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#milieu scolair
lire1x · 1 month
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La souris qui voulait sauver l'ogre de Françoise Guérin
La lecture du livre « La souris qui voulait sauver l’ogre » de Françoise Guérin fut une belle occasion de découvrir un nouvel univers littéraire. Ce thriller psychologique publié en janvier dernier dans la collection Aparté des éditions Eyrolles pourrait bien te surprendre. Ici, pas de flics. Non, ici, l’enquêtrice Maya Vanhorenbeek est psychologue. Son job?  Chercher des explications pour…
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educ-tchad · 1 year
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Où va-t-on ? Une réalité alarmante
Face à ces incivismes que subit la société, le recours à l’éducation civique et morale est d’une priorité absolue D’une manière générale, la crise sociopolitique, économique et sécuritaire que notre pays traverse depuis quelques années jusqu’ aujourd’hui vient sans doute de la crise de l’ignorance, d’irresponsabilité, la non prise de conscience, du manque d’esprit collectif, de l’analphabétisme,…
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juqutapiqi · 2 years
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808192/ishowfast-mode-demploi.
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kilfeur · 8 months
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Je pensais pas tomber sur un flashback, une chose que j'ai toujours apprécié dans M!IK est comment sont vu les professeurs. Et qu'ils peuvent être identifiable, Bachiko m'a un peu touché de manière personnelle vu que je travaille dans le milieu scolaire aussi. Momonoki en tant que nouvelle voulait faire bonne impression qu'elle ne voyait pas plus loin le bout de son nez. Mais avec l'aide de Balam, elle a pu reprendre confiance en elle et trouver l'astuce pour pouvoir enseigner. Et on a vu à quel point elle peut être redoutable contre Kamui ! D'ailleurs je me rappelle plus si Kalego avait un cahier pour Robin ou non
I didn't think I'd come across a flashback, but one thing I've always appreciated in M!IK is how the teachers are seen. And that they can be identifiable, Bachiko touched me a little in a personal way since I work in the school environment too. Momonoki as a newcomer wanted to make a good impression that she couldn't see beyond the end of her nose. But with Balam's help, she was able to regain her self-confidence and find the trick to be able to teach. And we've seen just how tough she can be against Kamui ! By the way, I can't remember whether Kalego had a notebook for Robin or not.
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e642 · 5 months
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Le week end dernier a été compliqué pour nous deux. L'ambiance était froide, pesante et désagréable. Suite à quoi, en début de semaine, je lui avais écrit le fameux "il faut qu'on parle". J'y avais notamment abordé le thème de la communication. Notion sur laquelle j'ai du travail certes mais lui encore plus. Je lui disais que ce n'était plus possible qu'on vive des moments aussi pénibles uniquement parce qu'il ne voulait pas me dire ce qu'il se passait que je n'étais pas dans sa tête, que tout n'était pas flagrant, que des fois, je pouvais ne pas me rendre compte d'avoir mal agi ou été maladroite. J'avais pas fait du chantage affectif, j'avais seulement spécifié que moi ce n'était pas quelque chose qui me convenait et que ça me ferait partir à un moment donné si ça ne changeait pas, que j'en avais marre d'amorcer les discussions difficiles mais nécessaires, d'être rejetée par lui à chaque fois que j'essayais de savoir ce qu'il ressentait, et d'accepter ça globalement. On avait beaucoup parlé, il m'avait expliqué ce qui l'avait dérangé le week end dernier, ce qu'il avait ressenti, ce qu'il pensait de mon monologue, etc. Mais du coup, moi j'avais une appréhension pour ce week end là. Je me suis dit "je suis déjà assez chamboulée par les partiels, je veux pas risquer de l'être plus en le voyant, de me rajouter de l'angoisse". Il est quand même venu. Et j'ai senti que la conversation avait fait un bout de chemin dans sa tête. Il est parti tout à l'heure, milieu d'après midi, et avant de partir, il m'a dit "viens on se pose un peu, couche toi tranquillement et écoute moi, laisse moi parler jusqu'au bout et après tu me diras ce que tu as dans la tête". Je savais pas trop ce qu'il allait me dire. J'ai obéi du coup. Je l'ai laissé parler. Il m'a dit, dans les grandes lignes, qu'il était désolé pour le week end dernier et qu'il allait faire de réels efforts pour que notre couple pâtisse moins de ses traumas et surtout de son incapacité à parler dans les moments compliqués. Ensuite, il m'a dit qu'il n'était pas bête, qu'il voyait bien que sous mon calme plat, j'avais peur de rater, puis il m'a aussi dit qu'il avait conscience que cette année avait été dure pour moi. Surtout ce changement de vie, le cancer de ma mère, sa tromperie, et que c'était normal d'avoir eu du mal à m'y mettre. Et que même si je ratais, mes notes ne reflèteraient jamais qui je suis ni ma valeur. Il m'a dit aussi qu'il avait rarement croisé quelqu'un d'aussi intelligent que moi et d'aussi fort (mentalement) et qu'il admirait beaucoup ce côté là de ma personnalité. Puis il a rajouté qu'il croyait en moi, que j'étais capable et que son amour et celui de mes proches n'étaient pas conditionnés à ma réussite scolaire. Puis qu'il m'aimait aussi.
