Tumgik
#matente
male--byleth · 2 years
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Oh hell nah
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olympic-paris · 13 days
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saga: Soumission & Domination 265
Inauguration de nos deux cariatides : fin du WE
La fin de soirée se passe à recharger nos batteries. Kamal est tout fou de ce qui lui est arrivé, notamment ses sodos mémorables de Bogosse et d'Eric devant son mec l'ont fait décoller comme jamais. Alexandre est en train de s'apercevoir que son gentil petit beur bien sage est en réalité un pur obsédé sexuel ! Sa souplesse de danseur classique fait merveille en termes de positions, tout comme celle de PH nous avait surpris à l'époque.
Tout en nous restaurant, je vois que les mains inoccupées par la nourriture restent, presque toutes, en contact avec les chairs toujours nues de corps qui ne sont pas les leurs.
L'arrivée des desserts entraine des dérives sur la façon de les déguster. Les supports vivants sont appréciés. Les crèmes de certains gâteaux finissent étalées sur des pecs pour finir léchées. Certains cris m'indiques que des tétons sont de la partie.
Le premier à enduire son gland de chantilly est bien sur Eric. Le blanc de la mousse ressort bien sur le noir Kiwi de sa peau ! Ils sont 2 à se jeter dessus. Cédric bien sur qui considère que ce morceau d'Eric lui appartient et Kamal qui entend bien pouvoir passer son permis moto sans délais. Ce qu'il y a de bien avec les grosses queues comme la sienne, 26cm, c'est qu'il y a de la place pour plusieurs !
Nous sommes plusieurs à les regarder faire. PH vient se coller à ma droite alors qu'Ernesto se glisse à ma gauche. Je les serre contre moi heureux de sentir leurs peaux contre la mienne. Je les aime trop mes deux p'tits frères/mecs/amants/amours !!
Quand je quitte des yeux le spectacle, je rencontre le regard de Marc qui nous regarde tous les trois. A ses cotés Hervé aussi à son regard fixé sur nous. Je leur souris et serre mes bras passés autour de mes deux amis. Ils s'en étonnent et levant les yeux voient nos deux ainés qui nous matent.
Ils nous rejoignent et nous prennent dans leurs bras. De roulage de pelle en batailles de langues, nous ne différons plus le couple (Hervé-Ernesto) du trio (Marc-PH-moi).
L'intensité de l'embrassade est beaucoup plus forte que dans nos touzes précédentes. On s'en aperçoit tous et c'est Hervé qui le premier nous propose de nous éclipser dans notre chambre.
Le temps de prévenir Samir qu'il est en charge de " coucher tout le monde ", nous nous éclipsons discrètement par l'escalier.
Arrivés dans la chambre, je branche l'écran géant sur les caméras du séjour au dessus de nous. Nous voyons que notre départ est commenté. Collés les uns aux autres, nous les écoutons. En fait ils sont tous extrêmement gentils. Même si je les fais rire avec mes besoins de reconstituer une " famille " autour de moi, ils sont tous contents de me connaitre. Alban qui se demande s'il n'y a pas de calcul derrière tout ça se fait renvoyer dans ses 22 par tous les autres ! C'est toujours agréable à entendre.
PH éteint l'écran en nous disant que si cela continuait, j'allais plus me sentir ! Tous les 5 dans notre grand lit, nous nous sommes aimés calmement, tendrement, bestialement aussi mais avec une passion absente des grandes baises collectives.
Dimanche matin (plutôt midi) :
Je me réveille dans les bras de PH et Ernesto. Marc et Hervé sont déjà sortis du lit. J'agace mes voisins jusqu'à ce qu'ils émergent des bras de Morphée. S'ensuit une bagarre qui finit en brochettes. Par là j'entends moi dans PH avec Ernesto dans le cul, Ernesto dans PH et moi en train de lui limer la rondelle sans oublier : PH me labourant le trou alors qu'il offrait l'hospitalité du sien à Ernesto.
Depuis que nous avons ouvert la succursale de Barcelone, Ernesto ne fait plus de passes et les analyses de nous 5 étant positivement négatives, nous avons décidés de nous passer de kpotes entre nous.
Cela nous permet de nous terminer à la bouche et de partager nos productions en nous roulant des pelles un peu grasses !
Douchés et le cul recouvert d'un simple short, nous montons d'un étage. Tous les invités sont déjà debout, plus ou moins vêtus. Au dessus de la cuisine nous pouvons admirer les jambes de Kamal, Arnaud et Louis en train de battre l'eau.
Ammed nous sert de grands cafés et nous piochons dans les corbeilles croissants et pains au chocolat afin de calmer la faim résultant de nos exercices matinaux. Marc et Hervé viennent nous rouler des patins de bonjour. Les autres aussi d'ailleurs !
Nous papotons et nous apprenons comment sont passées les nuits des uns et des autres. Ils n'ont pas été raisonnables eux non plus. Entre minitouze et échanges entre couples, les culs et les bites ont travaillé tard dans la nuit ! Julien n'a quasiment pas dormi. Il est parti de bonne heure pour ouvrir sa boutique mais il nous a laissé Second et doit nous rejoindre après la fermeture vers les 13h30. C'est-à-dire dans pas longtemps !
Heureusement que la cariatide coté salle à manger est traité bronze brillant car vu les mains qui la caresse à chaque passage devant, l'avoir eue mate, comme l'autre cela aurait été vite indécent ! Les mains s'égarant plutôt sur le sexe qu'ailleurs.
Alban est en pleine discussion avec Olivier concernant une commande de statuaire pour agrémenter l'entrée d'une des " maisons " qu'il a en construction. Mais d'après ce que j'ai compris, il doit fournir un plan coté vu que l'oeuvre sera réalisé par un tailleur de pierre in situ.
En attendant le déjeuner, nous rejoignons la terrasse et nos amis déjà dans l'eau. Pas question de nager mais plutôt de se courser, s'attraper se les mettre à l'air jusqu'à ce que nous soyons tous bandants.
Ça du donner des idées aux mecs de l'étage du dessous ( rappel : ils pouvaient mater ce qui se passait sous l'eau par le coté vitré au dessus de la cuisine) car nous les voyons apparaitre les uns après les autres.
Marc prévient et insiste pour que rien de soit fait dans la piscine et surtout pas d'éjaculation sous peine que nous soyons obligés de la fermer. Du coup, nous sortons tous et nous nous dispersons sur les 150 m² de la terrasse. Nous n'en sommes encore qu'aux divers préliminaires quand Julien nous retrouve. Après une pelle à son mec (Second) en train de se faire bouffer la rondelle par Arnaud, il vient nous dire bonjour. Enfin, j'espère qu'il n'en fait pas autant avec les clients de sa boutique ! Vu les pelles profondes qu'il distribue.
