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#le pavillon des hommes
adelakilina-capture · 7 months
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LE PAVILLON DES HOMMES
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francebonapartiste · 7 months
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26 février 1815 : Napoléon s'évade de l'Ile d'Elbe
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Après son abdication du 6 avril 1814, Napoléon Bonaparte reçoit la souveraineté sur l’île d’Elbe et conserve quelques centaines de soldats, pensionné par le gouvernement des Bourbons restaurés. Pendant ce temps, en France, le régime de la Restauration dirigé par Louis XVIII est fragilisé malgré ses efforts pour apaiser les tensions. Napoléon, profitant de cette instabilité, prépare secrètement son retour, planifiant minutieusement son évasion de l’île d’Elbe pour rétablir son pouvoir en France.
Le 26 février 1815, après avoir minutieusement préparé son évasion pendant plusieurs jours, Napoléon quitte l’île d’Elbe à bord de l’Inconstant, un navire préparé en secret pour ce voyage.
Cette nuit-là, le commissaire anglais Neil Campbell, chargé de surveiller Napoléon, s’était absenté pour se rendre à Livourne, laissant ainsi l’opportunité à Napoléon de finaliser ses préparatifs sans être perturbé.
Napoléon termine les derniers préparatifs avec ses généraux et officiers.
Le matin du départ, Napoléon assiste à la messe, passe en revue ses troupes et embrasse sa mère avant de rejoindre le port. Il salue la foule venue lui rendre hommage et monte à bord de l’Inconstant, accompagné de ses proches et de ses fidèles grenadiers. Portant son habit vert caractéristique, Napoléon quitte Elbe avec détermination, laissant derrière lui des proclamations dénonçant le règne des Bourbons et appelant les Français à le rejoindre.
La traversée, bien que ponctuée de moments de tension, se déroule sans encombre. Les précautions prises pour éviter la détection, comme le retrait des insignes distinctifs des grenadiers et l’utilisation d’un pavillon neutre, contribuent au succès de l’évasion. Arrivant près de la côte française, Napoléon remplace sa cocarde elboise par le tricolore français, symbolisant son retour imminent.
Le 1er mars, la flottille atteint le golfe Juan, où Napoléon débarque avec environ 1200 hommes. Malgré les effectifs limités, sa confiance en son charisme et son autorité reste inébranlable. Ainsi, débute un événement unique dans l’histoire : le ralliement d’un pays par un seul homme, marquant le début des Cent-Jours et le retour de Napoléon au pouvoir en France.
***
After his abdication on April 6, 1814, Napoleon Bonaparte received sovereignty over the island of Elba and retained a few hundred soldiers, retired by the government of the restored Bourbons. Meanwhile, in France, the Restoration regime led by Louis XVIII was weakened despite his efforts to ease tensions. Napoleon, taking advantage of this instability, secretly prepared his return, carefully planning his escape from the island of Elba to restore his power in France. On February 26, 1815, after meticulously preparing his escape for several days, Napoleon left the island of Elba aboard the Inconstant, a ship prepared in secret for this voyage. That night, the English commissioner Neil Campbell, in charge of monitoring Napoleon, was absent to go to Livorno, thus giving Napoleon the opportunity to finalize his preparations without being disturbed. Napoleon completed the final preparations with his generals and officers. The morning of the departure, Napoleon attended mass, reviewed his troops and kissed his mother before reaching the port. He greets the crowd who came to pay tribute to him and goes aboard the Inconstant, accompanied by his relatives and his faithful grenadiers. Wearing his characteristic green habit, Napoleon left Elba with determination, leaving behind proclamations denouncing the reign of the Bourbons and calling on the French to join him. The crossing, although punctuated by moments of tension, goes smoothly. Precautions taken to avoid detection, such as removing the distinctive insignia of grenadiers and using a neutral flag, contribute to the success of the escape. Arriving near the French coast, Napoleon replaced his Elbese cockade with the French tricolor, symbolizing his imminent return.
On March 1, the flotilla reached the Gulf of Juan, where Napoleon landed with about 1200 men. Despite the limited numbers, his confidence in his charisma and authority remains unwavering. Thus begins a unique event in history: the rallying of a country by one man, marking the beginning of the Hundred Days and the return of Napoleon to power in France.
