Manifestation régionale à Vire
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Lourdie JEAN CHARLES - MWEN POU OU [Official Music Video]
Lourdie Jean Charles - Mwen pou ou (video et paroles)
Mwen Pou Ou
-1-
Yon kò ki te san valè,
Yon nanm ki te nan fènwè,
Ou vini, ou met limyè
Ou trase chimen nan malè
Ou netwaye m
Ou restore m
Ou wete tout sa k pa bon;
Ou chwazi mwen,
Ou met so w sou mwen,
M deklare anyen p ap wete w nan mwen.
-Kè-
Se pou glwa ou manisfeste
Se pou lavi m depann de ou
Se pou m sèvi w
Mache ak ou
Mwen pou ou, mwen pou ou
-2-
Dèfwa m ba w kout kouto nan do,
Poutan w geri blese m yo
Dèfwa m menm vire do m ba w
Poutan ou toujou prè pou tande vwa m
Ou padone m menm asepte m
Ou mete manto lagras sou do m;
Ou rele m pa w,
Ou pote m sou do w
M deklare anyen p ap wete w nan mwen.
-Kè-
Se pou glwa ou manifeste
Se pou lavi m depann de ou;
Se pou m sèvi w mache ak ou
Mwen pou ou
Mwen pou ou
Se pou onksyon antre nan mwen
Se pou lespri w gide lespri m
Ke prezans ou rete nan mwen
Mwen pou ou mwen pou ou
Ooooooooooooooooo
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DIRECTED BY : @judelinvisualcreative5463
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Producer & Sequencer: Genoldens Desulma
Studio: world Media
Choir: Alexis Fortune
Nedjy Thevene
Jean Charles Lourdie
Dukens Gauthier
Songwriter: Jean Charles Lourdie
Text corrector: Louinet Nicolas & Sony Lamarre
assistant vidéaste : Lima Lucien Daniel
Clifenly LAZARD
Jean judenel Isaac
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#gospel
#music
#worship
#praise
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#musique
#évangélique
#actualités
#bgospelmagazine
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Côte d’Ivoire : la passation de charge d’un nouveau maire élu vire à l'affrontement
Le lundi 30 octobre 2023, à Tioroniaradougou, une petite ville du nord de la Côte d’Ivoire, l’installation du maire élu, Silué Sekou a viré au drame, selon les informations rapportées par Linfodrome.
En effet, la ville de Tioroniaradougou était sous tension lors de la cérémonie d’installation du nouveau maire, lundi dernier. La cérémonie s’est terminée par des manifestations, des incidents et…
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Je suis témoins un conquérant 🔥🔥
Et l'Esprit et l'épouse disent: Viens. Et que celui qui entend dise: Viens. Et que celui qui a soif vienne; que celui qui veut, prenne de l'eau de la vie, gratuitement.
Apo 22:17
Viens = manifeste toi, exprime toi
Si ont veux se mettre en accord avec Dieu, ont doit se mettre en accord avec sa parole et elle produit du fruit.
Je te donne ma vie, mon ame, ma vie est ta propriété, tu as besoin d’un corps, prends tout Seigneur.
Je suis l’épouse, quel est l’enfant que je dois porter. Je ne veux pas vire mon projet mais ton projet.
Tout ce que je veux c’est d’être ta plate-forme. Seigneur je veux véhiculer ta volonté.
Je prend ma position d’épouse pour te laisser t’exprimer
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DISGAEA 7: VOWS OF THE VIRTUELESS
https://www.youtube.com/watch?v=FPv8kzwHvZs
Disgaea 7 : Une Nouvelle Aventure Déjantée au Pays de l'Absurde
Dans Disgaea 7, le changement le plus évident se manifeste par un décor imprégné d'une saveur orientale, évoquant la période Edo de l'histoire japonaise, tout en demeurant fidèle au monde souterrain. Là, l'histoire se déroule dans Hinomoto, offrant un cadre exotique à cette nouvelle aventure.Le casting des personnages atteint des sommets de bizarrerie inégalés. Certains crachent littéralement du sang en guise de réaction à un compliment, d'autres manifestent leur colère envers des bâtiments impeccables, et il y a ceux qui se laissent aller à des propos grossiers. L'humour, une tradition bien ancrée dans la franchise, abonde. Cependant, il peut parfois laisser les habitués des chapitres précédents de marbre, trouvant certaines blagues quelque peu dépassées. (sauf pour moi XD)Les vétérans presseront plus fréquemment le bouton pour passer les dialogues, une option devenue plus fréquente qu'auparavant. Pourtant, ceux qui abordent la série à partir de cet opus ne pourront s'empêcher de sourire face aux comportements délirants des membres du groupe hétéroclite façonné par les développeurs.L'humour absurde, signature de la franchise, est une nouvelle fois à l'honneur dans Disgaea 7. Tout comme dans les épisodes précédents, l'intrigue vire souvent à la farce, servant davantage à faire sourire les joueurs qu'à réellement influencer les événements sur le champ de bataille.L'histoire de ce septième opus met en lumière Fuji, avec pour co-protagonistes Pirilika et Ao. Tous sont en quête de l'honneur perdu du code Bushido, une valeur aussi sacrée pour les personnages qu'elle peut sembler insignifiante pour le joueur, qui possède ses propres motivations personnelles pour se confronter, de manière assez littérale, au méchant de l'histoire, le démon Demmodoro Opener, réputé pour son sadisme et sa cruauté.Au-delà des péripéties bien connues et des moments d'hilarité sincère, l'essence même du jeu réside dans les batailles stratégiques au tour par tour. Disgaea 7 promet ainsi une aventure délirante, où l'absurdité règne en maître, et où l'humour et l'action fusionnent pour offrir une expérience unique aux joueurs.
Une Évolution Savamment Équilibrée
Si vous n'avez pas vécu reclus dans un ermitage perché à deux mille mètres d'altitude au cours des vingt dernières années, la saga Disgaea ne vous est certainement pas étrangère. Cette série de jeux de stratégie au tour par tour est réputée pour ses situations loufoques, où l'on peut par exemple projeter ses alliés sur le champ de bataille, ou encore utiliser des pingouins explosifs (Dude NOOOOOO) pour semer la déroute chez les ennemis. Sans oublier les milliers de combats optionnels visant uniquement à maximiser les statistiques d'une arme.Dans Disgaea 7, rien de tout cela ne change, pour le meilleur comme pour le pire. Nous sommes en présence d'un nouvel opus qui évolue plutôt que de révolutionner, repoussant l'inévitable changement que les fans de la série attendent depuis au moins cinq ans. Chaque chapitre semble alourdir un peu plus l'ensemble.Pourtant, ce septième volet nous a davantage conquis que son prédécesseur. Peut-être est-ce dû au nouveau décor, ou peut-être au niveau global d'automatisation moindre, qui a légèrement restitué la prise de décision au joueur, élément qui a toujours été entre ses mains.Bien que le gameplay évolue, il ne révolutionne pas vraiment la formule. Cependant, le jeu a eu la prévenance de limiter les combats automatiques qui prévalaient dans le sixième chapitre.Le niveau de difficulté demeure conforme à celui du sixième volet, souvent plus doux que ce à quoi les vétérans de la série étaient habitués. Ceux en quête de défis plus relevés devront fouiller dans le contenu optionnel foisonnant et la vaste fin de partie. Un choix compréhensible d'un point de vue commercial, bien qu'il puisse potentiellement désorienter les adeptes de la saga depuis l'époque de la PlayStation 2.Une nouveauté notable réside dans la possibilité pour le joueur de créer des unités au même niveau que son groupe actuel, rompant avec la tradition où celles-ci débutaient toujours au niveau 1. Une option simple mais ô combien appréciable, permettant d'expérimenter davantage, de tenter des stratégies audacieuses et d'éviter l'ennui lié à la montée en niveau des nouvelles recrues.Bien que la quarantaine de classes disponibles offre une belle variété, avec des joyaux comme les zombies qui gagnent en puissance à chaque trépas sur le champ de bataille, on note la présence d'une quinzaine de classes de clones, aux différences minimes et aux capacités spécifiques plutôt redondantes.
Entre Immensité et Répétition
Une question complexe se pose concernant la longévité et la quantité de contenu offert : d'un côté, le jeu s'ouvre sur un potentiel infini, où les passionnés de statistiques et de chiffres pourront investir des centaines d'heures entre l'Item Monde, la réincarnation, le Quest Shop et les contenus annexes.D'un autre côté, comme trop souvent dans les produits actuels, après une dizaine d'heures passées dans ces contenus, on ressent l'agacement que tout se ressemble. Ainsi, bien qu'il soit techniquement envisageable de s'y plonger entièrement, la perspective, à y regarder de plus près, s'annonce moins enthousiasmante.Ce qui brille davantage, selon nous, c'est l'introduction d'un mode multijoueur en ligne passif. Vous opposez votre équipe à celle d'autres joueurs du monde entier, tel un jeu d'échecs par correspondance, avec des règles variant d'étape en étape et sans possibilité d'agir directement sur les unités.Sur le plan technique, le jeu se comporte admirablement bien, offrant un choix entre un 60 fps généralement stable et une meilleure qualité d'image globale. Cependant, nous n'avons pas été totalement convaincus par la persistance des graphismes en trois dimensions, introduits il y a deux ans et demi avec le sixième épisode.Cela s'explique certainement par des considérations économiques de la part de NIS, qui a pu capitaliser sur de nombreux actifs déjà présents dans ses archives et les améliorer. Néanmoins, nous demeurons d'avis que les graphismes bidimensionnels étaient mieux adaptés à cette franchise emblématique.Il convient de noter que nous avons observé quelques incidents de pop-in de texture et de brefs gels d'image en conjonction avec certains effets graphiques plus lourds. Nous sommes cependant conscients que l'équipe de développement est attentive à ces problèmes et travaille à les résoudre dans les prochains correctifs.
