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Bloodsport (1988)

I’ve been trying to give Jean-Claude Van Damme a chance but other than 1994's Street Fighter I've found none of his films entertaining. Even then, the video game-based movie is fun for all the wrong reasons. Only fans of the Belgian martial artist might enjoy 1988’s Bloodsport. They'll be able to convince themselves that this poorly acted, not particularly well choreographed and ambition-free martial arts film riddled with clichés provides any form of entertainment.
U.S. Army Captain Frank Dux (pronounced “Dukes”, played by Van Damme) decides to honor his mentor by participating in an illegal, underground martial arts tournament called “Kumite”. While avoiding American police officers (played by Forest Whitaker and Norman Burton) who want to return him to the States for a court-martial, he befriends fellow American competitor Ray Jackson (Donald Gibb) and a sexy reporter named Janice Kent (Leah Ayres). Things get serious when he meets the current Kumite champion, Chong Li (Bolo Yeung).
For the first 30 minutes, Bloodsport is one of the most unintentionally funny action films I’ve ever seen. Do you think Jean-Claude Van Damme is wooden? You haven’t seen anything yet. Everyone in this film is terrible. I'm saying laugh-out-loud awful. Then we get a flashback to Dux as a child and it blows your mind. I know the actor playing this part is young but he emotes like a wooden puppet who received his lines five minutes ago. All in a thick accent so bad you can’t believe director Newt Arnold isn't expecting you to laugh. This first half-hour also has a built-in drinking game. Take a drink every time you hear "Kumite", take two every time JCVD mispronounces it. You'll have a great time.
Copious amount of alcohol is what you'll need to get through the rest of the first. After the half-hour mark, Bloodsport becomes horrible, dreadful, dismal, apocalyptic. Boring! None of the characters have any personality. You can tell the bad guy is evil because he gives his vicious beatings with a smile. You know Frank Dux and Janice Kent are falling for each other because whenever she’s on-screen, so is he. The fighters are given quirks to make them distinct from each other but it’s only their physical appearance that makes them stand out. Once the Kumite begins, it’s mindless action as pairs clobber each other again and again. You don’t know who anyone is, and unless it’s Donald Gibb, Bolo Yeung, or Jean-Claude Van Damme on-screen, you don’t care either. Even in Gibb’s case, you know he stands no chance of winning. He’s just going to end up dramatically broken to “amp up” the stakes.
There’s no chemistry between the leads. The bad guy isn’t even fun to hate. The matches are slightly varied but they end up less enjoyable than the training montages. The romance is so atrocious you wish they would cut it out to give us anything else. How about some background on the big bad guy, or even the words “Kumite” repeated over and over to give us some laughs?
If you think the shortcoming are due to Bloodsport being "based on a true story", do a bit of research. Seems that Frank Dux’s exploits may be a little bit completely fabricated. The fights aren’t even that well choreographed, making Dux's veracity seem even more dubious. If you’re a fan of martial arts tournament films you won’t see anything new here. Unless you have a fetish for seeing JCVD do the splits, avoid Bloodsport at all costs. I was begging for the film to end so I could get off the couch and go to sleep. (On VHS, April 12, 2016)

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"You break my record, now I break you, like I break your friend." I absolutely LOVE this movie! #ink #inktober #inktober2019 #villains #bloodsport #fanart #chongli #boloyeung #jeanclaudevandamme #jcvd #kumite #newtarnold #jcvdfan #frankdux https://www.instagram.com/p/B4KvRTUjLfN/?igshid=7oykqppqr9h3
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BLOODSPORT (1988) Je vous vois arriver de loin, avec cette opinion moqueuse que l’on aime adopter lorsqu’on cause de Jean-Claude Van Damme -presque la même d’ailleurs que l’on accorde à Sylvester Stallone-: kitsch, ringard, ridicule, les adjectifs sont nombreux pour qualifier les écarts -personnels ou professionnels- de cet acteur culte qui n’est pas que ce pauvre type déblatérant à foison d’amusants monologues. BLOODSPORT a eu trente ans le mois dernier, et l’influence de ce long-métrage porté aux cieux par tout pratiquant de sport de combat n’est pas des moindres: pas mal de films ont tenté après lui de donner ses lettres de noblesse aux arts martiaux ou au Penchak Silat, de TIGRE ET DRAGON (2001) à THE RAID (2011). Ici, on cause Ninjutsu. Mais pourquoi tant de ferveur autour de l’œuvre de Newt Arnold, réalisateur ayant bossé sur entre autres ABYSS (1989) et BLADE RUNNER (1982)? Tout simplement parce que BLOODSPORT va à l’essentiel, à commencer par son scénario