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#par un beau matin d'été
homomenhommes · 13 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 181
La touze 2011 - 4
Pour la nuit, beaucoup ont préféré essayer le nouveau dortoir. Faut dire qu'il a de la gueule : couchage immense (10m), sanitaire favorisants la vue des uns sur les autres... A l'opposé des douches, nous avons eu le temps d'installer un projecteur vidéo qui peut diffuser tout types de films (mais vous aurez compris plutôt de cul par chez nous) sur une largeur de plus de 2m.
A part Eric, Bo-gosse et Xavier qui squattent l'étage du donjon avec Ric, Cédric, moitié et Théo1, tous les autres ont trouvé place dans la maison. Pour ma part j'ai passé la nuit avec Johan, Marc et Alex. Pas très original, mais après la débauche de la journée, Johan comme moi avions besoin/envie de retrouver nos bases !
Le dimanche n'a pas démarré de bonne heure. J'ai été le premier levé (en dehors de Samir et Ammed), il était déjà 10h. Comme la veille j'ai pu profiter seul de la piscine pendant une demi-heure et c'est encore Ric qui m'a rejoint le premier. ;Après un bon roulage de pelle, nous nous y sommes remis et nous avons pu nager 1/2 heure de plus avant de voir apparaître les autres invités.
Les arrivées se sont étalées jusqu'à midi environ. Le matin a été très calme, bisous et câlins seulement. Après la piscine, avec Ric, je suis descendu à la salle de muscu histoire de faire gonfler un peu nos musculatures. Franck nous a suivis et nous avons vu avec plaisir Second et Julien nous rejoindre.
Avant de démarrer notre séance, je distribuais à chacun un jock, le seul " vêtement " autorisé dans cette salle.
Pendant que nous entamions nos développés couchés, Ric et moi, les trois autres se sont échauffés.
5 mn plus tard Cédric se pointait. Je trouvais un jock à sa taille parmi ceux que j'avais achetés pour Jimmy. Aussitôt il s'est intercalé dans notre rotation. Il avait eu les yeux plus grands que le ventre et la barre chargée de ses 90 Kg est restée sur le portant ! Quelques 20 Kg de moins et il poussait à son tour la fonte. Second et Julien s'étaient mis à travailler leurs dorsaux. Quand je n'étais pas couché sur le dos à pousser ma barre, je passais les voir travailler. Ma main sur leur dos à sentir les muscles travailler sous la peau, c'est excitant et ma queue a commencé à gonfler. A les regarder de plus près, Julien et Second sont deux beaux jeunes males. Second, s'est fait une belle musculature avec son taf de maçon et son bronzage est déjà au top en ce début d'été. Seules ses fesses sont blanche à la dimension réduite de son short en jeans ainsi que ses pieds jusqu'aux chevilles (marque de ses caters). Julien, quand à lui, à des muscles plus " long " et son bronzage laisse à désirer ! Mais l'un comme l'autre arborent de belles épaules larges, une taille fine et un beau petit cul rond. Coté queues, c'est pas mal non plus et chez eux aussi ça commence à tendre la poche des jocks !
Marc passe la tête dans la porte pour nous dire qu'il est temps de les rejoindre pour déjeuner.
Il était temps car toutes les bites étant raides nous allions probablement baiser entre nous ! Douches. Malgré les savonnages mutuels, nous réussissons à ne pas aller trop loin. Second et Julien sont impressionnés par les installations quasi professionnelles. Ric et Cédric de confirmer que la seule différence avec leur club de muscu était le nombre de chaque appareil. Et Ric de compléter qu'il ne baisait pas au club ! Même s'il pensait que certains mecs se seraient bien fait son petit cul.
Nous enfilons nos maillots et remontons sur la terrasse. Samir et Ammed avaient déployé le buffet et chacun piochait dedans. Ric se souvenant du " match " de l'après midi, tout comme Jimmy et Moitié, grignote seulement.
Après un bon café, je pars avec les trois athlètes du cul et avec Kev et Franck pour m'aider.
Au donjon, nous préparons les 3 compétiteurs.
Lavements, jusqu'à ce que l'eau sorte aussi transparente en sortie qu'en entrée.
Graissage de cul et dilatation à la main.
Pluggage des 3 culs en attente
Tous les autres nous rejoignent. Les actifs devant honorer les culs de nos trois salopes se préparent à leur tour. Tous les autres passifs sont priés de sucer, lécher les bites, bouffer les couilles, exciter et garder raide la dizaine de queues qui bientôt pénétreront par deux les trois culs préparés.
Les premiers à s'y mettre sont Marc Alex et Igor. Ils se couchent sur le dos à environ 1m de distance sur les grands tatamis. Avec mes deux acolytes, nous dépluggons nos sportifs et les plantons sur les trois bites dressées. Nous les laissons trouver leurs positions puis, Bruno, Olivier et Jean Black se placent dans leurs dos et plantent à leur tour les trois culs offerts à la performance. Heureusement que nous les avions bien préparés, car malgré quelques grimaces et ce uniquement pour Moitié, les deuxième pénétrations se sont faites sans cris. Faut dire qu'ils étaient volontaires ! Il faut quelques minutes avant que les mouvements soient harmonieux et que nos trois " enculés " se fassent ramoner copieusement. Ric et Jimmy encaissent bien la chose, Moitié à plus de difficultés à gérer. Bo-gosse s'approche et l'encourage. Il lui dit que s'il accepte bien, lui l'enculera en dernier avec Eric ou Xavier. Vu la taille des deux, ça pourrait plutôt effrayer Moitié. Mais ce dernier est tout content et il donne des coups de cul pour se faire pénétrer encore plus fort ! Tous autour, nous bandons et les mains masturbent leur propre sexe comme ceux qui leurs sont voisins. Les enculeurs en second cèdent leurs places et sont remplacés par Eric, Bo-gosse et Xavier. Pour y aller progressivement et rassurer sa Moitié, Bo-gosse l'encule en duo. Ric récupère les 26cm de Xavier en plus alors que Jimmy se satisfait d'Eric en plus. Avec mes deux comparses, nous avons remis une couche de gel entre temps. A la demande de Ric je distribue des flacons de poppers pour leur en faire inhaler. Moitié, dont je m'occupe, apprécie et s'ouvre plus facilement. Au point que Bo-gosse m'en demande le nom et la marque.
Les sodos se font plus profondes et les râles des enculés s'entendent plus franchement. Autour, les branlettes ont laissé place aux pipes.
Quand les trois enculés laissent passer facilement les deux bites qui les liment de concert, nous pouvons les faire passer à la dernière phase : les mastards ensembles. C'est-à-dire Eric avec Xavier et Bo-gosse avec Jean black.
Les branleurs suceurs récupèrent les trois enculeurs écartés. Mais ils ne sont pas laissés pour compte avec deux jeunes à les sucer et à continuer de les exciter. Moi je reste avec les doubles sodomisés. Trop fun à voir ! Moitié, encore un peu expectatif malgré ce qu'il vient de se prendre dans le cul laisse Jimmy et Ric se prendre les couples de bites en premier. Mais pour qu'il ne se referme pas, je le fais s'assoir sur ma main. Elle rentre entièrement ! De voir se dérouler sous ses yeux ce qu'il ne va pas tarder à subir excite Moitié. Et il saute sur mon bras. Je le pousse en avant et il se retrouve à 4 pattes au coté de Ric. Ma main toujours dans son cul, il joue du bassin. Je la tourne lentement et sous mes doigts trouve sa prostate. Je la caresse doucement, ça le fait bander comme un malade. Kev lui repasse du poppers sus le nez. Il se déchaine et gueule qu'il veut des vraies bites dans le cul. BO-gosse laisse Ric et Xavier sort de Jimmy. Ils changent de kpote et se placent pour se faire Moitié. Xavier se met sur le dos et je pose Moitié sur sa bite. Je ne retire ma main qu'une fois ce dernier en place. En sortant, je lui caresse le gland et il aime. Ma main retirée, Bo-gosse peut entrer à son tour. Les mains sur les épaules de son mec, il le plante franchement. Moitié gueule que c'est trop bon tout en se faisant secouer comme un prunier ! Eric qui se faisait Ric est rejoint par Jean black. Ils apprécient tous les deux le cul musclé de Ric qui n'hésite pas à stopper leur progression par de belles contractions anales. Moitié n'est pas à ce stade, il subit la défonce de son trou comme une salope, incapable de maitriser quoi que ce soit.
