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#la canourgue
beatasticband · 10 months
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LOZERIENNE CYCLO
A La Canourgue, le 5 mai 2024
2eme manche du challenge Cyclo Tour Classified en Lozère ce week-end pour une Lozérienne un peu renouvelée. En effet le parcours propose toujours une boucle jusqu’au col du Trébatut mais par un accès plus direct avant de prendre la direction des gorges du Tarn : la montée du Sabot de Malepeyre reste au menu mais se prolonge sur le causse du Sauveterre, au Crès d’Ardenne, avant une plongée au milieu des gorges à la Malène. Ensuite c’est Ste-Enimie et une remontée sur l’autre versant jusqu’au cols de Coperlac et de Rieisse avant de redescendre à l’autre bout des gorges aux Vignes. Il faudra ensuite remonter à St-Rome-de-Dolan (que l’on descendait les autres années) et poursuivre jusqu’au Massegros pour retrouver le tracé habituel en « tôle ondulée » avant de redescendre sur l’arrivée. Un parcours majestueux, un des plus beaux de la saison avec 140km et 2700m de D+… qui deviendrons finalement 146km, 2800m D+, la 1ere boucle montant au Trébatut s’étant finalement faite comme les précédentes éditions !?
Ce dimanche matin la météo est fraiche mais on est au moins au sec après la petite pluie de la fin de journée du samedi. La route est presque sèche et de larges éclaircies sont annoncées. Sur la ligne je retrouve un peloton de qualité emmené par Adrien Vidal (2eme l’an dernier), Nicolas Chadefaux, Anthony Mendes, Maxence Janodet, Thimothée Delavaud et bien d’autres. Je patiente aux côtés de Paul-Emile Lorthioir et Mathieu Blanchin alors que l’on me confie la balise GPS de la tête de course… me voilà obligé de rester en tête !
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9h pile ça part de façon neutralisée jusqu’à Banassac et il ne fait vraiment pas chaud. Dès le coup de klaxon, on se réchauffe avec des gars d’Issoire qui roulent bon tempo jusqu’au pied de la première montée. J’espère que cette longue montée par paliers jusqu’au col du Trébatut se fasse très fort et je vais être servis : Adrien se porte en tête et c’est quasiment 6w/g pendant 5’ pour commencer ! Le gros du peloton explose rapidement mais on reste un groupe encore conséquent. Après 10km et le rythme qui ralenti je place une bonne attaque afin de voir si on peut éliminer plus de monde mais beaucoup réagissent et tout le monde tente de suivre. La pente reprend pour monter à Trélans ; c’est de nouveau à bloc (près de 500W pendant 1’) et je finis par lâcher quelques mètres pendant que 6-7 gars semblent s’envoler mais encore à 6w/kg pendant quelques minutes je parviens à raccrocher les wagons. La suite est plus vallonnée entre petites descentes et remontées où je suis encore 2 fois en difficulté. A l’approche du Trébatut nous voilà 12 et il semblerait que ce soit le bon coup qu’il ne fallait pas rater. En facteur je prends un peu d’avance au début de la descente avant d’être logiquement repris sur la fin de celle-ci : nous revoilà de passage à la Canourgue pour une boucle qui aura été moins rapide que l’an dernier et j’ai pourtant l’impression d’avoir fait beaucoup plus d’efforts.
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La 2eme difficulté se profile vite avec la montée du Sabot de Malepeyre : je crains le pire mais entre 300-320W on est sur un bon gros tempo qui me convient bien : on continu alors à gauche sur le causse de Sauveterre entre replat et coups de culs avant de plonger sur La Malène. Ça descend correctement dans un 1er temps avant que ça ne s’emballe sur la partie technique et fortement pentue : l’asphalte est parfait mais la route est étroite et les virages sans visibilité : les plus « kamikazes » gagnent quelques secondes et j’ai beau relancer très fort à La Malène, je suis incapable de suivre le gars devant moi. 2 autres me doublent dont Thimothée, à bloc je n’arrive pas à m’accrocher et perd vite 10’’ avant que l’écart se stabilise ; je pense que ça va se relever et profiter des gorges pour s’économiser mais non ! Je vois que ça attaque ; toujours à fond je maintiens l’écart et me rapproche à 6-7’’ où je pense même pouvoir rentrer mais c’est pile au moment où les gars relancent et attaquent de nouveau : au bout d’une dizaine de minutes je sens l’affaire pliée et reprend un rythme plus raisonnable mais quand même appuyé pour conserver l’avance sur le 2eme groupe pas si loin derrière.
