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#mafia corse
verdi-alain · 5 months
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Corse: Mafia or not Mafia, tous les articles sur Mediapart
L'ensemble des articles sur les mafias, publiés sur mon blog sur le site Mediapart, son lisibles sur ce blog de tumblr "E pericoloso sporgersi".
En un clic, vous pouvez accéder au sommaire de ces articles sur mon blog de Mediapart.
Bonne lecture
N’hésitez pas à réagir à ces articles, sur l'un des deux blogs
Alain VERDI
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riddlemethry · 2 months
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thanks for the tech advice, mafia bug
of corse dear anon, as the mafia your safe is my top priority
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i had literally never heard about the BANANA FISH antisemetism; what happened? (i haven't watched it because i am semi-allergic to horrible major character death lol)
There's two main parts that I remember distinctly after not revisiting the series for like four years. And I'm not Jewish, so this is just what I noticed.
One is more obvious than the other.
The first one to happen is this nerdy scientist who created the BANANA FISH drug was, in fact, Jewish. One: hell of a stereotype about Jewish nerds. But more importantly, he was referred to as a slur for Jewish people and then...decided to....BANANA FISH them?
Now, BANANA FISH is clearly like, based off on MK Ultra or some shit: there's no cure and it controls people's minds and makes people basically trapped in a living hell and makes them very violent.
People he tested this thing on include Ash's older brother, Griffin, whom our racist scientist admitted had done nothing actually to him. But other soldiers they were in the military with were abusive to him and called him a slur for Jewish people.
And so...he just. Killed people in a gruesome, horrific way because he was oppressed. Ash murders him, and we're not even supposed to feel bad because his actions were completely inexcusable and disgusting.
The more obvious one is this fucking line after Blanca shows up about Union Corse wanting to be the next "Jewish American community" like, excuse me, what, the pedophile mafia?
This obviously traffics in the antisemitic conspiracy theory that Jewish people are rich and powerful and control things behind the scenes, and it also draws a connection to another antisemitic conspiracy theory that (Christian) children are in danger from Jewish people (yay, blood libel!) both physically and sexually and etc. This is where the QAnon pedophile conspiracy comes from.
This line about the Jewish American community was actually removed from the original English translation of the manga. It was in the Japanese, and whoever looked at it when translating it into English in the 90s clearly went, "Whoa, okay, no," and they changed it to the "Rockerfellers" which frankly makes more sense anyway.
The anime kept it.
So, uh, yeah.
Not great.
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alainverdi · 1 year
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Corse: Mafia or not Mafia? Un sommaire des articles déjà publiés
En Mars 2022, j’ai débuté la publication d’une série d’une trentaine d’articles, sur le blog du site mediapart,  pour tenter de répondre à une question : existe-t-il une Mafia corse ?  La somme de ce travail entend, en partie, fournir un maximum d’éléments de réflexion autour du thème des mafias. Nous retrouvons, ici, un sommaire avec des liens menant à ces articles. D’autres articles pourraient suivre.
            Alain Verdi  7 Avril 2023                       
   Autant l’écrire, tout de suite, la réponse à une question aussi délicate est loin d’être évidente. Après des années de réflexion et d’enquête, une seule certitude s’impose : décider de l’existence d’une Mafia, n’est pas le résultat  d’une simple réflexion intellectuelle et/ou juridique.  L’exemple de l’Italie est là pour illustrer, de jure,  le long travail mené par plusieurs instances de la société italienne.
Le mot Mafia, apparait dès la seconde moitié du 19ème siècle. Pourtant, des lois s’insérant dans un corpus législatif cohérent, ne seront votées qu’au début des années 1980. Il s’agit d’un choix politique. C’est logique, puisque les mafias sont des objets politiques. C’est ce que nous verrons, tout au long de mes articles.
En d’autres termes, cela veut dire qu’une Mafia peut exister  -in vivo-   sans être désignée comme un danger à abattre pour protéger la société. C’est exactement ce qui c’est passé, en Italie, durant un siècle.
Cela étant dit, la reconnaissance  -de jure- d’une Mafia et l’application de lois répressives, à son encontre, n’a pas à ce jour débouché sur son éradication. Le phénomène mafieux est profondément inscrit dans certaines sociétés, ce qui rend la séparation entre Légal et Illégale particulièrement difficile. L’exemple de la Mafia japonaise (yakuza), que j’aborde dans un des articles, est une illustration presque caricaturale de l’intégration d’une Mafia dans une société humaine.  
De plus, l’évolution des sociétés et le tri, compliqué, entre la légalité et l’illégalité, ont accentué le développement de « zones grises ». D’où une très grande confusion.
Nous pouvons dire, aujourd’hui, que les méthodes mafieuses semblent se généraliser. Nous observons ainsi une « mafiosisation » sans Mafias.
A moins que cela ait été toujours le cas et que les moyens contemporains de communication et l’échange d’informations nous rendent l’importance de cette « mafiosisation » plus visible.
Le contenu des articles, déjà mis en ligne, peuvent être complétés en fonction de nouveaux articles et/ou de nouvelles informations que je pourrai découvrir, au fur et à mesure de ma réflexion. 
Vous trouverez, ci-dessous, les liens vers les différents articles.