Bo-gosse est le premier à jouir, il n'a que le temps de se retirer et kpote jetée, de couvrir le dos de sa Moitié avec son jus abondant. Xavier m'appelle et me demande de refaire ce que je lui avais fait quelques minutes plus tôt. Je jette un coup d'oeil à Bo-gosse qui me dit d'y aller, sa " salope " ayant besoin d'un bon larvage. Je graisse ma main et la glisse contre la bite de Xavier. Je tiens cette dernière dans ma paume. Je sens qu'il bande comme je ne l'ai jamais senti, autant que quand il m'encule quand je me fais sa meuf. Il reste enfoncé et c'et moi qui par massage le fait exploser. Sous le bout de mes doigts, je sens la kpote gonfler sous l'afflux de son sperme. Je le laisse se retirer et en sortant ma main, frotte la prostate de Moitié qui explose enfin. Bo-gosse le prend dans ses bras et couchés ensemble, il le laisse reprendre ses esprits doucement. Je rejoins Jimmy qui a trouvé avec Kev et Marc de quoi remplir son trou affamé. Je lui présente mes 20cm durs comme de la pierre et il m'avale jusqu'aux couilles.
Je lui prends la tête et excité lui " sodomise " la gorge. Je m'agenouille au dessus de la tête de Kev et ce dernier s'empresse de me bouffer la rondelle. Nous faisons un quatuor d'enfer ! Je me penche au dessus de Jimmy et roule un patin à mon Marc. Je ne tiens pas longtemps. Depuis des heures que je bande, je finis par exploser et mon jus couvre le visage de Jimmy. Ce dernier jute sur les abdos de Kev et contracte ses muscles annaux pour déclencher la jouissance de ses deux enculeurs. Ça ne manque pas et ils hurlent ensemble qu'ils lui remplissent le cul (enfin sous kpote bien sur).
Quand je regarde autour de moi, je vois que nous étions les derniers à juter.
Tous, nous sommes étalés qui sur les tatamis, qui dans les fauteuils ou contre les murs, par deux par trois et pour nous même par quatre. C'est alors que nos serveurs sont venus avec les rafraichissements.
Là il y a eu comme un dérapage ! Nos deux hommes de services n'étant pas de bois, bandaient comme des oufs sous leurs shorts en cuir.
Ils se sont fait attaquer proprement dit. Leurs plateaux pris en charge, ils ont été carrément mis à poil et Samir s'est fait pomper par Arnaud alors qu'Ammed se faisait préparer le trou par la langue experte de Phil.
Une fois la bite de Samir kpoté, les copains l'ont placée devant la rondelle préparée d'Ammed et les ont emboités l'un dans l'autre. Julien qui les " connait " bien sous ce jour là, après autorisation de Marc, les a rejoint pour participer au traitement d'Ammed. Ammed appréciant les rapports assez " musclés " nous l'avons vu se faire traire la bite, travailler les tétons le tout plus durement que dans un rapport classique. ;Ils nous ont offert un beau spectacle de baise alors que nous devisions tous autour une canette à la main.
Leurs éjaculations ont sonné la fin de notre mégatouze. Même les plus jeunes n'avaient plus d'énergie pour bander ! La fin de l'après midi s'est passée dans la piscine après que nous soyons tous passés sous les douches.
Les départs se sont échelonnés jusqu'à minuit où Julien est reparti avec sa camionnette frigo vide.
Quand nous avons fait le tour de la maison, je me suis dit que même avec Samir Ammed et Jimmy, nous en aurions pour une bonne journée pour tout remettre en place.
Avec Marc, nous avons eu deux surprises. La première en entrant dans le salon, nous somme tombé sur un deuxième tableau de Moitié accroché en face du premier. Le plus amusant est qu'il me représentait en pieds, nu de dos, la tête tournée sur le coté, à la façon d'une photo d'Herb Ritts.
La deuxième surprise a été le contenu d'un de nos grands vases en cristal. Avec les explications de Samir, nous avons su que chacun des invités y avait déposé sa participation. Alors qu'il s'apprêtait à mettre sa propre contribution pour Ammed et lui, nous l'en avons empêché. En rigolant je lui ai dit que les " violés " n'avaient pas à payer !
JARDINIER
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erosioni · 7 months
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Jean Paul Belmondo on the set of Jacques Deray's Par un beau matin d'été, 1965. Photo: Henry Diltz.
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meriol-lehmann · 11 months
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FRICHES
Hier fut une journée parfaite sur la friche. Toutes les conditions étaient là pour avancer dans la fenaison. Le foin fauché la semaine passée n'avait pas trop souffert, bien protégé en andains. J'ai donc commencé par retourner ces andains, afin de mettre le dessous, moins sec, au soleil. Cette opération aère aussi les andains, et permet au vent de mieux les sécher. Parce que j'ai fauché haut, le foin repose sur les tiges, ce qui évite l'humidité du sol et facilite la circulation d'air sous le foin. 
Une fois les andains retournés, il fallait terminer de faucher le champ. Idéalement, la fauche a lieu lorsqu'on a plusieurs jours de beau devant nous. Mais lors d'étés pluvieux, faucher juste avant la pluie permet de gagner du temps et le foin fraîchement coupé souffre peu des précipitations. C'est donc une surface d'environ cinq ares qui passa sous la lame de la faux. 
Le soleil était déjà caché derrière les collines appalachiennes lorsque ce fut terminé. L'odeur du foin à la brunante, la satisfaction du travail accompli : une bonne journée de labeur venait de se terminer. Mais un regard rapide sur la météo allait modifier les plans à la dernière minute. La pluie arrivait tôt, et tandis que j'avais prévu mettre les andains en meulettes uniquement le lendemain matin, il fallait que je m’y mette immédiatement. Lorsque le foin est dans un état de séchage avancé, mais pas prêt à être récolté, la mise en meulettes permet de mieux le préserver contre les intempéries. Un dernier effort, donc, entre chien et loup, avant d'aller profiter du sommeil du juste.
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lemurdetaic · 9 months
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Le château de Fontainebleau☀️👑🕊
Heureux qui comme Ulysse
A fait un beau voyage
Heureux qui comme Ulysse
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé
Après maintes traversées
Le pays des vertes années
Par un petit matin d'été
Quand le soleil vous chante au cœur
Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Quand on est mieux ici qu'ailleurs
Quand un ami fait le bonheur
Qu'elle est belle la liberté, la liberté…. Joachim du Bellay
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claudehenrion · 7 months
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Météore... au logis !
