est loin, que le XIX° est passé par là. La femme, de face, exhibe son sexe mais détourne la tête, se cache les yeux. La culpabilité a fait son ouvrage, du coup, son sexe est d'autant plus en feu. Double effet d'obscénité, laquelle, selon Bataille, rend la beauté du sexe encore plus fascinante : la Napolitaine n'est pas nue et elle est velue. Pas nue. Bataille encore: « Je pense comme une fille enlève sa robe. » Ernest dessine comme une fille soulève sa robe. Le dévoilement est autrement plus érotique, plus scandaleux, que le déjà dévoilé. Velue. Présence taboue de l'animalité chez la femme. Breton n'est pas Bataille, on le savait. « C'est une honte, déclarait l'auteur de L'Amour fou (retour à grands pas du XIX siècle dans la poésie du XX), qu'il y ait encore des sexes non rasés. » Merci à Virgile, merci à Pignon-Ernest, d'avoir, chacun en leur temps, fouillé, tisonné les cendres de la honte pour ranimer les laves ardentes du sexe et de l'amour.
— Jacques Henric - Femme avec le feu entre les jambes
98 notes · View notes
firebirdxvi · 5 months
Text
Fils du Feu 03 ~ Flamme progressive
Tumblr media Tumblr media
Joshua fit des progrès rapidement, mais n'exprimait aucun désir de sortir du Nid. Lui réapprendre à tenir sur ses longues jambes et à synchroniser ses mouvements se révéla compliqué. Il avait gardé de son corps la représentation mentale de son alter ego de dix ans, et il passait beaucoup trop de temps à se cogner partout. Il négociait mal les distances et attrapait les objets les plus basiques avec difficulté, comme s'il avait des problèmes de vision.
Jote faisait tout son possible pour lui faciliter la vie mais risquait chaque fois la réprimande ; l'Emissaire devait se débrouiller seul, lui avait-on dit. Elle lui montra quelques astuces pour faire des noeuds simples, ou passer facilement une tunique. Il avait refusé de porter le moindre vêtement pendant un bon moment, et se promenait alors dans la chambre dans le plus simple appareil, jusqu'à qu'il ait le malheur de croiser son reflet.
Il ne passait jamais près du mur du fond de la pièce car la surface en était polie et réfléchissait presque comme un miroir. Joshua détestait ça. Jote avait bien tenté de mettre quelque chose dessus, de suspendre des draps en guise de rideaux, mais cela ne tenait jamais. Et la soigneuse les avait retirés d'elle-même quand elle avait compris cette habitude.
- "L'Emissaire n'a pas à avoir honte de son apparence. Il doit apprendre à s'accepter tel qu'il est à présent, il doit oublier son corps d'enfant", expliquait-elle. "Cela fait partie de sa guérison. Tu dois l'y aider, Jote, pas l'encourager à fuir."
Jote apprit la leçon et cessa de trop materner le malade. Elle ne lui apportait plus tout ce qu'il voulait sur le champ et le laissait davantage trouver la solution lui-même à ses problèmes quotidiens. Un jour qu'il faisait un peu plus frais dans le Nid, Joshua se mit à frissonner et, se dégageant de ses draps, se dirigea vers les vêtements posés sur un bureau près du lit. Il les déplia, les observa, les tourna dans tous les sens pour en comprendre les coutures, et essaya de les enfiler. La première fois, il se retrouva coincé dans le col de chemise, ses grands bras battant le vide devant lui, et elle du bien venir l'aider, en retenant un rire discret.
- "Mais non, pas ainsi ! Je vous ai déjà montré comment faire !"
Elle s'approcha alors et tira le tissu sur la peau pâle et nue de l'Emissaire, ce qui fit courir un frémissement le long de son dos... Elle ignorait la cause de cette réaction, tout à fait nouvelle pour elle et ne s'en préoccupa pas plus longtemps. Une fois habillé, le malade apparaissait tout d'un coup plus... humain et réel, il quittait son état de fantôme errant dans le Nid pour remettre un pied dans la vie.
Mais il lui restait encore à enfiler un pantalon.
La soigneuse se déclara satisfaite de l'état de santé général de Joshua. Il avait repris du poids, son visage n'était plus creusé et avait retrouvé quelques courbes de l'enfance. Ses muscles s'étaient affermis grâce à des exercices quotidiens qu'ils effectuaient tous les trois ensemble. La nourriture du refuge était juste assez nutritive pour le remettre sur pied. Essentiellement des fruits et des légumes, juste un peu de viande achetée dans le village des environs ; les Immortels ne consommaient quasiment pas de chair animale ; ils croyaient que cela déplaisait au Phénix. Ce que leur Emissaire démentait chaque jour. Il détestait les légumes, mais dévorait sa viande à belles dents à chaque repas. Maître Cyril le tolérait à cause de sa convalescence et parce qu'il avait besoin de retrouver la forme au plus vite. Mais cette entorse aux principes de l'ordre, exprimée de plus par l'incarnation du dieu qu'il vénérait, le laissait perplexe.
Tumblr media
Il laissait constamment ses carottes dans son assiette, et la soigneuse jugea utile un jour de hausser le ton.
- "C'est très bon pour votre santé, et elles poussent merveilleusement ici. Cela vous rendra des couleurs, votre peau est si pâle ! Si vous sortez ainsi sous le soleil, vous ne le supporterez pas longtemps."
Mais Joshua n'indiquait aucun désir de sortir. On lui apportait de quoi lire et même des jouets pour enfants ou des casse-têtes à résoudre, pour entraîner sa réflexion. Il s'en sortait toujours avec facilité, ce qui permettait de juger de ses progrès en matière de cognition. Il se comportait de plus en plus comme un ado de son âge, peut-être même de façon plus mature encore, comme s'il s'était mis à grandir trop vite. Son expression se fit plus grave et pensive, comme s'il parvenait à prendre du recul sur lui-même et sa situation. Il semblait aussi se soucier des deux seules personnes qui venaient le voir tous les jours, en rangeant sa chambre tout seul ou en pliant ses vêtements avant de se coucher.
Un jour que Jote s'était fait réprimander, Joshua parut comprendre qu'elle se sentait mal et vint près d'elle la réconforter. Il la laissa posa sa tête contre sa poitrine et elle sentit une chaleur étonnante envahir tout son corps... Il la réchauffait de sa seule présence, comme sans y penser. Car de fait, elle ne l'avait pas encore vu faire de la magie de lui-même.
Quelque plumes flottaient encore parfois dans le Nid certains jours mais Joshua ne le faisait jamais exprès. Il s'en étonnait lui-même à chaque fois ; un étonnement silencieux car il ne parvenait toujours pas à parler. Plus d'un mois après son réveil, il ne réussissait pas à prononcer un seul mot articulé qui fut compréhensible ; comme si le silence était la dernière barrière que son traumatisme lui opposait encore... Il essayait parfois de produire des sons simples - des "aaaa" ou des "oooo" - mais cela semblait le faire souffrir... Cependant, il comprenait ce qu'on lui disait et avait vite réapprit à lire. Mais de son côté, pour communiquer, il utilisait encore les signes.
Un jour, la soigneuse lui demanda s'il se souvenait de ce qui s'était passé cinq ans plus tôt. Joshua avait finit par accepter qu'il avait "dormi" tout ce temps. Mais il affirmait ne plus se souvenir de grand chose : des images floues ou des scènes banales n'impliquant personne de sa famille. Il ne se souvenait même plus d'être Joshua Rosfield, le futur archiduc de Rosalia et l'Emissaire de Phénix. Par contre, il faisait des cauchemars ; et dans ces cauchemars, un démon aux longues cornes et aux dents pointues le poursuivait pour le dévorer. Chaque fois qu'il se réveillait, il avait l'impression de brûler...
- "Sa mémoire lui reviendra", conclut la soigneuse. "Pas trop brutalement j'espère, je ne veux pas qu'il retombe en dépression. Il est trop tôt pour lui révéler ce qui s'est passé..."
Et ce serait à Maître Cyril de le faire.
Celui-ci se présentait parfois à la porte du Nid pour prendre des nouvelles. Il était difficile de savoir s'il s'inquiétait vraiment pour Joshua ou si seul comptait le dieu des Immortels à ses yeux. Il demandait le plus souvent :
- "A-t-il manifesté ses pouvoirs de Primordial ? A-t-il toujours le Phénix ?"
- "Je le crois, Maître, mais l'expression de sa magie devra encore attendre, je voudrais qu'il réapprenne à parler avant."
- "Et bien, il faut vous y employer. Il est vraiment étonnant qu'il n'en soit pas encore capable, après presque deux mois..."
- "Son traumatisme est profond. Le mutisme en est souvent le symptôme. Laissez-lui du temps encore..."
- "Puis-je le voir ?"
- "Vous êtes le Maître...", répondit-elle en le laissait entrer.
Joshua se leva précipitamment de son lit en voyant cet étranger entrer dans son Nid. Il ne se souvenait déjà plus de l'avoir vu. Cyril détailla l'Emissaire de la tête aux pieds et sembla satisfait de l'examen. Il fit un geste d'apaisement.
- "Vous n'avez pas à vous lever pour moi, Votre Grâce. Je venais vous annoncer qu'en dehors de cette chambre, nombre de vos fidèles attendent de vous voir marcher parmi eux. Ils prient chaque jour pour votre rétablissement et espèrent de tout leur coeur voir le feu du Phénix éclairer le monde de nouveau."
Le ton plein d'emphase du Maître contrastait totalement avec sa manière de parler inhabituelle.
