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#musique classique pour orgue
lucdupuis · 5 months
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Website: https://www.lucdupuis.org
Luc Dupuis, organiste et compositeur belge né en 1954, est reconnu pour son expertise dans la musique pour orgue, notamment les œuvres de Widor et Handel. Professeur émérite au Conservatoire royal de Bruxelles, Dupuis a grandement contribué au domaine musical avec ses méthodes d'enseignement innovantes et ses compositions. Ses offres incluent une gamme de symphonies pour orgue, de concertos et de matériaux pédagogiques, séduisant les amateurs et les musiciens professionnels. L'œuvre de Dupuis se caractérise par un mélange de savoir-faire traditionnel et d'interprétation contemporaine, rendant ses compositions et transcriptions une ressource précieuse pour les aficionados de la musique pour orgue.
Luc Dupuis, a distinguished Belgian organist and composer born in 1954, is renowned for his expertise in organ music, particularly the works of Widor and Handel. As a professor emeritus at the Royal Conservatory of Brussels, Dupuis has significantly contributed to the field of music through his innovative teaching methods and compositions. His offerings include a range of organ symphonies, concertos, and educational materials, appealing to both enthusiasts and professional musicians. Dupuis' work is characterized by a blend of traditional craftsmanship and contemporary interpretation, making his compositions and transcriptions a valuable resource for organ music aficionados.
Luc Dupuis, ein renommierter belgischer Organist und Komponist, geboren 1954, ist bekannt für seine Expertise in Orgelmusik, insbesondere den Werken von Widor und Händel. Als emeritierter Professor am Königlichen Konservatorium Brüssel hat Dupuis einen bedeutenden Beitrag zum Musikbereich durch seine innovativen Lehrmethoden und Kompositionen geleistet. Sein Angebot umfasst eine Reihe von Orgelsymphonien, Konzerten und Bildungsmaterialien, die sowohl Enthusiasten als auch professionelle Musiker ansprechen. Dupuis' Werk zeichnet sich durch eine Mischung aus traditionellem Handwerk und zeitgenössischer Interpretation aus, was seine Kompositionen und Transkriptionen zu einer wertvollen Ressource für Orgelmusikliebhaber macht.
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mountebankband · 2 years
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Nuit Modulaire - Sonate en Clair-obscur from Ludovic Macioszczyk on Vimeo.
� "Variations sur LÔ" (2022) Nouvel album en écoute et téléchargement sur : nuitmodulaire.bandcamp.com/album/variations-sur-l
Cet album est né de la collaboration entre la cinéaste Claire Belin (LÔ Films) et le musicien Ludovic Macioszczyk (Nuit Modulaire). Inspirée à la fois par la musique classique (Bach) et contemporaine (Glass), "Variations sur LÔ" est une musique composée cette fois-ci pour une séquence d'images proposées. Deux Thèmes énigmatiques y sont présentés puis variés sous plusieurs figures, se croisent et se décroisent jusqu'à leur ultime rencontre dans une Sonate aux lumières contrastées. Au milieu de ces Variations, on croise également le chemin d'un Oiseau de Nuit mystérieux, d'une Lune entièrement illuminée et bien évidemment celui de l'Eau, accompagné par le va-et-vient des vagues au crépuscule, d'une marée à l'écume quasi immaculée.
Écrit, produit, enregistré & mixé par Ludovic Macioszczyk Photographies pochette par Claire Belin & Ludovic Macioszczyk Enregistré entièrement en analogique à la maison sur un 8 pistes Yamaha MT8X, mars, avril & mai 2021, Limoges, France. Crédits film : NASA
Ludovic Macioszczyk : piano électrique, synthétiseurs analogiques, modulaire, séquenceurs analogiques, orgue, saxophone ténor, guitare acoustique, bol Tibétain, cloche Tibétaine, manipulation bandes magnétiques.
facebook.com/nuitmodulaire instagram.com/ludovic_mac
#nuitmodulaire #variationssurlô
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toutmontbeliard-com · 3 months
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Le Conservatoire du Pays de Montbéliard dévoile la programmation de sa nouvelle saison mars-juillet 2024
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Le Conservatoire du Pays de Montbéliard dévoile sa première partie de programme pour la saison 2024. Associée à une partie des événements de la programmation du label Capitale française de la culture, cette saison souligne la richesse artistique et culturelle du territoire. Depuis sa rentrée en septembre 2023 sur le site des Blancheries à Montbéliard, le Conservatoire a pris possession des lieux et les exploite complètement. Sa volonté d’ouverture et de partage invite sa programmation éclectique à s’étendre extra-muros. Le Conservatoire, fort de sa transformation réussie, dévoile le programme de la première partie de la saison 2024, marqué par l’intégration exceptionnelle du label Capitale française de la culture. Cette programmation ne se cantonne pas à un genre musical. Bien au-delà de la musique classique, elle embrasse une diversité de genres, du baroque au jazz, de la musique contemporaine à la chanson. Des performances exploreront de nouvelles formes de créations et des nouveaux outils en utilisant autant l’écriture et la composition avec des instruments classiques que des formes électroniques. De son appellation officielle de Conservatoire de Musique, de Danse et d’Art Dramatique, les trois disciplines auxquelles il réfère se retrouvent autant dans l’enseignement, que dans ses pratiques et ses événements. Cette saison artistique s’annonce riche en découvertes, en réflexions et en rencontres. Marquée par des temps forts et des nouveautés, elle accorde une attention particulière aux jeunes oreilles avec sa programmation jeune public. Tous les rendez-vous sont ouverts à tous, en entrée libre, gratuits et sans réservation (sauf mention spéciale). Dans la limite des places disponibles. Les temps forts Faites tomber les murs ! - rencontres / expo / concert Vendredi 8 et samedi 9 mars 2024 – Conservatoire, Montbéliard La création musicale dans les conservatoires De l’apprentissage à la scène, de l’enseignement au partage Le Conservatoire du Pays de Montbéliard accueille pour la première fois en région la Maison de la Musique Contemporaine pour deux journées d’échanges et de rencontres autour de la création musicale dans les conservatoires. Forum, exposition, concert, ateliers, installations et performances pour réinterroger la place de l’humain et de la création dans un monde où l’Intelligence Artificielle, les machines et les robots ont tendance à prendre le pas. Événement destiné aux professionnels du réseau des conservatoires et à tous les publics. Programme complet : https://musiquecontemporaine.org/maison-de-la-musique-contemporaine/actualites/faites-tomber-les-murs-rencontres-professionnelles Vivaldi PMA Tour #2 et #3 - musique baroque Vendredi 29 mars 2024 - 20h00 - Église de Blamont Mardi 2 juillet 2024 - 20h00 - Temple d’Allondans Une « Saison » par saison dans quatre communes de l’agglomération. Dans le cadre de cette année 2024 toute particulière, qui voit le Pays de Montbéliard consacré Capitale Française de la Culture, le Conservatoire poursuit sa tournée sur le territoire avec Antonio Vivaldi. Avec un petit orchestre baroque, les violonistes solistes rivaliseront d’imagination et d’inventivité dans un programme pétillant et coloré... Tout un monde d’émotions où le désespoir fait vite place à l’excitation et à la joie... Au programme : Antonio Vivaldi : Concerto pour violon et orchestre, « le Printemps » et « L’Été » et autres concertos. Avec Célia Ballester, Jean-Luc Bouveret, Caroline Lamboley, Andrea Pujado, violon Françoise Temperman, alto / Rachel Cottin-Gleize et Sébastien Robert, violoncelle Keiko Murakami et Antoine Virard, traverso / Benoit Tainturier, Basson Nicolas Aubin, clavecin / Véronique Ngo Sach-Hien, orgue positif Avec la participation du service Animation du patrimoine de PMA Un rêve d’Opéra - opéra de poche Vendredi 5 avril 2024 - 20h00 – LA MALS, Sochaux G. Tailleferre / J.P. Rameau Chanteurs, danseurs, acteurs et instrumentistes élèves du Conservatoire