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#trouble du comportement alimentaire
cassandrakarda · 4 months
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Je t’aime
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kin-olgum · 2 years
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LES FEMMES NE S'ÉCOUTENT PAS serait-ce pour cela qu'elles ne se sentent pas écoutées ??
LES FEMMES NE S’ÉCOUTENT PAS serait-ce pour cela qu’elles ne se sentent pas écoutées ??
Quel cliché de dire que les femmes sont toujours les premières à se plaindre de ne pas être écoutées. Toujours à râler, “tu ne m’écoutes jamais, je te l’ai dit la semaine dernière, c’est comme si je parlais dans le vent…” etc. etc.On en fait souvent une blague, on caricature la femme pointilleuse, qui court après sont mari pour l’enguirlander parce qu’il n’a pas enregistré le moitié des…
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lesparaversdemillina · 2 months
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Heartstopper T4 Choses sérieuses d'Alice Oseman
Ce roman graphique d'Alice Oseman aborde avec habileté les troubles alimentaires et la santé mentale. Nick et Charlie nous emmènent dans un parcours de libération de la parole et de volonté d'enlever le tabou sur ces sujets.
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maddiesbookshelves · 1 year
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I'm Glad My Mom Died, by Jennette McCurdy (January 2023)
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Jennette McCurdy's memoir about her relationship with her mother, the impact she had on her both during her life and after her death, and the consequences of being a child actor.
Would I recommend it to anyone? Yes, but not to everyone because it's really "child abuse, addiction and eating disorders", The Book. So you have to make sure those aren't triggers for you before reading this book.
Level of (dis)satisfaction based on the summary and my expectations? I almost never read non-fiction, I'm trying to read more of it so I'm glad I liked this one.
My thoughts on it? I had heard several people say that the narration feels child-like at the beginning and that it was because Jennette McCurdy wrote from child-her's point of view, and I didn't really get what they meant. And then I read it and I understood. As an adult reader, I could understand things that 8-y.o-Jennette or 13-y.o-Jennette couldn't, I could see how toxic and abusive her mother's behavior was. And it was gut-wrenching.
It was a very interesting read on several levels, we see a bit of the reality of child actors, and I think that the people who watched Nikelodeon during the iCarly years etc will sse the show and Jennette in a new light. That said, I also know someone who couldn't finish the book because they were a fan of Jennette and reading it was breaking their heart.
Anyway, Jennette McCurdy is right to focus on writing now, she's talented (and it makes her happier).
btw, i think it's sad that the first thing the official summary says is “A heartbreaking and hilarious memoir by iCarly and Sam & Cat star Jennette McCurdy” while she clearly said she doesn't want to be remembered as Sam. i understand that it's for marketing reasons, but it's still sad
French version under the cut
Les mémoires de Jennette McCurdy sur sa relation avec sa mère, l'impacte qu'elle a eu sur elle de son vivant comme après sa mort, et les conséquences d'une carrière d'enfant star.
Est-ce que tu le conseillerais à quelqu’un ? Oui, mais pas à tout le monde parce que c’est vraiment “maltraitance d’enfant, addiction et troubles alimentaires”, Le Livre. Donc il faut s’assurer que ce sont pas des déclencheur avant de commencer le livre.
Niveau de déception/satisfaction par rapport au résumé et tes attentes ? Je lis quasiment pas de non-fiction, j’essaie dans lire plus donc je suis contente d’avoir aimé celui-là.
Avis sans spoiler ? J’avais entendu plusieurs personnes dire que la narration est un peu enfantine au début et que c’était parce que Jennette McCurdy écrivait de son point de vue en tant qu’enfant, et je comprenais pas trop ce que ces personnes voulaient dire. Puis j’ai lu le livre et j’ai compris. En tant que lectrice adulte, je comprenais des choses que Jennette-à-8-ans ou Jennette-à-13-ans ne comprenait pas, je voyais à quel point le comportement de sa mère était toxique et abusif. Et c’était vraiment déchirant.
C’est vraiment une lecture très intéressante à beaucoup de niveaux, on voit un peu la réalité des enfants star, et je pense que pour les personnes qui regardaient Nikelodeon à l’époque de iCarly etc vont voir la série et Jennette sous un nouveau jour. Après je connais aussi quelqu’un qui n’a pas réussi à finir le livre parce qu’iel était fan de Jennette et que ça lui brisait le cœur de le lire.
En tous cas, Jennette McCurdy a raison de se concentrer sur l’écriture maintenant parce qu’elle a vraiment du talent (et ça la rend plus heureuse).
d’ailleurs, je pense que c’est triste que le premier truc que le résumé officiel dise c’est “Un mémoire déchirant et hilarant par la star de iCarly et Sam & Cat, Jennette McCurdy” alors qu’elle dit clairement qu’elle veut pas qu’on se souvienne d’elle comme Sam. je comprends que c’est pour des raisons marketing mais c’est quand même triste
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lamangasserie · 1 year
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Semaine du shôjo 2023: La beauté dans Helter Skelter et In the clothes named fat
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Comme chaque année, Club Shôjo organise une « semaine du shôjo », un évènement interblog où chacun est invité à écrire sur une thématique donnée. C’est un évènement que je suis d’année en année, donc je suis honorée d’en être pour la seconde fois. Merci Club Shôjo ! Cette année, la thématique choisie est « Le shôjo abordant la condition féminine que vous préférez ». D’abord perplexe, je me suis remémoré l’angle un peu personnel que j’avais choisi pour écrire mon article l’année précédente. Il m’est apparu très clairement que je devais aborder le thème de la beauté, que je devais faire face à deux mangas qui me sont redoutables: Helter Skelter de Kyôko Okazaki et In the clothes named fat de Moyoco Anno. Il est intéressant de noter que ces deux mangas abordent des thématiques différentes, mais se faisant écho, et qu’ils ont été prépubliés quasiment à la même époque. De plus, Moyoco Anno fut l’assistante de Kyôko Okazaki jusqu’à l’accident de la route de cette dernière, en 1996, et la version définitive de Helter Skelter contient quelques corrections apportées par Moyoco Anno. À mes yeux, ce sont deux mangas aux racines communes, c’est pourquoi j’ai voulu les traiter ensemble. À travers Helter Skelter et In the clothes named fat, je souhaite montrer comment, étapes par étapes, la quête de la beauté et les diktats imposés par les industries de la beauté et de la mode détruisent le corps des femmes, qu’est-ce qu’il en coûte que de « souffrir pour être belle ».
