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#modes d'existence
madamecercle · 1 year
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Ces Grands Empires, quand même
[1] — zauriez-pas un peu d'ô? (N'auriez-vous pas un peu d'eau ?) [2] [GranGroi Sublime, 917° æ Scène de la vie quotidienne d'après AsRfronde3, fils]
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au-jardin-de-mon-coeur · 11 months
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T'es belle tu sais.
Je te le dis aujourd'hui.
T'es belle devant tous ceux qui se taisent.
T'es belle quand tu t'assumes, quand tu assures.
T'es belle dans ta dignité,
Dans ta sensibilité.
T'es belle dans un monde laid.
T'es belle sans le savoir,
Et c'est encore plus beau.
T'es belle dedans, dehors, partout.
T'es belle quand tu y crois, quand tu te bats.
T'es belle quand tu gueules, quand tu affrontes.
T'es belle pour toutes celles qui ne le sont pas...
T'es belle parce-que tu es invincible.
T'es belle pour rien, quand tu parles, quand tu réfléchis,
Quand tu aimes, quand tu souris, quand tu répares.
T'es belle dans tes silences insouciants,
Et tes présences dignes.
T'es belle parce-que tu le sais pas
T'es belle dans tes formes, dans tes fonds.
Dans tes caves et greniers.
Dans tes extras qui n'appartiennent qu'à toi.
T'es belle parce-que tu agis, tu réagis, tu vis.
Parce-que tu vas toujours plus loin que l'aveugle beauté.
T'es belle parce-que tu trouves tout beau.
Parce-qu'un rien t'émerveille.
Parce-que tu émanes, brilles, vibres.
Parce-que tu es solaire dans la nuit,
Parce-que lunaire en plein jour.
Parce-que tu défies le monde,
Et toi à chaque seconde.
T'es belle pour ce qu'on te jalouse, pour ce qu'on t'envie.
T'es belle sans apparat, sans dictat.
T'es belle pour nous toutes.
Pour la diversité.
Pour mettre en lumière la réelle et cruelle beauté.
T'es belle quand tu lâches rien.
Quand tu te fâches.
T'es belle pour tout.
T'es belle surtout d'être toi.
T'es belle et ça n'a pas de prix.
Et que bien plus qu'une mode,
C'est un art d'exister.
Donne-moi la main,
Je veux être belle avec toi.
"La Dame aux bons mots"
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aurevoirmonty · 7 months
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Aucun des dogmes de la société moderne n'est inébranlable. Ni ses usines gigantesques, ni les bâtiments de bureaux qui s'élèvent vers le ciel, ni les grandes villes meurtrières, ni la moralité industrielle, ni la mystique de la production ne sont nécessaires à notre progrès ; d'autres modes d'existence et de civilisation sont possibles.
La culture sans confort, la beauté sans luxe, la machine sans l'esclavage de l'usine, la science sans le culte de la matière permettraient à l'homme de se développer indéfiniment, tout en conservant son intelligence, son sens moral et sa virilité.
Alexis Carrel, L'Homme, cet inconnu, 1935
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est-ce · 7 months
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Extraction\ : En gémissant
 Falsification célébration flottante déjà là leurs sons potentiels qu'il faut toujours attendre la cétoine qui dort ça flotoir funk george faith junior murvin mots et modes d'existence monstre à plusieurs expériences humaines chine pensées humaines systèmes chine le diable s'enfuit en gémissant.
(idem, 2023)
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jefrozyul · 4 months
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Le Pérou a raison à 50%
Que nous soyons d'accord ou pas, il y a quelque chose qui cloche chez certains membres de la communauté LGBTQ+.
Lima prend par surprise le monde entier avec un décret qui dit que certains membres de la communauté LGBTQ+ souffrirait de trouble mental ou même de maladie mentale.
Loco en tab***
On parle beaucoup de santé mentale de nos jours tellement certains individus oublient de se déclarer malade mental ou sur le bord de l'être. Mais ce décret se lance sur un sujet tabou sur des anomalies que la sociétés occidentales tant de normaliser.
Évidemment, les lettres L, G, B et T n'ont pas de quoi à m'inquiéter ou presque mais Q et les autres dans le plus m'inquiète beaucoup. Surtout que les gens qui définissent par la lettre "Q et les autres dans le plus" viennent avec un mode de vie bousculant et dérangeant.
Hé oui, le monde s'arrête aux moindres détails indésirables voir même en faire une crise digne d'un enfant.
C'est là où vous voyez ce discret a sa raison d'exister pour vous dire que votre santé mentale est négligé.
Rien d'homophobe
Ceux et celles qui crient à l'homophobie nous démontre le déni et la déconnection de la réalité chez les LGBTQ+.
Qu'il soit scientifique ou pas, nous ne sommes pas psychologue ou encore sociologue pour voir que ça ne tourne pas rond chez un individu. Les opposants au décret sont-ils plus scientifique que l'autre camp?
Si c'était si homophobe, on aurait assister à une chasse ciblé et les trophée seraient envoyé en institut psychiatrique. Les séquelles du passé font tellement travailler mon côté fiction. La vérité fait peur et ce n'est pas pour rien qu'on lui met un rideau.
Mais qu'est-ce que vous voulez face, notre communauté est malade par son militantisme et son extrémisme.
À un moment donné, il faut arrêter de vivre son petit monde et faire face à la réalité que vous voulez ou non. Si vous tant des adultes que ça, bien pouvez le même arrêtez d'être individualiste et intersectionnel.
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claudehenrion · 5 months
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Quand avons-nous perdu les pédales ? ( I ) : l'égalitarisme.
En plus de onze ans d'existence de ce ''Blog'', je crois n'avoir jamais reçu autant de mails sur un sujet d'actualité. On sent une inquiétude qui, sourde et cachée jusque là, aurait soudain besoin de s'exprimer. Avec la généralisation des coups de couteaux (qui est la conclusion prévisible de leur terrifiant et irresponsable '' vivre ensemble''), un cap semble avoir été franchi dans l'horreur, révélant l'impossibilité grandissante d'être, simplement, ''heureux, chez soi, normalement'', en France.
