#nymphe des eaux

[lepetitdragonvert]

Arctic Encounter

Artist : Arthur Wardle (1864-1949)

[terminusantequem]

Paul Delvaux (Belgian, 1897-1994), Les Nymphes Des Eaux, 1938. Oil on canvas, 130 x 149,5 cm

[mysadecstasy]

Entre les fantasmes

Ebahie par les heures brodées sur la toile Toile de souvenirs fantasmés tendue sur le murs de passions mortes Envahis de rouille et de caresses évanouies Suintant le bonheur écartelé des désirs crucifiés Pendus au gibet des vanités cruelles de détachement Ô oracle de la suave fortune N’épargnes-tu pas les âmes recroquevillées Les doux égarements des amoureux perdus… Et tu sens ton cœur contraint entre les souvenirs magnifiés Le plaisir exalté de la remembrance sublime Sur la grève humide la houle se fracasse avec effroi Sur la grève sans fin l’embrun scintille comme mille lucioles Et dans mes mains… Mon cœur en sang Balbutiant Bégayant Hésitant l’autre-rive La rive amère L’autre-rive Amère La douceur acérée du dernier instant Entre les vagues Entre les mots tus Entre tes seins crus Entre les instants hésitants Par-delà la lumière Et mes mains tendues comme un arc bandé vers sa cible Docile proie Innocente vertu que l’on cueille comme un coquelicot égaré entre les blés rougeoyants Innocente légèreté de l’être qui s’égare parmi les douceurs des fanatiques Fanatiques hurlants la beauté de toute chose comme un psaume saint Un cri dans les ruines des hésitants des peureux à la aime Déshabillés dans le champs des merveilles écarquillées Les hommes décharnés sont énucléées de leurs balbutiements froids De leur dureté âpre de chair cousue main De l’âpreté crue de leur sang coulant du haut de la grande pyramide Fleuve époustouflant Savoir étriqué Amours décuplés et porté aux nues sous l’arche des vingt mille pieds célestes de bravoure De bravoure sûre Le sabre à main Tranchant les hésitations des tremblements passionnels Permissible écartèlement des vérités ignorées Sous le pont d’or des embrassades viscérales des peaux arrachées Peaux découpées au rasoir ambré de servitudes maléfiques Servitudes fétides des hésitations infâmes Des égarements de l’âme assombrie sous le soleil noir mourant Mourant au crépuscule écrasé des jours regrettés Des jours fuyants Glissants entre les mains avides et suppliantes des affamés Jours graves et bestiaux Comme des fauves possédés Dans leur manège étourdissant Grave et sale comme la mort Errante et assoiffée Comme en plein désert Entre les tombes de terre ocre Sous le soleil de plomb éclaté de lumière crue Dans le sable virevoltants Sable farouche et dansant comme des nymphes dévoilées Nues sous la chaleur torride Ecrasante comme une comète de sang rance De sang noir comme les truchements de l’ébène sacré Ô soleil noir éclaire la nouvelle ombre de ta lumière vacillante Chante le dernier refrain Et à l’amour il restera le dernier rayon de lumière Lumière divine et douce comme ta peau Satinée comme tes seins roses De pêche D’or et de diamants fins Pointés vers les désirs extasiés des prétendants à ta gloire Au cœur pur de ton amour vibrant sous les ouvrages d’une ère nouvelle Ta nudité comme un phare dans les organes des désirs abasourdis Ta nudité comme la réponse à l’impossible A l’impossible cruauté de la solitude De la solitude amère et affutée comme un couperet tâché de sang frais Solitude pendue au fil lâche du dernier jour Au dernier espoir de la dernier croisade Aux submersions impassibles de la marée inlassable L’eau dans la bouche Balbutiements Derniers sons dans le noir tendre étoilé Ta robe de dentelle blanche comme un linceul évanoui dans les eaux glacées Juste aux bords des lèvres La pointe des pieds Un instant… Libération La mer se retire dans son va et vient équivoque Lubrique et divine elle croque de sel ta peau doucereuse comme un lys Au soleil levant les fantasmes exaltés reviennent bruler tes yeux Mais tu n’as dans le cœur que la vérité pure des martyrs à l’amour Des égorgés le sourire aux lèvres dans la grandeur des cathédrales de l’ineffable Ineffable impossible sublime suspendu à ta bouche vibrante et ton cœur sanctifié Sous les orbes caressantes et suprêmes de la Lumière Eternelle