Helter Skelter est un manga écrit et dessiné par Kyôko Okazaki, il a été prépublié dans le magazine Feel Young entre 1995 et 1996. En France, il est sorti aux éditions Casterman. À la traduction Marie Bach, Marie-Françoise Monthiers et Naomiki Satô, adaptation graphique réalisée par Kaoru Sekizumi. Helter Skelter suit Lili, une vedette à la fois actrice, mannequin et surtout it-girl. Lili a tout pour plaire, seulement, elle cache un secret: elle est refaite de la tête aux pieds et son corps commence à ne plus suivre. 
In the clothes named fat est un manga écrit et dessiné par Moyoco Anno, il a été partiellement prépublié dans la revue féminine Shuukan Josei entre 1996 et 1997. En France, il a été publié dans sa version complète par Kana, avec à la traduction Pascale Simon et à l’adaptation graphique Éric Montésinos. Ici, nous suivons Noko, une employée de bureau complexée par son poids. L’infidélité de son petit ami sera un déclic pour Noko, qui décidera d’entamer un régime drastique.
Avant d’aller plus loin, je souhaite prévenir toutes âmes sensibles que cet article abordera les troubles du comportement alimentaire et la grossophobie. Merci de continuer avec précautions ou de tout simplement fermer la page.
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Nous sommes entourés d’images. Que l’on prenne le métro, que l’on ouvre le programme télé, que l’on traîne sur Instagram ou que l’on regarde le dernier clip d’une chanteuse pop, elles sont omniprésentes. Les filles sur ces images sont grandes, minces (ou pour les entreprises les plus audacieuses, « voluptueuses » ), sans jamais un poil qui dépasse ni un seul pore visible. Si elles y arrivent, pourquoi pas moi ? Helter Skelter s’ouvre sur des jeunes filles entourées d’images de Lili et qui cherchent à lui ressembler. Lili est dans les magazines, à la télé, et dans la rue. Il y a de quoi devenir obsédé !
L’obsession, c’est une des premières choses que Kyôko Okazaki montre dans Helter Skelter à travers le personnage de Lili. Alors qu’elle admire son corps parfait dans le miroir, elle y découvre un défaut. À partir de ce moment-là, elle ne cesse de se scruter de très près dans le miroir, traquant le moindre défaut de son corps qui s’effondre. Cette attitude obsessionnelle, quasi-névrotique, est pour moi le point de départ de la quête de la beauté. C’est une attitude que l’on retrouve chez de nombreuses femmes, peu importe l’âge.
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Dans In the clothes named fat, Noko est obsédée par le fait de devenir mince. Alors qu’elle est tout simplement faible, elle pense que devenir mince résoudra ses problèmes. Après tout, on l’a toujours méprisée pour son poids, c’est que ce doit être ça le problème. Mais ce n’est pas la minceur en soi qui l’obsède, c’est bien le chemin de la minceur, qui traduirait selon elle une force de caractère. Les efforts et la souffrance, voilà ce qui mène à la beauté et donc au bonheur ! Vers la fin du manga, Noko reprend tout le poids qu’elle a perdu, car elle se rend compte qu’il ne lui ai rien arrivé de bien en étant mince. Pourtant, elle replonge dans un épisode boulimique où elle croit encore au bonheur de la minceur. Mona Chollet, dans son essai Beauté fatale, évoque l’autobiographie de Portia de Rossi. Celle-ci devient obsédée par l’exercice physique en vue de maigrir et dit donner l’image d’une femme « déterminée, en contrôle de sa vie » lorsqu’elle arrive à descendre enfin sous les 59 kg. Pour info, elle est descendue jusqu’à 37 kg. C’est cette illusion opérée par l’obsession de la minceur qui fera qu’à la fin de In the clothes named fat, Noko ne semble pas vouloir abandonner sa quête de minceur.
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S’ajoute ensuite l’aliénation. C’est selon moi la thématique la plus forte dans Helter Skelter, c’est la raison même de la folie de Lili. Parce-que elle est une vedette, son corps ne lui appartient jamais. Il appartient à Mamoune, il appartient au staff, y compris à sa manager Hada bien qu’elle soit aussi la victime de Lili, il appartient au docteur de la clinique de chirurgie esthétique qui l’utilise comme cobaye, puis enfin, il appartient au public, représenté par les jeunes filles que l’on voit apparaître sporadiquement tout au long du manga. Tout le monde dans l’entourage de Lili tire parti du corps de celle-ci. Tout le monde se soucie de ses propres intérêts sans jamais réellement se soucier de Lili. Le personnage de Mamoune, agente de Lili, illustre particulièrement cette aliénation. Non seulement, elle projette ses propres rêves sur Lili, mais en plus, elle la traite comme une machine à entretenir. À plusieurs reprises dans le manga, elle dit à Lili…
Tu coûtes cher en « maintenance ». Tu es un produit très cher à la fabrication.
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Dans In the clothes named fat, c’est le personnage de Saitô, le petit ami de longue date de Noko, qui représente cette aliénation. Son infidélité est la première raison pour laquelle Noko entame un régime drastique. Hors, Saitô finit toujours par revenir auprès de Noko, parce-qu’il est un homme lâche. Il n’est pas capable de faire face à une femme de caractère comme Mayumi, avec qui il trompe sa petite amie. Lorsque Noko perd du poids, il devient fou, et même violent avec elle. Il la préfère grosse. Outre le fait que ce soit la raison pour laquelle Noko reprend du poids par la suite, cela démontre qu’il a l’ascendant sur elle. Il la préfère grosse, car il sait qu’avec un physique pareil, aucun autre homme ne l’approchera. Faible, il a besoin de quelqu’un d’encore plus faible que lui pour ne pas se sentir totalement misérable.
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C’est aussi le caractère obsessionnel évoqué plus haut qui crée chez Lili comme chez Noko l’aliénation. La première, terrifiée à l’idée de devenir moche, d’être délaissée par le public, d’être seule, et en plus d’en être consciente, la plonge dans un état second. La dernière, en revanche, ne se rend compte de rien, et est tellement obsédée par sa quête de devenir mince qu’elle n’est pas capable de prendre le moindre recul sur sa situation désespérée. 
Ultime étape, la disparition. Après l’obsession et la folie, que reste-t-il à Lili et à Noko ? Il ne leur reste qu’à disparaître physiquement comme mentalement. À la fin de Helter Skelter comme de In the clothes named fat, Lili et Noko n’ont plus personne autour d’elles. Le monde qui gravitait autour de Lili gravite désormais autour de Kozué, et Saitô s’est fiancé avec une autre (une fille grosse, évidemment). 
