Tumgik
#mais promis c'est pas représentatif
soeurdelune · 1 year
Text
Tumblr media
UN AUTRE MONDE, le serveur discord des rpgistes indépendant·e·s
𝐔𝐧 𝐀𝐮𝐭𝐫𝐞 𝐌𝐨𝐧𝐝𝐞 🪐 a été créé par et pour les rpgistes indépendant·e·s. Il a pour objectif de faciliter les rencontres entre personnes pratiquant le rp indé/1x1/privé, dans un cadre sain et cozy.
En dehors des habituelles chaînes de présentation, recherches, etc., il vous sera également possible de créer votre espace personnel, une chaîne où vous serez seul·e à pouvoir poster et où vous pourrez partager vos préférences rpgiques, personnages, recherches et tout ce qui vous passera par la tête!
Venez trouver votre bonheur dans Un Autre Monde! ☞ Lien d'invitation
107 notes · View notes
french-ao3 · 7 months
Text
Des nouvelles du fameux sondage
Tumblr media
Comme promis, je veux partager avec vous les résultats du sondage que vous m'avez aidée à mener, et voir quelles conclusions il est possible d'en tirer. Je vais faire ça petit à petit, pour que ce soit plus facile à digérer pour vous et plus facile à rédiger pour moi (sachez en tout cas que la rédaction de mon mémoire est enrichie par vos contributions) donc
Dans cette première question, je vous avais demandé quelle variante du français vous parliez, et comme vous pouvez le voir, c'est un français de France sweep. C'est tout à fait normal : le post du sondage avait été taggué avec beaucoup des tags associés à la communauté des français sur Tumblr, à savoir #french side of tumblr, #upthebaguette ou encore #bagaitte. Je les re-taggue ici afin que toute la France puisse se réjouir de sa victoire, que je lui concède plus facilement que celle de la Coupe du Monde 2018.
J'ai choisi ces tags en particulier car je savais que c'était là que j'avais des chances de trouver de l'activité francophone, mais si ce mémoire avait une portée linguistique plus importante, j'aurais bien pris le soin d'utiliser des tags associés à des communautés francophones non françaises.
Cependant, l'hégémonie française n'est pas une conquête intégrale puisque j'ai eu le plaisir de voir des réponses de toutes les communautés linguistiques de la francophonie. C'est la Belgique qui nous a offert le plus de réponses après la France, suivie du français comme langue seconde, le Canada, la Suisse et enfin l'Afrique francophone. Bravo à tout le monde pour votre participation !
(Les chiffres représentés ici sont représentatifs de leur état le 15 février 2024 et sont susceptibles de changer dans le futur)
20 notes · View notes
a-room-of-my-own · 3 years
Note
Le gouvernement inclusif dont Le Drian parle, ce n'est pas l'inclusitivité dans le sens woke, c'est par rapport à la représentation de différentes factions/partis afghans
Si seulement, mais voilà le verbatim
franceinfo : Les talibans ont promis d'œuvrer à la réconciliation, disant avoir pardonné à leurs adversaires et vouloir protéger les droits des femmes, en accord avec la loi islamique. Est-ce que l’on peut dire que les talibans ont changé par rapport à ceux qui ont contrôlé le pays entre 1996 et 2001 ?
Jean-Yves Le Drian : C’est vrai que ce n’est pas la même génération, c’est vrai qu’ils sont entrés dans des négociations, en particulier avec les Etats-Unis. Ils déclarent vouloir acquérir respectabilité et honorabilité, c’est à eux d’en faire la preuve. Ils ont annoncé qu'ils respecteraient les droits acquis au cours des vingt dernières années en Afghanistan, il faut qu'ils le démontrent. Et la meilleure preuve serait de faire en sorte qu'il y ait un gouvernement de transition qui soit vraiment inclusif et représentatif. Cela montrerait que les talibans ont changé, qu'ils veulent respecter le droit, qu'ils veulent mettre fin aux violences et faire en sorte que les populations civiles se sentent en sécurité.
(itw : https://www.francetvinfo.fr/monde/afghanistan/afghanistan-il-faut-un-gouvernement-inclusif-qui-montre-que-les-talibans-ont-change-espere-jean-yves-le-drian_4740465.html)
A mon humble avis, Le Drian ne fait que répéter les éléments de langage du Département d'État américain, ce qui montre bien où les décisions sont prises.
Parce qu'évidemment l'avancée spectaculaire des talibans n'a rien de spectaculaire. Leur prise du pouvoir a été décidée, je ne sais pas exactement pour quelle raison mais si j'avais à deviner
- L'opinion publique américaine n'en peut plus des guerres au Moyen Orient, et veut que l'armée se retire.
- L'objectif initial de détruire des bases arrières terroristes est atteint depuis longtemps. L'objectif secondaire, exploiter les ressources naturelles afghanes, peut être rempli sans dépenser des milliards à développer le pays
- Pour garantir la stabilité du pays et des institutions il faudrait des centaines de milliers de soldats, une quasi colonisation. Outre que ça coûte cher, les populations sont très conservatrices, et à part une toute petite minorité, veulent vivre selon leurs traditions locales et les règles de l'islam rigoriste. Tenter de construire un état moderne se heurtera forcément à d'énormes résistances locales, surtout si on inclut les femmes.
