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sunshine-recorder · 4 years

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Outils de productivité et de confidentialité

La différence est que lorsque vous magasinez pour une nouvelle voiture, le fabricant installe toutes les cloches et les sifflets pour vous. Avec un nouvel ordinateur, vous devrez installer ces spécialités vous-même.

Acronis a arrondi notre Top 10 des applications logicielles pour PC dont vous avez besoin pour faire passer votre ordinateur de zéro à 60 en un rien de temps.

Outils de productivité et de confidentialité Les ordinateurs ont une fonction avant tout. Que vous travailliez à la maison ou aidiez les enfants à faire leurs devoirs, vous avez besoin de quelque chose qui offre la bonne quantité de productivité. En même temps, vous voulez vous assurer de ne pas divulguer les informations aux autres lorsque vous surfez sur le Web. Avec autant d'options disponibles, trouver des logiciels utiles peut sembler difficile. Nous avons rassemblé trois excellents outils pour vous aider à devenir la personne la plus productive possible en privé.

PDF Power

10. Éditeur PDF: Nuance Power PDF Ce que c'est. Nuance Power PDF est disponible en versions standard et professionnelle, qui vous permettent de créer facilement des PDF à partir d'une variété de fichiers ou de convertir des PDF en documents Word.

Ce qu'il fait. La version standard offre plusieurs fonctionnalités parfaites pour l'utilisateur domestique. Avec une interface PC et tablette Windows 10 facile à utiliser, il vous permet de partager les modifications sur tous les appareils. Vous pouvez prendre des documents Office et créer des fichiers PDF à partir d'eux. Plus important encore, vous pouvez convertir automatiquement un fichier PDF en un document Office. Pour les PDF numérisés qui ne peuvent pas être copiés / collés, Nuance Power PDF les convertit pour vous afin que vous puissiez apporter des modifications et des mises à jour, puis remettre le document dans sa version PDF d'origine avant de le renvoyer. De plus, il vous permet de signer numériquement des documents. Que vous soyez un propriétaire d'entreprise signant des contrats ou un parent autorisant la signature de formulaires, vous n'avez plus besoin d'imprimer des documents ou de vous soucier de l'insertion d'une signature via un programme d'image préchargé.

Dragon NaturallySpeaking Home

9. Voice-to-Text: Dragon NaturallySpeaking Home Ce que c'est. Dragon NaturallySpeaking Home est un programme de dictée avec l'un des meilleurs programmes de reconnaissance vocale en langage naturel du marché.

Ce qu'il fait. Beaucoup de gens trouvent que l'écriture est plus difficile qu'elle ne devrait l'être. Que vous ayez quelqu'un à la maison avec un trouble d'apprentissage ou que vous pensiez simplement mieux lorsque vous parlez, Dragon NaturallySpeaking Home facilite le travail. Avec ce produit de synthèse vocale, vous pouvez dicter, modifier et formater une variété de documents, des listes de tâches aux mémos. De plus, les dernières versions vous permettent de rechercher le Web en mode mains libres. Enfin, il se synchronise avec les e-mails et les calendriers pour vous aider à rester au courant des communications professionnelles et personnelles. Contrairement à d'autres outils, Dragon NaturallySpeaking Home est jusqu'à 99% précis lors de la conversion de la parole en texte, ce qui en fait une solution plus efficace que les options open source. Enfin, si vous souhaitez obtenir de l'aide pour la relecture du travail, il dispose d'un paramètre de synthèse vocale qui vous permet de détecter les erreurs et de les corriger.

Gardien de la vie privée

8. Confidentialité en ligne: iolo Privacy Guardian Ce que c'est. Iolo Privacy Guardian garantit que votre système protège votre vie privée et votre sécurité lorsque vous naviguez sur Internet.