Mona Chollet, toujours dans Beauté fatale, relève aussi dans l’autobiographie de Portia de Rossi ainsi que dans The Good Body d’Eve Ensler, la solitude engendrée par les troubles du comportement alimentaire. Les femmes se cachent pour manger comme elles se cachent pour vomir, jusqu’à se couper du monde. La seule relation qui subsiste étant celle avec leurs propres corps. Dès le début de In the clothes named fat, Noko s’isole pour succomber à ses fringales, prémices de sa boulimie. On peut aussi noter les absences de Lili du devant de la scène dû à la chirurgie esthétique. Alors qu’elle rompt avec son petit ami, elle disparaît et se fait refaire le visage. Dans l’incapacité d’apparaître en public couverte de bandages, la popularité de sa rivale monte en flèche durant ce laps de temps.
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Lili étant déjà un personnage monté de toute pièce, il était donc aisé de le faire disparaître. Dès le début du manga, on ne sait pas qui est Lili, on ne sait pas d’où elle vient, on ne sait jamais son véritable nom. Lili n’a pas d’identité. Lors de l’enquête visant la clinique de chirurgie esthétique, l’enquêteur découvre une photo de l’ancienne Lili, avant qu’elle ne passe sur le billard. Il dit qu’elle ressemble à sa sœur, que l’on voit apparaître étant comme grosse et moche. Mais jamais on ne voit ladite photo. Encore une fois, Lili n’a pas d’existence en dehors d’être Lili. Au sommet de son mal-être, elle est prête à se faire exploser la cervelle. Elle ne laisse à son entourage et au public qu’un globe oculaire baignant dans du sang. À la toute fin du manga, 5 ans après sa disparition, Lili se trouve à mille lieux du showbiz tokyoïte, elle est devenue un personnage de freak show au beau milieu du désert mexicain…
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Quant à Noko, elle se prend de plein fouet sa propre disparition. En plus d’occuper de moins en moins de place dans l’espace public à force de maigrir, Saitô n’est même plus capable de la reconnaître. Le lien le plus important se rompt pour Noko, et elle plonge dans la solitude. Lorsqu’elle cherche peut-être un ultime refuge auprès du salon de beauté, celui-ci a disparu. Elle pense:
Il avait disparu sans laisser de traces. Un peu comme moi, qui suis là sans y être.
Le récit s’achève avec Noko dans un lit d’hôpital, n’ayant pour seul compagnon que le lecteur… 
Avec ces deux mangas, Kyôko Okazaki et Moyoco Anno peignent un portrait peu reluisant de la beauté. Lili et Noko, bien que radicalement différentes, ont le point de commun de ne jamais se trouver assez bien, elles sont constamment à l’affût du moindre défaut. Dans Helter Skelter et In the clothes named fat, la quête de la beauté est une quête vaine qui ne mène qu’à la destruction aussi bien physique que mentale. On pourrait penser que ce sont des mangas de leur temps, du temps du règne de Kate Moss par exemple, cependant on peut observer ces dernières années non seulement une banalisation des régimes drastiques, mais aussi une forte hausse de la chirurgie esthétique. En témoigne ce genre de vidéos YouTube ou encore les rapports annuels de l’ISAPS (pour International Society of Aesthetic Plastic Surgery) qui démontrent qu’aux États-Unis, entre 2010 et 2021, le nombre d’interventions de chirurgie esthétique a plus que doublé, avec une explosion des interventions non-chirurgicales (comme des injections ou une épilation laser par exemple). Phénomène que l’on observe dans quasiment chaque pays étudié, du Japon à l’Allemagne en passant par le Mexique. Paradoxal quand on pensait vivre dans la grande époque du body-positivity, de l’acceptation de soi. Très sincèrement, je pense que les diktats que placardent sur chaque espace possible de nos vies les industries de la beauté et de la mode sont des violences passives faites aux femmes, et de plus en plus aux hommes. Pourtant, je veux aussi faire le distinguo entre les « artifices » que sont les vêtements ou le maquillage, et ces « modifications profondes » du corps. Je crois que les femmes réussissent davantage à s’approprier le maquillage pour en faire une force. Alors qu’il servait à masquer les défauts, il peut s’utiliser comme outil pour se célébrer soi-même, comme le montre la vague de mangas sur le sujet. Je pense que c’est ce distinguo qui a permis à Moyoco Anno de publier à quelques années d’intervalle In the clothes named fat et des essais sur la beauté dans lesquels elle donne des conseils et astuces. Toujours est-il que les artifices restent à double-tranchants. Du mascara, oui mais pourquoi ? Pour essayer d’allonger au maximum vos pauvres petits cils ou pour mettre en valeur vos beaux yeux ? Est-ce qu’un jour les femmes arriveront collectivement à se libérer de ces diktats imposés en masse ? Y aura-t-il une fin heureuse pour Lili ou pour Noko ? Malgré les chiffres, j’ose espérer que oui, il y aura une fin heureuse, et qu’enfin, on arrivera à s’approprier ces diktats pour mieux les détruire.
Pour aller plus loin dans la semaine du shôjo, voici plein d'autre article à lire:
Le bazar de Djado
Les blablas de Tachan
Le blog de l'Apprenti Otaku
Le blog Noissapé
Bright Open World
Bulle Shôjo
Le cabinet de McCoy
Les chroniques d'un ange
Fou Chapelier
Lasteve
Nostroblog
Le passeur lunaire
Thread Twitter par @tyraanik
Violette Scribbles
Et bien sûr, Club Shôjo !
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become-skeleton · 10 months
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FR/ENG • INTRODUCTION
Salut ! Appelez moi Gamra. Je me présente rapidement, j'ai 19 ans et je souffre de troubles du comportement alimentaire.
Je précise ça maintenant, je suis pro-recovery !
Je posterais en français ET en anglais, même si j'utilise google traduction. Bref, n'hésitez pas à intéragir ! J'vous aime !
Hi ! Call me gamra. I introduce myself quickly, I am 19 years old and I suffer from eating disorder.
I specify that now, I am pro-recovery !
I will post in French AND in English, even if I use google translation. In short, do not hesitate to interact ! Love you !
— H : 163
HW : 90 kg LW : 66.5 kg SW : +75 kg CW : 71 kg UGW : 40kg
Twitter *only in French Instagram
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marie-swriting · 9 months
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Magnifique - Derek Morgan
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Masterlist
Résumé : Tu as du mal à aimer ton corps.
