Tumgik
#jouge jersey
nightfurylover31 · 1 year
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THE CALVARY HAS ARRIVED!
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AND HE SAVED THE BROTHERS! 😭
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violetganache42 · 1 year
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Based on Yuamu's response, it looks like this was exactly what she wanted to hear Asaka say. She, too, is determined to defeat the Ryugu brothers and return home to Mutsuba Town.
Quick side note, but Yuhi's expression makes me laugh. XD He looks so unamused. I think I found myself a new reaction image.
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mat2modblog · 2 years
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Space boonies? Jeez, you know NJ is the b*tt monkey state when even Japan is dunking on it.
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clockworklaugh · 3 years
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The King of Marvin Gardens & Atlantic City
Atlantic City, new Jersey. L’autre grande ville du jeu, bien moins iconique que celle du Nevada pour les europĂ©ens. Une ville amĂ©ricaine pour les amĂ©ricains, un rĂ©servoir d’images nationales. Une Las Vegas plus ancienne, moins fausse, bien que frauduleuse elle aussi, et plus mystique peut-ĂȘtre, couleur mĂ©lancolique que lui donne certainement l’Atlantique contre laquelle elle se tient. Une ville en oscillation Ă©galement, marqueur des grandeurs et dĂ©cadences amĂ©ricaines : aprĂšs tout, n’est-ce pas lĂ  le sujet d’un pan entier du cinĂ©ma Hollywoodien ? Au dĂ©but des annĂ©es 1970, Atlantic City est morte, elle est une ruine qui n’abrite plus que l’ombre d’une gloire passĂ©e, et dont on s’apprĂȘte Ă  anĂ©antir les derniers vestiges, comme pour conjurer, et mieux reconstruire. Cette collection de ruines vides, c’est The King of Marvin Gardens qui vient le documenter en 1972, quelques mois avant que les destructions en chaine ne commencent. En 1980, Atlantic City de Louis Malle vient faire le bilan de cette dĂ©cennie, dans une ville en ruine qui sert encore de refuge Ă  ses derniers fantĂŽmes. Deux films aux extrĂ©mitĂ©s de la dĂ©cennie 70, un rĂ©alisateur amĂ©ricain d’un cĂŽtĂ©, français de l’autre, des acteurs et histoires diffĂ©rentes, et pourtant, une ville qui dĂ©vore les deux films, cannibalise le fond et la forme : Atlantic City s’offre un merveilleux dyptique, une oeuvre bicĂ©phale, aux relans ocĂ©aniques et mystiques d’une ville fantĂŽme. 
En premier lieu, les faits. Atlantic City est une citĂ© du plaisir, une station balnĂ©aire redoublĂ©e d’un Ă©den du jeu. Le front de mer, sa large et longue promenade en bois, ses grands hĂŽtels et casinos sont les images de sa grandeur. La ville est irrĂ©mĂ©diablement associĂ©e aux roaring twenties, aux annĂ©es de prohibition et de mainmise mafieuse qui font d’Atlantic City une citĂ© du vice. C’est cette pĂ©riode qu’illustre la sĂ©rie Boardwalk Empire de Martin Scorsese : richesse, grandeur florissante, foisonnement. Puis c’est une longue dĂ©chĂ©ance, l’économie s’effondre, la ville dĂ©pĂ©rit et symbolise les problĂšmes sociaux qui frappent l’AmĂ©rique, dans un destin dont on trouve aujourd’hui la parfaite correspondance avec Detroit. Pour rĂ©soudre cette crise, on efface pour mieux reconstruire, on lĂ©galise le jeu, et Trump s’installe (le Trump Plaza inaugurĂ© en 1984, dĂ©truit en 2021). « Comprenez bien qu’Atlantic City est trĂšs diffĂ©rente de Las Vegas. Elle n’a pas Ă©tĂ© crĂ©Ă©e de toute piĂšces pour devenir une capitale du jeu. Non, on l’a dĂ©figurĂ©e pour ça. La vraie Atlantic City n’existe plus. Je vois les casinos comme un cancer qui a dĂ©truit cette ville. » 
Atlantic City, c’est la ville des dĂ©sespĂ©rĂ©s, des losers. Elle attire les deux frĂšres de The King of Marvin Gardens, deux petits arnaqueurs, dont les ambitions n’ont d’égale que la mĂ©diocritĂ© de leur vie. Ils vivent sous le joug du fantasme, de la possibilitĂ©, ou plutĂŽt de la chimĂšre de la possibilitĂ© de rĂ©ussir. Ils rĂȘvent d’une ile du pacifique, de leur place au soleil, un ailleurs qui se reflĂšte dans les panneaux publicitaires de la ville qui semble encore vendre Ă  ceux prĂȘt Ă  l’acheter les monts et merveilles de l’American Dream. Les quatres fous (les frĂšres accompagnĂ©s d’une mĂšre prostituĂ©e et de sa fille adoptive) embrassent le rĂȘve, et donnent Ă  la jeune enfant ses quelques minutes de gloire dans un ersatz de concours Miss America. La salle est vide, le technicien aux lumiĂšres veut partir, mais l’on continue de croire, on chante, on joue et on fait semblant, comme des enfants. Seulement le jeu dĂ©gĂ©nĂšre, la folie dĂ©borde, l’un des frĂšres est tuĂ©, minable dans sa chambre d’hĂŽtel, le point final d’un destin mĂ©diocre, qui ne se rĂ©alise pas, qui n’aurait pas pu se rĂ©aliser Ă  Atlantic City, prison mĂ©lancolique de personnages qui se dĂ©battent sans direction. 