- Maintenir et soutenir un état "démocratique" demanderait énormément d'argent et encore une fois verrait probablement des oppositions, des attentats, de la corruption, qui rejaillirait sur les US qui n'auraient "pas su" mettre en place un état stable. Dans le cas d'une invasion c'est différent, les gens se diront que c'est l'armée afghane qui a plié et laissé entrer les talibans dans le pays. Et comme l'état s'est immédiatement désagrégé (j'ai envie de dire comme prévu) les US n'ont pas à protéger un état allié, ce qui encore une fois coûterait un bras.
- Donc la solution à moindre coût c'est filer le pays aux Talibans. Avec un deal type, "vous faites ce que vous voulez mais vous nous laissez exploiter les ressources naturelles" et "au premier attentat fomenté depuis l'Afghanistan on vous réduit à l'état de graviers" on peut les laisser jouer à la République islamique tout en récoltant de quoi fabriquer des téléphones et des ordis. Et puis un leader taliban arrosé de pognon, il va vite se convertir au capitalisme avec la villa au Qatar et compagnie. Cynique mais efficace.
En plus c'est l'Europe qui va encaisser les vagues migratoires donc maintenant on n'a plus qu'à se taire et à encaisser des milliers d'arrivées faites de 90% d'hommes donc c'est pari gagnant pour les US... Et la Russie et la Chine qui n'auront aucun problème à exploiter les ressources et qui n'accepteront aucun migrant Afghan.
7 notes · View notes
claudehenrion · 3 years
Text
L'Islamo-gauchisme - ( II ) : les idiots utiles du djihad...
  Le gauchisme ''à la papa'' a bien changé : de peuple, de cible, de recrutement (j'allais écrire : de victimes). Ayant perdu ''le vrai peuple'' (qu'il n'a jamais eu. Mais il croyait l'avoir !) par sa bêtise, ses errements et ses dévoiements, par la vacuité de ses analyses et la perversité des solutions qu'il ne proposait pas, par son déni du réel et de l'évolution du monde, il s'est ''rattrapé aux branches'' en catastrophe, en racontant qu'il avait trouvé dans l'islam un prolétariat de substitution qui, espéraient les idéologues de cette erreur qui se rêve Terreur, allait voter pour lui et lui assurer la continuité de son pouvoir et la continuation de ses prébendes. Ah ! les cons !…
Il n'y a pas besoin d'être ''voyant  extra-lucide'' pour constater qu'une religion, quelle qu'elle soit, n'est ni un lieu de compromis, ni un terrain d'entente idéal, ni une variable d'ajustement éventuelle, mais qu'elle est une force qui peut soulever tout un peuple, contre son souverain et sa police, contre un régime, un mode de vie, un monde. Les djihadistes sont donc prêts à tolérer un temps des compagnons de route et même à leur faire croire qu'une alliance est envisageable, pour et avec eux. Cet (anti)raisonnement a, par exemple, amené le syndicat étudiant Unef à se rapprocher des Étudiants musulmans de France qualifié de bras armé des Frères musulmans par Mohamed Louizi (Pourquoi j'ai quitté les frères musulmans -Ed. Michalon). En croyant sauver quelques  meubles lors des élections, elle se fait bouffer par plus vicieux qu'elle ! Résultat : l'Unef n'est plus écoutée sur les sujets sérieux, comme la précarité étudiante en temps de covid. Et... c’est bien fait !
Cette énorme faute de jugement, presque un crime contre la pensée, ne date pas d'hier : on se souvient de ces militants de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), devenue le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) qui faisaient alliance avec des islamistes radicaux obnubilés par ''l’américano-sionisme'' et prônaient, au nom de la ''lutte contre l’impérialisme'', l'élimination de l'État d'Israël. J'ai en mémoire le Forum social européen accueillant en grande pompe le faux prédicateur-vrai violeur Tarik Ramadan à Saint-Denis, invité (on croit rêver !) comme ''leader religieux, représentatif d’une partie du prolétariat'' ! Même le Nouvel Obs avait titré une Une digne du Figaro : ''Confusion au Forum social européen : Les gauchistes d’Allah''.
Des bribes de vérité apparaissent dans les feuilles de chou les plus contaminées, même si, dans Libération, une Clémentine Autain revendique le titre d'islamo-gauchiste... que ce quotidien classe dans les ''insultes policées et intellectuelles'' (NDLR - ce qui n'a aucun sens !). Elle précise même, comme pour s'assurer que personne ne peut savoir de quoi elle parle : ''Je ne comprends pas exactement ce que veut dire le mot, mais si ça désigne l’intersectionnalité des luttes, alors oui, c’est ça qui me préoccupe. Je suis de gauche, et je me bats contre le rejet des musulmans en France'' (sic !)... Mais a l’opposé, on lit sous la plume de Pierre-André Taguieff, que ‘‘entre les islamo-gauchistes du Parti des indigènes de la république (en lutte contre la domination blanche et le peuple blanc) et les islamo-fascistes qui massacrent des infidèles au nom du Djihad, la différence est mince''. 