Le ''système'' a aussitôt étouffé ce qu'il s'entête à désigner, contre toute intelligence, par ''des impressions de...''. Nos nuls-au-pouvoir se répandent en mots creux : ''intolérable, inadmissible, inacceptable'', et puis... ils tolèrent, ils admettent et ils acceptent. Ils prennent un air viril (?) pour lâcher des : ''c'est inqualifiable'', à propos d'événements qui, pourtant, sont faciles à qualifier : il suffirait d'oser enfin appeler ''chat'', un chat... Mais eux n'iront pas plus loin que d'annoncer un ''Grenelle'' de plus, évidemment aussi inutile que tous les autres.
Car la vérité est ailleurs, et je suis si révolté devant la nullité et la trouille permanente de notre personnel politique, que, pour une fois, je vais ''me lâcher'', en espérant ne pas trop choquer de lecteurs. Si certains détestent mes analyses sur ce sujet grave, je leur demande pardon et je les supplie de me garder leur amitié : la Vérité plaît rarement ! Simplement, pour ne pas rendre la lecture de cet éditorial trop indigeste, nous étalerons sur trois ou quatre jours la description des tares responsables de tout ce qui va si mal autour de nous : (1)- Tous nos concepts égalitaristes, qui ont déjà commencé à détruire notre civilisation... (2)- Leurs conséquences les plus aveuglantes... (3)- Le refus persistant de voir que se profile l'effroyable ''Umm el-Herb'', cette Mère des batailles qui doit (?) opposer l'islam –ou plutôt : ce qu'il devient-- d'un côté, et... tout le reste de l'humanité, de l'autre. Et (4)- une des coupables de tout ce qui précède... et qui hélas n'a pas fini de nous assassiner : l'Europe, telle que réinventée par les progressistes..
(1)- Nos folies conceptuelles. Fils indignes des soi-disant Lumières, nos lumignons progressistes de Gauche ont tenu à garder le ''software'' des années 1750... dans un monde où règnent l'ordinateur, les réseaux, et l'intelligence artificielle ! Dans tout l'outillage créé par les Encyclopédistes, ils ont tenu à conserver le concept-fou d'égalité. Pour ces dystopistes, tout doit être ''égaux ensemble'' (sic !) à tout le reste, contre toute évidence. La seule finalité de leur nouveau monde redéfini par l'absurde consisterait à mettre le signe ''égal'' ( = ) entre tout et n'importe quoi, surtout s'il est évident qu'une telle égalité ne ressemble à rien de sensé ! Par exemple : en quoi et sur quels critères un Homme et une Femme sont-ils ''égaux'' ? le poids ? la biologie ? la taille ? les performances ? la volonté ? la résistance ? la force morale ? la configuration interne ? les modes de pensée ? Or tout notre édifice actuel repose sur cette énorme erreur d'analyse !
Première conséquence de cette horrible amputation de la Femme : elle l'a privée de la richesse de sa palette –tellement plus variée, en fait, que celle de l'Homme-- en la ratatinant à la quête d'une égalité financière et hiérarchique qui, si elle est possible, bien sûr, ne peut avoir que des conséquences dramatiques : il a fallu la remplacer, dans un des rôles où elle est totalement irremplaçable, par des cohortes de gentilles ''cap-verdiennes'' ou autres, bien braves et qui donnent ce qu'elles peuvent donner –c'est-à-dire, en gros, rien : elles n'avaient (et n'ont) rien à dire, rien à transmettre, rien à dispenser, rien à enseigner, et pas la moindre ''valeur ajoutée'' à offrir... Deux ou trois générations plus tard, allez vous étonner que ''nos enfants'' –comme dit Macron-- soient, comme lui, glacés, désinhibés, sans ''sur-moi'', comme ''étrangers''-- et n'affichent plus ces vertus que leurs Mamans avaient transmis pendant des siècles, dans toutes les classes sociales, ''socle'' sur lequel avait pu se développer, vivre et palpiter notre formidable civilisation !
Et la seconde : si ''la Femme est et n'est plus que l'égale salariale des hommes'', les-dits hommes en perdent leur courtoisie, leur ''bonne éducation''... et leur virilité, ce qui veut dire, un peu plus tard : plus de bébés !). A force de faire joujou avec des trucs qui nous dépassent et nous échappent en totalité, on abandonne à leur naturel –qui est bien loin des ''bisounours'' rousseauistes-- tous les ''nos enfants'' dont se gargarise Macron... Mais ceci est une autre histoire, celle d'une, puis deux générations de parents en tout ou partie démissionnaires : que pouvaient-ils espérer d'autre... qu'un fort pourcentage de petits cons mal élevés et hermétiques à ''l'autre''... et, hélas, quelques iso-monstres ? (Je réitère mes excuses à ceux qui voient les choses autrement).
N'étant qu'un petit ''blogueur'' de quartier et pas un sociologue, je m'interdis tout jugement sur le bien-fondé de cette compétition sur l'égalité salariale : sur un sujet aussi grave, chacun doit juger suivant ses ''croyances'' philosophiques ou religieuses et son expérience. En revanche, je répéterai toujours qu'il faut avoir conscience des conséquences de chacune de nos décisions importantes. Or, sur ce sujet, la conséquence (prévisible et inévitable) était simple : en une ou deux générations, ce choix, voulu, d'une suppression de toute ''transmission'' a détruit des siècles de processus de civilisation.
