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#l’enfance d’ivan
capture-s-ii · 2 years
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Иваново детство / L’Enfance d’Ivan (1962)⎪Андрей Рублёв / Andreï Roublev (1969)⎪Солярис / Solaris (1972)⎪Зеркало / Le Miroir (1975)⎪Сталкер / Stalker (1979)⎪Ностальгия / Nostalghia (1983)⎪Offret / Le Sacrifice (1986)
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cinemaxoxo · 2 years
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L’Enfance d’Ivan, Andreï Tarkovski (1962)
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killer-klowns · 5 years
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L’Enfance d’Ivan / Trois militaires sautent sur place pour vérifier si leurs poches font du bruit.
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lucdesportes · 4 years
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En regardant “L’Enfance d’Ivan” de Tarkovski, hier soir.
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artemametra · 5 years
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L’Enfance d’Ivan de Tarkovski
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gizmo-img · 7 years
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L’enfance d’Ivan (Иваново детство) 1962, Andreï Tarkovski DP Vadim Ioussov
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gastongrix · 5 years
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L'enfant et le mystique
Qu’est-ce qui rapproche la figure de l'enfant, qui pourrait être celle de la pureté, sentinelle qui découvre, de celle du mystère, qui serait, elle, l’empreinte de forces inconnues ? C'est la question que l'on peut se poser à la vision de quatre films aussi précieux que nécessaires : Le Fleuve de Jean Renoir, L’Enfance d’Ivan de Tarkovski, Où est la maison de mon ami? de Kiarostami et Mon Voisin Totoro de Miyazaki. Ces films se proposent à nous et nous font nous demander comment fonctionne, si elle existe, la projection de cette figure de la découverte vers une forme alors plutôt nébuleuse, et à priori non-systémique, qui nous dépasse un peu et qui semble autant englober nos doutes et nos peurs que nourrir notre imaginaire, qu’est le mystère.
Cette projection peut d’abord prendre la forme d’un questionnement - étant lui même la projection d’une pensée vers l’inconnu. Le mystère est ce qui est non-rationnel, une force qui ne s'explique pas, et qui peut être autant une source de peurs que d’imaginations. Le questionnement amenant à une réflexion, celui-ci peut être ainsi nourri d’imaginaire. L'enfant se projète, en effet, souvent vers le monde plein d'interrogations et se questionne sur la manière dont celui-ci fonctionne. Comment ce tout arrive à tourner sans qu'il n'y ait une force pour le diriger - le fameux « je ne peux pas croire qu'une horloge puisse tourner sans horloger ». Dès lors se pose la question d'une croyance ou non, en une force supérieur - on entre cependant là dans le domaine du spirituel. Or, l'enfant entre pourtant dans ce monde qui tourne, affranchit de tous concepts de croyances. C'est donc la pureté de cette figure face à toute forme de dogmes qui rend d'autant plus stimulant et attrayant le fait de se rendre compte du monde tel qu'il respire - comment fonctionne-t-il si ce n'est par sa nature, ses enjeux, sa force aléatoire. 
C'est là qu'entre donc en jeu la figure du mystique, car celle-ci englobe toute une zone d'inconnu que le monde nous donne à voir, par projection, via la nature. Ou du moins c’est ce qu’essaye de nous montrer ces films : la nature serait l’écran parfait des actions de forces mystiques. La nature est le théâtre de l’imaginaire autant qu’elle est la rationalité même. Et c'est via ce terrain de jeu que l'enfant se retrouve donc à batailler avec les affres du monde.
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Le Fleuve de Jean Renoir est en cela intéressant qu'il décrit assez bien cette mouvance : comment le petit théâtre d'une famille dans la campagne indienne, toute emplie de mysticisme, se retrouve boulversé par une tragédie mais arrive à continuer de (re)vivre via de multiples micro-événements : la naissance d’un nouvel être, le battement du coeur des feuilles, l’écoulement de l’eau, la découverte de l’âge, d’une maturité, du mot “recommencer” et de la vie en général. C’est en fait, tout l'image de l’arbre et de sa multiplicité des vies, qui à lui seul peut recréer à l’infini les saisons si on lui en donne cette possibilité. La symbolique du fleuve est ainsi bien évidemment présente dans le film : son eau agrémente les veines des coeurs battants, de la nature humaine à celle environnante, et agrémente le sentiment du temps qui passe. Cette figure de l'eau chère à Renoir, permet d'apporter ce côté vivifiant au terrain de jeu de l'enfance tout comme il peut lui reprendre ses droits. Ces figures mystiques (le fleuve, le retour à la vie) sont des pures forces de la nature.