vont créer sur scène La Fille d’Opéra de Germaine Tailleferre, opéra de poche radiophonique. Écrit dans le style de Jean-Philippe Rameau, il sera enrichi d’œuvres pour clavecin de l’illustre musicien, composant ainsi un véritable opéra-ballet Coordination : Annie Corrado et Isabelle Jost Mise en scène : François Costagliola / Chorégraphies : Cédric Godefroid Chef de chant : Annie Corrado / Chef d’orchestre : Vincent Nommay Dans le cadre des Couleurs de l’agglo et du Festival Fernand Léger en musique. Nouveautés L’Encas - Concerts salades à la pause méridienne Les mercredis 20 mars et 29 mai 2024 - 12h30 - Conservatoire, Montbéliard Inspiré par l’idée des concerts éclectiques de Jean Wiener dans les années 1920, appelés concerts-salades, L’Encas propose la rencontre entre plusieurs styles musicaux, mais aussi le croisement avec la danse et le théâtre. Il s’agit d’offrir au public la découverte d’époques, de sujets et de thématiques différents, suggérant des émotions inattendues et surprenantes. Le public pourra apporter son encas pour se sustenter. L’Expo - Matria, Stéphanie Da Silva Du 8 au 29 mars 2024 , Vernissage vendredi 8 mars 2024 – 18h00 - Conservatoire, Montbéliard Matria est une exposition pluridisciplinaire qui réunit musique, peinture et photographie. C’est une œuvre engagée : en tant que femme, mère, fille et artiste, Stéphanie Da Silva met en avant son image, son histoire et sa voix pour sensibiliser sur la transmission dans la maternité. Partant de photographies de son corps de femme enceinte, l’artiste donne naissance à des tableaux de verre évoquant des paysages lunaires, aériens et aquatiques. Dans le cadre de la Journée Internationale de la Femme, des journées professionnelles de la création et de Capitale Française de la Culture 2024. Programme jeune public Hänsel et Gretel - conte musical Vendredi 12 avril 2024 - 20h00 - Auditorium du Conservatoire, Montbéliard Pour quatuor de cors et récitant Entrez dans l’univers des contes de Grimm pour faire vivre aux petits comme aux grands enfants un moment enchanté et enchanteur… Il était une fois, Hänsel et Gretel, deux enfants, partis dans la forêt sur ordre de leurs parents, cueillir des fruits pour le dîner… Mais voilà, dans cette forêt vit une sorcière, et les deux enfants vont bientôt faire sa rencontre. L’opéra d’Humperdinck (1854 - 1921), ici arrangé pour quatre cors et un récitant nous propulse dans une ambiance mystérieuse, feutrée et chaleureuse. Avec Quatucor : Sylvain Guillon, Martin Angster, Emma Cottet, Grégoire Nenert, cor et Baptiste Masson, récitant… Dans le cadre du projet « Des cors de printemps ». Trois autres contes musicaux destinés aux enfants sont à retrouver dans le programme, reconnaissables avec la pastille « jeune public » Les rendez-vous Art dramatique Pour cette première saison à l’abri des murs du nouveau Conservatoire, les ateliers Théâtre continuent d’explorer les horizons de la scène. Entre classique et contemporain, drôle et tragique, quotidien et mythologique, les élèves en Art Dramatique se jouent des frontières du temps et de l’espace pour nous transporter ailleurs. Faisons le voyage avec eux... Vendredi 31 mai 2024, samedi 1er juin 2024, vendredi 14 juin 2024, samedi 15 juin 2024, 19h30 14h00, 14h45, 17h00, 18h30, 20h00, 14h00, 16h00, 19h00. Plusieurs groupes de différents niveaux performeront. Les pièces jouées sont à retrouver dans le programme. – Auditorium du Conservatoire, Montbéliard Conférences et ateliers avec l’Université Ouverte par Denis Morrier, professeur de culture musicale Le Conservatoire du Pays de Montbéliard et l’Université Ouverte poursuivent ce cycle de conférences et d’ateliers de Culture musicale. Les auditeurs ont le choix d’assister soit aux conférences, soit aux séances d’atelier, soit à l’ensemble des interventions. Au programme cette année : Un an à Venise… Les ateliers nécessitent une inscription mais aucun prérequis musical via l’adresse : [email protected] . Ils se dérouleront les vendredis 8 mars, 12 avril, 3 mai et 7 juin 2024 - de 14h00 à 16h00 à la Bibliothèque du Conservatoire, Montbéliard Les deux conférences illustrées sont quant à elles ouvertes et sans inscription. Elles auront lieu le 8 avril et le 3 juin 2024, 18h00 à l’Auditorium du Conservatoire, Montbéliard infos > programme complet du Conservatoire du Pays de Montbéliard Read the full article
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56 / Amougies Festival: Le Show continue
56 / Amougies Festival : le Show continue
Les Zoo démarrent (9 musiciens) la journée où midi est bien dépassé et la plus part des aficionados sont partis. Set court et largement instrumental ce qui a été accueilli froidement. Il est vrai quand Joël Daydé chante de sa voix forte et en anglais ça se passe autrement par exemple quand il entonne « If you lose your woman » matiné de musique progressive.  Ils jouent du jazz-blues à fortes influences psychédéliques – guitares électriques, violon électrique, orgue Hammond, saxophone, section rythmique très chargée.
Ils étaient allés au village de quoi ramener des victuailles pour se faire des super sandwiches. Marc avait l’âme de cuisinier et Fred suivait se contentant de payer quand il lui demandait à raison.
Dehors, il y avait pas mal de gens qui étaient assis en tailleur dans l’herbe sur des sacs ou autres protections – certains avaient allumés des feux. Ils jouaient de la guitare, du tambourin, de la flûte au milieu d’odeurs d’encens. Ils étaient sûrement saturés de sons amplifiés – besoin de décompresser près des vaches qui viennent brouter juste auprès du chapiteau.
Evidemment ils ont recroisé Mouna…, son vélo…, et ses fans… (Et ses dreadlocks avant l’heure) ­– Ça faisait un peu boy-scout et kermesse mais la musique est de bonne qualité et la foule décontractée au grand dam des politiques et de certains journalistes français des “grands“ médias.
Un grand dégingandé barbu, une sorte de Merlin l’enchanteur vêtu d’une redingote noire, parcourt la scène à longues enjambées avec son violon électrique et son chapeau large de paysan. Voilà East of Eden : un batteur, un bassiste chanteur, un violoneux à la formation classique, un sax électrifié co-fondateur du groupe avec le guitariste tendance rock.
— Je suis fan de ce groupe : premièrement parce qu’il y a un violon de formation classique qui ne peut qu’apporter à une rythmique rock-blues – deuxièmement parce que j’ai acheté leur album “Mercator Projected“ et que je l’ai écouté attentivement maintes et maintes fois tout en me méfiant de l’artifice des studios – en tout cas en essayant d’y faire abstraction car en public tous les effets tombent à l’eau, déclare Marc.  
Ils entament avec “Gum Arabic / Confucius“ : une musique de désert avec les tintements de clochettes assez longuet – évidemment on imagine le troupeau de chévres, puis la flûte magique, sautillante, discursive matinée d’Orient qui chantonne en leader comme Merlin et qui donne le rythme – thème repris à la basse comme riff d’un Jazz /Indo / Arabo / Psychédélique. En arrière-plan improvisation du saxo électrifié…
—  C’est une autre forme de Prog-rock  avec ici des sons et mélodies orientales parce que tout bonnement Dave Arbus (le violoniste, multi-instrumentiste) est allé en Arabie alors que les autres reprennent des mélodies classiques, du moyen-age, du folk de la renaissance, etc., commente Marc.
— C’est long mais pas désagréable – un peu intello tout de même ! concède Fred.
— Je t’avoue que je ne le connaissais car il n’est pas tout simplement sur le LP que j’ai. Mais il développe avec plus de facilité le travail commencé sur “Mercator“ ce qu’on devrait entendre par la suite.
— Le sax touche pas mal !
Le groupe enchaîne un autre morceau :
— Ça je reconnais le démarrage spatial c’est « Communion » puis le riff flûte et violon qui met une tension permanente et un sentiment d’urgence ainsi la batterie déroule une cavalcade de roulements. C’est parait-il une conversation drôle mais inutile de café-bar avec un serveur parlant presque couramment la langue serbo-croate (un truc bizarre en effet) avec à la fin une blague chantée en serbo croate du style un cheveu ou une mouche sur la soupe.
— Etrange, effectivement !