[noctivagus-rpg]

LES CRÉATURES

LES CRÉATURES HOSTILES

● Harpies : Rapaces avisés à la réputation belliqueuse. Mi-oiseau, mi-humanoïde, leurs ailes puissantes se déploient afin de traquer les proies qu’elles saisissent de leurs serres affutées qui semblent pouvoir tout transpercer. L’évolution leur a donné une seconde apparence, discrétion humanoïde dissimulant la bête. L’instinct de chasse et le goût sanglant les borde, avides de violence et d’observer la souffrance dont elles se délectent. ● Kitsunes : Fantastiques goupils. Canidés habiles, ils sont avant tout des renards possédant plusieurs queues, descendant de lignées strictement asiatiques et majoritairement japonaises. En voie d’extinction, ils ne sont aujourd’hui plus qu’une poignée se dissimulant parmi les hommes. Créatures généralement bienveillantes et pourvues d’une grande intelligence, ils parviennent à assimiler quantité de savoirs, mais aussi à pénétrer dans les songes d’autrui afin de les manipuler. ● Lycanthropes : Malédiction des pupilles de la lune. L’âcre venin d’une monstruosité les a frappés une nuit, gangrenant leurs chairs jusqu’à la lune ronde suivante. Bêtes aux instincts bestiaux qui prédominent sous les effets de l’astre circulaire, ils perdent toute conscience de leurs actes lors de leurs transformations en monstruosités mi-hommes mi-loups. Leurs sens demeurent cependant constamment affutés, au même titre qu’une force surhumaine.  ● Sirènes : Charognes des eaux. Elles errent dans l'ondine saline ou douce à la recherche d'âmes pour en aspirer la vitalité et ainsi dé-sécher leurs proies sans vergogne. Créatures vicieuses malmenées par les mers devenues trop hostiles à cause de l'Homme, elles ont dû évoluer avec le monde, arpentant les terres pour mieux saisir leurs proies, qu'elles capturent de leur beauté. ● Spectres : Les ombres qui se dissimulent aux placards et sous les lits, ces âmes errantes assassinées par d'autres créatures et coincées entre deux mondes, condamnées à errer sans qu'on ne les remarque. Aujourd'hui ils sont en mesure de s'immiscer dans des corps, dérober l'identité d'un autre pour retrouver un semblant d'existence et accomplir une dernière mission afin de trouver la paix. ● Vampires : Maîtres des nuits brumeuses. Créatures non mortes et non vivantes arpentant les terres sans jamais trouver repos éternel. La faucheuse est omnisciente dans leurs sillages, en ombre qu'ils laissent en relâchant leurs proies. Buveurs de sang, ils glanent l'ichor encore chaud aux gargues. Rigueur cadavérique qui fascine pourtant l'humain depuis toujours. 