- "Vous êtes notre lumière à tous, aussi pardonnez mon empressement mais, il serait tant que votre protectrice vous rappelle de quels prodiges vous êtes capable, n'est-ce pas ?" Il regardait la concernée du coin de l'oeil en prononçant ces mots.
- "Je m'y emploierai au plus vite, Maître..."
Cyril s'inclina bien bas, se détourna et sortit de la chambre, les mains dans le dos.
Tumblr media
10 notes · View notes
alexar60 · 1 year
Text
Awa (le mythe d’Eve revisité)
Tumblr media
Elles entrèrent dans une salle immense au centre du temple. Un prêtre leur demanda de se positionner en cercle autour de lui. Puis, il se retira laissant au milieu un panier en osier, dont le couvercle était attaché à une corde. Il recula du cercle d’une dizaine de pas et, d’un tapement répété de ses mains, il mit fin au silence régnant.
La corde souleva le couvercle. Chacune des filles retint sa respiration. Elles attendirent les jambes raidies par la peur, la poitrine gonflée par une promesse divine. Elles avaient peur de leur sort, car tout pouvait basculer d’un moment à l’autre. Soudain, le panier remua légèrement. La tête d’un animal surgit…c’était un serpent !
Sa langue fourchue se promenait dans l’air. Il avait les caractéristiques du cobra. Le serpent venimeux sortit de sa boite et commença à zigzaguer cherchant à sortir du cercle. Les jeunes femmes demeurèrent immobiles, certaines joignirent leurs mains afin de prier le destin, d’autres fermèrent les yeux espérant qu’il s’approcherait ou pas. Elles avaient peur car il  suffisait d’un cracha empoisonné de cet animal, pour mourir dans d’atroces convulsions. Le serpent tourna plusieurs fois autour du panier avant de se décider.
Il se dirigea vers une jeune femme à la peau blanche et aux cheveux noirs. Elle ne savait quoi faire. Elle ne devait pas courir, ni fuir et devait accepter son sort. Le cobra approcha de ses pieds nus. Elle sentit la peau écailleuse frôler ses chevilles. Sa langue siffla. Il leva la tête et attendit patiemment.
-          Il t’a choisi et tu dois accepter, annonça le prêtre.
Dès lors, elle comprit qu’elle devait se baisser, tendre la main et laisser le serpent glisser, enrouler son bras pour se défier du regard. Elle avait peur mais ses yeux noirs ne montrèrent rien de cette peur viscérale. Bien au contraire, elle sourit lorsqu’il sortit sa langue pour humer son parfum. Alors, doucement le cobra remonta son épaule et s’installa autour de son cou telle une écharpe. A ce moment, les autres prêtresses s’agenouillèrent devant l’élue avant de quitter la salle puis de revenir pour la préparer à accueillir Ishtar.
Elle prit un bain de lait. Son corps ainsi que ses longs cheveux, furent recouverts d’huile parfumée. Elle passa la nuit à chanter et écouter des prières pour la déesse. Pendant ce temps, le prêtre s’amusait à regarder le cobra en train d’avaler une souris. Jeu étrange de la vie et de la mort. Pourtant, il était le seul à connaitre le secret du serpent : on avait méticuleusement retiré ses crochets venimeux.
Durant toute la nuit, elle inhala les vapeurs de produits hallucinogènes. Elle dansa trouvant ainsi la transe. Guidée par les prêtres, elle visita le monde des morts et celui des dieux. Elle rencontra enfin la déesse et accepta que cette dernière la pénètre. La transe transforma son esprit. Elle était devenue d’essence divine.
Le soleil était déjà bien haut dans le ciel lorsqu’elle sortit. Elle était nue, uniquement habillée du serpent qui enroulait son cou. Elle marchait empruntant les rues les plus grandes. Tout le monde détournait le regard ou tournait le dos à son passage. Personne ne voulait subir la loi du serpent qui gesticulait lentement sur les épaules de la belle. Cette dernière marchait fièrement, la tête haute, la poitrine bombée, le pubis rasé. Son parfum embaumait la rue. Toutefois, le peuple comprit l’événement. Alors, les gens attendaient qu’elle s’éloigne, pour se regrouper et la suivre sans oser l’approcher ni la regarder, regarder son dos ou ses fesses dénudées.
Aucun des gardes du palais ne furent au courant de sa venue. Ils virent la jeune femme venir vers eux. Ils reconnurent la déesse grâce à la présence du serpent. Alors, le chef ordonna qu’on ouvrit la porte pour laisser entrer la reine des dieux. Ils fermèrent les paupières lorsqu’elle arriva à leur hauteur. Ils pouvaient entendre le cobra siffler. Rayonnante, elle entra dans la forteresse et suivit un chemin qu’elle connaissait déjà, parce qu’Ishtar était déjà venue dans les jardins de ce palais.
Rien n’inquiéta le jeune roi. Il marchait à côté du prêtre, tout en discutant des dernières tablettes lues. Il aimait cette idée de graver dans l’argile des signes qui, permettront aux générations futures de se souvenir des exploits de leurs ancêtres. Il marcha sans réaliser qu’ils se dirigeaient vers la terrasse sacrée. Il gratta sa barbe naissante, puis il s’assit sur un banc installé sous un arbre.
Ils discutaient encore lorsqu’elle fit irruption dans le jardin suspendu. Dès lors, il se leva en découvrant la jeune femme nue. Il tourna la tête afin d’obtenir des explications auprès du prêtes, mais ce dernier ne répondit qu’en souriant. Soudain, il entendit les clameurs, il aperçut son peuple au pied du rempart. Les gens attendaient le début du rite.
-          Je suis Ishtar, reine des dieux et mère des vivants ! Je suis l’épouse des rois, dit-elle.
Elle avança vers le roi. Le serpent redressa la tête et sa langue effleura la joue du jeune homme. Il recula d’un pas, effrayé par l’animal. Toutefois, elle avança encore. Elle sentait bon. Elle attrapa un fruit en forme de poire pendu à une branche, avant de la tendre vers l’homme. Il ne savait que faire. Il hésita puis, il accepta l’offrande. Il croisa le regard du prêtre attentif au moindre de ses gestes. Dès lors, il croqua la poire, mâchant difficilement car elle n’était pas mure. Aussitôt le guide spirituel leva les bras tout en criant :
-          Notre roi est prêt à devenir divin !
Pendant que le serpent se faufilait dans l’arbre, une clameur enthousiaste envahit la cité d’Ur. Toute la population attendait ce sacre. Ils admirèrent leur roi finissant de manger le fruit, pendant que la prostituée sacrée l’emmenait vers l’autel. Le prêtre suivait derrière eux, jouant le rôle du Dieu Ae. Il était comme un père pour le jeune homme. Il voulait que la tradition continue. Le couple stationna devant le piédestal. Il se sentit gêné par la présence du peuple. Elle s’agenouilla, le déshabilla avant de malaxer ses parties intimes. Sa main branlait son sexe jusqu’à le durcir au grand plaisir des citoyens. Leur roi était vigoureux !
Une fois prêts, elle se cambra sur la table de pierre, écartant les jambes afin d’offrir à sa vue sa fente rose et épilée. Il approcha et sans attendre, il pénétra la jeune femme. Ses va-et-vient allaient au rythme des cris de joie du peuple. Il ne l’entendait pas. Il ne savait pas si elle prenait plaisir. Qu’importe, car son rôle était de faire de lui un être immortel, un Dieu.
Le prêtre observait chaque détail de la scène. Il n’y avait aucune règle, aucun interdit dans l’acte. Alors, il laissa l’homme caresser les épaules de sa femme. Il accepta qu’il se penche pour embrasser son cou. Il autorisa la femme à relever la tête pour l’inviter à l’embrasser. Elle se montrait comblée. Et quand vint enfin la jouissance absolue, lorsque le roi râla en éjaculant dans le vagin chaud de sa concubine, le prêtre leva encore les bras pour annoncer la bonne nouvelle aux habitants de la cité :
-          Dumusi, notre dieu-roi est enfin de retour !
Même s’il n’appréciait pas le rituel, il se devait d’accepter d’y prendre part. Il resta quelques secondes affalé sur le dos de la jeune femme. Puis, il se leva, le sexe pendant et englué. Il se rhabilla et quitta immédiatement le jardin sous acclamation de son peuple. Un peu perdue, elle accompagna son maitre. Le prêtre rejoignit le couple. Il invita la prostituée à rester pour continuer le rituel. Puis, il retourna dans le jardin. Le peuple était déjà retourné à ses occupations. Il chercha dans l’arbre, retrouva le serpent qui se laissa attraper facilement. Une fois avoir quitté le jardin, il confia le cobra à un domestique, le plaçant dans un panier en osier. Puis, il retourna dans le temple pour annoncer la bonne nouvelle à ses convives.
Elle n’était pas son genre, pourtant il la trouva attirante. Elle restait étendue sur le lit, attendant qu’il la rejoigne. Pour finir le rituel, ils devaient passer des jours et des nuits entières à faire l’amour. Il savait qu’elle repartira comme elle était venue. Elle n’était qu’une image, une prostituée sacrée et possédée par l’âme d’une déesse. Cependant, il voulut savoir :
-          Comment t’appelles-tu ? murmura-t-il. Je parle de ton vrai nom pas celui d’Ishtar.
-          Awa, répondit-elle. Et toi, tu n’es pas réellement dumusi ?
-          Mon vrai nom est Adamas.
Elle sourit. Elle le trouvait beau avec ses cheveux bouclés et sa barbe de quelques semaines. Elle tendit les bras pour accueillir le jeune roi.
-          Alors Adamas, amusons-nous ! Car après, il te faudra descendre aux Enfer et surmonter les pires tortures au nom de notre cité.