Comme je suis le dernier, je l'attrape par le cou pour rendre sa pelle plus longue et le garder pour plus. Louis, avec qui j'étais en train de m'exciter avant qu'il arrive, m'aide à le mettre à poil. C'est plus rapide que prévu car il n'avait pas pris le temps d'enfiler un slip sous son pantalon. Louis me prend de vitesse et se jette sur la bite qui vient d'être dévoilée et se care sans problème les 19cm derrière ses amygdales malgré l'épaisseur de 6 pas si facile à ingérer. Julien raidit vite sous les aspirations/déglutitions de son pompeur. Comme il reste debout, je m'agenouille de l'autre coté et enfoui ma langue entre les deux globes ronds et musclés de ses fesses. L'allongeant au maximum, je titille sa rondelle, qui, je le sais, apprécie aussi la défonce. D'ailleurs je la sens se déplisser, se desserrer. Des deux mains j'écarte ses fesses pour me rapprocher de l'objet de ma convoitise (j'entends bien y mettre mes 20cm dans peu de temps). Ma langue peut ainsi enfoncer ma salive pour préparer le terrain. Tout est bon dans le Charcutier ! Sous nos stimulations, Julien se plie en avant et prend appui sur le mur coté rue. Je me kpote avant même de me redresser et profite du mouvement et de mes 2cm de plus(en taille générale) pour m'enfoncer immédiatement dans son cul. Il ne s'y attendait pas et même si je suis rentré facile (je l'avais bien préparé et il est comme nous tous bien chaud) je l'entends émettre un soupir/gémissement de bien être. Il a beau avancer le bassin par reflexe, je suis le mouvement et avance jusqu'à sentir les quelques poils que je garde au dessus de ma bite s'écraser contre sa peau. Je recule quand j'entends un " arggggggggggg " provenir d'en dessous alors que la queue de Julien étouffait Louis. Nous trouvons rapidement les bonnes positions et mes mains accrochées à ses hanches, je défonce le cul de Julien avec d'autant plus d'enthousiasme que je n'avais pas eu la chance ou l'opportunité de me le faire la veille.
Second, libéré des attentions d'Arnaud, vient nous voir et roule un patin à son mec tout en caressant sa chute de rein. Ses doigts s'égarent jusqu'à sa rondelle que je lime avec entrain. Puis il la retourne et enserre la base de ma queue me faisant durcir encore plus. Trop bon ! Son autre main " s'égare " sur mes fesses, puis entre. Bientôt je sens un puis deux doigts investir mon intimité. Ça ne dure pas longtemps et il les remplace avantageusement (pour moi) par sa bite enveloppée. Il est devenu très bon depuis  notre première rencontre où je lui avais appris (avec son collègue apprenti comme lui de Maçon) à faire des gorges profondes. Ses coups de reins sont très efficaces et Julien s'en rend compte car d'après lui ma bite en gonfle encore plus. Je calque mon limage du cul de Julien à la façon dont moi-même je me fais enculer. Il reconnait le style de son mec ! Je le vois tourner la tête et lui adresser, par-dessus mon épaule, un regard où je lis tout son amour pour lui.
Encore deux PD amoureux !! Ça va finir par devenir banal quoi qu'en pense les rétrogrades amis de Frigide Bargeot !!
En attendant je nique une des deux moitiés du couple tout en me prenant, avec un plaisir non dissimulé, l'autre moitié dans le cul. J'entends, tout autour de nous, autant de gémissements et de cris de plaisir que de participants à notre touze apéritive. Avant que nous ayons tous épuisés nos " cartouches ", je laisse ma place et pars à la recherche d'émotions plus fortes. Je les trouve avec Bogosse et Eric. Je détourne le premier de la bouche de Kamal. Il comprend de suite ce que j'attends de lui et, kpoté, me défonce la rondelle avec un entrain qui me rappelle ses premières sodo estivales. A nos cotés Eric est en train de baiser le petit cul musclé d'Ernesto. Je tourne la tête pour lui dire de garder un peu d'énergie pour m'enculer après. Ernesto proteste qu'il le veut jusqu'au bout. Eric le laboure plus profond et lui dit de pas être jaloux mais qu'il se finirait dans mon cul. Bogosse propose alors d'échanger nos cul, ça devrait le satisfaire vu que question diamètre ils étaient proches lui et Eric. Ernesto nous donne son accord même si sa diction est hachée par les secousses de son enculage. Nous échangeons donc quelques instants plus tard nos deux mâles. Heureusement que je suis passé par la sodo intermédiaire de Bogosse ! Eric change de kpote et m'attrape par les hanches comme si je ne pesais que 30 Kg Et s'enfonce en moi alors que je sniffe en urgence les vapeurs de poppers d'un flacon fort opportunément à ma portée. Malgré mes sodo précédente, je sens bien mes chairs s'écarter sous la pression des 26cm de bite noire qui m'envahissent. Mes gémissements de plaisir attirent mon PH qui se doutait de ce qui m'arrivait. Il me roule un patin en s'accrochant bien à mon cou. Puis il se couche sous moi à l'inverse. Je m'écrase sur lui et embouche sa queue comme je m'enfonce dans sa bouche. Eric m'a suivi et, à genoux derrière moi, continue à me labourer le trou. C'est le nirvana ! Me faire sodomiser par une bite XXL alors que je fais un 69 avec l'amour de ma vie, je ne vois rien de mieux ! Si, quand c'est la queue de mon autre amour qui m'encule, en l'occurrence celle d'Ernesto.
L'excitation devient telle que je ne peux plus résister et je me vide dans la gorge de mon PH alors qu'il me jute dans la bouche. A chacune de mes éjaculations, je spasme ma rondelle et bloque Eric ! il ne lui faut que 3 répétitions pour exploser à son tour et remplir sa kpote alors qu'il arrive à se figer tout au fond de mon trou, ses couilles moites collées aux miennes.
Trop bon ! Limite si je ne m'évanouirai pas !
Nous sommes tous les trois couchés/collés à reprendre nos souffles. Je vois alors Ernesto juter sous les coups de boutoir de Bogosse. J'ai juste le temps de tendre le bras et de récupérer son jus au creux de ma main. De lui-même, il vient me la lécher alors que Bogosse se vide en lui (sous kpote évidement).
Il est 15h30 quand le denier des protagonistes envoie sa purée. Bousculades pour aller nous doucher. Mais entre les installations communes du niveau nuit et celles de la salle de sport, nous sommes tous propres 1/4 d'heure plus tard. Guère plus vêtus, nous nous retrouvons à engouffrer les petits fours et autres canapés que Julien nous avait apporté selon ma commande. Les parisiens s'extasient devant la finesse du buffet. Je les chambre un peu, comme s'il n'y avait qu'à Paris que l'on pouvait manger correctement !
Ça me donne une idée. Faire rencontrer Pablo et Julien. Notre Espagnol serait à même d'ajouter au savoir faire classique de Julien une touche d'originalité qui assurerait le succès de notre ami charcutier traiteur. Ernesto est d'accord avec moi. Je téléphone aussitôt à Pablo pour lui faire part de mon idée. Comme ça l'intéresse, je lui passe Julien pour qu'ils fassent affaire ensemble.
Le WE se termine quand nos invités nous quittent et que je raccompagne Ernesto à l'avion.
Jardinier
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willow-o-wisph · 10 months
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Movie Posters and Book covers reimagined as FNAF [concept not art]
Warnings: discussion of disturbing imagery, gore, and horror.
None of these ideas are based off the plot of the story and more of the way the poster looked. Just wished to say that before someone told me why poster idea was wrong because of said story plot.
[Feel free to use these ideas but I ask to be tagged if the idea is used so that I can see it. I like looking at cool artwork.]
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This poster but redraw it as Michael Afton from FNAF during his Ennard era. Change out the stuff with wires, blood, and some of the remaining internal organs. Blood dripping down his now purple eyes. Clawing at his decomposing face with some of the skin peeling off as he does. It would be a wonderful horror image.
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FNAF 4 Crying Child. Here's my idea. CC kneeling in front of a television playing the Freadbear and Friends cartoon, but have the image be staticed over a bit. Fretboard plushie being on it's back as well in the same position as the poster. But to add onto the image have the nightmare be standing slightly seen in the dark background behind the TV in the same standing order as presented on the TV with the nightmare Fred bear even further behind them with the menacing teeth covered in blood be the most prominent part. The wording on the poster even fits the idea. Have the Poltergeist be turned into Nightmares or something similar.
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Pizza-plex horror poster. I have two ideas that can be mixed and matched around. This isn't as concrete of an idea but spinning of multiple concepts.
1. Have the hand holding the bag be Vanny's and the head in the bag be Vanessa's to symbolize the way that Vanny has taken over Vanessa.
2. Have the hand stay as Vanny but have Gregory's head be in the bag. Showing the worst case scenario that could have happened.
3. Have it be the mimics hand [real or digital] holding Cassie's head in the bag either bare or with the discarded Vanny mask.
But whatever is choosen the bag is changed to a fazbear gift bag, a simple 80s inspired logo, nothing too busy. To add to the horror you could add blood coming from the hole in the bag or from the head in the bag. Either way it's an interesting concept
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William Afton as the man with the bloody knife and the five figures as the five missing children. Make the background the pizzeria and while a simple change over it would be really cool to see where an artist might take it.
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Another FNAF 4 poster idea. This one being from outside the Afton house and the spirits over the top being the nightmares. There's enough faces for it to include a lot more faces. Keep the bedroom window but have the light come from a side view child holding up a flashlight or something similar.
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Another Michael idea. The G in the poster kinda looks like a stylized scooper doesn't it. Keep the clock and blood dripping down it the same, put Michael in his matentence worker uniform and it would make a cool poster. The clock face could even be turned into Baby's face to symbolize where her face appears as a clock face during the game.
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Honestly Just an excuse to draw Bonnie's spirit Jeremy shredding on Bonnie's guitar. Nothing too deep about this one, just a really cool image I wanted everyone to think about.
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Ennard in the sewer. Ennard right after it left Michael's body. The blood still on the sidewalk and some loose wires that didn't make it. Turn the paper boat into Ennard's party hat. Have glowing eyes be seen in the darkness and dried bloody hand like metal be clamping onto the grate.
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Tales from the Pizzaplex with Tiger rock holding the book. Simple one but one I thought would be fun to show for the book fans.
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William holding up a knife to one of his victims. I was thinking Charlie or Cassidy. Have there be some speckles of blood if you believe the missing Children's incident took place over the course of an extended period of time or have it be covered in the blood of the recently killed other children if you believe the killing happen over a very short time span.
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[I might make more parts with more of my ideas later.]
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papyanar · 1 year
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Quadra, presque quinqua,
Femme libérée, bien dans ses talons,
Jupes ou pantalons,
Tu tournes toujours un peu des fesses,
Histoire que, de mâles non érudits te matent !
Tes gosses sont grands, Nike air et Converse
Aux pieds, le reste de chez Vinted !
Un Lituanien qui a tout compris.
Tu manges bio ou végan en Mégane
Renault hybride
Tu es salariée assimilée art.36,
De la C.C.N de 1947,
Ça pose en société !
Ton mari ou ton com-pagnon
Se délecte d'un art.4 de la même convention.
Tes amours sont fixes, mari et maison
À crédit, ébats amoureux sans Doliprane ;
Ou seule et bien, heureuse avec couette ;
Onanisme torché au papier de Hollande,
Comme le gueulait mon pote Léo F.
Une vie en sorte accrochée à ta peau ;
Des étés à venir, joyeux ;
Des hivers à bruncher chez tes potes de" green",
Avec tes livres, tes musiques, des mots,
Je vous écris comme cela au travers d’un rayon
De soleil, qui me frappe la peau,
Comme le baiser que tu me donnes,
Quand poète de mes maux, je pense à vous,
Muse ou pas, d'ailleurs ou pas,
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semena--mertvykh · 2 years
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Plus rien à vendre
Je plais à un gars du service, çà se voit à sa manière de regarder ma bouche sans faire gaffe quand je parle, et de mater en douce chaque fois que je me lève pour aller chercher une photocopie.
=> vérifie le matos
Il est pas mal, des beaux yeux bleus, plus jeune que moi - la quarantaine grand maximum. Je sais qu'il n'a pas de copine parce que, si c'était le cas, elle lui aurait fait comprendre que :
1) il faut qu'il arrête de se racler la gorge quand il se mouche parce que c'est dégoûtant ;
2) la mauvaise haleine se guérit facilement : un brossage quotidien + fil dentaire tous les 2-3 jours (et moins de sucres rapides si le pb vient de la digestion).