Mon ''pote'' Alain Rémond, chroniqueur à La Croix, m'ayant indiqué qu'il y avait une grève à la Météo, j'ai voulu vérifier, avec l'aide de ''Google'' (qui, comme Dieu tel qu'on le définissait dans ma jeunesse, ''sait tout, voit tout, entend tout''), les conséquences de l'inconséquence de ces Ponctionnaires, dont le salaire ne dépend que de la capacité que s'est octroyé l'Etat, ce monstre anthropophage, de... ponctionner (d'une manière que la morale réprouve et que l'économie a démontré perverse) mes revenus et mes ''biens'' –devenus autant de ''maux'', par sa faute...
Car enfin, imaginez que la dite météo se mette à s''estimer vexée d'être ainsi traitée par le mépris et l'abandon de poste en présence de l'ennemi... on pourrait avoir des ennuis. En effet, en ce moment, à part mon cher Midi... le temps n'est vraiment pas au beau fixe, en Macronie : il pleut, et en même temps, il pleut ! (NB : le ''quoi qu'il en coûte n'est pas loin, et nos primes d'assurances vont faire de jolies pirouettes !). Seul avantage : ''les ceusses'' qui ont avalé les bobards du Giec et de Greta Thunberg mélangés commencent à croire ce que leur disaient les gens posés et qui réfléchissaient au lieu de fléchir …). Vous me direz que, grâce à Hollande puis à Macron, on sait désormais comment guérir facilement les suites éventuelles d'un problème aussi soudain et suraigu qu'insoluble : on organise une marche blanche, précédée et suivie de dépôts de fleurs... et, si le mal persiste, on ajoute à ça un discours vibrant et creux du Président dans la cour des Invalides. Là n'est donc pas le sujet...
Ce qui vous vaut l'éditorial de ce jour (car... ''Vous le valez bien !'', disait, paraît-il, Coco Chanel), c'est que lorsque j'ai eu ''ouvert'' Google à la rubrique ''Grève météo'', j'ai lu, à ma très grande surprise : ''Ephéméride du 13 novembre à Greve. Météo : 5° le matin, 6° l'après-midi. Temps couvert, pluie en soirée. Soleil : lever à 07h41, coucher à 16h21. Nouvelle lune''. C'est tout. Vous imaginez ma tête ! C'est quoi, ce truc ? Il existerait une météo de la grève, ou vice-versa, et personne ne m'avait rien dit ? Si ça continue, je vais me mettre en grève, comme la météo... C'est encore un coup des complotistes, ça... A moins que ce ne soit de l'extrême droite... ou peut-être de Poutine : celui-là, il est capable de tout !
Curieux de nature, j'ai voulu en savoir plus, et j'ai, illico-presto, tapé ''Grève'' sur mon navigateur (j'ai choisi Google, comme tout le monde ou presque. Il n'accepte donc pas les accents). Et là... Eureka : en quelques secondes, j'ai tout compris ! Greve (sans accent, donc) est une ville danoise, située au sud de Copenhague (une des nombreuses villes que j'adore... en été), dans la très belle île de Sjælland, (qui est devenue, précise utilement la notice, ''une zône résidentielle, dans les années '60'', ce qui m'a vraiment intéressé : je vais pouvoir coller ça dans tous les ''dîners-en-ville'' de la quinzaine !).
Je croyais en avoir fini avec cette histoire, lorsque Google a jugé utile de préciser, à ma seule intention, j'espère, que Greve est jumelée avec la célèbre commune de Greve-in-Chianti'', seule Greve connue qui pétille. Celle-là est en Italie, dans les environs immédiats de Florence... ce qui m'a aussitôt remis en mémoire les délices de ces soirées d'été en Toscane, qui n'en finissent pas de ne pas finir, sur la terrasse du merveilleux ''hôtel de charme'' baptisé ''i Rondini'' (= les hirondelles, parce que ceux qui y ont été une fois, dit la patronne, y reviennent chaque année tant il est inoubliable). La météo, à Greve est aussi facile que de faire la grève pour la météo : à 85 %, c'est ''beau temps ensoleillé, température douce, ciel dégagé''... et Florence à vos pieds...
Ainsi ai-je connu, grâce à ou malgré la grève de la météo, la météo de Greve –dont j'ignorais jusqu'à l'existence--, et l'existence de Greve --dont je prévois la météo... Deux greves pour le prix d'une. Mais là... nouveau drame : j'ai complètement oublié pourquoi j'étais à Greve, d'abord, puis à Greve, ensuite, et pourquoi je m’intéressais à la météo... Un moment plus tard (on a l'âge de son millésime de naissance !), je me suis souvenu que la raison en était ce qui se passe ici, chez nous, en France… ''et en même temps'', en grève (décidément, je ne m'en sors pas !).
En atterrissant après ces deux courtes incursions dans des Greves que j'ai tangentées et aimées (par météo clémente et alors qu'aucune des deux n'était en... grève !), je me suis dit qu'il devait effectivement exister des liens très forts entre la grève et la météo : apparemment, la grève de la nôtre (de météo) n'est pas sans conséquences sur elle (la météo, pas la grève) : le pays coule littéralement sous des cataractes qui le transforment en marécages quand ce n'est pas en polders et les nappes phréatiques débordent à en inonder plaines et vallées... Ça, Madame, c'est du bon et du vrai réchauffement climatique, la sécheresse en prime ! Ces idiots ne savant même pas que la masse totale de l'eau sur la Terre est une constante …
Alors, plutôt que d'invoquer le réchauffement et la sécheresse, comme le font sans cesse tous les perroquets de fin du monde qui ne rêvent que d'affoler les populations et les braves gens, de façon à augmenter les impôts pour pouvoir subventionner ainsi tout ce que la planète peut compter d'institutions douteuses aux intentions catastrophiques (habituées des ''prophéties auto-réalisées''), pensons à nos pauvres concitoyens du Nord, du Pas-de-Calais ou des Vosges, ce soir, qui sont tellement à plaindre dans leurs villages ravagés... comme par une guerre... Eux, ils ne pensent pas une seconde à se mettre en grève. Tiens ! Ça me donne une idée : on devrait penser à organiser des marches blanches contre la grève de la météo : il paraît que, en hollando-macronie, ça résout tous les problèmes...
H-Cl.
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theoutcastrogue · 10 months
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Georges Brassens - Heureux qui comme Ulysse
Happy he who like Ulysses Journeyed far and wide Happy he who like Ulysses Has seen hundreds of lands And has regained again, after Many years of wandering The country of his youthful years
On an early summer morning When the sun sings within your heart Then how fine it is to be free Fine to be free!
When you’re better here than elsewhere When one friend can make you happy Then how fine it is to be free Fine to be free!
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Heureux qui comme Ulysse A fait un beau voyage Heureux qui comme Ulysse A vu cent paysages Et puis a retrouvé Après maintes traversées Le pays des vertes années
Par un petit matin d'été Quand le soleil vous chante au cœur Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Quand on est mieux ici qu'ailleurs Quand un ami fait le bonheur Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Avec le soleil et le vent Avec la pluie et le beau temps On vivait bien content Mon cheval, ma Provence et moi Mon cheval, ma Provence et moi
Heureux qui comme Ulysse A fait un beau voyage Heureux qui comme Ulysse A vu cent paysages Et puis a retrouvé Après maintes traversées Le pays des vertes années
Par un joli matin d'été Quand le soleil vous chante au coeur Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Quand c'en est fini des malheurs Quand un ami sèche vos pleurs Qu'elle est belle la liberté, la liberté
Battu de soleil et de vent Perdu au milieu des étangs On vivra bien content Mon cheval, ma Camargue et moi Mon cheval, ma Camargue et moi
[translation by Gulalys, lyrics by Henri Colpi, original poem by Joachim du Bellay]
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bonplanvoyage · 2 years
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Les 6 meilleures randonnées en Corse
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Vous êtes à la recherche des meilleures randonnées en Corse pour vos prochaines vacances ? Bien que de nombreuses personnes pensent que la Corse est l'endroit idéal pour des vacances à la plage, la Corse est en fait un véritable paradis pour les randonneurs. Elle est même traversée par l'un des sentiers de randonnée les plus célèbres au monde : le GR20. Dans cet article, nous allons nous concentrer sur les plus belles randonnées d'une journée que vous pouvez faire en Corse. Ces 6 sentiers de randonnée en Corse sont parfaits pour une journée ou une demi-journée d'aventure !
