Tumgik
#je suis au bout du bout j'arrive pas à me forcer à le faire je peux pas
moinsbienquekaworu · 16 days
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I'm going to Give The Fuck Up
#okay i'm writing the rest in french 1) for spyld purposes because it's 1am but still#and 2) so i can pull that post out next time i'm seeing a therapist and maybe they'll take me seriously#donc je suis censée avoir fait un essai et une présentation pour demain (enfin. dans genre 8h)#et j'ai un autre exposé pour vendredi#j'ai rien commencé j'y arrive pas je peux pas#je suis au bout du bout j'arrive pas à me forcer à le faire je peux pas#c'est comme si ça faisait 4 ans que je courrais et qu'on me demandait de faire un sprint final#genre j'ai encore de l'énergie. mais bien sûr. je suis encore debout et c'est un miracle mais oui grave je vais sprinter#je vais aller en cours demain je vais dire au prof que je peux pas et que j'ai pleuré dessus plusieurs fois (ce qui est vrai)#et lui demander ce que je peux faire parce que là c'est pas possible#et on va voir!#je suis au bout de ma vie je n'en peux plus#plus le temps passe plus je me dis que ça vaudrait le coup d'abandonner et de rater mon année juste pour que ça s'arrête#ça fait des ANNÉES qu'à chaque période d'exam j'ai l'impression d'être un tout petit animal#qui s'est replié dans un coin de la pièce parce qu'un prédateur se rapproche#je suis dos au mur y a nulle part où aller et la menace se rapproche encore et encore et je peux rien faire#et je suis hors de moi tellement j'ai peur et je suis stressée#des mois et des mois que j'ai cette image de moi en toute petite souris qui gratte frénétiquement le mur derrière elle#parce que je peux pas aller devant moi. c'est là qu'y a le prédateur et je peux pas! je peux pas!!!#je peux pas fuir par là mais c'est la seule sortie et je vais pas y arriver et il faut que je parte il faut que je m'en sorte#si je reste là je vais mourir mais y a nulle part où aller et je suis pas en état de prendre une seule décision logique#je suis juste en train de paniquer et je peux rien y faire et il faut que je sois ailleurs où que ce soit mais pas ici pas ici pas ici#et toutes les fois où j'ai réussi à me mettre aux devoirs j'ai réussi à esquiver les conséquences mais pour combien de temps?#j'ai une semaine de répit. deux peut-être. et des fois ils faut que je le refasse immédiatement après et j'ai plus ce qu'il faut#si j'arrivais pas à me détacher de ça je serais paralysée toute la journée et je pleurerais au moins deux fois par jour#je mangerais pas je boirais pas je me doucherais certainement pas je parlerais à personne et je ferais absolument rien#rien qui me fait plaisir rien qu'y faut que je fasse rien rien rien. je serais figée tellement je suis stressée#du coup j'ignore et on dirait plus ou moins que ça va de l'extérieur mais je fais des crises de nerfs toutes les semaines#wow i have a ramble tag now
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lmh113 · 3 years
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Je ne sais vraiment pas ce qu'il se passe, j'ai pas le moral, je n'ai pas la motivation. Je sens que je peux passer à côté de mon diplôme alors que les examens ont déjà commencés.
Je me sens un peu trop confiante, je me dis que j'ai passé 2 ans sans forcer donc j'ai pas besoin de me torturer l'esprit pour tomber sur un seul sujet dans une matière, que ça va aller tout est dans le texte. C'est faisable mais est-ce que j'aurais ce que je veux après tout ça ? Est-ce que je vais enfin pouvoir m'en sortir dans ma vie et travailler ? Est-ce que je vais travailler et faire quelque chose que je veux réellement ? Est-ce que je vais me plaire dans ma vie après ces deux années ? Est-ce que me faire passer avant les autres est une bonne chose ?
Si ça se trouve j'en fais un peu trop, je devrais simplement me focus sur ma vie de maman, mais Est-ce que là encore je ne tromperai pas ? Est-ce que m'occuper simplement de mon bébé à plein temps me satisfera ?
J'ai tellement de pression, j'ai plus l'impression de faire les choses pour moi mais plutôt par obligation et quand c'est comme ça, je n'ai pas envie. Je n'ai pas de motivation...