Warnings : problème lié à l'image de soi (⚠️s'il vous plaît, ne lisez pas, si c'est un sujet sensible pour vous), Trouble du Comportement Alimentaire sous-entendu (⚠️s'il vous plaît, ne lisez pas, si c'est un sujet sensible pour vous), angst, hurt/comfort, whump, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Body par Julia Michaels
Dans une cabine d’essayage, tu regardes le reflet de ton corps dans une robe rouge. Tu te regardes sous toutes les coutures et tu vois seulement les défauts. Pour toi, la robe ne flatte pas ta silhouette alors que Derek t’a assuré que ça serait le cas. Tu n’aimes pas le décolleté, il ne met pas ta poitrine en valeur. Tu n'aimes pas la façon dont ton ventre est visible à travers le tissu. Et enfin, tu n’aimes pas la façon dont on peut voir tes jambes à cause de la petite taille de la robe. Tu tires un peu sur le bas de la robe, espérant la rendre plus longue alors qu’une remarque d’un ex résonne dans ta tête. Tu continues à examiner chaque centimètre de ton corps dans le miroir jusqu’à ce que te tordre. Tu finis par soupirer, comprenant que ton corps n’est pas fait pour cette robe. Tu as l’impression que ton corps n’est pas fait pour beaucoup de vêtements et ça a le don de te faire souffrir. 
-Tu es prête, mon ange ? questionne Derek, à l’extérieur de la cabine.
-Euh, oui. 
Avec appréhension, tu ouvres le rideau et Derek ne dit rien pendant une seconde, te regardant de haut en bas. Son silence te rend un peu plus nerveuse et te convainc que tu devrais enlever cette robe tout de suite. 
-Tu es magnifique, Y/N, complimente-t-il avec un sourire.
-Je ne trouve pas, secoues-tu la tête en regardant à nouveau ton reflet. 
-Tu rigoles ? Tu es super belle.
-Je ne sais pas. Regarde mon ventre ! t’exclames-tu en montrant la partie de ton corps. Et la robe ne met pas mes jambes en valeur non plus. Et puis, je la trouve courte. 
-Elle est à peine à mi-cuisse. Et elle te va parfaitement bien.
-Je ne sais pas… 
Comme pour te rassurer, Derek pose ses mains sur tes épaules et embrasse ton front.
-Je te promets que tu es incroyable dans cette robe, t’assure-t-il et tu forces un sourire. Tu devrais la prendre et si vraiment tu trouves qu’elle ne te plait pas, tu peux toujours la changer. Allez, je te l’offre, annonce Derek, content.
-Derek, tu n’as pas…
-Ha, ha…, t’interrompt-il en bougeant son index de gauche à droite. Je te l’offre, ça fera pour notre restaurant de la semaine prochaine. Et puis, on a pas pu être souvent ensemble ces derniers temps, je te dois bien ça.
-Tu sais que tu n’as pas à te faire pardonner pour ton travail, affirmes-tu en prenant sa main.
-Alors, vois ça comme un cadeau parce que je t’aime. Tu veux essayer autre chose ?
-Non, déclares-tu sans perdre une seconde. Je vais me changer.
Tu refermes le rideau et commences à te déshabiller sans trop t’attarder sur ton reflet. Quand tu as fini, tu sors de la cabine et vois une femme légèrement plus jeune que toi dans la même robe. Malgré toi, tu penses qu’elle lui va mieux. La robe épouse parfaitement ces courbes et tu trouves la femme magnifique. En la regardant, tu te dis que tu aimerais être comme elle. 
Après avoir payé la robe, vous retournez dans ton appartement. Tout le chemin, tu restes silencieuse, perdue dans tes pensées nourries par les différentes remarques que tu as pu entendre au cours de ta vie. Derek remarque ton mutisme tout de suite. Il ne te questionne pas, sachant que tu risques de te braquer. Malgré le fait que vous êtes ensemble depuis un an, tu as encore du mal à venir vers lui quand tu en as besoin. C’est une des choses sur laquelle vous travaillez. Tu fais des efforts depuis votre rencontre, mais parfois, tu continues à t’isoler.
Quand vous arrivez chez toi, tu poses tes affaires avant d’informer que tu souhaites être dans une tenue plus confortable. Derek s’installe sur ton lit pendant que tu te changes. 
Dans ta salle de bain, tu regardes ton reflet alors que tu es en sous-vêtements. Quand tu sens tes pensées négatives devenir un peu plus fortes, tu tournes le dos à ton miroir et continues de te changer. Même pour enlever ton maquillage, tu ne te regardes pas. 
Une fois finie, tu t’allonges à côté de Derek. Instantanément, il te prend dans ses bras avant d’embrasser le haut de ton crâne.
-Tout va bien ?
-Oui. Je suis juste un peu fatiguée, mens-tu en écoutant les battements de son coeur. 
-Tu es sûre ?
-Promis, affirmes-tu en l’embrassant chastement. Tu peux dormir ici ce soir ? J’aimerais rester dans tes bras.
-Bien sûr.
Ta demande est tout ce dont Derek a besoin pour savoir que tu ne vas pas bien. Derek a beau encore ignorer la raison, ce n'est qu'une question de temps avant qu'il la trouve. Il te connait assez bien pour savoir la façon dont tu agis quand tu ne vas pas bien sans que tu aies besoin de prononcer un mot. Toutefois, à cet instant, il préfère te serrer un peu plus contre lui, voulant t’apporter le réconfort dont tu as secrètement besoin.
Tu pensais que dans quelques jours, tu irais mieux. Tu as souvent des phases où tu détestes ton corps plus que d’habitude, mais celle-ci est tenace. Tu n’es à l’aise dans aucun de tes vêtements, tu te sens moche et tu n’arrives pas à apprécier ce que tu manges. Tout est horrible et tu veux juste te morfondre dans ton lit et ne plus jamais sortir. 
Malheureusement pour toi, tu dois aller à ton rendez-vous avec Derek. Avec le peu de force que tu as, tu arrives à sortir de ton lit. 
Après avoir pris une douche, tu ouvres ton placard. Tu fais défiler les différents vêtements, sans grande volonté. Quand tu tombes sur la robe que Derek t’a offerte, tu hésites entre la porter ou la brûler. Tu sais que ça lui ferait plaisir de te voir avec, mais tu n’es toujours pas convaincue. À contrecoeur, tu prends le cintre avant d’enfiler la robe, espérant que cette fois, tu vois ce que Derek a vu. 