De son côté, Franz-Olivier Giesberg évoque la ''décomposition intellectuelle d'une certaine gauche française''. Et même Bernard-Henri Lévy (qui ne fait pas partie des gens que je lis ni ne respecte mais dont je sais citer un court extrait lorsqu'il a une brève crise d'intelligence) écrit : ''il suffit de lire Foucault pour prendre la mesure de la tentation identitaire, racialiste et, au fond, darwinienne qui n’a jamais cessé de hanter la gauche française, et de la longue généalogie de cette façon d’assigner les opprimés à leur origine, de les enfermer dans leur couleur de peau et leur ethnie''.
La Presse française sortirait-elle de son rituel aveuglement coupable ? Dans une enquête du Figaro Magazine sur ''les agents d’influence de l’islam'', les journalistes Judith Weintraub et Vincent Nouzille dénoncent ''les relais intellectuels de l'islamo-gauchisme, responsables politiques ou acteurs associatifs'’ qui, écrivent-ils, ''investissent l'espace médiatique''. Dans cette enquête, on croise, sous des formes et à des degrés divers, les sociologues Edgar Morin, Geoffroy de Lagasnerie et Raphaël Liogier, l'islamologue (?) Tarik Ramadan, l'historien Jean Baubérot, le démographe Emmanuel Todd, le géopolitologue Pascal Boniface, les journalistes Alain Gresch et  Edwy Plénel (qu'on est certain de retrouver dans tous les ''mauvais plans’’), les politiques  Jean-Louis Bianco, Caroline de Haas, Clémentine Autain, Benoît Hamon et Danièle Obono  ou encore des personnalités associatives telles que Marwan Muhammad, Houria Bouteldja et Rokhaya Diallo. Il ne manque à leur liste que Benjamin Stora, qui a entrepris d’inventer une nouvelle histoire réécrite de l'Algérie, de lecture très macronienne, c'est tout dire ! On en reparle bientôt, promis.
Mais s'il n'y avait que les islamistes comme groupe organisé coupable de volonté de conquête ! Ce serait oublier le climat de complicité intellectuelle et morale dans lequel les soldats d'Allah poussent leur avantage dans la sphère médiatique, intellectuelle et universitaire, qui se résume en deux mots : domination, d'un côté et pour les uns, et trahison de l'autre, pour les autres... sur tout ce qui touche au capitalisme, au christianisme, à l'Occident et à son histoire, et à Israël... (qui est intrinsèquement coupable, et son adversaire, même agressif, même radical, même terroriste, bénéficie donc de la bienveillance que l'on doit aux damnés de la terre). Il faut trouver une soif de justice dans la violence, la trace d'une faute dans celui qui la subit. En fin de compte, la question à 10 balles est : qui, du gauchisme ou de l'islamisme a pollué l'autre, et lequel sortira vainqueur de ce mano a mano ?
Mais quand, soi-disant au nom d'une minorité, d'une cause ou d'un mensonge historique, de beaux esprits très vilains veulent déboulonner les plus belles figures du patrimoine artistique, musical, littéraire, historique et militaire ou à arracher les plaques de rues au nom de grands hommes... on n'a même plus besoin de talibans pour dynamiter les statues ! Pourquoi donc les fous d'Allah s'épuiseraient-ils à faire taire nos cloches quand ils peuvent compter sur nos élus, en guerre contre le ''séparatisme catholique'' ? Et quand un Florent Boudié, rapporteur général du texte de loi sur ce qui aurait dû être ''Séparatisme'' et qui n'est plus que... rien du tout, établit un parallèle entre les enfants qui font leur première communion  et un viol incestueux, ou quand le pitoyable Eric Coquerel (LFI) affirme que le voile d’une mariée est le symbole de la soumission de la femme à son époux, que faut-il penser, sinon qu'ils sont idiots ? Ce sont des maniaques de la diversité qui traquent toute infraction à leur code d'effroyable ''bonne conduite'' et qui terrorisent ceux dont la plume, le dessin ou le verbe défendent la liberté d'expression. Tendez l'oreille ! Pour les ''idiots utiles du djihad'', la seule vraie menace qui pèserait sur nos institutions, ce serait la première communion des petites filles... alors qu'ils donnent la main à ceux qui rêvent d'abattre la République.  Mon Dieu, qu'ils sont cons !
Un dernier point doit inquiéter ceux qui ne sont pas encore contaminés ou ''porteurs malsains'' : l'accès de courage de notre ministre inconnue a vite été réorienté vers des terrains contrôlés par la bien-pensance : charger le CNRS d'une enquête, c'est assurer une fois de plus le parfait suivi de l'intenable et mortel ''et en même temps'' macronien : un coup à droite (’’Tremblez, canailles ! On lance une enquête...’’), et un coup à gauche (’’... mais on l'oriente vers un  organe qui va la classer’’). ''Je suis oiseau, voyez mes ailes... Je suis souris, vive le chats''. On sait dans quel état d'esprit sera abordée la demande de Frédérique Vidal : le CNRS est à la pointe des faux travaux de fausse recherche sur la prétendue écriture dite inclusive, sur la ''race'' en tant qu'arme de guerre, ou sur ''Sexualités, identités & corps colonisés''  (sic !), dans Ed CNRS-2019. C’est tout un programme !). Il faut tendre encore l'oreille... ‘’Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines....’’ ?