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perdrelacellule · 10 months
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J'ai regardé le Pavillon des Hommes et j'ai pleuré si fort comme une enfant à chaque épisode, vraiment un plaisir de sentir son cœur se déchirer lol comme quand je regardais Yanxi Palace, c'était si triste et beau je vendrais un rein pour avoir leurs tenues.
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akaiuchiha · 11 months
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A One Piece fanfiction about Zeff and Sanji mostly
Okay hear me out. I had an idea of fanfiction and I wrote the beginning. I wrote it in french and translated it in english so I hope it's good enough.
Please give me your feedback if you think this may be a good idea (I'll post it regardless because I really like to write and think it is an interesting idea but I still like to have your opinion on if I should change things and all)
I'll share both versions so that everyone can read it !
French version:
Pendant qu'à l'autre bout du monde, un jeune adulte de 21 ans se retrouvait face à ses pires cauchemars, à East Blue un vieil homme lisait le journal tout en prenant une décision radicale.
Sa vie de pirate était peut-être terminée, mais il pouvait toujours naviguer sous un autre pavillon.
Ainsi, il prépara son navire tout en avertissant les clients bien en avance. Son restaurant accueillait souvent des habitués, ils connaissaient tous le jeune homme aux cheveux blonds et aux yeux azur qui y avait grandis. Alors voir la réaction du patron et entendre sa décision n'était pas une surprise.
Cependant le voyage allait être long, puisque la navigation par log pose prennait du temps.
Ainsi, quelques jours plus tard et un équipage préparé, Zeff aux pieds rouge mit le cap vers Grand Line.
Personne ne s'en prendrait à son fils tant qu'il vivrait.
Pas même son père biologique.
Ainsi débute la seconde aventure de Zeff aux pieds rouge, à la recherche son fils.
English version:
While at the end of the world a young man of 21 was going through his worst nightmares, an old man in East Blue was reading the newspaper while taking a life-changing decision.
His pirate life was maybe over but he could still navigate under another flag
So he prepared his boat and warned the customers early. His restaurant often received the same people so they all knew the young man with blond hair and sky blue eyes who had grew up here. Seeing the chef's reaction and hearing his decision was not a surprise.
However, this journey was going to be long because of the log pose navigation restriction
Just like this, some days later and with his crew completely prepared, Red Leg Zeff set sail for the Grand Line.
No one will harm his son as long as he'll live.
Not even his biological father.
This is how Red Leg Zeff's second adventure began, in search of his son.
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I literaly have so many homeworks to do and here I am writing a fanfiction as if I have done everything I need to do in order to succeed.
Well, I exagerate, but I have a book to read and to write the report of said book before decembre 19 (I think) and the researchs for my thesis to do so writing fanfictions is clearly not the priority....
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charles-blr · 1 year
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António Sena da Silva (1926—2001) Portugal.
Architect, Escola Superior de Belas-Artes de Lisboa, plasticien, photographe, designer, chroniqueur, pédagogue, homme d'affaires. Il y a ses travaux sur l'emballage, les logos, les marques, les modèles, les illustrations pour livres et magazines, la photographie, les décors et costumes pour le théâtre et le cinéma, la poésie, la carrosserie, les peintures murales, les pavillons d'expositions et de foires, le mobilier, les travaux architecturaux, l'administration des affaires, articles et essais pour magazines et journaux. Dans tous les domaines, il a été reconnu et récompensé.
Voici le côté photographique de António Sena. Santos.
