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#la femme publique
mtonino · 6 months
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La femme publique (1984) Andrzej Żuławski
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rwpohl · 2 years
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kaos-teorema · 2 years
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la femme publique (andrzej żuławski, 1984)
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pr0scenio · 1 year
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La femme publique (1984) dir. Andrzej Żuławski
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nineteeneighty4 · 1 year
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(To be continued...)
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minisinmedia · 12 days
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Valérie Kaprisky as Ethel wearing a gray-ish green thigh split mid-thigh skirt from La Femme Publique (1984)
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lecameleontv · 6 months
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Le film La Femme Publique (1984) avec l’acteur Patrick Bauchau.
Distribution : Lambert Wilson, qu'il recroisera dans le film Les Traducteurs (2019) ...
source : imdb
Autre actualité cinéma 1984 : Choose Me
Alias Sydney dans la série Le Caméléon. 
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Films watched in 2023.
Top 10 January.
1. Une femme mariée (Jean-Luc Godard, 1964)     2. Stars at Noon (Claire Denis, 2022) 3. Rosa la rose, fille publique (Paul Vecchiali, 1986) 4. RRR (S.S. Rajamouli, 2022) (gif vía: wrightedgar) 5. Incroyable mais vrai (Quentin Dupieux, 2022) 6. Easy Living (Mitchell Leisen, 1937) 7. Avec amour et acharnement (Claire Denis, 2022) 8. Short Stay (Ted Fendt, 2016) 9. Decision to Leave (Park Chan-wook, 2022) 10. Like Nothing Happened (Ryûsuke Hamaguchi, 2003)
(My list on Letterboxd -click here-)
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epaulesdegeantes · 1 year
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Il y a 78 ans mourrait le Dr Sara Josephine Baker (1873-1945) qui a révolutionné la santé publique. Elle a particulièrement travaillé pour améliorer la santé des enfants dans les quartiers pauvres de New York. Elle a adapté ses actions en comprenant les personnes qu'elle voulait protéger. Par exemple, elle a créé des lieux de distribution de lait sains et peu coûteux, formé et certifié des sages-femmes pour les femmes immigrantes, et formé des grandes sœurs pour prendre soin des plus jeunes. On estime qu'elle aurait sauver 90 000 bébés.
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Pensée du jour d'Alexandre Jardin...
Ma femme-source me déséteint, me remet au niveau de la vie, m'y ramène. Elle me fait re-découvrir la densité poétique de chaque mot. Elle enjoyeuse tout. Son rire si contagieux dissout l'angoisse du siècle, congédie l'aigreur publique négative, convoquée sublime en permanence.
Les "amours" (d'occupation, de diversion, d'occasion, etc.) qui n'ont pas cet effet spirituel, allégeant et incroyablement allègre ne sont-elles pas une contrefaçon de l'amour ?
Plus jamais de copie, je ne veux plus que l'original : elle seule à jamais, sa présence.
Même son absence est une présence.
Peut-être suis-je en train de découvrir l'Amour, ce changement radical ? Cet effritement d'un soi excessif qui devient un NOUS glorieux, chef d'œuvre.
La vie spirituelle d'une femme-miracle est peut-être son secret.
Alexandre Jardin
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jacquesdor-poesie · 6 months
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Un jour il est parti déclarer son amour à Poutine. Un reniement ? À quoi jouait-il  ? Etait-ce une façon d'éprouver jusqu'à la rupture, l'outrance,  notre capacité à le suivre encore, là aussi ? On les imagine bien, lui et son horrible pote russe, déchirés à la Vodka, torse nu par moins 15, en train de chasser l'ours du Kamtchatka à mains nues. La France manquerait-elle à ce point d'ours et de dictateurs décomplexés  ?... Comme si Depardieu se cherchait, peu importe leur pedigree, des camarades de  jeux, des affreux à sa démesure. Des camarades et la richesse d'une autre culture peuplée d'écrivains qui resteront éternellement des volcans : les Dostoïevski, Gogol, Pouchkine... En somme un autre  pays qui lui ressemble, l'âme slave en bonus pour tout théâtraliser, tout rendre incontrôlable...