Toutes les bases d'une ''société'' digne de ce nom ont été négligées puis oubliées, à commencer par toutes les pratiques inspirées par la Révélation christique : des règles morales jusqu'à la manière de se tenir à table, des anciennes aménités quotidiennes jusqu'à ''la bonne éducation'', la politesse, la galanterie ou le respect pour ''l'autre''... tout a été englouti dans le tsunami de la non-transmission. Et avec elle, notre école, notre sécurité, le retour de la violence, la peur de l'autre, devenue ''normale'',sans oublier les couteaux... Bref, ce que nous constatons tous les jours... Et le bonheur de l'enfance, en prime.
Après deux générations de démission, non seulement il ne reste rien ou très peu de l'ancien édifice protecteur de la société, et ''nos enfants'' sont en passe de devenir ces ''sauvageons'' que croyait voir Chevènement. Pensons à ce qu'ils pourraient-être à la troisième génération, au train où vont les choses... On a le droit de ''flipper''! Mais la nature ayant horreur du vide et les Hommes ne pouvant exister sans invoquer ''des choses qui les dépassent'', des progressistes (NDLR : donc : des dangers publics) ont remplacé toutes les anciennes vertus chrétiennes devenues folles (le mot est de Chesterton) par des folies bien plus mortifères, que nous considérons ''normales'', parfois..
Bien entendu, ici comme en toute chose, d'autres facteurs sont à prendre en considération : il est évident que ce seul crime contre la pensée, le bon sens et la raison n'a pas engendré tout seul les horreurs qui nous ont conduit dans l'actuelle impasse --d'où nous ne sortirons pas en fermant les yeux sur nos propres erreurs. Mais qu'il se soit pas seul en cause et seul responsable n'est tout de même pas une raison suffisante pour refuser d'en voir les conséquences dramatiques... (à suivre).
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textualviolence · 1 year
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in another episode of bee's adventures in asceticism i got a futon for my bed and gave away my old mattress to my new roommate and it is like sleeping on a plank of wood. ive literally never slept better. I dream so hard its like im awake and hallucinating but i wake up rested & have no desire to stay in bed because the bed is a plank of wood. So i get up with the sunrise and do my ablutions before reading du mode d'existence des objets techniques and going to uni 3 hours early. Fucked in the head.
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kxowledge · 2 years
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Bruno Latour, Où atterrir?
During January I read Où atterrir? (translated in English as Down to Earth: Politics in the New Climate Regime ). This was to a certain extent the coronation of a longer period of immersion in Bruno Latour’s thought in order to really understand the pillars behind it. Hence, while primarily I’m drawing from the specific book in question, my understanding of it is influenced by his broader work, including conferences, interviews, articles, and other books of his that he wrote in the latter part of his life (such as Enquête sur les modes d'existence : Une anthropologie des modernes, Face à Gaïa : Huit conférences sur le nouveau régime climatique, and Où suis-je ? : Leçons du confinement à l'usage des terrestres – all of which I have not read in their entirety but in my perception overlap).
The book is a socio-political analysis that aims to understand what happened in the political sphere (defined at its largest) in the decades after the fall of the Wall of Berlin and how the issue of climate change negationism organises all present day politics, which found its most explicit point with Trump’s withdrawal from the Paris climate agreement. His is a call to action and a proposal for a shift in paradigm.
The main argument advanced throughout the book is that the negation of the ecological problem, the geopolitical issues of justice and inequality (and hence exploitation), globalisation and the conservative revolution are all linked together and all symptoms of the same historical situation – they all go hand in hand. Hence, he argues we need to incorporate Earth itself as a political actor. If we don’t take the Earth seriously, meaning as a political actor that has a hand in the socio-political issues of today, our societies will collapse. His framework attempts to  explain both the disorientation we feel today and how to reorient ourselves. But let’s go step by step.
Modernisation
He speaks of modernity as a way of understanding history that sees progress as inevitable and, from there, an imperative to move absolutely forward, with everything in the past seen as something archaic that must be destroyed. Yet what is modern and what is not is never established - this worldview does not correspond to what history itself is. The modernising front is the force we’ve been driven by so far, urging us to leave behind archaism that’s linked to the Local and moving towards the ‘future’ (both in mores and in the economic system). Hence, there is a conflict between Local and Global, archaic versus future. Yet, this future leaves you rootless and unprotected – and it’s this idea of always pushing forward brought to an extreme (one where there are no limits) that is down right scary, as well as completely unrealistic . And the moment you realise this, you are brought by opposition to the other extreme, that is populism and nationalism, which appeal to a sense of belonging and tradition as nostalgia for previous positions, which however, are a retrospective invention. Populism is understood as a reaction to go back to a state of protection.
The modernisation movement & the conservative revolution and the denial of the ecological problem go hand in hand, because Earth is too limited to be the Globe towards which Globalization pushes, yet it is also too big and complex for the populist frontier and the Local they ‘advocate’ for. Both of these unrealistic representations towards which the two strive towards are delusive and would be more aptly considered something ‘Out-of-This-World’. He argues that we then find ourselves disoriented once we realise this.
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I found this reading of modern day socio-political movements extremely fascinating, because I have experienced first hand what he talks about. I very much dislike the modern slogan and the pervasive technological fanatism that I clash with everyday. I can see how vague this ideology is and how much of it is rooted in hubris and ignoring natural limits that will forcefully impose themselves. I do find myself drawn to the Local, and to ‘older’, more balanced ways. Harmony and peace, instead of frantic annihilation. Yet, I can see that populism is not the answer either, as the ‘solution’ proposed is equally vague (and often dumbed down) and the past they herald is an a posteriori invention, which does not correspond to the way I believe we should live.
I find great value in what he says – mostly because he puts into clear words some things I’ve been thinking a lot about previously. However, I must say that I personally have not felt disoriented because I was never at either extreme. I saw both for what they were pretty early on & have always been against either. I landed on the ‘terrestrial’ by my own doing, though it became more prominent only in the past year or so of my life. This is probably in partial due to the fact that I am apolitical, but also due to the knowledge I’ve gained so far in life – from my childhood experiences to reading Lovelock’s Gaia six years ago. It’s a long time coming and I see parts of my reasoning in Latour’s.