Ce qu'il fait. Les pirates informatiques cherchant à voler des informations de toutes les manières possibles, il est plus important que jamais de protéger l'emplacement de votre navigateur. Iolo Privacy Guardian vous permet de naviguer de manière anonyme afin que personne ne puisse suivre votre adresse IP, pas même votre fournisseur de services Internet. Le logiciel est facile à installer et à utiliser, ce qui en fait la protection parfaite pour les utilisateurs à domicile. Iolo Privacy Guardian garde votre historique de recherche privé, ce qui vous permet d'éviter de créer une «empreinte digitale» numérique. Ce service empêche également les ad-trackers d'utiliser l'historique de votre navigateur pour vous cibler, ce qui améliore ensuite votre protection contre le vol d'identité.

Médias et jeux Après avoir configuré votre ordinateur comme un outil de productivité, il est temps de commencer à vous préparer à jouer. Que vous cherchiez à modifier vos photos de famille ou à créer une chaîne YouTube, vous avez besoin de quelque chose qui vous aide à modifier les médias. Peut-être que vous êtes sorti et avez acheté l'ordinateur de jeu de vos rêves. Que vous soyez un amateur de médias ou un joueur de PC, trouver des outils qui vous aideront à vous amuser avec votre nouvel ordinateur sera la deuxième étape pour profiter de l'achat.

ACDsee 2018

7. Retouche photo: ACDsee 2018 Ce que c'est. ACDsee Photo Editor 10 offre une alternative facile à utiliser aux autres options du logiciel de retouche photo car il est entièrement personnalisable pour l'utilisateur domestique.

Ce qu'il fait. ACDsee vous permet de passer facilement à la partie créative du processus d'édition en agissant comme un logiciel de réglage d'image et d'édition en couches. Il est livré avec des outils d'édition basés sur les pixels, un ciblage de précision, des filtres, des ajustements et des éléments de dessin. De plus, comme il prend en charge RAW, vous pouvez vous concentrer sur le nettoyage des ombres, des hautes lumières, des couleurs et de nombreux autres éléments qui prennent des photos de votre téléphone portable d'amateur à professionnel. Pour tous ces selfies, il comprend également un moyen de lisser les imperfections et les défauts en vous offrant des images de qualité studio à

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latraphouse-blog1 · 4 years

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[mini guide] Garder son anonymat sur internet en 2020.

Bonjour tout le monde, j’espère que vous allez bien de votre côté et que malgré le confinement vous tenez le coup ! Suite à un petit échange que j’ai eu ce matin, j’ai décider sur un coup de tête que mon premier article de blog se portera sur les moyens de protéger nos données ainsi que sur les façons de préserver son anonymat et de surfer sur internet.