Le morceau “Northern Hemisphere“ hard-rock-blues-psyché au riff de guitare accrocheur où l’on rencontre dans les forêts les gnomes, et où les choses les plus étranges se produisent, ainsi un magicien disparaît et réapparaît, et de belles choses arrivent, des oiseaux qui volent autour des arbres de diamant, puis le vaisseau spatial décolle dans les larsens. Suivi de “Waterways“ chant sur des vautours roses, bleus et blancs, crocodiles, gondoles noires, pyramides, tombes secrètes des rois, capes écarlates, ailes d'or vers Babylone… plainte du violon en intro puis solos orientaux, tambourins…
Marc reconnaît “Bathers“ les baigneurs du lac hongrois de Balaton – « Parfois il y a des sorcières sur la plage qui s’envolent sur les routes de sable… puis se sont jetées à l’eau au son des flûtes gitanes“ chant mélancolique qui surfe sur la mélodie jouée par la basse. Et puis une gigue irlandaise au milieu de leur set qui surprend Marc et tout le public, avec roulement de tambour en intro ainsi que le violon dansant appelant la batterie qui cavalcade.
— Ils ne font pas que dans l’apport oriental ! Ils font également du folk… irlandais, je pense ? demande Fred.
— Je ne connaissais pas ce morceau. En tout cas il ne fait pas partie du LP.
 Ainsi le groupe continua leur exploration parfois expérimentale bordée de solos orientaux noyant la foule dans une « World Music »  avec toujours le sax free-jazz en rappel.
— Epoustouflant ! conclut Fred.
La foule subjuguée, a suivi et applaudi à tout rompre.
“The next band“ comme ils disent en anglais – Sam Apple Pie. Les puristes n’aiment pas – du rock-blues bien gras & bien couillu aux riffs à deux accords avec Frank Zappa aux soli – Moonlight ça s’appelle. Des spectateurs se lèvent et dansent un peu défoncés tout de même. Le chanteur également harmoniciste se livrent à une bataille de soli avec Zappa.
— Après les intellos, ça nettoie les neurones, commente Fred.
— Oui ! C’est bien qui n’est pas mis tout de suite Soft Machine car deux grands groupes musicalement parlant l’un derrière l’autre, on aurait saturé comme l’autre nuit avec le Gong qu’on a pas écouté, rappelle Marc.
— Absolument ! Mais c’est des “musikos“ qui ont fait la programmation ou des gens dont c’est le métier. Par contre il n’y a pas la dimension sociologique ou anecdotique de Woodstock qui « dit » des choses sur l’évolution ou une tendance d’une génération pour une nouvelle forme de consommation.
— Tu y es allé ?
— Non ! Mais j’ai étudié la possibilité car Rock & Folk proposait des billets avion+concerts pour toute la durée du festival mais ça me faisait trop cher. Concrètement ça me revenait à un mois de salaire sans « l’alimentaire » et les à-cotés. Par contre j’ai lu des reportages et vu pas mal de  photos  dans  la presse spécialisée – rock musique.
— Je n’ai même pas calculé l’éventualité d’y aller car je n’aurais pas eu tout simplement l’argent étant étudiant qui essaie de joindre les deux bouts. Mais quand l’opportunité s’est faite pour Amougies après toutes les défections connues, je n’ai pas hésité.
— Idem pour moi !
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// CHRONIQUE ALBUM //
Forever Pavot - Idiophone
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La France est avec l'Angleterre la mère nourricière de la Pop, la belle Pop, celle qui parle aux tripes et à la tête, celle qui fait chanter sous la douche mais qui ravit les attentes des érudits de la musique et ça, le bordelais Emile Sornin, qui se cache derrière le projet Forever Pavot le sait, le défend, avec hardeur même s'offusquant quand un Yann Barthès ne prend pas au serieux un Liam Ghallagher invité sur son plateau qui lui connait la musique, française y compris, celle d'hier qu'on a oublié et celle d'aujourd'hui trop rarement ou jamais diffusée dans les médias moyens et grands, Ghallagher citant même John Lennon qui disait "la pop française c'est comme le vin anglais" traduisez dans le tête "tout le monde pense que c'est forcément mauvais mais c'est juste qu'ils ne la connaissent pas vraiment".
Tout ce préambule pour dire qu'Emile Sornin la défend cette pop et rend magnifiquement hommage à son histoire, à travers ses deux premiers albums bien sûr "Rhapsode" et "La Pantoufle" parus respectivement en 2014 et 2017 mais surtout dans ce nouvel opus "Idiophone" sorti le 3 Février sur l'excellent label Born Bad Records, faisant à travers lui une véritable déclaration d'amour au genre et rendant au passage hommage à ses plus grands ambassadeurs quand il s'agissait de la faire vivre sur grand écran, Vladimir Cosma, François de Roubaix, George Delerue ou même notre regrétté Serge Gainsbourg.
Oui sur le grand écran car Sornin ne s'est pas contenté avec Idiophone de sortir un énième album de chanson française un peu chiadée et néo rétro, il en a fait quasiment un album concept, où chaque chanson est une petite histoire, pose un décor, une ambiance et transpose immédiatement dans l'esprit de l'auditeur des images, des scènettes, pour se faire au final son propre court métrage. Pour l'ambiance Sornin nous pose tout de suite une structure temporelle qui est celle qui l'inspire le plus et fait écho à tous ces compositeurs qui l'ont inspiré, les années 60-70, de la pochette sublime qui fait penser à une vieille affiche de film type polar noir aux arrangements et samples sonores des morceaux.
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Une vieille voiture qui démarre en trombe, clavecins, flutes, Farfisa, orgues, pianos cristallins, batterie au son mat, cordes petit grain type vinyle sur la production, on est catapulté dans un vieux film de la nouvelle vague avec ses orchestrations à fois classiques, élégantes mais aussi ses experimentations sonores avec ce nouveau matériel qui apparaissait alors. Car Sornin est un multi instrumentiste touche à tout, collaborateurs de nombreux groupes et artistes, de films aussi, adepte du long travail de studio à chercher le bon son, la bonne trituration avec le bon instrument, analogique si possible, pioché dans sa multitude de trouvailles chinées à droite à gauche. Il écrit, compose, bâtit une structure autour de ses idées puis va les présenter à ses comparses musiciens que sont le batteur Vincent Taeger, le bassiste Maxime Daoud ou encore Sami Ousta qui affineront musicalement le propos.
En résulte un album d'une élégance et d'une finesse d'arrangements folles, remplissant completement sa mission de rendre ses lettres de noblesse à ce genre musical qu'est la pop trop souvent assimilé à de la musique commerciale facile et bêbête, conjuguant le classicisme des vieux intruments avec l'experimental voir même l'electronique comme sur "Les informations" avec son chant au Vocoder, son modulateur, son urgence presque électro qui rappelle les dernières productions de Daft Punk ou encore l'instrumental "Les enjambées" qui avec ses accords de piano et sa flûte nous laisse voir ce générique de fin qui défile sur le plan fixe d'un Paris grisailleux de la fin des années 60, Idiophone ne souffrant que d'une certaine redondance dans son chant toujourd assez mélancolique dans le ton au fur et à mesure que l'on avance dans l'album.
Emile Sornin et Forever Pavot nous enmènent de fort belle manière ailleurs, à une autre époque, nous catapultant les images d'une époque que l'on a peut être jamais connu mais qui fait inconsciemment partie de notre "pop culture" par nos parents, par ces vieux films diffusés le soir sur TF1 qu'on avait pas le choix de regarder étant gamins et qui finalement suscitent aujourd'hui une tendre nostalgie voir un brin de "c'était mieux avant".
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verver · 1 year
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SANS REGRET
SANS ESPOIR
Extrait 20
- Allo ! Ray c'est Sophie !
- Salut ! dit Ray d'une voix pâteuse....
Sophie est musicienne classique et écrit quelques articles dans le journal local.
Ray est au courant que Simone et Sophie se voient régulièrement.
Son amie Simone sait pour ses incartades avec Sophie.
Mais que savait elle au juste ?
- Tu vas bien ?
- Le mieux possible ! dit Ray.
- Je passe te chercher maintenant...
- A tout de suite dit Ray.
Ray attendit en allumant la télévision pour faire un bruit de fond , à l'oreille rien n'avait changé, des policiers cavalent après des voyous, des voitures se tamponnent, des armes , des coups de feu , ce n'était pas épanouissant pour lui .
Ray aurait pu s'absenter une éternité que les programmes auraient toujours été les mêmes...
