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#marie-louise d'autriche
philoursmars · 2 years
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Retour à mon projet de présenter la plupart de mes 53880 photos (nouveau compte approximatif !)
2013. Arras, le Musée des Beaux-Arts avec une expo, “Carrosses de Versailles”.
- les 5 premières : la berline du baptême du Duc de Bordeaux (ce qui m’échappe alors, ce sont tous les symboles napoléoniens comme l’aigle...?)
- les 3 autres : la berline du mariage de Napoléon et Marie-Louise
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roehenstart · 21 days
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Portrait of Anne of Austria (1601-1666), wife of Louis XIII of France.
It’s probably a depiction of Anne Marie Louise d'Orléans (1627-1693), granddaughter of Henry IV of France. Circle of Charles Beaubrun.
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best-bourbon-monarch · 4 months
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Marie de Medicis:
Mother of Louis XIII and widow of Henri IV, she ensured part of the regency, alongside Richelieu. She helped the devlopment of the arts and basically created the french culture of arts all by herself. Also she named her second son Gaston.
Marie-Louise d'Autriche:
Great-niece of Marie-Antoinette through the austrian side, she marries Napoléon Ier in 1810. She gives birth to Napoléon II (l'aiglon) and later becomes queen of Parme and other territories under her own name (not Napoléon's, since he's been defeated in the mean time). She's a habsburg.
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gogmstuff · 2 years
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Dresses from 1841:
Top left:  1840-1841 Tsaritsa Alexandra Fedorovna by Christina Robertson (Hermitage). From their Web site 1498X1920 @72 639kj.
Top right:  1841 (?) Countess Hélène Esterházy, née Countess Bezobrazov by Moritz Michael Daffinger (Metropolitan Museum of Art). Probably from their Web site943X1271 @72 1.9Mp.
Second row:  1841 (17 March) Agatha Petronella Hartsen (1814-78) in bruidstoilet ter gelegenheid van haar huwelijk met Jan van der Hoop by Jan Willem Pieneman (Rijksmuseum - Amsterdam, Netherlands). 1976X2409 @72 4.8Mp.
Third row:  1841 Comtesse de La Tour-Maubourg (née Marie-Louise-Charlotte-Gabrielle Thomas de Pange by Théodore Chassériau (Metropoltan Museum). From their Web site 2565X3587 @150 2.9Mj.
Fourth row left:  1841 Adélaide, Archiduchèsse d'Autriche by Josef Kriehuber BNDe-1034-a_0001_1_p24-C-R0090 1298X1864 @90 450kj.
Fourth row right:  1841 Comtesse Rosalie Duchâtel (1817-1878), née Mlle Paulée, with her son by Franz Xaver Winterhalter (private collection) UPGRADE From karoline-von-manderscheid.tumblr.com/post/160000189682/franz-xaver-winterhalter-1805-1873-portrait 844X1472 @.96 3.4Mp.
Fifth row left:  1841 Drawing Room of Queen Victoria. From photos.com/featured/drawing-room-of-queen-victoria-print-collector 2328X2040 @144 5.7Mp.
Fifth row right:  1841 Elena Pavlovna by Christina Robertson (location ?). From books0977.tumblr.com/post/78030893619/great-duchess-elena-pavlovna-1841-christina. 1000X1306 @72 475kj.
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artdesannonces · 4 months
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Une magnifique interprétation de Joséphine Bonaparte par le baron François Gérard.
Ces tableaux nous aident-ils pas à bien comprendre l’histoire ?
La vie fascinante et méconnue de Joséphine Bonaparte, première épouse de Napoléon
Dans l'ombre imposante de Napoléon Bonaparte, un nom émerge avec une grâce et une intrigue particulière : Joséphine Bonaparte. Souvent reléguée au second plan derrière les hauts faits militaires de son célèbre époux, la vie de Joséphine mérite d'être explorée pour révéler une histoire fascinante et méconnue.