Et tout ça, j'ai beau le savoir, ça m'a fait tellement de bien qu'il le dise et qu'il me montre un côté plus émotionnel de lui. Finalement, ce week end m'a fait un bien fou. J'ai eu l'impression qu'on s'était retrouvés. Il montre tellement peu de lui des fois, qu'on a vite fait de le prendre pour un con mais là, il m'a prouvé le contraire sans même que j'ai à demander.
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sous-france · 4 months
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Sous France : Mémoire d'un quartier populaire
Mon cheminement photographique a débuté par des captures du quotidien dans un quartier populaire de France, celui de mon enfance, la Plaine d'Ozon : des scènes de vie, des sourires d'habitants, des enfants qui jouent, des bâtiments témoins d'une époque révolue. Chaque cliché est imprégné de souvenirs, teinté de nostalgie. Depuis les années 90, j'ai évolué dans le milieu associatif et l'éducation populaire, aux côtés de militants engagés contre le racisme et l'extrémisme. La photographie est ainsi devenue mon vecteur d'engagement, un moyen d'exprimer mon adhésion à ces combats. C'est à travers ma passion pour la photographie que j'ai trouvé une voix, une manière d'exprimer souvent l'inexprimable. Je n'ai jamais cherché à être un porte-parole, mais simplement à donner voix à mes convictions à travers mes images. Parfois, ma démarche a été mal comprise … Néanmoins, l'une de mes plus grandes fiertés reste la présence d'une de mes photos dans un manuel scolaire d'histoire géographie d'un collège. C'est très honorifique de savoir que cette photo permet de sensibiliser des collégiens à la lutte contre le racisme. Au cœur de mon travail, je mets aussi en lumière une jeunesse vibrante, multiculturelle, invitant chacun à s'élever, à respecter autrui, à valoriser ses talents. Après plus de 15 ans derrière l'objectif, je réalise que je suis devenu le témoin d'une histoire, celle d'un quartier en mouvement, en évolution. Ma passion demeure intacte, et j'espère continuer à contribuer à la mémoire collective de mon quartier, à sensibiliser, à inciter à l'action. Chaque image est une pierre apportée à l'édifice d'une société plus juste, plus inclusive.
📷 𝑀𝐾 | ©
☞ 𝑺𝒐𝒖𝒔-𝑭𝒓𝒂𝒏𝒄𝒆
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ernestinee · 11 months
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Congééééé du coup je lis je joue à acnh je lis je mange je dors je regarde Netflix je lis je vais me balader avec l'ado ou avec son père, je joue à acnh (beaucoup ohlala), je lis encore, je dors un peu devant le tour de France ou la F1 et voilà voilà le programme du bonheur et du coup comme je voulais acheter des BD à mes patients pour la fin de l'année scolaire, je me suis dit que c'était l'occasion de commencer une nouvelle série de manga parce que justement j'ai pleeeiiin de place dans la bibliothèque (c'est faux) et j'ai opté pour Arbos anima. C'est en 5 tomes, ils sont édités par Glénat pour la VF depuis 2016 et là ça n'a pas l'air ni d'être terminé ni de continuer donc peut-être que la fin du tome 5 me laissera dans un état de frustration insupportable mais en attendant c'est une chouette lecture.