A Ste-Enimie c’est parti pour le col de Coperlac : 7.3km à 5.8% qui ne semblent pas si difficile : je mets le curseur à 5w/kg pour espérer limiter la casse (déjà 1’ de perdue) et me prévenir de tout retour de l’arrière mais les 5w tiennent … 5’ ! Je paie le début de course, ma vaine poursuite et l’absence de récupération dans les gorges et la puissance baisse même si j’arrive à relancer convenablement en danseuse. A mi-pente j’aperçois 3-4 coureurs dans des lacets du col sans savoir si ce sont les 1ers et je suis à près de 2’. Je fini autour des 4,6 w/kg et coupe l’effort au sommet pour me ravitailler ce qui profite à Alexandre Raedisch qui me rejoint (lui aussi battu à la Malène, je n’avais même pas vu qu’il n’était pas loin derrière moi). A 2 cela va mieux et on collabore au mieux : de bons relais sur le plat pour Alexandre et plus moi qui fait le tempo dans les montées comme le col de Rieisse que l’on passe à la même vitesse que les 1ers. Autre bonne nouvelle on récupère Quentin Navarro qui a sauté de l’avant et fonçons à trois vers la descente nous ramenant aux Vignes. C’est moi qui conduis notre trio et cela à l’air de convenir ; tant mieux, cette descente étant bien sinueuse et il faut se méfier des concurrents du 100kms qu’il faut dépasser.
Il faut alors remonter sur St-Rome-de-Dolan : 7km à 6,9% (8% pour les 5 premiers kms) : immédiatement on voit Paulin Fagès arrêté sur le côté et Quentin qui saute très vite : de nouveau à 2 pour les 9 et 10eme place voilà qui remet un petit coup de boost mais j’ai bien du mal à ne pas tomber sous les 300W : je fais le train, Alexandre restant dans ma roue et je finis les 2 derniers km tout juste tempo sur un petit 280W misérable ! Le plus dur est tout de même passé et Alexandre roule de nouveau en direction du Massegros où nous récupérons peu après le tracé des années précédentes. En terrain connu, je sais qu’il reste 3 petites côtes répertoriées et au moins autant qui ne le sont pas. Les crampes commencent à se faire sentir du côté de la Tieule et on arrive enfin sur le dernier coup du cul du Valadas où ses 500m à 8% font mal aux pattes : j’essaie d’appuyer plus fort mais mon camarade résiste et bouche un mini écart : il fait la descente et je reste dans sa roue jusqu’à l’arrivée où je dois composer avec les crampes qui ne passent plus cette fois : obligé de sprinter assis je remonte à hauteur de mon adversaire sur la ligne mais m’incline pour quelques centimètres.
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Un Aligot saucisse bien mérité !
Une course difficile : pourtant adepte des départs mené tambour battant, j’ai beaucoup trop souffert sur le Trébatut et le fait de course à la Malène fait que ce top 10 (et 1er de la catégorie) est plutôt bon à prendre. A moins de 10W de mes records de puissance de 3h30 à 4h20 (seulement 3W sur 3h30) j’aurai tout de même pu espérer un peu plus en gardant ma place dans le groupe de tête même si le top 5 semblait bien compliqué.
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Classement
Le site de l’épreuve :  https://cycling-challenge.fr/lozerienne-cyclo/
Ou directement sur ce lien
Strava
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jbrasseul · 2 years
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Dans l'été 2022
Dans l’été 2022
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gacougnol · 1 year
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Gacougnol
Old water mill in La Canourgue
Lozère. France, 2023
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skubri30 · 1 year
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LA CANOURGUE - Lozère
Encore qui s'est rangé des voitures
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galahad37 · 11 months
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La Canourgue
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blogalixe · 1 year
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Inflation et ruralité : l’impitoyable duo
On assiste ce matin au défilé de mines ébahies à la station essence du supermarché de Canourgue, petite ville de Lozére : Zoom sur ses habitants qui souffrent d’un aspect méconnu de la crise.
