Tumgik
#le rakugo à la vie à la mort
afkmanga · 3 years
Photo
Tumblr media
『 Nouveautés Manga 』 ๑ Spy x Family T.05 ๑ Yotsuba T.15 ๑ My Home Hero T.12 ๑ Les Héros De La Galaxie T.12 ๑ Ippo Saison 6 T.09 ๑ Pokemon - Le Secret De La Jungle ๑ Nobles Paysans T.06 ๑ Nos Temps Contraires T.05 ๑ Switch Me On T.05 ๑ Je Crois Que Mon Fils est Gay T.02 ๑ Mauvaise Herbe T.04 ๑ Le Rakugo - À La Vie, À La Mort 《 Le Rakugo - À La Vie, À La Mort 》 Dans le Japon des années 1960, Kyoji est libéré de prison pour bonne conduite. Sans famille ni attache, il est déterminé à devenir le disciple de Yakumo, un grand maître du théâtre Rakugo, depuis qu’il a assisté à son impressionnante prestation au bagne. Étrangement le maître choisit de prendre le jeune homme sous son aile, alors qu’il n’avait jusque-là accepté aucun apprenti, et lui donne même un nom de scène : “Yotaro”. Une nouvelle vie s’ouvre dès lors pour Yotaro qui tentera de faire perdurer cet art l’ayant tant aidé durant ses heures les plus sombres, avec le soutien du domestique Matsuda et de la jeune Konatsu, fille d’un célèbre Rakugo-ka, décédé de façon tragique, qui fut autrefois l’ami et le rival de Yakumo... Disponible dans votre Librairie ⛩ @afkmanga ⛩ @kurokawa @akatamanga @lezardnoir #afkmanga #manga #anime #librairie #librairiemanga #mangastagram #mangaaddict #mangabook #mangalover #instamanga #instalibrary #japan #shonen #shojo #seinen #josei #WeLoveManga #spyxfamily #spyfamily #spy_family #spy #yotsuba #ippo #pokemon #mauvaiseherbe #rakugo (à AFK Manga) https://www.instagram.com/p/CSwTSwxjq7r/?utm_medium=tumblr
0 notes
lamangasserie · 2 years
Text
Des tomes 1 comme s'il en pleuvait !
Comme l’évoque le titre de cet article, je ne sais pas ce qui s’est passé ce mois-ci mais j’ai lu beaucoup de tomes 1. Habituellement, je suis quelqu’un qui préfère finir un manga avant d’en commencer un autre. J’avais quelques tomes 1 qui m’attendaient déjà dans ma pile à lire mais je me suis en plus rajouté des titres empruntés en bibliothèque. C’est parti pour les décortiquer !
On commence avec un titre emprunté en bibliothèque, Simple comme l’amour de Fusako Kuramochi, publié aux éditions Akata en 2010 à l’époque de Delcourt. Publication stoppée.
Tumblr media
Résumé de l'éditeur:
Soyo Migita habite un petit village dont l’école ne compte pas plus de six élèves. Sa vie paisible va pourtant être complètement chamboulée par l’arrivée de Hiromi Ôsawa, originaire de Tokyo. D’abord excitée à l’idée de faire sa connaissance, la jeune fille ira de surprise en surprise en découvrant qu’Ôsawa est, en fait, un garçon prétentieux et hautain. Pourtant, elle ne peut s’empêcher d’être fascinée par son assurance…
Avec Simple comme l’amour, Fusako Kuramochi porte un regard tendre et bienveillant sur l’enfance et la jeunesse. Loin de l’agitation des grandes villes, découvrez les tribulations amoureuses de Soyo et ses amis en vous laissant séduire par la beauté sereine du dessin de son auteure.