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Autonomie de la Corse : les réalités cachées et les intentions non exprimées
20 mars 2022
Qu’est-ce qui déclenche l’ouverture de discussions politiques sur le principe d’un statut d’autonomie de la Corse ? En apparence, ce sont les émeutes, dans l’île, consécutives à l’agression (2 Mars 2022) contre Yvan Colonna, l’assassin du préfet Claude Erignac. Il reste à donner un contenu au mot « autonomie ». Les partenaires ont eu des dizaines d’années pour y réfléchir, et pourtant…
L' AUTONOMIE DE LA CORSE : REALITES CACHÉES ET INTENTIONS NON EXPRIMÉES-SUITES
25 mars 2022
Dans mon article du 20 Mars, j’ai négligé quelques points. Notamment la répartition des rôles entre les politiques insulaires nationalistes et la classe dite « traditionnelle ». De plus, un constat apparait : le débat se focalise sur un statut « plus particulier » au moment où la société corse ressemble le plus au « modèle français » rejeté par certains. Les contradictions ne sont qu’apparentes.
Corse: quelle économie pour une autonomie?
5 avril 2022
Quelle est la situation économique et sociale de la Corse ? Répondre à cette question peut aider à ouvrir des pistes pour un statut d’autonomie. Une autonomie aide-t-elle une région à se développer ? Pour se faire une idée, j’ai essayé de comparer certaines données économiques et sociales de plusieurs régions autonomes méridionales. Il n’y a pas de réponse tranchée. Chaque île doit s’adapter.
 Corse : un si long dimanche de fiançailles
8 avril 2022
Après trois articles longs et difficiles à digérer, il faut laisser l’esprit se reposer. En attendant, des articles, également longs et aussi difficiles, je vous propose un conte sur le thème : La valse hésitations dans les rapports entre le gouvernement et la Collectivité De Corse. Pour plagier Marivaux, il pourrait s’appeler « De la double inconstance ».
La « 6ème République » sans changer la constitution Essai sur l’impuissance politique
23 avril 2022
Le 1er tour des présidentielles confirme une série d’évolutions: Pour la 3ème fois en vingt ans, l’extrême droite remplace la droite républicaine. Les partis « de gouvernement » explosent et se dirigent vers une « refondation ». Face au libéralisme triomphant, les idéologies sont toujours présentes. Comment en sommes-nous arrivés là ? Est-ce un « tournant » ou un habillage ?
Corse: mafia or not mafia? Décoder pour comprendre
10 août 2022
Une session de l’Assemblée de Corse, consacrée au « phénomène mafieux dans l’île» devrait se tenir en Octobre 2022 (finalement, elle se tiendra le 18 Novembre). Voir article, plus loin.  Ce débat est réclamé par une partie de la société civile et du monde politique. Avant la tenue de ce débat, je vais publier une série d’articles sur le phénomène mafieux. Ils sont issus d’un travail que je mène depuis plusieurs années sur le thème : Corse, mafia or not mafia ?
Une Mafia corse ? D’abord, définir le terme
13 août 2022
Corse, Mafia or not Mafia? Le premier article d’une longue série consacrée à ce thème, porte sur la définition d’une Mafia. Principal constat : sa pérennité. En France, l’idée qui prédomine est que ce serait une « super criminalité organisée en bandes… éphémères. En Italie, le droit reconnaît deux types de criminalité, le droit français un seul. L’ambigüité commence là.
Efficacité des lois anti-mafia et indépendance des magistrats, France-Italie
14 août 2022
L’Italie est le seul pays de l’UE à posséder un arsenal judiciaire « anti-mafia ». Ce dispositif montre une certaine efficacité, mais rencontre une opposition du monde politique. En France, les Procureurs n’ont pas le niveau d’indépendance statutaire des Italiens. Les deux pays manquent de moyens, mais la Justice italienne reste efficace contre les mafias, avec des limites et jusqu’à quand ?
 Mafias et affaires criminelles : juger avec ou sans jury ?
18 août 2022
Les jurys populaires sont-il compétents pour juger des affaires de grande criminalité ? Des magistrats français demandent leur remplacement par des cours composées de juges professionnels. Cela fait suite à une série d’acquittements dans des procès, notamment sur des « dossiers corses ». Ces échecs ne viennent-ils pas, aussi, de la faiblesse de l’appareil juridique français? Le débat est ouvert.
Confiscation des biens mafieux : intérêt et limites
19 août 2022
A l’exemple de l’Italie, la France saisit les avoirs de la grande criminalité. Ces organisations se voient touchées « au portefeuille ». Les mafias sont affaiblies par ces confiscations, mais la gestion des biens saisis par les Justices n’est pas aisée. Seule une petite partie des immenses valeurs est utilisée. Les mafias trouvent des solutions pour limiter les conséquences des confiscations.
Italie, un régime de « prison dure » pour les mafieux
21 août 2022
L’Italie possède un régime spécial d’incarcération pour les mafieux et les terroristes. C’est l’article 41bis du code carcéral. Les détenus sont placés en isolement sévère. L’État italien a fait construire plusieurs prisons équipées en ce sens, elles comptent plusieurs centaines de détenus. Plusieurs fois saisie, la justice européenne ne condamne pas, entièrement, ce « régime dur ».
Étude comparée des statuts des « repentis »
22 août 2022
Cet article porte sur les limites de la protection des collaborateurs de Justice, en France et compare les lois françaises à celles des pays qui possèdent un statut plus développé : Italie, USA, Canada. Article publié en 2017, j’ai tenté de l’actualiser. Le droit français continue à contenir des lacunes dans les moyens juridiques accordés. Une certaine frilosité politique semble dominer.