Aujourd'hui ou demain la France achèvera de le haïr son Depardieu. La France est devenue ce pays où l'on aime, avant tout, détester. Ce Depardieu, il a été pourtant celui de Bertrand Blier, de Pialat, de Truffaut, de Duras, de Barbara... Le Depardieu de "Valley of love"... Jamais un acteur n'avait été aussi grand,  aussi humblement humain que le Depardieu de ce film-là  (je l'affirme en toute subjectivité) ; la dernière scène du film, quand il revient sur le chemin poussiéreux vers Isabelle Huppert, est une scène qui vous dévastera et qui restera gravée en vous pour le restant de vos jours. Comme s'il n'était plus question de cinéma mais de la vie pour de vrai, faite cinéma. Jamais aucun acteur n'était arrivé à ça, plus jamais peut-être aucun acteur n'arrivera à ça.  Lui, il s'en fout, comme s'il méprisait son propre talent,  il dit : "acteur ce n'est rien, c'est faire la pute", il ne le pense sûrement  pas à  ce point mais il le dit. Par opposition il s'entoure, admire et défend le travail d'artistes qu'il estime être, eux, de vrais artistes : peintres, plasticiens...
Depardieu le russe est pourtant français jusqu'à la caricature : grande gueule, vigneron et pochetron, esthète et vulgaire,  paillard et subtil, rablaisien, pétomane et amateur d'art, de provocations, de beaux textes, de désobéissances : homme hors norme, hors cadre, hors limite, hors identité, hors tout ...
Il a été adulé tant sa nature et son talent étaient grands et nous l'avons aimé, moi en tout cas, pour cette nature, pour ce talent ... Aimé, soutenu, encouragé à distance à être ce qu'il était, ce qu'il est !  Oui, c'est une certitude, nous avons nourri le monstre. S'il est coupable de quelque  chose alors nous sommes un paquet de coupables-complices à l'avoir encouragé depuis nos fauteuils de salles obscures, film après film. Nous avons donc notre part, car si le public est une part de la magie, au final, le public est aussi une part du monstre.
Beau il le fut, insolent, imprévisible, inclassable ; oui monstrueux, il le reste... Monstrueux bouffeur de vie, d'espace et d'émotions : de dérapages calamiteux aussi.
Et bien sûr que la parole des femmes est importante, et bien sûr que notre compassion doit aller en tout premier lieu aux victimes. Et bien sûr que nous nous réjouissons que les temps changent, que toutes formes de violences, de harcèlements puissent être combattus...
Ce qui interroge, c'est pourquoi Fourniret ou Lelandais auraient-ils droit à un avocat, à un, plusieurs procès, et pas Depardieu ? Concernant Depardieu, c'est déjà réglé...
Il va devenir, il est devenu en quelques heures, le pire, le gros dégueulasse, le prédateur, l'ignoble porc Depardieu... Il n'aura plus rien de bien, plus rien d'humain. Plus droits de citer, de tourner, ses films déjà sont retirés des catalogues des chaines publiques en France, en Suisse...Plus rien, il ne va plus rien rester ? Mais alors pourquoi, ô public versatile, l'avoir idolâtré, si aujourd’hui, vous, les mêmes, sans sommation et avant tous jugements, vous le jetez aux chiens ? Lui, finalement, il n'a pas changé...