LES CRÉATURES NON HOSTILES

● Banshees : Entités fantomatiques hurlant mélopées funèbres, elles sont les individus qui ont un jour été frappés accidentellement par la faucheuse, alors que cela ne faisait guère partie de leur destin, revenant ainsi à la vie après une expérience de mort imminente. Ces êtres en ont conservé un lien particulièrement fort avec l’au-delà. Simili sorciers protecteurs de clans humains ancestraux, les Banshees perçoivent la mort, la sentent venir. ● Dryades : Nymphes des forêts. Êtres de nature, les dryades sont en déclin constant depuis l’aube de l’urbanisation qui dévore chaque jour un peu plus leur habitat naturel, si bien qu’elles frisent l’extinction. Malheureuses qui peinent à s’adapter. Leurs épidermes se fardent de fleurs et autres verdures, faisant de ces êtres de véritables écosystèmes vivaces qui ne sont guère de chair et de sang. ● Efrits : Vipères incandescentes. Esprits des flammes apparentés aux Djinn et aux minois provenant tout droits des terres du Moyen-Orient et d’Afrique. Bêtes qui dissimulent leurs visages mi-homme mi-reptile sous un faciès humanoïde, ils peuvent s’apparenter aux lézards ou serpents, arborant crochets et langues fourchues. Immortels venimeux, ils ont besoin de se nourrir de cendres pour subsister. ● Sorciers : Magiciens avisés qui ne se considèrent pourtant pas comme des créatures et bêtes fantastiques à proprement parler ; catégorie à part qu'ils sont. Humanoïdes gorgés de magie qu’ils tirent de la nature. Ils ont appris à dompter artéfacts et décoctions, afin de faciliter les existences grâces à leurs prouesses. Certains demeurent bénéfiques et protecteurs, d’autres se sont embourbés dans les méandres noirâtres d’une magie qui les consume peu à peu, puissante. On les murmurait jadis capables de façonner des bêtes infâmes et on leur attribue souvent l’origine des Vampires ou des Stryges. La nature faiblissant, leur apogée demeure souvenir lointain, bien que l'espoir semble renaître par l'éclosion d'un nouveau Coven. ● Stryges : Goules dévoreuses de macchabées. Gargouilles trônant dans les cimetières et reluquant du haut des églises. Elles se figent une fois l'aube levée en malédiction terrible qui les tourmente. Fardeau qui leur donne un aspect monstrueux aux antipodes des hommes qu'elles ont été un jour. La nuit les libère, ôte leurs traits de statue. 

[web1995]

File:Rhithrogena germanica subimago on Equisetum hyemale.jpg

Deutsch: Eine weibliche Subimago (ein geflügeltes Vorimaginalstadium) der Märzbräune (Rhithrogena germanica) aus der Familie Heptageniidae. Die Subimagines besitzen eine behaarte Haut (Subimaginalhaut), die auch die Flügel überzieht. Diese sind deshalb bei den Subimagines stets etwas trüb und haben häufig, wie auch bei R. germanica, eine bestimmte Musterung. Imaginalflügel sind hingegen in aller Regel hyalin und klar durchscheinend. Die Eintagsfliegen (Ephemeroptera, auch Ephemoptera; von gr. ephemeros - eintägig, pteron - Flügel) sind die ursprünglichsten unter den Fluginsekten (Pterygota). Es gibt sie schon seit 200 Millionen Jahren. Die Eintagsfliegen bilden eine Ordnung innerhalb der Klasse der Insekten (Insecta). Von den bekannten 2.800 Arten leben in Mitteleuropa mehr als 100. Die Eintagsfliege im Bild ruht auf einem Winter-Schachtelhalm Equisetum hyemale aus der Klasse der Schachtelhalme (Equisetopsida). English: A female subimago of March Brown (Rhithrogena germanica) mayfly in the family Heptageniidae. Mayflies are insects which belong to the Order Ephemeroptera (from the Greek ephemeros, short-lived and pteron, wing, referring to the short life span of adults). They have been placed into an ancient group of insects termed the Paleoptera, which also contains the dragonflies and damselflies. They are aquatic insects whose immature stage (called naiad or, colloquially, nymph) usually lasts one year in fresh water. It is resting on a Rough Horsetail Equisetum hyemale stem. Français : Un subimago femelle de (Rhithrogena germanica) sur une fructification de Prêle. Rhithrogena germanica est une mouche de mai ou éphémère de la famille des Heptageniidés. Rhithrogena germanica est une espèce répandue en Europe, sur toutes les rivières, mais avec une prédilection pour les eaux froides et oxygénées de moyenne montagne.

Identification: Dr. Arne Haybach at www.ephemeroptera.de (thanks!)

8 January 2008

Richard Bartz, Munich aka Makro Freak Image:MFB.jpg

[dixvinsblog]

Contes et légendes : La légende des nénuphars Carmen Montet

Il y a fort longtemps de beaux elfes et nymphes aimaient à se baigner dans les eaux fraîches des rivières, lorsque la chaleur estivale devenait par trop accablante. Un jour, de vilains lutins décidèrent qu’eux seuls pourraient profiter des eaux fraîches. Ils dressèrent des filets dans lesquels les nymphes et les elfes furent faits prisonniers, puis attachèrent à ces filets de grosses pierres et…

[decostatue]

La Nymphe Galatée : Une Sculpture qui a Fait Chavirer les Mers et les Cœurs !