Ce mini guide est destiné aux tds qui veulent se protéger en ligne avant tout, mais même si vous n’êtes pas tds, vous êtes libre de lire l’article et de prendre ce qu’il vous faut comme renseignement ! Je ne détiens pas la vérité absolue sur les façons de garder sont anonymat sur internet, mais j’espère que ce guide vous donnera au moins une base et un début de piste, libre à vous par la suite de faire vos propres rechercher et d’expérimenter. Ce guide sera découpé en trois parties, les bases de l’anonymat, les logiciels et extensions utile sur ordinateur et la même pour nos téléphones portable. I - Les bases de l’anonymat : Pour être anonyme sur internet, il n’y a pas de secret, il faut vous crée une nouvelle identité de zéro qui n’a aucun lien et j’insiste bien sur le aucun lien, avec votre identité que vous utilisez actuellement sur les réseaux. C’est à dire : - Aucun noms, prénoms & pseudo en commun. - Aucune adresse électronique et numéro de téléphone en commun. - Aucune adresse physique. - Aucune photo de vous on on pourrait vous identifiez facilement. - Même votre réponse secrète dois être différente. Une fois ça en tête, on peut commencer à chercher un service mail pour crée ce qui vas nous servir tout simplement de multipasse pour s’inscrire sur les différents site, vous avez les très connue Gm#il, Y#hoo & Ou#look, mais pour être honnête, c’est une belle bande de pookies qui hésitera pas à envoyée vos données ça comme (tenez vos données messires OTZ) au premier gouvernement qui le demande, donc on va pas les prendre en compte, voir même on va les oublier. Ce que je peux vous conseillez comme service mail que j’ai déjà utiliser par le passé, à vous de voir lequel vous parle le plus, c’est Tutanota qui est un service mails sécurisé allemand (attention à ne pas perdre votre clé de chiffrement !) et on à aussi Protonmail qui est lui aussi un service mails sécurisé mais suisse cette fois ci (ce qui inclue que vos données sur ce service sont “couvert” par les lois de confidentialité Suisse, toujours bon à savoir !) Bien entendu les deux services sont gratuit, sans pub & sont open source, à vous de faire votre choix selon votre affinité. Une fois votre nouvelle identité choisit et crée ainsi que son mail correspondant, on va pouvoir passer à la deuxième partie de ce mini guide a k a : II - Logiciels & Addons pour pc Avant de commencer cette deuxième partie, je voudrais mettre en avant un point, étant moi même précaire, ne vous attendez pas à des solutions payante, je n’en ai pas moi même les moyens et je rappel que ce guide est avant tout destiné aux tds qui sont précarisé avec tout ce qui se passe en moment, donc même si en théorie les services payant sont mieux, faute de moyen, on va s’en passer donc si ça peut vous rassurez, tout ce que je détaille dans ce guide, c’est 100% accessible gratuitement*, gratuitement dans le sens ou vous avez déjà une connexion internet (fixe ou mobile) et un device (pc ou smartphone) sinon vous ne serez pas entrain de consultez cette article, fin bref, on peut continuer ! Pour la suite de se guide, on va passer aux indispensable pour naviguer sur le réseau, car crée une adresse mail sécurisé avec une nouvelle identité c’est bien, mais ce faire griller à la première connexion, c’est moyen voir naze, donc pour éviter ça, on va déjà se trouver un bon navigateur web. On a pas vraiment beaucoup de choix niveaux navigateurs, fin si on a le choix, si vous voulez qu’on sache tout de votre vie et recevoir des pubs personnalisé (merci capitalisme), libre à vous de prendre le premier qui vous plait car le logo vous a tapez dans l’œil, le plus sûr actuellement pour naviguer sur le clear web tout en préservant vos données c’est Firefox, il est simple et clair à comprendre, vous pouvez le personnalisé, que demande le peuple ? (internet gratuit !) l’avantage de Firefox, on le verra par la suite c’est qu’on peut lui rajouter des addons/extensions qui vont grandement nous aider à nous protéger en ligne (bon les autres le font aussi, mais c’est comme si un policier vous donnez un bonbon, le geste est louable, mais on sait ce qui a derrière donc on évite de le prendre) Le deuxième navigateur que je peux vous conseillez et là c’est vraiment si vous êtes dans un pays à risque ou très sévère envers les internautes, les pays ou naviguer en privé n’est pas très utile, il est très connu mais plus pour de mauvaise raison que de bonne, c’est tout simplement Tor, qui est un projet open source et qui permet de naviguer sur internet de manière anonyme, mais attention, la vitesse de connexion est plus lente qu’avec un navigateur comme firefox mais bon, on a rien sans rien comme on dit. Maintenant retournons sur Firefox, télécharger et installer-le, une fois fait, on va installer ce que j’appelle perso, les quatre addons de l’apocalypse, qui contrairement à leurs quatre homologues, sont de notre côté pour une fois ! - Ghostery : protection de la vie privée - Privacy Badger : protection de la vie privée - Https Everywhere : chiffrement automatique sur le web - Ublock Origin : bloque les pubs On pourrait s’arrêter là et se dire qu’on a assez mis de choses en place pour se protéger, mais que nenni, on a beau avoir une adresse mail et une nouvelle identité ainsi qu’un navigateur web qui nous protège, on en oublierai presque de changer de moteur de recherche et d’utilisé g##gle (je suis sûr vous l’avez oublié.e vous aussi) Côté moteur de recherche, vous ne serez pas surpris d’apprendre que non seulement la plupart des recherches sont fait pour plaire à la masse et au entreprises (allez vous renseignez sur le lesbianisme par exemple) mais en plus, ils poucavent nos recherches pour les revendre (nos fameuses données) donc on paye une connexion internet pour que d’autres fasse des profits sur nous et sans nous, moi je dit non, je suce pas que des queues à dix € pour me payer une connexion internet et savoir qu’on revend tout ça à mon insu, surtout que, y a qu’à voir ce qui se passe actuellement, on paye tous des impôts, même ceux qui payent pas d’impôts en payent, tout ça pour quoi ? Pour qu’on aide seulement ceux qui gagne déjà bien leurs vies et les autres vous pouvez crevez dans votre coin ? Désolée je m’égare un peu, mais nos habitudes de consommations ont fait ce monde et on doit maintenant essayer de se dégager de ça, car comme on le vois, ils vont pas nous aider. Bref, côté moteur de recherche, je ne peux que vous conseiller les sympathiques DuckDuckGo & Qwant qui respectent votre vie privé après vous pouvez contre quelques revente de données, faire planté des arbres vie Ecosia (qui utilise hélas Bing..) mais ça plante des arbres donc la balle reste au centre. (Je vais m’arrêter là pour cette première partie, je mettrais l’article à jour un peu plus tard, si j’ai des retours ça serais encore mieux, merci de m’avoir lu, j’espère vous avoir donnez au moins une bonne piste pour assurez votre anonymat sur les réseaux