Je ne me sens pas le cœur de l'excuser ni celui de l'enfoncer ou de le détester... Pour la détestation de soi il a sûrement  beaucoup trop d'avance sur ses pires ennemis. Un jour, je l'entendais dire dans un reportage à un journaliste : "vous croyez vraiment que ça m'amuse d'être devenu cette grosse baleine ?". Pas si indifférent que ça, finalement, à ses propres souffrances. Dans une scène du film Mammuth, il est au bord d'un plan d'eau, torse nu, énorme, et il coiffe avec une délicatesse infiniment féminine ses longs cheveux de naïade obèse. C'est un très beau plan, un tableau à la fois classique et dérangeant, une image très humaine et très assumée aussi. Courageux le Depardieu ; là ou d'autres  acteurs se cachent en permanence, Depardieu se balade depuis toujours tripes à l'air, écorché vif,  sans masque et sans fausse pudeur : souvent à la limite et malheureusement, parfois, au-delà de la limite. Ce goût dangereux et prononcé, cette volonté de jouer avec les limites. Je n'ai pas à prendre sa défense, je ne l'excuse de rien par avance mais comment s'autoriser à le juger ou à le condamner ? (bien avant les juges qui eux sont faits pour ça).
Mais que seraient les réseaux sociaux sans cet appétit morbide pour le lynchage en bande organisée ?... Bien souvent, les réseaux ne servent qu'à ça.
Si Depardieu est jugé détestable, je déteste au moins autant tous ces professionnels de la détestation.
À eux seuls, ils sont un autre visage de la guerre...
jacques dor
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rwpohl · 2 years
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https://www.youtube.com/watch?v=5IPYxmGUX0Q&t=267s
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pressefreiheit 
https://youtu.be/DJlORJGlzG0
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L’une des victoires du féminisme bourgeois, c’est que désormais dans les gouvernements, la fonction publique, les entreprises, il y a des femmes aussi connes et même plus que les hommes qu’elles ont remplacés.
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from-derry · 3 months
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Simone Nelson - Pasteur - 53 ans
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Simone est la première fille et troisième enfant d’une adelphie de sept, du couple Nelson. Élève brillante, elle est aussi la première de sa famille à aller à l’université. Après un cursus remarquable à l’université publique de la ville, Simone se fait embaucher au tribunal de la ville voisine. D’abord remplaçante, son poste est rapidement pérennisé. Se profile alors pour elle un futur tout tracé et radieux. Au sein de la paroisse baptiste que sa famille fréquente, elle rencontre celui qui sera d’abord son fiancé, puis son mari et enfin le père de ses trois enfants. Épanouie, elle mène une vie heureuse, stable jusqu’à la succession de drames qui percutent sa vie de plein fouet.
Des pertes brutales, des membres de son adelphie sont enlevés par la drogue, l’addiction, des guerres dont ils n’auraient pas dû faire partie et ont été les victimes collatérales. Cela a empoisonné leur famille et, contre toute attente, les rapproche tous toujours plus les uns des autres. Pour aider un de ses frères, Simone va à l’encontre de ses principes éthiques et professionnelles – elle use de sa position pour dévoiler des pièces du dossier de son procès. En parallèle, et peut-être parce qu’elle se sent à la fois souillée et parce qu’elle a besoin d’un appui moral, elle s’investit d’autant plus dans la paroisse.
Elle accorde beaucoup de temps à la lecture et l’étude des textes saints, si bien qu’il n’aurait surpris personne – et surtout pas elle – qu’une reconversion se fasse. Elle se consacre toujours autant à sa famille, est une sœur, fille, femme aimante et altruiste, qui rend visite à son frère, prend du temps pour aider ses parents, est présente pour ses enfants.
Lorsqu’elle arrive à Derry, elle est réellement seule pour la première fois depuis des années. Devant initialement être accompagnée de sa cadette – celle-ci a finalement dû abandonner le voyage – à un mariage d’une cousine éloignée, elle se perd en rentrant de celui-ci, se trouvant dans un autre Etat.
Elle découvre une communauté étrangement soudée mais morose. Elle apprend par Beck, au hasard d’une conversation, qu’il n’y a plus de représentant religieux depuis des mois à Derry, personne n’a remplacé le pasteur décédé quelques dizaines de semaines auparavant. Il faut à Simone quelques semaines de réflexion supplémentaires avant d’oser se proposer pour le rôle – et s’adapter à sa nouvelle vie. Elle voit cependant la défection de sa fille comme un signe de Dieu – et sa présence à Derry également. Accueillie d’abord avec une sorte de méfiance de la part des habitants, elle parvient à reconstruire une paroisse à l’image de la ville, un espace où tout le monde peut se recueillir, trouver du silence ou une oreille attentive si besoin.