Gaia and the terrestrial
All of the above rests on the underlying concept of Gaia. Specifically, the modernising front and its ‘conservative’ opposite relies on a conception of nature as a factor of production in economic activity that is an external resource, indifferent to our actions and far away, as if estranged from the goals we’re pursuing, and not an agent.
Specifically, we can no longer understand the world as mechanical, with objects outside of us that obey constant laws, but rather we are forced to see that it is made up of interacting living organisms that have agency and whose actions are beyond our control.  This new situation - i.e. the realisation that we are living beings in the midst of other living beings that are interconnected in a world (and a very limited space!) created by those same beings and in which our own actions transform that habitat - is encapsulated in the term Gaia and it is with this new realisation that the issue of habitability conditions becomes significant (as opposed to the concern for production and/or exploitation of resources).
This understanding of the Earth is based on previous work by James Lovelock and Lynn Marguilis. We don’t live on a globe, but on the thin biofilm of critical zones (which are unique and rare). Living things hence are not just in the environment, but they have ended up making it. The distinction between biotic and abiotic things on Earth vanishes & the unit of measure stops being the self and becomes the holobiome. The Earth is now an assembly of overlapping and linked elements. ‘We have never been individuals’.
We find ourselves in a confused world, impossible to codify - an ecosystem in which objects and subjects are no longer distant, but in which all living things interact in often unclear ways. We move from Galileian objects to Lovelockian agent which actively participate in the process of creation f the conditions of the planet and towards which our mode of relation has to change. This is why we are also manipulated by forces that we do not understand. This is what Bruno Latour means when he says that we no longer live on the same earth: our understanding of it is forcefully modified. This leads to disorientation and uncertainty about how to react - the framework we are used to is one where external things are controllable and knowable, but the situation is not the same as before. In a way, the world has changed in consistency. Hence the lack of confidence in human capabilities.
[You will see that I don’t strictly stick to the term terrestrial. While I agree with his broader argument, I don’t think a change in terminology is necessary for everyday life, even though I do follow the same Lovelockian view].
Landing
Where to land? Is the original title. It follows his analysis that to contrast to this political force, we must land somewhere, put down roots, in a sense, hence staying down to Earth, or more specifically moving towards the terrestrial. It’s about knowing how to orient oneself by drawing a map of your positioning – defining your territory. Sustainability is seen as living in a way that allows a stable state of our planet. We’re moving from system of production to system of dependence and generation (engenderment).
Latour sees ecologisation as the alternative to modernity - and thus as the opposite way of defining history and the passage of time, and thus the distinction between past and future. In this view, there is no absolute imperative, but the separation between past and future becomes less clear-cut, and everyone has to do the work of composition, choice and discernment of what is functional and what is not (and what makes the planet habitable and what does not), which involves constant reflection.
Description
In response to disorientation, Bruno Latour proposes to describe ourselves, i.e. to identify what and on whom we depend to exist - what he calls territory. This territory will define who we are and in this way it is possible to find roots that allow us to take concrete action, especially from a political point of view (but not only). It is an extremely personal work of reflection - in the tradition of the cahier de doléances - which allows us to visualise a situation on which we can act and thus transform our reality in an intentional way. This description from the small translates into a restitution of the power to act in practice for the individual.  , I think we often underestimate how much more effective it is to focus on the immediate environment, and how liberating it is to do so, as it gives us a better sense of agency. In this discussion, the affiliations are no longer the same, but a new so-called ecological geo-social class is emerging. Civil society, in redefining its territory, is thus redefining its interests and thus its parties - it is the ecological (i.e. housing and territorial) issues that will then determine the associations.
The message itself is rooted in this sociological analysis and has close ties to the political aspect. In the way it is presented by Latour, the message is primarily a political one. Yet, I think we can go further.
I do find Latour’s concept of territory - what and who we depend on to exist - a useful starting point. He presents this as a way to assuage disorientation and anxiety. His exercise is that of description and self narration, which allows us to reassess and start to re-evaluate where are we and what do we do. This description of what environment we found ourselves in translates into a restoration of the power to act and an easing of the anxiety as we find a certain footing. Though it is only the starting point and requires further work – it’s not just a description of where we are embedded, but it also requires to think about what should change and how to do so.
It works as a rooting exercise in answer to an internal state of anxiety that would otherwise lead us to destruction (or distraction) and that pivots us instead towards the recognition of the importance of the planet. It allows us to define what aspects of our life we should be analysing, when in a state  where we are constantly overwhelmed with news and information to the point of frozen inaction. I do find it can be reassuring, as it restricts the field of action, making it thus more manageable and showing that individual actions can still matter.
Latour’s concept finds its origin in a socio-political analysis. Landing is presented by opposition to a position of detachment (getting closer to the soil vs getting hors-soil) so extreme that leads to the negation of the reality such as inequality and the ecological problem. Both his concepts of territory and of geo-political class are rooted in a strong belief in political action and push towards political activism. While this can indeed be a source of change, I believe the concept of territory can and should also in the foremost show us the importance of what is close to us in proximity, as that is what we can physically change and make a tangible impact on. For example, retaking his example of the farmer: while the concept of the territory might show a dependence on another country’s cultivation such as Brazil and hence the need to protect rights related to it \by political action (which can take different forms), it should also show how one should focus on the geographical proximity as well and how one can impact the local community and  focus, again for example, on the techniques used to cultivate in one’s own field.
Further reading
Gilbert, S. F., Sapp, J., & Tauber, A. I. (2012). A symbiotic view of life: we have never been individuals. The Quarterly review of biology, 87(4), 325-341.
Why Gaia is not the Globe
Anthropocene Lecture*
Lovelock, J. (2016). Gaia: A new look at life on earth. Oxford University Press.