#internet #protection #anonymat #web #2020 #sécurité #open source #logiciels #addons

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reseau-actu · 4 years

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Le projet de traçage socialement « acceptable » à l’aide des smartphones dit StopCovid, dont le lancement était initialement prévu pour le 2 juin, a focalisé l’intérêt de tous. Apple et Google se réjouissaient déjà de la mise en place d’un protocole API (interface de programmation d’application) qui serait commun pour de nombreux pays et qui confirmerait ainsi leur monopole.

Mais la forte controverse qu’a suscitée le projet en France, cumulée au fait que l’Allemagne s’en est retirée et à l’échec constaté de l’application à Singapour, où seulement 20 % des utilisateurs s’en servent, annoncent l’abandon prochain de StopCovid.

« Ce n’est pas prêt et ce sera sûrement doucement enterré. À la française », estimait un député LREM le 27 avril auprès de l’AFP.

Pendant ce temps-là, un projet bien plus large continue à marche forcée : celui de la plate-forme des données de santé Health Data Hub (HDHub).

Health Data Hub, la forêt qui se cache derrière l’arbre

Dès la remise du rapport Villani sur l’intelligence artificielle (IA) en mars 2018, le président de la République annonce le projet HDHub. En octobre de cette même année, une mission de préfiguration définit les traits d’un système national centralisé regroupant l’ensemble des données de santé publique, un guichet unique à partir duquel l’IA pourrait optimiser des services de reconnaissance artificielle et de prédiction personnalisée.

Mais l’écosystème de l’IA s’apprête aussi à franchir une nouvelle marche en obtenant l’accès à des données massives provenant des hôpitaux, de la recherche, de la médecine de ville, des objets connectés, etc., et à un marché massif de la santé (prestigieux et à valeur potentielle énorme dans la mesure où il pèse plus de 12 % du PIB). La France, avec son assurance maladie, et le Royaume-Uni, avec son National Health Service (NHS), font ici figure de test, puisque des données cohérentes et fiables y sont maintenues depuis des décennies : Amazon a déjà accès à l’API du NHS pour alimenter son assistant vocal, et Microsoft a déjà signé l’hébergement de toutes les données de santé françaises (stockage, gestion des logs et des annuaires, puissance de calcul et conservation des clés de chiffrement).