Dans L'Enfance d'Ivan de Tarkovski, c’est la forêt, symbole de l'éternité de l'âme, qui donne sa puissante force mystique au terrain de jeu de l’enfance. Cependant, le film saura aussi montrer dans son long, que certaines parts du mystique se nichent aussi dans la désillusion. Les affres du monde (la guerre, la vengeance, l’Histoire) sont autant de maux qui rongent les forces mystiques régies par la nature (autant environnante qu’humaine), car ils donnent au mystère de leur invention, une terrible réalité insondable.
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Où est la maison de mon ami?, le chef d'oeuvre de Kiarostami, est plus prudent sur le côté du mystique présent dans la nature qui entoure l’enfant, dans le sens où le film se dirige plus vers un domaine qui aurait trait à la spiritualité. La force mystique serait en fait une certaine figure du réel. En effet, lorsque la quête de l’enfant rentre dans cette nouvelle intimité du réel, cela entraine le réveil de nouveaux motifs qui seraient un au-dela invisible se proposant alors à lui. Vient alors le questionnement sur la nature supposée simple des paysages qu'il traverse et cette découverte de nouveaux territoires : d’où vient le vent s’il ne reveille pas le monde qui dort et souffle à travers les êtres au doux son de son harmonie; quelle est cette petite ville labyrinthique qui m’amène vers des endroits sombres, mystérieux et peuplés d'adultes aussi déboussolés que moi; quel est ce chemin qui relie deux populations perdues entre elles. Ces nouveaux territoires portent en eux leurs propres forces de mystère : que sont-ils, qu'ont-ils à nous montrer, comment se dévoilent-ils à nous. L’enfant dans sa quête, autant spatiale (la traversé de possibilités) que temporelle (la durée en elle même, l’objectif fixé), puise ainsi dans un imaginaire qui se propose à lui et qui est là pour agrémenter sa découverte de nouveaux horizons.
Dans Mon Voisin Totoro, les enfants font aussi face à cette idée que l’inconnu peut créer de la nouveauté. L’inconnu pouvant, en effet, devenir espace de création : un bus chat, un grand ourson difforme et c'est alors que le terrain de jeu devient imaginaire, là où se compilent les références et retours aux forces ancestrales. La volonté de s’entourer de ces forces mystiques se conjugue à une envie d’aller sonder le passé et l’Histoire, quitte à réveiller des souvenirs malvenus.
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L'experience mystique que vivent ces enfants à travers les apprentissages que mettent en lumière ces films est ainsi d'autant plus importante parce qu'elle leur apporte cette clairvoyance fondatrice qui leur donne de la force face au monde - ce qui en soit, est un pouvoir pour le début d'une vie.
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projetvoyous · 6 years
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l’enfance d’ivan 
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lavieimitelecinema · 6 years
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Ivanovo Detstvo (L’enfance d’Ivan)
Andreï Tarkoscky (D), Vladimir Bogomolov (S), 1962
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fifrblog · 7 years
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Au lieu d’une critique, j’ai écrit un poème par film. Sur une trentaine de films visionnés pendant le festival, j’ai choisi trois poèmes…  Santé au festival pour sa générosité et pour son amour du cinéma!