Je suis obligée d'avoir ce diplôme pour par la suite me trouver un travail parce que mon copain est le seul à subvenir à nos besoins. Nous allons devoir retourner chez ma mère parce que d'une part nous manquons d'argent et d'autre part parce que notre appartement qui est censé être neuf, pourri avec la moisissure.
Je ne sais pas vraiment ce qui me stress, ni ce qui me fait peur. Je suis entrain de me replier sur moi et me sous estimer. J'ai tellement de choses qui pèsent sur moi. C'est dommage qu'arriver à la vie d'adulte, je ne puisse pas donner à mon fils tout ce dont il a besoin parce que je suis bloquée financièrement et mentalement.
La pression me fait fuir quand il s'agit de moi, j'ai peur de mon avenir. Je ne sais pas si je suis capable de surmonter tout ça et avoir mon diplôme.
On dit toujours de ne pas se comparer aux autres, mais là j'ai du mal. Quand je vois que la majorité de mes camarades de classe ont un travail, un enfant, une voiture, un appartement et moi je dépends constamment des autres. De ma mère, de mon frère et surtout de mon copain qui endure beaucoup...
En écrivant, je me rends compte que j'ai peur de l'échec, peur de regretter, peur de ne pas être à la hauteur, peur de régresser. Je suis largement capable, beaucoup croient en moi mais pourquoi moi j'arrive pas à croire comme eux ?
Je me dis qu'ils ont raison, que je ne devrais pas me poser de question sauf que ce n'est pas juste un examen, je ne stress pas pour ça. J'ai beaucoup d'appréhension au sujet de l'avenir, au sujet de retourner chez ma mère et devoir vivre et me rappeler de tout ce qu'il se passait chez elle. J'ai peur de redevenir une mauvaise personne et ne rien faire de ma vie.
Je me rappelle de toutes ces orientations que j'ai fais sans poursuite, de mon année au chômage et ça me fait particulièrement peur de retourner à cette phase. Sachant que je ne veut pas être une mère au foyer de mon plein gré. Je veux que mon fils ait tout ce qu'il veut, qu'on puisse vivre convenablement sans problèmes financiers comme à l'heure actuelle.
J'ai peur de décevoir, beaucoup placent de l'espoir en moi et moi je suis là à me questionner au lieu de donner tout ce que je peux pour y arriver.
Je me motive, je souris, je regarde la photo de mon fils et je me dis que c'est pour lui que je le fais mais la contrainte c'est que si je le fais pour quelqu'un d'autre moi j'y arriverai pas. Je ne sais pas faire les choses pour les autres. Il faut que je me dise que c'est une unique occasion, que si je ne réussi pas je vais passer au rattrapage, probablement redoubler et est-ce que j'en ai la foi à 23 ans ? Est-ce que je me sens capable de faire une année de plus et me coltiner des gamins ?
Clairement non, je saturais déjà des cours dès le début quand j'ai repris les études et c'est vraiment pas le moment de se décourager. Il faut que je me dise que c'est un but et que j'ai aucun droit de me relâcher. Si je réussi pas je ne veux pas avoir le regret de me dire que j'aurais pu faire mieux, je veux tout faire et si je ne l'ai pas je sais que j'ai fournis les efforts et je n'aurais pas à m'en vouloir. Si je l'ai je serais fière de moi, d'être maman et avoir obtenu un diplôme. Beaucoup l'ont fait avant moi, et je suis la première de ma famille à avoir ce parcours et je veux montrer à mon fils que quand on veut on peut et je ne veux pas qu'il pense un jour que j'ai tout raté à cause de lui, au contraire il est l'une des raisons pour lesquels je me force à aller jusqu'au bout.
Je peux y arriver et je vais rendre mon père fier de moi. ❤
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janeneyrouss · 4 years
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Le rugbyman
Les quelques rayons de soleil de ce vendredi après midi m'ont encouragé à rentrer du boulot à pied. Il fait même assez chaud pour retirer mon manteau que je fermais jusqu'au cou depuis plusieurs mois...
 Ça me donne même envie de m'arrêter prendre un verre dans ce bar près de chez moi.
 Ouh là, il est blindé ! Match de rugby ce soir ! J'y vais, j'y vais pas ? Une bonne pression me ferait du bien...
 Allez, je me fraye un chemin parmi les habitués du PMU, les cadres sup' décravatés et les fans en maillot les yeux fixés sur l'écran.
 J'arrive à commander mon petit demi, un "Etche quelque chose" marque un point à la télé et je me retrouve par terre, le contenu de mon petit demi sur mon chemisier... Le responsable de ma chute me délivre des dizaines de jambes qui m’entourent en me soulevant d’une facilité déconcertante et commence à se confondre en excuses… 1m82 je dirais, gabarit d’un joueur de défense, un petit côté homme préhistorique mais avec une barbe bien taillée… Il a vraiment l’air confus…
 En moins de deux, avec l’aide de ses collègues, j’hérite d’un maillot de rugby trop grand pour moi et d’une pinte pour se faire pardonner… Je vais mettre deux heures à finir ce verre, enfin cette carafe devrais je dire…
 Assez de temps pour regarder le match avec mes nouveaux amis. A la découverte de ma non-connaissance des règles du rugby, Denis (c’est comme ça qu’il s’appelle…) décide de me les expliquer. Je comprends rien. Il recommence, je comprends toujours rien… Enfin si, j’ai compris la base : quand c’est un gars avec le même maillot que moi qui a le ballon, c’est bien. De plus, les cris et les applaudissements de tout le bar m’informent aussi du bon ou du mauvais déroulement du match.
 Rentrée vite dans le jeu, je suis autant excitée que les autres et au fur et à mesure que notre équipe marque, je deviens de plus en plus proche de Denis. Accolade pour les points marqués, main posée sur ma hanche pendant les moments de tension… Main qui reste posée sur ma hanche même pendant la pause…
 Avec sa grande carrure et sa barbe, il ressemble à un nounours qu’on aimerait câliner mais si on lui cherche des noises, il devient un véritable grizzli. Pendant la mi temps, j’arrive à lui parler un peu de moi et lui, un peu de lui mais ayant été de nature très joviale pendant le match, les gars du bar m’embarquent dans un concours de hurlements de loup !
 Reprise du match, re accolade, re main sur les hanches/un peu sur les fesses et c’est la victoire ! Quatre armoires à glace me soulèvent pour fêter ça ! Denis me récupère en douceur pour me serrer dans ses bras, les pieds à 10 cm du sol. Il me repose tout en douceur et m’embrasse ! Juste un gentil baiser, lèvres contre lèvres… Il recule un peu gêné par cette aplomb mais c’est peut être l’alcool, la victoire de notre équipe ou simplement une véritable attirance pour lui, je l’embrasse à mon tour ! Mais avec plus d’ardeur, avec ma langue, mes bras autour de son cou pour ne pas le laisser s’enfuir. J’entends à peine les sifflets de ses amis et leurs moqueries concernant notre baiser mais je m’en fous !!
 S’en suit la 3e mi temps, avec une dixième reprise de « Allez le Lou » et une pseudo mêlée avec les garçons.
 Mais toutes les bonnes choses ont une fin… Le gérant nous demande gentiment de sortir, les derniers clients me font la bise et espèrent me retrouver au match retour. Le groupe se disperse et je me retrouve seule avec Denis. Je n’ai que 5 minutes à pied à faire mais il insiste pour me raccompagner « Sait on jamais ! » C’est ça, sait on jamais…
 La rue devient alors notre terrain de jeu. Je rallonge le trajet comme je peux pour rester plus longtemps en sa compagnie. Je le ralentis en « essayant » de le plaquer mais toutes ces ruses n’ont fait que repousser l’inévitable : le bas de mon immeuble…
 Il me donne un premier baiser d’au revoir, un second, un troisième… Au bout de deux minutes de bouche à bouche, mon regard persistant suffit à lui demander de monter et son clin d’œil accompagné d’un sourire suivi d’un baiser fut sa réponse…
 Plaquée contre la paroi de l’ascenseur, je suis couverte de baiser : sur la bouche, dans le cou. Mon maillot ne lui permet pas d’atteindre mes seins… Il faudra attendre encore pour lui montrer… Tout lui montrer…
 J’arrive maladroitement à ouvrir ma porte d’une main, l’autre est trop occupée à lui tâter le fessier…
 L’entrée franchie, il redouble d’énergie, me soulève pour me porter sur ses épaules comme un sac à patates et se met en quête de ma chambre. (C’est bien la première fois qu’un de mes amants arrive à me porter. Ce n’est pas comme si je sortais qu’avec des gringalets mais on risque une foulure du poignet à vouloir trop tripoter un de mes seins…).