C'est terrifiant ce que les mecs de ma caste ne m'attirent pas. Je les connais par cœur, je connais leurs luttes, leurs aspirations, leur désespoir aussi - dont ils n'ont souvent pas conscience - leur médiocrité, leur rire, leur manière de s'asseoir et je sais où ils vont s'acheter leurs fringues, leurs outils, leurs jeux vidéos. J'en apprécie certains, on a fait des centaines de manifs ensemble, je me suis fadé leurs films débiles et leurs goûts musicaux improbables et leurs prévisibles marottes érotiques pendant des années. Ils ne m'attirent pas. Je les regarde et je sais tout de suite où çà va finir. Je vois les soirées à s'ennuyer devant la télé, les vacances avec les beaux-parents ou le camping à Saint-Jean-de-Luz, la vie bornée de tous les côtés par le manque et la petitesse ; chaque fin de mois compter et faire gaffe.
J'ai déjà donné.
Car non, je n'ai pas toujours été cette vieille fille ébouriffée, escortée par une meute de chiens errants, à qui les enfants jettent des cailloux => Semena la sorcière résolue, la vestale chaotique.
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Le manque d'argent permanent, c'est déjà pas drôle quand on est seule, mais avec l'effet loupe du couple...
Et pour peu qu'ils aient moins d'instruction que moi, qu'ils aient moins lu - qu'ils soient moins sensibles, tout simplement, moins conscients des choses - et j'ai vite l'impression de trébucher dans un éclair de lucidité, à comprendre que le couple n'est pas la solution à mes problèmes, c'est juste un problème de plus.
Rajoutons les tares masculines qui ont le don de me rendre cinglée :
-- matent tous les Q qui passent, une fois écoulés les 15 jours idylliques des débuts, comme si le monde était un vaste bordel rempli de filles perpétuellement disponibles et de clients-rois ;
-- se croient investis de La Vérité Vraie sur tous les sujets (quand toi, poupée d'amour, tu n'as qu'une vision "biaisée et subjective" de la situation) ;
-- atrophie émotionnelle ; 
-- n'acceptent pas que tu fasses autorité sur un sujet, que tu aies de l'humour, voire : que tu en saches plus qu'eux dans un domaine ;
-- se sentent tout mous dès que tu adoptes une posture de sujet désirant et que tu fais d'eux des objets de désir ;
-- ne parlent que d'eux, ne s'intéressent qu'à eux ;
=> non seulement on doit se fader la famille et l'argent comme ennemis du désir, mais par dessus le marché - comme si les choses n'étaient pas déjà assez compliquées comme çà - il faut gérer l'égoïsme masculin, absolument authentiquement convaincu que les femmes leur doivent en permanence quelque chose : du sexe, de l'écoute, du soutien, des marques d'intérêt 24/24... sans qu'il soit jamais question de consentir à un effort réciproque.
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Je sais, je sais, je pourrais faire comme les autres filles de ma caste, je vois bien comment elles sont avec eux, à leur parler comme à des mômes de 8 ans - parce que, visiblement, c'est encore çà qui marche le mieux avec eux : le même ton mi-grondeur, mi-patient, cette exaspération ostensiblement contenue, inexplicablement affectueuse. Putain, quel intérêt ? Il faut vraiment avoir envie de se reproduire pour s'infliger un quotidien de monitrice de colonie de vacances pendant des années.
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neant-blanc · 2 years
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ĒĿĒĊŤŖ⨀ĊĦ⨀Ċ
Pétard ! C’est la merde. Les yeux de Bambi, immenses comme ceux d’un hibou, lui sortent de sa tête défractée. Elle sue des grosses gouttes de peur. Son eyeliner dégouline, ça lui fait des cils impossiblement longs qui lui donnent un air de harpie ahurie. Elle est juste habillée d’une robe rose trop petite qui lui taille le haut des cuisses parce qu’elle a de grandes jambes et qu’elle fait de grands pas, et des Mary Jane à talon, seules fringues qu’elle a pu gratter avant de gicler de la clinique. Les gens qu’elle croise la matent sans comprendre. Ils s’écartent devant la Barbie zombie qui trisse en rasant les murs. Bambi en peut plus. Il lui faut une dose sinon elle crève. Son cœur cogne si fort qu’elle en a mal aux seins. Elle avait vraiment pas le choix. Quand t’es casé à Pampalon pour plus de deux semaines, tu peux être sûre d’en ressortir cramée foutue. Pétard ! Tout le monde sait ça... Au-dessus de tout, le ciel gris dégueulasse se met à pisser dans les rues. En un moment, les cheveux de Bambi se ramollissent. Ils passent du bouquet de paille en pagaille à une Iggy Pop en plus crade encore. Bambi allonge la foulée. Elle enjambe les grandes flaques maronnasses qui poussent dans les creux du bitume. Sa caboche de tox morte de trouille swing à droite à gauche pour essayer de lire les panneaux qu’elle capte à peine. Les rues c’est juste de grands couloirs d’hôpitaux pour elle. Tous les mêmes, interminables, avec des foutus néons de chaque côté. Elle reconnaît rien alors elle fait ça à l’instinct. Dans le brouillon de ses pensées, il y a les clebs de la Pampa qui lui mordent les fesses, qui lui lâchent de la bave partout et qui la cassent en deux avec leurs barres électriques. Ça la fait tenir même si elle en peut plus. Se tailler en oblique, gicler du centre, atteindre la ZI. Pétard elle y retournera pas ! Elle croit entendre des mâchoires claquer quand ses talons tapent le bitume mouillé, alors elle se met à sauter à chaque pas. Elle a tellement la frousse qui monte, qui monte, qui inonde tout, qu’elle croit sentir des dents ripper sur ses mollets. Alors elle se met à courir pour de bon. Autour d’elle, les maisons baissent. 3, 2, 1 étage ; elle s’écarte des boulevards, prend les ribines. Puis c’est les petits jardins avec plein de bordel tellement qu’on voit plus la pelouse. Et enfin, les grandes taules des entrepôts, les tas de grands machins en ciments, les petits champs de ronces entourés de grillages défoncés. Elle s’arrête qu’après que les trottoirs ne sont plus que des morceaux de goudrons pleins d’herbes. Là, elle s’appuie à un caddie renversé et commence à vider son estomac entre les roues. Ça lui brûle tout le long de la gorge jusqu’au derrière des dents. Elle a rien dans le bide à part les pilz de la Pampa, du coup c’est dur à sortir. Il pleut toujours. Bambi s’essuie la bouche et mate autour d’elle. Son cerveau analyse rien, elle bug, n’arrive pas à séparer le ciel des bâtiments. Elle se met à longer les hangars qu’elle touche de la main pour être sûre. Après quelques tours il y a un détail qui revient. Ça connecte juste assez pour qu’elle passe en mode automatique. Elle suit un chemin de broussailles aplaties entre des buissons d’ajoncs plus grands qu’elle, passe derrière des poubelles qui cachent un trou dans une clôture avec des barbelés au-dessus, traverse un terrain vague qu’était un parking avant, et arrive enfin devant un grand bâtiment abandonné. La façade est toute lisse à part pour une porte encerclée de rouille calée en plein milieu. Bambi l’agrippe à deux mains et tire. Sa robe craque dans le dos. Elle sent qu’un nouveau filet de bile remonte de son bide. La porte bouge avec un grincement de métal froissé. Elle l’entrouvre à peine, puis elle attend. C’est la règle. Avec le vent qui perce entre les mailles de sa fringue et son manque, elle commence à claquer du dentier. Elle a l’idée de s’accroupir pour être moins vu. Ça la fait pisser direct. Bambi regarde la petite flaque d’urine s’étaler entre les graviers et ça lui donne envie de chialer parce que ça la renvoie 20 ans en arrière, quand elle s’appelait pas encore Bambi. Elle a à peine le temps de finir que la porte s’ouvre carrément.