Le miroir
(librement inspiré du film Зеркало d’Andreï Tarkovski)
lavez-moi les mains
j’ai touché des pièces
j’attends votre appel
j’apprends à danser
depuis que je me suis retrouvé mort dans un rêve
l’eau aux genoux
l’armée déplace la ferraille humaine
vers une douche sans présage
immortelle comme la réalité
ils font la grève de la lumière
enterrent les bustes avec les pieds
les enfants s’endorment au vent
les yeux ouverts
la grange prend feu
au bout du terrain
ton ombre s’y loge
entre un cheval et une carabine
dans le coin du miroir
un œil te fixe du ciel
au travers de la fenêtre
un faucon vole ton lait
entre tes grains de beauté
tu nourris la bête qui sommeille en toi
lui enseignes la ferveur et la résilience
avec une hache et un coq
la bête t’observe fumer sur la clôture
enlève ses cheveux
avec le rasoir de ton père
le même que celui du fou
caché derrière le miroir
tu regardes le docteur fuir dans le champs
une grenade d’entrainement dégoupillée dans son sac
l’objet voyage dans le temps avec ses copies
qui pâlissent à chaque dédoublement
priez encore
nos souvenirs ne sont plus sacrés
É.V, 2017
La corde
(librement inspiré du film Rope d’Alfred Hitchcock)
le coffre se referme comme une plaie
souriez vous êtes éclairés
prenez ma main moite
et une coupe de champagne tiède
les invités arrivent à l’heure
le banquet tremble
l’angoisse attend vos lèvres pour bouger
l’image ne coupe jamais
sauf pour trancher le jour
vous changez de couleur
et armez le chien
dès que le coffre s’ouvre
É.V, 2017
L’Enfance d’Ivan
(librement inspiré du film Иваново детство d’Andreï Tarkovski)
une barque brûle
la corde au cou
le pain les œufs le pistolet des croix
une tablée renversée
cache la guerre
une cloche suspendue au-dessus du marais
attend votre exécution
pour sonner la dernière balle
brille le soleil rouge
tâche ses cheveux clairs
de l’autre côté de la rive
vous êtes bienvenus
sur la plage
votre mère vous attend
au fond d’un puit
noyée entre les pommes et les étoiles
Émile Vanier, Québec, CultureLab 2017
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ambipolis · 7 years
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Dimanche 9 juillet 2017
Andreï Tarkovski
La rétrospective Andreï Tarkovski à la Cinémathèque française en liaison avec le Festival de La Rochelle se termine mercredi. Si vous n’avez pu voir ou revoir les 7 longs métrages  de ce grand cinéaste russe qui a du s’exiler pour fuir la dictature soviétique voulant faire table rase du passé, ni assister jeudi dernier à la conférence de Michel Eltchaninoff sur le thème de la Russie et le monde, précipitez vous dans les salles qui ont programmé 5 de ses 7 longs métrages, achetez ses livres et singulièrement «  Le temps scellé » et les dialogues de ses films, ainsi que  les DVD qui sortiront en septembre.
Il y a plusieurs entrées pour sinon analyser, du moins tenter de pénétrer et refléter l’univers de cette œuvre magistrale. Michel Eltchaninoff, agrégé et docteur en philosophie, spécialiste de Dostoïevski et de philosophie russe (1), a choisi le prisme historique, culturel et parfois ethnographique en centrant son propos sur le rapport de Tarkovski à la Russie et au monde, notamment à l’Occident avec ses deux dernier films. Il a démontré que Tarkovski n’était pas nationaliste, même s’il se réfère parfois à des auteurs nationalistes comme Pouchkine et a été marqué, comme ses livres en attestent, par l’œuvre, sinon le personnage de Dostoïevski. On trouve certes dans ses premiers films (L’Enfance d’Ivan, Andreï Roublev et Le Miroir, son film le plus autobiographique sur son enfance et adolescence) des traits identitaires de l’âme russe, de la culture slave et de son passé, ce que les autorités soviétiques ne pouvaient supporter. Il a su avec parfois un ésotérisme qui nous sidère autant qu’il nous séduit travestir le film de guerre devant magnifier l’héroïsme des combattants soviétiques pendant la seconde guerre mondiale (L’Enfance d’Ivan) et exprimer dans Roublev à la fois la beauté des icones, la force et les interrogations de la religion orthodoxe et la permanence d’une culture orgiaque, dionysiaque plus ancienne. Les censeurs soviétiques n’ont sans doute perçu toutes ces nuances et notamment les interrogations de Roublev sur la portée de la beauté sur laquelle on reviendra, mais ont senti le danger d’une réflexion critique et métaphysique incompatible avec le matérialisme historique. Michel  Eltchaninoff passe ensuite à une seconde phase de l’œuvre de Tarkovski avec ses films «hors sol» Solaris et Stalker. Ces deux films ont été parfois considérés comme en rupture avec les films précédents, voire comme des concessions à la modernité des films de science fiction et à l’actualité écologique ave Tchernobyl. Le conférencier nous précise que non seulement ils sont beaucoup plus (réflexions sur la science spatiale, sur la place du scientifique et de l’écrivain dans un monde sans