J’avais déjà commencé un fil sur Twitter avec mes premières impressions. J’ai commencé à m’intéresser à ce titre il y a quelque temps, j’en ai lu du bien et Fusako Kuramochi est une autrice reconnue au Japon (elle fête ses 50 ans de carrière cette année !). Puis j’aime beaucoup les couvertures françaises. Tout de suite le coup de cœur est visuel. Le trait de l’autrice est très fin, sec et a quelque chose de nerveux, ce qui donne au dessin des airs aériens mais rustique. Le manga bénéficie aussi d’un découpage singulier qui a fait parcourir à mon regard un chemin jamais parcouru avant sur les pages d’un manga. L’autrice a une façon bien à elle de découper l’action et les émotions de ses personnages. J’ai aussi beaucoup aimé le personnage de Soyo. Sur la couverture du tome 1, je trouvais qu’elle faisait très sage. En réalité, elle manque plutôt de tact, est assez fière et chauvine. Mais elle est aussi très gentille et généreuse. Sa relation avec Sachi, la plus petite de l’école est touchante, elle s’occupe d’elle jusque dans les moments ingrats. J’aime beaucoup aussi le fait que ça se déroule à la campagne. Comme je disais dans mon fil Twitter, pas mal de shojo qui se passent à la campagne sont bien. Je trouve qu’ils ont une saveur unique. Puis c’est tout un petit monde à part, avec ses habitants qui se connaissent tous entre eux, les fêtes et les croyances locales. En résumé, il émane de Simple comme l’amour un charme très particulier sur lequel j’ai encore du mal à mettre des mots. Il me tarde de lire la suite !
On continue avec un autre titre emprunté en bibliothèque. Il s’agit de L’Enfant et le Maudit de Nagabe, publié aux éditions Komikku pour un prix de 7,90€.
Tumblr media
Résumé de l'éditeur:
Il y a très longtemps, dans une contrée lointaine, existaient deux pays… « L’intérieur » où vivaient les humains, et « l’extérieur », ou habitaient des créatures monstrueuses qu’il ne fallait surtout pas toucher, sous peine de subir la malédiction. Cette histoire commence le jour où se sont rencontrés deux êtres qui n’auraient jamais dû se croiser…
Ils sont aussi différents que le jour et la nuit… Et malgré tout ce qui les sépare, malgré les ténèbres qui les entourent, ils vont écrire petit à petit une fable tous les deux…
Pour ce titre aussi j’avais commencé un fil sur Twitter. J’avoue que je ne sais pas très bien pourquoi j’ai emprunté L’Enfant et le Maudit mais je trouvais les couvertures très belles, le titre intriguant et le sous-titre en irlandais, Siúil, a Rún, inattendu. On peut dire que j’ai été un peu happé par le mystère qui semble entourer le manga. J’ai beaucoup aimé l’univers de conte développé par Nagabe, atemporel mais qu’on peut situer dans une Europe du Nord, avec ses forêts de sapins et ses maisons en pierre. Je crois que ce genre de cadre est assez atypique dans le manga en général donc ça fait plaisir à voir. Le découpage est chouette et certaines cases bénéficient d’angles de vue percutants. J’aime aussi beaucoup le contraste du noir et du blanc, qui n’est pas sans rappeler la dualité des deux personnages principaux ainsi que celle du monde dans lequel ils évoluent. Quant à l’histoire, pour l’instant je la trouve intéressante mais peut-être pas très bien ficelée. Comme écrit dans mon fil sur Twitter, je n’ai pas été très convaincue par la fin du tome qui est censée être percutante, mais qui m’a laissé indifférente puisque des indices désamorçant les enjeux de la scène finale sont glissés tout le long du tome. Je reste cependant très curieuse de connaître la suite et d’en apprendre plus sur cet univers.
On passe enfin à un manga de ma pile à lire qui m’attendait depuis décembre dernier. Il s’agit de Futagashira de Natsume Ono. Titre inédit en France, il est sorti chez nos amis transalpins aux éditions Bao Publishing. Le manga est disponible au prix de 7,90€.
Tumblr media
Résumé de l'éditeur, traduit par mes soins:
Quelque chose est en train de changer dans la bande dont font partie Benzo et Soji. Quand le vieux chef vient à passer l’arme à gauche, ils sont écartés des postes du haut de la hiérarchie. Ainsi, ils décident de quitter le groupe pour tenter leur chance de leurs côtés, sentant que le destin les appelle à accomplir quelque chose de grand, bien qu’ils ne sachent pas encore quoi précisément. Une histoire d’amitié entre deux hommes aux antipodes l’un de l’autre, de subtiles duperies et d’arnaques rocambolesques, dans un Japon de l’ère Edo. Raconté par Natsume Ono, une des mangaka les plus importante de sa génération, avec un trait sublime et une légère, mais non moins acerbe ironie.