Criminalités comparées, Corse-mafias, suite du programme
3 sept. 2022
Après la description juridique des mafias italiennes et l’analyse des systèmes judiciaires français et italiens, voici venu le temps de faire connaissance avec certaines mafias (Italie, Japon…). En attendant d’observer le « cas corse », nous regarderons les conséquences politiques économiques et sociales des criminalités mafieuses et non mafieuses dans plusieurs régions du monde.
‘Ndrangheta, la puissance d’une mafia
4 sept. 2022
Avec cet article sur la ‘Ndrangheta, débute une série de descriptions de différentes mafias. L’organisation calabraise est de plus en plus citée. La comparaison avec la criminalité corse a ses limites. Nous allons tâcher de voir si nous pouvons extraire des éléments de la situation en Calabre, pour mieux comprendre le « cas corse ».
Yakuza, la Mafia du Pouvoir japonais
11 sept. 2022
Les yakuzas sont connus, car leurs activités criminelles sont quasi « officielles ». Les observateurs parlent de « liens organiques » avec les Pouvoirs politiques et économiques. Les yakuzas font la synthèse entre gangstérisme, nationalisme, extrême droite et gouvernements. Plusieurs clans avaient leurs bureaux, connus de tous. Les temps changent, mais le poids ce cette puissante Mafia demeure.
Banditisme, Mafia: la Sardaigne un cas à part ?
16 sept. 2022
La Sardaigne n’a pas de Mafia endogène. Cela n’empêche pas l’Île de posséder SA criminalité « ordinaire » et même une criminalité « typique » dans une des cinq provinces de la région. Cette criminalité peut-elle se transformer en Mafia ? C’est une question que posent les autorités italiennes en charge de la lutte contre les délits mafieux. La Sardaigne est située à 20 Km de la Corse.
Baléares : pas de mafia locale, mais gare à la corruption
20 septembre 2022
Les Baléares, un archipel pauvre devenu riche. Le moteur du développement économique est le tourisme. Les Baléares n’ont pas de Mafia endogène, mais le marché immobilier qui accompagne le développement touristique attire des mafias étrangères qui veulent blanchir leur argent. Ce constat n’est pas sans effet sur le niveau de corruption.
Délits financiers, criminalité : les arrangements avec les États
24 septembre 2022
Les États ont une position ambigüe avec les organisations criminelles. Idem pour les malversations financières, quand des banques sont impliquées. Les amendes pleuvent, mais les condamnations pénales sont rares. Les banquiers profitent de cette zone grise. Le système a besoin de l’argent sale. Protéger les banques, c’est aussi protéger les mafias. Un renvoi d’ascenseur politique et économique.
Deux Italie : extrême droite, division politique et économique Le terreau des mafias
26 septembre 2022
Comment s’étonner du résultat des élections italiennes de ce mois de Septembre 2022 ? La victoire d’une coalition Droite-Extrême Droite est la conséquence d’un pays, de longues dates, divisé en deux : d’abord sur le plan économique et social (Nord-Sud) et par conséquence sur le plan politique. Une division qui favorise la grande criminalité.
État Italien-Mafias : tractations secrètes et liens inavoués
11 octobre 2022
Je poursuis, ici, la série d’articles sur les rapports ambigus entre des organisations criminelles et les Pouvoirs. Cet article aborde des « négociations » inavouées entre l’État italien et des boss mafieux (fin années 80-début 2000). Cette période a particulièrement défrayé la chronique, mais ces liens ambigus semblent consubstantiels à l’Italie, de sa création à nos jours.
Unité des pays européens : l’exemple italien, vraiment hors-normes ?
23 octobre 2022
Au 19è siècle l’Allemagne et l’Italie deviennent des États unifiés. Seule la péninsule héritera de mafias. Motif : « une étatisation manquée ». Ces organisations criminelles sont en « symbiose » avec une partie de la société. Des élites politiques et économiques forment un triangle avec la criminalité. On les retrouve au sein de loges maçonniques « dévoyées », dans une clandestinité… apparente.
Misère en Italie, grande pauvreté en Corse – Criminalité » et pauvreté
2 novembre 2022
Aujourd’hui, la Corse demeure la plus pauvre des régions françaises métropolitaines. Cependant, les indicateurs économiques la situent en meilleure place que certaines régions italiennes. Du 19è siècle à aujourd’hui, plusieurs régions du Mezzogiorno souffrent d’une véritable misère. La présence de mafias conforte cette situation. Nous observerons l’intérêt d’une comparaison et ses limites.
La criminalité en Corse, une illustration de la situation méditerranéenne ?
10 novembre 2022
La criminalité, en Corse, est-elle d’un genre « original » ou bien s’inscrit-elle dans le droit file de ce qui se passe dans les « régions mafieuses » du Mezzogiorno, particulièrement en Sicile ? L’éloignement de l’État, la présence de familles délinquantes, sont des points semblables. Mais le niveau de violence et les conditions socio-économiques sont dissemblables.
Criminalité en Corse. 1è partie : connaître l’Histoire pour comprendre l’actualité
14 novembre 2022
En Corse, selon des médias, l’association voyous, Politiques, entrepreneurs serait « nouvelle ». Un coup d’œil dans le rétro dément cette assertion. Déjà, entre le 19è et 20è siècle, des journaux faisaient souvent des impasses. Le vieux système claniste a-t-il ouvert la voie à un système mafieux, comme en Sicile par exemple ? Le monde change.
Criminalité en Corse. 2è partie : le clanisme, un pas vers la Mafia ?