Dieu, sur la mémoire, les souvenirs et les fantasmes notamment), mais qu’ils sont dans le prolongement des films précédents avec les thèmes de l’âme slave tels que la culpabilité (« Chacun de nous est coupable pour tous et pour tout, et moi le premier» - Le Temps scellé) et donc à Dostoïevski. Mais aussi le thème de la régénérescence dans Solaris, de l’indignité et d’une certaine jouissance perverse tirée de sa propre humiliation dans Stalker. Des univers où Dieu est mort. Avec ses deux derniers films Nostalghia et Le Sacrifice, Tarkovski  conserve la nostalgie d’une Russie éternelle, mais plus universaliste, sans être ni fondue dans la culture occidentale, ni soumise à l’orientalisme. Une Russie encore plus métaphysique, plus existentielle. La manière de visiter l’Europe par un exilé russe participe de cette plasticité identitaire avec cette phrase étonnante «J’en ai assez de toutes ces beautés écoeurantes.» Enfin avec le Sacrifice, son dernier film tourné en Suède avec une distribution internationale, Tarkovski en vient à une vision apocalyptique, eschatologique, dans laquelle la foi et le sacrifice sont censées sauver le monde. Délivré de la peur de la mort, le héros anti-héros, acteur et auteur qui n’était pas prédisposé à la foi et au sacrifice, accomplit sa promesse : «Je détruirai ma maison et je me tairai à jamais.» La mort et la Russie, il en est aussi question dans l’émouvant documentaire réalisé avant la mort d’Andreï Tarkovski «Une journée d’Andreï Arsenevitch» que l’on voit au travail sur le tournage de son dernier film, déjà atteint par la maladie, avec quelques images de son retour sur sa terre natale durant la perestroïka. Et comment ne pas oublier l’admirable «Élégie de Moscou» avec la deuxième élégie consacrée à Andreï Tarkovski par un autre grand cinéaste russe Alexandre Soukourov qui, tout en le dépassant, s’inscrit dans l’héritage de celui qui venait de disparaître, mais dont l’œuvre reste prégnante et présente pour tous les cinéphiles. Comme indiqué au début de ce texte, il y a bien d’autres approches de cette œuvre, et notamment l’approche de l’esthétique cinématographique que l’on peut retrouver dans divers articles et ouvrages, mais aussi en voyant et revoyant ses films. Je ne m’aventurerai pas dans ce domaine, n’ayant pas les qualités et compétences requises. Je terminerai par un ressenti personnel concernant dans les films de Tarkovski  dans lesquels je retrouve une dialectique souterraine, enfouie au plus profond de sa personnalité et de son inspiration, entre la beauté et la réflexion. Ce questionnement revient souvent ses livres. Je ne sais évidemment pas si Tarkovski, comme Roublev, doutait du fait que la beauté puisse sauver le monde et en souffrait. Mais il n’est pas anodin que ce grand artiste, qui fut aussi un intellectuel et un érudit, fasse dire dans Stalker à l’écrivain qui doute de tout et singulièrement de lui : «Je ne pense pas, cela ne me réussit pas.»
(1) Ouvrages de Michel Eltchaninoff : Dostoïevski le Roman du corps (Jérôme Millon, 2013),  Les nouveaux dissidents (Stock 2016) et Dans la tête de Vladimir Poutine (Actes Sud, 2016). Il est actuellement rédacteur en chef à Philosophie Magazine.
Jean-Loup ARNAUD
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elenaemeraud · 7 years
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Conférence "Andreï Tarkovski : la Russie et le monde"
Conférence “Andreï Tarkovski : la Russie et le monde”
Andreï Tarkovski : la Russie et le monde Conférence de Michel Eltchaninoff JEUDI 6 JUILLET 2017, 19H00 SALLE GEORGES FRANJU 19h00 → 20h30 (90 min) La conférence sera suivie à 21h30 d’un film choisi par le conférencier : L’Enfance d’Ivan. Dans le cadre de la RÉTROSPECTIVE ANDREÏ TARKOVSKI à La Cinémathèque française
Il y a un paradoxe chez ce cinéaste. D’un côté, malgré la…
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L’Enfance d’Ivan streaming
Date de sortie : 5 juillet 2017 Réalisateur : Andreï Tarkovski Avec : Nikolai Burlyayev, Valentin Zubkov, Dimitri Miljutenko Genre : Drame, Guerre Nationalité : Russe
Ivan se souvient : il a eu une enfance heureuse, mais la guerre détruit son bonheur familial. Son père, sa mère, sa petite soeur sont tués par les Allemands, le laissant orphelin à l’âge de douze ans. Pour se venger, il s’engage dans l’armée et manifeste son intelligence et son courage lors de missions dangereuses.
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artemametra · 5 years
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L’Enfance d’Ivan de Tarkovski
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artemametra · 5 years
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L’Enfance d’Ivan de Tarkovski
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artemametra · 5 years
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L’Enfance d’Ivan de Tarkovski
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