"France. L'armée. Joséphine." Ces trois mots, prononcés par Napoléon dans un état de délire juste avant sa mort, soulignent l'importance indéniable que Joséphine a eue dans sa vie. Bien que l'histoire commune les ait séparés en raison de l'incapacité de Joséphine à donner un héritier à l'Empereur, leur lien n'a jamais été rompu, laissant une empreinte indélébile dans les pages de l'histoire.
Joséphine de Beauharnais est née en Martinique en 1763. Elle épousa Alexandre de Beauharnais, un général révolutionnaire, avec qui elle eut deux enfants. Cependant, le destin les sépara lorsque son mari fut exécuté pendant la Révolution française. C'est à cette époque que Joséphine rencontra Napoléon Bonaparte.
Leur union en 1796 marqua le début d'une époque impériale qui allait changer le cours de l'histoire européenne. Joséphine apporta une élégance raffinée à la cour impériale et joua un rôle crucial dans la diplomatie, établissant des relations clés avec d'autres puissances européennes. Cependant, son incapacité à concevoir un héritier mâle fut un obstacle insurmontable pour le couple.
En 1809, Napoléon prit la difficile décision de divorcer de Joséphine pour épouser Marie-Louise d'Autriche, dans l'espoir de garantir une descendance impériale. Malgré cette séparation officielle, Napoléon et Joséphine maintinrent une relation étroite et amicale jusqu'à la mort de l'Empereur en 1821.
La vie de Joséphine après le divorce fut marquée par la retraite dans son château de Malmaison, où elle se consacra à sa passion pour la botanique et à la création d'un magnifique jardin. Elle est décédée en 1814, bien avant la chute finale de Napoléon.
L'héritage de Joséphine Bonaparte réside dans sa capacité à transcender les limites de l'époque et à demeurer une figure influente malgré les revers personnels. Son histoire offre un aperçu captivant de la vie en période révolutionnaire et impériale en France, et son rôle dans la vie de Napoléon Bonaparte reste une partie intégrante du récit complexe de l'histoire française. Ainsi, plonger dans la vie de Joséphine Bonaparte révèle une femme remarquable qui a laissé une empreinte indélébile dans les annales du passé.
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Marie Antoinette and her children by Élisabeth Vigée Le Brun
Photo taken by me @killem-all-if-they-wont-eat-cake
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▪︎ Marie Antoinette of Lorraine-Austria, Queen of France (Marie-Antoinette de Lorraine-d'Autriche, Reine de France).
Artist: R. Roger (French, 18th century, after Marie Louise-Elisabeth Vigée-Lebrun, French, 1755–1842)
Medium: Colored engraving
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northernmariette · 3 years
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Countess Potocka witnesses a tragedy
Here the Countess recount a much less happy event connected to the marriage of Napoleon and Marie-Louise. I have not researched how many died on this occasion, but even one was too many:
Le prince de Schwatzemberg [sic], ambassadeur d'Autriche, n'avait consenti à céder le pas qu'à la belle-soeur de la nouvelle Impératrice. Le bal qu'il donna suivit de près la fête de Neuilly et dut sa célébrité à l'horrible catastrophe qui le rendit historique. Le local de l'ambassade n'étant pas assez vaste pour que les deux mille personnes invitées pussent y trouver place, on avait construit au milieu du jardin une énorme salle de bal communiquant avec les appartements au moyen d'une élégante galerie. Cette salle et cette galerie, bâties en planches, étaient couvertes en toile goudronnée et décorée intérieurement de draperies de satin rose et de gaze d'argent. - Je me trouvais dans la galerie au moment où le feu se déclara, et je dus peut-être mon salut à un incident qui m'avait vivement contrariée. J'avais une robe de tulle uni au bas de laquelle un bouquet de lilas blanc était rattaché à ma ceinture par une chaîne en diamants composée de lyres accrochées les unes aux autres ; quand je dansais, cette chaîne se défaisait ; la comtesse de Brignole, qui