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DEFUME…
Defume os teus braços por baixo e por cima para que tenhas as tuas asas livres para voar. Defume a tua cabeça para limpar as velhas memórias que te levam a repetir o mesmo e te ligares com bênçãos do mundo de cima.
Defume a tua frente para espantar os pensamentos que apagou a tua visão, os teus olhos para que possas ver o que ainda não observas e os teus ouvidos para que ouças o chamado da tua alma.
Defume a tua garganta para soltar o nó que não te deixa falar e ligar a tua mente com o teu coração.
Defume o teu coração para espantar o medo, para que se vá bem longe onde não te possa encontrar, e se abra a receber o amor verdadeiro.
Defume seu plexo solar para que se dissipe a dor que você carrega dentro e possa saborear o prazer da paz.
Defume com fogo o teu baixo ventre para que se queimem os apegos, os amores que não foram, os sonhos que não nasceram e os filhos que não chegaram, para que se acenda a tua vontade de sentir, criar e começar de novo.
Defume com força seu sexo, que é a porta de entrada para tirar o lixo que você recolheu de tanto tentar te amar e amar.
Defume seus pés para limpar as pegadas velhas e você possa dar passos novos, que se abra o caminho com este remédio para que o novo destino se manifeste diante de você.
Vira-te e defume assim a tua nuca lá onde se esconde o que te assombra.
Defume suas costas tirando o peso do passado e a história de cargas e peço que você se vire e coloque suas mãos em forma de tigela e defume suas mãos para tirar-lhe o dano e as amarras que tenham e que estas estejam abençoadas para dar e receber.
Boa noite! Lucas Lima 🧙♂️🧝♀️🧙♀️🕉️
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Retrospectiva 2022 🧠💗💻🎆😵💫
olá, não tô boa não mas é porque eu já não lembro de nada porque foram cinco anos em um. Vamos as coisas mais importante: em janeiro, dia 21, meu cachorro Fred faleceu. Ele já estava velhinho e estava muito calor e eu sinto falta dele todos os dias. Eu por causa das menstruação que não existe descobri em Dezembro que tenho SOP e tô tomando anticoncepcional. Descobri que sou autista nível um e faz muito sentido agora. Falta o laudo médico. Cada dia me descobrindo mais na terapia. Tive uma depressão bipolar forte e não sei se me recuperei ainda, toda hora alguém que se diz amigo me decepciona e são filhos da puta comigo, mas sei do meu valor. Vi meus duas bffs em janeiro e passei mal. Eu tive surdez súbita (e foi muita coisa pra descobrir que é isso), melhorou e não é certo que eu use aparelho. Eu sai com muitos "amigos" mas na verdade não são, nem a festa de aniversário que fizeram foi de verdade,deve ser um livramento, não estou louca. Ah, sinto falta do Jonas sempre que vejo um gato mas ele tá bem agora. Fiquei doente e fui para no hospital.
Os amigos do Twitter me ajudaram (em especial Nini), os memes, música, os artistas, músicas e filmes. Greys, Heartstopper, Stranger Things e Manifest salvaram minha vida esse ano, e de verdade mesmo. Passei por cima do meu medo de zumbi, assisti onze temporadas de TWD e amei. Taylor Swift e Selena Gomez especial demais em todos momentos desse ano. Teve Copa, teve morte da Rainha e do Rei, hiperfoco no MGG e CM, Demi no Rock In Rio, li quinze livros esse ano e surtei com Graphic Novels. E teve Avatar, os dois: o do povo azul e novidades do meu avatar. Vai ter PJO em algum momento e Encanto foi o surto de janeiro. Dragon Prince em novembro. E Tick Tick boom me destriu. Meu hobby favorito agora é jogar The Sims 4. Fui em médico demais e gastei muito com isso. To acabando com tudo mas sei agora o quê é melhor pra mim.
No profissional, ganhei muitos alunos, perdi vários alunos e hoje tenho 6 alunos. Foi o ano que aprendi mexer no Canva e criei aquilo que me trouxe mais tristeza que é meu ig de professora. É exaustivo e não tem retorno, espero aprender a lidar com isso. Fora o assédio de homens lá. Mas trabalhei a criatividade, o que e bom. Começei TESOL na ASU e fiz cinco módulos e foi bem legal. Fiz prova e entrei na Facic em Letras e ano passado eu tinha outro plano mas acho que vai me ajudar a trabalhar com idiomas que é o que eu gosto mesmo nessa vida. Espero mesmo com as minhas limitações ir bem na faculdade, provas, amizades e interações. Também tirei umas fotos tipo modelo e talvez isso dê certo, mas acho só que gastei 600 reias por nada. Cada dis eu tô melhorando as minhas aulas, estudei muito e vou estudar mais. E tranquei minhas redes sociais, melhor coisa que eu fiz nessa vida. Tentei a carreira de atriz mas não rolou, me fizeram odiar até isso.
e agora meu amor, guarde bem o seu dinheiro para faculdade e para coisas mais importantes. O Kwai ajuda com um pouco á vezes, mas não é muito. Foi legal esse ano mais pelo tempo que você surtou por série, todas as suas relações com pessoas foram estressantes e espero que ano que vem você não se sinta mal; se não te entendem, problema delas. Leia e estude bastante na faculdade e vire Dr. Louise Banks, ou a Dr. Taylor Swift (ela não sai do seu wallpaper mesmo). Cuide da sua saúde, viaje com a Lari, faça novos amigos e assista muita série e escute muita música. Seja alegre no período que dá e sinta sua tristeza. Lula é presidente e agora nada te para. Brasil feliz de novo e você também. Há jogos piores que esses, você consegue. Todas as coisas contribuem para o bem. Te amo.
Com amor, Esquilin.
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Lettre(s) à ma femme...
Lettre(s) philosophiques et parfois métaphoriques sur le libertinage et le candaulisme.
Parce que…
Parce que ce n’est pas être fou que de vouloir être libre, que de vouloir vire pleinement, que de vouloir vivre pleinement libre… !
Ce que j’aimerais pour nous (tu pourras voir que j’ai mis des tirets pour te faciliter la lecture et correspondre plus à toi).
Du coup, c’est carrément dans le désordre et parfois redondant.
C’est aussi par écrit, parce que pour moi plus facile (qu’est-ce qu’il est difficile de parler avec toi !) Rires, ou avec moi… (Lieu, moment, autres activités, …).
Aussi :
- Parce que je souhaite que l’on reste ensemble. Notre chemin n’a pas été si désagréable ensemble jusqu’à présent et paradoxalement mais aussi contrairement à ce que tu dis « on n’a rien en commun », je crois que nos différences réelles sont aussi autant de chances de pouvoir vivre de manière complémentaire et nous porter vers un style de vie certes peu banal et commun mais intéressant et réalisable, la liberté en couple. D’une difficulté, faire une opportunité ! De plus, on n’est pas si laids et pas si idiots que ça pour un couple de cinquantenaires me semble-t-il, et si on peut espérer encore quelques années douces à vivre, c’est maintenant… ;
- Parce que je souhaiterais que l’on soit un couple moderne et libre. Selon moi c’est le genre de couple dorénavant le plus adapté à la société moderne… ;
- Parce que je trouve ridicule de tout casser pour aller vers la liberté de chacun, c’est-à-dire prendre le même chemin mais seul et chacun de son côté (sic…). Imposer et s’imposer des souffrances et des difficultés pour aller vers le même résultat… Quels intérêts, quels bénéfices ? Dans ce style de vie libre il y a aussi de belles valeurs, crois-moi ! Et certainement des avantages.