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Le projet HDHub mené « au pas de charge »

En novembre 2018, Stéphanie Combes est nommée cheffe de projet. Fin 2018, le choix de Microsoft est déjà acté (en « dispense de marché public »), alors même que la définition des principes de HDHub attendront juillet 2019 (dans la Loi Santé) et que ses missions ne seront définies qu’en avril 2020, par arrêté ministériel. La CNIL, malgré ses échanges avec Stéphanie Combes, continue à se poser de nombreuses questions.

D’autres voix se sont inquiétées de la gestion si hâtive du projet (comme le Conseil national des barreaux, l’Ordre national des médecins ou encore un député LREM) ; des collectifs ont lancé des alertes argumentées, comme les professionnels de InterHop ou les entreprises du logiciel libre ; et certains médecins ont mis en ligne des vidéos exprimant leur révolte.

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Health Data Hub, un cas d’école sur toutes les problématiques du numérique

Contourner l’arbre qui cache la forêt, c’est découvrir toute l’étendue des questions posées par la « transformation numérique » dans la société, et ici dans la santé.

Les questions politiques se cristallisent ici autour du choix de Microsoft, que Stéphanie Combes justifie très classiquement par l’urgence, sans publication des délibérations : « Microsoft était le seul capable de répondre à nos demandes. On a préféré aller vite, pour ne pas prendre de retard et pénaliser la France. »

C’est une question de politique nationale, déjà soulevée dans The Conversation France, puisqu’il s’agit de faire gérer un bien public par un acteur privé, et sans espoir de réversibilité. Mais aussi une question politique de souveraineté numérique européenne puisque cet acteur étasunien se trouve soumis au Cloud Act, loi de 2018 qui permet aux juges américains de demander l’accès aux données sur des serveurs situés en dehors des États-Unis.

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Health data Hub, plate-forme de la discorde ou de la concorde ? Extrait du débat « Les Contrepoints de la santé » du 18 décembre 2019 sur le thème des données de santé : « Volontarisme ou vigilance » avec Stéphanie Combes, Directrice du Health Data Hub, Pr Laure Fournier, Service de Radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou, Pierre-Alain Raphan, député de l’Essonne, David Gruson, comité pilote d’éthique du numérique, fondateur du think tank Éthik-IA.

Les questions techniques se révèlent ici dans un vif débat entre centralisation ou interopérabilité des bases de données. La centralisation définit des architectures de « défense en profondeur » avec des barrières successives par exemple dans le nucléaire ; dans le projet HDHub, cette défense est sous-traitée chez Microsoft.

Stéphanie Combes observe que « si l’on veut faire du traitement de données à cette échelle, on doit centraliser, c’est la seule solution ». À l’opposé, la vision technique des architectures de l’interopérabilité vise à « ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier » : d’une part, la majorité des attaques ne viennent pas de l’extérieur mais de l’intérieur, avec un risque plus élevé en cas de centralisation, et d’autre part l’anonymat ne résiste pas à la ré-identification d’une personne par croisement de données.

Cette architecture décentralisée consiste alors à gérer les échanges en réseau entre des bases de données qui restent hétérogènes et entre des traitements distribués sur plusieurs serveurs, mais en intégrant ces échanges par des couches d’interfaces qui sont aujourd’hui standardisées et en Open source. À titre d’exemple, c’est une option qui a été choisie dans le projet eHop pour un groupe d’hôpitaux. Elle présente l’avantage de maintenir localement les compétences des ingénieurs et des soignants, nécessaires à la qualification des données de santé.

Les questions juridiques concernent ici le consentement et le secret médical. Les principes européens du RGPD organisent le consentement dès la conception des systèmes d’information (privacy by design) et par une culture de transparence interne dans les organisations (via le délégué à la protection des données). Les données des patients touchent bien sûr à leur intimité, mais la durée, le droit de retrait et surtout la finalité claire d’une utilisation de ces données, sont des principes intangibles fixés par la CNIL.