me chaperonnait ce soir-là, voyant que j'allais valser avec le vice-roi, voulut bien m'emmener dans la galerie et m'aider à enlever cette malencontreuse chaîne. Pendant qu'elle avait la bonté de s'occuper de ce soin, j'aperçus, une des premières, la légère fumée produite par un candélabre posé au-dessous d'un feston de gaze ; plusieurs jeunes gens s’étant groupés autour de nous, je m'empressai de leur faire remarquer ce qui n'était encore qu'une menace. Aussitôt l'un d'eux s'élança sur une banquette ; voulant prévenir le danger, il arracha avec violence la draperie qui, en s'abaissant subitement au-dessus de la girandole, prit feu et communiqua la flamme au plafond de toile goudronnée. Fort heureusement pour moi, madame de Brignole n’affronta pas le danger et, sans attendre une minute, s'empara de mon bras, traversa en courant tous les salons, se précipita au bas de l'escalier, et ne reprit haleine qu'après avoir traversé la rue et s'être réfugiée dans l'hôtel de madame Regnault, situé vis-à-vis de l'ambassade. Là, tombant sur un fauteuil, épuisée par la course et l'émotion, elle m'indiqua le balcon afin que je lui rendisse compte de ce qui se passait. Je ne comprenais rien à ce soudain effroi, car j'eusse volontiers continué à danser, tant il me semblait impossible qu'un danger sérieux nous menaçât dans un lieu où se trouvait l'Empereur! ...
Bientôt des bouffées de fumée enveloppèrent la salle de bal et la galerie que nous venions de quitter. La musique ne se faisait plus entendre, une confusion bruyante avait succédé sans transition à l'éclat de la fête. Les cris, les gémissements arrivaient jusqu'à nous ; le vent apportait des paroles distinctes, des accents désespérés ; on s'appelait, on se cherchait, on voulait se rassurer sur le sort de ceux qu'on aimait et qui couraient cet horrible danger.
Au nombre des victimes se trouva la princesse de Schwartzemberg, belle-soeur de l'ambassadeur, qui, ne voyant pas sa fille à ses côtés, se précipita dans les flammes ; - elle fut écrasée par un lustre dont la corde avait cédé. Hélas ! son enfant, à l'abri du danger, l'appelait à grands cris...  [...]  Plusieurs femmes se trouvèrent dépouillées de leurs bijoux ; des filous ayant escaladé le mur qui sépare le jardin de la rue, exercèrent leur métier en toute sécurité, à la faveur de la confusion générale.  
En peu d'instants le salon de madame Regnault de Saint-Jean d'Angely se remplit de blessés. C'était un spectacle à la fois terrifiant et bizarre de voir toutes ces personnes couronnées de fleurs, en robe de bal, se livrant à des gémissements qui contrastaient cruellement avec leur parure.
Nous passâmes ainsi une grande partie de la nuit à les consoler et à les soulager autant qu'il fut en notre pouvoir. Lorsque vint le jour, il fallut bien s'en retourner. Gens et voitures, tout avait disparu. Celles qui pouvaient marcher se trouvèrent réduites à s'en aller à pied en costume de bal et en souliers de satin blanc. A cette heure matinale, les rues sont encombrées de charrettes de maraîchers ; on nous prit probablement pour des folles, et nous eûmes à subir des bordées de lazzi.
Quelque légers que soient les Parisiens, cette catastrophe produisit une vive et profonde impression. Elle donna lieu à des propos de tout genre ; on voulut y voir les combinaisons d'une infâme politique. Ce qu'il y a de certain, c'est que des courtisans zélés avaient engagé l'Empereur à se retirer avant que la foule eût envahi toutes les issues, essayant de jeter dans son esprit un soupçon odieux ; mais, toujours calme dans le danger, Napoléon ne prêta point l'oreille à ces mesquines insinuations ; il rentra à l'ambassade après avoir mis l'Impératrice en voiture, disant au prince de Schwartemberg qu'il venait l'aider à éteindre le feu.
Ce mot produisit un grand effet, pénétra les Autrichiens d'admiration et de reconnaissance. Tous les Allemands présents à la fête, l'ambassadeur en tête, entourèrent l'Empereur, et ce rempart de coeurs plus ou moins ennemis valait pour le moment un détachement de la garde impériale.