16 novembre 2022
Le clanisme n’est pas une organisation criminelle. Mais il s’appuie parfois sur la violence. Il ne défend pas, officiellement, une idéologie et s’adapte au Pouvoir du moment. Il peut critiquer un projet national et le récupérer localement. Le système est, à la fois, dans l’Histoire et en marge de celle-ci. Mais le monde change, le clanisme est-il toujours efficient ?
Pas de Mafia corse. A défaut, la CDC reconnait une « dérive mafieuse »
20 novembre 2022
La séance de l’Assemblée de Corse, consacrée à la Mafia, attendue depuis des mois, s’est finalement tenue, fait remarquable, sans heurts majeurs. Comme prévu, il n’y a pas eu de surprises. Les élus se sont exprimés, de manière convenue. La session fut cathartique, les coups furent retenus. L’État en a pris pour son grade, le plus élevé, car lui seul peut réellement régler le problème.
Criminalité en Corse. 3è partie : du 20ème au 21ème siècle
16 décembre 2022
La criminalité corse remplit une fonction. Elle est instrumentalisée et instrumentalise. Ce faisant, l’État donne le mauvais exemple. Après avoir bien servi dans les colonies, le Milieu est rentré vivre et travailler au pays, toujours en partie « protégé ». De la French Connection au « Petit Bar », le principe semble, presque, le même.
Corse : Rapport du SIRASCO, Mafia ou « méthodes mafieuses » ?
20 décembre 2022
Un rapport « confidentiel » du SIRASCO (Service d'Information, de Renseignement et d'Analyse Stratégique sur la Criminalité Organisée) a « fuité » dans les médias. Les enquêteurs parlent de « 25 équipes criminelles » qui sévissent en Corse. Cet ensemble représente-t-il une Mafia, ou bien s’agit-il d’une criminalité atomisée ? Finalement, cette nuance est-elle si importante ?
Criminalité en Corse. 4è partie : nationalisme, violence et banditisme
23 décembre 2022
La violence politique en Corse est souvent associée à la grande criminalité, qu’en est-il ? Les autorités ont longtemps combattu la violence politique et minimisé, voir « protégé » le Milieu. Des « nationalistes » ont alimenté la confusion. Que veut l’État ? Les autonomistes sont au pouvoir régional, d’éventuelles négociations divisent le mouvement « nationaliste ». Est-ce l’heure des choix ?
Entretien avec Gilles Simeoni Président de l’Exécutif de Corse
23 décembre 2022
Mafia et violence politiques sont-ils des obstacles à des négociations entre le gouvernement et les dirigeants de l’Assemblée de Corse ? Quid d’une « Mafia » et quels sont les freins à un statut d’autonomie, suggéré par le ministre de l’Intérieur ? Pour le président de l’Exécutif régional : « Il n’y a pas d’autre chemin que celui du dialogue, que celui d’un processus au bon niveau, qui réussit ».
Alain VERDI 7 Avril 2023
    Vous pouvez lire cet article et les autres, sur le blog de Mediapart:
je vous signale que vous pouvez envoyer un avis et/ou une question en  cliquant sur l’onglet Posez vos questions et remarques en cliquant sur ce lien.
Vous pouvez retrouver une série d’articles sur différents thèmes, en lien avec la Corse, sur mon ’autre blog de Tumblr,: E Pericoloso Sporgersi
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yespat49 · 6 months
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Mafia corse : la juge Hélène Gerhards, proche d’Éric Dupond-Moretti, arrêtée par la police anticorruption et placée en garde à vue
La juge Hélène Gerhards, au cœur d’une enquête sur des soupçons d’infiltration de la mafia corse et de possibles détournements de fonds publics, a été placée en garde à vue. Une affaire explosive au vu de ses liens anciens avec l’actuel ministre de la justice, découverts par Mediapart.   Continue reading Mafia corse : la juge Hélène Gerhards, proche d’Éric Dupond-Moretti, arrêtée par la police…
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bestia1964 · 1 year
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jakez19 · 2 years
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terrecorse · 2 years
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L’Assemblée de Corse définit « la dérive mafieuse »
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Les élus de l’Assemblée de Corse ont partagé le constat concernant la criminalité qui gangrène la société insulaire mais ils ont divergé sur les causes. Ils ont lancé un « cycle de travail de cinq mois » sans proposer la création d’une commission d’enquête parlementaire.
Les élus de l’Assemblée de Corse ont fait le constat d’une société insulaire minée par « la dérive mafieuse » en regrettant l’absence de représentants de l’État dont la discrétion et somme toute compréhensible. En juillet, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin avait annoncé à Bastia, « le renforcement des moyens judiciaires » contre la criminalité organisée en Corse où 25 bandes seraient identifiées. Force est de reconnaitre que ces derniers mois les membres de certaines, et non des moindres, ont eu à répondre aux convocations des juges et des réseaux de trafic de drogue ont été démantelés.
La résolution adoptée par la majorité nationaliste n’a pas retenu la qualification de « mafia » pour « définir comme "dérive mafieuse" toute forme de crime ou de délit, ou tout comportement, émanant de groupes appartenant à la sphère de la criminalité organisée, et usant de violence ou contrainte, ou menaçant de le faire pour influer sur les choix individuels et collectifs des citoyens, et/ou des décideurs, et/ou des élus, et de la société corse, notamment dans la sphère économique et/ou politique ».
