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#livraison à domicile
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Hardi où spécialiste
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reviews-tn · 2 years
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Flink Review 2022 : Prix, Livraison, Code Promo & Informations
Flink Review 2022 : Prix, Livraison, Code Promo & Informations
Flink Avis 2022: Vous manquez de motivation pour faire vos courses en fin de journée ? Vous souhaitez vous épargner cette corvée et disposer de votre temps libre autrement tout en faisant une économie grâce à un code promo ? Flink est votre supermarché en ligne et vous accompagne pour acheter tout ce dont vous avez besoin. Ce site propose plus de 2 000 produits du quotidien, que vous pouvez…
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raphno-blog · 10 months
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grandtravelercycle · 1 year
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livraison discrète à domicile
Snapchat//https://www.snapchat.com/add/coffeee_shop22
télégramme:https://t.me/drytech2022fr
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livraison420 · 1 year
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steve-cool · 6 months
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Livraison à domicile pour bien débuter la journée :)
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avisualdigest · 11 months
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Moulaga Affiche imprimée en France et en haute définition. Formats : • 30 x 40 - 11,8 x 15,7 pouces - Papier 350 g/m2 Expédition : • Les affiches 30 x 40 sont envoyées à plat dans une enveloppe cartonnée adaptée, avec papier d'emballage de protection. Livraison :Livraison par la Poste à domicile ou sur le lieu de votre choix.(Cadre non inclus)Copyright Dear Bill© 2021 https://ift.tt/KYq6Bts
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Livraison à domicile
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ovl87 · 8 months
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Livraison collaborative et écologique à vélo Limoges
Vous cherchez une alternative plus responsable et abordable pour vos livraisons à Limoges ? (et ses alentours)
Les options traditionnelles ne vous conviennent pas ou ne répondent pas à vos attentes.
Votre situation ne vous permet pas de trouver une solution adaptée à vos besoins en particulier !
Et si nous avions une solution ?
La livraison collaborative à vélo gérée par un étudiant pour offrir une livraison, efficace et respectueuse de l'environnement, silencieuse et non polluante à un prix abordable.
Nous sommes là pour répondre à vos besoins en termes de livraison et pour vous offrir une alternative durable, silencieuse et sans émission de gaz à effets de serre.
A votre écoute, notre ambition est de vous offrir le meilleur service possible.
Que ce soit pour vos courses, vos plis, vos retours en magasin, vos colis, vos meubles ou vos fleurs et même pour l'électroménager.
Nos tarifs sont adaptatifs en fonction des distances à parcourir, du poids, du volume, des étages et de la récurrence allant jusqu'à un abonnement mensuel pour vous réserver les créneaux horaires de votre choix à l'avance.
Contactez-nous dès maintenant pour étudier ensemble comment répondre au mieux à vos attentes !
Et voici l'une des 3 affiches qui seront bientôt visibles et disponibles pour promouvoir l'activité de livraison à Limoges.
D'ici peu, nous serons en mesure de vous fournir une liste des commerçants de #limoges qui nous ont fait le plaisir de nous offrir un accueil chaleureux et leur confiance.
Vous avez sans doute vu passer De Florette, Clinique du Mobile, Fitnessboutique Limoges et ce n'est que le début avec une rentrée qui s'annonce riche en nouveautés
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Whatsap 0758834168 Livraison weed shit paris idf remise en main propre à votre domicile ketamine 3mmc taz mdma disponible aussi payement en espèces
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jamie-007 · 2 years
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Livraison à domicile ☕🌞😊
Bonne journée 🌺
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bbruitdefondd · 2 years
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From the comfort of your home
Lisa Sudhibhasilp Bruit de Fond × Belsunce Projects
Exposition : 25.08 – 11.09.2022 Ouverture sur RDV : mercredi – samedi (16 – 19h)
42 Rue Consolat, 13001 Marseille
From the comfort your home
Mon bureau actuel est entouré d'ustensils de cuisine, d'une machine à laver, d'un petit réfrigérateur, de piles de livres, de deux ou trois bougies, de quatre plantes, d'un miroir, d'une dame-jeanne verte, d'une armoire en bois, d'une table basse en verre fumé et métal noir, de quelques vases avec ou sans fleurs et d'un canapé convertible. Malgré son environnement, la surface réelle de mon bureau est en quelque sorte un petit îlot composé d’une vilaine table de bistrot récupérée dans la rue, d’une chaise en bois à moitié cassée et d’un coussin en velours pour éviter d'avoir mal aux fesses. Ce minuscule îlot flottant entre la cuisine et le salon, face à deux fenêtres assez grandes, est mon lieu de travail depuis un an. C'est ici que je prends la plupart de mes appels téléphoniques, de mes visios, que j'écris, lis, ris et pleure derrière mon ordinateur portable, à peu près tous les jours.