The prince of Schwatzemberg [sic], ambassador of Austria, had consented to come  second only to the sister-in-law of the new Empress. The ball he gave followed closely the fête of Neuilly and is still remembered for the horrible catastrophe which made it historic. The premises of the embassy not being large enough to accommodate the two thousand guests expected to attend the celebrations, an enormous ballroom had been built in the middle of the embassy's garden; this ballroom was connected to the embassy proper by an elegant gallery. The ballroom and the gallery, built out of wooden planks, were covered in tarred cloth; they were draped inside with pink satin and silver gauze. - I was in the gallery when the fire broke out, and I may have owed my salvation to something that gave me much annoyance. I was wearing a dress of plain tulle, at the bottom of which a bouquet of white lilac was attached to my belt by a diamond chain made up of connecting lyres; when I danced, this chain kept coming undone; the countess of Brignole, who was my chaperone that evening, seeing that I was about to waltz with the viceroy [Eugène], agreed to come with me to the gallery to help me remove this bothersome chain. While she was kindly taking care of this, I was one of the first to notice the light smoke emanating from a candelabra placed under a drapery of gauze; several young people had gathered around us, and I promptly brought to their notice what was still only a possible danger. At once one of these young men leapt onto a bench; meaning to prevent any danger, he tore off the drapery, which fell upon the candelabra, caught fire, and transmitted the flame to the tarred cloth ceiling. Fortunately for me, Madame de Brignole decided to flee the danger and, without an instant's delay, grabbed my arm, ran through all the embassy's salons, rushed down the staircase, and only stopped to regain her breath after crossing the street and taking refuge in Madame Regnault's house, located opposite the embassy. There, falling into an armchair, exhausted by the racing and the emotion, she motioned me to the balcony so that I could give her an account of what was happening. I could not comprehend Madame de Brighole's sudden fright; I would have willingly continued dancing, so impossible it seemed to me that we could be threatened with any serious danger in a place where the Emperor was present!
Soon wafts of smoke enveloped the ballroom and the gallery we had left moments before. The music had gone silent; noisy confusion had succeeded without transition to the brilliance of the celebrations. We heard screams and moans; distinct words uttered in desperate tones were carried by the wind; people called out to each other, sought each other out, wanted to reassure themselves about the fate of their loved ones left in such horrible danger.
Among the victims was the Princess of Schwartzemberg, sister-in-law of the ambassador, who, not finding her daughter by her side, rushed into the flames; - she was crushed by a chandelier whose cord had broken. Alas! her child, safe from danger, was desperately calling out to her...  [...] Several women were stripped of their jewels; some criminals, having scaled the wall which stands between the garden and the street, acted in complete safety, thanks to the general confusion.  
In a few moments the salon of Madame Regnault de Saint-Jean d'Angely [1] was filled with the wounded. It was at the same time terrifying and bizarre to see all these people wearing ballgowns and crowns of flowers, whose moans were in such cruel contrast to their adornments. 
We spent a great part of the night consoling them and soothing them as much as was in within our power. When daytime came, we had to return home. Household staff and coaches, all had vanished. Those of us who could walk had to find their way home wearing their ballroom attire and white satin shoes. At this early hour, the streets are choked with market gardeners' carts; it seems we were taken for madwomen, and we were subjected to merciless mockery.
However lacking in seriousness the Parisians might be, this catastrophe left on them a deep and vivid impression. It gave rise to comments of all kinds; some claimed it to be the result of evil political machinations. What is certain is that some overzealous courtiers had urged the Emperor to withdraw before the crowd had blocked all the exits, trying as they were to instil an abhorrent suspicion in his mind; but, calm as always in the presence of danger, Napoleon did not give credence to these petty insinuations; after sending the Empress home in a carriage he returned to the embassy, telling the Prince of Schwarzemberg that he had come to help him put out the fire.
These words had a profound effect on the Austrians and gave rise to deep feelings of admiration and gratitude. All Germanic individuals in attendance at the celebrations, the ambassador first among them, surrounded the Emperor, and in this particular moment this entourage of inimical souls was worth a detachment of the Imperial Guard.