Plus beaux sentiers de randonnée en Corse
Randonnée côtière de Bonifacio jusqu'au phare
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Le phare de Bonifacio offre un superbe point de vue - Distance de randonnée : 8km - Élévation : 140m - Type d'itinéraire : Aller-retour - Durée : 2,5 heures - Niveau : Facile. - Meilleur moment de la journée : faites cette randonnée le soir pour admirer le coucher de soleil sur Bonifacio. - Saison : avril à fin septembre Cette étonnante randonnée côtière en Corse qui débute à Bonifacio. Elle est également connue sous le nom de Sentier de Campu Rumanilu andamp ; Pertusatu. Ici, vous pouvez admirer les vues les plus incroyables pour un tout petit effort. Le début du sentier de randonnée est visible depuis le bastion de Bonifacio et de là, vous pouvez le voir se courber au sommet des falaises. Il y a un tas de sentiers de randonnée près de Bonifacio mais celui-ci offre certainement les vues les plus spectaculaires sur les falaises et la ville elle-même. Cette randonnée est idéale à faire avec de jeunes enfants.Il n'y a pas de pentes raides ou de parties dangereuses sur ce sentier de randonnée près de Bonifacio. Vous devez juste faire attention pendant les jours très venteux . Marcher jusqu'aux Cascades de Purcaraccia
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Faites une pause fraicheur dans les bassins des cascades de Purcaracci - Distance de randonnée : 4,8 km - Élévation : 354m - Type d'itinéraire : Aller-retour - Durée : 2,5 heures - Niveau : Difficile - Meilleur moment de la journée : commencez votre randonnée tôt le matin - Saison : avril à fin septembre La randonnée des Cascades de Purcaraccia est l'un des plus beaux sentiers de randonnée de Corse mais ce n'est pas le plus facile. Le sentier n'est pas du tout balisé et il est très facile de manquer une bifurcation au bout. Pour suivre le sentier, munissez-vous d'une application de randonnée comme Viso Rando ou AllTrails. Le sentier commence à peu près sur le bord de la route, dans le virage en épingle à cheveux qui suit le Col de Larone. Il y a une toute petite sortie où vous pouvez garer votre voiture mais assurez-vous d'arriver tôt car il n'y a de la place que pour 3 voitures. Sinon, vous pourrez garer votre voiture au parking Bocca di Larone qui se trouve à seulement 2 minutes de marche du début du sentier de randonnée. La première partie du sentier de randonnée Cascades de Purcaraccia traverse une petite forêt et offre des vues incroyables sur les Aiguilles de Bavella. Le sentier s'enfonce après dans une gorge où vous devrez grimper sur des rochers et traverser la rivière à un moment donné, alors gardez un œil sur votre application afin d'éviter de vous retrouver dans un cul-de-sac. Ces désagréments valent toutefois le coup d'être laissés de côté. La destination finale vaut vraiment la peine. Les cascades de Purcaraccia sont tout simplement sublimes et vous pouvez même vous y baigner pendant les mois d'été. Randonnée de Capo Rosso - Le plus beau sentier de randonnée d'un jour en Corse
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Le sentier de randonnée de Capo Rosso est un des plus beaux de l'île de beauté. - Distance de randonnée : 6,9 km - Élévation : 457m - Type d'itinéraire : Boucle - Durée : 3 heures - Niveau : Modéré - Meilleur moment de la journée : le meilleur moment serait de commencer votre randonnée en fin de soirée pour pouvoir admirer le coucher de soleil depuis la tour génoise. - Saison : avril à fin septembre Le sentier de Capo Rosso constitue l'une des plus belles randonnées de Corse . La région autour des Calanques de Piana est absolument merveilleuse pour faire de la randonnée et l'un des plus beaux endroits à visiter dans toute la Corse. Le sentier de randonnée Capo Rosso commence près de Piana, une petite commune qui fait partie du select club des plus beaux villages de France. La quasi-totalité du sentier de randonnée est exposée, alors assurez-vous d'apporter de la crème solaire et beaucoup d'eau avec vous ! La randonnée passe par la tour génoise de Turghiu, l'une des plus hautes tours de la côte corse, dont le sommet offre une vue imprenable sur le golfe de Porto, le golfe de Sagone et la réserve de Scandola. La randonnée du Capo Rosso est très bien balisée. Le chemin est facile à suivre, seuls les derniers mètres de montée comportent un peu d'escalade mais il suffit de s'orienter vers la tour génoise et c'est parti ! À un moment donné, le sentier se divise en deux sections, l'une n'étant pas plus difficile que l'autre. Le sentier le plus long vous emmène simplement le long des falaises et offre quelques points de vue différents ! Randonnée de la Source des Roches Bleues et des Calanques de Piana
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Le randonnée de la Source des Roches Bleues et des Calanques de Piana offre des panoramas exceptionnels. - Distance de randonnée : 4,3 km - Élévation : 343m - Type d'itinéraire : Boucle - Durée : 2 heures - Niveau : Facile - Meilleur moment de la journée : partez tôt le matin afin de voir le spectacle du soleil qui éclaire les formations rocheuses rouges. - Saison : avril à fin septembre Une autre randonnée amusante en Corse qui commence près de Piana est le sentier de randonnée Source des Roches Bleues et Calanchi di Piana. Cette randonnée vous emmène à travers la forêt et offre des vues imprenables sur les environs. A un moment donné, vous vous retrouvez sur la route au milieu de la Calanque de Piana et bien qu'il existe un autre sentier de randonnée, j'ai préféré marcher le long de la route pour admirer toutes ces formations rocheuses et prendre des tonnes de photos ! L'itinéraire traverse le ruisseau du Dardo et offre une vue magnifique sur les Calanques de Piana. La randonnée Girolata via le Sentier du Facteur
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La réserve naturelle de Scandola est un site naturel classé au patrimoine mondial. - Distance de randonnée : 9,7 km - Élévation : 555m - Type d'itinéraire : Boucle - Durée : 3,5 heures - Niveau : Facile. - Meilleur moment de la journée : le matin - Saison : avril à fin septembre La randonnée Girolata via Sentier du Facteur est l'une des meilleures randonnées de Corse et une randonnée qui doit absolument figurer sur votre liste ! La petite ville de Girolata est un véritable joyau caché et l'une des plus belles villes de Corse. On ne peut y accéder que de deux façons : à pied ou en bateau. La randonnée commence au Col du Croix où vous pouvez garer votre voiture et la première partie descend simplement à travers une forêt jusqu'à la Plage de Tuara, une belle plage où vous ne trouverez pas beaucoup d'autres personnes. Ensuite, le sentier se divise et vous pouvez choisir de marcher le Sentier du Facteur (ma recommandation personnelle) ou de suivre une partie du sentier Mare et Monti. Le Sentier du Facteur est appelé ainsi car le facteur local avait l'habitude de le parcourir tous les jours pour distribuer le courrier aux habitants de la petite ville de Girolata. Randonnée dans les gorges de Spelunca près d'Ota
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Le village d'Ota et les gorges de Spelunca constituent une belle randonnée à faire en famille. - Distance de randonnée : 3,1 km - Élévation : 115m - Type d'itinéraire : Aller-retour - Durée : 3,5 heures - Niveau : Facile - Meilleur moment de la journée : le matin - Saison : avril à fin septembre Les gorges de Spelunca sont l'un des plus beaux endroits de toute la Corse et il y a plusieurs options de randonnée ici ! Vous pouvez choisir de faire une randonnée depuis Ota jusqu'à la belle ville d'Evisa ou vous pouvez choisir de marcher vers le pont Zaglia, un magnifique pont en pierre classé Monument historique.