Tu ajustes la robe comme il faut et tu te regardes dans le miroir de ta chambre. Tu as toujours la même vision : seulement des défauts. En continuant à examiner ton reflet, tes yeux se remplissent de larmes alors que dans ta tête, les phrases telles que  : “tu n’es pas belle”, “tu ressembles à rien” et autre horreur ne cessent de tourner. 
Les larmes te montent de plus en plus aux yeux et tu te refuses de pleurer. Tu ne peux pas craquer ce soir. Tu dois passer la soirée avec Derek. Tes démons doivent attendre un peu plus longtemps. Tu prends de profondes inspirations et quand tu es sûre que tu n’es plus sur le point de pleurer, tu prends ton maquillage. Tu as espoir qu’embellir ton visage t’aidera. Peut-être que ça peut rattraper ta tenue. De plus, le fait de te pomponner t’aide parfois à te sentir un peu mieux - même si ce n’est pas une solution miracle. Cependant, cette fois, ton humeur s’empire. Les cernes sous tes yeux se moquent de toi alors que tu essayes de les couvrir et les quelques boutons sur ton visage n’arrangent pas la situation.
Tu essayes de camoufler tes défauts un maximum en te disant que ceux-là, tu peux t’en débarrasser pendant au moins quelques heures. Quand tu es plus ou moins satisfaite du résultat, tu retournes vers ton miroir pour vérifier que tu es à peu près présentable. 
Malgré ton maquillage, tu ne trouves pas mieux. Ta robe est toujours ridicule et tu as beau essayer de rajouter des accessoires, tu ne te trouves toujours pas belle. Agacée, tu finis par enlever la robe et tu retournes dans ton placard. Tu es dans la même situation qu’au début.
En regardant à nouveau tes robes, tu réalises qu’il n’y a pas ta robe blanche. C’est une robe simpliste mais dans laquelle tu te sens à l’aise. Tu as une idée d’où elle pourrait être alors tu vas dans ta buanderie, en te maudissant. Quand tu découvres que ta robe est bien dans la machine qui est en train de tourner, tu t’assoies par terre en étouffant un cri. Tu n’as plus de solution de repli et il est hors de question que tu mettes ta nouvelle robe. Te sentant dans une impasse, tes larmes reviennent tout aussitôt. Cette fois, tu n’as pas la force de les retenir. Elles coulent librement sur tes joues, ruinant ton maquillage par la même occasion. Tu pleures pendant une dizaine de minutes, tu n’oses même pas imaginer ce à quoi tu dois ressembler. Quand tu es un peu plus calme, même si quelques larmes continuent de couler, tu retournes dans ta chambre et prends ton téléphone.
Message de toi à Derek, 18h58 : 
Je viens d’avoir mes règles, je ne me sens pas d’aller au restaurant. Ça te dérange si on annule ?
Message de Derek à toi, 18h59 : 
Pas de soucis. Tu as besoin que je t’apporte quelque chose ? Je peux rester avec toi, si tu veux. 
Message de toi à Derek, 19h01 : 
Pas besoin. J’ai tout ce qu’il faut. Désolée de t’avoir prévenu à la dernière minute.
Message de Derek à toi, 19h02 : 
Ne t’excuse pas, repose toi. Je t’aime ❤️
Tu réponds à son “je t’aime” avant de poser ton téléphone sur ta table de nuit. Tu enfiles rapidement un jogging et ton sweat préféré puis, tu quittes ta chambre. 
Dans ta cuisine, tu prends plusieurs snacks et tu t’installes dans ton salon. Tu lances la première série que Netflix te propose. Tu regardes les épisodes sans y prêter attention pendant que tu manges des chips. Sans surprise, tu as l’impression de t’enfoncer un peu plus dans ta spirale. Tu pourrais être dans un restaurant chic avec ton petit ami et tu es dans ton salon en sweat à grignoter. 
La culpabilité te ronge quand tu penses à Derek. Tu t’en veux de lui avoir menti, surtout quand il fait autant attention à toi, mais tu n’as pas la force morale de quitter ton appartement. 
Tu finis par fondre en larmes à nouveau, détestant la phase dans laquelle tu es. Tu te sens somber et au lieu d’essayer de remonter à la surface, tu te laisses couler dans ce sentiment de vide. 
Trois semaines plus tard, tu es toujours misérable et tu n’as toujours pas osé en parler à Derek. Une partie de toi aimerait lui parler de tout ce que tu ressens et une autre veut pouvoir réussir à t’en sortir sans son aide. Tu peux le faire, tu y arrivais bien avant de le rencontrer. Tu peux le refaire. Par conséquent, quand Derek rentre d’une enquête, tu fais tout ton possible pour ne pas montrer ton mal être. Tu sais que c’est un jeu compliqué, ses capacités de profiler vont te battre en un rien de temps, mais tu ne veux pas l’embarraser avec tes démons. 
Bien évidemment, Derek sait ce qu’il se passe. Ses sens sont en alerte depuis l’achat de la robe et il n’a pas besoin d’être un profiler pour savoir que tu ne vas pas bien. Il te connait par coeur. Il attend juste le bon moment pour t’en parler, malheureusement avec son travail, ce moment a été repoussé plusieurs fois. 
Cependant, ce soir-là, il est décidé : il va te parler. Il ne peut pas continuer à rester silencieux en sachant très bien que tu n’es pas près de venir vers lui. Avant de t’inviter à te confier à lui, il veut te mettre à l’aise en te proposant une sortie agréable. Il a prévu un cinéma puis un repas à emporter chez toi. Il préfère finir la soirée chez toi, voulant s’assurer que tu sois dans un environnement où tu te sens bien.
Quand Derek arrive chez toi, tu es en train de finir ton maquillage. Il te lance un compliment que tu ne prends pas au sérieux. Il te regarde te préparer depuis ton lit. Il voit tes mouvements hésitants quand tu regardes avec plus d’attention ton reflet. Enfin, ton silence lui donne un indice en plus. En temps normal, vous n’arrêtez pas de discuter, surtout quand vous n’avez pas pu vous voir pendant plus d’une semaine à cause d’une enquête. 
Tu ouvres ton placard et commences à faire défiler les vêtements. Quand tu ne t’es toujours pas décidée cinq minutes plus tard, Derek se lève et te rejoint. 
-Pourquoi tu ne mets pas la robe rouge ? demande-t-il en pointant le vêtement en question. 
-C’est pas un peu trop habillé pour un cinéma ? 