[1] Madame Regnault de Saint-Jean d’Angely, a celebrated beauty of her time, was the wife of Michel-Louis Regnault de Saint-Jean d’Angely, a prominent political figure in Revolutionary and Napoleonic times and a minister in Napoleon’s cabinet.  https://en.wikipedia.org/wiki/Michel-Louis-%C3%89tienne_Regnaud_de_Saint-Jean_d%27Ang%C3%A9ly
This passage of Countess Potocka’s memoirs, as well as the one about Pauline Bonaparte’s wedding fête, are to be found here: 
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5463019n/f259.item, pp. 214-223
This tragedy did not stop the building of unsafe wooden structures into which large crowds of visitors were expected. In 1897 a horrific fire at a charity bazaar, also in Paris, resulted in the death of 126 persons. Many of those were as socially prominent as the Princess of Schwarzenberg, but most of them were just ordinary visitors:
https://en.wikipedia.org/wiki/Bazar_de_la_Charit%C3%A9
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María Schell.
Filmografía
- Steibruch (1942) como Meiti / Gretl
- El ángel de la trompeta (1948) como Selma Rosner
- Maresi (1948) como Blanka von Steinville - Tochter
- Después de la tormenta (1948) como Gretel Aichinger
- La última noche (1949)
- El ángel de la trompeta (1950) como Anna Linden
- Llegará un día (1950) como Madeleine
- Dr. Holl (1951) como Angelika Alberti
- La caja mágica (1951) como Helena Friese-Greene
- Tan poco tiempo (1952) como Nicole de Malvines
- Hasta que nos volvamos a encontrar (1952) como Pamela
- Labios soñadores (1953) como Elisabeth
- Mientras estés cerca de mí (1953) como Eva Berger
- Diario de una mujer casada (1953) como Barbara Holzmann
- El corazón de la materia (1953) como Helen Rolt
- El último puente (1954) como Dr. Helga Reinbeck
- Herr über Leben und Tod [ de ] (1955) como Barbara Bertram, geb. Hansen
- Napoleón (1955) de Sacha Guitry (como Marie-Louise, la esposa austríaca de Napoleón) como L'archiduchesse Marie-Louise d'Autriche
- Die Ratten (1955) como Pauline Karka
Gervaise (1956, de Rene Clement, de L'Assommoir de Émile Zola) como Gervaise Macquart Coupeau, une blanchisseuse douce et coraje
- Amor (1956) como Anna Ballard
- Rose Bernd (1957) como Rose Bernd
- Le Notti Bianche (1957) como Natalia
- Los hermanos Karamazov (1958) como Grushenka
- One Life de Alexandre Astruc (1958, de una novela epónima de Guy de -Maupassant ) como Jeanne Dandieu épouse de Lamare
- Der Schinderhannes (1958) como Julchen
- El árbol colgante (1959) como Elizabeth Mahler
- As the Sea Rages (1959) como Mana
- Cimarron (1960) como Sabra Cravat
- La marca (1961) como Ruth Leighton
- Das Riesenrad (1961) como Elisabeth von Hill
- Sólo una mujer (1962) como Lilli König
Whisky Zwei und ein Sofa [ de ] (1963) como Beate Dehn
- L'assassin connaît la musique ... [ de ] (1963) como Agnès Duvillard
- El diablo por la cola (1969) como La comtesse Diane
- 99 mujeres (1969) como Leonie Caroll
- El juez sangriento (1970) como Madre Rosa
- La provocación (1970) como Jeanne
Dans la poussière du soleil (1972) como Gertie Bradford
- Chamsin (1972) como Miriam
- Die Pfarrhauskomödie (1972) como Irma
- El archivo de Odessa (1974) como Frau Miller
- Change (1975).