On est dans un seinen assez sympa qui m'a attirée avec sa couverture, puis le résumé m'a plu parce qu'il est question de botanique. Un jeune garçon, Noah, possède le don de lire la mémoire des plantes, ce don est vécu comme une malédiction par sa famille, qui l'enferme pendant 15 ans dans la serre. Sympa sympa.
Il devient "collecteur botaniste", il reçoit des missions pour lesquelles il doit chercher et collecter des plantes rares. Au fil des chapitres du premier tome, on fait la connaissance du personnage central ainsi que de ses deux acolytes : un ancien pirate qui lui sert de garde du corps, et une jeune fille qui souhaite venger sa forêt, brûlée il y a longtemps par un autre collecteur. D'ailleurs elle déteste les collecteurs parce qu'elle les prend pour des pilleurs et c'est un peu ça, mais Noah c'est pas pareil, il aime les plantes, il les traite bien, et il veille à en laisser dans leur milieu naturel.
Le tome 2 voit l'arrivée de l'ennemi principal, qui est justement le type qui a brûlé la forêt, c'est fou les hasards de la vie hein, sauf qu'il s'en fout de cette forêt, pour lui c'est de l'histoire ancienne, il veut juste tout savoir sur le don de Noah parce qu'il est un tantinet jaloux. Et manifestement, il est plutôt belliqueux.
Ça me fait seulement 9 livres depuis le début de l'année, les examens ont fait baisser les stats et celui-ci et les autres sont résumés dans le billet épinglé
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havaforever · 5 months
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L'INNOCENCE - Ce n’est pas une affaire de viol, comme dans les Risques du Métier, mais de violence qui détruit la notoriété d’un professeur. Une violence aux effets destructeurs, générée par le mensonge, le remord et la dissimulation.
Le génie de Kore Eda sera d’utiliser l'effet Rashōmon (du nom d’un film réalisé en 1950 par Akira Kurosawa) pour décrire les faits sous différentes perspectives, selon la version de chaque protagoniste. Mensonges et absence de preuves permettent de conforter ou de disqualifier toute version de la vérité, tandis que la pression sociale exerce tout son poids en faveur de la clôture du débat.
La critique de la société (japonaise « mais pas que.. ») est féroce et ne manquera pas de dénoncer les défenseurs d’une certaine tradition. Les acteurs Sakura Andō (Saori), Eita Nagayama (Hori), Soya Kurokawa (Minato) sont dirigés d’une main paternelle et douce et expriment par leur jeu tout en retenue l’humanisme et la délicatesse de Kore-Eda.
Qu'aurait donné L'Innocence si Hirokazu Kore-eda avait construit son film de manière traditionnelle et linéaire, sans recourir à un procédé à la Rashomon ? Sans doute aurait-il gagné en évidence dès le départ, et peut-être même en émotion, mais il aurait en revanche perdu de son mystère et d'un rapport ludique avec son public. Oui, la forme sophistiquée du long-métrage dissimule somme toute une histoire plutôt simple et touchante, qui ne se révèle que dans ses dernières minutes, mais on n'en tiendra pas trop rigueur au cinéaste, eu égard au plaisir qu'il nous concède, in fine, avec ce regard attentif et bienveillant sur l'enfance, qui est sa marque de fabrique.
A travers le regard d'une mère puis d'un enseignant et l'exploration d'un milieu scolaire où l'on peut stigmatiser le comportement d'un élève, doté d'un "cerveau de porc" (sic), ou encore enregistrer le poids des rumeurs et la tenaille du harcèlement, Kore-eda se fait sociologue de son pays, sans virulence mais en ne cachant quelques unes de ses failles, y compris au sujet du tabou dont il est question de manière certes tardive mais néanmoins claire. L'Innocence n'est vraisemblablement pas le meilleur film de son auteur mais la richesse de ses personnages contribue à ne pas en sortir déçu, d'autant qu'il se situe dans la continuité d'une œuvre dont la cohérence ne cesse de se consolider au fil du temps.