- Parce que je souhaite te revoir, belle, gaie dynamique, sexy et libre. Comme à nos débuts. Libre en plus, ce que tu recherches et dis sans arrêt me semble-t-il (« Si je redeviens célibataire je n’aurais que des amants… »)
- Parce que je souhaite te voir être celle qu’au fond de toi tu es (en tout cas la partie que tu en donne visible) et ce pourquoi tu sembles le mieux manifestement adaptée : faire la fête, sortir, danser, rire, te faire belle, te sentir belle quand tu attires l’attention, vivre spontanément et un peu dans l’insouciance, te sentir jeune, …
- Parce que je souhaite qu’on ait une réelle complicité, une tendresse, un respect, une admiration réciproque, une écoute, une sexualité pleine et riche quand on est ensemble… ;
- Parce que je souhaite que l’on soit libre de sortir tout aussi bien ensemble que séparément en fonction de nos agendas et/ou envies sans que cela provoque soit des frustrations, des inconforts ou des problèmes pour l’un ou l’autre (je peux ici te faire néanmoins une promesse : m’attacher à trouver le moyen d’apprendre à danser – internet ou cours… ? - pour parfois t’accompagner et me sentir moins con et ridicule, tout en te laissant le choix de tes cavaliers et de me tolérer comme partenaire de danse;
- Parce que je souhaite te refaire des cadeaux spontanés ou préparés dès que l’occasion se présente où, et surtout que tu m’en laisse l’initiative (ici, par exemple, à l’issue de cette lecture et si tu es en accord avec ces souhaits, t’offrir un beau bracelet de cheville que l’on pourrait aller choisir ensemble et exprimant et matérialisant cette liberté) ;
- Parce que je souhaite que l’on soit libertins (sans être jusqu’à aller obligatoirement dans les clubs – quoiqu’il faudrait, toi qui aime et a le sens de la fête, qu’un jour tu y ailles pour t’apercevoir que ce n’est pas que ce que tu en pense et surtout, te faire ta propre opinion sans penser que ce sont simplement ou partout des boites à cul et baise et que les personnes qui les fréquente ne sont que de dangereux pervers sexuels. Il y en a sûrement mais il y a aussi certainement des gens très bien et très épanouis…C’est aussi ce que j’y avais remarqué quand j’y étais allé. Certes il y a très longtemps et cela a forcément dû changer…
- Parce que, puisque je parle sexe, je souhaiterais que tous les jours où l’on se retrouve dans le même lit et où est ensemble on puisse faire l’amour, ou a minima que l’on se fasse un câlin, même une simple gâterie, une pipe ou par exemple un simple bisou sur le sexe (toi et/ou moi) pour juste te faire mouiller ou me faire bander et nous faire penser l’un à l’autre pour le reste de la journée … Rassures-toi, je veillerai à ne pas toujours me placer en position de « confort » la tête sur l’oreiller…
- Parce que je souhaite qu’on ait de nouveau une vie sexuelle riche et intense comme tu semblais aussi l’apprécier…Celle dans « dehors » s’il y en a, devra se faire sous protection bien entendu (d’ailleurs il y a plus de chance qu’il y en ait pour toi que pour moi… : métier, facilité de contacts et d’opportunités pour toi, timidité pour moi, vie plus casanière…. Pour ma part, j’aimerais aussi que tu me dises (certes pas tous les détails...Quoique ?) lors de nos retrouvailles tes « sexploits »…
- Parce que je souhaiterais que l’on puisse vivre pleinement et intensément nos quelques futures années à venir…
- Parce que je souhaite que tu t’amuses et vive sans râler et toujours te sentir frustrée et brimée…
- Parce que je souhaite que tu continues à te faire belle, pour moi, pour d’autres, peu importe, te faire belle…Ou moi te ressentir comme telle lorsque j’entends tes remarques comparatives sur la vie des visible et/ou parfois seulement supposée des autres…
- Parce que je souhaite vivre en « artiste » et mes passions d’artiste, pour, même si c’est sans succès, l’avoir tenté et ne rien regretter…Me permettre de créer sans crainte d’être jugé ni blâmé de ne pas faire autre chose…
- Parce que je souhaiterais que l’on ne casse pas tout alors qu’on a les moyens de bien et confortablement vivre cette liberté…
- Parce que c’est un réel style de vie ne visant qu’à l’épanouissement de l’un et l’autre et pas l’un contre l’autre ou au détriment de l’autre…
- Parce que tu ne dois pas dire que c’est un style de vie de « salope » puisque tu es la première, et tu as bien raison, à les défendre en disant, ce que je pense aussi, que ce n’est qu’elles que cela regarde et qu’il n’y a rien de condamnable aux yeux de la loi tant que cela procède d’un choix libre, personnel et intime…
- Parce que je souhaite que l’on puisse être heureux toi et moi sans s’écorcher comme on l’a déjà beaucoup trop fait. On ne mérite pas cela, ni toi, ni moi…
- Parce que je souhaiter être et rester ton mari mais aussi avoir le rôle de ton amant numéro un, indéboulonnable quoiqu’il arrive et vers celui vers qui tu reviens toujours…
- Parce que je souhaite que l’on continue ensemble à s’occuper de nos enfants et rester à leurs côtés pour les voir grandir… De même pour nos familles.
- Parce que je crois qu’on en a les moyens, les possibilités, encore le temps…Ayons-en l’intelligence !
- Parce qu’il n’y a rien de plus rare, de plus beau, qu’une femme qui est elle-même…A l’aise dans sa parfaite imperfection…Un homme également…
- Parce qu’il est venu le temps que l’on puisse découvrir et exprimer chacun de nous ce que l’on est réellement…
- Parce que je souhaite vivre, te montrer et te démontrer mon amour inconditionnel…
- Parce que je t’aime…
Ajout et complément au texte « Parce que »
- Parce que cela offre (aux partenaires principaux, le couple) une telle confiance, une telle liberté, une telle complicité, une telle sérénité, un tel affranchissement de tous les dogmes possibles, imaginés ou/et imaginables que cela a une puissance insoupçonnée et insoupçonnable…
- Parce que cela ouvre et éclaire le vrai chemin du bonheur, de la liberté, de la tendresse et en vérité de l’Amour de l’autre, des autres…L’amour humain, dans toute son entièreté, dans tous ses possibles, dans toute son acceptation …L’amour inconditionnel, le « pur » s’il existe…En tout cas, s’en approcher, s’en rapprocher… Tout est, et/ou devient limpide, clair et éclairé…Il n’y a plus ou pas de contraintes, de sentiments perturbants, dérangeants, néfastes, « mauvais (jalousie, colère, ressentiments, mensonges, « fausseries », tromperies, perversités (même si le côté « sexuel », d’ailleurs non obligatoire et libre là aussi …) peut le faire croire ou l’assimiler. C’est d’ailleurs un des écueils, un des dangers du concept et du choix de ce chemin, mais surtout un des sophismes…Laisser croire ou faire croire qu’il ne mène que dans une impasse (pensée souvent comme de nature addictive et/ou perverse et plutôt « a priori » sexuelle) tandis que bien au contraire, il ouvre de multiples chemins et davantage de choix bien plus « grands » que le simple assouvissement d’envies ou de désirs et /ou encore plus bassement à mes yeux, de la simple et manichéenne vengeance ou la matérialisation comptable d’une relation, qu’elle soit sexuelle ou pas. Pour l’heure, ainsi, je n’aurais pas en tête le souci de moi aussi te rendre la pareille de façon mathématique , cela ne serait d’ailleurs en rien une liberté (tout au contraire, une contrainte, une obligation de plus…) si tu devais avoir ou avoir eu une relation sexuelle ou poussée avec un amant, mais plutôt d’être heureux pour toi, heureux que tu aies pu vivre quelque chose d’intense, d’unique (ou pas… !), et surtout de te savoir libre, heureuse, comblée (enfin il faut l’espérer quoique, en est-il ou y en saura –t-il toujours la certitude physique absolue ?) Ainsi, l’image qui m’en vient à l’esprit est celle-ci…L’image du phare, toujours présent, solide, éclairant, te laissant le choix du chemin, offrant le choix sur du retour à bon port ou de la route sécurisée, de l’aventure, de la liberté … Présent et constant…Gratuit, libre lui aussi , même si par définition attaché si solidement à la terre, indéracinable…Chacun doit peut être avoir et jouer son rôle… ? Les uns le phare (mais effectivement peu nombreux…) et les autres les bateaux, voyageant, voguant, partants, revenants, car qu’on le veuille ou non nécessairement attachés à un port, une « terre », un refuge…Ce n’est pas le phare qui prend la mer…Ou alors, lorsqu’il la prend ce n’est que lors de tempête si intenses et si fortes, pas toujours voulues, que cela en est majestueux…Le bateau s’en épargne et même s’il sort plus souvent parce qu’il est fait pour cela, ses voyages et ses transports sont plus fréquents et certainement plus joyeux, heureux, sûrs et moins éprouvants, protégé, éclairé et guidé vers le port d’attache par le phare dont il est certain de trouver l’amure (tiens, presque l’amour…)
- Parce que je t’aime…
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Pour la philosophe, une partie des militants se disant "intersectionnels" privilégient les indignations sélectives et trahissent le progressisme.
Il fut un temps où le concept d'intersectionnalité servait à mettre en lumière des formes de discriminations jusqu'alors méconnues parce qu'étant hybrides, elles ne s'intégraient pas aux catégories préexistantes. On savait caractériser un acte raciste ou sexiste, mais non la spécificité d'une discrimination touchant simultanément une femme noire en tant que femme et en tant que noire. L'intersectionnalité avait ainsi pour raison d'être, et pour vertu, de nommer des injustices redoublées par l'invisibilité dans laquelle l'absence d'une terminologie idoine les plongeait.