Conseils essentiels pour la randonnée en Corse
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lexiie-xd · 1 year
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13 janvier 2023
Point de passage😁
Mon corps... satisfaite de mon physique, au niveau poids je n'ai jamais été aussi mince, 78.5kg. Par contre c'est mon visage qui me pose problème pour les photos. J'ai tellement minci que ça fait des plis au coup, des rides sur le visage... de plus je n'arrive pas à mon maquiller correctement la barbe. Je cherche une maquilleuse compétente, mais c'est compliqué. Je réfléchis également à tout avouer à mon esthéticienne pour qu'elle m'aide pour mon visage.
Sinon je fume comme une conne, je suis heureuse comme ça. Mais je continue le sport et les abdos le matin.
J'ai acquis de prendre une soirée par semaine et je fais des tonnes de photos en stock, pour la période d'été où je ne pourrai plus me travestir.
Mes réseaux fonctionnent, surtout Insta, des nouveaux abonnés tous les jours... lentement mais sûrement!
Un abonné sur Mym, je suis trop contente, j'espère que d'autres vont venir... j'alimente tous les jours.
Niveau sexe, plus envie de baise traditionnelles avec des mecs mal équipés... j'ai envie de sexe qui sorte de l'ordinaire, avec un black bien équipé, un gang bang, un bukkake... de l'exhib... mais j'ai beau mettre des annonces, rien n'arrive de sérieux!
Du coup j'ai recommencé à me goder... pendant mes séances photos en solo. Je me vide de plus en plus profondément et j'arrive à me rentrer presque 40cm.... je kiffe!!!
Objectifs des mois à venir:
Trouvez quelqu'un qui m'aide pour les photos, le maquillage
Perdre encore du poids
Améliorer mon visage pour des soins.
Faire des shooting ailleurs que dans mon studio pourri
Me rentrer mes godes en entier
Bises😘😘😘
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triste-guillotine · 2 years
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NÅSTROND "Age of Fire" CD 1996 (’My rod is athrust, Erection. Vaginal praying, love-growth. Through the flames of Hell, comes the Lord of the Earth. Death (life) behind nine months, Infernal ones, come forth. Bring us sin to revel in...’)
1. Prologue 2. Age of Fire 3. Winged Phallus (Ferocious Angel) 4. Womb of Chaos 5. The Four 6. Une charogne 7. Consecration of the Flame 8. The Great Below 9. Vanished from the World 10. The Red Force (Of the Trapezoid) 11. Emancipation 12. Opening of the Mouth 13. Epilogue - The Fifth Book of Satan
“Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d'été si doux : Au détour d'un sentier une charogne infâme Sur un lit semé de cailloux, Les jambes en l'air, comme une femme lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique Son ventre plein d'exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. Tout cela descendait, montait comme une vague Ou s'élançait en pétillant ; On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague, Vivait en se multipliant. Et ce monde rendait une étrange musique, Comme l'eau courante et le vent, Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique Agite et tourne dans son van. Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve, Une ébauche lente à venir Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève Seulement par le souvenir. Derrière les rochers une chienne inquiète Nous regardait d'un oeil fâché, Épiant le moment de reprendre au squelette Le morceau qu'elle avait lâché. Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, À cette horrible infection, Étoile de mes yeux, soleil de ma nature, Vous, mon ange et ma passion ! Oui ! Telle vous serez, ô la reine des grâces, Après les derniers sacrements, Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements. Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine Qui vous mangera de baisers, Que j'ai gardé la forme et l'essence divine De mes amours décomposés !”
- Charles Baudelaire
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vilnisia · 2 years
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Le petit four
C'est l'histoire d'un petit boulanger, un très petit boulanger. Tous les matins devant son four à pain, il cherchait le moyen de faire un pain croustillant et moelleux, avec de la mie tellement aérée que manger du pain serait un plaisir coupable.
Un sourire sur le visage, les yeux presque caché par sa toque trop grande pour lui.
Il travaillait la pâte de ses petites mains, pétrissant énergiquement depuis les premières heures du matin. Pendant la cuisson de ses petits pains il installait soigneusement la boutique vérifiant fréquemment la cuisson. Il était heureux, pourtant il avait de la peine en voyant la petite vendeuse, son sourire lui faisait fondre le cœur, sa voix était douce et chaleureuse, il était éperdument amoureux mais n'osait pas lui avouer par sa timidité.
Un beau jour d'été, comme tous les matins le petit boulanger était déjà devant son four à pain, ce jour là il avait enfin décidé de lui avouer son amour. Il lui faisait un joli pain en forme de coeur. Le moment venu il lui offrit, la vendeuse lui fit un large sourire et lui fit un tendre baiser.
Quelques années plus tard dans ce petit village des Alpes, les deux petits boulangers s'était marié et avait trois adorables enfants. Devant leur boutique Le Petit Four.
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go-poirier · 2 years
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Comme la nuit, je m'avance dans ce jardin Aucune fleur debout, pas de parfum À la fontaine, au chant glacé de son eau Je sens l'ennemi dans mon dosJe me tais, j'avance Dans ce jardin noir de bleu Le feu au cœur, j'avance Tous ignorant tout de ce feuOn dit, prie et tout va mieux Ô mère, prie pour moi si tu peux Il faut aimer son prochain mais tu vois comme Un oiseau noir niche au cœur de l'hommeJe me tais, j'avance Passé, je brûlerai ce pont Le feu au cœur, j'avance Les pauvres ne portent même plus de nomJe suis las, las de pleurnicher Les larmes ne m'ont rien apporté Si je devais les trouver endormis Je tuerai un à un mes ennemisJe me tais, j'avance Parmi les fourberies et les tromperies Le feu au cœur, j'avance Par les villes foutues, vidées, endormiesLe loup capital veut ta peau Le monde cupide veut ta peau Il te fera lâcher tôt la lutte Toi-même tu guideras ta chureJe me tais, j'avance Parmi les on-dit, dans les commérages Le feu au cœur, j'avance Il est temps de faire équipageLeur mépris bientôt te cloue Un beau matin, tu ne te lèves plus du tout Quant à moi, au bout je suis Je veux venger mon père à tout prixJe me tais, j'avance Le pas mal assuré dans la pente Le feu au cœur, j'avance Toujours ton image qui me hanteMes compagnons de route, mes sœurs, elles N'ont pas moins que moi le cœur en flammes Mais il n'y a pas ici de chapelles Pour déposer le fardeau de nos âmesJe me tais, j'avance Mon chien est à bout, à bout Le feu au cœur, j'avance Toujours ton image qui me hanteMaintenant le ciel s'ouvre On veut se sentir soulagé Honneur, sagesse et rides D'aucuns disent que le ciel est videJe me tais, j'avance Sur mon dos, le reste d'un des miens Le feu au cœur, j'avance Dans le talon, un mal de dents de chienLa peine semble sans fin Partout de quoi pleurer, partout Qui pense que cette peine est feinte N'à qu'à venir ici prendre le poulsJe me tais, j'avance Voilà bien longtemps que je crains Le feu au cœur, j'avance De n'être plus qu'un point dans le lointainComme la nuit, j'avançais dans ce jardin Dans la soirée d'été, dans l'herbe chauffée Pardon madame, j'ai dit pardon madame Il n'y a plus personne, plus de jardinierJe me tais, j'avance Me voilà dans le haut du paysage Le feu au cœur, j'avance Au bout du bout, dans le haut du paysage
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tvln · 2 years
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par un beau matin d'été (fr/sp/it, deray 65)
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profenscene · 3 years
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Dimanche 18 juillet
Je me dois, en ce beau jour de vacances d'été, de t'avouer l'un de mes secrets les plus honteux : la raison de ma présence sur internet n'est pas de répandre joie et bonne humeur auprès de mon lectorat. Ce n'est pas non plus de partager mon expérience dans le but que d'autres enseignants puissent en profiter.