Face à l’absence de référence concernant la « violence politique » la droite a défendu un texte alternatif condamnant : « les dérives caractérisées par des attributs de type mafieux, qui trouvent leurs racines dans les différentes formes de violence, parmi lesquelles la violence politique ». Pierre Poggioli en 2003 n’écrivait-il pas : « Au vu des trente années qui se sont écoulées depuis sa création, le FLNC a engendré un système qui pèse aujourd’hui sur toute la revendication et sur la société corses. Les expériences qu’ont vécues de nombreux militants en son sein ne peuvent que nous confirmer dans notre analyse sur son rôle destructeur pour les individus sincères qui s’y engagent et pour la société corse » (1). C’est bien du point de vue de la responsabilité politique par rapport à l’évolution de la société que les choses doivent être examinées pour les nationalistes comme pour les autres forces politiques et les gouvernements.
Ainsi les élus de l’Assemblée de Corse, à juste raison, n’ont pas fait de comparaison avec l’Italie et des régions comme la Sicile et la Calabre où sévissent la Cosa nostra et la Camorra, où même Naples avec la Ndrangheta. En revanche la question de l’affairisme et les effets négatifs du libéralisme n’ont pas été suffisamment soulignés. Le libéralisme nourrit les dérives affairiste et maffieuse. On a de cesse de le répéter avec à l’appui les rapports de l’Inspection générale des finances et de l’Autorité de la concurrence « la captation » de la solidarité nationale est un fait établi comme le sont les situations de monopole dans les appels d’offre ou la perméabilité entre les sphères économique et politique. Au-delà chacun peut comprendre la difficulté de l’exercice et les limites auxquelles se heurte l’élu dont les prérogatives s’arrêtent la ou commencent celles de la justice et de la police. Autrement dit : les compétences régaliennes de l’Etat.
La résolution votée prévoit « un cycle de travail de cinq mois, associant organes de la Collectivité de Corse, communes, intercommunalités, et forces vives (…) autour de cinq thèmes prioritaires : Ethique et politiques publiques ; Secteurs économiques particulièrement exposés ; Drogues, commerces illicites ; Dérives mafieuses : - Instruments d’analyse et de quantification - Procédure, droit et politique pénale ; Enjeux éducatifs, culturels et sociétaux ». Par contre la création d’une commission d’enquête parlementaire n’a pas été proposée. On se souvient de l’accueil froid réservé au rapport Glavany intitulé « Corse l’indispensable sursaut ». C’était en 1998 après l’assassinat du préfet Claude Erignac. Dans l’hémicycle il n’y eut que les groupes communiste et radical de gauche pour défendre ce rapport qui évoquait « une situation pré-mafieuse » et la nécessité d’engager une action publique capable de stopper les dérives. Une opération « mani pulite » facteur de bouleversements politiques que d’aucuns ne voulaient pas forcément.
A plusieurs reprises les élus de l’Assemblée de Corse ont débattu de cette pression permanente pesant sur la société insulaire. En 1995 et 1996, en 2003 et 2006 puis en 2010 sous la présidence de Dominique Bucchini dont les propos restent malheureusement d’actualité. « Il est nécessaire de tenter de cerner l’ensemble du phénomène de violence, sous toutes ses formes, qui touche l’ile. Homicides, attentats, grand banditisme, vols, drogue, violence faite aux femmes, actes racistes, ensemble des atteintes aux personnes et aux biens… » disait-il.
Ouvrant ainsi les travaux de la « Commission violence » de l’Assemblée de Corse, Dominique Bucchini insistera sur l’exigence de « s’attaquer aux facteurs qui, profondément, favorisent cette réalité violente, un modèle économique pour lequel la spéculation et la prédation sont des valeurs positives, qui fait de l’argent le principal critère de la réussite et qui en même temps disqualifie le travail régulier en faisant miroiter une réussite facile à base de coups plus que de projets entrepreneuriaux, qui attise forcément l’intérêt des bandes rivales avides de faire main basse sur les activités offrant les meilleures perspectives de profit, un modèle enfin qui, produisant d’énormes inégalités sociales et géographiques, défait peu à peu notre pacte social et pour moi, le "pacte social républicain" fondé – et je le pense depuis toujours - sur la solidarité et l’équité ».
Sur fond d’injustice fiscale et sociale, de spéculation foncière, les dérives affairiste et mafieuse se sont accentuées encore. Les combattre requière une grande détermination politique et plus de moyens pour la justice et la police. Se pose de la même façon la question de l’affaiblissement des services et de l’administration de l’Etat. A coup de simplification administrative la décentralisation est devenue déconcentration et de réforme en réforme ce sont des centaines de milliers de postes qui ont été supprimés dans la fonction publique. Aux impôts, au trésor, au contrôle de légalité, dans les services de justice et de police combien de postes supprimés font défaut en Corse pour contrôler, instruire, juger et condamner. L’efficacité contre le crime organisé implique ainsi et aussi, outre la transparence et la démocratie, d’autres choix politiques pour en avoir les moyens tout en donnant la priorité à la réduction des inégalités donc à la justice sociale et fiscale. A défaut d’une prise en compte de cette dimension politique, le diagnostic ne peut être qu’incomplet et l’aboutissement du cycle de travail frustrant.