Pourtant, à observer la manière dont des groupes militants français se présentant comme intersectionnels tendent aujourd'hui, au contraire, à privilégier certaines luttes au détriment d'autres, on se dit que ce temps-là est révolu. "Intersectionnalité" n'est plus nécessairement synonyme d'une approche véritablement englobante des discriminations. Elle débouche bien souvent sur leur hiérarchisation. On observe ainsi que les rassemblements organisés contre le sexisme ou contre les LGBT phobies sont le terrain de tensions autour de la création de cortèges de tête réservés aux personnes "racisées" afin de mettre cette discrimination en avant, mais qu'à l'inverse, les marches antiracistes n'ont pas besoin d'intégrer dans leur cortège ou leurs slogans les autres discriminations. De la même manière, il est visiblement impossible, pour ce courant militant, de concevoir une manifestation contre l'antisémitisme sans aborder la question de son instrumentalisation, jusqu'à finir par se focaliser sur elle, voire qu'elle vire à la manifestation antisioniste, comme ce fut le cas en 2019 à Ménilmontant.
L'aboutissement de cette logique a été récemment illustré par la journaliste Lauren Bastide qui, sur son compte Instagram, a entrepris de justifier pourquoi elle refuse de soutenir Mila, jeune femme qui subit depuis janvier 2020 une vague de cyberharcèlement et dont quelques-uns des harceleurs viennent d'être jugés au tribunal. Répondant à ceux qui l'accusaient d'indignation à géométrie variable, elle développe un argumentaire pour le moins insolite. Tout en reconnaissant que Mila est victime d'un cyberharcèlement à caractère sexiste et lesbophobe, elle retourne l'accusation en reprochant à ses détracteurs de négliger le harcèlement subi par d'autres militantes et journalistes féministes, avant de conclure par une explication aussi lapidaire que lunaire : "Je ne soutiens pas publiquement Mila parce que je ne partage pas sa vision du monde raciste et irrespectueuse des musulman-e-s de France. Et vous, vous la soutenez parce que vous partagez cette vision."
Des victimes incriminées
Selon Lauren Bastide, le soutien médiatique et citoyen massif dont bénéficie Mila serait donc le fruit d'une haine viscérale des musulmans, et non la conséquence logique du caractère exceptionnel de sa situation, celle d'une jeune femme (mineure au début des faits) lesbienne qui discutait avec une amie de leurs goûts en matière de partenaires, et qui s'est retrouvée, du jour au lendemain, déscolarisée et sous protection policière. Pour justifier publiquement la sélectivité de ses soutiens, Lauren Bastide n'hésite donc pas à falsifier le réel en repeignant en raciste irrespectueuse des musulmans une jeune homosexuelle qui n'a fait que dire ce qu'elle pensait des croyances qu'on lui avait jetées à la figure pour la déshumaniser en tant que lesbienne. Ce faisant, Bastide embrasse aveuglément le narratif des harceleurs de Mila, consistant à exiger un respect inconditionnel des croyances religieuses, y compris quand celles-ci servent à cautionner une haine homophobe, et ce, alors même que cette dernière continue à recevoir des menaces de mort et de viol par milliers.
Quand le souci de ne pas occulter les discriminations racistes débouche sur une véritable fixette qui pousse à les imaginer là où elles ne sont pas ; quand l'exigence de respecter les croyances s'impose au détriment du respect des personnes que ces croyances déshumanisent, quand elles ne justifient pas leur maltraitance (thérapies de conversion), leur persécution ou leur mise à mort ; quand, enfin, cette confusion entre propos hostiles envers la religion et attaques envers les croyants, qui conduit à faire du blasphème un acte répréhensible, continue à s'imposer dans un pays où ce dernier a déjà coûté la vie à la rédaction de Charlie Hebdo et au professeur Samuel Paty, c'est que le carambolage à l'intersection des luttes fait plus de victimes que de bien. Des victimes qu'on n'hésite pas à incriminer pour couvrir sa propre inconséquence.
Le XXIe siècle, décidément jamais à court de surprises, aura donc engendré sa chimère : le progressisme réactionnaire.
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DEUSES DO BRASIL/GODS OF BRAZIL/TUPÃ
TUPÃ
DEUSES DO BRASIL
TUPÃ
Até aqui apenas escrevi sobre a mitologia afro-brasileira. Tupã é o primeiro deus, verdadeiramente brasileiro, que escreverei sobre, por ele ser da mitologia indígena brasileira.
É o mais conhecido de todos, tantos entre a maioria das tribos que o cultuavam quanto pelos brasileiros atualmente.
Isso se deve por ter sido escolhido como o deus referência ao deus cristãos dos jesuítas que chegaram na colônia portuguesa para catequisar os índios.
Ele é o principal e maior deus da religião indígena.
Praticamente criador de quase tudo. Céu, terra, água. Ensinou aos índios a agricultura e o artesanato.
Sua morada é o céu, e sua manifestação é o trovão (raios).
Lembra alguém?
Thor
Xangô
Zeus...
Mas não creio que seja realmente versões desses deuses. Afinal, quando o homem não entendia o mundo a sua volta, ele criou deuses para explicar e entender.
Tupã, apesar de ser o deus que trouxe o conhecimento para a humanidade, ele é antes de tudo um deus temido. Que não pensa duas vezes em liberar sua fúria aos homens, via tempestades e raios.
No Brasil há um debate entre religiosos e seculares.
ONGs, até mesmo internacionais, vêm adentrando as florestas brasileiras com a missão de converter os índios.
Bem provável que a religião desapareça em breve e vire mera mitologia.
O problema nisso tudo não é nem mesmo a conversão dos índios ao cristianismo.
Com a conversão, os pajés vêm perdendo poder e prestígio. Pajé é o líder espiritual de uma aldeia.
Com ele o conhecimento dos remédios da mata.
O idioma original da aldeia com o desaparecimento total das orações e cantigas.
Será bom para o índio?
Não sei.
Mas com certeza o Brasil ficará muito mais pobre na sua cultura.
friend proDEUSES DO BRASIL
TUPÃ
So far I've only written about Afro-Brazilian mythology. Tupã is the first god, truly Brazilian, that I will write about, because he is from Brazilian indigenous mythology.
He is the best known of all, as many among the tribes that worshiped him as by Brazilians today.
This is due to having been chosen as the reference god to the Christian god of the Jesuits who arrived in the Portuguese colony to catechin the Indians.
He is the main and greatest god of the indigenous religion.
Practically the creator of almost everything. Heaven, earth, water. He taught the Indians agriculture and crafts.
Its abode is heaven, and its manifestation is thunder (rays).
Do you remember anyone?
Thor
Xangô
Zeus...
But I don't think it's really versions of these gods. After all, when man did not understand the world around him, he created gods to explain and understand.
Tupã, despite being the god who brought knowledge to mankind, he is first and foremost a feared god. Who doesn't think twice about releasing his fury to men, he saw storms and lightning.
In Brazil there is a debate between religious and secular.
NGOs, even international, have been entering brazilian forests with the mission of converting the Indians.
It is very likely that religion will soon disappear and become mere mythology.
The problem in all this is not even the conversion of the Indians to Christianity.
With conversion, shamans have been losing power and prestige. Shaman is the spiritual leader of a village.
With him the knowledge of the remedies of the forest.
The original language of the village with the total disappearance of prayers and songs.
Will it be good for the Indian?
I don't know, i don't know
But Brazil will certainly be much poorer in its culture.
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"DEFUME..." 🍃 Defume os teus braços por baixo e por cima para que tenhas as tuas asas livres para voar. Defume a tua cabeça para limpar as velhas memórias que te levam a repetir o mesmo e te ligares com bênçãos do mundo de cima. Defume a tua frente para espantar os pensamentos que apagou a tua visão, os teus olhos para que possas ver o que ainda não observas e os teus ouvidos para que ouças o chamado da tua alma. Defume a tua garganta para soltar o nó que não te deixa falar e ligar a tua mente com o teu coração. Defume o teu coração para espantar o medo, para que se vá bem longe onde não te possa encontrar, e se abra a receber o amor verdadeiro. Defume seu plexo solar para que se dissipe a dor que você carrega dentro e possa saborear o prazer da paz. Defume com fogo o teu baixo ventre para que se queimem os apegos, os amores que não foram, os sonhos que não nasceram e os filhos que não chegaram, para que se acenda a tua vontade de sentir, criar e começar de novo. Defume com força seu sexo, que é a porta de entrada para tirar o lixo que você recolheu de tanto tentar te amar e amar. Defume seus pés para limpar as pegadas velhas e você possa dar passos novos, que se abra o caminho com este remédio para que o novo destino se manifeste diante de você. Vira-te e defume assim a tua nuca lá onde se esconde o que te assombra. Defume suas costas tirando o peso do passado e a história de cargas e peço que você se vire e coloque suas mãos em forma de tigela e defume suas mãos para tirar-lhe o dano e as amarras que tenham e que estas estejam abençoadas para dar e receber." #ilêaséibádanaràká🌈 (em Salvador, Bahia, Brazil) https://www.instagram.com/p/CONZQpwnOMe/?igshid=exg5mwek3xkf
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Deux ou trois mots sur le mésusage du terme "haine"
Il est toujours amusant de voir quelqu’un se présenter comme "psychanalyste" — alors que ses propos le situent invariablement dans le discours le plus antipathique de structure au Discours de l’Analyste, à savoir le Discours Universitaire, comme c’est le cas avec le «psy» d’institution — parler de «la haine», comme si la haine était un «phénomène objectif», observable depuis une position «neutre» dont ce "psychanalyste" lui-même serait exonéré, ce qui lui permet d’ontologiser la haine, la jauger et la juger depuis sa position de Belle-Âme d’où, campé sur son balcon imaginaire, il projette sur l’Autre sa propre part d’ombre qu’il ne veut pas reconnaître, en nourrissant d’être le désordre qu’il jouit de dénoncer.