Non.
Je suis sur internet pour devenir une starlette du web, engranger des abonnés, et devenir pour un nombre croissant de personnes un sujet d'admiration et d'interrogations ardentes comme, par exemple, que met-il sur ses pâtes (du gruyère et du beurre, foin de ces afféteries gnan gnan que sont le pesto et la ciboulette).
Et donc, pour atteindre cet objectif, il me faut à présent, comme toute bonne semi-célébrité (et future femme de médecin) être canceled. Que signifie cet anglicisme barbare ? Que je dois brutalement prendre une position qui fera de moi le mouton noir des gens qui me lisent, et que l'on cherchera à "annuler" mon influence toute relative sur internet. Encore une fois, je ne peux que vous conseiller la merveilleuse vidéo de Natalie Wynn sur la cancel culture, en plus elle est sous-titrée en français et promis, vous serez quelqu'un de mieux après l'avoir vue.
Adieu donc, public chéri, c'était chouette, mais il faut désormais passer aux choses sérieuses.
Enfin sérieuses c'est un bien grand mot.
CHAPITRE 1 : LA POMME DE DISCORDE
(Préambule : si un novice de l'Education Nationale passe par là, déjà, je l'invite à fuir très vite, et s'il insiste pour rester, je lui fournis deux expressions nécessaires pour comprendre cette grande rigolade.
Certifié : enseignant ayant obtenu le concours du CAPES. Emploi du temps : 18h de cours par semaine.
Agrégé : enseignant ayant obtenu le concours de l'agrégation, considéré comme plus sélectif que le CAPES. Emploi du temps : 15h de cours par semaine, touche un salaire plus élevé qu'un titulaire du CAPES. En théorie, davantage destiné au lycée, mais peut tout à fait enseigner en collège.)
Tout commence il y a deux ou trois jours, soit une éternité et demie dans la temporalité des réseaux sociaux. Un tout jeune collègue, que nous appellerons Pâris, écrit ce message, depuis supprimé :
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Autant dire que le tweet ne plaît pas à tout le monde. Pâris se prend, via des réponses et des subtweets, un discours à base de "Mais dis donc petit jean-foutre, pour qui tu te prends avec ton agrégation de te croire au-dessus de la plupart de tes collègues et dispensé des règles qui s'appliquent à tous les agents de la fonction publique ?"
Légèrement dépassé par une notoriété qu'il n'avait pas vu venir, notre agrégé passe rapidement son compte en privé. Mais bien entendu, l'affaire ne concerne plus que lui.
Certains agrégés demandent en effet pourquoi tout le monde s'offusque lorsque l'on établit une différence entre certifiés et agrégés, tandis que certains certifiés demandent pourquoi les agrégés sont incapables de lire les statuts qui indiquent que l'enseignement en lycée n'est pas un droit ? Histoire de simplifier la choses, d'autres agrégés expliquent qu'enseigner en collège les a énormément aidé, et des certifiés se demandent s'il n'y aurait pas un peu de jalousie parmi les leurs.
Bref, accroche-toi Marty, nous avons voyagé dans le temps, et nous nous retrouvons à nouveau dans le grand débat agrégé / certifié.
CHAPITRE 2 : LA GUERRE DE TROIE
Le débat CAPES vs agrégation n'est pas nouveau. Même si je n'en n'ai jamais été témoin, nombre de collègues m'ont rapporté, dans de grands lycées, l'existence de salles des profs séparées selon les statuts. Je pense que l'un des - nombreux - problèmes provient d'un flou dans le statut des agrégé, flou dont notre bon vieux ministère a le secret. Le statut en question précise que les agrégés enseignent exceptionnellement en collège, mais avant tout dans les lycées et les classes préparatoires (source). En théorie, un agrégé, notamment un agrégé ayant effectué son parcours en ligne droite (sans jamais s'arrêter d'étudier) s'attendra davantage à être nommé pour faire cours à des premières plutôt qu'à des cinquièmes. Le souci étant que la théorie, c'est bien joli, mais les faits, c'est là. D'après des statistiques de 2017 (qui sont les seules fiables dont je dispose), 16% des agrégés enseignent en collège. Ce qui est peu, mais pas négligeable.
L'entrée dans l'enseignement est souvent un moment de vertige profond. Parce qu'on entre dans la vie active, que l'on est nommé dans un endroit dans lequel on n'a aucune attache, parce que lorsque le premier jour de classe, Yanis vous crache dans les cheveux, ça fait bizarre. Et donc, il ne me paraît pas qu'un collègue nouveau dans le métier (ou pas nouveau en fait), se fende d'un tweet maladroit dans lequel il exprime son cas personnel, en oubliant qu'il parle devant des gens qui en ont marné tout autant, si ce n'est plus que lui, et dont il semble nier la légitimité. Il ne s'agit bien sûr que de mon interprétation. Mais en vrai, je pense que ce tweet représente l'interrogation d'une tétrachiée d'entrants dans le métier. A savoir : "Mais comment est-ce que je vais faire pour être prof ?" C'est en tout cas la question que je me suis posée un nombre incalculable de fois, lors de mes premières années, d'heures de cours compliquées en formations pédagogiques souvent désastreuses.
L'agrégation brandie est peut-être du mépris pour les collégiens. Peut-être un bouclier. Je n'en sais rien, mais Twitter n'étant pas environnement à laisser le bénéfice du doute (comme le montrera très probablement l'accueil réservé à ce billet), il était évident qu'on allait interpréter ce fameux tweet comme une attaque envers la légitimité d'une catégorie de profs.
CHAPITRE 3 : LA-HAUT SUR L'OLYMPE
La légitimité, le mot est lâché. Et non, je n'accepterai pas l'argument "Gna gna gna, les profs qui pignent tout le temps qu'on ne les aime pas." Depuis que j'enseigne, et particulièrement ces dernières années depuis l'entrée en fonction d'un certain ministre, le discours ambiant semble être, tous en chœur que "Les profs ils travaillent que 18 heures par semaine, ils sont toujours en vacances, ils se plaignent et ils donnent pas de bonnes notes à Marie-Ludivine." (liste non-exhaustive). Passer des semaines / mois / années à se battre contre ces clichés peut finir par fatiguer, exaspérer, même. Et lorsqu'on lit les paroles d'un collègue qui semble vouloir rejoindre le camp des oppresseurs, qui se placerait au-dessus de nous, l'envie est forte de le rappeler à l'ordre. Peut-être de l'humilier un peu. Pour lui rappeler que nous sommes dans la même galère, qu'il y a intérêt à ce que nous faisions corps, et que si ça n'est pas possible, autant qu'il quitte le navire. Je ne pense pas que cette méthode soit efficace. Je crois aux vertus de l'explication, en permanence. Je crains que le fait de secouer un collègue un peu prétentieux ou un twittos maladroit est contre-productif. Car il se mettra alors sur la défensive et sa rupture avec cette union des enseignants que je crois nécessaire de créer, surtout en ce moment, sera consommée. Mais il est de notoriété publique que je suis un traître vendu au patronat, je ne développerai donc pas cet argument plus avant.