La jaguar de Sophie est confortable, rien à dire , elle a prit des coronas pour le voyage , de plus il faisait encore bon à cette heure...
Tout baignait, l'autoradio jouait un Miles Davis de bonne facture. Sophie est en pleine forme et très décidée.
- Comment va Simone ? demanda Ray en allumant deux clopes .
- Bien ! mais débordée par son boulot...comme toi j'imagine !
Je la vois tous les lundis soir tu sais ? lui dit Sophie d'un air malicieux.
Ray savait , mais il resta de marbre.
- On rentrera tôt demain matin lui dit Sophie.
Ray opina du chef.
- Elle ne te manque pas trop Simone ? lui demanda Sophie avec un sourire narquois.
- Oui un peu ! dit Ray .
- Très belle hein ?
- Oui mais je te préfère ! répondit Ray.
- Menteur ! ricana t'elle .
Il voulait esquiver le sujet , trop glissant, il ne savait pas exactement se qu'elles racontaient derrière son dos , il n'avait pas du tout envie d'engager la conversation, mieux valait couper court ...
- Ah Ray ! heureusement que je t'ai un peu ! lui dit Sophie en le regardant avec insistance.
Sur ces échanges, ils se sont enfermés dans un silence agréable ponctué des harmonies du jazz et du ronronnement de la voiture.
Ray connaissait la belle Sophie depuis quelques mois , il s'étaient rencontrés dans un concert où Simone l'avait invité. Sophie jouait du piano accompagnée d'un orchestre.
Leurs rapports s'étaient établis tout simplement, elle est très jolie, dynamique, elle l'avait tout de suite attiré, il lui avait dit des choses agréables sur sa manière de jouer puis sur sa personne.
Ils avaient discuté longuement ce soir là, ils s'étaient revus , Ray avait appris qu'elle avait peu d'amis , ses aventures n'étaient pas si fréquentes.
Elle exerçait un métier prenant et la grande partie de son temps était voué à la musique.
Ray lui avait proposé et même supplié qu'elle lui accorde ne serait-ce qu'un centième de son temps libre.
Sophie avait rit mais rien promis.
Puis un jour elle l'avait invité dans sa maison de campagne, ils avaient couché ensemble , tranquilles, paisiblement dans l'insouciance totale , sans embrouille, ils avaient plaisir à être tous les deux malgré l'ombre de Simone.
Il se demandait parfois si Simone avait préparé cette rencontre ou si c'était le hasard.
Ray ne préférait pas y penser, c'était plus confortable, il avait du plaisir à être avec Sophie.
Ray pensait à tout cela en regardant défiler les paysages, quand Sophie interrompit ses souvenirs.
- Tu as écouté les transcriptions des œuvres pour orgue ?
- Bach, Busenni par Douglas Madge ? dit Ray d'un air ahuri
- Je n'ai pas eu le temps ! dit Ray l'air penaud.
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beatlesonline-blog · 2 years
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xpoken · 2 years
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Johann Pachelbel est un compositeur et organiste qui attire l'attention comme l'un des plus grands compositeurs allemands de musique pour orgue de l'époque baroque.
Ses plus grandes œuvres ont été créées dans le domaine de la musique sacrée.
Le compositeur a créé plus de 200 œuvres pour orgue. Parmi les œuvres pour piano, il y a des suites et des variations pour clavecin. On y trouve également des œuvres pour voix : nombreux airs, Magnificat, motets, concerts. Pachelbel s'est souvent tourné vers des variations. Les compositeurs d'Italie et du sud de l'Allemagne ont eu une sérieuse influence sur le style créatif de Pachelbel.
Pour les connaisseurs de musique classique, l'œuvre emblématique est le Canon en ré majeur - une œuvre unique dans toute l'œuvre de Pachelbel qui a une forme canonique. D'autres œuvres populaires de Pachelbel incluent Chaconne en ré mineur et fa mineur, Toccata en ut mineur pour orgue et la suite pour piano Hexachordum Apollinis.
Le lieu de naissance du futur compositeur est Nuremberg. Les musicologues, à partir de la date du baptême, suggèrent que le mois de la naissance de Johann Pachelbel était probablement août 1653.
La musique du futur compositeur célèbre au stade initial était le chef de chœur Heinrich Schwammer et l'organiste Georg Caspar Wecker, qui a servi dans l'église dédiée à Saint-Pétersbourg.
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l’hymne révisé, complété
bmpr : « la démo enregistrée avec les musiciennes de l’orchestre de chambre de cologne : allait être revampée à partir de 2018, tandis que je venais tout juste de réapprendre (difficilement) à jouer du clavier, et cette composition déjà complexe, multisequence allait profiter de mes recherches en cours sur la version symphonique pop longue (genre 20mn) de l’hymne que j’avais décidé bientôt d’entreprendre surtout
la version « single » de l’hymne arriverait finalement en 4 années de rajouts à sa durée maximum possible :10mn (l’hymne pouvant aussi être interprété en version + courte, proche de la version initiale)
la version longue, était quasiment aboutie en 2020 (aussi prévoyant des passages en impro pour ceux qui s’en empareraient : 2 passages grandes orgues, pouvant être étendus), or il s’avérait, cette version longue serait impossible à enregistrer dans les conditions d’alors, car jouer cela en solo sur 20mn, dans un « tout synthé » (et synthé de débutant qui + est / quoique qui m’aurait tellement ravi dans mes années musique ! et aurait aidé à la réussite de mon groupe !) et les passages « philarmoniques » virtuoses que j’élaborais perdaient leur brio et sens à l’enregistrement, et le clavier yamaha bas de gamme que j’avais donc, s’il convenait à une démarche pop, minimaliste : n’était pas assez précis, surtout donc à l’enregistrement créant pas mal de confusion, dans un cadre + ambitieux), aussi, je revins + obstinément à la petite démo, & à son revamping
début 2021 : alors que l’hymne (single) peut être considéré comme sauvé : déjà largement révisé, et complété assez, avec notamment un mini requiem au milieu de cette pop pocket symphonique et un postlogue s’était imposé, proposant de finir sur une touche moins martiale et + romantique, là encore complétant l’impression symphonique générale & ces ajouts semblaient clore la révision
mais…. je fis enfin la trouvaille en fait très attendue confusément, un arrangement qui me fit comprendre : je venais de faire emerger le vrai cœur, le cœur explicite de l’hymne, et le cœur précédent (en 1 séquence en 2 moments), n’était pas le cœur1 qu’il fallait mais allait pouvoir figurer le cœur 2, certes, ainsi : l’hymne devenait ce qu’il avait à être : pendant 40 années, donc, ce cœur1 m’a été caché !!!!, et grâce au travail sur la version longue, je fus amené à le sortir de l’ombre, ce cœur1 !!!, et  aussi était bientôt composé : son annonce, avec quelques effets de timbales, devenant en quelque sorte la naissance grandiose du coeur1
et je me disais « ah, si, on avait joué ce passage, et ce qui a été ensuite composé, à télé Luxembourg…  cette proposition d’hymne aurait été un peu + riche et écoutée !, la proposition aurait parue un peu moins kitsch, et les filles de l’orchestre de chambre aurait, dès l’écoute de l’hymne, été + enthousiaste, le thème nouveau sonnait véritablement hymnique »
qu’importe ! : l’essentiel était que ce cœur1 de l’hymne finisse par apparaitre,  aucun arrangeur peut-être ne l’aurait trouvé…, & il donnait une nouvelle ambition à l’hymne, laquelle déboucha donc sur d’autres apports / maintenant l’hymne existe !