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J'en ai (un peu) plus qu'assez de traîner mon cul à travers les rues des patelins pour photographier ces foutues vieilles enseignes. Elles ont eu leur heure de gloire, comme moi après quelques verres de trop au bistrot du coin. Elles ont survécu à des décennies de crachin, de fientes de pigeons et d'affiches politiques dégueulasses. Avec leurs gueules burinées par le temps, elles sont devenues des œuvres d'art urbain que tout le monde photographie. Je n’irai pas jusqu’à dire que ça devient lassant, mais faire comme tout le monde, ça m’a toujours gonflé. Alors, qu'est-ce qu'il me reste à faire ? Immortaliser les chiottes publiques, ces petits coins lugubres, souvent négligés, ces cloaques où l’on va se soulager en espérant qu’il reste un bout de PQ. C’est peut-être tordu, mais je m’en balance. Je me glisse dans ces coins puants avec mon appareil, comme une aventurière en quête du Graal. Les murs décrépis, les dessins obscènes, les messages cryptiques laissés par des inconnus, tout cela devient mon terrain de jeu. Les toilettes publiques sont le reflet le plus cru de l'âme humaine, un endroit où les masques tombent, où les vérités les plus intimes sont dévoilées. Et dans ce dédale d'urinoirs crasseux, il y a aussi parfois encore, les dames pipi, ces anges gardiens des chiottes publiques, ces saintes femmes qui veillent sur ces lieux maudits. Elles sont là, assises sur leur tabouret, avec leur petite boîte à pièces et leur sourire fatigué. Elles ont tout vu, tout entendu, tout nettoyé. Elles ont du courage à revendre, ces braves femmes. Elles sont la touche d’humanité dans ce monde de merde. Elles sont belles ces dames pipi, elles sont belles comme une fleur qui pousse sur un tas d’ordures. Et moi j’ai envie de capter ces instants de vérité, ces fragments d’âme qui s’échappent entre deux chasses d’eau. Les enseignes peuvent bien attendre un peu, car dans les toilettes publiques, c'est là que se trouve la véritable humanité.
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aisakalegacy · 1 month
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⚠️ CW : Sexisme internalisé ⚠️
Hiver 1919, Hylewood, Canada (6/21)
Il faut maintenant que je vous parle du grand évènement de la Noël dernière qui a bouleversé notre vie ces derniers mois, à moi et aux enfants. On me dit tantôt de ne rien en dire, que ces choses là sont privées, mais le déshonneur n’est pas mien, ce n’est pas moi qui ai péché et qui ai des comptes à rendre au Seigneur. Devant Dieu, mon âme chrétienne est pure et je n’ai jamais fait qu’on puisse me reprocher. Je ne prétends pas être parfaite, simplement, je sais reconnaître quand on me fait du tort, et quand on fait du tort à autrui. Le Révérend Bernard me dit que mon devoir d’épouse est de protéger la réputation de mon mari, mais que ces choses peuvent se dire en famille. L’apôtre Paul dit : « Que le mari rende à sa femme la bienveillance qui lui est due ; et que la femme de même la rende à son mari ». Bien que mon mari a failli à ses devoirs d’époux, jamais je ne m’abaisserai à nuire à sa réputation publique. Mais vous, par le mariage, vous faites partie de ma famille, je peux donc bien vous l’écrire.
[Transcription] Eugénie Le Bris : Vous venez pour la charité ? Le colis est en cuisine, je vais vous le chercher tantôt. Mais je ne savais pas qu’il y aurait un enfant, je n’ai rien prévu pour elle… Layan Bahar : Merci Madame, tu es gentille, mais ce n’est pas pour ça. Layan Bahar : Je cherche la maison de Jules Le Bris.
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