Schellnhuber, H. J. (1999). ‘Earth system’analysis and the second Copernican revolution. Nature, 402(Suppl 6761), C19-C23.
Latour, B. (2018). Down to earth: Politics in the new climatic regime. John Wiley & Sons.
Interviews recorded in Autumn 2021 on ARTE (French with subs in various languages, including English)*
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althazar · 2 years
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LE CYCLE DES ANCIENNES FRÉQUENCES SUR TERRE TOUCHE À SA FIN ! 🌏
Transmis par KeyRaj 💖
20 février 2023
" Dans les jours et les semaines à venir, vous verrez de plus en plus de changements sur Terre. De la politique à l'économie, et même dans les médias contrôlés par l'élite noire. Bien qu'ils se battent jusqu'au dernier souffle, refusant d'admettre leur défaite, sachant bien qu'ils ont perdu, leur objectif est de semer le chaos par la manipulation avec le peu de temps et de pouvoir illusoire qui leur reste, si l'humanité baisse sa garde. C'est la confrontation finale si vous voulez.
Mes amis, ce que vous voyez maintenant ne sont pas des signes de la fin des temps. Ce que vous voyez maintenant, ce sont les signes d'un nouveau monde en train d'émerger. Tout ce qui s'effondre et se dissout, crée une ouverture pour que la nouvelle réalité des constructions lumineuses prenne sa place.
Le monde tel que vous le connaissez maintenant doit être décomposé. Tout ce qui a été construit sur des mensonges, avec les manipulations des marionnettes du noir, est à dissoudre.
Partout où il y a un déséquilibre des énergies, une transformation se produit. Cela s'applique à la famille, au travail, à l'éducation et aux systèmes de croyance, financiers et économiques, et bien sûr à l'arène politique.
Tous les modes de vie de l'existence de la troisième dimension doivent passer à des versions énergétiques supérieures desdits aspects. Pour certains, ce sera une transformation progressive, pour d'autres, ce sera la destruction et la reconstruction à nouveau.
La lumière la plus brillante brille de l'intérieur. Et c'est dans l'espace du Cœur que vous devez retourner, pour renforcer la connexion avec cette version supérieure de vous, le Soi de l'âme, et chercher des conseils, afin d'avoir une transition plus facile au cours de ce processus d'élévation.
Pour ceux qui reviennent régulièrement au centre cardiaque, vous pouvez sentir les changements se dérouler, pas seulement locaux, vous savez que ces changements sont cosmiques. Vous ne pouvez rien percevoir de différent dans le monde si vous ne vous fiez qu'aux cinq sens physiques de la troisième dimension.
La nouvelle réalité est dans votre ADN. Au fur et à mesure que vous travaillez pour augmenter votre fréquence, plus l'ADN se déverrouille, avec l'expansion de la conscience, vous vous retrouverez à « devenir » votre Soi Âme, la version de vous-même en cinquième dimension, dans un plan d'existence de cinquième dimension.
Le passage à la cinquième dimension n'est pas quelque chose qui va se produire "un jour" dans le futur. Cela se produit déjà maintenant. Vous pouvez le voir principalement en vous observant, en observant votre croissance personnelle et les changements que vous apportez dans votre vie.
La voie d'accès à la cinquième dimension se fait via votre Centre du Cœur. L'emplacement de la Matrice de Lumière de l'Âme. La souveraineté, le discernement, le déjà-vu, l'intuition, la sagesse, les dons et les talents, et la fusion avec votre empreinte divine commencent ici, au Centre du Cœur.
Le cycle des anciennes fréquences sur Terre touche à sa fin.
Au fur et à mesure que ces anciennes énergies quittent le monde, une place est créée pour que la lumière supérieure s'ancre dans le physique. Vous allez voir de nombreux événements se produire dans les temps présents et à venir, car il est temps que la lumière et la vie prospèrent sur Terre comme prévu à l'origine. "
Source: www.EraofLight.com
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clochardscelestes · 2 years
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Salut,
Je vois quelques "likes" sous tes paroles tristes, et ça me dégoûte. Ce monde va ainsi. Le bleu gris est à la mode, mais pas trop quand-même, faudrait pas non-plus devenir psychologue de monsieur/madame tout le monde hein ?
Je pourrais te demander "comment vas-tu?", mais ce serait comme demander à un sans-abri s'il a pas 10 balles à dépanner n'est-ce-pas ?
J'aimerais être un soutien, mais ce serait comme jeter une bouteille à la mer sur une bouteille à la mer. Est-ce-que l'on peut créer un nouveau genre de pétanque ainsi?
Tu vois, j'ai même coché "anonyme" parce que j'ai même pas envie que ma sympathie résonne chez-toi comme "elle, elle veut se faire gage de charité". Dis toi que je suis personne, mais quelqu'un qui vois ta douleur et veut que tu la détruise avant qu'elle ne te détruise toi.
J'ai perdu ma mère dans ces limbes que tu traverses. Et ces mots que je t'adresse, je les scande à mon petit frère et à mon père qui eux aussi sont en train de sombrer dans les abysses.
Je suis impuissante. Impuissante pour ceux que j'aime. Impuissante pour moi-même. Pour qui je me prends à t'écrire ça ?
Je sais pas. Peut-être que cette chaîne de la médisance pourrait être rompu dans ce petit battement, l'effet papillon de la bienveillance ?
Un peu utopiste non ?
Alors s'il te plaît, qui que tu sois, saches que tu as le droit d'être mal et de toucher le fond. Tu as le droit de pleurer, de ne pas répondre à cette personne qui te manque de respect, de ne pas courber le dos sous les caprices de ceux qui n'ont de coeur que dans leur MacBook dernier cris... Et tu as le droit de baisser les bras de tant en tant et de dire non aux convenances désuètes d'une société qui se voile la face. Mais s'il te plaît, n'oublie jamais de mettre un grand coup de pied dans le sable des tréfonds afin de remonter à la surface. N'oublie pas de regarder la beauté du ciel au moins une fois par jour ou par nuit. N'oublie pas que de jolies petites choses continuent de tourner et d'exister. Regarde ces petites gouttes d'eau sur les feuilles d'arbres qui brillent comme des diamants. Car, pendant que tu réévalues la véritable beauté qui t'entoure, tu gagnes. Tu gagnes alors qu'ils pensent que tu perds, n'est-ce-pas amusant?