NOTE 14/20 - On retrouve et on partage les attentes du réalisateur : la quête d’un père qui ne soit ni absent ni violent et l’aspiration à la lumière et à la vérité. On apprécie de façon renouvelée, sans jamais se lasser : sa poésie, sa délicatesse, et cette très jolie magie des images.
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robinfrinjs · 8 months
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New driver ratings have been revealed. This can all still be appealed - however for now some of the most important changes are:
Ahmad Al Harthy Bronze to Silver
Rui Andrade Silver to Gold
David Beckmann Silver to Gold
Sarah Bovy Bronze to Silver
Rahel Frey Gold to Silver
Michelle Gatting Silver to Gold
Sean Gelael Silver to Gold
Joshua Pierson Silver to Gold
Marino Sato Silver to Gold
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lecoindemariepier · 6 months
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Grandir avec la console !
Depuis la démocratisation des jeux vidéo, les enfants québécois ont souvent une manette dans les mains avant même d’avoir commencé l’école ! Alors que les parents s’inquiètent des répercussions des jeux vidéo sur le cerveau, de plus en plus de professionnels reconnaissent leurs bienfaits sur le développement global des enfants.
Alors que la télévision est une activité passive, les jeux vidéo permettraient, au contraire, de développer plusieurs aptitudes intellectuelles. Une large étude, menée par l’Université du Vermont en 2022, a comparé les capacités cognitives de plus de 2000 enfants de 9 ou 10 ans. Il s’est avéré que les enfants jouant aux jeux vidéo « montraient davantage d’activités dans des zones du cerveau associées à l’attention et à la mémoire » que les enfants qui n’y jouaient pas (Agence France-Presse, 2022). Les jeunes joueurs développent donc leur mémoire de travail ainsi que leur capacité d’analyse, ce qui leur sera bénéfique tout au long de leur vie.
De plus, les jeux d’action enseignent aux enfants à résoudre des problèmes tout en faisant preuve de jugement et de logique. Les jeux éducatifs, quant à eux, consolident leurs apprentissages dans différentes matières, telles que les mathématiques, le français ou l’anglais. Ainsi, le milieu scolaire aurait tout intérêt à utiliser les jeux vidéo, qui sont d’excellents outils pédagogiques. Gabrielle Trépanier-Jobin, professeure à l’École des médias de l’UQAM, souligne que les grandes entreprises de jeux vidéo sont de plus en plus sensibles à la question de l’éducation et qu’elles ont même modifié certains de leurs jeux, dont « Minecraft [qui] a […] été décliné en version éducative pensée cette fois-ci particulièrement pour les enseignants » (Letarte, 2016).
Puisqu’ils encouragent la concentration et la persévérance, les jeux vidéo aident les enfants à rester motivés sur une longue période. Ils leur permettent aussi de vivre des réussites, ce qui est excellent pour leur estime personnelle et leur santé mentale. Selon Naître et Grandir (2016), « ce type d’engagement peut se poursuivre en dehors du jeu, dans le sport et à l’école par exemple. » Fiers d’eux et motivés, les enfants apprennent tout en s’amusant. Alors, pourquoi les priverait-on de jouer ?