L'ancien atelier de Lisa Sudhibhasilp à Amsterdam était situé dans un magasin vacant au sein d'un grand centre commercial. Après deux ans, son bail précaire a pris fin lorsque l'espace a été loué à Getir, une société de livraison d'une épicerie en ligne, pour servir de lieu de stockage. Il est devenu courant de placer des artistes dans d'anciens espaces commerciaux. S’ensuit la gentrification du quartier et l'arrivée de nouveaux commerces beaucoup plus rentables.
Le matin, mon bureau est l'endroit où je prends mon petit-déjeuner et où je fume ma première cigarette. Le soir, le bureau devient une table à manger. Il devient aussi parfois un lieu pour la musique ou un cinéma pour une personne. Une nuit, j’ai apporté une chaise supplémentaire dans mon bureau pour qu'il puisse s'installer. Nous nous sommes embrassés.
Avant, la vue de mon bureau était différente. De grandes baies vitrées donnant sur une rue de Belsunce. Des cafés, des terrasses, des arbres, des poubelles, des étalages de magasins, des personnes et des voisins qui passaient. Mon îlot était une grande table blanche USM, une belle chaise en métal ou une chaise en bois bon marché, selon le jour. La vue de mon bureau d'aujourd'hui donne sur six autres domiciles. Des linges qui sèchent, des gens allongés dans leur lit, une douce heure d'apéritif, d’autres qui cuisinent et mangent torses nus. Ça aussi, ça dépend des jours. Parfois, la vue de mon ancien bureau me manque. Ça me manque de pouvoir fermer le rideau métallique de devanture et call it a day. Ce n'était jamais trop intime et encore moins privé. Il servait uniquement d'espace de travail. Ce qui me rend le plus nostalgique, c’est le moment de rentrer chez moi.
Cet ancien appartement qu'occupe Bruit de Fond ne servait plus à vivre depuis longtemps, mais à travailler. À travers de multiples couches de papiers peints déchirés, le temps est, non seulement lisible, mais montre physiquement ce changement. La fonction des espaces s’est modifiée au fil du temps. En général, pendant la pandémie, les espaces privées et publiques se sont entremêlées, augmentant la demande de production et d'efficacité du travail à la maison. Les changements qui affectent ce que nous considérons comme un "chez-soi" vont de pair avec le manque d'espace, la précarité de la main-d'œuvre et le changement des valeurs d’une culture capitalisée.
Pour cette exposition, Lisa a commencé à reproduire de manière obsessionnelle des tomettes, que l'on trouve généralement dans les maisons de Marseille et de Provence. Les tomettes représentent un certain style de vie ainsi qu'un attachement aux traditions et ont acquis une grande valeur au cours des dernières décennies. Faites à la main, avec une approche de labeur artisanale, portant certains slogans et textes, elles deviennent un sol à regarder. Cette tentative remet en question, de façon parfois absurde, ce qui fait d'une maison un chez soi.
Afin d'éviter l'expérience de l'éblouissement constant mais non intentionnel de mes soi-disant ‘voisins éloignés’ à travers les deux fenêtres constamment ouvertes, les cafés de quartier avec des prises électriques deviennent mon bureau temporaire. Deux mois d'été qui voient un supplément s’ajouter au loyer - de cinq à treize euros pour des boissons ou des choses à grignoter. C'est souvent dans ce bureau temporaire que nous avons travaillé avec Lisa, à distance, à travers un écran qui nous a amené à partager un autre espace momentané. Nous nous réunissons finalement au 42 Rue Consolat en plein milieu du mois d’août.
Les textes sur les murs sont ce que Lisa appelle des ‘Advertisement Poems’, inspirés de phrases d'accroche de sociétés de livraison de nourriture ou de slogans de travail à domicile. L'immatérialité de la lumière de son atelier à Maastricht, peint sur les stores verticaux typiquement utilisés dans les espaces de bureau, se glisse dans l'espace de Bruit de Fond. L'appartement vide révèle ses différentes utilisations au fil du temps, et jusqu'à nos jours,devenantà cetteoccasionunlieud’exposition.Ilconstituelecontextedel’installation tout en faisant partie intégrante de l'œuvre. Ces éléments rapportés par Lisa qui ont nécessité un intense travail manuel sont une autre couche de temps et de labeur que nous ajoutons pour la première fois en trente cinq ans dans cet espace. Ils disparaîtront également à la fin de l'exposition, mais laisseront certainement une trace de plus, celle des encres maculées sur les papiers peints.