-The Twist (1976) como Gretel
- Viaje de los condenados (1976) como Mrs.Hauser
- Kojak - Temporada 4, Episodio 11: "El orgullo y la princesa" (1976) como la hermana Lepar Angelica / Princesa Viva Dushan
- Derrick (1977-1978) como Luisa van Doom / Erika Rabes
- Superman (1978) como Vond-Ah
Lirios navideños del campo (1979) como Valeska Piontek
- Miniserie The Martian Chronicles - Temporada 1 (1980) como Anna Lustig
- Dentro del Tercer Reich (1983) como Mrs. Speer
- Král Drozdia Brada (1984) como královna, Michalova matka
- 1919 (1985) como Sophie Rubin
- Die glückliche Familie (1987-1991, Serie de TV) como Maria Behringer.
Decoraciones y premios
- 1951-1957, 1987, 2002: premio Bambi
- 1954: Mención de Honor en el Festival Internacional de Cine de Cannes por El último puente
- 1956: Copa Volpi en el Festival Internacional de Cine de Venecia para Gervaise
- 1957 y 1958: Bravo Otto de oro y plata
- 1974: Cruz al Mérito de la República Federal de Alemania
- 1977: Premios del Cine Alemán , Premio de Oro por muchos años de excelente trabajo en la industria cinematográfica alemana
- 1980: Gran Cruz al Mérito de la República Federal de Alemania
- 1983: cámara dorada
- 2002: Cruz austriaca de honor para la ciencia y el arte, primera clase [6]
- 2008: Calle Maria Schell nombrada en Landstrasse (3er distrito de Viena, área Aspanggründe / Euro-gate).
Créditos: Tomado de Wikipedia
https://en.wikipedia.org/wiki/Maria_Schell
#HONDURASQUEDATEENCASA
#ELCINELATELEYMICKYANDONIE
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microcosme11 · 4 years
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Detail from Cérémonie du mariage de l'Empereur Napoléon avec Marie Louise d'Autriche. Entire print here.
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tempushistoricus · 7 years
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Mariage religieux de Napoléon et de Marie-Louise dans le Salon carré du Louvre, par Georges Rouget.
Château de Versailles, France
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Peu s'en souviennent, certains l'ignorent (17)
Peu se souviennent de Catherine, premier amour du Roi-Soleil.
En 1643, Louis XIV n'a pas encore 5 ans lorsqu'il devient roi de France. Sa mère, Anne d'Autriche, exerce la régence et veille au plus près sur les intérêts et l'éducation de son fils, ne négligeant pas, semble-t-il, son éducation sexuelle. Inquiète pour la libido de son rejeton, elle aurait confié à Catherine-Henriette Bellier, sa femme de chambre, le soin de le déflorer. C'est qu'elle voulait faire mentir l'expression « tel père, tel fils » ; Louis XIII, en effet, d'un tempérament peu fougueux, a mis près de 23 ans à lui donner un héritier.
Fille de Martin Bellier, commerçant dans le textile, Catherine-Henriette Bellier entre à la cour après son mariage avec Pierre de Beauvais, en 1634. Malgré un physique peu avantageux, elle est borgne, on la surnomme d'ailleurs « Cateau la Borgnesse », on lui prête de nombreux amants. Elle a une vingtaine d'années de plus que le roi, alors âgé de 14 ans, quand elle l'initie aux plaisirs de la chair. Celui-ci en est apparemment satisfait puisqu'elle restera sa maîtresse pendant quelques temps, inaugurant ainsi la longue liste des favorites du Roi-Soleil, parmi lesquelles Louise de La Vallière, Mme de Montespan ou Mme de Maintenon. Anne d'Autriche, pleinement rassurée, accorde à Catherine une pension de 2000 livres ainsi qu'une forte somme d'argent avec laquelle Catherine et son mari, devenu baron par la même occasion, feront édifier l'hôtel de Beauvais, dans le quartier du Marais. Dès lors, elle restera dans les bonnes grâces de Louis XIV et de sa mère. Toutefois, fortement endettée, elle s'éloigne de la cour après la mort de son mari et meurt seule en 1689.
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cheycar · 5 years
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Une très belle nouvelle ! 