Cordialement
Une petite matriochka
C'est un dimanche, un énième dimanche et je profite de l'ouverture de la dernière bonne bière de mon frigo pour tapoter quelques mots hasardeux mais non moins sincères, l'éther ayant cette saveur, cette caresse qui, en anesthésiant mon âme, déverse des néants dans les DM des gens.
Tu aurais pu me demander comment j'allais, et je crois que je t'aurais répondu avec honnêteté que ce n'est certes pas ma meilleure période, alors que pourtant l'automne nous ouvre ses bras si tendres, mais que j'ai connu bien pire, que je m'accroche, comme très souvent, mais que ça va le faire, pas de choix de toute manière.
L'anonymat te va bien, même si je me demande quand même si tu n'es une personne que je connais ou que j'ai connu, l'anonymat te va bien et libre à toi de le conserver si cela te sied.
C'est vrai que je me rends compte, en ce moment plus particulièrement, que j'ai besoin de soutien, mais que je me suis quand même pas mal isolé cette année écoulée. Il y a des gens, il reste des gens, des gens importants qui se reconnaîtront sans doute, mais j'ai besoin de plus je crois, mais même si j'ai besoin d'interactions j'exige souvent bien trop de ces personnes et c'est alors que je me rends compte qu'il y a une grande différence entre ce que he peux donner et ce que j'attends, de fait, en retour, et la réalité. Mais passons.
L'ivresse me gagne et la chanson de Bright Eyes qui passe se marie si bien à la couleur de mes pensées, un dégradé sombre et quelques touches pâles.
J'ai un peu perdu le fil, je l'avoue, mais en tout cas ton message m'a fait du bien. Et si tu souhaites discuter, tu sais que je suis là.
Bien à toi.
CC.
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madamecercle · 1 year
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Télévision plus guitare
[4] — et merde !
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aurevoirmonty · 2 months
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Selon cette interprétation, Eckhart suggère, avec son étrange discours de « percement », une façon de se référer à l'état des choses « après » ce retour au Père, après la divinisation. Et il le décrit comme un état de repos ou de perfection, dans lequel aucun mot, aucune distinction, ne s'applique plus – même celles de Père, Fils et Esprit. Il ne veut pas dire non plus que la Trinité cesse d'exister, ou que nous cessons d'exister dans la Trinité. Au contraire, « Dans le même être de Dieu où Dieu est au-dessus de l'être et au-dessus de la distinction, là j'étais moi-même, là je me suis voulu et me suis engagé à créer cet homme. » Ce n'est pas la non-existence, mais c'est un état d'existence qui éclate les limites du discours humain. Dans le fondement de la Divinité, tout est un, non pas parce que les distinctions s'effondrent, mais parce qu'elles sont finalement révélées comme ce qu'elles sont vraiment : non pas des barrières à l'infinie effusion de soi, mais des modes internes de celle-ci. Eckhart peut dire qu'il n'y a pas de distinction et donc pas de créature et pas de Trinité – mais c'est parce qu'il veut dire que nous sommes ici situés à l'intérieur de la créature et à l'intérieur de la Trinité, en effet à l'intérieur de la propre connaissance (trinitaire) de Dieu de lui-même. Cette connaissance n'est pas une saisie de l'extérieur, mais un simple Acte d'amour, l'engendrement éternel du Fils par le Père, la connaissance du Père dans le Fils.
Stratford Caldecott, Trinity and Creation: An Eckhartian Perspective
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latribune · 2 months
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mepierdoparaver · 4 months
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Que reste-t-il à un être quand son mode d'existence est contesté ? Quel espace-temps peut-il encore légitimement occuper ? (...) Où trouver soi-même les ressources pour légitimer tel ou tel mode d'existence singulier ? (...) On n'existe ps par soi ; on n'existe réellement que de faire exister autre chose. Toute existence a besoin d'intensificateurs pour accroître sa réalité. Un être ne peut pas conquérir le droit d'exister sans le recours d'un autre, qu'il fait exister. (...) Par quels "gestes" instaurateurs les existences parviennent-elles à se "poser" légitimement ?
[D. Lapoujade, Les existences moindres, p.21]
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claudehenrion · 2 years
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Arrêt-minute chez un psy... spi
  Pourquoi tout va-t-il si mal, en France ? En y réfléchissant, être élu Président de la République, ça doit être à la fois grisant et tout-à-fait déstabilisant, sur la distance. Comment, en effet, ne pas s'imaginer que la France entière (villes, villages, plages, campagnes, montagnes et îles lointaines) a décidé que vous seul aviez les qualités (donc l'intelligence !) pour dessiner l'Histoire, dont vous allez faire partie ?  On doit se répéter : ''Entre Louis XIV , Napoléon, De Gaulle et moi, il y a continuité :  ils étaient ce que je suis, je suis ce qu'ils furent''. Oubliés, les petits arrangements, les compromissions, les reniements, les mensonges, la chance... et le hasard !
Et, dans le cas de Macron –qui est notre problème du moment-- comment oublier, en outre, le travail de sape que ses prédécesseurs ont mené depuis Mitterrand, comme une idée fixe mais électoralement payante, pour savonner la planche à la famille le Pen, en la rendant socialement infréquentable ? Comment oublier le faible pourcentage des suffrages exprimés, qui réduit une élection prétendue ''au suffrage universel'' à une mini-représentativité  plus étique qu'éthique ? Comment oublier le rôle d'une Presse corrompue par les subventions étatiques et tout aussi inculte qu’esclave de la mode, qui va chercher à Gauche-toute la totalité d'idées-toutes-faites dont elle est incapable de comprendre la perversité et le caractère mortifère ?