Bienvenue dans le monde fascinant de la nymphe Galatée ! Dans l'univers de la mythologie grecque, elle est bien plus qu'une simple figure de la mer. Avec son charme envoûtant et son lien particulier avec le sculpteur Pygmalion, Galatée nous offre un récit aussi captivant qu'une toile de maître. Attachez vos ceintures, car nous partons à la découverte de cette histoire où art et divinité se rencontrent dans un tourbillon de symboles et de légendes. Prêt(e) à plonger dans les profondeurs de cette aventure ? Alors, préparez-vous à rencontrer une nymphe qui va vous faire battre le cœur plus vite que jamais !

Plongeons dans les eaux mystiques : L'origine de la nymphe Galatée

Une nymphe de la mer, née des flots enchantés Dans les profondeurs scintillantes de la mythologie grecque, une nymphe émerge des eaux azurées : Galatée. Cette créature enchanteresse est intimement liée à l'élément aquatique, étant une nymphe de la mer par excellence. Les légendes murmurent que Galatée est née des flots les plus purs, son essence étroitement entrelacée avec les vagues majestueuses et les courants marins mystérieux. Les Métamorphoses d'Ovide : L'histoire vivante de Galatée Parmi les nombreux récits qui entourent Galatée, celui que nous révèle le poète Ovide dans ses "Métamorphoses" est d'une beauté à couper le souffle. Selon cette légende enchanteresse, Galatée incarne l'esprit des mers d'une manière unique. Elle est décrite comme une nymphe d'une incroyable grâce, aux cheveux flottants tels des algues caressées par les marées, et aux yeux qui brillent comme les éclats du soleil sur l'océan. La magie du mythe de Galatée se dévoile Le récit de Galatée transcende la simple existence d'une nymphe. Il nous plonge dans un univers où l'amour, l'art et la transformation se mêlent d'une manière extraordinaire. Restez attentif(ve), car le prochain chapitre nous transporte dans le monde étonnant de Pygmalion, le sculpteur dont l'histoire s'entrelace avec celle de Galatée. Ensemble, ils nous offrent un conte qui a marqué les esprits à travers les âges.

Quand l'art rencontre l'amour : L'histoire envoûtante de Pygmalion et Galatée

Pygmalion, le sculpteur au cœur solitaire Dans les ruelles d'une cité antique, vivait Pygmalion, un sculpteur talentueux mais solitaire. Son amour pour l'art dépassait de loin tout autre sentiment. Ses jours et ses nuits étaient consacrés à tailler des blocs de marbre, donnant naissance à des statues grecques d'une beauté à couper le souffle. Mais malgré son art, Pygmalion ressentait un vide dans son cœur, une solitude qu'il ne pouvait apaiser. Le coup de foudre d'un sculpteur : Pygmalion tombe sous le charme de sa propre création Un jour, entre ses mains habiles, Pygmalion façonna une sculpture de femme qui surpassait toutes les autres. Ses doigts, guidés par une force mystérieuse, donnèrent vie à une figure d'une perfection inégalée : Galatée. Les traits délicats, la grâce infinie de ses courbes, tout en elle semblait rayonner d'une beauté transcendante. Pygmalion était éperdument amoureux de sa propre création, et son cœur s'enflamma d'une passion qu'il n'avait jamais connue auparavant. L'intervention d'Aphrodite : Quand une sculpture devient une nymphe vivante Ému par l'amour ardent de Pygmalion, Aphrodite, la déesse de l'amour et de la beauté, décida d'intervenir. Lorsque Pygmalion se rendit devant l'autel d'Aphrodite pour lui offrir ses prières, la déesse accorda une attention particulière à son amour sincère. Touchée par sa dévotion, Aphrodite insuffla la vie dans la statue de Galatée. Sous les yeux ébahis de Pygmalion, la pierre se métamorphosa en une nymphe vivante, prête à partager son existence avec celui qui l'avait créée avec tant d'amour.

Au-delà de la beauté : Les symboles mystérieux de Galatée

L'incarnation de la beauté idéale Galatée ne se contente pas d'être une nymphe d'une beauté éblouissante, elle est également l'incarnation même de la beauté idéale. Les traits délicats de son visage, sa posture gracieuse et ses proportions parfaites en font un symbole de l'esthétique parfaite. À travers Galatée, les artistes ont cherché à capturer et à exprimer la quintessence de la beauté, une quête sans fin dans le monde de l'art. Tout comme nos belles statues de couple qui inspire l'amour et la romance. La perfection artistique sous les traits de Galatée En tant que sculpture vivante, Galatée représente également la quête de la perfection artistique. Pygmalion, par son talent extraordinaire, a créé une œuvre d'art qui transcende les limites de la pierre pour devenir vivante. Galatée symbolise ainsi le pouvoir de l'art de donner vie à l'inanimé, de transformer une simple matière en une création qui respire et émeut. Les symboles cachés de Galatée Au-delà de sa beauté et de sa perfection, Galatée abrite des symboles cachés. Certains y voient une représentation de la dualité entre la réalité et l'illusion, une allégorie de la nature changeante de l'amour. D'autres perçoivent en elle une figure féminine puissante, capable de conquérir les cœurs des hommes par sa grâce et son charme envoûtant. Les symboles liés à Galatée sont multiples, laissant place à l'interprétation personnelle et à la richesse des significations.

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L'héritage éternel de Galatée : Son impact sur les arts

Galatée dans la peinture : Des toiles qui immortalisent sa beauté À travers les siècles, les artistes ont été captivés par la figure enchanteresse de Galatée, la plongeant sur des toiles qui immortalisent sa beauté éternelle. Des maîtres de la Renaissance tels que Raphaël ont peint des scènes de Galatée aux sphères, où sa grâce est magnifiée dans un paysage céleste. Les peintres modernes ont également été séduits par son charme, ajoutant leur touche unique à sa représentation. Galatée en sculpture : Des chefs-d'œuvre qui prennent vie La sculpture offre un terrain fertile pour donner forme à Galatée. Les sculpteurs talentueux ont taillé le marbre avec minutie pour capturer sa beauté intemporelle. Des chefs-d'œuvre comme "Pygmalion et Galatée" de Jean-Baptiste Regnault illustrent la fusion de l'art et de la mythologie dans une composition saisissante. Les sculptures de Galatée continuent de fasciner les spectateurs, révélant ainsi la puissance évocatrice de son image. Galatée dans la littérature : Un personnage mythique aux multiples récits Les mots des écrivains ont également été enchantés par la présence de Galatée. Son histoire a inspiré de nombreux auteurs à travers les siècles, qui ont tissé des récits riches et captivants autour de cette nymphe envoûtante. Des poètes romantiques aux dramaturges contemporains, Galatée est devenue une muse littéraire, un personnage mythique qui incarne l'amour, la beauté et la transformation. Conclusion La nymphe Galatée, née des flots mystiques de la mythologie grecque, continue de captiver notre imagination à travers les siècles. Son histoire d'amour avec le sculpteur Pygmalion et sa symbolique envoûtante ont transcendé les frontières du temps, la propulsant au rang de muse intemporelle. Galatée incarne la beauté idéale et la perfection artistique, symbolisant la fusion de l'art et de l'amour. Des peintures aux sculptures, en passant par la littérature, son image a inspiré les créateurs de toutes les époques. Alors que nous plongeons dans les eaux mystérieuses de la nymphe Galatée, nous sommes transportés dans un monde où les frontières entre l'imaginaire et la réalité s'estompent. Elle reste une figure énigmatique, suscitant des interprétations variées et un amour éternel pour son charme intemporel. Que ce soit à travers les pinceaux des artistes ou les mots des écrivains, Galatée continue de nous fasciner, nous rappelant la puissance de l'art et la magie des récits mythologiques. Son héritage perdure, nous invitant à explorer les profondeurs de l'âme humaine à travers la beauté et la transformation. En somme, Galatée est bien plus qu'une simple nymphe de la mer, elle est une muse qui a fait chavirer les mers et les cœurs, laissant derrière elle un héritage éternel dans l'univers des arts. Pour conclure, pensez à vous inscrire à la newsletter d'exception ! Read the full article