-Pas forcément. 
-Je pensais mettre ma robe blanche, dévoiles-tu en la prenant.
-Mon ange, tu es magnifique dans cette robe, mais tu la mets souvent. Tu as plein de vêtements qui te vont très bien. Tu devrais changer.  
Tu pèses rapidement le pour et le contre, te rappelant très bien de ta réaction la dernière fois que tu as voulu mettre ta nouvelle robe. Finalement, tu forces un sourire et la prends.
-C’est vrai. Je vais mettre la rouge. 
Au même moment où tu es sur le point de te changer, le téléphone de Derek sonne. Il sort de ta chambre pour aller le chercher dans l’entrée. Pendant ce temps, tu sors la robe du cintre et tu l’enfiles. Tu lisses ta robe de tes mains puis, tu jetes un coup d'œil au miroir. Instantanément, les larmes te montent de nouveau aux yeux.
Contrairement à la dernière fois, tu te retiens de pleurer. Derek est juste dans la pièce à côté, il ne peut pas te voir dans cet état. Toutefois, tu n’as pas le temps de calmer tes émotions que Derek revient dans ta chambre. En te voyant pleurer, Derek te prend tout de suite dans ses bras. Tu sanglotes pendant plusieurs minutes alors que Derek caresse ton dos, espérant calmer tes pleurs. Quand il juge que tu es apte à parler, il pose ses mains de part et d’autre de ton visage pour pouvoir te regarder.
-Parle-moi. Qu’est-ce qui ne va pas ?
-Je…, bégayes-tu avant de secouer la tête, c’est ridicule.
-Tu sais très bien que si ça te met dans cet état, ce n’est pas ridicule. Parle-moi, répète Derek sur un ton doux et tu pousses un soupir. 
-C’est juste que je n’aime pas ma tenue. Je t’ai dit, c’est ridicule de pleurer pour ça, te lamentes-tu en le voyant froncer les sourcils. Je n’arrive pas à me sentir bien cette robe hideuse. Je me trouve moche dans cette robe, avoues-tu en évitant ses yeux.
-Pourquoi tu parles de toi comme ça ?
-Je ne sais pas. J’arrive juste pas à me sentir bien dans cette robe, répètes-tu d’une voix plus faible. Je ne comprends pas comment tu peux me trouver belle avec. 
-Ce n’est pas qu’à propos de la robe, n’est-ce pas ? s’enquiert-il, connaissant la réponse.
-Ma relation avec mon corps a toujours été compliquée, tu le sais, mais ces derniers temps, je me sens vraiment comme une merde, confesses-tu, tes lèvres tremblant. Je ne me sens pas bien dans mon corps, aucun de mes vêtements ne me va, je peux à peine me regarder dans le miroir et je me sens moche. 
Au fil de tes phrases, ta respiration devient de plus en plus saccadée. Derek essuie les quelques larmes qui ont coulé sur tes joues. Tu n’avais même pas senti que tu avais commencé à pleurer. Derek est sur le point de te répondre quand tu le devances : 
-Je sais que tu vas me dire le contraire, que tu vas me dire que tout ça, c’est dans ma tête, mais je ne peux m’en empêcher. Je te jure que j’aimerais me regarder dans le miroir et dire que je suis belle comme tu le fais, mais je ne vois pas ce que tu vois. Je veux aimer mon corps comme toi tu l’aimes, je te jure, je veux réellement m’aimer, mais ça semble impossible. Je ne peux pas penser une chose positive sur moi, murmures-tu, ta voix se brisant. À chaque fois que je pense que je vais un peu mieux, je me rappelle de toutes les remarques qu’on a pu me faire, que ce soit des exs, des amis ou même ma famille, et c’est retour à la case départ, informes-tu en tentant de sécher tes larmes, en vain. Et peu importe le nombre de fois où tu me complimentes, j’arrive pas à te croire. Je sais que tu es sincère, mais je n’y arrive pas. J’ai juste l’impression que tous les mots que tu me dis sont des mensonges pour essayer de me faire sentir mieux. Ce n’est pas la vérité, et d’une certaine façon, j’en suis consciente, c’est juste plus fort que moi. J’ai l’impression que je suis vouée à toujours détester mon corps et…, continues-tu en prenant une grande inspiration, ça me fait peur. Je ne veux pas continuer à ressentir tout ça. Je ne sais pas quoi faire.
Les gestes étant plus forts que les mots, Derek te serre de nouveau contre lui. Ce n’est pas la première fois que tu fonds en larmes devant lui, cela n’empêche pas que son cœur se fend en t’écoutant déverser tout ton mal être. Tu caches ton visage dans le creux de son cou, te sentant honteuse d’être aussi vulnérable.
-Je suis désolée, on est en retard pour le film à cause de moi, articules-tu contre son torse. 
-On peut toujours aller le voir un autre jour. Ce n’est pas grave, t’assure Derek en embrassant ton crâne.
-Le fait est que ce n'est pas la soirée que tu avais en tête. Désolée. 
-Tu n’as pas à t’excuser parce que tu ne te sens pas bien.
- Je sais, mais c’est la deuxième fois qu’on annule nos plans à cause de moi. 
-Tu parles du restau ? Tu avais tes règles, ce n'est pas de ta faute.
Suite à la phrase de Derek, la culpabilité vient s’ajouter à tes autres émotions. Tu te sépares de lui et tu poses ton regard sur tes mains, jouant avec tes ongles nerveusement. 
-Je t’ai menti, en fait. J’avais mis cette robe pour te faire plaisir et j’ai fini dans le même état. J’ai préféré annuler plutôt que te parler. Je suis désolée, je t’avais promis que je ferais des efforts, dis-tu en relevant les yeux sur lui. J’ai juste tellement peur d’être un fardeau pour toi. Je ne veux pas que tu te lasses de moi parce que je ne vais pas bien mentalement. Je sais toujours pas comment j’ai fait pour t’avoir et je ne veux pas te perdre à cause de ça. Et puis, je veux pouvoir me débrouiller seule… Enfin, on voit comment ça marche ! t’exclames-tu en roulant des yeux. Je comprendrais si tu voulais partir.
-Hey, je ne vais pas te laisser alors que tu as besoin de moi, affirme Derek en posant une main sur ta joue. Écoute, je ne peux pas imaginer tout ce que tu ressens, mais je resterai toujours à tes côtés, surtout quand ça va mal. Et s’il faut que je te répète chaque seconde que tu es magnifique jusqu’à ce que tu me croies, je le ferai. Toutefois, je pense que ça pourrait t’aider si tu en parlais avec un professionnel. 