"Mais Samovar, il y aussi des agrégés qui ne se plaignent pas d'enseigner au collège, des certifiés qui font des étincelles au lycée, des contractuels et des vacataires qui font de leur mieux partout où ils passent."
En effet. Et j'en connais, et c'est tout à leur honneur. C'est même génial qu'ils puissent s'éclater et apporter à leurs élèves. Elle est là, notre légitimité. Dans le boulot que nous effectuons. Parce qu'en fin de compte, je pense que chacun d'entre nous sait parfaitement. S'il bosse correctement ou s'il est en difficulté. C'est là que se trouve notre légitimité. Et s'il se trouve que j'ai mal interprété ce tweet, s'il est une marque de mépris envers les enseignants de collège... Mais en gros qu'est-ce qu'on en a à foutre. Il n'a rien pigé, tant en tant que prof, qu'agrégé et que personne.
Par contre, qu'une agrégée estime qu'elle est davantage apte à préparer des élèves au bac qu'un certifié... C'est son droit le plus strict. Du moment qu'elle est capable de le prouver à ses élèves, lors de ses cours.
CHAPITRE 4 : LA COLÈRE D'ACHILLE ET DES AUTRES
"Assez" va finir par crier une foule exaspérée, "assez de cet argumentaire débile, quand est-ce que tu finis et qu'on peut te lyncher ?"
J'ai presque fini, promis. Juste un dernier truc.
Poussé par un démon pervers, je me suis fendu ce matin d'un tweet troll. J'ai écrit, je cite :
"Bonjour les certifiés, bonjour les agrégés."
J'ai reçu nombre de réponses rigolardes ou ironiques, de gens qui avaient saisi la référence à ce tweet.
J'ai aussi reçu un nombre de messages privés furieux (et pour le coup, premier degré), me demandant pourquoi je ne citais pas les vacataires, les contractuels, les profs des écoles, les CPE et j'en passe. L'idée n'est bien entendu pas de prendre qui que ce soit pour un con (en tout cas pas parmi mes collègues) : mais cette mini-expérience confirme qu'il y a quelque chose de profondément viscéral dans cette défense de notre statut, quel que soit la fonction que l'on occupe dans la grande machine de l'éducation.
Et pour conclure encore une fois en manuel de développement personnel : cette mini-affaire a oscillé entre la rigolade et la grosse colère. Mais j'ignore si elle apportera quoi que ce soit de plus à la réflexion sur notre métier. Certains agrégés ne risquent-ils pas de se sentir éléments indésirables du corps professoral ? Certains certifiés n'auront-ils pas l'impression qu'on continue à les déclasser ? De jeunes profs ne penseront-ils pas qu'un faux pas sur le Twitter prof risque de vous vouer à un supplice de la planche virtuel ? A la fin des fins avons-nous corrigé quoi que ce soit ? A la fin des fins, ce long et indigeste soliloque aura-t-il apporté quoi que ce soit de nouveau sur cette histoire ?
En tout cas, merci au trois derniers qui sont restés, les tomates trop mûres se trouvent sur votre gauche, bonne soirée à vous !
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helyiios · 2 years
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!!! C'est un plaisir de revenir, des fois j'oublie de parler aux gens et après ça fait deux semaines et j'ose plus trop (quelque chose me dit que tu vois?) mais en vrai c'est grave fun de blablater ici hehe. Vraiment faut m'imaginer genre bruit de personne qui court et la j'arrive, je m'arrête au coin de la rue comme dans un cartoon et je repars en courant dans ta direction. Puisque c'est si gentiment proposé je veux bien un jus de fruit, je suis sûre t'as un bon truc en stock je te laisse choisir!
Je me souviens de cliquer sur play sur le premier épisode en mode "hope this doesn't awaken anything in me (I know it will though)" je suis partie me coucher 5 épisodes plus tard j'étais pas la même personne. Ça m'a guérie d'avoir été way too into Sherlock (& Johnlock let's be honest) à 14 ans.
Et genre vraiment Izzy il est cool dans la série mais 1st watchthrough I was too busy being like "oh my god this is happening. They are actually queer. Oh god. They're queer for real." pour trop lui prêter attention t'sais. J'avais lu des métas avant ceci dit donc vraiment a chaque fois j'avais un petit "subtextual boyfriends!" ou genre "the only human in the middle of a bunch of muppets" dans le fond de ma tête c'était marrant. Et après j'ai lu des métas sur sa relation avec Ed et c'est bon c'est fini je lisais les mots et je SAVAIS que c'était mort je le VOYAIS in my mind's eye passer de "oh ouais, cool I guess, bastard though" à "I Have Feelings and if you mention him by god you will Know About Them". Tout ça pour dire excellent goût toi aussi du coup :')))
Parce que j'ai pas cours moi monsieur :) je fais études de branleur à Lyon 2 donc vraiment sur genre 2 semaines d'exams je stresse tellement que ça explose la jauge et après je fous PLUS RIEN. En vacances d'été en mai <3 j'ai du mal à y croire des fois. Fourberie j'hésite un peu parce que ça fait une référence aux Fourberies de Scapin donc c'est sympa mais c'est pas le même type de joie chez Stede qui est tout content quand il dit fuckery comme un enfant qui dit un gros mot t'sais. Mais en vrai ça va probablement finir en fourberie je pense que c'est suffisamment proche, faut savoir settle des fois :') l'art de la baise ça fait très très Google trad + article écrit avec un programme qui autofill les bouts qui comptent traduits direct de wikipédia, mais genre. Ça fait titre de parodie porno je trouve. Si seulement j'écrivais, ça ferait un excellent titre de fic :'))
(je tâcherai de passer plus alors! Mes cours me crèvent pas trop c'est juste l'executive dysfunction qui aide pas quand c'est l'heure de réviser tout le semestre de cours pour le partiel mais à part ça tranquiille)
(ouais je sais pas ce qu'il foutait, mon cycle de sommeil fucked up s'en fichait un peu mais au bout de genre 5 minutes une meuf a gueulé "hé c'est le milieu de la nuit ta gueule" et franchement ça se comprend. En plein milieu de l'aprèm ça aurait était plutôt sympa par contre!)
- ☂️
Moi mon problème c’est que quelqu’un va m’envoyer un message, je vais cliquer dessus pour pas avoir la notif (si c’est une app où y a la fonction vu et bah rip et sinon en sumsum) et ensuite je vais oublier pendant 15 à 27 jours ouvrés parce que <3 t’es genre l’oie là qui se fait courser par le coyote c’est à ça que tu me fais penser !
Vraiment moi j’avais tout le lore toutes les private jokes de ofmd pck grâce à mon ami j’avais fini par lire des fics à l’époque où le ship blackbonnet avait genre…10 fics ao3. 🥲 Donc en soi je savais que j’serai pas queerbait donc j’ai fixé izzy très longtemps et j’étais en mode yup yup yuuuup . yup. cet homme a tout pour lui (sauf des cm et 10 doigts de pied) il me rend fou.