 Dans 35 m2, la recherche sera de courte durée. Objectif atteint mais un occupant à poil et à longue queue attendait lui aussi un câlin de ma part… Il déguerpit en un éclair à la vision de cet ours portant sa maitresse en butin !
 Il me renverse sur mon lit, enlève son maillot et son pantalon, laissant apparaître un tatouage tribal sur son torse ainsi qu’une bosse à un certain endroit…
 Tellement fascinée par ce spectacle que j’en oublie de me déshabiller… Il rectifie mon erreur rapidement et me débarrasse de tous tissus superflus. A présent entièrement nue, j’ai envie de sa langue dans ma bouche, de ses mains sur ma poitrine, de son corps contre le mien. Je tente de le renverser pour le chevaucher mais je suis prisonnière de ses mains. Son sexe se fait de plus en plus gros contre mon bas ventre. Il tête mes seins, les lèche, les caresse de sa barbe. Il me donne l’impression de ne pas en avoir eu entre les lèvres depuis longtemps… Tellement doux et fort en même temps… J’ai l’impression qu’il pourrait me protéger de tout…
 Sa main se glisse entre mes cuisses pour tâter le terrain et découvre un milieu humide non hostile prêt à accueillir un invité (un invité muni d’une protection quand même…). Je mouille depuis le bas de la rue aussi…
 Ma main libérée en profite pour fouiller dans le tiroir de ma table de nuit pour trouver de quoi « le » protéger. Je n’ai en stock qu’une boite non entamée de Durex Tutti Frutti reçue en cadeau à mon dernier anniversaire. Pas le temps de choisir le parfum !
A présent doté d’une protection, il me pénètre doucement mais continue sa frénésie de baisers sur mon corps. Il me caresse le visage en me regardant dans les yeux… Son regard est si doux, si tendre… et il enfonce sa langue dans ma bouche… Son sexe et sa langue sont au plus profond de moi…
 Moment de tendresse…
 Soudain, il descend son visage sur mon sexe pour le prendre à pleine bouche. Sa langue s’occupe de mon clito, ses doigts de mon vagin… Je gémis à cette double stimulation.. puis triple stimulation… Premier orgasme…
 Il saisi mes jambes et me retourne sur le ventre. Ses mains s’agrippent à mes fesses pour les embrasser, les lécher… Il remonte ma colonne vertébrale de baisers… Ecarte mes cuisses de sa main pour y remettre son sexe dur…
  Il reprend les coups mais cette fois-ci, plus forts, plus profonds, plus animal…
Première fessée suivie d’une caresse… une seconde… Alternance de douleur et de douceur… Cette alliance contradictoire me donne encore plus de plaisir…
 Doucement, son pouce se glisse mon autre orifice… Juste quelques effleurements…
 Puis sa main caresse mes cheveux, les agrippe pour les serrer fort entre ses doigts et redresse ma tête… Juste assez pour me montrer que c’est lui qui mène la danse… Il est en train de me monter sauvagement comme si je lui appartenais et j’adore ça !
 Il gémit… Il va jouir en moi… Il pose ses mains sur mes seins… Il m’embrasse le haut de mon dos et dans un long souffle dans mon cou, il joui…
 Il se retire, s’allonge à côté de moi et m’enlace pour ne pas laisser m’échapper… Nous sommes à bout de souffle, incapables de parler mais ses quelques baisers sur mon front suffisent à me dire qu’il a apprécié…
 Tant d’émotions en quelques heures… Et j’ai envie de recommencer…
 C’est à mon tour de dompter la bête, de montrer que malgré ses 100 kgs de muscles, je peux faire de lui ce que je veux…
 A califourchon sur lui, il se demande à quelle sauce il va être mangé… Il caresse doucement mes cuisses… et me regarde prendre les commandes…
 Je peux enfin utiliser mes mains pour le caresser, palper ses muscles, me frotter à lui… … Abuser de lui quoi… Je passe doucement mes seins près de son visage mais je les retire avant qu’il n’arrive à les toucher de ses lèvres… Son regard est fixé sur mes seins ce qui les fait pointé encore plus. Je sens dans ses yeux qu’il veut les toucher, les sentir, les dévorer. Il devra patienter, je veux le voir me désirer, je veux le rendre fou à ne pas pouvoir les toucher.