Michel Stefani
(1)   Le nationalisme en question(s), p. 116)
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puchkinalit · 2 years
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La sirène qui fume
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Des jeunes filles mineures dans un réseau de prostitution disparaissent. Certaines sont retrouvées, mortes, torturées et brûlées. Deux policiers aux antipodes l’un de l’autre sont hantés par ces crimes et disparitions. Le capitaine Gabriel Prigent tout frais arrivé de la DPJ de Rennes est épris de justice quitte à sacquer des collègues borderline. Le lieutenant Christian Kertesz quant à lui fraie avec la mafia corse et n’hésite pas à détourner argent ou drogues lors de ses interpellations. Mais l’affaire des filles tatouées d’une sirène qui fume va leur retourner le cerveau et leurs enquêtes respectives les mèneront dans les bas-fonds du crime et du sordide, entamant à mort leur santé mentale et physique. La Sirène qui fume est un roman noir, très dur. L’auteur va loin dans la violence jusqu’à l’extravagance quelquefois. Mais ce sacré bon polar se lit comme on regarderait une bonne série policière (un peu dans l’esprit de Braquo) pleine d’action et de fureur. Les flics sont des clichés ambulants mais le style direct, percutant et syncopé entraine le lecteur jusqu’au bout de l’histoire, rocambolesque et rebondissante à souhait.
7,5/10
La Sirène qui fume / Benjamin Dierstein.- Points.
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stephanemortimore · 11 months
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Plan retraite, Part 3.
Un sourire gamin s’épanoui sur son visage aux traits graves. Mon oncle préféré ! Qu’est-ce que tu fais ici !? Eh bien je suis venu voir si tu t’entrainais toujours à la salle, mais on dirait que oui, rigola Charlie devant l’air médusé des gamins. Laszlo lui sauta dans les bras. Ah comme je suis contant de te revoir ! Moi aussi mon gars, moi aussi. Charlie était fils unique mais Laszlo avait…
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verdi-alain · 8 months
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A quoi ressemble une organisation de « type mafieux » ?
Alain VERDI 27 Avril 2023, complété le 15 et 16 Avril 2024
Une organisation mafieuse n’est pas seulement constituée de voyous, utilisant la violence physique. Une organisation de « type mafieux » est généralement pérenne. Elle est installée, de longue date, dans la société. Elle regroupe quatre domaines : banditisme, monde de l’entreprise, professionnels du droit et des administrations et des « référents » dans le monde politique, à tous les niveaux.
Pour comprendre les nombreux articles qui suivent, il faut s’imprégner d'une réalité: une organisation mafieuse n'est pas seulement un groupe criminel, constitué de bandits. Il s'agit d'un objet politique, au sens premier du terme. Les membres de ce type d'organisation se répartissent dans de nombreux domaines de la société.
Les quatre domaines, décrits ci-dessous, sont une constante de l’organisation « de type mafieux ». Organisation que l'on retrouve dans des mafias reconnues et nommées comme telle, ou bien dans des organisations criminelles dites "ordinaires".
La principale différence entre Mafia et bande « ordinaire » est la pérennité. Le système mafieux traverse le temps et une bande « ordinaire », quelle que soit sa puissance, est vouée à disparaitre. Cette précision apportée, nous étudions ici la méthode criminelle, plus que les groupes qui l’utilisent. Pour comprendre ce qu’est une Mafia et un  système mafieux, nous pouvons nous référer aux définitions du terme Mafia.
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La mise en relation de ces quatre « pôles » procède d’une « méthode mafieuse ». Le groupe criminel, ainsi constitué, peut avoir une duré de vie limitée (quelques années) ou bien fonctionner de manière pérenne. La dimension pérenne peut constituer une Mafia, mais la reconnaissance d’une Mafia n’est pas un acte  juridiquement mécanique, découlant automatiquement de la « méthode mafieuse »*. Elle est le résultat d’un choix politique du législateur. Le seul pays européen possédant des mafias dans son corpus Iuris, ou corpus juridique  (normes actées par la législation), est l’Italie. Ce pays connait, aussi, des groupes criminels utilisant des « méthodes mafieuses », sans être des mafias. Le législateur s’est laissé une marge d’appréciation. Les différentes lois « anti mafieuses » ne désignent, ni ne décrivent les mafias. Ce qui est décrit, dans le code pénal, ce sont les modus operandi qui font que tel ou tel délit tombe sous le coup d’une Association mafieuse (Article 416 bis), ou bien ne sont de des actes criminels « ordinaires » (Article 416).
La DIA (Direzione  Investigativa Antimafia) identifie quatre mafias, en Italie **, mais la Justice italienne ne poursuit pas directement les membres de telle ou telle mafia, elle regarde la nature du délit et comment est organisé le groupe criminel qui le commet, pour poursuivre sous le chef d’inculpation Association mafieuse ou criminalité « ordinaire ».
 La France peut posséder des groupes procédant par « méthode mafieuse », sans être des mafias, car la législation française ne connait pas cette particularité juridique. Nous retiendrons que toutes les Mafias et certains groupes utilisant des « méthodes mafieuses » sont, globalement, constitués avec ces quatre « pôles ».
Italie, un système horizontal ou circulaire, plus que vertical
La grande erreur consiste à confondre le « volet banditisme », du système décrit ci-dessus, avec la Mafia en son entier. Qui commande ? C’est une question qui revient souvent et un débat non tranché à ce jour. Plusieurs protagonistes estiment que « personne ne donne d’ordre à la Mafia ». En l’occurrence nous parlons ici de la Cosa Nostra sicilienne. C’était l’avis du juge Giovanni Falcone et aussi de plusieurs « repentis », dont notamment Tommaso Buscetta et Antonino Calderone. Lors du « maxi procès de Palerme et de l’instruction qui l’a précédé, les liens avec le monde politique n’avaient pas été abordés. Le juge Falcone estimait  qu’il y avait un risque « de diluer le débat ». Il ne niait pas  le rôle des politiques, il avançait doucement. Son assassinat ralentira la compréhension de la  "jonction".  Je le répète ici, les assassinats des juges Falcone et Borsellino  (1992) ne sont pas seulement des vengeances de Cosa Nostra. Le "système" avait compris qu'en s'attaquant d'abord au bras armé, les magistrats finiraient par établir la nature des liens du "volet bandits" avec l'ensemble des pouvoirs.