Stéphanie Combes a donné des perspectives sur ce point :

« Les données ne sont censées être stockées que durant la période de l’état d’urgence sanitaire. À sa fin, elles devront être détruites, SAUF SI un autre texte prévoit cette conservation lors de la mise en place finale du Health Data Hub. »

Dans la pratique, et sans compter les problèmes futurs de responsabilité individuelle du médecin, les patients pourraient être soumis à une rupture du secret médical, un principe juridique mais aussi une règle éthique qui fonde la confiance basée sur le serment d’Hippocrate. Une rupture de cette confiance présenterait bien sûr des risques en termes de santé publique.

Les questions économiques se cristallisent autour des enjeux de la transformation numérique. Les tenants du néo-libéralisme voient surtout dans le numérique une force de destruction créatrice : la dérégulation et le désengagement des États favorisent l’innovation disruptive et la croissance par des start-up. Au-delà du seul intérêt scientifique, un développement rapide de l’IA grâce aux GAFAMI, les six géants américains qui dominent le marché du numérique, peut donc être considéré comme relevant de « l’intérêt général », une finalité introduite en 2019 dans la Loi santé.

À l’opposé, les tenants d’une politique économique alternative voient surtout dans le numérique une possibilité de gestion des communs numériques, en suivant les analyses de Elinor Ostrom : des ressources immatérielles non rivales, dont les règles d’accès et d’usage sont gérées par des communautés auto-organisées très diverses (par exemple, depuis Internet, en passant par Wikipedia et jusqu’à l’Open data, le logiciel libre ou les énormes bases scientifiques de type Protein Data Bank). Ceux qui partagent cette vision dénoncent l’idée de la séparation entre d’une part la qualification des données médicales, qui se fait grâce à un long travail de collecte et de tri financé par le secteur public et soumis aux traités de libre circulation des données, et d’autre part la valorisation de ces données, avec une marchandisation de la santé par le secteur privé que protègent les traités sur les brevets.

Le contrôle des « data santé » vu par les penseurs d’hier et d’aujourd’hui

La question sociale du contrôle sanitaire de nos comportements ne peut pas être analysée sans les concepts forgés par les sociologues. Michel Foucault a décrit le passage progressif à la société disciplinaire en utilisant les concepts de « biopolitique » (qui porte sur les formes d’exercice du pouvoir sur les corps) et de « gouvernementalité » (qui associe gouvernement et rationalité, dans des technologies du gouvernement des individus et de soi, pour assurer l’autodiscipline : hier déjà, le confinement, l’école, l’hôpital, les statistiques et maintenant les panoptiques du drone et du bracelet).

Gilles Deleuze a décrit un nouveau passage vers la société de contrôle par le collier électronique, avec les concepts de « langage numérique » d’accès à la réalité. Alors que Kafka a forgé la notion d’« atermoiement illimité » : il ne s’agit plus de discipliner et d’ordonner, mais de contrôler en gérant tout désordre.

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Antoinette Rouvroy, docteure en sciences juridiques et chercheuse qualifiée du FNRS, s’exprime sur le sujet de la gouvernementalité algorithmique et l’idéologie des big data, le 6 mars 2018. À la minute 10, elle s’exprime notamment sur les données médicales.

Aujourd’hui, des sociologues comme A. Rouvroy ou D. Quessada montrent un prochain passage à la société des traces avec les concepts de gouvernementalité algorithmique (qui va au-delà d’une maîtrise du probable ; il s’agit d’une maîtrise du potentiel lui-même, pour « ajuster » nos comportements) et de sousveillance, qui n’est plus une sur-veillance, mais une sous-veillance par un quadrillage discret, immatériel et omniprésent de tous les types de traces que nous laissons, comme nos signaux, nos productions, nos empreintes, nos passages et nos liens…

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easyastrobox · 5 years

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Bienvenue sur Easy Astro Box !