[plumedepoete]

Chantez l'amour, soyez eaux vives - Arnaud Mattei

Au ciel de nuit d'un temps fraîcheur              Emportés par les vents soufflets,                  A l'aube d'un matin douleur               Les parfums des instants secrets                  Ravivent les chagrins regrets.                       Fuyez vos blessures dérives,                        Naïade des jours chapelets               Chantez l'amour, soyez eaux vives.   Le futur d'un passé menteur              Promesse des demains reflets                      Sourit à l'avenir saveur.                     Il est dans les instants valets,             Vassal des pétales bouquets .           Sirène des aubes natives,                 Entonnez les refrains couplets,                     Chantez l'amour, soyez eaux vives.   Sur la mer aux vagues couleur,                    L'écume blanche des œillets             Oublie la tempête fureur.                   Où s'en vont les chemins sommets ?                        Où sont tes promesses projets ?                  Nymphe amante des douces rives,               A l'ombre des saules bosquets ?                  Chantez l'amour, soyez eaux vives.   Reine sur tes routes trajets,   Se perdent les larmes furtives.                      Ondine des transes ballets,               Chantez l'amour, soyez eaux vives.                                                 Arnaud Mattei, le 19 Mars 2023 ©2023 tous droits réservés Read the full article

[mysadecstasy]

L’Univers la Matrice et le Tout

Tes pas félins sur les remparts Dans tes yeux je vois la pureté de l’eau des montagnes Je vois l’innocence du nouveau-né La grandeur des pyramides L’étourdissement des bacchanales et Les désirs assoiffés de la Grande Recherche L’insoupçonnée allégresse lentement tisse sa toile de velours Autour des nymphes et des chérubins Et tes joues empourprées te donnent la suavité d’un ange Tu manges des étoiles Je te regarde cueillir avec grâce l’immensité des possibles Ton étreinte… Si riche Si poignante Ténébreuse et hurlante On dirait un Adieu mais c’est bien un Toujours qu’elle crie Ton étreinte a le goût d’éternité Et cette saveur réveille les morts Je rêve que je t’emmène avec moi Jusqu’aux confins du désert indévorable Là où pousse l’amour T’emmener aux confins du désert pour que tes yeux s’ouvrent en grand Alors je caresserai ta nuque entre tes cheveux noirs Et j’embrasserai tendrement ton cou jusqu’à atteindre ton épaule Désirs cruels comme une odeur de sabotage Des détours et des songes Pulsions insensées Sans tête Animales comme tes gémissements Epaule contre épaule Mes doigts courent sur ta peau d’olympe Et les sens se réveillent en transe Rendent muette la raison Pour sonner au diapason de l’insaisissable Croquer un bout d’impossible Enchevêtrements de passions de la première heure Le soleil vient se noyer rougeoyant dans les larmes de l’océan Encore faut-il enjamber la mer Lécher le sel et caresser ta peau frémissante Au chevet de l’heure dorée Ta bouche onctueuse et ton abandon aux étoiles Que faire de tous ces cris Ces hurlements emprisonnés dans la poitrine et dans le ventre Comme un fauve Prêt à bondir A déchirer les chairs A l’orée d’une jungle aux méandres impénétrables Que faire de tous ces cris que seules tes caresses apaisent Avec tes mains bien faites Avec tes mains en joie Dans le silence d’une coursive en colonnades Bordée de marronniers en fleurs Roses et blanches De la mousse sur les marches qui escaladent vers la chapelle Le grand saut Un radeau dérivant sur les eaux noires d’encre S’ancre les balbutiements du grand Inquisiteur Innocents et purs Dérive loin de la colère de Dieu Dérive dans l’ouate des amours dévorés Jusqu’à atteindre le golfe de la félicité Bordé d’une extase fière et lourde comme un monolithe d’or

[isauriedejuin]

Regrettez-vous le temps où les nymphes lascives

Ondoyaient au soleil parmi les fleurs des eaux

Alfred de Musset « Rolla »