simple: Frank Dux travaille pour l’armée américaine, et quitte un jour son poste pour rendre visite à Senzo Tanaka, un vieux japonais alité par la maladie. BLOODSPORT nous plonge dans un long flash-back après cette courte séquence d’introduction, un choix judicieux au vu de son contenu: 100% narratif, on assiste au déroulement de souvenirs chronologiques de Dux avant son entrevu avec Tanaka, qui dresse habilement le portrait de ce héros inédit incarné par un Van Damme au sommet. Fils d’immigrés, le jeune et timide Dux est dans son enfance entré par effraction dans le domicile de Tanaka, suivant les consignes d’“amis” peu recommandables qui le laissent en plan dans la maison: chopant le môme sur le fait, le charismatique japonais lourdement marqué par Hiroshima et exilé de son pays natal va déceler en Frank l’étincelle du talent. Après un accord passé avec ses parents, Tanaka va construire un combattant hors-pair, se faisant ainsi instructeur d’une philosophie spirituelle et physique: prenant son propre fils et Dux sous son aile, il va leur inculquer les valeurs ancestrales de son clan, aux techniques d’arts martiaux secrètes: en effet, BLOODSPORT est très sérieux dans son propos, valorisant une éducation “alternative” complémentaire permettant aux jeune loups de se maîtriser. Promis à une destinée presque écrite, le fils naturel de Tanaka va brutalement décéder, laissant le maître dans un désespoir anéantissant: c’est en frère -et fils de substitution- que Dux va raviver l’espoir d’avenir du vieil homme, et accomplir la destinée logiquement prévue pour le défunt. Cette voie mène au Kumite, LE fameux tournoi d’arts martiaux clandestin où s’affrontent tous les cinq ans les meilleurs combattants du monde, tous styles -et nationalités- confondus: BLOODSPORT est un parcours ardu dont le fil conducteur est cet acte honorable de dévotion d’un disciple envers son maître, une marque de reconnaissance allant au-delà du simple remerciement. Fin du pitch, Dux se tire pour arpenter sa destinée. On sort de ce quart-d ’heure impressionnés, le genre “film de baston” ne s’attardant que rarement sur le côté humain de ses personnages, chose que BLOODSPORT remet sur le tapis dès que possible. Avant même que l’aventure ne commence, on est touchés par le background de Dux et Tanaka, leur relation symbolique et forte dépassant celle de l’apprenti envers son mentor, qui se passe de mots car ressentie avec le cœur. Ben ouais, les ralentis on du sens -plus qu’esthétiques artifices-, et la bande-son délicieusement 80′s du mystérieux compositeur Paul Hertzog -KICKOXER (1989)- n’y est pas étrangère, avec son entêtant thème principal que les actuels musiciens de new retro wave envient encore. Que du bon, donc. L’aveugle implication amène Dux en Chine, au sein de l’immense Hong-Kong, suivi par deux officiers de la police de l’armée, le vétéran Helmer et la jeune recrue Rawlins -joué par un Forest Whitaker de ses débuts, 11 années avant sa consécration GHOST DOG (1999), lui aussi fortement lié à la culture asiatique de l’art du combat avec son protagoniste suivant le Bushido à la lettre-, bien décidés à le ramener près de l’Oncle Sam. BLOODSPORT laisse véritablement une grosse part du gâteau à la narration, très efficace: l’improbable amitié entre Dux et Jackson -ce combattant bourrin mais au grand cœur- qui naît autour d’une borne d’arcade, les deux gars s’affrontant sur le jeu vidéo… Karate Dô -un parallèle génial avec le contexte du long-métrage, doublement intéressant de par son inclusion “normale” du fait de jouer aux jeux vidéo en société-, qui va évoluer, forme de soutien mutuel à la force d’empathie indiscutable. Et de ce fait, qu’un sidekick secondaire soit de la partie et si aisément probant, transcende la totalité de ce que l’on pourrait qualifier de “stéréotypes”: BLOODSPORT transpire l’authenticité -on nous indique que le tournoi quinquennal est financé par la Mafia- à travers ses personnages et ses lieux, les uns n’intervenant que lorsque nécessaire, les autres mis à profit pour favoriser une immersion dépaysante, et réussie. N’allons pas plus loin pour le moment, BLOODSPORT porte le sceau de la CANNON d’accord, mais n’est clairement pas un nanar: marrez-vous des faciès de la pléthorique sélection de “fighters” qui se donnent corps et âme au Kumite, ce sera pour mieux vous incliner devant ce film qui est, osons le dire pour son trentième anniversaire, LE vrai STREET FIGHTER 2 porté à l’écran. Bien avant même son existence, le jeu vidéo légendaire de 1991 sera d’ailleurs inspiré du dit film, sous-titré “THE WORLD WARRIOR” et garni de guerriers issus de plusieurs endroits du globe: un héritage qui va encore plus loin dans la culture populaire, l’icônique personnage Johnny Cage de MORTAL KOMBAT étant l’officieux avatar de JCVD himself: on continue au-delà avec la FILLE de Cage, Cassie, dont un des coups spéciaux est le célèbre uppercut testiculaire effectué lors d’un grand écart, TOUT DROIT tiré de BLOODSPORT. Mais