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aurevoirmonty · 8 months
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« Plus que de la laideur, à mon avis, le XXe siècle fut le siècle de la camelote. Et rien n’en témoigne mieux que tous ces pavillons qui éclosent le long de toutes les routes et à l’entrée de toutes les villes, petites ou grandes. Ce ne sont pas des maisons, ce sont des idées de maisons. Elles témoignent pour une civilisation qui ne croit plus à elle-même et qui sait qu’elle va mourir, puisqu’elles sont bâties pour ne pas durer, pour dépérir, au mieux pour être remplacées, comme les hommes et les femmes qui les habitent. Elles n’ont rien de ce que Bachelard pouvait célébrer dans sa poétique de la maison. Elles n’ont pas plus de fondement que de fondation. Rien dans la matière qui les constitue n’est tiré de la terre qui les porte, elles ne sont extraites de rien, elles sont comme posées là, tombées d’un ciel vide, sans accord avec le paysage, sans résonance avec ses tonalités, sans vibration sympathique dans l’air. »
Renaud Camus
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raisongardee · 1 year
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“Quand des hommes combattent sur un plan supérieur, spirituel, ils intègrent la mort dans leur stratégie. Ils acquièrent quelque chose d’invulnérable ; la pensée que l’adversaire veut leur destruction physique n’est, par conséquent, plus très effrayante pour eux. Il est, par contre, d’une extrême importance que l’événement ait lieu hors de toute équivoque, au sein de circonstances possédant une clarté de symbole, où ces hommes se dressent en témoins d’une juste cause. Aussi donnent-ils, parfois, l’impression qu’ils reculent devant la mort, alors que, ce faisant, ils sont pareils au capitaine qui tarde à donner le signal de l’attaque, attendant l’instant favorable. Il est des nuances dans la victoire. L’ennemi pressent cela, à sa manière obtuse : d’où son atroce fureur, dès que l’esprit vrai se dresse contre lui. De là vient, également, qu’il cherche à l’abattre dans des combats d’avant-postes, à le soudoyer, à le faire dévier de sa route. On en arrive, dans ces engagements, à des instants où s’efface tout ce que cet antagonisme a de fortuit, d’historique, et où surgit l’enjeu éternel de la vie. Les rôles, alors, s’inversent d’étrange façon ; il semble que la peur passe dans le camp de l’agresseur ; on dirait qu’il veut, par toutes les séductions possibles, amener sa victime à s’écarter de la mort qu’il est contraint, lui, de lui préparer. Une sorte d’horrible triomphe se mêle alors au carnage. Il y a des moments dans l’histoire où des hommes saisissent la mort comme un bâton de commandement. Dans le procès des Templiers, par exemple, où le Grand Maître de l’Ordre montre soudainement le vrai rapport entre lui et les juges – ainsi un navire laisse tomber son camouflage et s’offre, avec ses pavillons et ses canons, au regard stupéfait. Le soir même, il fut brûlé vif, mais on posta des gardes, dès cette nuit, à l’endroit du bûcher pour empêcher le peuple d’y venir chercher des reliques. La poussière elle-même fait peur aux tyrans ; elle aussi doit disparaître.”
Ernst Jünger, Premier journal parisien. Journal II, 1941-1943, trad. Henri Plard, 2 novembre 1941.
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pedanther · 2 years
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The older translator takes the pruning shears to the poetical descriptive passages again:
«Mais où diable trouvez-vous de pareils chevaux? demanda Albert. Vous les faites donc faire exprès? —Justement, dit le comte. Il y a six ans, je trouvai en Hongrie un fameux étalon renommé pour sa vitesse; je l’achetai je ne sais plus combien: ce fut Bertuccio qui paya. Dans la même année, il eut trente-deux enfants. C’est toute cette progéniture du même père que nous allons passer en revue; ils sont tous pareils, noirs, sans une seule tache, excepté une étoile au front, car à ce privilégié du haras on a choisi des juments, comme aux pachas on choisit des favorites.
“but where the devil do you get such horses? Are they made to order?” “Precisely,” said the count; “six years since I bought a horse in Hungary remarkable for its swiftness. The thirty–two that we shall use to–night are its progeny; they are all entirely black, with the exception of a star upon the forehead.”
“Where in the world did you find such horses?” Albert asked. “Did you have them bred specially?” “Just so,” the count replied. “Six years ago, I came across a stallion in Hungary, famous for its speed. I bought it, I don’t know how much it cost; Bertuccio paid for it. In that same year, it had thirty-two offspring. We shall be able to inspect that entire generation of children from the one father. Each one is alike, black, without a single blemish except a star on the forehead: this privileged member of the stud had his mares chosen for him, like the favourites of a pasha.”
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Dans une anse d’une certaine grandeur se balançait une petite corvette à la carène étroite, à la mâture élancée, et portant à la corne un pavillon aux armes de Monte-Cristo, armes représentant une montagne d’or posant sur une mer d’azur, avec une croix de gueules au chef, ce qui pouvait aussi bien être une allusion à son nom rappelant le Calvaire, que la passion de Notre-Seigneur a fait une montagne plus précieuse que l’or, et la croix infâme que son sang divin a faite sainte, qu’à quelque souvenir personnel de souffrance et de régénération enseveli dans la nuit du passé mystérieux de cet homme.