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Photo by Kelly Sikkema on Unsplash
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Sources :
Agence France-Presse. (2022, 25 octobre). Les enfants adeptes de jeux vidéo ont de meilleurs résultats cognitifs, selon une étude. Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1927640/enfants-jeux-video-test-etude-cognitif
Letarte, M. (2018, 24 mars). Sous-estime-t-on les bénéfices des jeux vidéo ? Le Devoir. https://www.ledevoir.com/societe/523189/sous-estime-t-on-les-benefices-des-jeux-video
Naître et grandir. (2016, septembre). Les enfants et les jeux vidéo. https://naitreetgrandir.com/fr/etape/5-8-ans/jouer-bouger/enfants-jeux-video/#_Toc462301361
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rallumons-les-etoiles · 7 months
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Mon parcours de vie : Partie 4
L'année est finie, mon redoublement acté et me voila passant le pire été de ma vie. Mes parents sont divorcés, j'habitais au maroc et mon père habitait en france, j'ai donc passé un mois chez mon père, cet été fut un enfer et au retour, j'ai commencé à avoir énormément envie de vomir, les traitements pour la nausée ne marchait pas, j'ai perdu en un été 15 kilos. Puis petit à petit je me suis rendu compte que les seuls moments ou je n'avais pas envie de vomir c'est quand j'étais à l'intérieur de chez moi. Dès que je sortais , qu'il y avait du monde , j'avais l'impression que j'allais vomir et j'ai ainsi développer une peur de vomir. La rentrée est arrivée, je suis de nouveau en classe de seconde et quelque chose se passe : je pleure pendant des heures sans savoir pourquoi ? et ca tous les jours ! Je n'arrive pas à rester en classe car dès qu'il y a du monde il y a cette envie de vomir et je courais imédiatement au toilette. J'ai été voir un gastro-entérologue et pour lui c'étais du à l'angoisse. Mon état se détériore. Un jour en cours, mon professeur principal ( je lui en serais à jamais reconnaissante ) m'a dit : tu ne sors pas de la classe, si tu as envie de vomir tu vomis dans ce sachet ( il savait ..), d'un coup, envie de vomir, je paniques et la : hyperventilation, tremblement, pleure, spasme . C'étais bien une crise d'angoisse ! je vais chez mon pédiatre et je fais un malaise. Le jour même j'ai été recu par une psychiatre ( ce fut la première d'une longue liste ), elle m'expliqua que j'étais en dépression, que je faisais de la phobie scolaire , de l'agoraphobie et que c'étais effectivement des crises d'angoisses. J'ai donc eu un traitement. Ce traitement m'a fait prendre du poids et les rumeurs ont commencés : elle est enceinte , regarde elle arrêtait pas d'avoir des nausées et maintenant elle grossit... J'ai commencé à énormement me scarifier au lycée. J'ai aussi commencé à fumer. Je croyais que je pouvais remplacer l'addiction à la mutilation par l'addiction à la cigarette. Raté..J'ai touché le gros lot ! En milieu d'année j'ai appris que j'allais quitter le maroc et déménager avec ma mère à Paris. J'étais heureuse car je pensais qu'en quittant un lieu , j'allais y laisser mes problèmes. Je dis aurevoir à ma psychiatre .Cette été la , j'arrête tous mes traitements, je perds 20 kilos et je suis admise à la rentrée dans un lycée privé dans le 16ème arrondissement de Paris en 1ère littéraire et la ... Aie.. : crise d'angoisse sur crise d'angoisse, pleure. Ma mère m'emmena voir un psychiatre dans un hopital connu à Paris, dès la première consultation, il décida de m'hospitaliser....
La suite au prochain post...
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yesakademia · 10 months
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Idrissa - semaine 2
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Vendredi 28 juillet 2023
Deuxième semaine à Aga birame , la journée a débuté par une réunion des points de vue des lauréats et staffs . La réunion est terminée par un cercle de vérité entre nous même.
À l'après-midi, on est retourné à la boutique communautaire pour continuer la peinture des murs des façades.
Ce soir nous sommes invités chez le chef du village pour une veillée de jeux de société et une dîner trop bien .
👉 Samedi 29 juillet 2023
Ce matin on a fait le forum et on a avancé sur les travaux.
L'après-midi , on part à la boutique communautaire pour terminer les derniers éléments de la façade,on gère les derniers préparatifs et on fait les derniers entraînements de la chorale avant l'inauguration.
Nous avons rangé les marchandises de la boutique.
Le soir , il y avait de la pluie c'est pour cela que j'étais chez moi et faire le Dodo.
👉 Dimanche 30 juillet 2023
Le jour de l'inauguration de la boutique communautaire du village.
Le matin était un moment plutôt tranquille nous avons fait des jeux de cartes et nous avons eu aussi un point médical pour savoir si tout allait bien .