 Second passage, mais cette fois ci, je lui laisse le temps qu’il les attrape avec sa bouche pour les téter.
 Plusieurs baisers sur ses lèvres, puis plus bas, encore plus bas…
 Il écarte ses jambes pour me faciliter la tâche. Son sexe recommence à être aussi tendu que tout à l’heure. Il a encore de l’énergie après cette longue soirée. Je commence la dégustation et découvre un goût de fraise, mon parfum préféré ! Le hasard fait bien les choses ! De petits coups de langue sur ses testicules puis je les mets entièrement dans ma bouche pour bien les sucer. Puis c’est au tour de sa verge d’être goûter, d’être lécher de bas en haut par ma langue, d’être entourer de mes lèvres. Je prends mon temps pour qu’il apprécie toutes mes qualités buccales.
 A présent bien dur et droit, il est prêt à être chevauché.
 Bien ancrée sur lui, je commence les ondulations avec douceur en prenant mon temps pour tout ressentir.
 Puis j’accélère le rythme, mes doigts plantés dans sa chair. Plus vite, encore plus vite. Il me chope les hanches pour accompagner le mouvement. La force de ses mains permette une meilleure pénétration, de couvrir tout mon intérieur. Il caresse mes fesses, mes seins… A présent, c’est moi qui monte la « Bête »…
 C’est une position que j’aime mais je ne vais pas tarder à plus avoir de cuisses à forcer de sauter sur lui…
 Je dois avoir réveillée tout mon immeuble à force de crier… mais je ne peux pas m’en empêcher… Son sexe ne fait que frôler mon point G et c’est un mini orgasme à chacun de ses passages… Je vais exploser… Orgasme… Suivi d’un autre… Et il jouie une nouvelle fois…
 Il m’attrape la taille pour m’allonger contre lui car je n’ai plus la force de tenir accroupie…
 Nous mettons au moins 10 minutes à reprendre nos esprits et je veux maintenant dormir près de lui, sentir son odeur pendant mon sommeil...
 Il pose sa tête contre mon sein, sa main sur mon ventre et s’endort en moins de deux…
 Mon chat attiré par le retour au calme monte sur mon lit et se blottit à son tour contre moi.
 Entourée de deux gros minous, je m’endors comblée par cette soirée…
Juillet 2015
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too-ugly-o-care · 7 years
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En toute honnêteté, je ne sais même pas quoi écrire exactement, ou même si je vais faire un petit effort pour l horthographe comme ajouter les apostrophes ou même les accents.