In a creek lay a little sloop, with a narrow keel and high masts, bearing on its flag the Monte Cristo arms which were a mountain on a sea azure, with a cross gules on the shield.
A little corvette was bobbing in a fairly large cove; it had a narrow hull and tall mast with a flag flying from the lateen yard and bearing Monte Cristo’s coat of arms: a mountain on a field azure with a cross gules at the chief, which could also have been an allusion to his name (evoking Calvary, which Our Saviour’s passion has made a mountain more precious than gold, and the infamous cross which his divine blood made holy) as much as to any personal memory of suffering and regeneration buried in the mysterious night of the man’s past.
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... une pièce plus haute, et placée au rez-de-chaussée, était consacrée à toutes les ingénieuses machines que les Anglais, grands pêcheurs, parce qu’ils sont patients et oisifs, n’ont pas encore pu faire adopter aux routiniers pêcheurs de France.
... a lofty room on the ground–floor containing all the ingenious instruments the English—eminent in piscatory pursuits, since they are patient and sluggish—have invented for fishing.
A more lofty room on the ground floor was given over to all those ingenious devices that the English – who are great fishermen, because they have both patience and leisure – have so far not managed to persuade the more workaday fishermen of France to adopt.
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«Vous trouverez peut-être mon départ étrange, insensé, dit le jeune homme. Vous ne comprenez pas comment quelques lignes écrites sur un journal peuvent mettre un homme au désespoir; eh bien, ajouta-t-il en lui jetant le journal, lisez ceci, mais quand je serai parti seulement, afin que vous ne voyiez pas ma rougeur.»
“You may think my departure strange and foolish,” said the young man; “you do not know how a paragraph in a newspaper may exasperate one. Read that,” said he, “when I am gone, that you may not be witness of my anger.”
“You may find my departure odd, even senseless,” he said. “You may not realize how a few lines in a newspaper can drive a man to despair. Well,” the young man added, throwing the paper to the count, “read this, but only after I have left, so that you do not see my shame.”
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sarahaubel · 1 year
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Voyage Metz-Moûtier. Florilège.
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Je sais pas si ça sent le club sandwich jambon-emmental ou le pet. / Symphonie de papier alu. Vibrato mezzo de sac plastique. Prélude de sachet congel en La Mineur. Il est midi dans le TER. / Affamée, un homme m’a nourri de chips au fromage et d’un quart de clémentine. Il m’a dit « si j’avais su j’aurais partagé mon sandwich avec vous ». Ça m’a émue. / Derrière chaque baie vitrée de pavillon il y a une femme débordée qui plie son linge. / DÉBORDÉE. Comme un lit foutraque aux draps froissés dans une chambre pas aérée. / Et donc faire son lit tout en étant débordée soi-même est-ce que ça créée pas un big bang quelque part dans le cosmos ? / J’ai un certain talent pour le manque d’ambition et bac+35 en yaourt franglais. / Vu à la gare deux victimes innocentes aux manteaux mouchetés de fientes. Les oiseaux en Savoie ils sont pas venus pour enfiler des perles. / À la sortie du quai y avait un homme avec une pancarte à la main qui attendait quelqu’un. J’ai lu Partouze. Je me suis dit, tiens original, c’est par où ? J’ai relu. C’était écrit Partouche.
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tolivealone · 1 year
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[IL SEMBLE QU’UN NAVIRE…]
Il semble qu’un navire autre que tous les autres devra, l’heure venue, se montrer sur la mer. Il n’est pas en acier. Ses pavillons ne sont pas orangés : nul ne sait d’où il vient ni à quelle heure on le verra : mais tout est prêt et il n’est de plus beau salon dressé pour ce fugace événement. L’écume est déployée comme un luxueux tapis tout d’étoiles tissé, et plus loin c’est le bleu, le vert, le mouvement ultra-marin, l’attente générale. Et les rochers, ouverts, lavés, nets, éternels, ont été disposés sur le sable comme un cordon de châteaux, un cordon de tours. Tout est prêt, on a invité le silence, et les hommes eux-mêmes, toujours distraits, espèrent bien ne point perdre cette présence : ils se sont habillés comme pour un dimanche, ils ont fait briller leurs souliers, ils ont passé le peigne en leurs cheveux. Ils ont vieilli, ils ont vieilli, et le bateau n’arrive toujours pas.