Là où l’amusement vire au vinaigre, c’est qu’il s’agit là d’une lecture de Lacan qui va radicalement à l’encontre de son enseignement, un Lacan falsifié, perverti, délittéralisé au service du discours capitaliste en lieu et place du Discours de l’Analyste.
C’est manifestement ce en quoi s’est spécialisée l’ECF, intégralement versée par son Grand Précieux Jacques-Alain Miller au service du discours dominant, en collusion avec les Gender Studies, et autres élucubrations universitaires pseudo-philosophiques à la mode postmoderne.
Par l'emploi irréfléchi qu'il fait des formulations mêmes du disque ourcourant, le «psychanalyste» qui a fui les exigences du Discours de l'Analyste ne se situe pas du tout dans le champ de la psychanalyse, il révèle ce qu'il est en vérité: un employé de bureau du discours hégémonique, au service des pouvoirs en place, comme l'ont toujours été le psychiatre, le psychologue, l'universitaire, les orthopédistes de l’apensée.
C’est ainsi qu’on les entend parler de "la haine" (une loi scélérate "contre la haine" vient même d’être votée au parlement!) le mot "haine" apparaît donc employé à tort et à travers, ce qui ne nous inquièterait pas si c’était seulement le fait du tout-venant journalistique (pour qui les mots, c’est connu, ont si peu d’importance...), mais lorsque cela vient de soi-disant "psychanalystes", qui sont censés être avertis du poids de sens et de non-sens de la parole... daignons rappeler que ce qui nous reste inaccessible, ce n'est pas tant la jouissance de l'autre, mais bien la manière dont se structure la nôtre propre, de jouissance.
C'est pour tenter de résoudre cette intrusion hors-sens de la jouissance que le sujet projette sur l'autre le cœur de sa propre jouissance, attribuant ainsi à l'Autre le plein accès à une jouissance consistante et constituante.
Voilà comment naît le noyau de la haine, qui n'est jamais que la haine de ma propre jouissance, inaccessible... ce en quoi c’est l’une des trois passions de l’être, avec l’amour et l’ignorance.
Concluons provisoirement par une illustration: pourquoi le principal effet de la lutte officielle contre le racisme aura-t-il été de perpétuer le racisme?
Ceux qui revendiquent publiquement au nom de l'Autre et pour l'Autre les modes de vie spécifiques de l'Autre ne font rien d'autre qu'affirmer leur propre supériorité, comme s'ils étaient eux-mêmes dégagés de leur propre communauté originelle, et qu'ils pouvaient ainsi statuer et juger en toute neutralité sur ce qui est bon pour l'Autre et pour les autres.
L'antiraciste est un raciste au second degré, il alimente le racisme "politiquement correct", n’oublions pas qu’un nanti-raciste est quelqu'un qui vit du racisme.
C’est ainsi que le "politiquement correct" est à considérer comme l'origine de toutes les violences sociales.
En vérité, il n'y a de races que de discours ("discours" étant à entendre dans son acception stricte lacanienne: un dispositif prenant en compte la jouissance pour faire lien social...)
Si le Discours Universitaire est, en tant que Discours du Maître perverti, la structure qui soutient le discours dominant (le Discours Capitaliste), c’est que le Signifiant qu’il recèle, le Signifiant "un", placé au lieu de la Vérité, en bas à gauche, est précisément ce signifiant-là qui n’autorise pas le sujet à «refouler» complètement sa position d’énonciation, à oublier ce "d’où" il est toujours parlé autant qu’il parle, cela fait dire à Lacan qu’un peu de honte suffit à ne pas avoir une vie entière à mourir de honte, à l’instar de la Belle Âme misanthrope qui passe son temps à dénoncer dans le monde le désordre qui fait son être.
Pour saisir ce "petit bout de réel" en quoi consiste l’écart entre sujet de l’énoncé et sujet de l’énonciation sur quoi se fonde l’écoute analytique, il n’est pas inutile de faire retour sur la Phénoménologie de l’esprit de Hegel…
Lorsque Hegel traite de la position ascétique, il dit que l’ascète convertit le déni du corps en un déni incarné.
Prenons garde à ne pas prendre cette inversion hegelienne pour un simple reflet en miroir qui renverrait les éléments dans les limites de la même configuration.
La conversion hegelienne est «médiée» par un impossible (qui n’est rien d’autre que le Réel en tant qu’impossible logique) - puisque l ‘ascète est dans l’impossibilité de dénier RÉELLEMENT le corps (ce qui signifierait sa mort) la seule chose qu’il puisse faire est d’incarner ce déni même, c’est à dire d’organiser la vie de son corps comme un vivant désaveu, une renonciation incarnée.
Mais alors l’ascète subvertit lui-même sa propre position théorique qui veut que la vie terrestre du corps soit inutile et impuissante, il ne s’occupe plus que de son corps, ne cessant de trouver de nouveaux moyens de le mortifier, de le pacifier, au lieu de lui témoigner une indifférence distante.
Le passage d’une «figure de la conscience» à une autre a lieu quand le sujet prend conscience de l’écart qui sépare son énoncé (sa position «théorique») de sa position d’énonciation réelle, et assume en conséquence, comme sa nouvelle position théorique explicite, ce qu’auparavant il mettait en scène à son insu.
L’inconscient est un savoir insu de lui-même, un dire qui ne se sait pas, un savoir qui ne se dit pas...
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PDP
1 to 2 weeks
Working on how I can incorporate my FMP concept practices and context to be my main focal point / concept within my proposal, this is hugely important to me and the project – this element matters (the site)
Consideration with me FMP with these key elements.
1. Does the project need to be personal? Subjective? Informative?
2. Does the work need to relate to the physical outcome or can the artwork be a place that is informed and a realisation occurs?
3. Conceptual? How do I want the audience to engage with it – a rather important area that needs to proposed and reasoned with – due to the restrictive natures.
Practice aims – start to explore methods and approaches.
Identifying that I need to piece together my research – to help root and identify what is important to me as an artist. It will become a platform in which I can utilise and gain clarity. Contextual ref will
Horn
Hansen
https://www.egon-schiele.net/
https://www.tate.org.uk/whats-on/tate-liverpool/exhibition/life-motion-egon-schiele-francesca-woodman/five-things-know-egon
https://www.bing.com/videos/search?q=egon+schiele&docid=608031077067591259&mid=C00B7CAE90E28FB31915C00B7CAE90E28FB31915&view=detail&FORM=VIRE
According to art historian Albert Elsen, Schiele used Auguste Rodin's continuous drawing technique to create his loose, fluid figurative sketches. It required constant eye contact with the life model, making Schiele's process of drawing an intimate experience between him and his subject.
http://www.visual-arts-cork.com/famous-artists/schiele-egon.htm
https://m.youtube.com/watch?v=BN73JesYJhc
https://m.youtube.com/watch?v=0iDr2netauc
https://m.youtube.com/watch?v=4YS3gGpnPe8
SHIRIN https://www.bing.com/videos/search?q=sherin+neshat+video&docid=608047453806005638&mid=0992FC2039EBDCC6A8B90992FC2039EBDCC6A8B9&view=detail&FORM=VIRE
MARIANA https://www.bing.com/videos/search?q=abramovic+artist+exhibition+room+iterview&ru=%2fvideos%2fsearch%3fq%3dabramovic%2bartist%2bexhibition%2broom%2biterview%26FORM%3dHDRSC3&view=detail&mid=671F0980512934941E96671F0980512934941E96&&FORM=VDRVRV
.
How to push and expand mark making and a visual research practice – how does one enable a piece of artwork to be encompassed within its own rights it identity and environment incorporating the documentation of the processes / intermix and dematerialisation
Understand my strengths within art practice BUT identify that I need to be open minded with materials and how the surface is utilised – within the chosen areas to where the work is being placed or will I work on the physical artwork - a malleable piece of artwork or nomadism. In addition, to highlight that the actual process of approaches and methods to art
1. Planning presentation 1 - statement and presentation to the group
2. Start experimenting with materials that can easily be used within a workshop-based session – restrictions of artwork and filter as layers – collaged artwork
3. Looking at the importance of mark existing and not existing within artwork works for this project ?? questionable if I need to include colour or to keep it clinical and sterile (white)
4. Mark making examples in sketchbook working in squares.
3 to 4 weeks
Using my reading materials and taking contextual ref form my previous project I can broaden my understanding and knowledge on monochromatic and pushing this further within my FMP. At this point as my starting objective for the project – I can identify that I would like the project and responded in a particular way.