J'ai maintenant 16ans. Je ne sais pas si je suis heureuse, ou stable ou “ok” ou juste pas bien. Je n'en ais pas la moindre idée. Je ne sais pas où je vais, comment faire, m y prendre ou je ne sais quoi pour me sentir épanouie dans la vie de tous les jours. J'espère que ma petite soeur ne connaîtra pas ce que moi j ai pu expérimenter dans ma propre vie. Je ne pense même pas me relire , je sais que mon post est ridicule. Je ne me sens pas raccord, je ne sais pas si on peut considérer que je ne soit qu'une ado perdue de plus. Non c'est plus que ça. Ça peut paraître présomptueux de ma part de considérer sa crise d'ado comme s'étant effectué en 6eme, mais je n'ai franchement pas l'impression que ce que je sens et/ou vis y ressemble. Je tiens la tête hors de l'eau comme je peux, même si je me sens à bout, un peu. Je végète. Ma seule satisfaction dans ma vie se limite à mon apparence, enfin, à ce que j'en fait. Je suis plutôt superficielle comme nana, pas très fréquentable non plus. J'ai vraiment l'air d'une bouffone au lycée, dans ma vie de tous les jours. Je ne sais pas pourquoi mais c'est comme ça, je n'y arrive pas, à être naturelle. Je suis dans une sorte de malaise perpétuel avec mon corps et les éléments qui m'entoure. Limite en psychiatrie, je suis plus moi. Toujours là à me réaranger (or wtv), à me morfondre sur ma stupidité increased by la drogue et les médicaments. J'étais differente avant. Je ne sais pas si j'étais mieux, mais j'ai la nette impression d'avoir perdu quelque chose de précieux en route. Je suis constamment intimidée par les autres, surtout si ils sont plus âgés ou si j'ai la nette sensation que je ne vaux pas la même chose qu'eux. Je suis toujours trop, ou pas assez. J'évites au maximum de croiser le regard des gens dans la rue, je regarde par terre ou un point fixe devant moi, jamais trop longtemps je veux pas qu'on se fasse une mauvaise idée sur moi du style “elle se sent fraîche” (lol) Je suis limite narcissique mais je me hais quand même, je sais pas, c est étrange, style je peux pas me blairer mais je me sens meilleure que les autres. J'ai ce mauvais style de vie auto-destructeur. C'est difficile. C'est lourd. Mais ça va y a eu pire, j'ai fait des progrès. Tout cela reste fragile mais j'ai toujours l'espoir qu'un jour, je me réveillerais dans un endroit qui m'est agréable et que je n'aurais pas envie de me crever. Pouvoir discuter librement sans toujours se sentir jugée de “bizarre” alors que je suis, dans le fond, tout à fait normale quoique légèrement perturbée sur les bords. Trouver cette personne avec laquelle je me sentirais “bien”, pour qui les longs silences ne sont pas gênants et qui sait s'émerveiller autant que moi je savais le faire par le passé des petites choses simples, comme une fleur sur le béton, l'odeur de l'hiver, ou je sais pas moi, un livre touchant, une chanson qui te parle ou même un film marquant. Quelqu'un qui ne te promettra pas de rester à tes côtés tout ta vie, qui sait t'écouter et juste être présent pour toi. Je ne sais même pas ce que je racontes, ça n'a aucun sens tout ça, qui ça pourrais bien intéresser ? Personne. Cela faisait un bout de temps que je ressentais le besoin de m'exprimer par des mots, et non par des coups de crayons. Parce que les nanas démembrées mais toujours souriante malgré tout c'est bien joli mais ce n'est pas assez. Autant s'eccorcher la peau rageusement, puis se soigner et attendre que ça passe. J'ai honte de ma personne, terriblement honte de ma conduite passée et présente. Ce n'étais pas moi tout ça, ce n'étais pas ce que je pensais, ce que j'avais voulu vivre ou faire. Je suis faîte de trous creusés par toutes ces personnes qui m'ont un jour côtoyé et que j'ai cru aimer. Je ne sais pas pourquoi je me force à parler avec des gens dont je ne connais pas la vie et avec lesquelles je ne passerais sûrement pas un après-midi entier de ma vie. Pourquoi m'obstiner à avoir une relation amoureuse si au fons je sais très bien que la personne pour laquelle j'ai vraiment envie de m'investir n'est pas là ? Je devrais me respecter plus, m'écouter plus, moins me bouffer mais je ne sais pas comment faire. Parfois je suis là, je me met à penser un peu et je me dit que j'ai vraiment merder. Il faudrait que j'arrête de me forcer à faire des choses que je n'ai franchement pas envie de faire pour faire plaisir à un tiers. Il faudrait que je me pose un moment, que je réfléchisse un peu, ou juste que je prenne un peu de temps pour moi. Je ne sais pas, un