Pour le « repenti », Antonino Calderone «  il n’y a personne au dessus de Cosa Nostra (…) qui nous donnerait des ordres. Ce sont les mafieux, tout au plus, qui donnent des ordres aux hommes politiques, même indirectement (…) ». In Les hommes du déshonneur***.
En aucun cas, les liens entre des hommes politiques et des voyous ne sont niés par des magistrats, ni des « repentis ». L'exemple d'Antonio d'Ali, ancien sénateur de Forza Italia et de ses rapports avec des boss de Cosa Nostra est édifiant.
Ce qui est souvent rejeté, c’est l’idée qu’il puisse exister un « niveau supérieur », politique, qui donnerait des ordres à Cosa Nostra. Ce raisonnement, fait de la mafia sicilienne et des autres mafias, des groupements autonomes, qui dominent les autres sphères de la société (politiques et économiques). Pourtant, rien n’est moins sur. Tachons de voir pourquoi.
L’après Riina n’est-il pas la preuve que le politique a repris la main, qu’il avait toujours eu ? En s’attaquant, violemment, à l’État et à des hommes politiques, Riina avait atteint l’hubris. Comment expliquer la démesure du chef des « corléanais ». Toto Riina a, sans doute, vraiment cru que les voyous avaient tout pouvoir sur la politique et ses rouages. Les propos d’Antonino Calderone relèvent, soit de l’ignorance (il n’était pas un gros boss de Cosa Nostra), soit d’une autoprotection (jouer le jeu qui consiste à laisser croire qu’il « n’y a personne qui donne des ordres à Cosa Nostra »). Jouer le jeu, c’est laisser à penser qu’il existe un rapport de verticalité : une Mafia toute puissante, qui donne des ordres aux politiques, aux fonctionnaires et au monde économique. En quelque sorte, elle donne des ordres à l’État.
Selon moi, le lien n’est pas vertical, mais circulaire et/ou croisé. En réalité les quatre composantes du tableau, ci-dessus, ont une relation quasi permanente et quasiment structurelle. C’est l’ensemble de ce système qui forme une organisation mafieuse. Dit comme cela, on comprend mieux que « le système » a tout intérêt à laisser croire que les voyous incarnent, à eux seuls, la Mafia.
« La Mafia, c’est le système. Il n’y a pas la politique d’un coté et la corruption de l’autre. C’est le même corps avec ses organes et ses membres et tout se meut par la volonté d’un seul cerveau ».
In Les nouveaux monstres 1978-2014. Simonetta Greggio****.
« L’épisode » des corléanais (1983-1993), avec Toto Riina, n’est qu’un passage qui a, un temps, déséquilibré « le système » global.
Quand j’écris que le Politique a « repris la main », je ne veux pas dire qu’il a repris la tête et le monopole du pouvoir, au sein du « système ». En réalité personne ne reprend la tête, car il n’y a pas vraiment de tête. Le pouvoir mafieux ressemble à une hydre. Le terme me parait parfaitement approprié*****.
Je me répète et je résume : une Mafia, ce n’est pas seulement la force armée (les familles de voyous),   c’est l’ensemble du système décrit dans le tableau présenté au début de cet article. Une discipline intellectuelle s’impose : une association mafieuse est constituée de l’ensemble des quatre éléments, sus-cités.
 Il faut noter que cet article a été rédigé après que mon travail et ma réflexion sur le phénomène mafieux aient particulièrement progressé. Entre le premier article (Mars 2022) et une trentaine d’articles plus loin, j’ai progressé sur la question : Corse : mafia or not mafia ?
Une constante domine :
Ce qu’il faut rechercher, c’est moins l’existence (ou non) d’une Mafia, que la présence d’un « système » tel que celui décrit dans cet article. Quel que soit le nom, nous parlons d’une organisation politiquement intégrée. Cette intégration du système mafieux,  dans la société humaine est, à la fois, une réalité indéniable et une perversion.
J’espère que les éléments recueillis, au cours de ce travail, permettent une meilleure réflexion sur les causes et les conséquences de la grande criminalité, quel que soit son nom.  Ce travail n’est jamais fini. Il doit, tout le temps être régénéré, comme l’hydre…
Alain VERDI
    Article complétée le 14 et 15 Avril 2024
    *Plutôt que Mafia, il faudrait désormais employer le terme "méthode mafieuse". Les tribunaux italiens ont déjà condamné plusieurs groupes criminels, employant des méthodes mafieuses, sous l'inculpation "d'association mafieuse" prévu par l'article 416 bis du code pénal italien. Cela démontre qu'il n'est nul besoin d'appartenir à une des quatre grandes mafias italiennes pour être poursuivi et condamné pour "association mafieuse". A ce propos nous pouvons lire L'ancrage local d'une mafia.Réflexion à partir du cas romain. De Tommaso Giurati, dans Déviance et société 2022/2 (Vol.46)
**Les quatre mafias transalpines, reconnues par les autorités italiennes sont les suivantes :
Cosa Nostra (Sicile)
Camorra (Campanie)
‘Ndrangheta (Calabre)
Sacra Corona Unita (Pouilles)  aussi nommée Societa Fogianna ou bien Mafia Fogianna (Foggia est une ville et une province, du même nom, dans la région des Pouilles).
Pour plus de détails, sur les 4 mafias voir le lien ici.
*** Entretien du sociologue Pino Arlacchi avec Antonino Calderone. Éd. Albin Michel
**** Éditions. Stock
***** La définition de l’hydre laisse songeur, quand on pense à une Mafia : c’est un organisme pluricellulaire complexe. Des généticiens les considèrent comme « immortelles », grâce à « leurs capacités régénératrices ». Toute ressemblance avec une Mafia ne serait que pure…
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Article publié sur le blog du site Mediapart
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mirrorontheworld · 4 years
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Dans le quatrième épisode de notre série « Le Squale, opérations secrètes », Mediapart lève le voile sur les liens entre l’ancien chef des services secrets intérieurs, Bernard Squarcini, et l’homme d’affaires corse Michel Tomi, surnommé le « parrain des parrains ». Et sur la manière dont le premier intercède en faveur du second…
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alainverdi · 1 year
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A quoi ressemble une organisation de « type mafieux » ?
Une organisation mafieuse n’est pas seulement constituée de voyous,   utilisant la violence physique. Une organisation de « type mafieux » est généralement pérenne. Elle est installée, de longue date, dans la société. Elle regroupe quatre domaines : banditisme, monde de l’entreprise, professionnels du droit et des administrations et des « référents » dans le monde politique, à tous les niveaux.
Pour comprendre les nombreux articles qui suivent, il faut s’imprégner d'une réalité: une organisation mafieuse n'est pas seulement un groupe criminel, constitué de bandits. Il s'agit d'un objet politique, au sens premier du terme. Les membres de ce type d'organisation se répartissent dans de nombreux domaines de la société.
Les quatre domaines, décrits ci-dessous, sont une constante de l’organisation « de type mafieux ». Organisation que l'on retrouve dans des mafias reconnues et nommées comme telle, ou bien dans des organisations criminelles dites "ordinaires".
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La mise en relation de ces quatre « pôles » procède d’une « méthode mafieuse ». Le groupe criminel, ainsi constitué, peut avoir une duré de vie limitée (quelques années) ou bien fonctionner de manière pérenne. La dimension pérenne peut constituer une Mafia, mais la reconnaissance d’une Mafia n’est pas un acte mécaniquement juridique, découlant automatiquement de la « méthode mafieuse »*. elle est le résultat d’un choix politique du législateur. Le seul pays européen possédant des mafias (norme actée par la législation), est l’Italie. Ce pays connait, aussi, des groupes criminels utilisant des « méthodes mafieuses », sans être des mafias. La France peut posséder des groupes procédant par « méthode mafieuse », sans être des mafias, car la législation française ne connait pas cette particularité juridique. Nous retiendrons que Mafias et groupes utilisant des « méthodes mafieuses » sont, globalement, constitués avec ces quatre « pôles ».
  *Plutôt que Mafia, il faudrait désormais employer le terme "méthode mafieuse". Les tribunaux italiens ont déjà condamné plusieurs groupes criminels, employant des méthodes mafieuses, sous l'inculpation "d'association mafieuse" prévu par l'article 416 bis du code pénal italien. Cela démontre qu'il n'est nul besoin d'appartenir à une des quatre grandes mafias italiennes pour être poursuivi et condamné pour "association mafieuse". A ce propos nous pouvons lire L'ancrage local d'une mafia.Réflexion à partir du cas romain. De Tommaso Giurati, dans Déviance et société 2022/2 (Vol.46)
  Alain VERDI le 27 Avril 2023
Le même article sur le site de Mediapart
Vous pouvez retrouver une série d’articles sur différents thèmes, en lien avec la Corse, sur mon autre blog de Tumblr,: E Pericoloso Sporgersi
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yespat49 · 1 year
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Le « milieu maghrébin et gitan », nouveau visage de la mafia corse
Le cinéma ne se nourrit pas que du passé, il prédit parfois l’avenir. C’est le constat de magistrats et de policiers spécialisés dans la lutte contre le grand banditisme corse. Plusieurs affaires en cours attestent du poids inédit pris, selon les policiers, par le « milieu maghrébin et gitan » au sein de la mafia insulaire. Une véritable révolution sociologique qui fait de ces anciens supplétifs…
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Photographe Paris France - Gokhan Altintas Photography Photographie par le photographe Gokhan Altintas, suivez le aussi sur instagram : https://www.instagram.com/gokhanaltintasphotography & https://www.instagram.com/photographeparisfrance/ - #achou #achouprod #achouproduction #belleville #corse #corsica #gacox #gacoxstudios #gokhanaltintas #gokhanaltintasphotography #hocinepower #lapiraterie #mafia #mafiastories #marseille #marseillestory #mermediterranee #oumardiaw #photographemarseille #pirate #ruedemarseille
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la-bassijysuis · 7 years
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Mafia et République (1/3) Naissance d'un pouvoir invisible (1929-1945) L'histoire complexe et occultée de la mafia corse, qui a prospéré à partir de la fin des années 1920 avec la complicité de l'état français. En trois volets, cette série documentaire ausculte les liens scélérats qui ont unis mafieux corses et politiques de tous bords sur trois générations. Réalisation- Christophe Bouquet
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