Dans sa publication sur l’Indice des Prix à la Consommation du 28 février 2023, l’INSEE alerte sur un glissement record de 6,2% qui continue de croître. Comment l’expliquer ? Plusieurs facteurs sont en jeu : Réouverture des secteurs économiques post-pandémie où le consommateur rattrape ses demandes, poussant les entreprises à monter les prix sans peur ; la guerre en Ukraine qui entraîne la hausse des matières premières du grenier de l’UE, doublé du blocus sur le pétrole russe qui fait gonfler les prix.
Pourtant, l’inflation a des issues inégales. “J’ai repris la ferme familiale. Depuis que je n’habite plus en ville, mon budget essence a triplé” éclaire Loïc dans l’une des voitures de la file d’attente. Il y a des foyers plus en difficultés que d’autres, et le lieu de vie est un facteur clé pour saisir les nuances de l’inflation.
Sans surprise, l’enjeu majeur du secteur rural est le transport. Là où le parisien sort de chez lui, prend le métro, le provincial fait des dizaines de kilomètres pour aller au travail, à l’école, aux pôles d’activités ; la faute aux dernières politiques territoriales ayant supprimé les lignes ferroviaires de TER. La hausse du carburant frappe de plein fouet les ruraux, selon l’INSEE ces ménages vivent une inflation moyenne de 5,9% par an, 2 points de plus que les habitants urbains. On comprend pourquoi le mouvement Gilets jaunes s’est cristallisé à la hausse du carburant.
Dans la station essence de la ville de 2000 habitants, à la question “Est-ce que le prix de l’essence affecte vos dépenses?” François répond “Je n’achète plus de desserts, on s’en passe, je dois faire le plein, cette année les activités de mes enfants ont été fixées en fonction du kilométrage, pas le choix”.
Durant l’échange, il évoque un autre problème : l’hiver. Si les ménages en agglomération ont moins de soucis saisonniers grâce aux immeubles chauffés par la densité de vie, les ruraux, dès septembre, s’inquiètent du prix du bois, fioul ou pellet. Ceux qui pensaient être malins en achetant un poêle à granulés le regrettent aujourd’hui : les pellets ont doublé de prix. La maison individuelle, malgré le programme d’aide à l’isolation, pèse lourd dans le budget. Il dit qu’en plus du fait que sa vieille maison est difficile à chauffer et nécessite des rénovations, il a fini par ne chauffer que la cuisine, devenue pièce de vie. Ses parents retraités font pareil, “comme dans le temps”.
Malgré les politiques locales promouvant le covoiturage, les programmes d’aide à d’isolation et l’attractivité territoriale, les inégalités persistent. La qualité de vie est le principal atout de nos zones rurales, si elle est atteinte par l’inflation, la désertification rurale s'accentura.
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Mercredi 4 Janvier
L'ATELIER CANOURGUAIS
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L'ATELIER CANOURGUAIS 17 Rue de la Ville, 48500 La Canourgue
https://www.facebook.com/lateliercanourguais/
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En à peine 10 jours, les policiers salonais ont donc annihilé les agissements d’un réseau particulièrement violent et agressif, qui recrutait notamment ses charbonneurs (dealers) via Snapchat !
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particulesurbaine · 4 years
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Transitoire d'un jour (11/06/2020)
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beatasticband · 10 months
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LOZERIENNE CYCLO
A Banassac, le 30 avril 2023
    Retour avec plaisir en Lozère ce week-end pour la Lozérienne Cyclo, seconde manche des challenges LVO Gravel’TourCannondale et Cyclo’Tour Rotor. Arrivé sur place le samedi la météo est plutôt bonne et permet la traditionnelle balade à la Canourgue, la petite venise Lozérienne. Par contre cela se gâte en fin de journée avec de bonnes pluies laissant craindre le pire pour le lendemain. Cette année le village départ s’installe à Banassac, petit village voisin à 1km du fait d’importants travaux à la Canourgue. Les parcours restent inchangés et le « grand » de l’Aubrac de 150km et 2600m de D+ propose toujours la majestueuse traversée des gorges du Tarn : un des plus beaux cadres de la saison à n’en pas douter !