Bienvenue sur Easy Astro Box ! C'est une plateforme d'autoguidage et pilotage portable et autonome qui vous accompagnera dans toutes vos sessions astrophotographiques. Celle-ci est totalement gratuite, libre d'utilisation et vous offres nombreux avantages :

Facile à construire

Facile à installer

Peu coûteux (50€ ~ 100€)

Faible consommation

Basé sur le nano-ordinateur Raspberry Pi

Utilise des logiciels open-source

Système d'exploitation Raspbian Buster Lite (Linux) optimisé pour l'astrophotographie

Autoguidage

Pilotage avec ou sans planétarium

Connectique vers différentes montures, caméras, CCD, apareils photos numériques, ...

Astrométrie

Contrôle total depuis un smartphone, tablette, ..., par Bluetooth et WI-FI

...

Si vous souhaitez avoir plus d'informations sur le projet Easy Astro Box vous pouvez rejoindre la rubrique À propos.

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cryptosmonnaies · 6 years

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DragonChain, Project de Blockchain made by Disney

Dragonchain a d'abord été connu sous le nom de "Disney Private Blockchain Platform". Son nom ne l'indique pas forcement, mais il s'agit d'une plateforme de blockchain conçue avant tout pour les usages professionnels. Elle est mise en avant comme étant la plate-forme la plus conviviale, sécurisée et flexible créée jusqu'à présent, offrant de nombreux avantages pour les entreprises et les développeurs à la recherche de ces fonctionnalités.

Parmi les fonctionnalités qui permettent à Dragonchain de se démarquer de la concurrence, citons une intégration simple, le support multidevise et la protection des opérations et des données des entreprises.

Bien que vous n'ayez peut-être pas entendu parler de Dragonchain jusqu'à récemment, la plateforme a été développé en 2015 et 2016 au bureau de Seattle Disney, où elle portait le nom de "Disney Private Blockchain Platform". Après le développement initial, l'équipe a utilisé le "W3C Blockchain Community Group" pour explorer et documenter plus de 20 applications, prouvant ainsi sa valeur en tant que plateforme. En octobre 2016, elle a été lancée sous forme de logiciel libre. La Fondation Dragonchain, qui est un organisme à but non lucratif, a été créée en janvier 2017 dans le but de maintenir et d'être propriétaire du code open-source. Il s'agit maintenant d'une blockchain publique.

Équipe, Conseillers, Partenariats, Investisseurs :

Conseillers : Maria Smith : VP Payments Starbucks; Ed Fries: co-fondateur Xbox; Tom Bush: ancien directeur adjoint, division CJIS du FBI; Collin Lahay: fondateur Gambit; Jeff Garzik: cofondateur Bloq; Matthew Roszak: cofondateur Bloq; Chris Boscolo: fondateur lifeID

Joe Roets : Fondateur et directeur général de Dragonchain. Il a plus de 20 ans d'expérience en architecture logicielle axée sur la sécurité et l'évolutivité. Il a créé et dirigé de multiples startups "tech" depuis le milieu des années 1990. Il est un visionnaire et un leader d'opinion dans le domaine de la technologie blockchain ayant mené ou contribué à des projets dans cette industrie depuis 2010 auprès de sociétés telles que Overstock, Coinbase, Symbiont, & the Walt Disney Company.

Quelles sont certaines caractéristiques clés de la plateforme ?

La plate-forme derrière Dragonchain est l'élément ayant fait le plus de buzz dernièrement. Le projet est construit sur une plate-forme évolutive et sans serveur et intègre une protection de toutes les données grâce à des langages de programmation éprouvés. Cette protection aide également à rendre l'expérience conviviale pour les développeurs, que vous préfériez C#, Node, Java ou Python.

Il y a aussi un programme incubateur où de nouveaux projets sont développés. Ceux qui le souhaitent peuvent se joindre à ce programme pour accéder plus tôt aux différents projets soutenus par l'écosystème.