avec aussi, une intro multi séquence + sophistiquée, + la possibilité d’intégrer un autre thème triomphal loud d’introduction (à la magma) +, et enfin, inspiration
forte encore au rendez-vous : fut mis au point : un assez long break, pont / un « passage musical » dans l’instrumental !, allait apparaitre à l’été 2021, apportant une touche dramatique et de type transe, veritable surprise pour l’auditeur, & apportant une autre sorte de profondeur à l’hymne, un peu sauvage, et finalement + que jamais symphonique aussi : surtout : un passage de musique très direct et quelque chose de déchirant qui s’installait et aurait manqué sur 10 mn de longueur de l’œuvre instrumentale, pour sortir de cette étonnante séquence en étant à la hauteur ! : une petite superstructure symphonique réussie, classique mais l’on peut oser : une sortie + minimaliste  qui peut être sublime si bien jouée, ces deux possibilité viennent vraiment parfaire cette suite instrumentale /
et bien sûr, tout cela pouvant être interprété, arrangé, comme on le voudra, et plusieurs versions sont possibles, en gardant l’esprit de la composition et de l’orchestration première, l’essentiel est que : les différentes versions mises à disposition (une vingtaine postée) restent pour définir cet esprit, et il est possible aussi de garder mes arrangements, lesquels évolueront jusqu’à ma mort…
le + important, immensément important : bien identifier et garder dans tous les cas de figure : 2 des transitions : très orchestrales, c’est comme  si tout à coup : l’orchestre se scindait en 2 orchestres (mais avec possibilité aussi d’un « groupe pop », avec claviériste, qui est le 1er orchestre, et est épaulé par l’une ou l’autre partie du grand orchestre) : ainsi par 2 fois le thème joué meurt sous la naissance du nouveau / j’avoue, dans la démo : suite à mon revamping : ce que cela est devenu : sur ces deux passages : en principe, même en rêve, je n’aurais pas réussi à l’établir, et je crois : quelqu’un qui aime le symphonisme est par 2 fois : snobé là, par cet effet ! avec grande satisfaction, je me dis même : qu’importe si cela sera rejoué ou non, cet hymne, il existe déjà, mystérieusement déjà symphonique !, il est là… »
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voilà, en 4 années, l’hymne a pu renaître et peut être livré : aux chefs d’orchestres, aux arrangeurs, et une telle proposition, si orgueilleuse, ne pouvait, sérieusement, que s’établir sur plusieurs décennies, le compositeur  a pu profiter d’un recul de 4 décennies…
mais qui ?, s’il est informé de l’existence de cette pop pocket sympho, osera s’emparer de l’hymne, en oubliant toute jalousie, et regret terrible de n’avoir pas eu l’idée d’un tel hymne / qui ? aura la sincérité de reconnaitre que la composition est géniale et peut l’être encore + avec le talent d’un chef d’orchestre arrangeur inspiré !, qui acceptera de commencer à homologuer ainsi cet hymne européen pop !, plusieurs décennies seront-elles encore nécessaires pour sortir l’hymne de ses démos ?, mais le compositeur n’a pas fait de grands efforts pour contacter des orchestres etc.
sur sound cloud : à : ozone3 goes philharmonique (pour la version ozone3+) / et autres versions/sauvegarde de la composition : à :  bmpr goes moog  
pour information : dés 2020 : bmpr travaille à la composition d’un hymne européen pop numéro2, encore + explicite, l’esquisse, aussi sur soundcloud (à noter : apré avoir composé l’hymne européen, bmpr avait composé une suite pop : qu’il nomma : hymne européen numéro 2 : cette pièce a été rebabtisée par lui : 1648 Scènes de la guerre de 30 ans (ne restant sous son ancien nom que pour la sacem, avant mise au point du changement /// aussi : la nouvelle composition peut avoir nom : l’hymne européen pop numéro 2)
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jbgravereaux · 4 years
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Le musicien Jean-Luc Thomas avec le cheval Misère au Théâtre équestre Zingaro au Fort d’Aubervilliers, en février 2019. ERIC LEGRET                                                                                                                                                          Jean-Luc Thomas, le flûtiste qui enchante les chevaux de Zingaro, par Patrick Labesse, le 07 octobre 2019, LE MONDE                                                                                                                                                                                              Le musicien fait partie du quartet qui a composé et interprète la musique originale d’« Ex Anima », le spectacle de Bartabas, créé en 2017.                                                                                                                                                        « Je vais très souvent le saluer, lui raconter mes histoires, ou lorsque j’ai un coup de cafard. Quand je me dirige vers lui, il m’accueille, met sa tête sur mon épaule et ne bouge pas. C’est mon confident, carrément mon psy. Il s’appelle Misère. » Sourire et regard enfiévrés de tendresse, Jean-Luc Thomas parle de son préféré parmi la tribu de chevaux qu’il côtoie depuis des mois. Il joue pour lui, pour eux, au sein du quartet de musiciens et compositeurs (avec François Marillier, Véronique Piron et Wang Li) qui ont composé et interprètent la musique originale – autour du souffle – d’Ex Anima, le dernier spectacle (créé en 2017) de Bartabas et du Théâtre équestre Zingaro.                                                                                                                                                                        Lire la critique d’« Ex Anima » : Un air de liberté et de rêve éveillé sur la piste                                                                                                                            Actuellement en tournée, Zingaro fait escale pendant un peu plus de trois semaines, à partir du vendredi 4 octobre, à Brest. Jean-Luc Thomas y joue de la flûte traversière en ébène, l’instrument avec lequel il a écumé pendant des années les festoù-noz de sa Bretagne natale. Il utilise également des appeaux, des tin whistles (flûtes d’Irlande), une flûte bansuri (d’Inde du Nord), un ocarina, un orgue à bouche, de petites percussions.                                                                                                                                                                                            Lire le récit : Van Gogh, cheval à une oreille, sauvé de la boucherie par Bartabas                                                                                                                                                                                                                                                  « Dans Ex Anima, tout tourne autour du cheval. Je joue là pour un spectacle dans lequel les artistes principaux sont les chevaux. Il convient d’aborder cela avec beaucoup d’humilité, ne pas être dans la démonstration de ce que l’on sait faire. C’est le cheval qui est dans le focus. Il faut rester hyperattentif, au service de quelque chose qui nous dépasse. »                                                                                                                                                                                      Ce rapport à l’animal, Jean-Luc Thomas ne le connaissait que de très loin, admet-il. Il a appris beaucoup depuis. « Et j’ai envie d’en apprendre encore plus. » Pour lui, c’est évident : « Il y aura un avant et un après Zingaro. » Pas uniquement, par ailleurs, du fait de cette connexion forte et nouvelle pour lui, avec le cheval. « J’ai fait beaucoup de choses dans des petits formats jusqu’alors, des duos, des trios, des quartets. Là, je me retrouve sur la route avec une grande équipe. Une trentaine de bipèdes et une quarantaine de quadrupèdes. »                                                                                                                                                                                                                                      Lire l’entretien avec Bartabas : « Le cheval joue comme un enfant »                                                                                                                                                Choses nouvelles également : la fréquence des représentations – « plus de 300, je pense ; on joue cinq fois par semaine » – et un répertoire qui ne bouge pas, hormis quelques petits aménagements parfois. « Alors que moi mon histoire, pendant très longtemps, était de passer d’un répertoire à l’autre, de travailler beaucoup sur l’improvisation », songe-t-il.                                                                                                                                                                                      Depuis sa découverte, en 1989, de la flûte traversière en bois, apprise en autodidacte et pour laquelle il est parti à plusieurs reprises en Irlande, où cet instrument occupe une belle place dans la musique traditionnelle, Jean-Luc Thomas a toujours multiplié les occasions de créer des ponts avec des musiciens et des chanteurs, d’où qu’ils viennent. Des musiques traditionnelles, du jazz, du classique, de Bretagne, de Pologne, du Brésil (après Kerlavéo, paru en février 2019, chez Hirustica, Oficina Itinerante, un autre album résultant de ses connexions avec le Brésil est annoncé pour mars 2020 sur le même label).                                                                                                                                  Il est allé aussi fureter du côté de l’Afrique, se rapprochant de musiciens marocains, nigériens (il porte à l’oreille une croix d’Agadez, le bijou berbère des Touaregs, achetée à Niamey) ou maliens. Cette envie de connexions avec des ailleurs lui est venue il y a bien longtemps, raconte le musicien. Un voyage au Mali fut déterminant. Il en a ramené un proverbe : « Un seul doigt ne peut pas tenir le caillou. On ne peut jamais rien tout seul. »                                                                                                                                                                                  Ex Anima, de Bartabas, Théâtre équestre Zingaro, du 4 au 27 octobre au Quartz, à Brest (Finistère), du 19 novembre au 15 décembre au Liberté, à Toulon (Var).                                                                                                                                                                                                                                                        Vers la transe : Adil Amimi (maître gnaoua) et Jean-Luc Thomas, à l’Opéra de Lille, le 18 décembre.