(Pablo Neruda)
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rorie-lit · 1 year
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Bookothon 2023 24/40, Le pavillon des hommes, T 1, Fumi Yoshinaga 📚
Une ère Edo alternative, où une épidémie aurait tué 70% de la population masculine et où les femmes règnent sur le Japon.
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adelakilina-capture · 7 months
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LE PAVILLON DES HOMMES
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christophe76460 · 19 days
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Jérémie, 49:29 - On prendra leurs tentes et leurs troupeaux, On enlèvera leurs pavillons, tous leurs bagages et leurs chameaux, Et l`on jettera de toutes parts contre eux des cris d`épouvante.
Jérémie, 49:30 - Fuyez, fuyez de toutes vos forces, cherchez à l`écart une demeure, Habitants de Hatsor! dit l`Éternel; Car Nebucadnetsar, roi de Babylone, a pris une résolution contre vous, Il a conçu un projet contre vous.
Jérémie, 49:31 - Levez-vous, montez contre une nation tranquille, En sécurité dans sa demeure, dit l`Éternel; Elle n`a ni portes, ni barres, Elle habite solitaire.
Jérémie, 49:32 - Leurs chameaux seront au pillage, Et la multitude de leurs troupeaux sera une proie; Je les disperserai à tous les vents, ceux qui se rasent les coins de la barbe, Et je ferai venir leur ruine de tous les côtés, dit l`Éternel.
Jérémie, 49:33 - Hatsor sera le repaire des chacals, un désert pour toujours; Personne n`y habitera, aucun homme n`y séjournera.
Jérémie, 49:34 - La parole de l`Éternel qui fut adressée à Jérémie, le prophète, sur Élam, au commencement du règne de Sédécias, roi de Juda, en ces mots:
Jérémie, 49:35 - Ainsi parle l`Éternel des armées: Voici, je vais briser l`arc d`Élam, Sa principale force.
Jérémie, 49:36 - Je ferai venir sur Élam quatre vents des quatre extrémités du ciel, Je les disperserai par tous ces vents, Et il n`y aura pas une nation Où n`arrivent des fugitifs d`Élam.
Jérémie, 49:37 - Je ferai trembler les habitants d`Élam devant leurs ennemis Et devant ceux qui en veulent à leur vie, J`amènerai sur eux des malheurs, Mon ardente colère, dit l`Éternel, Et je les poursuivrai par l`épée, Jusqu`à ce que je les aie anéantis.
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descubredonostia · 28 days
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Drapeau de La Concha - régates 2024: tout ce que vous devez savoir
Histoire du drapeau de la Concha
Drapeau de La Concha, également connu sous le nom d'estropadak, est l'une des compétitions d'aviron les plus importantes et les plus anciennes du Pays Basque. Ces régates, qui ont lieu chaque année dans la Bahía de la Concha à Saint-Sébastien, trouvent leur origine dans le monde de la pêche en haute mer, où les chalutiers étaient utilisés pour capturer des espèces comme les sardines et les anchois. Ces bateaux nécessitaient des équipages solides et résistants, capables de ramer de longues heures pour atteindre les lieux de pêche, et de revenir rapidement au port avec les prises pour participer aux enchères. La première édition officielle du drapeau de la Concha a eu lieu en 1879, lorsque ce concours a été inclus dans le programme des célébrations estivales de Saint-Sébastien. A cette occasion, les chalutiers de pêche qui s'affrontaient traditionnellement dans des défis pour de l'argent, ont commencé à concourir pour le drapeau prisé, qui marquait le commencer d'une tradition qui perdure encore aujourd'hui. En plus de cent ans, le drapeau de la Concha a évolué, mais il a toujours conservé son essence et son lien avec la mer et la pêche. Les chalutiers qui participent à cette compétition présentent des caractéristiques techniques bien particulières. Ce sont des bateaux élancés d'environ 12 mètres de long, qui disposent d'un équipage de 12 à 13 rameurs, ainsi que d'un skipper chargé de diriger le parcours. Bien qu'au fil du temps, les moteurs aient remplacé la puissance des rameurs dans les bateaux de pêche, les chalutiers ont conservé leur conception traditionnelle pour les