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444names · 8 months
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Names generated from Indian forenames and the Ayleidoon language dictionary
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stil-yr-sand · 1 year
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i left my matents at uome :(
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olympic-paris · 4 days
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saga: Soumission & Domination 274
Espagne - 2 soirées chaudes(2013)
Juan nous emmène (PH, Ernesto et moi) sur la plage à l'heure où les Gogos des boites la parcourent à la recherche de clients à appâter.
Par 3 ou 4, dans leurs maillots blancs portés bas sur les hanches, tirés vers le sable par des sexes lourds, musclés comme sur des publicités pour protéines et bien sûr, tout bronzés, ils sont rapidement le point de mire de toute l'étendue de sable.
Nous jouons les indifférents mais le carré que nous faisons, avec nos petits culs musclés serrés dans nos maillots à la taille calculée au plus juste, attire leurs regards. Ils dévient vers nous et je vois se pencher au dessus de nous le plus beau gosse du groupe, tout sourire, dévoilant deux rangées de dents blanches. Il nous apostrophe en anglais nous proposant des entrées pour la soirée qui vient. Mes trois collègues se retournent et matent leur petit groupe. Comme on tarde à répondre, un des autres s'accroupi à nos cotés et ajoute que, pour nous, ils pourraient aller jusqu'à nous offrir  les boissons toute la nuit.
Comme il nous voit encore hésiter, il m'attrape le poignet et clipse son bracelet " tout compris ". Quand Ernesto leur demande le dress-code, ils nous répondent que nos maillots seront bien suffisants, les kpotes et le gel sont fournis en libre service. On leur garde un flyer et comme nous leur promettons d'y venir, ils bouclent le reste de mon groupe.
Nous rentrons à la villa, tout contents. Nous racontons l'invitation à nos mecs et que nous avons même décrochés le sésame conso. Ils rigolent, comme si nous n'avions pas les moyens de payer. Je leur dis que c'était une question de principe. Hervé dit reconnaitre là ma façon de me vendre au plus offrant. C'est dit gentiment et je ne le prends pas comme une insulte. Sauf avec mes quatre amours (Marc, PH, Ernesto et Emma), je n'ai aucun scrupule à faire payer très cher mes services.
Le reste de l'après midi, nous préparons nos corps à la débauche du soir. Epilations et rasages, muscu et, pour mettre en valeur nos corps déjà bien bronzés, petits massages au lait après soleil. La pose des cockrings met en avant nos " atouts " et l'emballage du tout dans nos maillots ES de la collection 2013 complète notre attractivité. J'en prête un en caoutchouc à Juan. Son petit paquet prend tout de suite meilleur allure dans son Aussiebum. Quand nous nous présentons à Marc et Hervé, nous avons droit à des sifflements approbateurs. Dans notre dos, nous parviennent ceux de Paco. C'est rien mais ça nous mets tous les 4 en joie. Ils nous disent qu'ils viendront aussi à la soirée pour pouvoir nous surveiller un peu. Marc appelle Paco et lui dit qu'il devra nous accompagner pour surveiller son Juan et  ajoute que c'est lui qui offre.
Quand nous arrivons à la boite, nos " laisser- passer " font leur effet auprès du physionomiste et les euros agités par Marc assurent leurs entrées.
La musique est trop forte et il est quasi impossible de s'entendre parler. Par contre la population n'est constituée que des plus beaux gosses de la station balnéaire. Physiquement ils paraissent tous entre 16 et 30/35 ans. Si nous tirons notre épingle du jeu, nous ne sommes pas les seuls beaux-gosses de la soirée. Ça évite d'attraper le melon !
Je me fais draguer par un mec dans les 25-30 ans parmi les plus musclés avec un maillot bien rempli, même s'il bande un peu déjà. Il n'y a pas été par 4 chemins. Ses mains sur mes fesses, il me plaque tout contre lui pour que je sente bien son " intérêt " pour moi grandir. Je pose mes mains sur ses pecs. Il les contracte pour m'en mettre plein la vue. Ok, ils sont bien épais, tout comme la barre que je sens se développer contre ma hanche. Il va vite mais nous avons toute la nuit devant nous. Je l'entraine vers le bar et me commande une bière. Le mec annule ma demande et me dit m'offrir du champagne. Le serveur qui a vu mon poignet, me fait signe d'accepter. Il sort une bouteille de champagne français que l'autre règle avec un billet de 500€ tout neuf sorti de son slip. Je prends une coupe alors qu'il s'enfile le reste de la bouteille. Je me dis alors que ce plan ne va pas tarder à me filer entre les doigts ! L'alcool et le sexe c'est rarement compatible. Pour le moment il reste bien raide. Alors que je sirote la coupe, je jette un coup d'oeil pour voir où sont mes amis. Marc entreprend un p'tit mec tout mignon alors qu'Hervé s'approche d'une copie conforme d'Ernesto. On se refait pas !
Quand je reviens à mon " cas ", la bouteille est vidée mais pas d'effets visible sur le comportement du mec. Il bande toujours, son élocution est nette et le regard bien clair. Nous nous déplaçons sur la piste et sautons avec tous les autres au rythme de la musique. Il me colle un peu trop. Je lui dis qu'il est pas mal mais que j'ai pas encore fait mon choix. Ça le dégrise, je pense qu'il avait cru que c'était du tout cuit et qu'il m'en avait mis plein la vue avec sa grosse coupure. Du coup il me lâche et s'attaque à une autre proie. Je retourne au bar et le mec qui nous avait servi me dit que si je continu sur le même rythme, je serais invité toute la durée de mon séjour. Il est étonné quand je dis que cela ne m'intéresse pas. Je sens alors contre mes fesses se plaquer une grosse bite et des mains sur mes hanches qui la compresse. Je me retourne c'est le mec de tout à l'heure. Il commande une 2ème bouteille et comme je proteste, il me dit de laisser faire, que cela ne l'empêchera pas de bander.  Avant qu'il la finisse, je l'entraine dans les WC. Ils sont déjà bien occupé mais il déniche le dernier m² de libre et me colle au mur avant de me rouler un patin. Contrairement à ce que craignait, sa bouche est fraiche et sa langue agile. Entre deux pelles, il me dit qu'il m'avait remarqué dès mon entrée dans la boite, que mon corps musclé et huilé l'avait attiré et que quand il avait eu mon cul sous ses mains, il s'était dit que j'étais pour lui. Je le remercie de tant de compliment et pousse un peu pour voir jusqu'où il serait capable d'aller. Comme nous parlons espagnol depuis le début, je lui fais croire que je suis sans travail. Il me propose aussitôt de m'aider un peu. Je fais semblant d'hésiter, lui dit que je ne suis pas vénal et que j'ai jamais fait ça. Il me dit me croire mais reste très pressant contre mon bassin. Finalement il me propose de sortir de la boite et de finir la soirée chez lui. Comme il me plait bien, je lui dis que c'est d'accord mais que je dois prévenir un copain d'où je serais. Nous nous approchons d'Ernesto (autant prendre le plus massif pour l'impressionner un peu) et alors que je lui dis que j'accompagne ce monsieur à son hôtel, ce dernier lui donne son nom et l'adresse. C'est à deux pas de la boite et nous passons l'accueil sans autre remarque qu'un clin d'oeil appuyé du standardiste.
Il occupe une suite assez grande. Le lit King-size n'attend que nos ébats. Je me jette dessus et le mec me rejoint. Il me caresse, prenant un temps infini pour parcourir le moindre cm² de ma peau découverte. Sa langue remplace ses mains. C'est assez bon. Arrivé au bord de mon maillot, il finit de dénouer le lacet et pousse le rebord sous mes couilles. Quand il voit mon cockring en or, il me questionne sur qui me l'a offert. Là, j'invente un " service " rendu à un prince arabe. Je le vois avaler l'imposture et ça lui rappelle qu'il m'avait attiré financièrement. Il se relève et va chercher dans le coffre au fond du placard, un paquet d'Euro. Il en détache quelques billets et les pose sur la table basse sous le cendrier en verre. Il en compte 5 de 200, me regarde et en ajoute 2 autres avant de me demander si c'est suffisant. Je fais l'impressionné. J'ouvre de grands yeux en lui demandant ce qu'il fait. Quand il me dit être Trader, je lui dis en riant qu'il aurait pu arrondir. Il me regarde à nouveau ajoute 3 billets et me dit que je vais devoir quand même les mériter. Alors que j'avais remonté mon maillot, je fais quelques déhanchements avant de le retirer en lui tournant le dos et en me penchant pour bien mettre mon cul devant ses yeux. Je sens aussitôt ses deux mains se poser sur mes fesses et il me dit de ne plus bouger. Je me laisse guider. Il pousse sur mes chevilles pour me faire comprendre d'écarter les pieds. Je sens alors sa bouche se poser sur ma peau et sa langue sinuer sur ma fesse droite jusqu'à se poser sur ma rondelle. C'est un pro du léchage de cul. Il me travaille la rondelle un bon momentµ. Il me fait me poser sur le lit le cul en l'air et les épaules sur le matelas. Il fait ça trop bien. Limite qu'il me ferait jouir avec sa langue ! De temps en temps il aspire mes boules dans sa bouche pour les faire rouler sur sa langue. Je bande à en avoir mal. Quand il me lâche, j'ai la rondelle ouverte à trois doigts ! A mon tour de jouer. Il est debout et je caresse son corps. Mes mains s'attardent sur ses muscles qu'il bande les uns après les autres. A genoux devant lui, je lui retire son boxer de bain déformé par son excitation. J'avais bien estimé. Se dresse devant mes yeux un sexe d'environ 22cm bien épais, dans les 6,5. Blanc par rapport au reste de son corps bien bronzé, circoncise, sa bite est bien droite légèrement courbée vers le bas. Son gland rose vif est aussi gros que ses boules. Ces dernières, rasées, pendent bas en dessous, au moins à 5/6cm. Je ne me dégonfle pas et lui prouve que là aussi il a bien investi son argent.
Je me penche en avant et doucement m'enfile sa bite dans la gorge ne m'arrêtant que quand mes dents se sont posées sur son pubis. J'ai senti que ça lui faisait de l'effet alors qu'il avait du mal à rester debout ! Je recule, respire un bon coup et remets ça. Là, ses mains sur ma tête accompagnent ma plongée. Il est impressionné. Je l'entends se dire en anglais qu'il s'est trouvé une sacrée bonne pute. Je fais semblant de ne pas comprendre, ça pourra me servir plus tard.
En attendant il apprécie au plus haut point l'hébergement de son gros gland dans ma gorge. Je le laisse mener ses coups de reins. J'ai l'impression qu'il cherche à voir combien de temps je peux tenir en apnée car il reste de plus en plus longtemps tout au fond de ma gorge, ses mains maintenant ma tête contre lui. Comme j'ai une bonne expérience de cette pratique et une bonne cage thoracique, il prend sont pied à me malmener un peu. Ses propos virent coté " salope " et " chienne ", " bouche à bite " et " pute " reviennent souvent dans sa bouche.
Il se retire avant de juter. Il me repousse et me regarde fixement. Sans m'inquiéter, je m'interroge sur ses motivations. Il me demande alors de tourner doucement devant lui, pour se repaitre de mon physique. Il me demande quels sports je fais et ne s'étonne pas quand je lui dis faire beaucoup de muscu. Lui me dit qu'il passe 1h2/2 par jours à la salle. Je m'émerveille et ajoute que cela lui fait un corps superbe. Il boit mes paroles comme du miel ! J'ai l'impression qu'il jouit d'un égo surdimensionné ! Il me le prouve aussitôt en prenant des poses faisant ressortir ses différents groupes musculaires. Ok je dois admettre qu'il à toutes les raisons d'être fier de lui. Son corps est harmonieusement très musclé et sa bite de 22cm ne parait pas ridicule pour autant.
En Espagnol il me demande comment je le trouve. Je continu sur le mode " mon dieu qu'il est beau ". Je m'approche et caresse son corps. Il ne demandait que cela, trouver un jeune mec à impressionner. Il me quitte soudain et fouille dans son coffre et ajoute une liasse de billets à ceux déjà sur la table basse. Il me dit qu'avec la prime qu'il s'était fait cette année, il pouvait me couvrir de billet qu'il lui en resterait encore suffisamment. J'aime ce genre de propos.
Il revient vers moi, me caresse et pousse ses doigts entre mes fesses. Comme il me trouve resserré, il me pousse sur le lit et me demande de prendre mes jambes sous les genoux pour relever mon cul et écarter mes fesses. Il se couche alors et ventouse ma rondelle. Sa langue refait merveille. Il salive un max et je laisse mon sphincter se déplisser. Il fait entrer sa langue et lèche les 2/3 premiers cm de mon ampoule anale. C'est bon surtout qu'il salive beaucoup et pousse cette dernières dans mon trou.
Je ne me branle pas car ça me ferait juter direct. J'ai perdu la notion du temps quand je le sens se redresser, passer son torse entre mes cuisses et m'écrasant, me donne sa langue à téter. Bien que lubrifié et préparé, je sens son gland chercher ma porte arrière. Pas de Kpote, je serre mon anneau et il bloque. Ça le surprend. Je lui glisse dans l'oreille que je suis une pute mais de celles qui se font prendre avec Kpote. Il fouille sous son oreiller et s'équipe rapidement. Je me détends et le laisse entrer. Pour lui donner plus de plaisir et en prendre aussi ma part, je maîtrise sa vitesse de pénétration en variant ma pression anale. Quand il arrive à coller son bassin à mes fesses, il a l'air d'avoir gravi l'Everest ! Je continu mon jeu de jeune impressionné. Je lui dis " c'est trop bon ", " je ne me suis jamais pris une bite aussi belle " et il me croit !
Il s'agenouille et ses mains me prennent les hanches pour initier s'enculage.
Je fais le fier mais il est réellement bon à ce petit jeu.
Il me baise comme une reine. J'ai l'impression quand même de visiter tout le Kamasoutra. Régulièrement il change nos positions. J'ai beau pulser de ma rondelle, il tient le choc grave. Je suis plus d'une fois à la limite de juter mais il s'en aperçoit et cesse alors tout mouvement le temps que la pression redescende.
Pendant ces moments là, il m'embrasse et nos langues se battent entre elles.
Il me baise comme ça pendant presque 2h avant d'exploser dans sa kpote. Nous sommes alors assis tous les deux, moi planté sur sa queue bien sûr. Il me fait sauter dessus, ses mains sous mes aisselles me soulevant aussi facilement que si j'étais une poupée gonflable. Au moment où il jouit, il pousse sur mes épaules pour se planter encore plus loin en moi. je me laisse aller à juter à mon tour et lui en fout des litres, jusque dans les cheveux.
Je bascule sur le coté et m'éloigne avant qu'il ne débande. Je tâte ma rondelle, il l'a bien élargie le salaud ! À lui tout seul il me l'a défoncée comme lors des touzes maison où je me fais sauter par une bonne demi-douzaine de mecs dont Eric !
Sur le dos, il me demande si je serais encore libre durant la semaine. J'hésite puis lui réponds que non. Il me demande alors si je n'aurais pas quelques amis qui pourraient le dépanner comme je venais de le faire.
Je glisse jusqu'à la table basse et m'empare des billets et les compte. Il y en avait pour 2 000 avant qu'il ne fasse le rajout. Là maintenant j'en compte 10 de 500 en plus. Même si le jour se lève, se faire 7 000 € en une nuit et avec un seul mec, je ne crois pas avoir jamais gagné cela moi-même.
Je lui demande s'il sera aussi généreux. Il me répond que si mes amis sont aussi bons que moi, ce sera oui.  Je cogite vite et pense que mes deux Escorts lutteurs Espagnols feraient bien son affaire. Je lui prends son numéro de portable et lui promet de le rappeler avant midi.
Quand je rentre à la villa, j'apporte des churros frais trouvés sur le chemin. Ils dorment tous. Je pose mon salaire sur la table de chevet et m'endors aux cotés de mon PH et de Marc.
Jardinier
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yoyo-yolanda · 1 year
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Âge
L’a les quarante d’une meuf qu’a roulé sa bosse pleuré sa bosse les quarante d’une liste qu’elle se fait en événements marquants en ères d’influence de dépendance de circonstances et toutes ces années elles filent elles défilent en la laissant bien pantoise
Origines et nationalité
L’enfant de Philadelphie, PA l’enfant de la ballroom de là-bas d’ici-bas récipiendaire de l’héritage africain-américain des parents qu’ont donné le sang que ceux qu’on donné le sens 
Genre
Femme cisgenre
Occupation
L’uniforme en pleasers de plexi et culotte qui laisse à la chair des cuisses le froid du métal pendant qu’elle fait chauffer le barreau de ceux qui la matent tout en contorsion toute en dimension danseuse de pole dance acrobate sirène et sorcière tout ça presque un peu pareil devant les mâchoires au sol les mains au fut pour cacher la gaule ou pas
Situation financière
Dans la merde 1983 - présent l’esprit jamais tranquille parce que l’argent jamais facile là qu’elle est à se niquer les genoux pour des gens qui ne paient que pour les projections qu’ils se font d’elle les fantasment qu’ils s’imaginent sur elle et comme le manque d’imagination alors le pourliche pas bien fameux conclusion yo-yo qu’elle se fait entre la banque alimentaire certains mois et le petit plaisir d’autres puis entre les deux les mules à talons bien campées sur une chaise et l’autre avec le gouffre mental au centre
Statut civil
Dichotomie fantasme réalité différence entre sincérité et nécessité comme d’autres yolanda l’a le cerveau en deux hémisphères le cœur et le corps et là où l’cœur s’est percé entre sa meuf et elle le corps a pas pu s’résoudre à quitter le lit la cuisine équipée la machine à laver et tout ce qu’il y a sous le toit et le toit avec donc l’est restée pendant deux ans jusqu’à ce que la propriétaire la maquerelle en d’autres mots la concubine n’ait plus le cœur à elle et la foute dehors depuis l’est sans domicile et sans idylle que celle qu’elle s’imagine que celle qui lui fout l’effroi au corps tellement l’est de l’ordre du rêve de l’intouchable de l’impensable
Orientation sexuelle
Une de ces ères qu’elle se pensait pas vivre de l’instant où elle a posé le regard sur lui et s’est mise à ne plus voir que lui rien que lui la yolanda qui d’ordinaire était plutôt là à apprécier la compagnie de ses collègues s’retrouve à baver sur un homme alors bisexuelle qu’elle s’est découverte tardivement comme une demi-norme qui lui fait tout bizarre elle qu’a toujours été habituée à être mise à l’écart là s’imagine presque lui tenir la main dans la rue ou avoir un mariage comme dans les films ?