Il déglutit. Il connaissait aussi cette partie pénible dans laquelle il serait battu et fouetté devant la population. Il devait mourir pour renaitre et ainsi montrer qu’il était un vrai dieu. En attendant, il enlaça Awa avant de se caresser mutuellement. Elle sentait bon. Peut-être la choisira-t-il comme reine plus-tard ? C’était aussi le rôle des prostituées sacrées d’Ishtar que de devenir reine.
Alex@r60 – février 2023
24 notes · View notes
gaboushkabzbz · 14 days
Text
Elle est née au mois d’avril, Brune. Elle est belle, souvent nue dans son appartement, presque invisible, ses bras et ses jambes rappellent quatre serpents envoûtés par la même musique. Ses petits seins statiques sont ornés de deux petits boutons de rose en pleine floraison. Son dos est merveilleux, il rappelle une cascade inépuisable d’où on ne revient jamais. Ses omoplates se déploient comme deux ailes d’ange quand elle s’étire et tous ces gestes rappelle une danse cosmique, gracieuse, presque religieuse. Il semblerait qu’elle prend la pose. Inconsciemment, au bord de la fenêtre, en fumant sa cigarette, sa peau se crispe, frissonne. Sa texture ferme et douce donne envie de s'y perdre dedans, n'importe quel humain aurait envie de la toucher, de l'embrasser, la forme de son corps donne à tous le désir ardent de l’enfanter.
Mais Brune, elle est blonde et déprimée. Bien sûr elle sait qu’elle ne laisse pas indifférente mais l’avenir et l’amour ne la fascine plus et ce désenchantement commence à ne plus du tout la faire rire.
Elle se rend compte que chaque jour l’absurde l’absout un peu plus. Son histoire est devenue une pièce de théâtre, une mauvaise comédie où le désir a laissé place à des pleurs qui se transforment au cours de la journée en un sommeil sous anxiolytique. Au réveil, il y a toujours un rire moqueur. Quelqu’un ricane des ondes électromagnétiques branchées à son cerveau en braise. Ces persécutions à la pelle la brise et même la baise ne peut plus éteindre ses voix.
Elle se méfie de tout, ses voisins, les collègues, son amour, les riverains. Ils cherchent à lui nuire. Ils lui rappellent ses échecs et l’espionnent en écoutant aux portes de son appartement.
Comme le roseau elle se plie. Ou plutôt comme les anthropodes et la tortue, elle se replie sur elle-même, dans sa carapace, à la recherche d’une protection infinie et d’une détoxification interne.
Pour éviter les envahisseurs elle a fermé les volets et mis un casque sur ses oreilles. Des musiques l’emportent vers l’Ailleurs. Le meilleur. Favoris. Adorable ailleurs. Alors elle se rappelle, un temps où sa seule préoccupation était de jouer près de la mer, bercée par les vagues et le vent marin, elle se comportait comme un enfant de l’air, passant la plupart de ses journées à rêvasser au milieu d’une nature luxuriante. Enfance sous le soleil. Toute cette liberté lui semble si loin tout à coup, l’enfant sauvage est devenu un adulte pris au piège. Enfermée dans sa tête au milieu des voix qui n’arrêtent jamais de l’humilier mais aussi enfermée dans un rôle qu’elle a de plus en plus de peine à jouer.
En fond sonore, au delà de ses écouteurs, elle entend un craquement, comme une mise en veille générale, peut-être est-ce le monde qui s’éteint ? Cette idée la soulagerai un petit peu, elle n’est pas très courageuse pour mettre fin à ses jours.
Au fond d’elle-même quelque chose lui file la nausée. Est-ce le souvenir de ces hommes qui ont abusé d’elle ? Non cela semble venir de plus loin… l’injustice ? La guerre ? La naissance ou la mort ? Les horreurs qui se multiplient dans tous les coins du monde ? Ou encore cette soci��té qui lui donne le vertige, les producteurs, les consommateurs. Les soldes, les réductions. Les banquiers, la banquise. Le vide, le plein et ça résonne à l’intérieur de son cœur, toujours trop plein ou trop vide. Elle est persuadé que quelqu’un l’a percé pour mettre de la terre et des bêtes à l’intérieur, sauf que ça pourrit et il y a une odeur de zouave qui submerge la pièce. Le zouave c’est elle sous acide dans sa chambre fermée à double tours. Elle boit une grande bière et rêve de grandes rivières. L’Europe, les États Unis, elle se rappelle de toutes ces richesses mais tous ces lits vides. Et ces couples qui n’ont plus rien à se dire. Et les vies errantes entassées au milieu des parkings. Plus rien ne fait sens, sauf peut-être les grandes rivières de sa chambre en émoi.
Mais que reste-t-il ? Les fleurs, le chant des oiseaux et les lapins qui font des bonds en liberté... Non tout est fini. Merde ou mort à Dieu. Elle sait que sa poésie ne vaut plus grand-chose. C’est désormais de sa responsabilité d’achever sa vie ou d’en faire quelque chose. Ses batailles semblent si lointaines, elle se sent seule face à elle-même et face au cosmos. Dépassée par la vitesse à laquelle le monde avance, par ses semblables qui trouvent leur place pendant qu’elle recule, se voyant vieillir et ternir par son manque de force vitale. Elle sait qu’elle est dans l’erreur, que des chemins existent par millions et que le sens caché de son aventure humaine pourrait renaître Ailleurs et autrement. Oui, mais par où commencer ?
4 notes · View notes
abdou-lorenzo · 11 months
Text
Elle, toute nue, parée de ses jambes protectrices mises devant elle, j'étais éperdu.
Là, mon esprit s'éprit d'un désir de caresse, à ses pieds tendus et offerts, qui déconcertent ceux qui n'y voient que paresse......✨💞🥀
Tumblr media
21 notes · View notes
cricxuss · 1 month
Text
Tumblr media
Le plus beau des voyages
Est celui où il découvre ma peau..
Quand il me déshabille lentement,
Ma peau nue lui donne des frissons..
Je ressens son membre dru
Déjà en érection
Se frottant insidieusement contre mes fesses..
Avec appréhension et délicatesse,
Il dénoue chaque parcelle de tissu inutile et encombrant ..
Avec au coin des lèvres toujours ce sourire béat et charmant, de satisfaction..
Sachant pertinemment
Que suivra le mouvement
De ses doigts habiles
En mon antre trempée et volubile
Il happe et lèche le nectar récolté
Et m'en fait profiter..
Ses doigts parcourent délicieusement ma bouche
Il s'en délecte.. devient fou et m'embrasse à en perdre haleine..
Mes jambes ne sont plus que coton
L'excitation me fait perdre le contrôle de mes mouvements
J'aspire à ses émanations
J'arrache d'un mouvement sec son ceinturon.. me débarrasse rageusement de son caleçon ..
Je suce happe et lèche avec délectation sa divination.
Il savoure un long moment
Donnant le mouvement en cadence, sa main tirant mes cheveux en arrière.
La bouche pleine.. je fais des Ô de satisfactions ..
Tout en tirant mes cheveux il me fait me relever contre le mur, me contemple, et n'y tenant plus.. d'un mouvement brusque me retourne emprisonne d'une de ses mains, les miennes, pour les coller au mur en signe de soumission.
De l'autre main il pénètre violemment son sexe déjà bien trempé entre mes fesses écartées..
L'habit de Maître reprend sa place..
Avec lui disparaissent toutes traces de voluptés..
Il ordonne, et en temps que chienne obéissante
J'absous toutes ses lubies.
J'acquiesce à tous ses ordres, il ordonne.. j'obéis..
Je lui appartiens.
Il peut me prendre ou bon lui semble, peu importe l'heure de jour comme de nuit..
A Monsieur, je ne me refuse jamais..
Entre ses bras je ne suis plus qu'une toute petite chose,
"Sa chose" comme il aime à me rappeler..
Sa chienne.. son obsession.. qu'il m'appelle comme bon lui semble..
Il est Ma Faiblesse,
Je suis Son Addiction ⚘
(Propriété exclusive de E.©️Renaiss'ance)
2 notes · View notes
homomenhommes · 1 month
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 143
Marc étant absent une nouvelle fois, je passe la soirée chez Emma, je ne lui sers du " Maman " que quand j'ai envie de la faire enrager. Elle a su pour Daniel et le collègue de son ami et me dit que je devrais ouvrir une agence d'Escort boy. Je lui réponds que comme mes Escorts finissent tous dans le lit de leurs clients, je risquerais fort d'être assimilé à un proxénète (de façon officielle !).
Elle me demande qui est cette dernière recrue. Quand je lui explique le comment du pourquoi, elle est sciée par mon audace. Je me récrie en lui précisant que c'est le vendeur qui m'avait fait du rentre dedans (bon, c'est vrai qu'après c'est moi qui le lui en avait fait).
J'interromps ses questions en lui fourrant ma langue dans sa bouche. C'est assez efficace comme procédé. Elle se dégage pour me dire qu'elle est étonnée par le fait que je puisse passer d'un homme à elle avec autant de facilité. Je reprends mon baiser et ajoute à son excitation par un massage de son sein gauche. Nous ne sommes pas jeudi et elle craint que nous soyons dérangés par le service. Nous nous réfugions à la piscine après un ordre de ne nous déranger sous aucun prétexte.