Vers 16h, nous avons rangé les dernières courses dans le boutique et les derniers coups de pinceaux sur la façade.
L'après-midi vers 17h c'était la fête .
La boutique est ouverte ! Le chef du village a ouvert la cérémonie par un discours , il y a aussi une chorégraphie des petites filles qui est la danse sérère, la présentation des associations (YAKA et SAMAANE) présentée par Youry et keenz et pour finir la chorale des lauréats.
👉 Lundi 31 juillet 2023
Ce matin était encore la préparation du forum sur lequel nous avons bien avancé.
L'après-midi Vaisnavi et kany ont dirigé un atelier de sportif au terrain.
Et pour terminer la journée nous sommes allés chez Noémi qui était un peu malade .
Le soir, il n'y avait pas de veiller parce qu'on devait partir à Joal vers 6h.
👉 Mardi 01 août 2023
Le jour de la sortie à Joal.
Nous sommes quittés le village 6h pour aller à Sandiara pour prendre le bus qui ne peux pas entrer dans le village.
Vers 9h Nous sommes arrivés à Joal, notre première visite était la maison du Papa de Léopold sedar Senghor qui se nomme Diogoy Basile Senghor.
Après cette visite intéressant nous sommes allés sur l'île de Foudhioune d'autre appellation l'île au coquillages, c'était magnifique des coquillages sur le sol entier et même les murs sont faits des coquillages.
On est retourné au village vers 19h et on avait passé une excellente journée de sortie.
👉 mercredi 02 août 2023
Journée de repos
Je me suis réveillé vers 6h pour aller dans un village situé à 4 km du village accompagné par mon jumeau et Tafsir.
On est retourné vers 11h et j'étais tellement fatigué à cause qu'on était allé à pied .
C'est 17h30 on s'est regroupé pour faire la première séance d'atelier du micro développement et le business battle dirigé par les staffs.
👉 Jeudi 03 août 2023
Une matinée très tranquille, une journée de référent-référé pour échange de quelques points.
Avant d'aller prendre nos repas les staffs nous ont donné 20 minutes de connexion. Je suis profité de discuter avec ma famille et mes amis.
L'après midi il y avait un atelier de debat dirigé par Youry qui a pour thème l'arcélement dans le milieu scolaire.
Le soir, nous étions chez Léo pour une veillée et nous avons regardé un film des livres de la jungle.
Merci à tou!! Ndiokodial
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educ-tchad · 1 year
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J'ai rêvé de la justice pour nous, ce n'était qu'un rêve, j'ai souhaité la justice pour nous ce n'était qu'un souhait
Plume pour Herdei Haroun Guet Je pensais que c’était un accueilJe ne voulais pas votre fauteuilJe m’appelle HerdeiJe ne voulais non plus votre ouille.Mais juste pour vous apporter ma pierrePour que mon pays soit fierMon front a versé des sueursAu final, je n’ai que mal au cœur Quand tu as de projet on te suitJuste pour t’arracher et puis on te fuitParce que tu n’as pas des appuies C’était juste…
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profenscene · 2 years
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Mercredi 1er septembre
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Après quinze années passées au service de l'Éducation Nationale, on pourrait croire que plus rien ne pourrait m'étonner lors d'une rentrée des enseignants, aussi nommée pré-rentrée dans les médias.
Grave erreur.
Après un périple d'une quarantaine de minutes me voici arrivée au collège d'Alrest, qui se situe au beau milieu de... ben rien du tout. L'un des villages les plus neutres de mes pérégrinations de prof remplaçant. Une petite rue bitumée depuis peu longe un établissement scolaire semblable à tant d'autres, avec ses fenêtres carrées et ses blocs de mosaïque grise. Je descends de la voiture, et jette un regard circonspect sur le bâtiment. Le même que portent pas mal de gens arrivés en même temps que moi. J'apprendrai un peu plus tard que nous sommes nombreux à débarquer ici pour la première fois : la moitié du cheptel enseignant.
Nous traversons un long couloir avant de débouler dans une petite cours.