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clement-d-nocto · 6 years
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" Fugue d'orgue en Fuck majeur " J'm'accuse Sans excuses Donc j'accuse Et ça m'amuse Pas Quand j'écris en général Aussi Hip-hop, électro et rock Ont comblé le prestige Du baroque Que j'aimais à une époque Je souffle pas mal et je parle Tout seul et me méprends Je me méprise en général Normal ! Qui n'a jamais écouté sérieusement Le souffle derrière la voix, De ceux qu’on respecte et qu'on aime Devient un orgue déréglé, De, L'Eglise de "Saint-Pistache" de Paname. L'orgue des voix venant nous hanter, Nous amenant à trouver notre propre vérité. Mais parfois c’est pas mardi gras Pas de parades de jazz ! En somme un passé un peu naze, Pas même une transition Entre ma vie belle et classique D'avant, Pour m’emmener vers le romantique ! Nan nan ! Du tout ! Même un bon Bach sur l'orgue N'aura pas suffi à ma réinsertion Sans transition je me suis Pris dans la geule un tas D'octaves sans pédalier Mes accords sur ce truc là Sont des souffles de fions L'orgue des voix m'a toujours paru Plus terre à terre, Qu'une croyance prosélyte et outrancière, Où l'orgue accompagne monsieur " le père " A la limite ! En comparaison, Je suis l'orgue du pauvre, des ratés, des tronches aussi Ayant réussi, pas de problèmes s’ils sont bienveillants Et avertis Je suis l'orgue de la corde vocale qui se tait illico Pour écrire des mots silencieux avec un vinyle- guitare-banjo Ou n'importe quel instrument de musique Tant que ça pue pas la religion et le fric. Même si j’avoue avoir aimé Le chant des musulmans le matin Les requiem des cathos le soir Et SURTOUT Les chants shintoïstes du soir Au matin Parce que si j'suis un orgue Ça sera un orgue noise Pour ne faire que du bruit, Comme les cris d’Artaud Inaltérables se posent Dans la tête des bien-mis Pourtant ça prie et ça prie Et cela chez toutes les catégories sociales Hey les mecs, vous voulez un Slayer dans le cul ? Ne m'engueulez pas, je pense à votre constipation. Si tu me fais des monologues d'illuminations C'est que t'en veux mais t'en as jamais eu ! Bouffon. Quand bien même ; J'aime la polyphonie et l'osmose J'aime un tas de voies, d'arts J'aime fumer du THC en grosses doses C'est beau l'orgue ok mais j’y préfère Ma guitare Au moins j’peux en jouer en banlieue Dans mon plumard Les yeux rougis par trop de choses... Avec en tête ce serment Une seule et unique chose Être meilleur qu'hier Talocher celui qui ment Et sans orgue le souffle J'aime quand c'est simple Chez les êtres et les choses Le premier qui me fout sur un orgue archi beau Ma parole j'y joue à coup de marteaux ! Clément Dugast ( Nocto )
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journaljunkpage · 6 years
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DE LA TERRE À LA LUNE
CLASSIX NOUVEAUX
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David Sanson / © Peter Martens
Du côté des Pyrénées, la Ville de Toulouse fait le pari de dédier une saison tout entière à Moondog, compositeur aussi culte que méconnu, disparu il y a 20 ans. Une figure dont la singularité et l’irréductible liberté imprègnent la programmation du festival riverrun, à Albi.
Il était aveugle depuis l’âge de 10 ans, coiffé d’un casque de Viking bien que natif du Kansas ; il commença à jouer au coin de la 53e rue et de la 6e avenue, à Manhattan, avant de côtoyer Leonard Bernstein, Arturo Toscanini, Philip Glass, mais aussi Charlie Parker et Benny Goodman – le jazz et le contrepoint classique sont deux des artères qui irriguent sa musique, comme les rythmes indiens et les polyphonies de l’Ars Subtilior : vingt ans après sa mort en Allemagne, Louis Thomas Hardin (1916-1999), alias Moondog, sorte d’incarnation du clochard céleste, jouit d’un culte fervent. Toutefois, si elle a été souvent reprise ou samplée, par Janis Joplin ou Mr. Scruff, si elle a fasciné Bowie ou Björk, son oeuvre pourtant riche d’un millier de partitions, pour orgue, orchestre ou ordinateur, reste largement méconnue, des dizaines de pièces attendant encore d’être créées et éditées.
C’est largement à la persévérance d’un tout jeune Nantais, Amaury Cornut, complètement passionné par le « Viking de la 6e avenue», que cette musique doit, ces dernières années, en France, de faire mieux entendre sa singularité ; singularité étonnamment fédératrice, tant cette oeuvre fascinante et hautement euphorisante, tribale et soigneusement architecturée, parvient comme peu d’autres à parler naturellement à tout le monde. Après lui avoir consacré un livre (aux éditions Le Mot et le Reste) et été à l’origine de nombreuses premières – notamment avec son propre ensemble, Minsym, ou les Palois de l’Ensemble 0 –, Amaury Cornut se voit aujourd’hui confier par Hervé Bordier et la Ville de Toulouse la responsabilité d’une saison entière autour de Moondog.
Du 8 septembre 2018 au 29 juin 2019, ce sont ainsi 33 événements – concerts, créations (françaises, européennes et mondiales), conférences, expositions, rencontres – qui seront proposés dans 26 lieux de la cité et de ses environs (jusqu’à Albi, on le verra). Particulièrement notable et symbolique est le fait que quasiment tous les acteurs culturels toulousains, y compris les institutions les plus prestigieuses, se soient associés au projet. Le festival Piano aux Jacobins consacre le 8 septembre sa soirée d’ouverture à la création mondiale, par Nicolas Horvath, des Books of Canons II et III. Quant à l’Orchestre national du Capitole, il refermera cette saison, fin juin, avec un concert symphonique présentant notamment, en première européenne, la version orchestrale de Surf Session, commandée par Philip Glass en 1989 lors du retour de Moondog à New York, et la première française de la Symphonie n° 3 en fa majeur. À surveiller également, le 31 mai, la présentation de On the Streets, création de trois musiciens francs-tireurs : Thomas Bonvalet, Alexis Degrenier et Stéphane Garin.
« Moondog était un pont » souligne Amaury Cornut dans l’introduction de sa biographie de ce « compositeur classique des temps modernes » – The Bridge n’était-il pas son nom indien ? Pont entre le Nouveau Monde et l’Ancien Monde, entre les époques, mais aussi entre les esthétiques. Cela implique une certaine forme de souplesse et de générosité, une liberté qui est peut-être le legs le plus précieux de cet irréductible artiste, l’enseignement principal qu’il faut retirer de son parcours, et surtout de sa musique.
C’est un même esprit de partage et d’exigence qui préside au passionnant festival riverrun, (minuscule et virgule de rigueur) initié l’an passé par le Groupe de musiques électroacoustiques d’Albi, centre national de création musical que dirige aujourd’hui Didier Aschour. La figure de Moondog – avec le recueil de madrigaux Round the World of Sound, interprété par l’Ensemble Dedalus d’Aschour et le collectif lillois Muzzix, toujours dans le cadre de la saison toulousaine – y sera de nouveau à l’honneur, aux côtés d’autres personnalités musicales singulières : Éliane Radigue (dont Yannick Guédon interprétera Occam XXII, pour voix seule), Jean-Luc Guionnet (à l’orgue en solo ou en duo avec Claire Bergerault), Jean-Philipe Gross, Sébastien Roux, Kristoff K. Roll, Alfredo Costa Monteiro, Jean-François Pauvros ou John Cage… Un atelier de création radiophonique et des répétitions commentées compléteront l’éventail d’une manifestation qui offre un panorama décomplexé d’une création musicale résolument plurielle, faisant rimer convivialité et singularité.
The Story of Moondog, du 8 septembre au 29 juin 2019, Toulouse (31000). www.toulouse.fr
riverrun, du 27 septembre au 7 octobre, Albi (81000). www.gmea.net
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mountebankband · 2 years
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Nuit Modulaire - Interlude de l'Oiseau from Ludovic Macioszczyk on Vimeo.