En trois mouvements elle est nue et se colle contre moi. Ma combinaison une pièce étant accrochée dans le garage, il n'y a que l'épaisseur du shorty et de mon t-shirt pour nous séparer. Je bande aussitôt. Elle glisse à mes genoux et descend mon shorty alors que je passe mon t-shirt par dessus ma tête. J'en suis à l'avoir autour de mon visage que je l'entends s'étonner de mon cockring. Je sens sa bouche chaude envelopper mon gland. Elle s'y attarde sachant combien j'aime sentir une langue le découvrir. Elle la passe dessus, sous la couronne, dans le méat, aspire puis recommence. Je bande encore plus dur, aidé en cela par le cockring qui me serre bien la base du sexe. Elle a trop envie et se lève. Collée à moi elle passe une jambe autour de mes hanches et sur la pointe de son pied restant, positionne sa chatte au dessus de ma bite. Je l'aide un peu en pliant les jambes.
Je me redresse quand elle se laisse descendre, résultat, je la pénètre. Son autre jambe rejoint la première et je ne peux être planté plus profond. Mon gland butte au fond. Elle remonte, usant des ciseaux de ses jambes et je l'aide un peu en soulevant ses fesses puis elle retombe se plantant sur ma bite. C'est sympa comme mouvement mais assez fatiguant et au bout d'une 10aines de minutes mes jambes commencent à se tétaniser. ;Je la porte jusque dans l'eau et aussitôt me sens soulagé d'une bonne partie de son poids. Je m'allonge dans l'escalier les fesses en limite de l'eau et elle se place à cheval au dessus de moi. Je la laisse me " monter " et stimule ses seins de mes deux mains. De temps en temps elle baisse la tête et vient me rouler un patin. Elle accélère soudain puis stoppe et je sens son vagin se crisper sur ma queue. Elle jouit une première fois, je la laisse en finir avec ça puis je reprends l'initiative.
Je me redresse et colle mes pecs contre ses seins. Je lui prend la bouche et ma langue vient explorer sa cavité buccale. La sienne vient à ma rencontre et nous nous emmêlons. Je n'ai pas débandé n'ayant pas juté. Sa chatte n'a pas l'effet " constrictor " de son anus ! Je me redresse et avise le salon qui occupe la terrasse. Je la porte jusque là et la pose sur la table basse. Encore dans son vagin, je me plie sur elle et ma bouche reprend possession de la sienne. Puis lentement je fais descendre mes lèvres sur son corps. Ma langue trace une ligne passant sur sa jugulaire gauche, le téton gauche puis le droit sur lequel je m'attarde jusqu'à ce que j'entende une respiration saccadée. Je continu ma descente (ce qui me fait sortir de son vagin), vrille ma langue dans son nombril (pour rire car aucun effet sexuel avec ce petit trou !) et atteint le coin supérieur de ses lèvres. Mes mains entrent alors en action, écartant la barrière des grandes lèvres pour découvrir son clito. Je pointe ma langue dessus avant de l'utiliser comme un punching-ball. Bientôt je l'aspire entre mes lèvres et le fait vibrer contre mes dents. Je sens les mains d'Emma se poser sur ma tête pour écraser mon visage contre sa chatte. J'augmente alors la rudesse du traitement de son bourgeon neural et je suis récompensé par un écrasement latéral de mes oreilles par ses cuisses puissantes. Je profite du relâchement post orgasmique pour, mes mains sous ses genoux, lui relever les jambes sur sa poitrine et ainsi découvrir son anus. Ma langue sans attendre vient y étaler une bonne couche de salive. Je me redresse alors et plante sans atermoiements mon pieu dans son anus.
Divin !!
Mon gland déplisse sont trou et je pousse pour enfourner mon sexe en entier. L'excitation et ma salive me font glisser le tout jusqu'au fond. J'y stationne quelques instants avant d'entreprendre un labourage en règle. Je me penche en avant et ses genoux écrasant ses seins, j'atteins sa bouche. Roulage de pelle sans cesser mes va et vient dans son cul, trop bon ! Elle relâche ma langue le temps de me glisser un "tiroir " puis reprend notre échange de salive.
Je tends le bras et ouvre celui de la table basse, le seul à ma portée. A tâtons, je devine un gode et effectivement c'est bien cela, un bel engin noir brillant. Je sais où elle le désire. Sans lui demander plus de détails, je me redresse et sort jusqu'à ne laisser que mon gland en elle. Cela suffit pour que je puisse enfiler le bout de plastic dans son vagin. Je le tourne en elle pour placer les fausses couilles contre son clito et me renfonce dans son cul. A la fin de mon mouvement, la base du gode appui contre mon pubis et de ce fait l'enfonce dernier, écrasant les fausses couilles sur le clito. Moi j'adore sentir un autre sexe (même factice) de l'autre coté de la paroi. Avec la mère de Jean c'est comme ça que je préférais la baiser, à deux chacun dans son trou et même avec elle à deux dans le même trou. Ça par contre je le demande pas à Emma. Ça me fait penser qu'il va bientôt falloir que je passe la voir ( la mère de Jean). J'en ai de ses nouvelles de temps en temps par Jean qui me téléphone ou passe à la maison. Il l'a fait toujours baiser par les mêmes jeunes qui ne trouvent pas ailleurs meilleur salope et donc qui y reviennent régulièrement.
Bon, revenons à nos moutons. Je lime le cul d'Emma et c'est pas mauvais du tout. Je ne me permets de juter que quand elle prend son pied pour la troisième fois. Sans prendre de risques inconsidérés, nous n'utilisons plus de kpote entre nous (je suis hyper sérieux là dessus et elle ne baise qu'avec moi). Je jute abondamment au plus profond d'elle, ma queue prisonnière de son sphincter crispé alors qu'elle sursaute sous l'effet de son plaisir. Quand j'arrive à me libérer, c'est pour me coucher sur le dos à ses cotés. Encore sous l'effet de son orgasme, elle se couche sur mon coté, sa chatte vidée, collée contre ma cuisse. Une petite douche plus tard et nous rejoignons la civilisation en peignoirs. Sa cuisinière nous a préparé un repas gastronomique. Il faut dire que les gens du service (elle et le chauffeur) me sont reconnaissant d'avoir ramené la vie dans la maison et que j'ai une super cote auprès d'eux (à leur décharge, ils sont adorable avec moi).
Pour une fois je passe la nuit avec Emma dans son lit, un peu fatigué je la contente avant de dormir d'un simple broutage de minou qui la fait jouir quand même.
Le matin, c'est la première fois qu"elle me réveille par une pipe. Mon réveil est tellement progressif que quand je m'en aperçois, je continu à faire semblant. Elle s'améliore question fellation et plusieurs fois réussit à me prendre entier. je ne peux plus me retenir et simule mon réveil quand je jute dans sa bouche. les yeux grands ouverts, je la vois me boire complètement. Ration de protéines comme petit déjeuner ! Je la prend par les épaules et la tire sur moi. J'arrive à mettre ma langue dans sa bouche alors qu'il lui reste encore un peu de mon sperme dedans. Miam, elle est bonne ma production du matin. Elle me boxe et me traite de dégénéré, elle a bien perçu l'objet de mon baiser.
Douches puis vrai petit déjeuner, je passe la matinée avec elle. Nous discutons sérieux du minimum d'obligation que me procure mon état de " fils ", de mon élection au conseil d'administration de sa boite et divers autres détails. Je la quitte après un déjeuner léger.
Comme je repense à la mère de Jean et que c'est le mercredi, je file direct chez elle. Ses " clients " du mercredi ne devraient pas être encore arrivés. Elle m'ouvre et comme d'habitude me saute au cou. Je la repousse et lui montre mon entrejambe ou le cuir est repoussé par ma bite qui bande. Elle dé zippe ma combi et sort mon sexe et mes couilles avant de se jeter dessus comme une affamée. Direct mon gland plonge dans sa gorge. Massages par déglutition, elle excite mes terminaisons nerveuses comme une salope. Je la repousse et lui demande qui vient cet après midi. Réponse : le bourge et son pote. Tant mieux avec l'été décalé que j'ai eu nous n'avons pu leur faire signe pour revenir à la maison.
Je la laisse reprendre sa fellation. Je me contiens aidé en cela par mon cockring. Je lui sors une kpote. elle me la déroule avec sa bouche sur ma queue puis se tourne et se penche en avant. Je relève sa jupe et découvre sa chatte bavant et son anus frémissant. J'opte pour ce dernier, ça n'étonnera personne ! La lubrification de la kpote suffit et je m'enfonce, déplissant sa rosette. Elle gémit avec force. D'un dernier coup de rein je la colle à la commode contre laquelle je l'ai plaquée. Mes mains trouvent ses seins déjà sans soutient gorge et les malaxent. Elle commence à monter bruyamment. Je l'encule à grand coup qu'elle encaisse comme une pro. Elle me fait jouir par son propre orgasme qui me compresse le sexe.
Les jeunes n'allant pas tarder, je la laisse et file dans la chambre de Jean mettre en route l'enregistrement.
Je vois l'arrivé des deux jeunes, dirigés direct vers la piscine et le salon attenant. Dès la porte passée les caméras prennent le relais. Sur le PC de Jean, je mate les deux ptits mecs se dévêtir. Ils sont tout bronzé de leur été, sauf, comme moi, leurs fesses blanches. La mère de ;Jean est déjà sur le dos à poil. Le bourge se kpote et plante direct sa bite dans la chatte ruisselante (par ma faute). Pendant ce temps là son pote se fait sucer et essaye en même temps de téter un des seins. Ce qu'il n'arrive pas à faire ! du coup il allonge le cou et je le vois lécher le clito et la bite de son pote quand il sort tout en remplissant la bouche de la meuf. Le bourge ordonne soudain à la mère de Jean de bouffer le trou de son pote pour bien le préparer.
Je remarque qu'il apprécie encore les mecs et leurs culs. Il me fait bander ce ptit con. Je descends les rejoindre. Ils sont surpris mais pas étonnés. On se bisouille et ptit bourge me met sa langue bien profond dans ma bouche. ;Quand j'arrive à me défaire de son aspiration, je remplace ma langue par ma bite. Il a le souvenir de son passage dans notre donjon, ou bien il s'est entrainé pendant l'été mais toujours est il qu'il me bouffe en entier. Je le félicite et ma main dernière sa tête m'enfonce bien profond. Je lui demande s'il je ne lui ai pas manqué un peu. Il me dit que le sexe de son copain ne vaut pas le mien et que surtout son truc à lui (le copain) c'est d'avoir une bite dans le cul !
Je demande à son pote alors d'aller préparer le cul de ptit bourge. Exécution, mais pas trop longtemps. Je décide de la nouvelle configuration : j'encule ptit bourge qui encule lui-même son pote et ce dernier se perd dans l'anus de la meuf. Pas mal, surtout mon entrée dans ptit bourge. Son cul n'ayant pas servi depuis le donjon en juillet, il est resté bien serré. J'y suis allé doucement mais une fois en place, j'en profite un maximum et d'après ce que j'entends lui aussi prend son pied. Les deux autres sous nous ne servent que de réceptacle divers. Je change et décide de sentir le sexe de ptit bourge contre le mien dans l'anus de la mère de Jean.
Quand, Kpoté, ptit bourge sur le dos se fait chevaucher par la meuf et lui rempli le cul, je me place et ajoute mes 20 x 5 à ses 18 x 5. ;Il apprécie n'ayant essayé les double pénétrations avec son pote que dans le vagin. Le pote ne sachant que faire, je l'occupe à se faire sucer par madame puis, l'idée me venant de lui faire subir la même chose, j'ordonne à la mère de Jean de lui préparer le cul avec la langue. Rééquilibrage de l'ensemble : ptit bourge sur le dos, la mère de Jean assise sur sa bite, couchée dos sur son ventre, moi enfilé dans son anus face à elle et le pote jambe légèrement pliée qui lui présente son anus à manger. Sous mes yeux sa bite bande dur. Je tire sa tête vers la mienne et lui roule un patin. Il embrasse bien ce ptit con ! Il alterne bataille de langues et suçage. Il fait une pipe à ma langue, trop bon ! Je défais l'échafaudage et je me couche sur le dos en demandant au pote de venir s'enculer sur moi de face. Il m'enjambe, s'agenouille et je sens mon gland happé par les profondeurs de son anatomie. Il me chevauche quelques instant seul avant que je l'attire vers moi sous prétexte d'un palot.
Ptit bourge a compris, il se place et profitant d'un de mes retraits, pose son gland sous le mien et profite de ma pénétration pour entrer. Le pote accuse le coup. J'étouffe son indignation, sa douleur de ma langue lui interdisant de reculer sa tête avec mes mains. Cela ne dure pas et il apprécie la chose après trois ou quatre va et vient. Je lui relâche la tête. Il s'écarte et nous traite de salauds. Sans nous arrêter nous rions de sa réaction. Il tourne la tête pour recevoir la langue de ptit bourge dans sa bouche. moi, mes mains ont rejoint ses hanches et participent à l'approfondissement de la double sodo.
Son anneau, pas familiarisé à cette pratique nous étrangle bien et ptit bourg et moi sentons bien le contact de nos deux queues. Je désynchronise un peu histoire de frotter la bite qui colle à la mienne. Accidentellement il décule mais revient aussitôt. Effet garanti sur le pote. Au loin j'entend la douche fonctionner, la mère de Jean a compris qu'elle ne servirait plus et nous a quitté.
Dans cette configuration, le pote me jute sur les abdos et entraine notre jouissance. Moi je remplis ma kpote et ptit bourge en direct son boyau. Quand nous sortons, ma kpote est pleine de sperme dedans et dessus. Je dis à ptit bourge de venir me nettoyer le ventre. Il hésite puis sous mon regard insistant, vient lécher le sperme de son pote. Je ne lui fais grâce de la moindre goutte, et comme je lui demande, il me dit que finalement ce n'est pas mauvais. Nous convenons d'un rendez vous à la maison, ptit bourge ayant gardé un bon souvenir des 22cm de Marc.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
+
Tumblr media
17 notes · View notes
lesdamesmures · 1 month
Text
Tumblr media
Scène 14 "Une femme mure sur la plage"
En voyant Julie soulever sa robe pour découvrir ses fesses nues je m’arrêtais net derrière elle. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle se dévoile ainsi devant moi, j’étais surpris par son audace, la connaissant je ne l’aurai jamais cru capable d’un tel geste. Par ce signe si féminin, si coquin, c’était comme si elle avait compris ce qui pouvait m’émouvoir au point d’ancrer dans mon esprit cette fraction de seconde pour toujours. Je restais médusé et muet devant ce cul mature qu’elle m’offrait, devant moi à porter de mains, de mes lèvres alors qu’elle ralentissait en repliant sa jambe pour atteindre la marche suivante. Elle n’avait rien dit, ne se retournait pas, ses fesses s’ouvraient en montant la marche suivante laissant entrevoir la naissance de sa pilosité sombre dans la cage d’escalier. Je restais à contempler sa croupe, ses jambes et son dos avec sa robe relevées à la taille qu’elle tenait de sa main gauche, je ne pouvais retenir mon souffle qui s’accélérait au rythme de mes battements de coeur. Je vivais des émotions jamais ressentis jusqu’alors depuis ce moment calé entre son ventre et sa poitrine mature, la voir retirer sa culotte sous sa robe en me regardant et maintenant découvrir son fessier pour ne pas dire son cul, son gros cul mature qui ondulait sous mes yeux. 
J’étais dans le rêve des pieds à la tête, dans la fantasme tel que je ne l’aurai jamais imaginé avec cette femme qui m’avait témoigné tant de pudeur, tant de réserve mais je découvrais ce qu’une femme mure était capable de faire pour s’offrir au plaisir d’un homme et comprendre ses fantasmes. Mes yeux devaient briller de plaisir et de crainte de l’inconnu, ne sachant comment me comporter pour être à la hauteur de ce qu’elle représentait à mes yeux quand elle s’arrêta 2 marches plus haut en tournant la tête vers moi
- J’entends ta respiration Titouan, je n’avais jamais fait ça mais tu sembles tellement aimer mes fesses que je voulais t’offrir ce moment ! Elle parlait de sa voix douce en me regardant, un sourire tendre et ému me confirmant qu’elle n’avait pas l’habitude d’autant d’audace
- Oh mon dieu Julie ! Excusez moi mais votre cul me fait un tel effet si vous saviez, oh pardon de vous parler comme ça mais … Mon air surpris la fit rire presque d’un rire nerveux en m’entendant
- Et bien mon bébé tu es enthousiasme en tout cas, ne t’inquiète pas je le prend pas mal tu as raison après tout même je ne suis pas habitué qu’on me parle comme ça c’est assez cru mais troublant j’avoue ! Tu veux que je reste comme ça Titouan ? Me demandait-elle naïvement comme si je pouvais non !
- Oh oui j’aimerai Julie ! Je ne me lasse pas de le … les regarder, l’admirer, le contempler, le désirer, je le fantasme depuis que je vous ai vu ! Osais-je ajouter maladroitement comme si mes sentiments se limitaient à son postérieur
J’étais tellement excité que ma retenue habituelle s’effilochait au point de la choquer par mes propos typiquement masculins et machistes. Elle ne répondait pas à mes propos et en me fixant du regard elle se cambra légèrement en secouant sensuellement sa croupe comme pour me provoquer puis repris sa montée dans l’escalier en tournant la tête, sa robe toujours relevée et retenue sur ses hanches nues
Je mourrais d’envie de l’embrasser et m’enfouir dans ce volume charnu et impressionnant de si près. Je la suivais en gagnant une marche sur elle, j’aurai pu toucher ses fesses, ce cul mature qui me faisait tourner la tête, y poser mes lèvres et si je ne gardais pas un minimum de retenu y fourrer mon visage tout entier. Julie montait doucement, régulièrement jusqu’au palier exagérant presque son déhanchement comme si elle s’amusait à amplifier mon désir, j’approchais ma main sans la toucher, ma main ouverte qui n’avait plus que 2 marches pour attraper sa fesse charnue
- Pardon Julie ! Lachais-je en posant ma main sur sa fesse droite comme pour remplir ma main de sa chaire
- Ne t’excuses pas mon bébé ! Entendais-je en retour, comme un encouragement à profiter de ce moment et laisser aller mes pulsion
Je posais mon autre main sur sa fesse gauche et remontait mes 2 mains sur ses hanches comme pour l’arrêter avant de poser mon visage sur ses fesses et m’y frotter avec gourmandise et volupté. Elle lâchait un « oh » suivi d’un léger « hum » presque inaudible mais dont je ressentais les vibrations tellement mon visage s’était enfouie entre ses fesses majestueuses
Je m’étouffais dans ses fesses, j’étais dans son obscurité enivrante de sensualité. Julie restait immobile un moment, surprise par cette impulsion avant de l’entendre dire en se dégageant de mon emprise
- Et bien Titouan ! Je ne pensais pas que mon derrière te faisait autant envie, pas à ce point en tout cas ! Elle se retournait vers moi prenant mes poignets pour m’inviter à me relever
Sa robe avait recouvert sa nudité, elle semblait surprise à son tour, je ne savais pas lire dans son regard si mon initiative l’avait troublé ou choqué, malgré tout son intonation restait douce et bienveillante. Elle gardait une de mes mains dans la sienne m’emmenant dans le couloir, elle s’arrêtait devant la 1ere porte sur la gauche. Elle ouvrait la porte, je découvrais sa chambre, je passais la porte en la suivant découvrant un espace chaleureux et cosy, clair, avec un grand lit qui donnait l’impression d’un nid douillet recouvert d’une couette en lin de couleur verte d’eau et des oreillers volumineux qui donnaient envie de s’y plonger. La fenêtre était grande ouverte, elle semblait donner sur le côté du jardin, en rentrant avançant je remarquais une meuble garni produit de maquillage, crèmes et parfum ainsi qu’un grand psyché dans un coin de la pièce un peu plus sombre avec un fauteuil et une armoire d’époque en bois massif ou elle devait ranger ses affaires.