Lyon 2 je passe devant chaque saint matin (à moins que tu sois à Bron) je trouve ça fabuleux comment on peut deviner qui y est étudiant (des gens avec un style vestimentaire coloré mais très beau) et qui ne l’est pas (nous autres les autres universitaires). Berges du Rhône c’est cher beau ça m’fout le démon premier degré mais tu vois j’me dis ahahahahah ils doivent avoir trooop chaud l’été dans leurs salles et hahaha ils doivent se peler le fiaaaak l’hiver donc je surmonte mon seum. :(
C’est vrai que ça fait très Scapin mais dans le contexte de la phrase de Stede j’aurais dit (je suis crevé) “haha c’est vrmt un truc de baisé” donc c’est pas mieux 💀
Can’t relate tho moi j’ai fini mes cours ET mes partiels aujourd’hui???????(fin hier mais on se capte) mais attends je suis en train de faire une double take wtf oui. Genre en matinée hier. Oh putain de merde 😟
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eilosyne · 3 years
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SILENCE #5
Je t'écris comme j'écris une lettre mise en bouteille puis jetée à la mer : un peu comme tu m'as envoyée flotter au beau milieu de l'océan alors que je m'y attendais le moins.
Les années sont passées et la douleur ne m'a jamais complètement quittée. J'ai attendu dans la nuit tendre certaines de tes chaleurs pour qu'elles ne s'oublient pas, pour qu'elles restent intactes. C'était demander la rédemption parmi le péché, oublier la salvation malgré son existence.
Non, vois-tu, il n'y avait jamais eu cette possibilité que tu habites mon monde, ni même que tu regrettes de ne pas en faire partie.
Il y avait quelques bribes, tout au plus le sentiment de faire partie de toi. L'impression que tu habitais en moi à force de t'ancrer dans le crépuscule de mes pensées. Il y avait toi au milieu des Bermudes, toi au centre de l'univers. Toi dans mes écrits, mes poèmes, mes vers. Toi qui t'animait dans chaque objet que je créais. Parce que je te voulais éternel. Parce que je te voulais uniforme quelque part. Parce que je ne voulais plus de tes doutes — je voulais la certitude. Celle que tu reviennes me hanter un jour ou l'autre.
Puis ce jour est arrivé. Et entre ce jour-là et aujourd'hui, les nuits se sont écoulées. Parfois dures et immobiles. Parfois douces et vaporeuses. Il y avait la nuit sans toi, puis la nuit avec toi. La nuit où tu me manquais et la nuit que je passais entre tes bras. Jusqu'à un certain moment ou je ne faisais plus la distinction entre les deux.
Le temps a changé ce qu'on était. Il nous a volé la jeunesse. Il nous a torturé dans le sable. Sous la chaleur d'étés désespérés on s'est pris les mains pour trouver un sens à notre existence. Et je crois que j'étais plutôt bonne à ça, avec toi.
Je revois encore très distinctement la balançoire sur laquelle on s'était assis. Aller en arrière et me pousser dans le vide, c'était mettre mes sentiments à nu. Chaque allée et venue s'immobilisait dans le décor froid et bleu.
C'était t'exposer ce que tu étais en moi.
C'était t'exposer l'été à penser à toi, à écrire sur toi, à vivre, par définition, à travers toi.
C'était t'exposer la peur de ton absence.
On fredonnait. L'air emprisonnait les sons. Ce parc a emprisonné les bribes de notre amour, de notre affection. Les sons ont absorbé nos sentiments, cristallisés dans un simple et court moment — celui de deux cœurs qui s'aimaient sans se le dire.
Mais je te l'ai dit, ce jour-là. Où plutôt, je te l'ai écrit, dans une lettre à l'enveloppe violette. Cette fameuse « enveloppe violette » dont l'histoire prend tout son sens. Enfermée dans une boîte et plongée dans le noir d'une cave lugubre, la lettre a eu le même destin que mon corps coulant au beau milieu de l'océan. Tu n'as jamais retrouvé la missive qui dépeignait mon amour. Tu n'as jamais su où j'avais été enterrée.
Il y a eu un baiser. Ce baiser.
Ce baiser si doux qu'il a tout brûlé.
Moi attendant le train sur un quai vide. Toi qui me retient presque.
Téléphone vidé de batterie, mon corps vidé de batterie, l'amour.
J'aurais aimé que ce moment dure toujours.
Puis,
Des semaines sans t'avoir. Des semaines à souffrir de ton absence. Des semaines sans nouvelles de toi.
C'est incroyable combien nous pouvons vivre dans le passé. Combien l'esprit peut nous emmener, chaque matin, dans les souvenirs.
Plus que ma maison, mon lit était le territoire de ma douleur, de notre douleur. Chaque soir, je revenais aux confins de l'épaisseur tragique de mes draps. Ils me permettaient de te voir encore. Ils me conféraient le besoin de t'entendre encore. Les nuits étaient courtes et brutales.
Combien de fois t'es-tu inséré dans mes rêves ?
L'horloge tourne. Années passent sans se ressembler. Toi, dans la triade. Toi, au milieu des deux autres. Toi.
Un matin douloureux, je suis réveillée par le soleil. Les nuages aspirent toute ma force. Un message.
Toi.
Je lis brutalement. Je lis plusieurs fois.
Toi.
Je pleure brutalement. Je pleure plusieurs fois.
Toi.
Il nous en faut peu pour nous revoir. Pour que je prenne conscience de l'amour. Pour que je comprenne que tu as toujours vécu.
Là.
Au creux du cœur malmené.
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traitor-for-hire · 3 years
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Les Quatre Filles March - Chapitre 25
Le premier mariage
Les roses de juin sur le perron étaient éveillées de bonne heure ce matin-là, et se réjouissaient de tout leur cœur sous le ciel sans nuage, comme les petites voisines amicales qu'elles étaient. Leurs visages rougeauds étaient tout empourprés par l'excitation, tandis qu'elles se balançaient dans le vent, se chuchotant de l'une à l'autre ce qu'elles avaient vu ; car certaines pointaient le bout du nez aux fenêtres de la salle à manger, où le festin était déployé, d'autres grimpaient pour saluer les sœurs et leur sourire comme elles habillaient la mariée, d'autres encore faisaient des signes à ceux qui allaient et venaient dans le jardin, sous le porche et dans le couloir, et toutes, de la fleur la plus épanouie au plus pâle des boutons nouveaux nés, offraient en tribut leur beauté et leur parfum à la douce maîtresse qui les avait aimées et s'était si longtemps occupée d'elles.
Meg elle-même était pareille à une rose ; car le meilleur et le plus doux du cœur et de l'âme semblaient s'épanouir sur son visage en ce jour, lui apportant lumière et tendresse, avec un charme plus éclatant que la beauté. Elle n'aurait ni soie, ni dentelles, ni fleurs d'oranger. «  Je ne veux pas avoir l'air étrange ou apprêtée, aujourd'hui, avait-elle dit ; je ne veux pas d'un mariage à la mode, mais seulement ceux que j'aime auprès de moi, et je veux pour eux paraître et rester mon moi habituel. »
Aussi avait-elle cousu sa robe de mariée elle-même, en mettant dans son ouvrage les tendres espoirs et les romances innocentes du cœur d'une jeune fille. Ses sœurs nattèrent ses beaux cheveux, et les seuls ornements qu'elle portait étaient les fleurs de muguet que « son John » préférait à toutes autres.
« Tu as tout à fait l'air de notre chère Meg, mais si charmante et adorable, que je te prendrais dans mes bras si je n'avais pas peur de froisser ta robe », s'exclama Amy en la contemplant avec ravissement, quand elle fut prête.
« Alors je suis satisfaite. