Tumgik
#mièvre
greensun · 8 months
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mes ciboulettes mièvre ^^^^^^^^^^^^^^^ MINIMOIS
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welcome-home-nyx · 11 months
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Amazone
L’amazone sourit au-dessus des ruines, Tandis que le soleil, las de luttes, s’endort. La volupté du meurtre a gonflé ses narines : Elle exulte, amoureuse étrange de la mort. Elle aime les amants qui lui donnent l’ivresse De leur fauve agonie et de leur fier trépas, Et, méprisant le miel de la mièvre caresse, Les coupes sans horreur ne la contentent pas.
Son désir, défaillant sur quelque bouche blême Dont il sait arracher le baiser sans retour, Se penche avec ardeur sur le spasme suprême, Plus terrible et plus beau que le spasme d’amour.
Renée Vivien
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Ce que cache un masque
Votre âme est une arlequinade, à la Watteau, Fantomatique ou carnavalesque ambiance Où le pauvre Lelian joue sa chanson de transe. C’est toujours une mascarade, un beau tableau
Hanté de Colombine et de piètres Pierrots, Ces accablants clowns blancs qui donnent la cadence Des sonnets en silence et leurs correspondances Levant le verre et l’œil, la robe ou le chapeau.
Il reste le fantasque et la galanterie, Ils vous tirent des frasques et mièvres fééries, Puisqu’au jeu de patience advient le jeu de dupes.  
Voyez la débâcle aux joues, souris de façade, Voyez le spectacle qui joue, là sous ses jupes Et sous son masque noir, ami, la mascarade.
- Fabienne PASSAMENT. 2023
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lounesdarbois · 8 months
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«Nous sommes les déshérités. On nous a privé de tout passé parce que les pédagogues, qui ont décidé de notre éducation, se sont crus supérieurs à nos ancêtres. Élevés comme des enfants rois, une fois adultes, nous sommes devenus sentimentalement fragiles, détruits par le moindre échec ou le reproche le plus infime. Nous avons grandi en passant du sentimentalisme mièvre de Disney au porno trash en libre accès, notre rapport à l’amour et à la sexualité est du même ordre que notre rapport à la consommation : nous voulons tout, tout de suite, et nous nous décourageons devant la difficulté.»
Academia Christiana. Une aventure catholique et enracinée, Victor Aubert.
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sofya-fanfics · 10 months
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Je t’ai écrit cette lettre
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Fandom : Naruto
Relationship : Sasuke x Sakura
Voici ma participation pour le Year of the OTP 2023 pour le prompt : Je t’ai écrit ceci.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sasuke rangea rageusement la lettre dans sa poche. Idiot de Naruto, idiot de Kakashi, pensa-t-il. Ils n’avaient aucun besoin de se mêler de ses affaires.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
@yearoftheotpevent
AO3 / FF.NET
Sasuke rangea rageusement la lettre dans sa poche. Idiot de Naruto, idiot de Kakashi, pensa-t-il. Ils n’avaient aucun besoin de se mêler de ses affaires.
Sasuke avait loué un petit appartement à son retour à Konoha et Naruto était venu lui rendre visite dans la matinée. Ils ne s’étaient pas revus depuis le lendemain du mariage du jeune Uzumaki car lui et Hinata étaient partis en lune de miel. Ils étaient revenus la veille et Naruto avait décidé de rendre visite à son vieil ami, comme il avait déclaré à Sasuke lorsque celui-ci avait ouvert la porte de son appartement. Au bout d’un moment, Naruto remarqua une lettre posée sur la table basse du salon.
« Qu’est-ce que c’est ? Demanda-t-il en prenant la lettre. »
Sasuke écarquilla les yeux. C’était la lettre qu’il avait écrit à Sakura lors de son voyage de rédemption. Il lui avait écrit qu’il l’aimait et qu’il voulait qu’elle parte avec lui. Cela lui avait été plus facile de coucher ses sentiments sur un papier plutôt que de lui avouer en personne, même s’il n’avait jamais été le genre d’homme à écrire de grandes déclarations d’amour. Mais il n’avait jamais eu le courage de lui envoyer la lettre. Bien sûr, il avait fallu que Naruto la voit. Il n’osait déjà pas la donner à Sakura, alors ce n’était pas pour que Naruto la lise.
« Rends-la moi !
-C’est une lettre pour qui ? C’est pour Sakura-chan ? »
Sasuke rougit.
« C’est une lettre d’amour pour Sakura-chan ? »
Sasuke rougit encore plus et Naruto sourit jusqu’aux oreilles. Sasuke connaissait cette expression. C’était la même qu’il avait lorsqu’ils étaient genins et qu’il cherchait à l’ennuyer. Même s’il était marié et qu’il serait le prochain Hokage, par moment Sasuke avait l’impression qu’il était toujours l’enfant farceur de douze ans qu’il avait été. Naruto s’apprêtait à déplier la lettre. Sasuke se précipita sur lui, mais Naruto l’évita de justesse.
« Naruto, ragea Sasuke. »
Il ne rougissait plus à cause de la gêne qu’il ressentait, il était désormais en colère.
« Allez Sasuke, laisse-moi t’aider. Je peux te dire si ta lettre n’est pas trop mièvre. »
Sasuke essaya de l’attraper, mais Naruto l’esquiva à nouveau avant de s’enfuir par la fenêtre. Le jeune Uchiha le suivit. Il était hors de question qu’il le laisse s’en tirer comme cela. Ils se poursuivirent dans les rues de Konoha, devant le regard médusé de certains passants et indifférent d’autres habitués au comportement des deux amis. Cette poursuite se termina en combat sur le pont du village, Sasuke voulant récupérer sa lettre et Naruto refusant de la lui donner. Tous deux n’avaient pas remarqué que Kakashi les observait. Ils finirent par tomber à l’eau. Kakashi ramassa la lettre qui était tombée par terre et l’ouvrit. Il rit légèrement en la lisant.
« Et bien Sasuke, je ne savais pas que tu écrivais si bien. »
Sasuke rentrait chez lui. Il était trempé et énervé, mais au moins il avait récupéré sa lettre. Il la sortit de sa poche et la regarda à nouveau. Elle était chiffonnée mais au moins, Naruto n’avait pas réussi à la lire. Même si cela le contrariait que Kakashi l’ait lu.
« Sasuke-kun ! »
Il leva les yeux et vit Sakura arriver vers lui. Elle fronça les sourcils en voyant son état.
« Qu’est-ce qui t’es arrivé ?
-Naruto, répondit-il simplement. »
Sakura acquiesça, n’étant pas surprise. Sasuke jeta un coup d’œil à la lettre. C’était maintenant où jamais. Il la lui tendit timidement.
« Je t’ai écrit cette lettre. »
Sakura rougit et la prit. Elle la déplia et commença à la lire. Elle fronça les sourcils et Sasuke sentit son cœur s’accélérer. Est-ce qu’elle allait refuser ses sentiments ? Est-ce qu’elle refuserait de partir avec lui ? Il avait l’impression que tout ce passait bien entre eux. Mais peut-être aurait-il dû réfléchir plus longtemps. Il lui demandait de quitter sa famille, son travail, ses amis pour le suivre. À quoi est-ce qu’il pensait ?
« Sasuke-kun. »
Il retint son souffle quelques secondes.
« Je ne peux pas la lire. »
Elle lui rendit la lettre et il la regarda. Elle était tâchée et par endroit, l’encre avait bavé à cause de l’eau. Elle était complètement illisible. Kakashi n’avait pas pu la lire non plus. Il s’était moqué de lui, pensa Sasuke, agacé.
« Qu’est-ce que tu m’avais écris ?
-Je te le dirai plus tard. Si on allait dîner dans ce nouveau restaurant où tu voulais aller. »
Sakura sourit et acquiesça. Il lui prit la main et ils se dirigèrent vers le restaurant. Ce n’était pas grave si elle n’avait pas lu la lettre, pensa Sasuke. Il était désormais temps qu’il lui avoue ses sentiments et cette fois il les lui dirait de vive voix.
Fin
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alioversus · 3 months
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Baldr’s Nothern Saga
R$kp | 2024
1. La neige, évidemment. Pourquoi la neige est-elle aussi triste, d’ailleurs ? Où est passée la neige de nos jeux d’enfant ? La route, aussi, naturellement. À chaque pas, la rêverie ou la mémoire. Tu vois, on parle des âmes perdues dans les limbes… À quoi ressemble-t-on, nous, sur ce chemin ? Chevaliers d’une autre ère, ayant troqué la fourrure contre la veste polaire — ou bien fantômes ? Non, ce n’est rien… Le souffle blanc et une vague douleur dans la guibole… Approchons. 
2. Nous voici au bord du ruisseau. Jadis, on y voyait des carpes, des libellules, du cresson, et sur cette partie de la berge, efflanquée, où se formait un bassin, des poissons rouges à taches sombres. Je suis sûre que cela reviendra un jour. On se croyait au Japon ou dans un film d’animation. Un rayon perce, le remous s’intensifie. Depuis quand n’ai-je plus plongé les pieds dans l’eau claire ? Nous continuons, longeons sur une centaine de mètres : une éternité. Mais rien dans les collets. 
3. Ici, le ruisseau se déverse et disparaît sous la dalle en béton. Plus rien ne roule là-dessus, plus rien ne roule nulle part. Je me souviens pourtant du son des roues, du son des trains, du son du caddie à moitié plein… Cette bagnole ensevelie, j’aimerais savoir si elle peut redémarrer. Bête espoir. Ce n’est sans nul doute qu’une enième carcasse calcinée. 
4. Je n’aime pas cette nostalgie. Je trouve qu’elle me rend mièvre. Je trouve qu’elle m’affaiblit. Et pourtant, c’est lorsque je suis dans cet état-là que je parviens encore à trouver de la beauté autour de moi. Les ruines sont si charmantes, parfois. Seulement parfois. Je ne suis pas si âgée. Je ne suis pas si sage. Je suis juste fatiguée. Les autres ont besoin de moi. 
5. La communauté a pris ses quartiers dans l’ancienne école. Je crois souvent entendre des rires dans la cour. J’observe les stalactites aux gouttières, aux barreaux de la cage à poule. Parfois j’y passe ma main gantée, je crois en la magie, au pouvoir de transformer la glace, de réveiller le soleil au son d’une harpe éolienne. 
6. Il m’attendait depuis une heure. Il a l’air sérieux, sévère, inquiet, le nez plongé dans le livre de compte. Ravitaillement, chauffage, vêtements, médicaments… Il faudra élargir le cercle, tout le monde le sait. Il faudra prendre des risques. Il faudra des volontaires. S’il le faut, il en désignera. J’aurais été amoureuse de lui, dans une autre vie. Dans celle-ci, c’est un glaçon. Il est dur, il est froid, il a raison. Je vide devant lui mon sac. Il opine, insatisfait. Il me montre la carte. 
7. Prendre à travers champs, gagner deux heures. Être à découvert. Ceci n’est pas notre territoire. On guette. On reste sur le qui-vive. Du bruit à gauche, du bruit à droite : des oiseaux, une fausse alerte… On arrive aux abords de la ferme, de ce qu’il en reste. Tout semble avoir déjà été pillé. Je trouve toutefois quelques conserves et me dépêche de les empaqueter. 
8. On entend aboyer des chiens. Je m’immobilise. Mon cœur s’emballe, chaque battement est comme l’éclatement d’un verre en cristal. Pulsation de frayeur. Fuir ou se cacher. On s’est éparpillés. L’air glacé emplit mes poumons. Mon espérance, c’est d’atteindre la lisière, de disparaître dans les buissons. 
9. J’ai su me retenir de crier, après avoir basculé dans la fosse. J’ai su me raidir, m’étaler — au milieu du charnier. Je doutais toutefois que les chiens s’y tromperaient. J'ai fait le mort, mais j’avais trop envie de survivre, et j'avais laissé une piste pour le prouver. J’ai attendu. J’ai écouté. Ils ne sont pas venus. La moitié d’entre nous ne sont pas revenus. 
10. Jamais je n’ai couru aussi vite, à la nuit tombée. Et jamais je n’ai ressenti un tel soulagement en retrouvant les miens, les rescapés — à cheval. Je suis monté derrière l’un d’eux. On est partis au galop. Où les avaient-ils trouvés ? Un miracle ! J’aurais aimé que tout le monde soit là pour le voir.
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vicnormansstuff · 8 months
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📕«Nous sommes les déshérités. On nous a privé de tout passé parce que les pédagogues, qui ont décidé de notre éducation, se sont crus supérieurs à nos ancêtres. Élevés comme des enfants rois, une fois adultes, nous sommes devenus sentimentalement fragiles, détruits par le moindre échec ou le reproche le plus infime. Nous avons grandi en passant du sentimentalisme mièvre de Disney au porno trash en libre accès, notre rapport à l’amour et à la sexualité est du même ordre que notre rapport à la consommation : nous voulons tout, tout de suite, et nous nous décourageons devant la difficulté.»
Extrait de Academia Christiana, Une aventure catholique et enracinée, dirigé par Victor Aubert, Ed. La Nouvelle Librairie
📥https://www.academiachristiana.org/product-page/academia-christiana-une-aventure-catholique-et-enracinée-victor-aubert
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satinea · 3 months
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« - Le soleil faisait craquer les derniers et tardifs bourgeons des chênes sous la pression chaude de ses rayons.
Les verdures se nuançaient à l'infini.
C'était une symphonie de couleurs allant du cri violent des verts aux pâleurs mièvres des rameaux inférieurs, dont les feuilles tendres, aux épidermes délicats et ténus n'avaient pas encore reçu le baptême ardent de la pleine lumière, bu la lampée d'or des rayons chauds, car leur oblique courant n'avait pu combler jusqu'alors que les lisières privilégiées et les faîtes victorieux.
Mais ce jour-là, une vie multiple et grouillante, végétale et animale, sourdait de partout, des crépitements des insectes et du chant des oiseaux à l'éclatement des bourgeons et au gonflement des rameaux, craquant dans l'air vibrant comme des muscles qui s'essaient. »
🌸 Le Printemps (Louis Pergaud)
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papyanar · 5 months
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Je fais dans le graveleux
Basique, ou le poète
Romantique
Pour dames échevelées
Sans pull, taille fine
Côtes saillantes
Seins plats, fesses nothing;
Pour mieux défiler
Chez feu Monsieur Karl L.
Fin lettré teuton,
Matant les tétons
Non, c'est vulgaire
Et précaire
Chez la haute couture
Ma mienne est ronde.
Bois, mange, éructe,
M'irrite un peu
Lit Pindare
Dans le tram'
Ou Sartre, et sa nausée
Même la généalogie
De la morale du F. Nietzsche;
Bouquin en vente livre
Pour les mièvres du cervelas
Confus de vous importuner
Gens humains ou pas ;
Sages et pétris de taxes
Foncières ;
Je repars aux cieux
Voir les yeux de ma douce
Elle est cool et pieuse ;
Même coiffée et épilée
Les dimanches à confesse.
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professeur-stump · 1 year
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Prudences nouvelles, susceptibilités intransigeantes, lectures paranoïaques, ré��critures mièvres, censures sournoises, que faisons-nous d’autre désormais qu’arracher les fleurs du mal à pleines brassées ? Notons que, dans l’opération, le mal ne subit aucun revers, au contraire, il engraisse toujours la terre entière comme notre petit pré carré de ses putréfactions. Mais nous n’aurons plus les fleurs.
(Éric Chevillard, L'autofictif, 5345)
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carolemm · 5 months
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Le titre semble mièvre mais il n’en est rien.
C’est l’histoire de Tom et Hannah que tout sépare : deux âmes écorchées avec chacun leurs silences. Et puis parallèlement, deux mondes : l’Australie du Bush et Auschwitz.
Un très beau roman, pur et délicat que je referme avec le sourire.
« Il est peut être difficile de discerner un bonheur, un grand bonheur, que n'accompagne pas le rire, mais il est possible d'éprouver le bonheur le plus intense de sa vie tout en le dissimulant sous un air grave et retenu. Pour un adulte en tout cas.
Rarement pour un enfant de huit ans. »
« Le passé s'applique à influencer ce qui lui succède
- Un pari sur l'immortalité. »
« C'est du Nietzsche. Si tu regardes dans l'abime, tu ne verras rien, rien. Mais si tu fixes le rien, il te renverra ton regard. »
« Pleins de gens sont allés à l'université et sont devenus de gros nazis. »
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Hi friend <3 For the Spotify Wrapped ask game how about: 20, 25, and 6
Hi, friend! Hope you’re having a nice weekend <3
6. Newest song (by release date)
That would be all the songs from Guts by Olivia Rodrigo (released in September) that made it into my list this year :)
20. Happiest song
Oh, good question…Not sure I have that many happy songs on there, haha, I’ve been in Sad Bitch Mode all year apparently. Okay, that one probably has the happiest vibe:
25. Favourite lyrics of your #100 song
Alright so my #100 song is a French song called La ceinture by Elodie Frégé.
The song is about not wanting to kiss someone she’s having sex with because she’s desperate to only give half of herself—she wants to keep things below the belt (la ceinture = the belt). It’s kinda hard to pick a favorite lyric because I don’t think the song translates super well, it plays a lot with the words and of course none of the rhymes work in English ;-; Anyway, my favorite part is this:
Non, pas sur les lèvres Non c'est pas mièvre C'est pas le trac Mais je préfère me donner crue Sans revers, ni refus
I translated the meaning more than the actual words, because that would have made even less sense^^
No, not on the lips No, not because it’s sappy Not because I’m scared But I prefer to give myself raw Without setbacks or refusals
Spotify Wrapped Ask Game
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mallowsweet · 1 year
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“Les roses n'ont rien de mièvre ou de gentil, elles sont juste vraies. Cruellement vraies.”
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claudehenrion · 2 years
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Ici, jadis, était un village de France...
  Je sais ce que vous allez me dire : le mien, de village, n'était pas en France, mais dans un ''Protectorat'', sorte de colonie, le futur violent en moins (en principe) : un jour, ses habitants re-voleraient pacifiquement de leurs propres ailes. (NB : au moment dont je vous parle, personne n'était vraiment pressé de voir ça). Mais mon village (en fait un ''quartier dans une grande ville''), était bien là, si peu différent de tous les autres, situés ''en Métroplole''... ou partout dans cet Empire français, si impressionnant sur les cartes ''Vidal-Lablache'' accrochées aux murs de la classe, avec sa couleur mauve clair et ses noms familiers... Nous le comparions sans cesse au rose mièvre de l'Empire britannique, et on préférait de beaucoup le nôtre.
Il y avait donc là une petite école primaire, l'Ecole Communale de L'Aguedal, où Monsieur-le-directeur enseignait les ''7 ème'', son épouse, Madame Auque, les ''9 èmes'' (tous deux,  de Carcassonne, avaient gardé un accent ''au cassoulet et à la fougasse'' --elle nous parlait, en roulant les ''R'', de la grran-mmèrre à propos de la grammaire), et pour les ''8 èmes'', un homme admirable, Monsieur Grandin, gazé à l'ypérite en 1915. Tous ‘’ses enfants'' l'ont adoré, même s'il avait la gifle rapide et efficace (mais juste !), ce qui lui vaudrait aujourd'hui la une de tous nos journaux imbéciles, la stigmatisation des jocrisses du Ministère, et une plainte auprès du Procureur qui n'a pas que ça à foutre, incapables qu'ils sont, tous, de voir, dans leur grille de lecture hermétiquement grillagée, qu'il avait la transmission des savoirs plus rapide encore ! C'est simple : après 3 ans dans cette petite école, en gros, ''on savait à peu près tout, sur à peu près tout'' (cf les épreuves du Certificat d'Etudes Primaires de l'époque. Ce que nous savions est à peine croyable, aujourd’hui !).
Monsieur Grandin exigeait que nous sachions par cœur (et nous ne les avons pas oubliées 80 ans plus tard, au mot près) de jolies poésies comme celle-ci : ''Ici, jadis, était un village de France -- Dont les jours, doucement, coulaient au fil de l'eau -- Et l'arche d'un vieux pont joignait, d'une alliance, à la verte forêt la blancheur du hameau. -- Les heures du clocher, tintant dans la lumière, mariaient leurs sons clairs au pas lent des grands bœufs --qui faisaient, en buvant au bord de la rivière, sous les arbres courir des cercles lumineux...''.
Je ne sais pas si cette représentation d'une civilisation encore agricole est restée fréquente dans nos campagnes abandonnées : les poids lourds qui traversent le village pour échapper au péage, les trottoirs rétrécis et les feux tricolores qui ont accompagné cette invasion fumante, la fermeture des quelques boutiques, et celle de l'école et des services ''ex-publics'' ont fait des images de rêve de mon enfance un ''désert'' où ne survivent encore que quelques ''vieux'' délaissés, plus ou moins abandonnés, pauvres successeurs des ''anciens'' respectés d'époques révolues... Mais pourquoi cette soudaine évocation en forme de ''crise de nostalgie'' ?
Parce que notre Président, empêtré dans les contradictions de son pauvre logiciel illogique de perception d'un réel qu'il invente au fur et à mesure que des crises éclatent, et en l'absence d’un système cohérent lui permettant de prévoir quoi que ce soit, a décidé, tout seul dans son petit coin, de détruire le peu qui pourrait rester de ce qui fut ''la France'', avant lui : les néo-réfugiés en provenance du monde musulman devraient --si on l'en croit !-- porter des chapeaux ronds et jouer du biniou ! Mais quelle naïveté ! C'est pitoyable !
Les exigences ravageuses de la doxa progressiste interdisent que subsistent des coins où l'homme  de ce XXI ème siècle, dégoûté par toutes les non-solutions et les anti-réponses que lui proposent des ''leaders'' incapables, archi-nuls et même néfastes pour la France et les français, rêve de retrouver un peu de la pureté d'un ''paradis perdu'' --peut être un peu magnifié, mais tout de même plus proche de ses rêves que le purgatoire punitif macronien en voie de devenir ''la seule alternative'' --comme disent les cuistres... La dernière trouvaille de nos irresponsables est à souligner en rouge : puisqu'on ne sait vraiment plus quoi faire des hordes hostiles qui ont envahi nos banlieues, au lieu d'en arrêter les vagues, comme il suffirait de le faire, ''il y a ka'' les mettre... là où elles seront totalement incontrôlables --donc incontrôlées... Mais comme il faudra un certain temps pour que ça devienne dérageant... ça laisse le temps de s'attaquer à d'autres secteurs de la société, la retraite, ou la mort par assassinat légal, par exemple, et à poursuivre la totale déconstruction de tout. En somme, c'est un ''remake'' de la monstrueuse connerie de Merkel en 2015. L'Europe ne s'en est jamais remise ? Peu importe : on se souvient de cette vieille règle du Sapeur Camembert : ''Quand on veut boucher un trou, il suffit d'en creuser un autre, encore plus grand, juste à côté'' !
Nos villages de France vont donc (pour détruire aussi la célèbre phrase du moine Raoul Glaber) ''se couvrir d'un blanc manteau de mosquées'', car il est évident que les nouvelles ''médinas à la campagne'' ne vont pas être plus intégratrices que toutes les autres folies que nos irresponsables ont déjà essayées, à (nos) grands frais :  il serait temps que nos lamentables grands esprits si petits réalisent enfin que pas un seul de ces nouveaux arrivants (en disant pas un seul, j'exagère à peine...) ne vient chez nous pour s'intégrer : ils sont là pour nous détester --et Macron a fait tout ce qui pouvait être fait pour fabriquer cet ''échec du succès''--, nous mépriser, haïr nos idées et ce que nous sommes, remplacer le Dieu de nos pères --que nous avons laissé tomber, sans  raison objective-- par un Allah exogène et inamical envers nous, qui ne nous apportera, en gros, jamais rien de bon... Et aussi pour prendre le plus vite possible la place que les plus inconséquents d'entre nous (les maires de gauche ou les ‘’zécolos’’) sont déjà prêts à leur abandonner...
Cette stupidité de reporter un problème insoluble là où il n'a vraiment aucune chance d'être résolu, au prétexte de ''mettre la ville à la campagne'' (Alphonse Allais), ça porte un nom, dans l’Histoire : une reddition... en pleine campagne ! Mais comment peuvent-ils avoir des idées aussi imbéciles... et oser les proférer en public, comme si elles avaient un sens ? Monsieur Grandin, ce héros de la Grande guerre promu instituteur, doit se retourner dans sa tombe. Qu'il se rassure : ses anciens élèves sont bouleversés devant ce déferlement incontrôlable de solutions ''à la Gribouille''. La folie, je le confirme encore, est bel et bien sortie des asiles !
H-Cl.  
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lemondeabicyclette · 1 year
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Les bêtes (chauffards et autres bibittes) les plus meurtrières de la planète et le nombre de victimes qu'elles font chaque année. [On a volontairement omis les 💉 et autres couaccins ainsi que les médecins bêtes, les députés bêtes, les ministres bêtes, les infirmiers/mièvres bêtes et ceux/celles/non genrées les plus bêtes d'entre tousse/renifle/lèche : les whore-nalisses.]
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soul-and-blues · 2 years
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Sauras-tu aimer ma chair À en sublimer les liens Ceux dont je désespère Te voir mordre en faim
Sauras-tu nourrir la fièvre Sans en gonfler tes sens Quitte à friser le mièvre D'une intime connivence Sauras-tu m'aimer, simplement Moi, mes fractures, mes paradoxes Tout ce que je suis, essentiellement Entre mes pôles,pour notre équinoxe La question est posée L'inquiétude est profonde Sauras-tu y trouver La réponse féconde Qui viendra ressouder Nos deux âmes à la chair, Qui viendra reposer Mon coeur à ta Lumière. MzP
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