alors, BLOODSPORT c’est juste culte et on lui rend hommage à travers les âges? Pas seulement, l’ami(e): Dux ne va pas croiser que le chemin du lutteur Jackson, BLOODSPORT laissant l’atmosphère du ring prendre le contrôle, duquel les rares échappées -l’amourette avec la journaliste, la course-poursuite comique où Dux sème les officiers ricains à ses trousses, la chute du frère d’armes- laisseront notre héros assimiler les coups durs: une véritable leçon en fait peu formatée. BLOODSPORT aime nous prendre à revers, avec d’excellents retournements de situation, tels que le coup de la pilule du combat final -destinée à un autre usage que celui qu’on pense avoir deviné-, le “non-fair-play” de salutations traîtres avant un duel ou encore ce plan, euh, sexy (?) où le long-métrage choisit de montrer le cul de Van Damme plutôt que le physique de la seule protagoniste féminine, une coutume pourtant relative aux eighties (merci Newt Arnold). Avec son héros transparent de bonté, on assiste au spectacle où “Tous les coups sont permis” -le slogan français de son époque-, ascension de joutes à mains nues où chaque adversaire est plus fort que le précédent. C’est happés par BLOODSPORT qu’on arrive au climax: l’attendue confrontation de Dux et du monstrueux et cruel champion Chong Li -profitant de l’illégalité du Kumite pour tuer tous ses opposants-, qui ne s’exprimera envers lui que pour détruire son moral, ultime méchant badass craint et respecté de tous. Pour anecdote, l’acteur Bolo Yeung qui l’incarne cite des punchlines au copyright Bruce Lee d’OPERATION DRAGON (1973) dans lequel il avait aussi joué (!). Incroyable d’arriver à ce résultat, quand on sait que le projet BLOODSPORT fût un development-hell conséquent, avec un tournage-catastrophe en Chine, à laquelle on ajoute un sale procès entre JCVD et le vrai Frank Dux, coordinateur des cascades, qui se vit débouté des accusations de non-versements de droits d’auteur: car oui, c’est sensé être un biopic… On vous laisse enquêter sur la légitimité des “faits réels”… Pire, c’est Van Damme qui sauva le film, mettant la main sur le montage de BLOODSPORT après que le producteur Menahem Golan ait refusé en bloc le produit: zéro expérience pour mener le projet à terme, qu’il sortit en direct-to-vidéo avant d’envahir les salles suite à son fulgurant succès. Unique, culte, il n’y a pas d’autre films comme BLOODSPORT, son casting, son histoire, son original soundtrack, et sa très difficile venue au monde en sont des éléments plus que convaincants. Il demeure à jamais rattaché à Van Damme, qui parvint à ses fins en brandissant le script du film à Golan, croisé à la sortie d’un resto, en plus de lui faire une démonstration de karaté en direct-live. Incroyable, on vous dit. La Ténacité sur pellicule, à jamais cristallisée dans nos rétines. Fight to surviiiiiiiiiiiiiiive… STREET FIGHTER /20
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Morning Vibes. #morningvibes #morningmotivation #morningsun #morningfun #jcvd #jeanclaudevandamme #bloodsport #martialartsmovie #cultfilm #frankdux #hongkongmovie #newtarnold #kumite #splitschallenge (at Hong Kong)
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O #nostalgia ❤️ #OGrandeDragãoBranco #TheKumite #Ano1988 #Anos80 #Kumite #BloodSport #ArteMarcial #MarcialArt #OKumite #ActionFigure #FrankDux #Dux #HongKong #Competição #Violência #Filme #Movie #Film #VanDamme #NewtArnold #PaulHertzog #Combate #Mini #Miniatura #Escultura #Cena O soldado americano Frank Dux vai a Hong Kong para ser aceito no Kumite, uma competição de artes marciais altamente secreta e extremamente violenta. Enquanto tenta ganhar acesso ao mundo subterrâneo dos combatentes clandestinos, ele também tem que fugir dos oficiais militares que o consideram um desertor. Depois de suportar um treinamento difícil e começar um romance com a jornalista Janice Kent, é dada a Frank a oportunidade de lutar. Data de lançamento: 9 de dezembro de 1988 (Brasil) Direção: Newt Arnold Música composta por: Paul Hertzog Séries de filmes: Bloodsport Bilheteria: 65 milhões USD ... https://www.instagram.com/p/B_31AKbnZG3/?igshid=5nhl1b8z9kry
#nostalgia#ograndedragãobranco#thekumite#ano1988#anos80#kumite#bloodsport#artemarcial#marcialart#okumite#actionfigure#frankdux#dux#hongkong#competição#violência#filme#movie#film#vandamme#newtarnold#paulhertzog#combate#mini#miniatura#escultura#cena
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Mais um CRÁSSICO OITENTISTA na minha estante (que agora aguenta o tranco)! #thegoonies #goonies #neversaydie #gooniesneversaydie #thegooniesneversaydie #osgoonies #stevenspielberg #richarddonner #joshbrolin #seanastin #coreyfeldman #jeffcohen #kehuyquan #kerrigreen #marthaplimpton #johnmatuszak #robertdavi #joepantoliano #anneramsey #maryellentrainor #lupeontiveros #steveantin #michaelpaulchan #jebstuartadams #georgerobotham #patrickcameron #newtarnold #geneross #tedgrossman #paultuerpe
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