Won Jin Choi en conversation avec Lisa Sudhibhasilp
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lalignedujour · 2 years
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Le festival de jonglage était trop cool. Le bénévolat au marché était trop cool. L'après-midi seul à écouter des nouvelles musiques francophones était trop cool. Le sciage de bois était trop cool. Le sport du soir était trop cool. Le moment de tendresse ensuite était trop cool. Et même ce matin, la sortie à Intermarché était trop cool. En ce moment, tout est trop cool.
Quand je fais des commandes en ligne, je fais souvent le pingre. Pour économiser 3€, je choisis plutôt la livraison en point relais à 12,6km de chez moi. Et donc quelques jours plus tard, je me maudis en devant y consacrer une demi-demi-journée. Je dois prendre mon vélo, arpenter la nationale, me faire doubler par des 38 tonnes. Mais en fait, c'est pas de la pingrerie, c'est plutôt imposer une activité au futur-moi.
Le parking d'Intermarché, on dirait un tapis de petites voitures, mais en grandeur nature (il y a un mini-rond-point, et une mini-rampe d'accès). J'y navigue comme si j'étais une petite voiture (parfois, je fais "vroum").
Sur place, je me mêle aux gens normaux qui font leurs courses en supermarché, les gens que je vois jamais au marché, aux festivals, parce qu'ils sont soit dans leurs maisons, soit dans leurs voitures, soit à Intermarché. Donc c'est trop cool de les croiser - je ne les hais pas, tout au plus, je les méprise. Pas question de prendre de la bouffe, je vais prendre une ramette de papier, des gants de vaisselle parce que parfois je dois rincer brûlant et bah faut pas forcément se brûler les mains dans la vie, et des élastiques pour cheveux pour former les drapeaux agenre (il est pas ouf) et pansexuel (il est pas mal) sur mes poignets lors de la Pride. (Comme des badges, je dois avoir une petite problématique de légitimité.) Je demande à une employée s'il y a des boules quiès, probablement à un rayon parapharmacie. Elle m'indique, je la remercie, je trouve, je la recroise dans la file d'attente de la caisse, je lui dis que j'ai trouvé et je la remercie.
Elle ouvre une caisse et me fait passer en prem's car j'ai pas grand chose. Et derrière, ça se chamaille. Elle fait un peu l'arbitre, demande à ce qu'on ne se batte pas. Je demande si ça arrive souvent, elle me dit au moins une fois par jour, avec les retraité·es. Elle se moque un peu. Je forme une hypothèse selon laquelle on a besoin d'un niveau constant d'enjeu dans sa vie, et c'est sans doute la raison pour laquelle les personnes qui en ont moins ailleurs se créent des problèmes pour ensuite les régler / se plaindre. Ses yeux se fixent sur moi, ça a l'air de l'intéresser. J'ai l'impression que j'aurai compté dans sa journée comme elle aura compté dans la mienne : un peu. Interaction de 40 secondes trop cool, je repars avec un sourire.
En sortant, un monsieur décroche son vélo électrique. On se salue car on a tous les deux un véhicule alternatif (une communauté naturellement unie par un sentiment de minorité, en somme). On discute quelque-chose comme 90 secondes et ça nous file tous les deux la patate ! Comme souvent quand je prends le temps de discuter, il me dit que les gens prennent pas assez le temps de discuter. Je lui dis que c'est agréable parce que quand on aura fini de discuter, je vais être sur mon vélo, je vais repenser à l'échange et ça va m'alimenter. Et on se quitte assez vite, soudainement. Comme un échange dans le Sud : vite initié, vite intimité, vite terminé. Allez bonne journée ! Bonne journée à toi ! Je repars avec un double-sourire.
Sur le retour, un camion de livraison va pour s'engager sur la Nationale. Je reconnais mon livreur dpd, celui qui est un peu timide. (Je connais aussi mon livreur gls, et mon livreur chronopost, c'est souvent le même prix en fait en livraison à domicile, donc j'ai rarement le prétexte de la pingrerie pour m'offrir une sortie.) Il me laisse la priorité, je lui fais un grand coucou, il me fait un grand coucou, on dirait qu'il est content de me voir. Triple-sourire au moment où il me double.
Plus loin, je vois au dernier moment un hérisson écrasé (récemment). Je ne peux pas l'éviter complètement et je sens sont museau sous mes roues, ou plutôt sous mes fesses.
Puis, le même camion se réinsère sur la Nationale. Il me relaisse la priorité, je lui refais un grand coucou, il me refait un grand coucou.
Je crois que je compte pour ces personnes comme elles comptent pour moi : un peu, et c'est déjà beaucoup.
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elsines · 2 years
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