On peut supposer qu'il n'est pas dans la nature d'un candidat à la présidence –par définition narcissique, sinon il n'aurait pas été là où il fallait être, ni fait ce qu'il fallait faire, ni dit ce qu'il fallait dire pour se retrouver dans la ''short list''-- de regarder en arrière, de s'arrêter aux détails, de se remettre en cause, et de se voir tel qu'il est ! Le premier ''pré-requis'' pour ''candidater'' à la présidence de la République, c'est d'être prêt à tout, à tout dire, à tout faire, à tout avaler, à tout travestir, à tout oublier –pour tuer, moralement, civilement, voire physiquement (pour Fillon, par exemple : les trois !) ceux qui vous gênent ou pourraient vous faire de l'ombre (NB – on pense aux mensonges XXL contenus dans l''anaphore'' qui fit élire Hollande en 2012 : il était  l'archétype grandeur nature... de ce qu'il reprochait à tort à Sarkozy !). C'est pour éviter des Giscard, Chirac, Hollande, Macron –et même, à un degré moindre, Sarkozy--, que j'avais voté ''Non'' à ce référendum (comme aux huit autres) : la probabilité statistique d'avoir un second De Gaulle était vraiment très, très faible !
Oui, mais voilà... le jour du scrutin arrive et ''c'est vous le gagnant'' (et nous les grands perdants). Et c'est dès cet instant précis qu'éclate la différence entre un petit joueur et un De Gaulle –auquel nous devons, pourtant, l'idée de cette élection présidentielle façon ''roulette belge'' (5 balles et un seul ''blanc'', son homologue dite russe ayant 5 blancs pour une balle !) : il suffit de lire la liste des successeurs du Général et de Pompidou : la cause est entendue ! Seul ennui : le seul qui ne l'a pas compris, c'est notre actuel vainqueur des 2 dernières ''courses au trésor'' : comme Mélenchon –dit ''méchencon'' par les gens lucides--, il se croit ''le Président de tous les français''... (ce qu'il se donne un mal de chien pour ne pas être, en plus), grâce aux suffrages de 27% de 65% des électeurs, ce qui fait 17 % du corps électoral, soit une très très petite non-majorité d'idées et de ralliement à son absence totale de programme, et se croit autorisé de proclamer : ''La République, c'est Moâ !''.
Dans le fond, c’est Macron et lui seul (plus son inexpérience, ses échecs, son manque d'existence, sa superficialité, son mépris pour ses ''sujets'', son absence dramatique de ''vista'', son progressisme mortifère, sa superbe, et son autoritarisme omni-présent (et omni-malfaisant : il ne faudra jamais oublier ''son'' confinement –plutôt  le nôtre, et si peu ''finement'' mené !-- ses conséquences et l'entêtement puéril à les nier. Cette tache est si énorme qu'elle suffit à tout rejeter en bloc. Pareil, pour l'immigration, niée perinde ac cadaver (= à mort), et pour la priorité donnée aux analyses de Greta Thunberg, contre toute réalité)... qui est l’obstacle qui empêche, jour après jour, la France de se redresser, d'être elle-même, de vivre heureuse, comme elle en rêve… et, tout simplement, d'avoir un futur. Avec le temps qui passe, les défauts de ce système se révèlent dans toute leur horreur, aggravée par le fait qu'une partie des castes qui se croient ''supérieures'' (Ouaf, ouaf, ouaf !) et de la bourgeoisie ont été ‘’eues’’ par le chant de cette pseudo-sirène masculine...
En toute honnêteté, la vérité est à chercher aussi, au-delà de Macron, dans les fautes graves des nuls qui ont précédé l'actuel : entre les pertes de souveraineté signées et con-tresignées, les abandons, les négligences, les ''laisser pisser'' (Je demande pardon. Mais c'est tout de même ça, le seul ‘’fil conducteur’’ de notre politique étrangère et européenne, depuis Pompidou !), nos présidents successifs ont enfermé la France dans une impuissance structurelle permanente au profit (?) d'une Europe devenue cauchemardesque --la grosse commission de Bruxelles y est pour beaucoup, du corrompu (et stupide) Jose-Manuel Barroso à la walkyrie du wokisme Ursula von der Leyen, en passant par Jean-Claude Junker, saoul comme un polonais dès 9 heures du matin, et qui racontait ses ‘’discussions avec les chefs des autres galaxies'' (sic ! La vidéo est encore visible, sur le Net !). Un proverbe affirme que ‘’le pouvoir rend fou’’, ces trois exemples lui donnent amplement raison.
Mais qui dit ''impuissance structurelle'' dit : plus aucun impact possible sur ''le futur de nos enfants’’ –comme le dit si drôlement Macron, qui n'en a pas. Notre totale dépendance aux Etats-unis, ces ex-amis devenus ''drogués à leur première place'' contestée (par la Chine) pour la première fois de leur courte histoire, nous paralyse et nous ringardise depuis le superbe ''coup de gueule'' de Dominique de Villepin contre la néfaste intervention américaine en Irak (NB : pensez comme le monde irait mieux, sans cette immense connerie... et sans la nôtre, parallèle, en Libye !) : nous sommes condamnés à suivre les erreurs de jugement d'un vieillard sénile qui risque de nous mener à une vitrification de l'Europe par haine ''perso'' envers Poutine (qui, d'accord, n'est que ce qu'il est, lui aussi... mais c'est un autre sujet).