Ici encore, j’en avais déjà parlé sur Twitter. C’est un manga que je ne comptais pas acheter mais face à lui en librairie, j’ai craqué pour la couverture. Il s’agit du préquel de Goyô, de la même autrice, paru en France chez Kana. C’est un manga qui repose beaucoup sur le duo que forment Soji et Benzo que tout oppose mais qui se complètent et se retrouvent sur les valeurs et ambitions qu’ils partagent. J’ai adoré ces deux personnages intègres, autant Soji d’un naturel calme que Benzo au sang chaud. Les péripéties sont aussi un point fort du manga. À travers le pays, ils se retrouvent pris dans des histoires rocambolesques où on sait jamais qui aura la peau de qui. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire toutes ces péripéties et autre retournement de situation. L’ultime point fort de Futagashira, c’est le dessin de Natsume Ono. C’est mon premier manga de l’autrice et donc, c’est assez surprenant graphiquement. Elle a un style très particulier et immédiatement identifiable, avec un trait très libre et souple. Il me tarde de lire la suite des aventures de Benzo et Soji !
Ensuite on passe un tout nouvel arrivé dans ma pile à lire: Mobuko no Koi de Akane Tamura, paru aux éditions Noeve Grafx pour un prix de 7,95€.
Tumblr media
Résumé de l'éditeur:
Même dans l’ombre, l’amour peut fleurir…
La timide Nobuko Tanaka déteste se retrouver au centre de l’attention. Réservée, toujours en retrait, elle a l’impression d’être le second rôle de sa propre vie.
Mais lorsque les sentiments d’un premier amour germent en elle, elle se découvre le courage de sortir de l’ombre pour avancer, pas à pas, vers l’élu de son cœur.
Premier ou second rôle… quelle importance lorsque les sentiments sont là ?
Je l’ai déjà dit un milliard de fois, notamment ici, ça fait un bon moment que je connais ce titre et que je vis une petite histoire d’amour avec. Je ne croyais pas trop à une sortie française mais Noeve Grafx l’a fait. Pour honorer ce titre, je lui ai déjà consacré un article (à retrouver ici). Pour la faire courte, j’ai adoré dans ce tome 1 le personnage de Mobuko auquel un grand nombre d’entre nous peut s’identifier ainsi que la palette de personnages gravitant autour de Mobuko, qui s’annonce comme être une bande de copains et copines qu’il sera excitant de retrouver à chaque tome.
On passe à un titre que me faisait plutôt envie depuis sa sortie japonaise. Il s’agit de Spy x Family de Tatsuya Endo. J’ai profité de la super offre sur l’application Manga Plus de la Shueisha qui propose de découvrir plusieurs titres gratuitement jusqu’en janvier 2023. Le manga est publié en France par les éditions Kurokawa pour un prix de 6,90€
Tumblr media
Résumé de l'éditeur:
Twilight, le plus grand espion du monde, doit pour sa nouvelle mission créer une famille de toutes pièces afin de pouvoir s’introduire dans la plus prestigieuse école de l’aristocratie. Totalement dépourvu d’expérience familiale, il va adopter une petite fille en ignorant qu’elle est télépathe, et s’associer à une jeune femme timide, sans se douter qu’elle est une redoutable tueuse à gages. Ce trio atypique va devoir composer pour passer inaperçu, tout en découvrant les vraies valeurs d’une famille unie et aimante.
Comme je l’ai souvent dit, il ne me faut pas grand-chose pour m’intéressée à un titre. Par exemple, un beau-gosse en costume trois pièces avec un flingue et assis sur un fauteuil LC2 signé Le Corbusier suffit à attirer mon attention. Dans ce premier tome, j’ai tout de suite accroché aux dessins. Ils sont simples et efficaces pour le côté un peu tranche de vie du manga mais l’auteur sait jouer de son crayon lors de scènes d’action, rendant un dessin très dynamique propre aux mangas d’action. J’ai aussi été épatée par quelques cases avec des perspective très plongeantes. Ça m’a rappelé mon amour pour les débuts de Naruto de Masashi Kishimoto qui a des illustrations avec des vues en perspective à couper le souffle. Côté scénario, je ne m’attendais pas à ça, je pensais qu’il y avait un peu plus d’action. Cependant, ça ne me dérange pas et je me suis laissée surprendre par l’humour omniprésent et la dynamique qui règne au sein de cette famille si particulière. Je regrette tout de même le manque d’une mise en contexte plus poussée de la mission pour mieux en comprendre les tenants et aboutissants. Même si je comprends que ce n’est qu’un prétexte pour la construction de la famille et la suite de ses aventures. Enthousiaste, je continuerai le manga avec plaisir.