     Dimanche matin c’est bien couvert, humide et un peu de brouillard mais il ne pleut pas : je prends le pari de partir léger sans vêtement de pluie et j’obtient quelques infos me confortant dans ma décision : il n’y aurait pas de brouillard et des routes propres du côté du col de Trébatut pour les 30-40 premiers kilomètres : plutôt une bonne nouvelle. En avance je roulotte tranquillement en rencontrant Jean-Luc Chavanon puis prend place sur la ligne aux cotés de Paul-Emile Lorthior, Thomas Bécarud, Stéphane Cognet. J’aperçois mon grand favori du jour ; Vince Mattens (2eme la semaine dernière en Bourgogne), Bérenger Brossel (vainqueur l’an dernier), ou Tristan Admiral entre autres.
9h00 le départ est donné, neutralisé jusqu’à la sortie du village et dès le coup de klaxon ça attaque : 3 hommes se détachent avant que Stéphane ne sente le danger et tout se regroupe pour aborder la 1ere difficulté : le col du Trébatut. Ça commence mal pour moi puisque je déraille dès les 1ers pourcentages : pas assez d’élan pour remettre la chaine en roulant et je dois m’arrêter ! Le temps de la remettre je repars quasi dernier avec bien 45’’ de perdues et devant, ce que j’espérais à la base se produit : à savoir une montée sur un gros rythme ! Le peloton a explosé en quelques mètres il y en a de partout : le point positif est que je ne suis pas gêné pour remonter ; le négatif étant que je ne vois déjà plus la tête de course ! A fond après de (trop) longs instants, je pense enfin revoir les premiers mais je m’aperçois tout de suite que Vince et Stéphane ne sont pas là, dans ce groupe d’une quinzaine d’éléments. On me dit que 3 sont devant et tout le monde prend mon sillage avant que je place une bonne attaque en pensant que 2-3 en profiterons pour tenter de revenir à l’avant mais quand je me retourne me voilà seul ! Rapidement j’aperçois le trio mais bien 30-35’’ devant, le gros doute s’installe mais voyant l’écart que je viens de creuser avec les autres je me dis qu’ils ne reviendront jamais donc j’insiste. A St-Pierre-de-Nogaret je vois que je me rapproche et revient même à tout juste 15’’ avant de plafonner jusqu’à Trélans sommet de la partie la plus dure du col où le signaleur m’encourage et me dit que je vais rentrer dans la descente qui suit. C’est presque le cas puisque je me rapproche encore et finit pas faire la jonction où Vince et Steph sont bien là accompagnés d’Adrien Vidal. Il reste 11/12km pour rejoindre le Trébatut avant la descente et je reste dans les roues pour tenter de récupérer un peu, avec l’accord de tous.
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      Soulagé d’être là car je suis à peu près sûr que ce coup-là ira au bout, je sais aussi que je viens de griller plusieurs cartouches et que je ne pourrai faire mieux que 4eme : je vais donc me battre pour ça en espérant accompagner le trio le plus loin possible et avec le plus d’avance possible aussi ! La descente sur La Canourgue est belle et rapide, guidée par Vince tout en se méfiant de la chaussée bien humide par endroit. Peu après on nous annonce 3’ d’avance (presque 4’ en réalité) au moment d’aborder la montée du Sabot. Autour des 5w/kg on participe tous et les relais passent bien ; on ne faiblit pas en haut où sur les faux plats Adrien et Vince passent de gros relais qui commencent à me faire mal. Fin de cette partie avec la descente dans les gorges et grosse frayeur pour Vince au dernier virage avant les Vignes pour un tout droit en ayant heureusement pu s’arrêter dans le bas-côté sans chute ni casse. On poursuit pour 24km pas compliqués jusqu’à Ste-Enimie avec toujours des relais impressionnants et parfois très long de notre ami belge, Adrien fort aussi tandis que Steph me parait bien gérer l’affaire. Quant à moi je fais le job mais laisse de l’énergie, trainant comme un boulet mon début de course ! On demande un écart à la moto nous accompagnant et la réponse très précise nous rassure : ils sont loin… mais loin comment ?