Atlantic City abrite quelques annĂ©es plus tard un autre rĂȘveur, Lou, Burt Lancaster. C’est un vieil homme que l’on dĂ©couvre dans sa chambre, repassant sa chemise. Quelques secondes avant, les bulldozer qui dĂ©truisent le passĂ© de la ville, ses grands hĂŽtels, ses glorieux symboles. Lou est Ă©videmment Atlantic City : une ruine d’un temps rĂ©volu, l’ombre de lui-mĂȘme, un fantasme ambulant. Lui n’est pas venu s’installer ici, il y a toujours vĂ©cu, fait « partie des murs ». C’est un ancien gangster, familier de Capone, un tough guy qui vit dĂ©sormais une tranquille retraite, continuant d’arborer ses costumes Ă©lĂ©gants dans les rues rongĂ©es par la pauvretĂ©, une silhouette de colombe dans la crasse. Sauf que Lou raconte ses rĂȘves plus que ses souvenirs : il n’a jamais Ă©tĂ© gangster, une petite frappe tout au plus. Son passĂ© est un mensonge, une farce qu’il construit. Comme Atlantic City, Lou est un mystĂšre, une entitĂ© complexe dont on cherche Ă  deviner le passĂ© par bribes, en suivant les traces. C’est lĂ  la clĂ© esthĂ©tique d’Atlantic City : la trace. Dans l’image de la ruine se dĂ©voile la terrible stĂ©rilitĂ© d’un prĂ©sent morne, mais Ă©galement, encore et toujours, la trace du passĂ©, la mĂ©moire d’un lieu qui se dit dans les murs, les salles abandonnĂ©es, les vestiges Ă©loquents d’une vie foisonnante. « It’s a shame you never saw Atlantic City when it had floy boy
 Yes it used to be beautiful. What with the rackets, the whoring, the guns. (
) The Atlantic Ocean was something then. Yeah you should have seen the Atlantic Ocean in those days. » Une nostalgie absurde de par son objet mĂȘme, mais qui exprime le Zeitgeist propre Ă  cette ville Ă©trange, sa propension Ă  provoquer l’imagination, Ă  tirer ceux qui l’approche dans une folie amĂšre qui les dirige invariablement vers les vieilles chimĂšres amĂ©ricaines, au vernis patinĂ© par les dĂ©sillusions qui s’y sont frottĂ©es. 
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nightfurylover31 · 1 year
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NOT OUR JERSEY DEVIL BROTHERS! 😭
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Phaser... you... YOU MONSTER! 😡😡😡
First you lock up innocent aliens, exile our heroes from their homes, turn them into cards, and now this!
I keep using this clip, but it's too accurate!
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violetganache42 · 1 year
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Not gonna lie: Yudias made a valid point. Even though Yuamu doesn't want to be Student Council President, she also doesn't want to lose the Rush Duel either. Seeing everyone who voted for her is a reminder that there are always people who will count on you no matter what and give yoy the strength and encouragement needed to keep pushing forward.
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violetganache42 · 1 year
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Oooh, sounds like even Yudias will be attending the Alien Residential Area's school. This should be interesting. Plus, you can't have a YGO series without a school in some shape or form. lol
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violetganache42 · 1 year
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Even the Jersey brothers—sans Ofuruno—are in on electing Yuamu as Student Council President!
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