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ABR - 01 - (AÑO 1810) - UN DÍA COMO HOY – NAPOLEÓN CONTRAE MATRIMONIO CON MARIA LUISA DE HABSBURGO, HIJA DE FRANCISCO I, EMPERADOR DE AUSTRIA.
María Luisa de Austria (en francés: Marie-Louise d'Autriche) (Viena, Austria; 12 de diciembre de 1791-Parma, Italia; 17 de diciembre de 1847), hija del emperador Francisco I de Austria y su esposa María Teresa de las Dos Sicilias (1772-1807).
Como la mayor de los hijos del emperador Francisco I de Austria y su segunda esposa, María Teresa de las Dos Sicilias, María Luisa creció durante un período de conflicto continuo entre Austria y Francia revolucionaria. Una serie de derrotas militares a manos de Napoleón Bonaparte habían provocado un alto costo humano en Austria. El final de la guerra de la Quinta Coalición resultó en el matrimonio de Napoleón y María Luisa en 1810, que marcó el comienzo de un breve periodo de paz y amistad entre Austria y el Imperio francés. María Luisa, obedientemente, aceptó el matrimonio a pesar del gran desprecio que sentía hacia Francia. Fue una esposa obediente y adorada por Napoleón, ansioso por casarse con un miembro de una de las principales casas reales de Europa para consolidar su imperio relativamente joven. Dio a luz un hijo que brevemente le sucedió como Napoleón II.
La fortuna de Napoleón comenzó a cambiar dramáticamente en 1812 después de su fallida invasión a Rusia. Las potencias europeas, entre ellas Austria, reanudaron las hostilidades contra Francia en la Guerra de la Sexta Coalición, que terminó con la abdicación de Napoleón y con su exilio en Elba. El Tratado de 1814 de Fontainebleau entregó los ducados de Parma, Piacenza y Guastalla a la emperatriz María Luisa, que gobernó hasta su muerte.
María Luisa se casó dos veces morganáticamente después de la muerte de Napoleón en 1821. Su segundo marido fue el conde Adam Albert von Neipperg (casado 1821), un escudero que conoció en 1814. Ella y Neipperg tuvieron tres hijos. Después de la muerte de Neipperg, se casó con el conde Carlos René de Bombelles, su chambelán, en 1834. María Luisa murió en Parma en 1847. [email protected]
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julienpioupiou · 3 years
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#obelisque du Roi de Rome édifié en 1811 pour commémorer la naissance du fils de Napoléon 1er et Marie Louise d'Autriche, institué #Roi de #Rome pour défier le #Pape #PieVII (à Pont-Sainte-Maxence, Picardie, France) https://www.instagram.com/p/CJV6P95H4Vu/?igshid=qax20r5irw5o
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ursgraf · 6 years
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Impératrice Marie-Louise d’Autriche, Lithographie 1833
Marie-Louise Léopoldine Françoise Thérèse Josèphe Lucie de Habsbourg-Lorraine (Maria Ludovica Leopoldina Francisca Theresa Josepha Lucia de Habsbourg-Lorraine), archiduchesse d'Autriche, princesse de Hongrie et de Bohême, née le 12 décembre 1791 à Vienne (Autriche) et morte le 17 décembre 1847 à Parme (Parme), est impératrice des Français de 1810 à 1814, puis duchesse de Parme, Plaisance et Guastalla jusqu'en 1847. Fille aînée de l'empereur François Ier d'Autriche, elle est donnée en mariage en 1810 à l'empereur des Français et roi d'Italie Napoléon Ier pour sceller le traité de Schönbrunn entre la France et l'Autriche, après la défaite de celle-ci lors de la bataille de Wagram en 1809. Rejoignant à contrecœur la cour impériale des Tuileries, Marie-Louise commence rapidement à apprécier sa nouvelle position bien que les Français ne l'aiment pas et qu'elle ne se sente pas chez elle dans ce pays qui, vingt ans auparavant, a décapité une autre archiduchesse autrichienne, sa grand-tante Marie-Antoinette, épouse de Louis XVI.
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