� "Variations sur LÔ" (2022) Nouvel album en écoute et téléchargement sur : nuitmodulaire.bandcamp.com/album/variations-sur-l
Cet album est né de la collaboration entre la cinéaste Claire Belin (LÔ Films) et le musicien Ludovic Macioszczyk (Nuit Modulaire). Inspirée à la fois par la musique classique (Bach) et contemporaine (Glass), "Variations sur LÔ" est une musique composée cette fois-ci pour une séquence d'images proposées. Deux Thèmes énigmatiques y sont présentés puis variés sous plusieurs figures, se croisent et se décroisent jusqu'à leur ultime rencontre dans une Sonate aux lumières contrastées. Au milieu de ces Variations, on croise également le chemin d'un Oiseau de Nuit mystérieux, d'une Lune entièrement illuminée et bien évidemment celui de l'Eau, accompagné par le va-et-vient des vagues au crépuscule, d'une marée à l'écume quasi immaculée.
Écrit, produit, enregistré & mixé par Ludovic Macioszczyk Photographies pochette par Claire Belin & Ludovic Macioszczyk Enregistré entièrement en analogique à la maison sur un 8 pistes Yamaha MT8X, mars, avril & mai 2021, Limoges, France. Crédits film : Vista Stock Shots
Ludovic Macioszczyk : piano électrique, synthétiseurs analogiques, modulaire, séquenceurs analogiques, orgue, saxophone ténor, guitare acoustique, bol Tibétain, cloche Tibétaine, manipulation bandes magnétiques.
facebook.com/nuitmodulaire instagram.com/ludovic_mac
#nuitmodulaire #variationssurlô
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alagrandepasserelle · 5 years
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Ça se passe en mai 2019
JUSQU’AU 10 JUIN À LA MÉDIATHÈQUE
EXPOSITION SOUS-VITRINES / COLLECTION PRINTEMPS
Les vitrines des espaces Patrimoine/Mer Marine de la médiathèque présentent chaque saison une sélection thématique choisie parmi les des documents conservés dans les réserves patrimoniales. Accès libre.
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JUSQU’AU 12 MAI
FESTIVAL OODAAQ
Le Festival Oodaaq revient à Saint-Malo pour sa neuvième édition. Dans plusieurs endroits de la ville, il proposera des projections, des expositions, des performances et des temps de rencontres autour des images nomades et poétiques. À La Grande Passerelle, le 4e lieu accueillera une exposition entièrement consacrée à la vidéo. Côté médiathèque, une exposition présentera les travaux réalisés en ateliers tout au long de l’année, encadrés par des artistes de l’association L’Oeil d’Oodaaq. Au Centre S. Allende, l’exposition vidéo Drôles d’Histoires sera à découvrir du 25 avril au 1er juin.
Programme complet à retrouver au printemps sur loeildoodaaq.fr et sur saint-malo.fr
Accès libre.
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JUSQU’AU 5 MAI
EXPOSITION « DESSINE-MOI LA MUSIQUE » Exposition proposée par le festival Classique au large, en collaboration avec la Direction de l’Education de la Ville de Saint-Malo.
Cette année, les écoliers malouins ont été invités à représenter la musique sous forme de dessin en s’appuyant sur l’œuvre d’"Hansel et Gretel" de Engelbert Humperdinck.
Découvrez l’ensemble de leurs créations dans le foyer de La Grande Passerelle.
Accès libre.
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VENDREDI 3 MAI À 14 H 30 AU VAUBAN 2 LES CONFÉRENCES DE L’UNIVERSITÉ DU TEMPS LIBRE DU PAYS DE SAINT-MALO JACQUES OFFENBACH OU LES TURPITUDES DU SECOND EMPIRE (1819-1880)
Par Guillaume Kosmicki
Cette conférence propose une plongée dans les grands succès du roi des divertissements, la vedette du Second Empire, Jacques Offenbach, qui permettent de prendre le pouls de cette époque et de sa société.
Entrée gratuite, dans la limite des places disponibles.
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DIMANCHE 5 MAI DE 14 H 30 À 17 H 30 À LA MÉDIATHÈQUE APRÈS-MIDI JEUX AVEC LE CORSAIRE LUDIQUE
L'univers des nouveaux jeux de société est beaucoup plus vaste, riche et varié que vous ne pouvez l'imaginer. Partant du principe que l'on n'arrête pas de jouer parce qu'on vieillit, mais qu'on vieillit parce qu'on arrête de jouer, les animateurs du Corsaire Ludique vous le confirment 1 fois par mois à La Grande Passerelle ! Entrée libre, dans la limite des places disponibles.
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JEUDI 16 MAI À 18 H AU VAUBAN 2
LES RENCONTRES LITTÉRAIRES DE L’ENCRE MALOUINE
TIFFANY TAVERNIER
Tiffany Tavernier est romancière, scénariste et assistante réalisatrice française, ce qui n'est guère étonnant puisqu'elle est la fille du cinéaste Bertrand Tavernier. Elle apparaît d'ailleurs dans l'Horloger de Saint-Paul (1974), inspiré du roman de Georges Simenon, L'horloger d'Everton.
Dans son roman Roissy, la narratrice, sans cesse en mouvement, va d'un terminal à l'autre, éternelle voyageuse sans nom qui s'invente des vies sans jamais monter dans un seul de ces avions dont le manège l'apaise. Tiffany Tavernier nous livre un magnifique portrait de femme dans un livre polyphonique où Roissy est un personnage à part entière, parcouru par des êtres de passage qui renaissent à eux-mêmes et au monde.
Gratuit, dans la limite des places disponibles.
SAMEDI 18 MAI DE 14 H À 17 H À LA MÉDIATHÈQUE
ATELIER "CRÉE TON MORCEAU"
avec Electroni(k)
Après une sensibilisation à la composition musicale avec l’artiste Airsouth, inventez un morceau à l'aide de tablettes numériques et repartez avec vos créations musicales en fichier MP3.
Adultes et enfants à partir de 10 ans - Sur inscription à la médiathèque (02 99 40 78 00)
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SAMEDIS 18 MAI ET 15 JUIN ET MARDIS 28 MAI ET 25 JUIN À LA MÉDIATHÈQUE
LES RENDEZ-VOUS NUMÉRIQUES
Vous avez une difficulté concernant l'utilisation de l'ordinateur, de votre smartphone ou de votre tablette ? Un médiateur numérique vous propose une aide individuelle et personnalisée sur un créneau de 30 min pour vous accompagner dans la résolution de votre problème : naviguer sur internet, écrire un texte, créer sa messagerie électronique…
10h - 12h les 18 mai & 15 juin 14h - 16h les 28 mai & 25 juin
Gratuit - tout public - sur inscription au 02 99 40 78 00 ou directement à la Médiathèque.
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SAMEDI 18 MAI À 15 H 30 À LA MÉDIATHÈQUE
CONFÉRENCE HORS CHAMPS « 1994 - 2019 : 25 ANS APRÈS LE GÉNOCIDE DES TUTSI DU RWANDA »
La médiathèque inaugure « Hors champs », nouveau rendez-vous trimestriel destiné à revenir sur les évènements qui ont marqué l’actualité. Augustin Ntarindwa, rescapé et membre de l'association Subiruseke, échangera avec Florent Piton, chargé de cours à l'université Paris-Diderot et auteur du livre Le génocide des Tutsi du Rwanda. Un quart de siècle après les événements, ce dialogue confrontera histoire personnelle et histoire nationale afin de mieux comprendre l'enclenchement de la logique génocidaire au pays des Mille Collines.
Accès libre, dans la limite des places disponibles.
DU 21 MAI AU 16 JUIN AU 4E LIEU
JEAN-C. DENIS - LA COULEUR DES ANTIPODES Exposition Étonnants voyageurs
Quand on se penche sur l’œuvre de Jean-C. Denis, il est frappant de voir combien la couleur, sa couleur, est une composante fondamentale de son œuvre. Ses accords, ses gammes, ses tons rompus captent la lumière des instants fragiles, et distillent des harmonies pleines de douceur et de sensibilité.
Qu’il crée une bande dessinée, qu’il dessine sur le motif, ou qu’il travaille en atelier des souvenirs de voyages, une petite musique récurrente imprègne le papier…
À travers une cinquantaine d’originaux, l’exposition explore les différentes facettes du travail de Jean-C. Denis, son travail d’auteur de bande dessinée inscrit dans la ligne claire, ses voyages, ses aquarelles sur le motif…  autant de pratiques différentes qui se nourrissent les unes des autres.