-Probablement, finis-tu par concéder. Tu m’accompagnerais ? Au moins à la première séance, j’aurai besoin de soutien.
-Avec plaisir. Je viendrai avec toi à autant de séances que tu veux, accepte Derek avec un sourire réconfortant. 
Tu es consciente de tout le chemin qu’il te reste à faire avant de pouvoir t’aimer, mais tu as réussi à faire le premier pas. 
Pour la première fois depuis plusieurs semaines, tu lâches un soupir de soulagement. Tu embrasses chastement Derek puis, tu t’appuyes à nouveau contre son corps, ses bras te protégeant de tes démons.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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valentine1994 · 1 year
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Premier jour de règles et je trouve enfin les mots. Mais ce mois-ci c'est comme un océan de mots qui m'arrive dans la gueule, parce que ce mois-ci j'ai rencontré quelqu'un dont je suis devenue obsédée, et ce mois-ci des comportements dont je pensais m'être débarrassée sont revenus. Toute mon attention est concentrée sur une personne, ma vie entière dépend de cette personne, je me suis laissée tomber dans le truc, voir ce que ça fait quand je lutte pas. Et puis il est venu chez moi il y a deux jours, il a dormi dans mon lit, et le lendemain matin je l'ai laissé dormir et je suis partie à la fac. J'ai déposé un jeu de clés à côté de la porte d'entrée et, comme ça, c'est moi qui suis partie, même si j'étais chez moi. C'est moi qui l'ai abandonné, pas lui. Le jeu continue, et au cours de la journée je commence à paniquer. Je savais déjà que le laisser venir chez moi impliquait de me retrouver dans une position de vulnérabilité, de me dévoiler encore plus que quand on couche ensemble. Et maintenant il est tout seul chez moi, et les murs vont peut-être parler, tout lui raconter. Sur mes pensées, sur ce que je fous le soirs quand je tourne en rond avec mes angoisses et mes routines, mes obsessions, lui compris. Et puis il va se lever, se faire un café, ouvrir le frigo pour trouver un truc à manger, et se retrouver nez à nez avec les vestiges de mes troubles alimentaires. Le frigo qui lui crie à la figure "Cette fille a un gros problème avec la nourriture. Barres-toi !" La déco un peu pourrie de l'appartement que je loue en seconde main va lui expliquer que je suis une meuf qui passe sa vie à douter, qui est un peu chiante, psycho-rigide et à côté de ses pompes. Quand je suis rentrée chez moi il avait tout rangé, le lit était parfaitement fait et les rideaux que je garde habituellement fermés étaient grands ouverts et criaient "Je sais tout". Il a mis 18 heures à répondre à mon dernier sms et la suite du plan c'est de faire la morte.
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laurencegosselin · 1 year
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SÉANCE 14 - LE RETOUR EN FORCE DE LA CULTURE DES TCA SUR TIKTOK
2012. Tumblr fait une annonce publique qu’ils banniront désormais tout contenu faisant acte de promotion de toutes formes d’automutilation, ou encore faisant la glorification des troubles alimentaires comme l’anorexie (Tumblr, 2012). Cette époque était le prime time du blogue au niveau de sa popularité. Malheureusement, les blogues qui recevaient de l’attention constituaient la plupart du temps une forme de danger pour la santé mentale fragile de certains adolescents qui adhéraient à la plateforme. Tumblr a dû intervenir et y ajouter une certaine régularisation des contenues publiée. Cette «régularisation» s’arrête à seulement affiché un message demandant si l’usager se porte bien lorsqu’il/elle recherche du contenu à caractère TCA. Ce message peut facilement être récité par l’usager en appuyant sur la touche «afficher les résultats de recherche». Le contenu qui apparaissait par la suite était pour la plupart aberrant. On ne cachait même pas l’intention d’encourager la maladie. Encore aujourd’hui il est quand même possible de retrouver plusieurs blogues vantant les « bénéfices » du mode de vie pro-anorexie sur la plateforme. Heureusement pour certains, la plateforme a perdu de sa notoriété avec l’avènement de nouvelles plateformes.
En début d’année, de nouvelles tendances sur Tiktok ont su attirer l’attention d’anciennes adeptes de Tumblr. C’est le retour de Tumblr 2014. L’anorexie est glorifiée par des trends comme What I eat in a day où le sujet du vidéo présente ses repas qui comporte des quantités minimes sans apports nutritifs ou encore le partage de recette de smoothie détoxifiant servant à faire perdre du poids en quantité massive en peu de temps. Aliment «accèlerant» le métabolisme, manger clean, le retour en force de Brandy Melville et de leurs vêtements one-size fits all. Ces éléments présentent des comportements dangereux, comme sur Tumblr, qui sont des signes précurseurs de trouble alimentaire (Goldberg, 2022). Bref, Tiktok ramène la culture des TCA en 2022, mais sous une nouvelle lumière. Plutôt que de cacher les intentions, les créateurs de se contenu la marchande comme un healty lifestyle sans arrière-pensée. C’est encore plus dangereux qu’avant et avec l’omniprésence de Tiktok dans notre quotidien, son impact risque d’être plus grand que celui de Tumblr a eu il y a de ça quelques années. C’est une tendance à surveiller.
Goldberg, A. (2022). What the Return of 2014 Tumblr Means For Body Image. https://www.teenvogue.com/story/what-the-return-of-2014-tumblr-means-for-body-image
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Depuis le début je raconte ma vie, ce que je ressens de temps en temps, mes objectifs, des anecdotes, des pensées intrusives mais je me suis jamais présenté.
Je m'appelle Charlie, j'ai 15 ans et comme vous avez pu le constater je souffre de maladies mental comme la dépression, l'anxiété généralisé et trouble de comportement alimentaire. J'ai d'autre trucs mais ça servirais à rien d'y dire. J'ai créer ce compte pour dire ce que j'ai sur le cœur, pour être plus lucide envers mes sentiments et mes actions puis aussi pour avoir " quelqu'un " qui m'écoutera sans avoir de jugement, de réaction et de sentiments envers ça. Pour faire simple je parle à personne mais dans mon ressenti c'est comme si j'en parlais à quelqu'un. C'est aussi agréable que de crier à s'en cassé la voix dans le vide, de pouvoir exprimer ce que tu as vraiment au fond de toi même, des choses que tu ne veux pas dire aux autres mais pour autant te sentir écouter sur ça en sachant que personne n'est au courant est étrangement satisfaisant. Je sais que pas tout le monde ressens la même chose que moi mais c'est quelque chose que je conseillerais au gens qui en ont besoin. De pouvoir hurler toute sa douleur et tout écrire publiquement mais que personne ne regarde mais se sentir écouté.
C'est la meilleure solution que j'ai pu trouver pour mon cas de pouvoir hurler tout ce que j'ai sur le cœur sans avoir de spectateur et du réconfort de quelqu'un d'autre. Je créer moi même mon propre réconfort en exprimant à ma manière.
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omagazineparis · 21 days
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La représentation des femmes dans les médias
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La représentation des femmes dans les médias a toujours été un sujet brûlant. Si les médias reflètent et façonnent la société, la manière dont les femmes y sont représentées influence profondément les perceptions et les attitudes envers le genre. Examinons cette représentation et ses implications. Historique de la représentation des femmes dans les médias Une image stéréotypée Pendant des décennies, les femmes étaient souvent cantonnées à des rôles de mères, d'épouses ou de séductrices. Rarement présentées en tant que leaders ou expertes, elles étaient plutôt reléguées au second plan. L'évolution progressive Avec les mouvements féministes et la prise de conscience sociétale, la représentation des femmes a commencé à évoluer. Elles sont devenues plus présentes et dans des rôles plus variés. Les médias modernes et la représentation des femmes Une présence accrue mais… Aujourd'hui, les femmes sont bien plus présentes dans les médias. Cependant, des problématiques subsistent, comme la sexualisation excessive ou la surreprésentation de standards de beauté irréalistes. Les femmes de pouvoir dans les médias Les femmes leaders, PDG ou politiciennes, ont plus de visibilité médiatique. Toutefois, leur représentation est parfois biaisée, se concentrant davantage sur leur apparence ou leur vie personnelle plutôt que sur leurs compétences. Les conséquences de cette représentation Impact sur l'image de soi La manière dont les femmes sont représentées influence l'image que les femmes ont d'elles-mêmes. Les standards de beauté irréalistes peuvent engendrer des complexes et des troubles du comportement alimentaire. Influence sur les jeunes Les jeunes filles, grandes consommatrices de médias, sont particulièrement influencées. Leur perception d'elles-mêmes et de ce qu'elles peuvent accomplir est façonnée par ces représentations. Vers une meilleure représentation Les médias responsables Certains médias s'efforcent de briser les stéréotypes, mettant en avant des femmes inspirantes, fortes et diversifiées. Ces efforts doivent être salués et encouragés. A voir : Comment définir l’inclusion sociale ? Le rôle du public Le public, en tant que consommateur, a un rôle à jouer en soutenant les médias qui offrent une représentation équilibrée et en critiquant ceux qui perpétuent les stéréotypes. La représentation des femmes dans les médias est un reflet de la société, mais elle influence également cette même société. Si d'énormes progrès ont été réalisés, il reste encore du chemin à parcourir pour que chaque femme puisse se voir et se reconnaître de manière équitable et réaliste dans les médias. Read the full article
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kin-olgum · 2 years
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MAGIE
une baguette face à la vie Le mot magie vient de la même racine indo-européenne que main. Il s’agit de la racine mer-. Que vient faire ce R dans une racine qui a principalement donné des mots qui tournent plutôt autour des phonèmes men- ou man- …?! Eh bien, nous y reviendrons, mais la raison en est que tout ce qui a découlé de cette racine s’est fixé sur la forme du génitif de ce mot. Photo de…
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54 Fanzine - TCA ( Troubles du Comportement Alimentaire)
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leaacquaviva · 3 months
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SÉANCE #6 - La perfection numérique : un idéal erroné 
Dans le billet d’aujourd’hui, nous allons aborder le sujet de l’identité numérique, et plus précisément la façon dont on se présente sur les réseaux sociaux numériques, et l’impact que cela peut avoir sur notre vie. 
Sur les RSN, l’image de soi peut vite être remise en question. En effet, depuis quelques années, nous assistons à une idéalisation du corps « parfait », poussant, principalement les femmes, mais plus largement les adolescents, à se présenter d’une certaine façon sur les RSN, due à une pression constante de la société sur le physique.
L’article du journal La Presse, intitulé « Réseaux sociaux et un corps parfait : un mirage irréaliste », s’intéresse à l’impact des RSN sur la santé mentale et physique des utilisateurs. Ainsi, les autrices expliquent que des recherches réalisées par Meta, démontrent que les RSN peuvent « nuire à l’image corporelle et à l’estime de soi des populations adolescentes ». 
Ce phénomène s’explique principalement par le caractère visuel de la majorité des plateformes, où la plupart des utilisateurs partagent des photos d’eux-mêmes et de leur quotidien. 
Ce caractère visuel pousse donc à la comparaison constante aux autres utilisateurs, comme par exemple avec les influenceur(ses), qui présentent souvent une vie idéalisée.
Ces contenus, souvent retouchés et non-représentatifs de la réalité peuvent avoir des impacts plus ou moins graves sur la santé des internautes, pouvant aller jusqu’à des troubles des comportements alimentaires. 
En plus de cela, nous sommes plus enclin à poster des contenus erronés dans le but de plaire à la majorité.  
« Pourquoi ne pas passer de la promotion de la perfection à la promotion de l’acceptation de notre corps ? »
Phénomène principalement observé auprès des jeunes femmes, il est important de noter que de plus en plus d’influenceuses, très exposées à la critique, prennent la parole sur les attentes et les idées préconçues au sujet du physique. Ainsi, de nombreuses d’entre elles prônent le mouvement « body positive », créé en 1996 et qui célèbre la diversité corporelle et l’acceptation de soi. C’est le cas du compte Instagram bodyimagepositive, qui défend également la santé mentale. 
Il est donc important d’être informé et de savoir prendre du recul lorsque l’on navigue sur les RSN et que l’on participe aux contenus qui y sont partagés. Il est aussi important de savoir trouver un juste-milieu afin de ne pas tomber dans la toxicité des RSN.  
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bluesublimepost · 3 months
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boulimie
Les séminaires 'Troubles du comportement alimentaire' sont des ateliers orientés sur la personne, l'écoute et le respect, pour reprendre le contrôle sur son bien-être.
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biancasana22 · 3 months
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Les séminaires 'Troubles du comportement alimentaire' sont des ateliers orientés sur la personne, l'écoute et le respect, pour reprendre le contrôle sur son bien-être. Gland
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