On termine par un manga issu de ma pile à lire qui me faisait envie depuis un moment et que j’ai enfin pu me procurer: Le Rakugo à la vie, à la mort de Haruko Kumota. Le manga est publié au Lézard Noir pour un prix de 18€.
Tumblr media
Résumé de l'éditeur:
Dans le Japon des années 1960, Kyoji est libéré de prison pour bonne conduite. Sans famille ni attache, il est déterminé à devenir le disciple de Yakumo, un grand maître du rakugo, depuis qu’il a assisté à son impressionnante prestation au centre pénitentiaire. Étrangement, le maître choisit de prendre le jeune homme sous son aile, alors qu’il n’avait jusque-là accepté aucun apprenti, et lui donne même un nom de scène: « Yotaro ». Une nouvelle vie s’ouvre dès lors à Yotaro, qui tentera de faire perdurer cet art l’ayant tant aidé durant ses heures plus sombres. Il pourra compter sur le soutien du domestique Matsuda et de la jeune Konatsu, fille d’un célèbre rakugo-ka décédé de façon tragique, qui fut autrefois l’ami et le rival de Yakumo…
Alors, Le Rakugo à la vie, à la mort, c’est totalement un manga sponsorisé Twitter. Je connaissais le titre de loin mais vu les réactions à la suite de l’annonce de ce titre, je me suis dit que si je passais à côté, j’allais louper quelque chose. Je pensais que j’allais aimé mais j’ai carrément adoré ce premier tome en fait ! C’était très plaisant à lire, j’ai tout de suite accroché à l’histoire et aux personnages tous aussi uniques les uns que les autres. C’est surtout une porte ouverte sur le monde du rakugo, discipline qui m’était totalement inconnue jusqu’alors. Rien que dans ce premier tome, on ressent tout l’amour que l’autrice peut porter pour la pratique. On a beaucoup de vocabulaire spécifique, on est introduit à plusieurs histoires, et on comprend que comme n’importe quelle autre discipline artistique, le tout c’est que de faire du rakugo son propre rakugo, de le façonner à sa propre personnalité. Ça m’a donné très envie d’en apprendre plus sur le rakugo ! Durant ma lecture des premiers chapitres, j’ai aussi beaucoup pensé à la série américaine Mrs Maisel. Certes, les deux protagonistes sont très différents l’un de l’autre, mais chacun, ils vont se démener d’une manière ou d’une autre pour exister dans un monde auquel ils n’appartiennent pas. De plus il est aussi question de l’art de savoir conter les choses et de, souvent, faire rire le public. Dans les deux cas, ce sont deux œuvres avec des contextes différents sur des disciplines que je trouve peu exploitées et pour ma curiosité sans fin, c’est un vrai plaisir. Côté dessin, j’ai trouvé ça très chouette, c’est frais et léger. Les expressions du visage sont très bien rendues et sont souvent rigolotes. Je trouve qu’il y a quelque chose de Natsume Ono, particulièrement dans les visages et encore plus précisément au niveau du bas du visage, les bouches sont très basses chez les deux. Les personnages de Haruko Kumota sont aussi tous beaux. Yakumo en particulier dégage une aura fascinante rien qu’avec son design fin et sec. Le travail de Cyril Coppini, le traducteur, est aussi un vrai plus à cette édition. Le livre est truffé de notes pour nous accompagner dans le monde du rakugo avec toutes ses spécificités. Les bonus de fin (postface, histoires du rakugo et lexique) sont aussi une jolie intention pour le lecteur. Pour ceux qui sont intéressés et qui sont disponibles sur Paris, Cyril Coppini donne une conférence sur le rakugo à la Maison de la Culture du Japon à Paris le 5 mars. Je suis un peu deg de ne pas pouvoir y aller… À défaut, je lirai la suite du Rakugo à la vie, à la mort avec engouement !
Voilà, l’article touche à sa fin ! J’ai commencé beaucoup de nouveaux mangas ce mois-ci et j’en fais un bilan très positif ! Je suis particulièrement contente d’avoir commencé Spy x Family, étant donné que je sors de ma zone de confort de lecture habituelle. J’ai l’impression de me renouveler haha ! Je continuerai à commenter ces mangas probablement sur Twitter où vous pouvez me suivre (@_chiarara) et n’hésitez pas à me dire si vous avez lu certains de ces titres et ce que vous en avez pensé !
3 notes · View notes