1. How art, materials, surfaces can cause clashes with visual research and method approaches?
2. Does the work need to feel complete?
3. opposite ?
with each other and how one (audience) sit with engaging with my outcomes – do they feel comfortable?
4. Should my artwork realistically depict the subject of methods and therefore should the artwork matter as much>
5. or is it the documentation of artwork?
Investigate different artist and artwork that has this same feel or effect.
Looking at works that use materialistic views or engagement with mixed media approaches towards artwork.
Understand the relationship between materials and biodiversity.
I need to identify a specify narrative structure for my work – so it does not become muddy (my presentation needs to be clear and get a feel for what it is I am wanting to ultimately investigate)
Concepts ideas;
Fabrication
Human connection
Sustainable materials
Space
Environment
Mono
Expanding connections
Collision
Again are areas that I like to explore – but how have artist used this in the way that they approach their artworks?
How will I build a solid project?
1. Does it have to have a meaningful ending? On the other hand, could it be merely an experimental project or process that involves materials, processes and technique?
Research further into the ideology that visual representation can be translated within mixed media work has a greater manifestation than the context. –
Presentation complete draft to be sent over by week three (email across)
5 to 6 weeks
I think I need to scrutinise the project and see if it will hold up with some substance – methods and approaches work and give it time to develop.
I know I am going to enjoy working on my FMP project and experimenting with it.
This week I also would like to create some collages, photography elements to the project and some screen-printing to try to figure out what medium and practise I would like to use within the project – or a combination of it all. I must document all examples in my big journal.
Build up a sketchbook with: 1. Collage
2. mark making
3. photograms
4. screen-prints
5. Photographs
6. filming and documenting
7. illustrations
Monochromatic and structure – ONLY using white. I want to explore the idea that lines, structure, mark making can interact with each other but also repeal one another very much like the Filtered layers, socialism and connecting with human ology – using text and type to communicate this is vital
Asses the scoop of the project at this stage and assess is the practical work in marring up to the theoretical but the relationship it has within the restrictive artwork and installation of artwork. There are some monochromatic / theories that artist use that I would like to use to lean on for visual representation and ideology
Horn
Kausama
Barneby
Hanesen
Mark Rothko
Bolatinski
Franz
Richard Long
Fiona Banner
Rebecca Horn
Robert Motherwell
Wool
Marian
Shirin
Working and keeping up with the MA are demanding = keeping a PDP going and making documentations of links and where I am with my FMP is really important.
The demand for stretching myself with work, children and MA are really challenging at times.
7 to 8 weeks
I have decided to create combinations of work for this project – how can I show case when I am merely working in one medium or one process to fit in with different sizes ( I am really enjoying working on a smaller scale for my FMP) The point of the project is to create a feeling of things shifting, fabrications, and layers, connecting with human presence and shaping through experimentation the restrictive art forms - I feel this connection can be completed with collage and type imager SEE EXAMPLES
I will work with
Mixed media mark making and introducing typography and advertisements from magazines and newspapers. – Illustrations & imagery (drawings of places, people, and locations)
Some expressive experimental artwork using boxes and circles.
All the above to be in ONLY black and white BUT predominantly white the idea of something in-between – clinical, absorbed – bleached.
I need to work on a smaller scale and I need to broaden the range of materials and the way that they are manipulated within the restrictions of the artwork – a fabrication of materials that can be caught, trapped e over time building up another layering – double exposure. I may also explore photography this week – working with light and creating a series of works at home and in the dark room.
More time is needed and spent doing my contextualisation and keeping up to date with the documentation of all practical work.
NOTE* I must add analysis to the journal and underline how the.
(BLOG)
8 to 9 weeks
Understanding of my practical work and where it is going.
1.A discussion about how has the project been questioned?
2. Analogue and engagement of physicality within art practice
Aim – this week my aim was to create a series of works based images mark making in response to media and personal expression
Building up photomontages / collages created from last week
Here I will assess where I am with work. I know I need to apply myself with theoretical research – and research theory and thinking behind
I have really enjoyed the freedom of creating artwork but also restricting myself on the type of artwork that is produced. I would like to start to investigate surface area and materials – such as multi layers and clusters of artwork. The works that I am producing in either B+w are interesting me and inspiring me to develop these further through miniature square windows (see sketchbook) I like the idea of looking into a window or viewfinder Being able to push the ink through and explore the notion of time, matter and
10 to 11 weeks
Methods explored and applied in the development of my concept and towards the final outcome;
“Nietzsche claimed the exemplary human being must craft his/her own identity through self-realization and do so without relying on anything transcending that life—such as God or a soul. This way of living should be affirmed even were one to adopt, most problematically, a radical vision of eternity, one suggesting the "eternal recurrence" of all events”
How can we interface this into methodology of artwork and practices?
Marina Abramovic
The Abramovic Method developed over decades of research on performance and immaterial art. Created by Marina Abramovic, the Method is an exploration of being present in both time and space. It incorporates exercises that focus on breath, motion, stillness, and concentration
DO THEY NEED TO PHYSICALLY see the photographic evidence as viewers? Synopsis? Or does the artwork justify the act of breaking boundaries
The question I need to identify is:
2. If this work was created in sections and was cut up and put back together would it make the.
3. viewer uncomfortable?
4. Was there a greater need to create tension to the viewer?
5. Can the work be a cluster?
6. A series of piece?
7. Does it have to be an installation piece?
8. Can it be a piece over tine that it forms itself?
9. A realisation of materials?
10. What and why?
11. They must matter.
Can the project be a contradiction between contemporary theory and nostalgic lifestyles and life cycles?
Does the documentation of work matter more than the physically artwork?
Restricted yourself as an artist – does this help and aid the work more?
Create and generate a series of books - monochromatic with lots of mark making but explore individual LINES sensitive marks, controlled marks, expressive marks, raw and virgin marks not touches …etc.
Print off all my contextual artist I have been researching and analysing add them to my little journal
12 to 13 weeks
HALF WAY
Go through checklist:
· Print all photographs
· Thumb nails size and add to a sketchbook
· Bibliography
· Portfolio – add everything and present it professionally
· Photographs of outcomes are printed out and analysed in my journal
· All practical sketchbooks have been completed
· PDP printed out and put into a folder along with
· Artist statement
· Proposal
· Bibliography
· PDP evaluation
· All contextual material printed out too
My choice of mediums and project concepts have been applied and analysed in my journal- I have considered how my choice of material and art practices reflect and respond with the concept. To summaries I feel at this stage I could have worked faster and organised myself better however I am working fulltime with two young children I am hoping I have done a good enough job – but also installing some belief and confidence back into my own art practices.
Learning material and contextual ref has been vital along this project and I have been introduced to many artist who take on the notion of journey and form of experimentation within their artworks as their outcomes rather than the physical piece itself.
Specific deadlines and independent thinking has allowed me to action plan and organise my work for the first project.
I have met all the above targets and completed them through written analysis in my journal (PLEASE SEE VIDEO AND TUMBLR TO SEE EVIDENCE)
Artist; They are all relatable and connect in some shape within my research and theory based investigation. I do need to identify that these artist have given a greater understanding of art and how to conduct yourself as an artist Having the audience get you and understand you I think is important even if they agree or disagree.
Project Topic or Theme: Mixed Media – Adaptability with medium and environments
-Understanding how artwork can have an impact on the environment, firstly I would like to begin by researching and contextualising on how and why artist work onsite. The idea of exploring a space is intriguing. Complexity is something that I would like to bring into an installation space / exhibition. Using natural materials and elements but pushing the boundaries of mark making and construction.
-Exploring materials through various manipulations and transitions through spaces, For the final major project I would like to trial and experiment with lots of media / mediums but only working in monochromatic (black and white) I am also keen to select material that are seen as sustainable materials and applications. The idea of sourcing recycled materials will be an area to work on.
-Identifying how artwork can adapt and be negotiated through environmental factors, Visualising how work would work aesthetically on different spaces really intrigue me. Can one piece of work be adaptable and change the interface of the concept and theme? The theme I N T E R M I X is where I see the project having multilayers of exploration and conceptualism.
-Understand how artwork can be viewed in different spaces,
I know I would like to install pieces of work and a large space will be necessary – it would be exciting to see how the one theme can be altered depending on space, light and height. How the artwork is viewed too is also of key importance to me,
-Explore the relationship between materials and the audience,
How the relationship is explored and used between material and audience is important because the work that I am hoping to create is about connection. I want to feel a connection / physically and mentally. The work needs to approachable and through the materials that are sourced – humanity
-Identify different surfaces and negotiation,
Identifying surfaces and working to a large scale is where I would like to take the project but negotiation is also just as important. Not overpowering a space so the concept gets lost.