Il y a plus grave encore : nous avons lié notre destin à une Europe confisquée et dénaturée par des technocrates progressistes qui, telle qu'elle est, ne peut nous entraîner que de catastrophe en catastrophe...  Ces deux paralysies forcées ne sont, en dernier ressort, que le résultat d'un manque total de vision... doublé d'une trouille permanente d'agir pour sortir de ce piège, ce double handicap expliquant pourquoi nos ''dirigeants'' à qui il ne reste rien à diriger, en sont réduits à meubler leur temps vide à... ce qui leur reste permis, comme aire de jeux : tout casser !
Alors... à grands coups le lois scélérates dites à tort ''sociétales'', ils font joujou à détricoter la France, son Histoire, sa culture, sa langue, ses amitiés historiques, sa société, sa joie de vivre, ses richesses, ses sites (par l'adjonction, exclusivement contre-productive, d'éoliennes écologiquement indéfendables), son identité –et celle de ses habitants --dont une autre partie du jeu consiste soit ''à les emmerder parce qu'on a envie'', soit à nier leur existence et à les remplacer par des ''migrants'' (sic !) qui ont pour seul but de prendre leur place (Si vous en doutez, foncez sur le net, et tapez ''la gestion de la barbarie''. Vous trouverez-là un ‘’manifeste du Grand Remplacement’’, vous savez... ce ''truc'' que tous nos hommes politiques et 97 % de la Presse affirment être un épouvantail inventé par l'extrême droite –comme si son auteur, le sinistre Abou Bakr Nagy, avait pu être autre chose qu'un islamo-gauchiste devenu monstrueux ! (mes références : Al Arabiya Institute for Studies).
Impuissance géopolitique organisée, abandon de toute référence nationale, capitulation sans condition devant le néo-jusqu'au boutisme des démocrates américains et la folie des progressouillards bruxellois, volonté de ''détricoter'' la France –ce ''petit village gaulois qui résiste à l'envahisseur'' (en criant, comme les pirates d’Astérix : ''Les GAU... les GAU GAU... les Gauchistes'' !)-- un nouveau monde rêvant d’un monde nouveau... mais jamais défini : il est impossible, mortifère et létal, tout à la fois : un rêve, pour nos malfaisants !
Ce petit arrêt rapide sur le sofa d'un psy-speed aura peut-être permis à certains  de comprendre pourquoi tout va si mal, dans ce qui reste de ce qui fut la France : le serpent se mord la queue, et la boucle est bouclée.  Seul ennui : tout semble être bien verrouillé, et on ne voit pas, à ce jour, d'où pourrait venir une solution !
H-Cl.
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gerphau · 2 years
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Eugénie FLORET
Architecte HMONP / Doctorante / Enseignante
Architecte HMONP, diplômée de l'Université Catholique de Louvain (Belgique) en 2012. Eugénie Floret a pratiqué plusieurs années le métier d'architecte avant d'amorcer un travail de thèse en architecture pour lequel elle a obtenu une bourse du ministère de la Culture en 2023. Elle effectue aujourd'hui ses recherches au sein de l’École Nationale Supérieure d'Architecture Paris la Villette et de l’Université Libre de Bruxelles, sous la direction de Xavier Bonnaud (HDR, Gerphau – ENSA Paris La Villette) et de Pauline Lefebvre (Sasha – Faculté d’Architecture de l’ULB).
À travers ses recherches, elle s'intéresse aux modes d'existence de l'air en architecture et s'emploie à comprendre l’agentivité de cette matière, en traquant ses traces, ses modes d'apparition en architecture, les objets qui entourent son traitement, les manipulations qui en sont faites. Puisant dans ses expériences de chantiers et de terrains en tant qu'architecte, elle raconte et questionne le traitement de l'air, considéré non plus comme solution mais comme construction sociotechnique qui mérite d'être questionnée par les objets, les gestes, manipulations et bricolages qui en sont faits quotidiennement en architecture.
Thèse en cours
Le trouble de l'air, sur la piste de manifestations aériennes quotidiennes et ordinaires en architecture
L'air est un matériau éminemment social qui constitue les espaces que nous habitons. En raison de son omniprésence, nous le tenons pour acquis. Et pourtant, l'air s'est troublé, des études le racontent. Le changement climatique a mis en évidence ses fragilités, à différentes échelles, depuis les minuscules aérosols qui transportent des particules de carbone ou des virus jusqu'à l'atmosphère. Sous l'action de l'air, les matériaux de construction deviennent des biotopes accueillant bactéries et champignons. Ici la thèse de doctorat fera intervenir un corpus historique, scientifique, voire chimique, microbiologique. Mais aussi, des récits habitants qui raconteront l'anatomie de l'air à travers une respiration devenue difficile, à travers des traces fabriquées par l'air autour des matériaux de construction, à travers des machines qu'on ne voit plus. L'air est aujourd’hui régulé, transformé, maîtrisé par un ensemble de techniques qui a envahi le bâti. Aux côtés des machines, des moteurs, s'accumulent des gaines, des tubes, des buses, des filtres, des grilles, dont l'assemblage et l'étanchéité sont désormais assurés par membranes, bâches, scotch, joints, mastics, mousses expansives... Le traitement de l'air est en place. Il est décrit, prescrit, normalisé. Et sur le chantier, les mises en œuvre induites font vaciller les contours du métier d'architecte. Si un premier travail a consisté à puiser dans le terreau des expériences d'une architecte praticienne pour révéler ces mises en œuvre, ce sont plus largement nos environnements intérieurs qui seront racontés, questionnés, à travers les gestes, les manipulations et bricolages qui s'opèrent et se renouvellent quotidiennement autour de l'air, sur le chantier ou dans les lieux désormais habités.
Bibliographie :
Floret E., « L’Oubli de l’air, promenade philosophique en architecture, sur les pas de Luce Irigaray », in Céline Bodart, David Marcillon, Chris Younès (dir), À quoi pense l'architecture ? Exercices de philosophie architecturale, Clermont-Ferrand, Le Philotope n°15, 2022, p. 59-76.
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