H-Cl.
8 notes · View notes
christophe76460 · 5 years
Text
L’Avent, c’est quoi au juste ?
L’Avent est la période de préparation à Noël. Ce mot vient du latin "adventus" qui signifie avènement, en l'occurrence l'arrivée sur terre de Jésus le Messie.
Il a aussi le sens de l'attente de la deuxième venue de Jésus, de son retour en gloire. Les prophètes Esaïe et Jean le Baptiste sont représentatifs de cette attente du sauveur promis à Israël.
Chez les catholiques, le premier dimanche de l’Avent correspond au début de l’année liturgique.
Décembre = le mois des gestes d’amour ?
Beaucoup de personnes, dans nos pays occidentaux, n’aiment pas le mois de décembre. Il fait froid et humide, les jours sont courts, le soleil se fait rare. Il FAUT penser aux cadeaux et aux menus de fêtes ... même si nos “absents” manquent à l’appel et que les relations familiales ne sont pas au beau fixe. C'est aussi le mois où la solitude se fait encore plus piquante pour beaucoup.
A noter que certains chrétiens ne fêtent pas Noël, voir notre question taboue : Noël est-il une fête chrétienne ?
Bien sûr, chaque jour contient de multiples opportunités d’aimer. Mais pourquoi ne pas y être plus attentif encore pendant ce dernier mois de l’année ?
Comment ? Voici deux idées que nous avons testées et validées :
💓 Préparer un panier d’amour
1. Procurez-vous un panier
2. Inscrivez dessus ou collez Panieramour.com 
3. Du 1er au 24 décembre ajoutez un objet par jour (*) puis : 
   - Prenez une photo par jour de l'objet au dessus du panier
   - Partagez-la sur les réseaux (pour ceux qui y sont)
   - Ecrivez #panieramour et/ou panieramour.com  
4. Offrez le panier à la personne ou à l'organisation de votre choix le 25 décembre !
(*) Idée d'objets : Chocolat, savon, saucisson, rasoir, t-shirt, foie gras, cidre, gants, mug, parfum, livre et tout autre cadeau de votre choix, selon vos possibilités et la région du monde où vous habitez.
Regardez la vidéo de David et Myriam, de notre équipe du TopChrétien :
Note : vous pouvez démarrer à tout moment
 💓 S’inscrire au Calendrier de l’Avent “Epidémie d’amour”
Et si j’étais né pour mieux ? Imagine si l’amour inconditionnel était la réponse pour nos vies ? Voici quelques questions qui ont trotté dans ma tête pendant des années et qui constituent aujourd’hui la vision du mouvement Epidémie d’Amour. Nous voulons être ce canal d’amour, ce coeur ouvert qui bat au service de l’autre. Nous voulons être une réponse concrète à l’indifférence et à la pauvreté. Nous voulons dire je t’aime par des actes d’amour. Alors que la peste s’est propagée, alors que le sida contamine, alors que le terrorisme amène la terreur, aujourd’hui la seule solution est de contrebalancer les mouvements. Notre but est simple : Vivre, voir et influencer une épidémie d’amour. Quoi de mieux que de transformer une tradition pour l’amener plus loin ? Je suis heureux de te présenter la deuxième édition du calendrier de l’avent 2019. Je t’encourage et te félicite de relever ce défi d’amour.
L’année dernière nous avons atteint 16715 Actions d’Amour. Plus de 1600 personnes ont relevé le défi. Cette année les 25 auteurs ci-dessous ont mis tout leur coeur pour vous préparer des pensées pour te booster et t’amener à une prochaine étape. Nous visons cette année plus de 10000 inscriptions pour faire ensemble plus de 100000 Actions d’Amour ! Ma seule question est :
ES-TU PRÊT À RELEVER LE DÉFI A NOS COTES ?
Denis Pottiez, Fondateur du mouvement Epidémie d’Amour
Pour s’inscrire, c’est ici (ce n'est pas trop tard !)
Et vous qu’allez-vous faire en ce beau mois de décembre ?
La question taboue
Elisabeth Dugas
0 notes
actusfrances · 5 years
Text
Cyril Dion : "Face à l'urgence climatique, la démocratie délibérative est indispensable"
Tumblr media
C'est une première en France. Suite au Grand débat national, Emmanuel Macron avait annoncé la mise en place d’une assemblée citoyenne de 150 personnes tirées au sort. Sa mission : faire des propositions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) françaises.    Le tirage au sort, réalisé à partir de l’annuaire téléphonique, aura lieu dès la mi-août et jusqu'à la mi-septembre. Puis, la "Convention citoyenne pour le climat" sera officiellement lancée le 4 octobre. Elle se réunira durant 6 week-ends, toutes les trois semaines, afin de rendre ses conclusions à l’exécutif et aux parlementaires en février 2020.   Pour présider cette Assemblée : Thierry Pech (essayiste) et Laurence Tubiana (économiste). Trois "garants" seront par ailleurs chargés de veiller à l’indépendance et au bon déroulement des travaux : Anne Frago (directrice du service culture et questions sociales de l’Assemblée nationale), Michèle Kadi (ancienne directrice des missions institutionnelles du Sénat) et… l’écrivain et réalisateur Cyril Dion. Interview.        