Dominique White weaves together the theories of Accelerationism and Afrofuturism with the nautical myths of Black Diaspora into a term she defines as the Shipwrecked; a reflexive verb and state of being. Her sculptures demonstrate how Black life could extend beyond its own subjective limits and act as beacons or vessels of an ignored civilisation defined as the Stateless.
White uses her personal perplexities towards her artworks and large installation places – what is fascinating is the scale of her work and intricacy. The idea of hanging and plastering fabrics suspended is an area I would really like to explore.
Portfolio and practical work will be at uni.
Collate and make sure all written items for the project have been printed out and are easy to locate in the portfolio.
Visual aid and sources of materials are clear, highlighted in small journal, and large.
COVID - having a huge impact on my personal and professional life (trying to juggle the two with my FMP) now home-schooling and teaching my students from home
I will need to have a BREAK from the FMP over Easter
14 to 18 WEEKS hand in week ( timetable varies depending on work pattern and COVID)
Weeks 18 to 21 FMP project time (crit meeting via zoom / GC and Veronique LOTS of handing in planning and realisation of the project going digital
Weeks 22 to 24 September (back teaching and working schedule has become stressful hand in 25/09/20
Practical work is at a stage where I want to start a new concept or take it to another level. I have had to change the outcome of the work to suit the space and LOCKDOWN COVID– I very much enjoy challenges where it comes to changing and shaping the malleable form of my practical artwork.
Start my PDP evaluation.
Artist; They are all relatable and connect in some shape within my research and theory based investigation. I do need to identify that these artist have given a greater understanding of it.
• Original Proposal as a digital document
• Digital documentation of completed works, work in progress and anticipated outcomes/ mock-ups
• Digital documentation of supporting and experimental works
• Copy of Mid-Module presentation, revised following feedback for the start of Tri 3
• Degree show plan - an enhanced professional document, as a virtual project that presents your ideas for exhibition, outlining curatorial considerations, plans for exhibition and selected work.*
• (Don't forget to complete and include a Risk Assessment). See this example. N.B. In this you should consider any risk factors, also including contingency measures regarding Covid 19
• Digitised Research Journal/ Workbook
• Digitised Sketchbooks and preparatory work
• Completed MA Masters Project PDP as a digital document
• Digital Sample folder of 4 selected artworks.
My journal has become a big part of my project ad I feel slightly connect to it. It has become a great source of me writing and analysing the practical work and my journey from A to B. I am hoping it will give you an insight into my thinking with the project.
I hope it comes across well in my blog via tumblr ( I will digital documenting this)
Exhibition or installation space – photograph / plan and mock ups the findings and the different outcomes and stages of the work – with the group working together we have come up with a plan and how it is going to take shape (please see my DEGREE SHOW PLAN) .
Objectively I would like to create different fragments of the work in different states, open sides, and stretch it over the wall WITH MY COLLECTION OF COLLAGES extended the artwork from the wall and located space I have decided to go (hypothetically RUS 103)
Seeing the outcomes transferable and malleable is important to me along with the concept of the project
LAST WEEK – FMP project MA
Go through checklist:
• Print all photographs
• Thumb nails size and add to a sketchbook
• Bibliography
• Portfolio – add everything and present it professionally
• Photographs of outcomes are printed out and analysed in my journal
• All practical sketchbooks have been completed
• PDP printed out and put into a folder along with
• Artist statement
• Proposal
• Bibliography
• PDP evaluation
• All contextual material printed out too
• Photographs and work 4 IMAGES added to my journal so Veronique can find them
• Outcomes ready and bound together – SEE BLOG
• Make sure that journal is up-to-date wit notes and practical analysis
• Hand in date ALL ONLINE AND DIGITAL FORMAT COVID May
• Plans and drafts / evidence of all site specific and exhibition pieces
Fabrication
Human connection
Sustainable materials
Space
Environment
Mono
Expanding connections
Collision
BAKCK to the importance of the my FMP
My choice of mediums and project concepts have been applied and analysed in my journal- I have considered how my choice of material and art practices reflect and respond with the concept and that the relationship between site and space is JUST as important. To summaries, I feel at this stage I could have worked in the site space more BUT due to time and working fulltime, I could only visit this space on a weekly basis. I feel I could have planned and organised myself better! However, I am working fulltime with two young children I am hoping I have done a good enough job – but also installing some belief and confidence back into my own art practices (fingers crossed) I have really enjoyed the personal developments and creative flow within my FMP project.
Learning material, how to curate and contextual ref has been vital along this project and I have been introduced to many different views and ways of seeing space and theory who take on the notion of journey and form of experimentation within their artworks as their outcomes rather than the physical piece itself. – WHEN FACED WITH LINITATION due to covid and lockdown my work has become even more sensitive and personal
Reference to videos and artwork that I have been looking at in prep for the next stage of my FMP
http://www.erikmarinovich.com/
http://www.davidcarsondesign.com/
https://cb-smith.com/
http://misprintedtype.com/
https://www.bing.com/images/search?q=tarantino+graphic+design&qpvt=tarantino+graphic+design&form=IGRE&first=1&scenario=ImageBasicHover
https://www.youtube.com/watch?v=yI4shGV1EsM
https://www.youtube.com/watch?v=0MV13C0RnVc
https://www.youtube.com/watch?v=0MV13C0RnVc
https://www.youtube.com/watch?v=lQKiLYEqVq4
https://www.egon-schiele.net/
https://www.tate.org.uk/whats-on/tate-liverpool/exhibition/life-motion-egon-schiele-francesca-woodman/five-things-know-egon
https://www.bing.com/videos/search?q=egon+schiele&docid=608031077067591259&mid=C00B7CAE90E28FB31915C00B7CAE90E28FB31915&view=detail&FORM=VIRE
According to art historian Albert Elsen, Schiele used Auguste Rodin's continuous drawing technique to create his loose, fluid figurative sketches. It required constant eye contact with the life model, making Schiele's process of drawing an intimate experience between him and his subject.
http://www.visual-arts-cork.com/famous-artists/schiele-egon.htm
https://m.youtube.com/watch?v=BN73JesYJhc
https://m.youtube.com/watch?v=0iDr2netauc
https://m.youtube.com/watch?v=4YS3gGpnPe8
SHIRIN https://www.bing.com/videos/search?q=sherin+neshat+video&docid=608047453806005638&mid=0992FC2039EBDCC6A8B90992FC2039EBDCC6A8B9&view=detail&FORM=VIRE
MARIANA https://www.bing.com/videos/search?q=abramovic+artist+exhibition+room+iterview&ru=%2fvideos%2fsearch%3fq%3dabramovic%2bartist%2bexhibition%2broom%2biterview%26FORM%3dHDRSC3&view=detail&mid=671F0980512934941E96671F0980512934941E96&&FORM=VDRVRV
plan to use RUS 103 as FMP exhibition
Specific deadlines and independent thinking has allowed me to action plan and organise my work for the first project.
I have met all the above targets and completed them through written analysis in my journal and BLOG
Outcomes
Crit
Presentation
Ref
Artist statement
Ass criteria
Run through and check everything of the list
July to August in six week break I was able to pick my FMP again
I have located and visited varies locations during this project. Write up analysis on findings and photographs as back up evidence.
Gather all visual aid and material at this stage of the project. – with LOCKDOWN LIFTED
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Cap. 22-A culpa de tudo isso é minha... Eu sinto muito.
Lee Ji Yeon
É claro que naquela tarde no curso SanHa não fala com ela, mas de certa forma que culpa ela tem? Ele mentira, dissera que não tinha ido atrás de Yibo e...
“Você decide em quem vai acreditar”.
Como se aquilo fosse algo fácil, como se apenas olhando de um para o outro ela conseguisse descobrir quem está mentindo.
Por que Yibo faria algo assim? As marcas estavam lá, era mais fácil acreditar nele, certo? Ele tinha as provas físicas de que sanha estava mentindo, mas por outro lado...
A maneira com que SanHa a encarara quando a pedira para decidir em quem acreditar. A forma com que os olhos dele pareciam assustados e confusos no instante em que viu o estado em que Yibo se encontrava. Ele não seria tão idiota ao ponto de bater em Yibo daquela maneira e mentir, sabendo que Ji Yeon veria Yibo no dia seguinte, sabendo que ela descobriria toda a verdade.
Quando anoitece por mais ridícula que a situação pareça, SanHa caminha atrás dela, seguindo-a longe o suficiente para não estabelecer nenhum tipo de diálogo e perto o bastante para protege-la caso algum outro maníaco a ataque.
Quando entra em casa e se apronta para dormir, Ji Yeon se sente uma idiota. Não sabe o que fazer.
Deita encarando o teto e no instante em que fecha os olhos revive o dia do ataque. A maneira com que SanHa aparecera na hora certa para ajuda-la. Tenta ignorar a decisão que precisa tomar e tenta pensar em qualquer coisa que não seja aquela noite, mas não consegue. Lembra da maneira com que SanHa parecia desesperado enquanto a pedia para abrir os olhos, lembra de ter visto o rosto dele borrado, mas ter reconhecido a voz, lembra também da sensação de ter sido atirada as costas e então lembra de algo mais.