- Voilà mon petit nid mon prince ! Se contentait-elle de dire en refermant la porte derrière moi comme si elle voulait se mettre à l’abri des intrus
Je parcourais sa chambre du regard, presque gêné par ce qui venait de se passer me demandant si je n’avais pas été trop loin
- Elle est très coquette votre chambre Julie ! Disais-je, restant debout, je me sentais intimidé de me retrouver dans l’intimité de la chambre d’une femme de 58 ans
- Oh mon prince ! Tu veux bien aller chercher le champagne au frais et nos flûtes ? Se contentait-elle de dire
Je la sentais gênée, comme si elle essayait de gagner du temps ou alors elle voulait se griser un peu plus. Elle semblait stressée, peut-être choquée ou dépassée par ce que je venais de faire
- Oui bien sur Julie ! Je suis désolé si je vous ai choqué et impulsif je serai raisonnable, vous êtes la reine aujourd’hui c’est votre anniversaire et je ne veux pas gâcher cette journée en étant maladroit !
- C’est pas méchant Titouan ne t’inquiète pas mais je n’ai plus l’habitude et même jamais eu l’habitude qu’on me fasse ça ! Me répondait-elle en s’asseyant sur son lit comme si elle attendait que je revienne le plus possible
- Je reviens Julie, je fais vite !
Je refermais la porte de sa chambre derrière moi et allait chercher champagne et ramasser nos verres en repensant à cet échange. J’étais excité depuis le matin et encore plus de me retrouver chez Julie, dans sa chambre, cet épisode dans l’escalier avec la vision de ses fesses charnues et ondulantes, la sensation de mon visage dans ses fesses, je bandais dans mon jean encore au point d’en avoir presque mal et j’avais hâte de libérer cette excitation qui me tenait depuis le matin presque. Je n’avais jamais autant bandé pendant la même journée mais en remontant je me disais que j’étais un homme comblé et impatient de retrouver Julie.
J’ouvrais la porte de la chambre en disant 
- Me revoilà avec le champagne Julie ! Je marquais un temps d’arrêt en découvrant la pénombre dans la chambre. Les rideaux étaient tirés au 3/4, laissaient passer un puit de lumière jusqu’au pied du lit, je pouvais sentir un filet d’air provenant de la fenêtre restée ouverte. Je pouvais reconnaitre sa robe jetée nonchalamment sur le fauteuil, le soutien-gorge en dentelle qui formait l’ensemble avec sa culotte bleu pétrole qu’elle avait retiré sur la terrasse quelques minutes plus tôt était posé à califourchon sur le bras du fauteuil. Elle était visiblement nue sous sa couette. Julie était dans son lit, son bras replié soutenait sa tête dans sa main, la couette remontée sous l’aisselle de l’autre bras recouvrait sa poitrine dont le volume formait un gonflement d’où émergeait un sillon remontant vers son cou. Elle me regardait, un sourire légèrement crispé, son expression était presque inquiète, je pouvais deviner son émotion dans son regard. Elle ne disait rien, je restais planté à l’entrée de la chambre, la bouteille de champagne dans une main, les flûtes dans l’autre, je la regardais avec émotion et délicatesse comme si la fragilité de l’instant pouvait se rompre. Son visage se décrispait, laissant place à un sourire chaleureux et plein de connivence, sa main agrippa le bord de la couette et l’écarta d’un coup jusqu’à découvrir ses chevilles, son bras venait se replacer le long de son corps, la main posée sur sa hanche comme si elle m’offrait sa nudité à contempler. Mon regard s’arrêta sur sa poitrine qui s’écrasait sur le matelas laissant apparaitre ses mamelons larges d’un rose foncé, la peau blanche et laiteuse captivait mon regard. Ses seins écrasés l’un contre l’autre laissaient un sillon sinueux remonter à la base de son cou, la rondeur de son ventre blanc dessinait une courbe arrondie sur le drap donnant l’impression d’un coussin de chaire moelleuse et douillette. L’orifice sombre de son nombril tranchait avec la blancheur de son ventre en marquant son centre de gravité, en dessous un large bourrelet courbe marquait une ligne uniforme surplombant la pilosité de sa toison formant un triangle noir enfoui entre les plis de so ventre et ses cuisses charnues reposant l’un sur l’autre. Ses jambes hâlées et étendues dessinaient une sinusoïde partant de l’arrondi volumineux de sa hanche jusqu’a sa cheville. Je me délectais de ce tableau restant sans voix, sentant l’effet procuré par le corps mature et nu de Julie. Oh oui ! Mon sexe tentait de se déployer dans mon jean, je sentais mon gland commençant à se décalotter rien qu’avec le frottement de mes vêtements. Julie interrompait cet instant magique, qui je le savais déjà animerait mes pensées et mes fantasmes
- A toi maintenant ! Soufflait-elle tout simplement en me regardant
Je restais un instant immobile, encore ébahi par la vue gracieuse de son corps, allongé sur son lit, ses formes découvertes. Je regardais autour de moi pour libérer mes mains et poser champagne et flûtes sur la commode, remarquant dans le psyché que Julie n’avait pas bougé, elle me regardait dans tout mes gestes. Je me retournais vers elle, presque hésitant je finissais de déboutonner les quelques boutons fermés de ma chemise avant de l’enlever le plus naturellement possible, dévoilant mon torse. Son regard ne me quittait pas, elle souriait en profitant à son tour de cette exhibition complice qui excitait nos sens. D’un geste lent et inconscient sa main venait se nicher dans le creux de ses cuisses et son ventre rond. Je souriais d’un air gêné en la regardant, je n’avais jamais été scruté de la sorte dans ces moments, l’intimité était à son comble quand je libérais mon jean en le faisant glisser sur mes jambes en même temps que mon boxer, laissant mon sexe émergé d’un trait en se tendant droit comme dard, il se dressait fièrement, droit comme un bâton au moment où Julie lâchait un « oh ! » de surprise. Je finissais de retirer mon jean et mon boxer pour libérer mes jambes et chevilles quand elle enchaina en chuchotant 
- Viens ! » Elle tendait ses bras vers moi pour m’inviter à la rejoindre et me serrer contre elle
Je m’approchais, posant un genoux sur le matelas avant de me laisser aller dans ses bras ouverts et me nicher dans ses seins, ses pointes étaient dressées et ses aréoles couvertes de frissons. Elle resserait ses bras sur moi en m’étouffant presque dans sa poitrine généreuse, je pouvais sentir la douceur douillette de ses mamelles qui contrastait avec la fermeté et la sensation fraiche de ses tétons sur mes lèvres. Elle se collait contre moi, ouvrant ses cuisses en passant sa jambe par dessus ma hanche, mon sexe dur comme un bout de bois venait glisser sur l’intérieur de sa cuisse. Je pouvais sentir mon gland recouvert de viscosité glisser sur sa peau, signe de mon excitation depuis ce moment dans le canapé. Je sentais ces baisers qui recouvraient bruyamment ma tête, mes tempes, mon crâne. Ses lèvres aimantes et sensuelles appelaient ma bouche, je levais la tête, tendant le cou pour chercher ses lèvres avant de mêler nos langues et notre salive dans un baiser amoureux des plus sensuels
Mon main droite, prenait son sein écrasé contre le matelas, mon bras replié sous mon torse ne laissait que ma main libre pour venir caresser puis pétrir en douceur ce sein maternel, mes doigts butaient sur son téton érigé, je pouvais sentir la peau frissonnante de son aréole. Je l’entourais de mon bras libre, ma main rencontrait le galbe si féminin de sa hanche et poursuivait ses courbes jusqu’au creux de ses cuisses largement ouvertes pour rencontrer son intimité. Mes doigts pouvaient sentir pour la première ses poils pubiens, la sensation excitante de sa toison recouvrant son mont de vénus charnu, le pressant dans ma main avant de sentir ses lèvres humides aux abords et de plus en plus mouillées au fur et à mesure que mon index venait appuyer et pénétrer sa vulve.
Tout en gardant nos lèvres collées dans ce baiser animal et frénétique, je pouvais entendre ses « humm » profond, comme le ferai un gourmet qui déguste un met en le savourant. Elle gesticulait lentement au rythme de ma main et mon bras tendu vers sa chatte ouverte. Ce baiser amoureux paraissait durer une éternité, tous nos sens étaient en éveil, je sentais toute sa sensualité mature contre mon corps, elle était vivante lâchant ses gémissements de contentement, profitant de mes caresses intimes. Sa main qui accompagnait notre baiser depuis le début, quittait mon visage pour glisser vers mon bas ventre, prenant ma queue tendue dans sa main, elle la galbait d’abord avant de caresser et masser mes testicules allant de mes bourses et mon dard en le frottant et le caressant de sa main, du dos de la main, des doigts jusqu’à son poignet, elle découvrait et prenait mon sexe pour le sentir comme un objet précieux et convoité. 