Retrouvez le portrait de Cyril Dion, "Nous sommes tous dans le déni", dans la revue We Demain n°26, disponible en kiosque ou sur notre boutique en ligne
  We Demain : Vous avez fait des films, écrit des livres… C’est la première fois que vous vous engagez dans une action politique. Pourquoi avoir accepté cette mission ? 
     Cyril Dion : Il s'agit d'une action politique dans ses débouchés mais, au départ, c’est une action citoyenne. C’est le collectif des Gilets citoyens, dont je fais partie, qui a élaboré cette proposition d’assemblée citoyenne tirée au sort. Je milite pour une démocratie délibérative depuis des années. La dernière partie de mon film Demain, sorti en 2015, y était déjà consacrée. Je pense que nous ne nous en sortirons pas sans cela. Notre modèle de démocratie représentative ne permet pas de prendre les mesures radicales nécessaires pour faire face aux défis actuels. L’objectif de la Convention citoyenne est de formuler des propositions pour réduire d’au moins 40 % nos émissions d’ici 2030. Le "au moins" est important car, en réalité, il faudrait plutôt arriver à moins 50 % ou moins 65 %.   Et donc tendre vers la décroissance… Je ne vois pas comment un gouvernement libéral prendrait de telles mesures. La démocratie délibérative permet d’aller beaucoup plus loin, comme on a pu le voir dans d'autres pays. Notre pari est de créer un rapport de force avec le gouvernement, depuis l’intérieur. D’élaborer des propositions dans un cadre approuvé par le gouvernement, puis d’obtenir un référendum.  
Concrètement, quel va être votre rôle ?
       Nous sommes trois garants, un nommé par l’Assemblée nationale, un par le Sénat et l’autre – moi – par le Conseil économique, social et environnemental (CESE).   Mon rôle est de surveiller que tout se passe bien, et d’engager un rapport de force si ce n’est pas le cas. Le Président a promis que les propositions de la Convention seraient portées au Parlement ou au référendum sans filtre, cette notion est fondamentale. Je dois donc veiller à ce qu’il respecte sa parole. Si ce n’est pas le cas, je réagirai : d’abord de façon informelle, puis dans les médias et, en dernier recours, je démissionnerai.    
Vous avez rencontré Emmanuel Macron. Avez-vous eu l’impression d’une prise de conscience du gouvernement quant à l’urgence climatique ? 
     Je pense que les politiques en ont conscience dans une certaine mesure, mais une conscience plutôt cérébrale. Le problème ce n’est pas "la conscience", c’est la structure même de nos sociétés, de nos économies, calibrées pour aller chercher la croissance et qui fonctionnent avec une logique de marché. Il n’y a aucun gouvernement qui sait comment s’en sortir.   Ils sont prêts à prendre des mesures, mais jusqu’à un certain point. Pour la taxe kérosène par exemple, ils redoutent un problème de compétitivité face aux autres pays. Même chose pour la taxe carbone.   Se pose aussi le problème de l'opinion publique. Si on dit au gens qu’il faut réduire le nombre de véhicules de 50 %, arrêter de consommer, arrêter de prendre l’avion sur les lignes intérieures, arrêter de manger de la viande… Ils ne vont pas être d’accord. Les politiques se réfugient toujours derrière cet argument, qui est une réalité politique : ils ont besoin de contenter la majorité pour être réélus.   C’est le problème de la démocratie représentative : c’est un modèle qui ne convient pas à l’urgence. C’est pourquoi il faut permettre aux gens de délibérer, en leur donnant tous les tenants et les aboutissants des problèmes.       
Des citoyens "non spécialistes" sont-ils légitimes pour trancher ces questions ? 
       Les gens vont se réunir toutes les trois semaines, ils seront formés, de la même manière qu’un jury d’assises. Nous leur donnerons tous les éléments pour leur permettre de délibérer. Et ils seront représentatifs de toute la société française. Nous allons leur indiquer les principaux postes émetteurs de GES en France. Et même s’il y a des thèmes proposés dans la lettre de mission, l’Assemblée pourra se saisir de tous les thèmes souhaités.  
Qu’adviendra-t-il des conclusions rendues début 2020 ? Comment ne pas devenir une simple caution du gouvernement ? 
     Nous allons engager une discussion, et un bras de fer si nécessaire, pour que le Président respecte sa parole : lancer un référendum à choix multiples. D’autres sujets iront au Parlement car la Constitution de la Ve République ne permet pas de traiter de questions de fiscalité par référendum (par exemple en ce qui concerne la taxe carbone).   Nous aimerions aussi que certaines propositions entrent en application directe par décret. C’est l’Assemblée elle-même qui déterminera quel thème sera soumis à référendum.   Ailleurs, ce système a fait ses preuves. En Irlande par exemple, cela a permis l'adoption du mariage pour tous et le droit à l’avortement, alors que c’est un pays très catholique. Grâce à cette méthode, le Texas, État pétrolier par excellence, est devenu celui qui a le plus d’éoliennes aux États-Unis. C’est un processus qui permet d’aller au-delà des clivages traditionnels et des logiques politiciennes soumises aux lobbies.  