A voz. Aquela voz fria. Ela lembra de ter ouvido SanHa perguntar se a outra pessoa tinha algo a ver com o que aconteceu. Lembra das silhuetas. Uma ao chão e outra de pé. A maneira com que se comportavam, a frase “você ousou mesmo tocar nela com essa mão?” e então o restante da cena, o pé em cima da mão da figura que estava ao chão... Aquela voz... Aquele era Yibo?
“Eu tive uma emergência de família e não pude ir.” A voz dele toma sua cabeça. Ele disse que não tinha ido encontrar com ela naquela noite porque tinha tido uma emergência familiar, mas se ele não foi, por que ela tem a sensação de que o viu? De que ouviu sua voz?
“Eu não toquei em você.” “Se eu soubesse o que houve, eu não estaria te perguntando” “você se superou dessa vez”
As frases ditas por SanHa ao encontrar com Yibo na universidade não saem da cabeça de Ji Yeon. Por que Yibo mentiria? Ele teria coragem de se machucar apenas para acusar SanHa? E se isso for verdade, que tipo de pessoa é Wang Yibo?
Recebe uma intimação para ir até a delegacia no dia seguinte, precisa fazer o reconhecimento do cara que a atacara naquela noite, ele fora preso, mas a policia precisa que ela o reconheça.
Não quer ir sozinha, mas não tem coragem de pedir a SanHa que vá com ela ou a Bo-ra e Moonbin, não quer envolver os amigos nesse assunto.
Por isso vai sozinha. É melhor acabar logo com isso.
-Hey. – a voz faz com que ela pare de caminhar e se vire para encará-lo, ele encara o chão, parece estar de certa forma lutando para estar ali. – está indo para a delegacia?
-Como você sabe?
Ele dá de ombros, ela decide não insistir na pergunta.
-Eu achei que você não ia mais querer falar comigo. – ela dispara e ele dá de ombros mais uma vez.
-Eu também achei, mas no fim das contas, acho que meus dias ficariam chatos sem a sua cara feia.
Ji Yeon não responde, sabe que SanHa a está provocando para aliviar um pouco o clima ruim.
-Vamos. – é o que ele diz e ambos seguem em direção ao ponto de ônibus.
No instante em que entram no ônibus, Ji Yeon senta em um banco próximo a janela, SanHa senta ao seu lado. A rua lá fora ainda está um tanto escura e nublada, o clima frio faz com que Ji Yeon mais uma vez se encolha dentro do casaco que veste.
Ela sopra o vidro, fazendo com que a fumaça de seu hálito embace a janela, usando o dedo indicador ela escreve o próprio nome.
Em um movimento delicado, SanHa se debruça por cima dela e antes que a fumaça se dissipe, ele escreve o próprio nome também.
-Uma forma de dizer que estivemos aqui, mas não vandalizamos os ônibus. – é o que ele diz com um sorriso infantil ao voltar ao seu lugar.
Ji Yeon desvia os olhos dele e encara ambos os nomes escritos lado a lado na janela do ônibus. Lee Ji Yeon. Yoon SanHa.
Há muito tempo ela faz isso, há muito tempo em sua janela não havia nada além do próprio nome, sozinho, solitário, mas agora não, agora de alguma forma ela não está mais só.
Desvia os olhos dos nomes que já começam a desaparecer e o encara. SanHa tem os pequenos olhos fechados e sua respiração está calma, ele parece cochilar.
Eu quero acreditar em você. –é o que ela se pega pensando. - eu acredito, não faça com que eu me arrependa.
Quando o ônibus para no ponto próximo a delegacia, ela acorda SanHa e ambos seguem caminho. No instante em que ela desce do ônibus uma corrente de ar gelado faz com que ela se encolha novamente, maldito frio.
-Você achava mesmo que esse casaquinho ia te proteger do frio que tá fazendo? – ela escuta SanHa falar e em seguida sente o casaco pesado ser atirado em seus ombros. – parece besta!
-Não pre... – mas antes que ela se manifeste, ele já está atravessando a rua.
Quando chegam a delegacia são informados que precisarão esperar um pouco até que o delegado apareça, mais uma vez os dois sentam lado a lado, aparentemente aquele dia será um chá de cadeira atrás do outro.
-Você não acredita em mim, não é? – ele simplesmente. Ji Yeon o encara, sanha não olha em sua direção, ele olha em frente.
-É um pouco difícil. – ela fala tentando não soar feito uma imbecil. – ele está machucado e eu meio que conheço o seu temperamento...
-Eu não bati nele. – SanHa continua, mas o tom de sua voz é brando, ele não está se defendendo, está apenas relatando fatos. – queria e deveria, mas não bati.
-Ele estava lá, não estava? –ela pergunta.
-Einh?
-No nosso bairro, na noite em que tudo aconteceu.
-Como você sabe disso?
-Então eu não delirei. – ela fala– eu lembro vagamente de tê-lo visto, eu o vi ou estou enganada?
-Você o viu.
-E o que...?
-Lee Ji Yeon? O delegado chegou.
Ela encara SanHa que lhe faz um pequeno gesto positivo com a cabeça, ela respira fundo e segue o policial delegacia adentro.
-Vai lá. - é o que SanHa diz acenando em sua direção. - eu vou te esperar aqui.
Gostaria que SanHa pudesse acompanha-la, mas infelizmente ele não pode. No instante em que é colocada em uma sala e o suspeito aparece do outro lado do vidro, ela sente o corpo inteiro congelar. É ele.
-É ele?
-Uhum.
-A GAROTA ESTÁ AÍ, NÃO ESTÁ? EI GAROTINHA VOCÊ ARMOU PRA MIM, NÃO ARMOU? VOCÊ E AQUELE SEU AMIGO RIQUINHO DO OLHAR ESQUISITO!
-Do que ele está falando? – ela pergunta encarando o policial.
-Eu não faço a menor ideia.
-FOI BEM ARMADO VIU? PARABÉNS! EU NUNCA IMAGINARIA QUE VOCÊ ERA UMA ISCA, VOCÊ ESTÁ MESMO DE PARABÉNS, SUA ATUAÇÃO FOI MAJESTOSA, VOCÊ DEVERIA FAZER NOVELAS NA TELEVISÃO.
-Eu não sei do que ele está falando. – o policial fala encarando Ji Yeon. – mas, como é mesmo ele, você já pode ir embora.
No instante em que sai da sala e se aproxima de SanHa ela recomeça a tremer.
-Hey, irritadinha o que aconteceu? – ele fala ficando de pé de imediato e se aproximando dela. – você está tremendo, o que aconteceu lá dentro?
-Ele me usou como isca? – ela dispara erguendo os olhos para encarar SanHa. – o Wang Yibo me usou como isca?
Por um segundo SanHa não se manifesta, ela lhe acerta um tapa forte no braço.
-ME RESPONDE! ELE ME USOU COMO ISCA, NÃO USOU? FOI POR ISSO QUE VOCÊ FOI ATRÁS DELE NA CAFETERIA, NÃO FOI? VOCÊ SACOU TUDO NO INSTANTE EM QUE EU TE FALEI QUE ELE TINHA COMBINADO DE ME ENCONTRAR E NÃO APARECEU. É POR ISSO QUE VOCÊ DISSE QUE NÃO BATEU NELE, MAS QUERIA?
-Ji Yeon...
-YOON SANHA!
-Sim. – ele responde se dando por vencido. – ele te usou como isca para pegar o maníaco e a culpa de tudo isso é minha... Eu sinto muito.
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DEFUME...
Defume os teus braços por baixo e por cima para que tenhas as tuas asas livres para voar.
Defume a tua cabeça para limpar as velhas memórias que te levam a repetir o mesmo e te ligares com bênçãos do mundo de cima.
Defume a tua frente para espantar os pensamentos que apagou a tua visão, os teus olhos para que possas ver o que ainda não observas e os teus ouvidos para que ouças o chamado da tua alma.
Defume a tua garganta para soltar o nó que não te deixa falar e ligar a tua mente com o teu coração.
Defume o teu coração para espantar o medo, para que se vá bem longe onde não te possa encontrar, e se abra a receber o amor verdadeiro.
Defume seu plexo solar para que se dissipe a dor que você carrega dentro e possa saborear o prazer da paz.
Defume com fogo o teu baixo ventre para que se queimem os apegos, os amores que não foram, os sonhos que não nasceram e os filhos que não chegaram, para que se acenda a tua vontade de sentir, criar e começar de novo.
Defume com força seu sexo, que é a porta de entrada para tirar o lixo que você recolheu de tanto tentar te amar e amar.
Defume seus pés para limpar as pegadas velhas e você possa dar passos novos, que se abra o caminho com este remédio para que o novo destino se manifeste diante de você.
Vira-te e defume assim a tua nuca lá onde se esconde o que te assombra.
Defume suas costas tirando o peso do passado e a história de cargas e peço que você se vire e coloque suas mãos em forma de tigela e defume suas mãos para tirar-lhe o dano e as amarras que tenham e que estas estejam aben��oadas para dar e receber.
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