compétitions, gardant ainsi vivante l'essence de cette ancienne pratique de pêche. La baie de La Concha constitue le cadre idéal pour cette compétition, avec sa forme semi-circulaire et ses eaux relativement calmes, qui offrent un terrain de régate idéal. La compétition se déroule sur deux jours, les deux premiers dimanches de septembre, et rassemble des milliers de spectateurs qui se rassemblent dans des lieux emblématiques comme Urgull, Igeldo, le Nouvelle marche et le Pier pour suivre la course de près. L'une des étapes importantes de l'histoire du drapeau de la Concha a été l'incorporation de la catégorie féminine en 2008. Depuis lors, les femmes ont participé activement à la compétition et sont devenues un élément fondamental de l'événement. Cette inclusion répond à la demande croissante d’égalité dans le sport et reflète l’engagement de l’organisation envers la parité hommes-femmes. Le système de compétition du pavillon Concha est basé sur une première phase de régates de qualification, qui ont lieu dans les jours précédant la compétition principale. Lors de ces qualifications, les chalutiers s'affrontent contre la montre pour obtenir l'une des sept places qui leur permettront de disputer la finale. Le dernier jour, tant chez les hommes que chez les femmes, deux manches seront réalisées avec les meilleurs chalutiers, et l'équipage qui obtiendra le meilleur calcul de temps au cours des deux jours sera le vainqueur du drapeau de La Concha.
Les régates Concha Flag 2024
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L'édition 2024 du drapeau de La Concha promet d'être un événement passionnant, avec une large participation d'entraîneurs, tant chez les hommes que chez les femmes. Cette année, la compétition aura lieu les 1er et 8 septembre, comme de tradition, dans la baie de La Concha, où se retrouveront les meilleures équipes d'aviron de la côte cantabrique. Dates clés et de qualification Les régates de qualification, qui déterminent quels clubs rejoindront la compétition principale, auront lieu les 28 et 29 août. Le 28 août, ce sera au tour des 23 chalutiers hommes, qui s'affronteront dans un contre-la-montre sur 3 milles nautiques. Le 29 août, ce sera au tour des 20 chalutières femelles, qui parcourront une distance de 1,5 mille nautique. Les deux tests seront effectués à intervalles d'une minute entre chaque bateau, et seuls les sept meilleurs chalutiers dans chaque modalité accéderont à la phase finale. La compétition finale Les 1er et 8 septembre seront les principaux jours du drapeau de la Concha. Au cours de ces deux jours, les chalutiers et les femelles s'affronteront dans la baie de La Concha pour tenter de conquérir le drapeau de la Concha. Le format de la compétition maintient sa tradition : chaque équipage s'affrontera en deux manches et le vainqueur sera celui qui aura le meilleur temps cumulé sur les deux jours. L'événement n'est pas seulement un spectacle sportif de haut niveau, mais il est également devenu un événement incontournable pour les amateurs d'aviron et de culture basque. Des milliers de personnes se rassemblent autour de la baie pour suivre la compétition en direct, tandis que de nombreuses autres en profitent à travers les retransmissions télévisées. Participation et prix en 2024 Lors de l'édition 2024, un total de 43 chalutiers participeront aux régates de qualification, 23 dans la catégorie hommes et 20 dans la catégorie femmes. L'équipe locale, Kaiarriba Donostiarra, est l'une des grandes favorites et devrait se battre pour maintenir le haut niveau qu'elle a affiché lors des éditions précédentes. Équipes participantes dans la catégorie masculine - Ares - Arkote - Astillero - Bermeo - Cabo-Rianxeira-Boiro - Chapela-Wofco - Club de Mar de Castropol - Club do Mar Bueu-Simei - Deusto-Bilbao - Getaria - Kaiku Berez Galanta - Lapurdi-Antton Bilbao - Lekittarra-Elecnor-BM - Ondarroa Kide - Orio Orialki - Orsa Hondarribia - San Juan-CMO Valves - San Pedro-Harri - Sotera Santurtzi - Tirán-Pereira - Zarautz-Gesalaga-Okelan - Zierbena Bahías de Bizkaia - Zumaia Delteco Équipes participantes dans la catégorie féminine - Astillero Eneryt Services - Cabo-Rianxeira-Boiro - Cesantes Rodavigo - A.Megroove-Cefycal - Chapela-Wofco - Club de Mar de Castropol - Deusto-Tecuni-Bilbao - Donostia Arraun Lagunak - Hernani Mitxelena Mekanizatuak - Hibaika Jamones Ancín - Hondarribia Bertako Igogailuak - Kaiku Nortegas - Ondarroa Cikautxo - Orio Orialki - Rianxo - Salgado Perillo - San Juan-CMO Valves - Tirán-Pereira - Tolosaldea - Zarautz-Gesalaga-Okelan - Zumaia Delteco Concernant les prix, l'organisation maintient son engagement en faveur de l'égalité, en accordant les mêmes montants financiers tant dans les catégories masculines que féminines. Le total des prix s'élève à 85 500 €, dont 25 000 € et le drapeau seront remis aux équipages vainqueurs. De plus, chaque rameur et maillot des équipes gagnantes recevront une réplique miniature du drapeau en souvenir de leur participation. Pour la neuvième fois consécutive, l'association patronale guipuzcoenne ADEGI décernera le prix spécial au chalutier guipuzcoen ayant réalisé le meilleur temps cumulé sur les deux jours. Cette récompense comprend un trophée en forme de chalutier et une récompense financière supplémentaire de 5 500 €.
Détails spécifiques du drapeau Concha 2024
Sponsors et Trophées L'édition 2024 du drapeau Concha est sponsorisée par diverses entités qui renforcent l'importance de cet événement. Euskadiko Kirol Portuak, par exemple, sponsorise les catégories masculine et féminine et sera chargé de remettre aux équipages vainqueurs les trophées ainsi que le drapeau de la Concha. De plus, l'association ADEGI, qui soutient le concours depuis neuf ans, remettra le prix spécial au meilleur entraîneur de Gipuzkoa, tant chez les hommes que chez les femmes. Ce prix est composé de 5 500 € et d'un trophée reproduisant un chalutier. Ces types d'incitations renforcent l'engagement envers la qualité et la compétitivité de la régate. Billets et accès L’événement du drapeau de la Concha attire toujours une foule nombreuse de fans, et 2024 ne fera pas exception. Pour ceux qui souhaitent assister à l’événement en direct, les billets peuvent être achetés de plusieurs manières. Les tarifs pour l'accès général sont de 4,5 €, tandis que les billets à tarif réduit, destinés aux chômeurs, aux retraités et aux moins de 30 ans, sont disponibles à 2,20 €. Les garçons et les filles jusqu'à 12 ans peuvent entrer gratuitement. Il existe également une option pour les billets en tribune, au prix de 9 €. Les enfants de moins de 5 ans peuvent entrer gratuitement s’ils n’occupent pas de place assise. Les billets peuvent être achetés à l'avance à partir du 22 août sur le site Internet de Donostia Kultura, ou le jour des régates aux guichets situés aux différents points d'accès à partir de 9h30 du matin. Les jours des régates de qualification, les 28 et 29 août, il suffira d'acheter des billets pour la tribune, et ceux-ci seront disponibles au Théâtre Victoria Eugenia et à la billetterie située à côté de la tribune. Pertinence culturelle et attentes du public Le drapeau de la Concha n'est pas seulement une compétition sportive, mais aussi un événement profondément enraciné dans la culture basque et saint-sébastienne. Chaque année, la ville de Saint-Sébastien se consacre à la célébration de cet événement, qui constitue l'un des moments les plus importants du calendrier sportif basque. Des milliers de personnes se rassemblent autour de Bahía de la Concha, créant une atmosphère unique mêlant sport, tradition et identité culturelle. De plus, la retransmission en direct à la télévision et sur les plateformes numériques permet à l'émotion des régates d'atteindre de nombreux foyers, non seulement au Pays Basque, mais dans toute l'Espagne. La présence du sport féminin, qui a gagné en popularité depuis son incorporation en 2008, reflète l'engagement en faveur de l'égalité dans le sport. Lors des dernières éditions, les équipes féminines ont démontré leur niveau compétitif et l'inclusion de cette catégorie a apporté une nouvelle dimension au drapeau Concha. Billets et plus d'informations Read the full article
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yespat49 · 1 month