A Ste-Enimie, où nous avons près de 7’ d’avance mais sans le savoir, 3eme grosse difficulté avec la montée de Cabrunas et bien sûr Vince mène le rythme : à 400 W et plus d’entrée, je sais que je ne vais pas tenir longtemps et après un peu moins de 2km je lâche prise … mais pas l’affaire ! Au prix d’un bel effort je reviens avant les lacets avant de céder de nouveau sur une attaque où je réponds pourtant à près de 600W mais ça se calme et je reste encore en vie avant une 3eme accélération. Encouragés pas les autres participants du petit parcours je maintiens l’écart et fini par revenir d’autant que nous sommes à présent sur des % plus roulants. Je reprends alors la direction des opérations en faisant remarquer que ces escarmouches n’étaient pas très utiles puisque j’étais le seul à en souffrir et que je suis hors-jeux pour la victoire finale de toute manière ! De nouveau autour des 5w/kg on poursuit pour finir cette montée et passons de bons relais jusqu’à la baraque de Lutran.
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      A présent sur le Causse de Sauveterre, le plus dur est passé, mais il reste une multitude de bosses plus ou moins longues et je sais que je suis en sursis… sursis qui va tomber sur la première : pas vraiment défaillant avec encore 400 bons watts, ça ne suffit pas pour tenir le rythme endiablé de Vince : on me dit que je ne suis pas loin mais là c’est fini avec 30’’ de perdues en quelques mètres je ne reviendrais pas et c’est 40km en solo dans la pampa qui m’attendent sans rien savoir des écarts avec les poursuivants (9 bonnes minutes en fait… si j’avais su j’aurai été plus serein !). Je m’attache alors à conserver 5w/kg dans les % les plus importants des bosses tout en restant le plus rapide possible sur les parties roulantes. Au bout d’une dizaine de km, à la faveur d’une grande courbe, j’aperçois le trio à 1’ devant moi : je ne perds finalement pas tant que ça ce qui me conforte. Au Massegros, changement de cap pour revenir sur Banassac ; un peu de vent, des participants du petit parcours et toujours des bosses qui n’en finissent plus : bien moins efficace maintenant je passe fébrilement les dernières difficultés avant d’arriver sur la longue ligne droite du km143 : au bout de celle-ci, si je ne vois personne derrière, ce sera gagné… je me retourne et rien en vue ! Gros soulagement ! Il ne reste que la descente finale où je ne me relève pas pour autant, relançant très fort après chaque épingle et enfin la ligne d’arrivée après 4h12 d’efforts (très) intenses.
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      Seulement 2’27 plus tôt (comme quoi, seul j’ai quand même assuré sur ces 40 derniers kms !) c’est Vince qui l’emportait au sprint devant Adrien et Stéphane 3eme. Pour moi une 4eme place (2 de cat.) pas si amer que ça et en ayant conservé les 9’ sur Bérenger qui complète le top 5 : déjà au vu de la start-liste ce n’était pas évident et après mon petit incident j’aurai signé des 2 mains pour un tel résultat ! Après bien sûr qu’il y a un peu de frustration de ne pas avoir pu défendre mes chances mais même en arrivant à 4, il n’aurait pu y avoir match qu’avec Steph, les 2 autres étant intouchable pour moi au sprint ; et encore me serait-il resté quelques forces pour cela ? En tout cas la forme est bonne et le succulent aligot saucisse a été correctement englouti ; c’est aussi pour ça qu’on vient, non ?
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        Classement
Sur le site https://cycling-challenge.fr/lozerienne-cyclo/ ou ici https://lvorganisation.com/lozeriennecyclo2023/#3_24F651
Strava
https://www.strava.com/activities/8983846427
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gacougnol · 1 year
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Gacougnol
La Canourgue. Lozère, France (black & white)
2023
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luciefugae · 4 years
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Autumn in the town center.
Place de la Canourgue, Montpellier, France.
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galahad37 · 11 months
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La Canourgue
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Holiday @ La Canourgue by Christophe Vanfleteren Via Flickr: Seen on the streets of Millau
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