Situation familiale
Sait pas vraiment trop où l’en sont les membres de sa famille pas celle sur qui elle a ouvert ses yeux en premier plutôt celle qui lui a ouvert les yeux et donné des baisers. C’est une famille choisie pas une famille subie de celles et ceux qui écument les balls en quête de trophée et d’adelphité parenthèse enchantée du milieu des quatre-vingt dix jusqu’à l’aube du siècle présent puis on lui a fait coupé les ponts une copine qui lui promettait monts et merveilles de l’autre côté du pays tout ça pour finir par la baiser autrement qu’en faisant plaisir et maintenant yo-yo l’est trop penaude trop honteuse pour donner un coup de fil demander un coup de main…
À oceanside depuis les dix ans qu’elle a entamés avec une conne et sa mère dans la chambre d’à côté.
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frankienereau · 2 years
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Ce soir, c'était "le boeuf sur le toit" version IMAX. J'ai beau connaître le truc par coeur, j'ai été embarqué par ce film d'à peine plus d'une heure qui nous plonge au coeur de ce concert improbable des Beatles sur les toits de Saville Row, un beau midi de janvier 1969, au coeur d'un Londres encore un peu victorien mais basculant dans la culture pop.
Ce qui frappe d'entrée, c'est la vie trépidante dans les rues de Londres, tous ces taxis, tous ces piétons et cette grisaille des murs. Et puis, tout là-haut, sur les toits, une petite troupe qui s'affaire à préparer son guet-apens. Petite troupe, je m'entends : 5 caméras sur le toit-scène, 1 caméra sur le toit d'en face (le propriétaire apparaît dans le film, abasourdi de n'être pas au courant) et 3 caméras dans les rues pour interviewer les passants (idée géniale). Et une autre caméra cachée dans le hall d'entrée qui s'avère précieuse quand deux policiers arrivent pour parlementer dans le but de faire taire tout ce bruit ("Déjà 30 plaintes en quelques minutes"). George Martin était au courant, lui : on le voit faire un clin d'oeil à la camera en entrant au début du film.
Michael Lindsay-Hogg dirige l'équipe image et Glyn Johns et George Martin veillent au son depuis le studio du rez-de-chaussée, relié à la console du toit.
Paul mène le bateau dès le début avec son "Get Back" qui chauffe le groupe, chacun (à part lui) arborant manteaux de fourrure (John et George) ou imper rouge bien flashy (Ringo) vu que Londres au mois de janvier, hein...
Au fil des morceaux, John se détend et reprend le lead sur "Don't Let Me Down" ou "Dig A Pony". "I've Got A Feeling", mon morceau préféré de l'album "Let It Be", est exemplaire de la cohésion de ce groupe qui n'a pas joué en public depuis 3 ans : la complicité entre les deux hommes (Paul chante seul au début, puis c'est au tour de John avant qu'ils se rejoignent en répons sur le dernier couplet) y est magique et naturelle. Les années de formation à Liverpool, Hambourg et les tournées harassantes leur ont donné une assurance incroyable. Ça a beau être enregistré sur un toit, le groupe "sonne", alliant musicalité et punch. Car les répertoire est rock'n'roll : "Get Back" (3 fois), "Don't Let Me Down" (2 fois), "I've Got A Feeling" (2 fois), "I Dig A Pony", "One After 909". Et c'est tout puisque la maréchaussée britannique, forte de 4 hommes (dont 2 constables casqués hilarants), finit par faire entendre la voix de la minorité qui crie "Assez !" face à tout ce bruit qui descend des toits, à cet effarant pandemonium provoqué dans les rues par la foule qui s'agglutine, tête tournée vers le ciel, heureuse d'entendre ce délicieux boucan mais aussi frustrée de ne pouvoir en être témoin oculaire. Le micro-trottoir opéré par les cameramen des équipes au sol est émouvant, touchant : on y voit des gens de toutes classes exprimer leur réaction globalement positive à ce cadeau tombé du ciel. Avec des trognes incroyables, que ce soit parmi les riches propriétaires ou les gens simples. Une galerie de portraits encore marqués par le poids de la société, le poids des classes et un côté encore très classique dans l'apparence extérieure. Alors que 4 étages plus haut, les Fab Four arborent leurs visages chevelus, barbus et leurs dégaines débraillées. Pas de maquilleuse ici. Ils apparaissent dans leurs habits de tous les jours, sans fard. Le contraste est même saisissant avec leur entourage : Mal Evans, leur road manager, a encore le même look qu'au début des années 60. Michael Lindsay-Hogg, plus cool, arbore néanmoins un costume chic. Sur les toits alentours, quelques employés matent le concert de leur vie en costards !
George entame le concert le visage un peu fermé, mais se laisse gagner petit à petit par l'enthousiasme des autres. Peut-être est-il triste que Patti ne soit pas là, alors que Maureen Starkey est bien présente, se dehanchant sur la musique. Yoko, elle, semble s'ennuyer ferme (et fait un peu la tronche de voir son homme s'eclater autant à la fin). Linda n'apparaît que dans la sequence finale où le groupe est réuni dans le studio pour écouter la bande. Les sourires sont révélateurs : ils savent qu'ils ont assuré. Ils partagent ce moment avec celui qui apporte le ciment du son : Billy Preston tient le piano électrique durant tout le concert et son jeu apporte un swing exceptionnel au groupe, notamment dans une séquence du "Get Back" final où il se tire la bourre avec la basse de Paul sur un riff funky à souhait.
Si le film est programmé prés de chez vous cette semaine, faites vous plaisir : allez le voir, vous en ressortirez avec l'impression d'avoir vécu sur un toit pendant une heure. Le toit du monde !
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mocho-v · 3 years
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@cotty-150
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*c auto dispara*
Con todo ese cahuín incluso me hiciste recordar a alguien lol
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barzzy · 3 years
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lol
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444names · 1 year
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d-elene · 6 years
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... Y marzo sigue y sigue poniéndose peor!
Que pare ya por favor....
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katewalker · 3 years
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alors que mes parents matent une redif des petits meurtres d’agatha christie, l’occasion pour moi de dire que marlène c’est ma meuf
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