Pensez-vous que l’on puisse pousser la démocratie délibérative plus loin ? Peut-être dans d’autres domaines ? 
      Oui, que c’est totalement fondamental. La Suisse a un référendum d’initiative citoyenne qui permet aux gens, régulièrement, de proposer des projets à l’Assemblée par la suite soumis à votation. J’espère que cette expérience va prouver à un maximum de gens que c’est un système qui marche.    
Il y aura des intérêts contradictoires au sein même de l’Assemblée. La taxe carbone a par exemple créé des tensions, on l'a vu avec la crise des Gilets jaunes... Selon vous, comment réconcilier fin du monde et fin du mois ? Comment éviter de faire de "l’écologie punitive" ? 
       Les écolos sont souvent taxés de bobos. Dans ce cas, des gens de tous horizons, précaires ou moins précaires, seront forcés de trouver des modalités qui conviennent à l'ensemble.   Ceux qui parlent "d'écologie punitive" ne se rendent pas compte que, dans quelques années, ce sera pire que la punition. Nous serons obligés d’avoir un discours de vérité, qui invitera chacun à arrêter d’être un enfant.   C’est comme si on était face à un danger grave, comme une guerre mondiale par exemple, et qu’on répondait tranquillement, "je veux continuer de profiter de mon confort"… Là, on est face à une situation catastrophique, qui peut devenir hors de contrôle. Quand on est en danger de mort, on doit trouver un moyen de se sauver, se donner des règles collectives. Et je préfère que nous nous les donnions par des voies démocratiques.    
Comptez-vous vous engager d'avantage en politique par la suite ? 
     Ah non, jamais de la vie ! (rires)   Le but, c’est l’inverse. Je préfère essayer de résoudre le problème collectivement. L'engagement politique individuel...
from We Demain, une revue pour changer d'époque https://ift.tt/2KK4tV7 via IFTTT
0 notes
reseau-actu · 6 years
Link
Tumblr media
Le parallèle évoqué par Agnès Buzyn avec la Coupe du monde de football pour expliquer le report du plan pauvreté a outré la classe politique dans son ensemble.
Le report du plan pauvreté à la rentrée, alors que les mesures étaient très attendues par une partie des macronistes, a jeté un froid dans la majorité. «Le signal envoyé est terrible, on n'aurait jamais dû l'annoncer pour juillet», grogne un parlementaire La République en marche (LaREM). Pour ne pas perdre la face, ils sont nombreux à espérer des annonces certes repoussées, mais d'autant plus robustes. «Pour une stratégie de cette ampleur, il faut créer les conditions pour être audibles», estime Brigitte Bourguignon, présidente de la commission des Affaires sociales à l'Assemblée nationale et rapporteure de la proposition de loi sur l'accompagnement des jeunes majeurs vulnérables. «Cela ne sert à rien d'annoncer de beaux plans à l'été pour qu'on l'oublie à la rentrée. Je comprends les déceptions, mais on ne règle pas un tel problème en quinze jours, ce qui compte c'est l'investissement social.»
«Même quand il jette des miettes de brioche sur le passage de son carrosse, les pauvres doivent attendre et attendre !»
Dans l'opposition, le patron des socialistes Olivier Faure, a immédiatement réagi, ironisant sur la possible collusion, au jour initialement prévu pour la présentation du plan, avec la demi-finale du Mondial de foot. Le chef de l'État avait en effet promis aux Bleus qu'il irait les soutenir s'ils se retrouvaient en demi-finale… «On se pince! “Il a promis”… sans blague, on s'en moque bien qu'il soit là-bas ou pas, a ainsi écrit sur Twitter le député PS. L'équipe de France n'a pas besoin de lui pour gagner!! En revanche les plus démunis attendent… eux!!! Ce n'est pas le nouveau monde mais le monde à l'envers!»
«Même quand il jette des miettes de brioche sur le passage de son carrosse les pauvres doivent attendre et attendre! Pour les milliards des riches, c'est toujours dans l'urgence», a dénoncé de son côté le député LFI François Ruffin. «“Panem et circenses”. Du pain et des jeux suffisaient à tenir le peuple selon les empereurs romains. Emmanuel Macron a tranché: le pain attendra», a abondé Benoît Hamon, fondateur du mouvement Génération.s.
» LIRE AUSSI - Le plan pauvreté reporté à cause de la Coupe du monde? La justification de Buzyn passe mal
Même indignation côté communiste. «D'abord on lit l'info, a commenté le porte-parole du PCF, Olivier Dartigolles, en référence à un possible report lié à la Coupe du monde. On a du mal à le croire. Et puis il faut bien se rendre à l'évidence. Oui, ils sont même capables de cela.» Dartigolles en a profité pour épingler à nouveau l'expression du chef de l'État, sur le «pognon de dingue» mis dans les minima sociaux. Reprenant un article de l'hebdomadaire Challenges, Dartigolles a ainsi souligné que «le montant cumulé des 500 plus grandes fortunes a augmenté de 200 % en 10 ans, soit 650 milliards d'euros. L'équivalent de 30 % du PIB en 2018, contre 10 % en 2009». «Pour la suppression de l'ISF, Macron était bien plus pressé. Comme le disait Coluche, qui était philosophe: “Salauds de pauvres”», a complété le député PCF Sébastien Jumel.
«Comme il y a le match de foot, eh bah on fera le plan sur la pauvreté en automne. Vous vous rendez compte ce qu'est devenue la politique en France ?»
De l'autre côté de l'échiquier politique, l'incompréhension est aussi grande. Le président des Républicains, Laurent Wauquiez, a lui aussi dénoncé sur CNews jeudi, le report du gouvernement «sur un sujet aussi important». «On apprend, ce qui est assez consternant, que le plan contre la pauvreté est repoussé parce qu'il n'y a pas de créneau médiatique pour que le président de la République s'exprime, s'est-il ému. Et comme il y a le match de foot, eh bah on fera le plan sur la pauvreté en automne, s'est-il étonné. Vous vous rendez compte ce qu'est devenue la politique en France? Vous vous rendez compte ce que c'est?», a-t-il poursuivi.
Pour le président de LR, cet épisode est «très représentatif de ce tout-communication qui s'est installé» à l'Élysée. Un sentiment partagé par le président du groupe LR à l'Assemblée, Christian Jacob. «Les masques tombent, glisse-t-il. On voit les limites de sa communication, c'est de plus en plus brouillon.»
«On a terminé le Consulat, on est en train de passer à l'Empire avec un pouvoir autocratique»
Le député LR de l'Indre, Nicolas Forissier, se montre encore plus sévère. «Emmanuel Macron est en train de mal tourner. On a l'impression d'un président de plus en plus déconnecté, assure l'ancien secrétaire d'État. La caste qui gouverne dans l'entre-soi a plus de pouvoir que jamais. On a terminé le Consulat, on est en train de passer à l'Empire avec un pouvoir autocratique!, juge-t-il. Mais les Français le ressentent», met-il en garde.
Le report du plan pauvreté est d'autant plus regrettable, juge le président du Sénat, «que la pauvreté est en train de s'installer en France. Ça me préoccupe beaucoup. C'est le sujet numéro un dans les départements et les espaces ruraux», s'inquiète Gérard Larcher. «Je pense qu'on ne peut pas jouer avec la pauvreté», condamne de son côté la sénatrice LR de l'Essonne, Laure Darcos. «La pauvreté n'attend pas. J'espère vraiment qu'à la rentrée, le gouvernement sera prêt à faire des annonces», indique-t-elle en espérant que le report du plan ne soit pas que lié au match de foot des Bleus. «J'espère que ce n'est pas la vraie raison.»
0 notes
frtodaynews · 6 years
Link
L'ardoise de la compagnie ferroviaire s'élève à 47 milliards pour SNCF Réseau et 8 milliards pour SNCF Mobilités…
L'Assemblée nationale a adopté très largement la réforme de la SNCF en première lecture — ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP
«Entre 30 et 35 milliards d'euros». C'est le montant de la dette de la SNCF que l'Etat va reprendre, annoncé jeudi sur LCP le rapporteur du projet de réforme ferroviaire .
«Un point et demi de PIB»
L'ardoise de la compagnie ferroviaire s'élève à 47 milliards pour SNCF Réseau et 8 milliards pour SNCF Mobilités. Jean-Baptiste Djebbari (La République en marche) a estimé que l'intervention de l'État, qui s'accompagnera «d'investissements dans le système ferroviaire», équivaudrait à «un point et demi de PIB». «Le Premier ministre s'exprimera vendredi sur le niveau de reprise de la dette et l'investissement dans le système ferroviaire», a ajouté le député de Haute-Vienne.
Le montant des investissements prévus n'est «pas encore tout à fait arbitré», d'après Jean-Baptiste Djebbari, mais ceux-ci devraient concerner «l'infrastructure: le réseau, le fret, les voies, la signalisation», a détaillé le rapporteur du projet de loi. Le député a promis que les annonces du Premier ministre seraient «de nature à rassurer les cheminots, qui ont eu «un sentiment fort de "cheminot bashing"», désormais «assez largement purgé» à ses yeux.
Quel avenir pour le patron de la SNCF?
Interrogé sur l'avenir du patron de la SNCF Guillaume Pepy, le député a rappelé que «son mandat durera[it] jusqu'en 2020» et qu'il «fallait un pilote dans l'avion pour mener à bien la transition» ainsi que des «échéances importantes», comme la convention collective de l'entreprise, destinée à être prochainement renégociée. Quelques minutes plus tôt, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux avait déjà estimé sur Europe 1 que «la question du maintien de Guillaume Pepy à la tête de la SNCF n'(était) pas posée».
SNCF : “La question du maintien de Pépy à la tête de l’entreprise n’est pas posée” https://t.co/DJOCYjCAFJ
— Europe 1 (@Europe1) May 24, 2018
Jean-Baptiste Djebbari a par ailleurs contesté la légitimité de la «vot'action» lancée par les cheminots, une consultation interne à la SNCF dont les résultats à 95% défavorables au projet de réforme ont été dévoilés mercredi. Le député a ainsi critiqué «les modalités de la "vot'action": les listes d'émargement sont conservées par les syndicats, elles seront détruites, certains (employés de la SNCF) ont peut-être pu voter plusieurs fois»… a-t-il argumenté.
94,97% des votants contre la réforme de la @SNCF à la vot’action : “La réforme de la @SNCF n’a probablement pas été suffisamment expliquée. Il y a encore ce devoir de pédagogie”, juge @Djebbari_JB.#DirectAN #PolMat pic.twitter.com/DIMKYiBgsC
— LCP (@LCP) May 24, 2018
Le vote de l'Assemblée nationale est lui «légitime», «ce n'est pas un passage en force», a insisté le rapporteur, avant de saluer les syndicats réformistes CFDT et Unsa, «qui ont des doutes sur l'ouverture à la concurrence mais sont constructifs». Selon lui, l'«unité médiatique» entre les quatre syndicats représentatifs à la SNCF (CGT, CFDT, SUD et Unsa) est une «façade», qu'il a opposé à «la réalité des faits».
20minutes Economie
The post L’Etat reprendra «entre 30 et 35 milliards d’euros» de la dette de la SNCF appeared first on Nouvelles de la France.
0 notes
christophe76460 · 5 years
Text
L’Avent, c’est quoi au juste ?
L’Avent est la période de préparation à Noël. Ce mot vient du latin "adventus" qui signifie avènement, en l'occurrence l'arrivée sur terre de Jésus le Messie.
Il a aussi le sens de l'attente de la deuxième venue de Jésus, de son retour en gloire. Les prophètes Esaïe et Jean le Baptiste sont représentatifs de cette attente du sauveur promis à Israël.
Chez les catholiques, le premier dimanche de l’Avent correspond au début de l’année liturgique.
Décembre = le mois des gestes d’amour ?
Beaucoup de personnes, dans nos pays occidentaux, n’aiment pas le mois de décembre. Il fait froid et humide, les jours sont courts, le soleil se fait rare. Il FAUT penser aux cadeaux et aux menus de fêtes ... même si nos “absents” manquent à l’appel et que les relations familiales ne sont pas au beau fixe. C'est aussi le mois où la solitude se fait encore plus piquante pour beaucoup.
A noter que certains chrétiens ne fêtent pas Noël, voir notre question taboue : Noël est-il une fête chrétienne ?
Bien sûr, chaque jour contient de multiples opportunités d’aimer. Mais pourquoi ne pas y être plus attentif encore pendant ce dernier mois de l’année ?
Comment ? Voici deux idées que nous avons testées et validées :
💓 Préparer un panier d’amour
1. Procurez-vous un panier
2. Inscrivez dessus ou collez Panieramour.com 
3. Du 1er au 24 décembre ajoutez un objet par jour (*) puis : 
   - Prenez une photo par jour de l'objet au dessus du panier
   - Partagez-la sur les réseaux (pour ceux qui y sont)
   - Ecrivez #panieramour et/ou panieramour.com  
4. Offrez le panier à la personne ou à l'organisation de votre choix le 25 décembre !
(*) Idée d'objets : Chocolat, savon, saucisson, rasoir, t-shirt, foie gras, cidre, gants, mug, parfum, livre et tout autre cadeau de votre choix, selon vos possibilités et la région du monde où vous habitez.
Regardez la vidéo de David et Myriam, de notre équipe du TopChrétien :
Note : vous pouvez démarrer à tout moment
 💓 S’inscrire au Calendrier de l’Avent “Epidémie d’amour”
Et si j’étais né pour mieux ? Imagine si l’amour inconditionnel était la réponse pour nos vies ? Voici quelques questions qui ont trotté dans ma tête pendant des années et qui constituent aujourd’hui la vision du mouvement Epidémie d’Amour. Nous voulons être ce canal d’amour, ce coeur ouvert qui bat au service de l’autre. Nous voulons être une réponse concrète à l’indifférence et à la pauvreté. Nous voulons dire je t’aime par des actes d’amour. Alors que la peste s’est propagée, alors que le sida contamine, alors que le terrorisme amène la terreur, aujourd’hui la seule solution est de contrebalancer les mouvements. Notre but est simple : Vivre, voir et influencer une épidémie d’amour. Quoi de mieux que de transformer une tradition pour l’amener plus loin ? Je suis heureux de te présenter la deuxième édition du calendrier de l’avent 2019. Je t’encourage et te félicite de relever ce défi d’amour.
L’année dernière nous avons atteint 16715 Actions d’Amour. Plus de 1600 personnes ont relevé le défi. Cette année les 25 auteurs ci-dessous ont mis tout leur coeur pour vous préparer des pensées pour te booster et t’amener à une prochaine étape. Nous visons cette année plus de 10000 inscriptions pour faire ensemble plus de 100000 Actions d’Amour ! Ma seule question est :
ES-TU PRÊT À RELEVER LE DÉFI A NOS COTES ?
Denis Pottiez, Fondateur du mouvement Epidémie d’Amour
Pour s’inscrire, c’est ici (ce n'est pas trop tard !)
Et vous qu’allez-vous faire en ce beau mois de décembre ?
La question taboue
Elisabeth Dugas
0 notes