Écrits à vingt cinq ans d’intervalle, deux albums  évoquent des peintres, qui ont fait de la peinture toute leur vie, mais n’ont pas eu de succès de leur vivant. Quand L’ombre aux tableaux, Albin Michel 1991, se penche sur les difficultés liées à la condition d’artiste et les leurres du marché de l’art, Plutôt plus tard, Futuropolis 2016, bouscule les  siècles et imagine une rencontre réjouissante entre Luc Leroi, le double fétiche de Jean-C. Denis, et Gauguin dans un album où la grisaille parisienne cède à l’explosion des couleurs tahitiennes. Chaque ville, chaque paysage a sa lumière. Du soleil intense du désert, Les rameaux de Jéricho, éditions DS 1994, aux rivages de Belém, un mirage à l’envers, Futuropolis, 2005, Jean-C. Denis saisit à merveille les couleurs d’ailleurs, les horizons lointains. Mais il  sait aussi s’immerger dans la campagne, Bois brut et herbes folles, éditions PLG Obliques 2014, à l’écoute du vent dans les graminées, attentif aux variations lumineuses de chaque heure du jour jusqu’à cet instant particulier entre chien et loup.
Du trait au lavis, de la plume au pinceau, de la pénombre à la lumière, de la table à dessin au motif, Jean-C. Denis nous offre une partition sensible au cœur de son travail.
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SAMEDI 25 MAI DE 14 H À 17 H 45 À LA MÉDIATHÈQUE REPAIR CAFÉ, RÉPARONS NOS OBJETS !
Au Repair Café, on y répare de tout : vêtements usagés, meubles cassés, appareils électroménagers abîmés... Ici, vous luttez contre le gaspillage et l'obsolescence programmée. Des aides-réparateurs vous aident à réparer vos objets. Vous y échangez vos savoirs et apprenez à faire par vous-même au maximum, pour un moment de partage et de convivialité. Profitez aussi du stand recyclage accessible aux plus jeunes ! Accès libre.
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MERCREDI 29 MAI À 15 H 30 À LA MÉDIATHÈQUE
QUI LIT RÊVE À LA PASSERELLE
Une plongée dans des histoires à rire, à rêver, mais aussi à frissonner ! Une garantie de menus surprise à partager sans modération, entre petits et grands !
À partir de 3 ans, accompagnés d’un adulte. Entrée libre, dans la limite des places disponibles.
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Billetterie disponible au Guichet culture
- Conservatoire Claude Debussy :
“Le chant des planètes”, en partenariat avec la Route des orgues, samedi 25 mai à 20h30 à la Cathédrale Saint-Vincent.
- Saison musicale de la Nouvelle Vague
- Saison culturelle des théâtres de Saint-Malo (Théâtre de L’Hermine et Théâtre Chateaubriand)
- Festival Classique au large, du 2 au 5 mai 2019
- Festival Folklores du monde, du 2 au 7 juillet 2019
- Revue littéraire L'hermine et la plume (n°1 et 2)
- Revue littéraire de L’Encre malouine (n°2 et 3)  
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rollingstonemag · 5 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/catfish-interview/
Catfish renaît dans sa chambre
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Le power duo français Catfish livre Morning Room, un EP issu d’un retour cathartique aux fondamentaux : être deux et jouer live. Rencontre.
Amandine Guinchard et Damien Félix ont eu le temps de mûrir le projet, depuis les bancs du lycée. La promesse fut la suivante : s’éloigner des formations classiques et mettre en lumière un power duo comme on n’en fait (presque) plus. “À deux, on va droit au but, on se prend moins la tête”, commente d’emblée Damien. Quatre années ont passé, et l’aventure n’a jamais laissé place à l’ennui. Deux ans après le second album, Dohyô, et une tournée triomphale, notamment en Amérique latine, Catfish reprend ses bonnes vieilles habitudes et commence à gratter de nouveaux accords en studio. Résultat : Morning Room, à paraître le 8 février, un petit bouquet de chansons homogènes à écouter d’une traite, bercées sans influences flagrantes, ou presque. “C’est la première fois que l’on compose sans puiser dans nos références, même si elles jaillissent parfois de manière inconsciente. Il y a comme une réminiscence des Doors qui réapparaît”, assume Damien.
Les cinq titres qui composent ce EP ont tous fleuri dans un jardin blues-rock, où pullulent quelques bourgeons psychédéliques que l’on aimerait voir évoluer, un jour, à la faveur d’un album. “C’est prévu pour fin 2019, si tout va bien”, annonce Amandine. Sûr que tout ira bien pour ce duo qui a su recharger les batteries en revenant avec du simple, mais du neuf : un clavier multifonction. “Sur scène, on a finalement laissé tomber le pad SPD-S, qui ne correspondait pas à notre formule. Cette nouvelle manière d’utiliser le clavier ajoute un panel inédit de couleurs. Quand on est deux, il ne faut jamais fermer la porte à l’expérimentation, pour ne pas tourner en rond”, explique encore Amandine. Pour la dimension live, le groupe s’est donc privé d’un support technologique pour faire appel à l’humain. “C’est ainsi que des amis à nous se sont greffés. Il nous fallait plus de bras !” glisse la musicienne en riant.
Ce petit bouquet de cinq titres homogènes a fleuri dans un jardin blues-rock, où a leure “comme une réminiscence des Doors”.
De “Mama Got the Devil Eye” à “Death Army”, le clavier se métamorphose, une fois en orgue, plus tard en synthé, apportant son lot de fuzz. Apparaît alors un vertige, la possibilité accrue de sonorités : “Ça nous a permis d’ouvrir notre musique”, s’accordent les deux musiciens. Cette échappée vers de nouvelles textures est le fruit d’un brainstorming sans embûche et “sans urgence, car on ne voulait pas se mettre la pression. Tout est pris sur le vif. Il se passe quelque chose pendant l’enregistrement ? On ajoute !” continue Amandine. C’est ce qui explique que Catfish ait produit là les morceaux les plus vivants (et vivifiants !) de sa carrière.
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Les plus imagés, aussi ? Avec Morning Room, on s’imagine au commencement d’un tout, dans une aube chaleureuse. Le matin est une étape essentielle dans le déroulement d’une journée, et Catfish l’a bien compris. “À chaque chanson, tu te réveilles chez quelqu’un de différent et tu racontes une nouvelle histoire, confie Amandine. Ça me fait penser à ce film de Jim Jarmusch, Night on Earth, où des gens qui ne se connaissent pas se rencontrent dans des taxis et échangent sur leurs vies respectives.” Rendez-vous le 8 février, pour prendre un bain de soleil en plein jour…
Samuel Regnard
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xpoken · 2 years
Text
Il y a des stéréotypes selon lesquels la musique classique est, premièrement, ennuyeuse, et deuxièmement, c'est "seulement pour les esthètes", donc les gens ordinaires ne la comprennent pas.
Bien sûr, tout cela n'est qu'un délire complet. Nous vous disons pourquoi vous devriez commencer à écouter les classiques aujourd'hui : il n'y a rien de compliqué là-dedans et cette leçon va radicalement changer votre vie pour le mieux (sans blagues et sans exagérations). 
Johann Sebastian Bach — Toccata and Fugue in D Minor, BWV 565.
Œuvre de Bach pour orgue en deux parties, écrite entre 1703 et 1707. L'une de ses compositions les plus célèbres, qui enchante par sa grandeur, sa structure dramatique extraordinaire et son rythme entraînant. Il est devenu très populaire aujourd'hui en 1940, lorsque "Fantasy" est sorti - un long métrage d'animation de Walt Disney, composé de neuf numéros sur la musique de l'Orchestre de Philadelphie sous la direction de Leopold Stokowski. Dans la culture populaire occidentale, le début de l'œuvre est très fortement associé aux films d'horreur.
Ludwig van Beethoven — Symphony No. 9 in D Minor.
L'une des œuvres les plus jouées de Beethoven. Imaginez un compositeur complètement sourd qui a mélangé toutes ses peurs, son désespoir et son espoir et a créé la dernière symphonie, à la fois très personnelle et universelle, dont l'esprit sera compris par tout auditeur, quels que soient son âge, sa nationalité et d'autres caractéristiques. Dans la dernière partie de la symphonie, vous pouvez entendre un poème légèrement retravaillé de Friedrich Schiller "Ode à la joie", qui glorifie l'unité de tous les peuples.
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