Excités par nos caresses, mes doigts sentaient sa sécrétion vaginale, sa cyprine au point de laisser aller mon majeur s’enfouir entre ses lèvres charnues en même que ma main paume se plaquait sur sa toison en la massant. Je ne résistais pas à l’envie de découvrir ses lèvres, celles de son intimité. Je me redressais sur les genoux sans rien dire, je reculais jusqu’à ses cuisses qu’elle ouvrait largement comme d’un commun accord, en se mettant sur le dos et m’installait à genoux entre ses cuisses ouvertes. Ce moment de communion m’offrait la vue de son intimité mature, j’approchais ma bouche en restant à genoux entre ses cuisses avant de m’allonger en passant mon bras sous ses fesses. Julie m’accompagnait dans tout mes gestes, elle relevait  légèrement son bassin pour laisser ma main venir soutenir ses fesses pendant que ma bouche, ma langue mon nez venaient désirer ses lèvres. Elle remuait en même temps que ma langue léchait son intimité, venant s’enfoncer par moment avant de la satisfaire selon ses réactions, je m’appliquais comme si je tenais sur mes lèvres un précieux présent à déguster. Durant ces caresses buccales, elle se cambrait par moment, par à-coups, soulevait son bassin laissant ma main, mes doigts être plus intrusifs, ses gémissements se prolongeant en longs « Hummm ! ». Elle s’offrait à mes caresses intimes, sans la moindre résistance, avec docilité pendant quelques minutes. Mon visage tout entier s’imprégnait de son intimité, mon nez venant s’enfoncer entre ses lèvres, mon front s’écrasant sur sa chatte trempée. Ce cunnilyngus l’amènait à l’orgasme qu’elle concluait en comprimant ma tête entre ses cuisses, accompagné d’un cri strident et aigu, ces mains venant s’agripper dans mes cheveux je pouvais sentir son ventre et son vagin bouger en saccades avant de se relâcher d’un coup en sanglotant. Je pouvais voir son ventre bouger au rythme de ses sanglots, j’étais désarmé en la regardant je n’avais encore jamais vu une femme sangloter quand elle avait un orgasme.
 Après quelques secondes elle leva la tête vers moi les yeux embrumés et brillants
- Oh mon prince mais qu’est-ce que tu m’as fait !
Je me contentais de lui demander un peu inquiet 
- Tout va bien Julie ? 
Elle me rassurait, me disant que ça ne lui été pas arrivé depuis si longtemps mais que c’était une émotion de plaisir qui la faisait sangloter et qu’elle avait oublié ses sensations aussi forte. Elle tendait les bras vers moi pour me couvrir de baiser. Je sentais son coeur battre contre mon torse, elle avait besoin de récupérer j’en profitais pour déboucher la bouteille de champagne et revenir à ses côtés, assis sur le lit en lui tendant sa flûte remplie. Elle se redressa, les cheveux défaits, sa poitrine lourde bougeait en mouvement quand elle se redressa pour s’adosser et trinquer en buvant son champagne
- Merci mon prince d’amour ! Je crois que je n’avais pas jouis aussi fort depuis très très longtemps ! Me confiait-elle après avoir bu une bonne gorgée de champagne
Un sourire de fierté illuminait mon visage en l’entendant, je me sentais rassuré et heureux d’avoir pu lui donner autant de plaisir
- C’est moi qui remercie Julie ! Qui te remercie pour tout ce que tu me procures ! Je la tutoyais naturellement, maintenant que j’avais gouté à son intimité, je partageais son lit, c’était étrange de la vouvoyer après autant d’intimité, je pouvais la tutoyer
On échangeait tout en se caressant, tout en profitant de ce moment sensuel, je la regardais allant de son visage à sa nudité offerte devant moi. L’instant était d’une douceur et connivence extrême, je ressentais avec émotion sa féminité, ses gestes, sa voix apaisée et reconnaissante, son attitude enveloppante et maternante par moment, je vivais un instant de bonheur intense. Après l’avoir resservie de champagne elle s’approcha de moi en posant sa flûté et prenant la mienne en disant
- Allonge toi Titouan ! Se reculant pour me laisser la place et s’agenouillant pour installer les oreillers comme pour m’inviter à m’installer sur le dos
Je m’allongeais sans résistance, je la regardais sentant son désir dans ses yeux et sa douceur attendrissante. Elle restait assise les fesses sur ses chevilles, commençant à caresser mon torse, mon ventre sans toucher mon sexe en légère érection qui retombait sur mon bas ventre. Elle se penchait sur moi embrassant mon visage de petits baisers laissant ses seins pendre en effleurant mon épaule. Elle parcourait mon visage, mon cou, mon torse de baisers accompagnés de petits bruits de claquement, tout en me caressant avec ses seins lourds, les faisant glisser sur mon corps. Elle passait ses bras de l’autre côté de mon torse, sur le côté, l’image de la femme à 4 pattes, sa poitrine pendante venait me caresser comme un massage sur tout le corps. Je fermais les yeux, les ouvrais pour profiter de son corps sensuel, elle évoluait lentement en accompagnant ses caresses maméliques de baisers furtifs. Je ressentais une telle sensualité dans ces caresses, un tel désir de me donner du plaisir. Je pouvais voir son fessier onduler au rythme de ses caresses, ma main remontait sur l’arrière de ses cuisses allant jusqu’à dessiner le galbe de ses fesses, suivant la ligne de sa raie des fesses sur toute sa longueur. Ses caresses descendaient petit à petit sur mon bas ventre faisant redresser mon sexe qui butait contre ses seins. Elle ondulait encore plus comme pour commencer à me masturber avec ses seins jusqu’a laisser sa poitrine enfourcher mon sexe en déposant ses lèvres sur ma hampe. Elle ouvrait ses lèvres les faisant coulisser le long de ma queue qui se dressait en durcissant à nouveau comme une hampe. La sensation de ses lèvres, de ses seins me faisait planait au point de ne plus savoir exactement comment ni de quelle manière elle s’occupait de mon sexe, ses seins me donnaient l’impression d’être des mains, je n’avais jamais ressenti de telles caresses. A mon tour je savourais le plaisir qu’elle me donnait en gémissant tout doucement, fermant les yeux ou profitant de sa croupe à demi tournée vers moi. Je bandais comme un taureau en sentant ses lèvres glisser sur mon sexe, mon index glissait sur son petit orifice appuyant par moment au gré de ses mouvements. Mon doigt se faisait de plus en plus insistant au rythme de sa bouche, elle continuait à caresser et masser mon bas ventre avec sa poitrine tout en me suçant langoureusement. Mes doigts caressant sa raie jusqu’à ses lèvres mouillées d’excitation, petit à petit je la sentais venir s’appuyer sur mon doigt qui glissait tout doucement en elle, jusqu’à la pénétrer entièrement par l’anus
J’étais excité comme jamais, sa bouche me suçant, ses seins me massant, son fessier mature qui s’approchait en se tournant vers moi, je n’en pouvais plus de désir, d’excitation, de frissons. Elle me procurait un plaisir inconnu jusqu’alors, mes fantasmes rejaillissaient en sentant sa croupe onduler sur mon doigt. Je rapprochais ma tête de sa cuisse en glissant ma main entre ses cuisses voulant qu’elle m’enfourche, je l’avais imaginé à maintes reprises assises sur mon visage, ce fantasme qui m’était venu le 1er jour en voyant son fessier quand elle allait se baigner. J’étais sur le point de le réaliser, avoir la sensation de son cul mature recouvrir mon visage et lui donner du plaisir en m’enfouissant dedans. J’essayais de me glisser entre ses cuisses, tout en me concentrant pour ne pas éjaculer tellement sa bouche et ses caresses me procuraient du plaisir, je sentais la jouissance monter mais je voulais à mon tour lui donner du plaisir, peut-être lui faire découvrir cette position qu’elle n’avait jamais osé. Je me contractais en mordant ma lèvre inférieure pour me retenir tout en soulevant sa cuisse qui cédait à mon invitation. Je me faufilais dans son intimité, la tête entourée de ses cuisses charnues, elle en profitait pour lâcher mon sexe et faire glisser ses seins en enfilant ma queue tendue dans le sillon de ses seins, le gardant au chaud sans sa poitrine pendant que mes mains se posaient sur ses hanches en exerçant une pression vers le bas pour l’attirer sur ma bouche. Ses cuisses m’empêchaient de l’entendre mais je sentais les vibrations manifestant sa surprise quand j’enfouissais avec gourmandise mon visage tout entier dans sa chatte ouvertes, ma langue allant et venant lentement entre ses lèvres et son anus dans lequel je m’attardais. Je l’attirais sur moi à m’en étouffer je pouvais ressentir son plaisir quand elle abandonnait mon sexe, lui donnant un temps de répit pour redescendre ma jauge proche de l’éjaculation. Je continuais à l’attirer sur moi jusqu’à ce qu’elle se redresse pour finir assise sur mon visage. Mon nez, ma bouche, mon front tout mon visage était recouvert, son bassin commençait à se frotter sur moi, mes mains lâchaient leur emprise pour la laisser se masturber sur mon visage et remontaient sur ses seins en les agrippant fermement. J’étais dans le noir total, cherchant par moment à reprendre une bouffée d’air à chacun de ses mouvements me laissant un filet d’air, elle ouvrait largement ses cuisses comme pour mieux me sentir, elle se frottait en gémissant plaquant ses mains pour presser ses seins à travers les miennes, ses mouvements s’amplifiaient en s’accélérant, je le sentais proche de l’orgasme, ses cuisses se resserraient sur mes tempes, ses doigts se crispaient sur les miens presque à me griffer et dans un nouveau cri aigu elle se leva en se tordant de jouissance. 