"Vous pouvez refaire l'entrée ?" me demande un type, une grosse caméra et un micro en moumoute à l'épaule.
Il se trouve que la télévision régionale suit l'entrée en fonction d'un nouveau collègue dans le bahut. Et il nous est demandé de rejouer notre première rencontre. Un peu vexé que ce ne soit pas la télé nationale, et surtout qu'on ne s'intéresse pas à moi, je refuse. Le journaliste grogne un peu, mais prends plein d'images chouettes de profs buvant le café, de profs se disant bonjour, de profs faisant connaissance, avec bonheur et aussi un peu de circonspection.
Alrest, petit bahut de 230 élèves, dans lequel il y a beaucoup - beaucoup - de projets et des salles de classes gigantesques. Elle font deux fois celles d'Hoshido pour presque moitié moins d'élèves. Je découvre "la mienne". Un rectangle bien rangé, presque entièrement vide. À remplir de rencontres avec les élèves, les collègues, d'échecs et de succès.
Pour le reste, c'est comme à chaque fois, de ce côté là au moins, je ne suis pas pris de cours. Les réunions où l'on parle un peu trop longtemps de sujets essentiels, toujours les mêmes, quel que soit l'établissement, et que l'on croit pourtant uniques. Des élèves invoqués dans des paroles d'adultes, que l'on finit par crever de rencontrer, histoire de savoir s'ils sont vraiment comme ci, vraiment comme ça...
Une pré-rentrée.
Et tout qui reste à faire.
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kilfeur · 5 months
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J'ai bien aimé ce chapitre car ça se base sur la méthode d'apprentissage et vu que je travaille en milieu scolaire, je me mets un peu à la place du Sigmund. Une fois qu'on a trouvé la méthode adapté à l'enfant, son apprentissage part tout seule. Loid, malgré tout ses efforts n'avait pas la méthode d'apprentissage adapté pour sa fille. En revanche, le vieux a su trouver une méthode simple et efficace pour l'aider à progresser et lui donner la joie d'apprendre. Ce qui contraste avec Loid qui voit la connaissance et la compréhension avec la pratique ou bien les voir comme des armes tactiques. Et c'est pas étonnant sa réponse vu son métier. Après sa méthode n'est pas mauvaise en soi, c'est juste qu'elle est plus adaptée à ses besoins que ceux d'Anya.
J'espère qu'elle va réussir, je serai déçue si c'était pas le cas
I liked this chapter because it's based on the learning method, and since I work in a school environment, I put a bit of myself in Sigmund's shoes. Once you've found the appropriate method for the child, learning takes off on its own. Loid, despite all his efforts, didn't have the suitable learning method for his daughter. The old man, on the other hand, was able to find a simple, effective method to help her progress and give her the joy of learning. This contrasts with Loid, who sees knowledge and understanding with practice, or as tactical weapons. And it's not surprising his answer, given his profession. After all, his method isn't bad in itself, it's just that it's better adapted to his needs than Anya's.
I hope she succeeds, I'd be disappointed if she didn't.
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Le film a peu près. #1
Déjà ça pars mal parce que ça commence par un abandon. Avec le personnage principal qui doit grandir dans une famille qui n'est pas la sienne, des parents d'origine différentes... Bref c'est pas cool. Bien sûr il y a de la violence intra familiale, le personnage étant clairement essentialisé pour ses origines. C'est ce côté dualité / opposition qui se retrouve un peu partout dans le film car la société elle même est construite sur des communautés en vase clos qui s'ignorent ou même qui s'opposent.
Même en milieu scolaire on reste sur des séparations bien nettes, des mises en compétitions de différents groupes avec encore de la violence, entre élèves, entre profs etc allant même jusqu'à l'homicide d'un enseignant.
Mais le film n'est pas défaitiste, parce qu'au tant me monde présenté est violent et cherche à séparer autant que possible les gens, le personnage principal arrivera à surmonter tous les obstacles du film grâce à ses amis, aux liens qu'il a pu nouer même avec des personnes très différentes de lui.
Bien sur vous voyez de quel film je parle ?
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