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Seine et Marne : un migrant algérien, arrivé en France en 2023, déjà passé à 13 reprises par la case tribunal, objet de plusieurs OQTF, est interpellé après plusieurs cambriolages alors même qu’il est recherché pour viol
Seine-et-Marne : pris la main dans le sac, le cambrioleur était recherché pour viol  Un homme a été condamné par le tribunal correctionnel de Melun, à la suite d’un cambriolage. A la sortie d’un pavillon, il aurait menacé des policiers avec un couteau. Continue reading Seine et Marne : un migrant algérien, arrivé en France en 2023, déjà passé à 13 reprises par la case tribunal, objet de…
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Donc ce soir-là, la pluie tombait. Je pensai qu’il ne fallait rien exagérer, que l’âge des cheveux blancs n’était pas éloigné et que j’avais la tête assez solide pour ne pas lâcher les rênes. Je répondis donc aimablement, quoique sans réel empressement. On calcula nos ressources et finalement, nous improvisâmes un repas suffisant. Le commandant était joyeux comme un enfant et offrait de mettre la main à la pâte, ce qui ne faisait guère mon affaire. Je sentais quelque chose se raidir en moi et songeai à ma belle et fraîche jeunesse et à Louis Bailly, le grand sous-lieutenant, naïf et blond : - « Oh ! Mademoiselle, que vous êtes ombrageuse. – Que dites-vous ? Vous n’êtes peut-être guère aimable. – Oh ! Mademoiselle, reprenait-il d’un ton humble et piteux, ne savez-vous pas que les plus beaux chevaux de race sont les plus ombrageux. » -
Et une âpre tristesse, profonde, profonde, m’étreignait l’âme. c’est un autre ami, très sûr celui-là, et d’ailleurs libre de lui comme je l’étais de moi, qui seul jusque là, s’était assis à ma table, à cette même place et qui, sans doute, dans ce même mois s’y serait assis encore, si dans un glorieux et bref combat, il n’était pas, « avec tous ses bons matelots, descendu sous la paix des flots. »
Qui ne comprendra pas l’amère rosée qui, du cœur, s’efforçait de monter aux yeux, n’a jamais su ce qu’est la véritable et profonde amitié faite d’estime, de conformité de sentiments, d’admiration, de tout ce qu’il y a de bon et de beau en ce monde.
Le commandant reprit les cartes après le repas. Etait-ce le souvenir de deuil évoqué ? Quelque chose de grave planait sur nous ; les heures passaient, le commandant s’attardait et je ne pouvais admettre facilement qu’on le vit si tard sortir de chez moi. Peut-être étais-je trop sévère ?
Et pourtant, ne nous faisons pas meilleure que nous ne sommes ; si je n’avais pas été triste amèrement en pensant à l’Etendard, l’idée d’un danger quelconque, illusoire ou lointain, aurait amusé en moi le goût du risque.
C’est peut-être pourquoi je me raidissais encore tout en dedans et souhaitais que le commandant s’arrachât aux douceurs des cartes ou de notre société.
Je revoyais une nuit noire, un commandant debout sur sa passerelle, tous ses hommes, tous ses enfants, autour de lui, comme dans sa main, exaltés par lui, au dessus de toutes défaillances, l’ordre donné de lancer la fusée d’alarme, de s’offrir comme but unique dans ces ténèbres si denses, un fracas effroyable, un ouragan indescriptible, la mer qui se fend, un remous violent, des courants de foudre, des montagnes mouvantes, glacées, le ciel qui s’ouvre là-haut…
Au lever du jour, sur la mer déserte, un pavillon français tout déchiré qui flotte au haut d’un mat qui émerge de l’eau verte.
Je revoyais des calmes dimanches à la Villa Lointaine, le feu qui se consumait doucement, des fleurs sur les meubles, de la verdure reflétée par les glaces, des enfants qui jouaient tout auprès au jeu de la guerre, et les longues causeries, graves, sérieuses, morales, critiques, où les âmes se révélaient aux âmes.
Dans le bassin de commerce, à dix minutes de là, le long du quai Alexandre III, un contre-torpilleur se reposait un jour en attendant de reprendre sa course…
Et nous jouions aux cartes, car il faut continuer à vivre sagement et dignement, à vivre pour achever sa tache.
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