Je pouvais voir son entrecuisse couvert de ma salive, de sa cyprine, ses poils collés et sa raie humide de notre excitation, j’en jouissais presque en vivant cette émotion qui faisait cogner mon coeur dans ma poitrine 
Je ne bougeais pas, je caressais ses flancs, ses fesses comme si je la rassurais, comme si je la remerciais de cette émotion, de ce plaisir qu’elle me procurait à se donner aussi intensément, de ce moment que je découvrais en même qu’elle. Après quelques instants, elle leva sa cuisse pour se laisser tomber sur le dos, épuisée par l’orgasme qu’elle venait de vivre. Son souffle était court, elle tournait la tête vers moi en posant sa main sur front 
- Oh mon bébé d’amour ! Mais qu’est-ce que tu m’as fait ? Comme si elle vivait pour la 1ere fois une telle jouissance
- Tu es sublime Julie, tu m’excites tellement si tu savais ! Répondais-je avec sincérité, j’entendais l’émotion dans ma voix
Elle se tournait vers moi, et plongeait son visage sur moi en le serrant entre ses mains pour m’embrasser avec une gourmandise pleine de passion. Mon sexe était encore dressé, lui aussi sous le coup de l’émotion, il s’était retenu lui aussi. Je sentais ce second souffle comme lorsqu’on sent que l’éjaculation va tenir encore quand Julie entourait mon sexe de sa main pour l’activer, pour continuer cette communion de nos corps, de nos plaisirs, de l’amour qu’on se donnait dans son lit. Elle quitta ma bouche en me regardant attendrie et reprenant son air doux et enveloppant pour me susurrer à l’oreille
- J’ai envie de toi mon bébé ! Sans attendre ma réponse elle m’enfourcha, gardant mon sexe dans ma main et s’asseyait cuisses ouvertes sur mon dard, commençant à se frotter dessus jusqu’à ce que mon gland pénètre ses lèvres lubrifiées par le désir. Elle se penchait sur moi en même temps, m’offrant sa poitrine, elle m’enveloppait de son corps, ses cuisses, je m’enfilais en elle pendant qu’elle me couvrait de baisers en me disant
- Laisse toi faire mon bébé, j’ai envie de te sentir en moi ! 
Comment résister à tant de douceur, tant de sensualité, à sa poitrine qui venait narguer ma bouche, et ses mouvements de bassin qui avalaient ma queue dressée en elle. Je posais mes mains sur ses fesses, accompagnant ses mouvements, mes doigts se crispant dans sa chaire. Tout son corps se mettait à bouger, à balloter au rythme de notre accélération, nous faisions l’amour comme un couple légitime, comme 2 amoureux qui partagent leur intimité. Après moins de 5 minutes de cette copulation, ses seins tressautaient, je secouais ses fesses qui claquaient sur mes cuisses, nos gémissements se mélangeaient et la jouissance montait de plus en plus fort ensemble jusqu’à ce que mon éjaculation explose en elle d’un jet continu provocant un râle bruyant de ma part immédiatement suivi d’un nouvel orgasme.
Fin de l'histoire
Une suite peut-être un jour selon l'inspiration ?!!!
3 notes · View notes
mamaasawriter · 7 months
Text
Hier jour de fête je quitte mon lit avec M. je vois E. au travail et le soir le soir je vais voir B. alors quand c'est jour de fête moi j'ai envie de susciter le désir alors je mets une de mes robes préférées dans laquelle franchement je me trouve bonne et devant le miroir je pense que objectivement c'est vrai aussi ces jours-là où on a envie que le regard de M., E. ou B. se pose aussi doucement que le tissu qui glisse sur les cuisses on se sent belle tout le temps même à porter des trucs lourds avec les bras être coincée en haut de l'échelle collée à la charpente ou courir partout dans le magasin honnêtement j'ai mis cette robe juste en pensant à eux en me disant je veux un compliment des yeux et finalement ce qui me fait le plus plaisir souvent c'est Marion ma collègue qui fait sa bouche bée quand elle me voit sortir des vestiaires là je me sens comme une reine et vas-y que je roule ma bosse en robe toute la journée mais surtout que je roule mon boule et vas-y que je remets souvent ma bretelle de robe sur mon épaule nue juste pour dire "eh j'ai des épaules nues" mais
drame
E. ne bosse que 3h aujourd'hui et B. B. est malade j'ai l'impression d'avoir mis cette robe pour rien pour rien les épaules nues, le haut qui accueille mes petits seins et le reste qui accompagne le mouvement de mes jambes on dirait du vent et je la colère monte de continuer à m'oublier dans le processus de continuer à faire ça pour des mecs et pas pas pour moi de me voir belle qu'à travers leurs yeux et pas les miens qu'à travers leurs critères qu'ils ne disent pas que j'imagine plutôt que ceux de Marion ou M. si j'écoutais M. et Marion et Mathou un peu plus, je serai reine tous les jours heureusement avec cette robe il y a le collier que Brunissen a fait et j'ai l'impression d'être encore à Groix avec Mathou ça me porte les souvenirs alors je ne m'avoue pas vaincue cette robe va me servir à kiffer kiffer ma journée être en confiance avec moi-même être avec Mathou en pensée kiffer faire du vélo avec le vent qui remonte le tissu qui glisse sur ma cuisse peut-être au feu rouge verra t-on ma culotte et qu'est-ce que j'en ai rien à foutre c'est bien ça que j'ai envie de dire quand je mets une culotte sans shorty et que j'attends la jambe relevée car la pédale haute au feu rouge quand je repense qu'à l'école primaire une de mes hantises était que les mecs baissent ma jupe et que tout le monde voit ma culotte j'ai bien changé t'inquiète que si tu lèves ma robe pour voir ma culotte je te marave la gueule mais t'as pas idée à quel point je kiffe porter juste une robe et une culotte je crois que le truc c'est que j'avais envie d'être prête d'être apprêtée pour ce moment où E. me fait des blagues et utilise sa voix la plus grave du matin où je meurs un peu quand je le fais rire à gorge déployée prête apprêtée pour ce moment où B. me tiens les mains en pleine nuit me dit "Tu as été forte et courageuse. Bravo" ou quand on danse tous les deux comme des enfants où on oublie le prochain soleil prête et apprêtée pour un câlin d'amour prête et apprêtée quand M. me dit "Ne t'inquiète pas pour ça" sur ma plus grande inquiétude de la vie et que cette fois, je le crois
Est-ce qu'en belle robe on paraît plus forte est-ce qu'on assume plus est-ce qu'on a besoin d'être forte quand les autres ne nous rendent non pas faible mais accueillent notre vulnérabilité et nous accompagnent est-ce que le désir aide à obtenir de l'aide est-ce que si j'avais mis ma tenue de la flemme je connaîtrais tout ça c'est sûr
que oui
2 notes · View notes
lesideesmoites · 2 years
Text
Même vêtue
nue dans les prés nue contre toi nue sous tes doigts nue dans la rue nue sous ton cul nue dans la douche nue dans ta bouche nue dans ton cul nue sous la pluie nue dans un lac nue sans reproches nue déjà vieille nue minuit sonne nue dans tes yeux nue sans personne nue sans bouger nue vers le soir nue le matin nue le lundi nue au bureau nue chez les flics nue à Noël nue en voiture nue chez Truffaut nue au cimetière nue dans tes bras nue sous tes dents nue chez le dentiste nue en manif nue sous tes pieds nue bouche ouverte entre tes cuisses nue sous la neige nue en montagne nue sous la mer nue crue dans ton plat nue à cru sur un cheval nue dans les cuisines nue à l'aéroport nue à l'apéro chez les voisins du deuxième nue à la boulangerie nue dans la station vide nue en Amérique nue sauf mes lunettes nue sous ta fenêtre nue pleine de paillettes nue sur tous les toits nue derrière ma guitare nue à l'harmonica nue au cinéma nues mes fesses nues mes jambes nues mes joues nues mes obligations nus mes devoir nus mes désirs mes désirs mis à nus mes secrets mis à poil et nus mes poils nu le halo lumineux de ma peau la nuit nue dans le ventre de la baleine nue dans le silence nue sur la piste de danse nue sur des patins à roulette nue à la roulette Russe nue sous les étoiles nue sur le parquet ciré nue sous mon ciré nue sous les fauteuils nue dans la salle d'attente nue dans la poussière nue face au miroir nue derrière le comptoir nue accoudée au bar nue contre le bar nue contre la vitre nue contre le mur nue contre le lit nue contre l'armoire nue contre le bureau nue contre la baignoire nue contre la rambarde de l'escalier nue contre la table de la salle à manger nue contre l'évier sale nue contre la porte d'entrée nue contre le portail nue contre un lampadaire nue contre l'arrêt de bus nue contre le bitume nue contre les roues des voitures et je les mords nue contre ton corps nue contre ton corps nu nue toute la journée et toute la nuit nue – toute la vie, même vêtue, nue.
17 notes · View notes
ce-sac-contient · 2 years
Photo
Tumblr media
George Condo - Untitled, 1984
Oil on canvas (50.2 x 40 cm)
Georges Bataille (1897-1962)  
Je mets mon vit contre ta joue
Le bout frôle ton oreille
Lèche mes bourses lentement
Ta langue est douce comme l'eau
Ta langue est crue comme une bouchère
Elle est rouge comme un gigot
Sa pointe est un coucou criant
Mon vit sanglote de salive
Ton derrière est ma déesse
Il s'ouvre comme ta bouche
Je l'adore comme le ciel
Je le vénère comme un feu
Je bois dans ta déchirure
J'étale tes jambes nues
Je les ouvre comme un livre
Où je lis ce qui me tue.
in Poèmes et Nouvelles érotiques (Ed. Mercure de France, 1999)
40 notes · View notes