truc, n'importe quoi. J'en ai assez des compensations niveau humeur, de ne jamais pouvoir se sentir heureuse sans s'attendre à tout moment à la rechute. Or wtv. J'aimerais me sentir satisfaite de moi comme j'ai pu l'être à mes 12ans pendant une petite période. J'aimerais savoir ce que ça fait que d'être fier de soi. J'aimerais revoir la fierté de mes parents me concernant. J'aimerais être “reconnue” (j'ai oublié le mot que je voulais utiliser, celui là me parait un peu too much mais bon) pour ce que je fait, pense, ou autre que mes efforts vestimentaires ect que je met en oeuvre pour me plaire. J'aimerais avoir un mode de vie un peu plus sain, ne serait-ce que niveau alimentation, ou même au niveau de l'hygiène. Parce que oui, c'est vraiment pas facile de s'occuper de soi lorsque notre plus grande peur c'est nous même, c'est difficile lorsque se lever du lit a l'air insurmontable, c'est difficile when you can’t help it but te crever à l'air d'être le seul échappatoire de cette vie…comment la qualifier… Le shit et les medicament m'ont vraiment rendue conne c'est fou. De cette vie insatisfaisante. Oui voilà. Je m'attendais à autre chose qu'à ça, je t'assure. Au moins, je me félicite d'avoir l'air un peu moins lamentable qu'à mes 13-14ans. Je faisais peine à voir, vraiment. Mais avec un peu de travail, je me dit qu'un jour j'arriverais à me recontruire un peu, raffistoler un peu tout ça, ne plus avoir envie de mourir. C'est vraiment pas marrant d'être suicidaire à 13ans. Ça change un homme, peut-être pas comme la prison, ou je ne sais pas moi, la misère qu'on n'expérimente pas toujours à 16ans en france, mais je peux t'assurer que tu n'est plus le même, vraiment. Fumer et boire pour anesthésier un tant soit peu la douleur, c'est pas une vie, ce n'est pas sain, ce n'est souhaitable pour personne. J'ai fait tellement de mal autour de moi, je ne sais pas comment ils font pour quand même me considérer, enfin, ceux qui ne sont pas partis. Je ne me souviens plus de ce que ça fait de se sentir normal, ou heureuse, ou juste bien, je ne sais pas moi, ça fait tellement longtemps, et lorsque cela m'est arrivé ces dernières années, je me suis plus fracassé par la suite qu'autre chose, ce n'étais pas naturel. Je ne veux pas donner l'impression que je me plains, je ne me plains pas vraiment, j'ai juste ce besoin d'évacuer un peu ce trop plein. Parce que j'ai beau m'occuper l'esprit du mieux que je peux pour ne pas cogiter, c'est toujours là, ce sentiment de ne pas être ce qu'il faudrais que je sois. Parce que je ne suis pas ce dont j'ai besoin, ou ce dont les autres ont besoin. Parce que je ne suis pas ce que je veux, ou ce que les autres veulent. Parce que je ne suis juste pas assez et je ne serais jamais assez, ou même assez proche du “assez”. Je ne me satisfait pas moi même alors comment satisfaits-je les autres ? Ça va, ça aurais pu être pire, mais j'apprécierais tout de même un peu de répit. La lecture ça aide, mais ça ne résout pas tout. La fume et autres substances ne font qu'étouffer mes sentiments pendant un moment. Ça ne m'aide pas. Je ne sais pas ce qu'il faut pour…pour quoi au juste ? Ouais bon, se sentir moins tourmenté serait déjà un bon point. Je ne prends déjà plus de médicaments, mais je ne vais pas bien vieillir, je doit être déjà un peu abîmée de l'intérieur avec tout ça. Ce serait vraiment plaisant d'entendre un “ça me fasse plaisir que tu fasse ça” ou bien “nous t'aimons quand même malgré ce que tu est devenue” de la part de mes parents. Ce serais plaisant, oui. “Si le bonheur étais contenu dans une fiole, je tuerais pour te la donner.” J'ai quand même bien fait du progrès. Fini les insomnies à chialer en se demandant quand tout ça prendra fin. Fini les journées interminables à attendre le moment où l'ont pourra enfin souffler un peu à coup de lame dans la baignoire. Fini les pulsions suicide. Je ne suis pas encore tout à fait sur pieds, cela risque de prendre du temps, mais je suis patiente, ça oui, j'ai au moins ça pour moi. Peut-être qu'un jour je regarderais en arrière et je serais fière du chemin parcouru. “Je l'ai fait” me dirais-je dans mon lit à 27ans, en admettant que j'arrive à cet âge, après une journée de travail satisfaisante. Je ne sais pas ce que je veux encore écrire. J'ai bon espoir que toute cette merde prendra fin un jour, et que je ne serais plus sur le quai de la gare à me faire violence pour ne pas sauter. Un jour, j'irai mieux.
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