A propos de ce projet

Aujourd'hui, nous vous présentons donc ce merveilleux monde des dragons. Un project de blockchain qui a un potentiel énorme selon nous. Nous avons récemment participé à la première ICO sur la plateforme "Looklateral" et le moins que l'on puisse dire est que cela été la meilleure ICO dans laquelle nous avons investi jusqu'à présent d'un point de vue expérience utilisateur. En plus, si vous gardez (stake) vos tokens Dragonchain (DRGN) dans un portefeuille de type Nano S ou myetherwallet, vous accumulerez un "Slumber Score".

Le fameux Slumber Score de Dragonchain s'accumule en envoyant vos Dragon (tokens DRGN) vers votre wallet (MEW ou autre, DRGN étant un ERC20 token) et en les laissant dormir (HODL), c'est-à-dire, ne les déplacez pas après qu'ils aient été envoyés vers votre portefeuille où vous perdrez ces bénéfices. Le Slumber score est calculé selon cette formule : Nbre de coins stockés X Nbre de jours stockés.

En accumulant un Slumber Score, vous obtiendrez une priorité plus élevée et des promos sur les ICO sorties de la plateforme Dragonchain. Plutôt pas mal non ?

Il vous suffit de renseigner votre adresse Eth ici dragonchain.com/slumber-score/ pour connaitre votre Slumber score !

Disney semble maîtriser le processus de l'ICO. Nous venons d'investir dans la première ICO de la plate-forme dragonchain LookLateral, courant Janvier 2018, et c'était de loin notre meilleure expérience utilisateur en matière d'ICO. Sur la page https://dragonchain.com/my-account/, vous pouvez ouvrir un compte sur le site officiel de Dragonchain (inscriptions en pause actuellement).

Une fois que vous vous êtes inscrit, vous effectuerez votre processus KYC (Know your customer) en téléchargeant les documents d'identification. Pour les citoyens US, la bonne nouvelle ici, c'est que les ICOs Dragonchain sont des projets américains, et une fois qu'un citoyen américain a terminé son KYC sur la page Dragonchain, il est désormais autorisé à participer à n'importe quel ICO sortant de la plate-forme Dragonchain.

Qu'en est-il du token (DRGN) ?

Les "Dragons" sont utilisés pour accéder à n'importe quelle partie de la plate-forme. Il peut s'agir de faire tourner une node (nœud du réseau), de s'abonner à un flux de données, d'accéder à une bibliothèque de smarts contracts, d'obtenir un accès précoce ou à prix réduit aux tokens pour les projets incubés. Bien entendu la plupart d'entre nous les utiliserons surement plus d'un point de vue spéculatif...

Cour au 28 Janvier 2018

Réflexions finales :

Avec une blockchain publique, une marketplace et un programme incubateur, de nombreuses entreprises devraient faire appel à Dragonchain pour mettre en œuvre leurs projets.

Ce coin est vraiment sous-évalué selon nous, vient de subir une correction plus que saine et n’est listé que sur un seul échange majeur (Kucoin)…

Nous avons acheté du DRGN à environ 1.50€ (19000 sats) et en avons accumulé plus à 2.50€ aujourd’hui. Nous pensons sincèrement que ces prochains jours/semaines représenteront probablement une des dernières opportunités avant une augmentation drastique des prix. Mais bien sûr, comme tous les nouveaux projets, investissez autant que vous êtes prêt à perdre.

Note : Le processus KYC ne semble pas fonctionner pour certaines personnes. Dragonchain semble avoir mis en pause pour le moment les nouvelles inscriptions KYC. Si vous recevez un tel message, revenez quelques jours plus tard le problème sera probablement résolu.

Recommandation de prix : Nous sommes positionné sur long terme (comme souvent) et devrions en accumuler un maximum jusqu’à 4-5€

Court terme : Recherchez ces deux niveaux pour rentrer .00020000-00019000 voir .00016720 avec de la chance.

Sources : https://dragonchain.com

#Bitcoin #Cryptocurrency #Blockchain

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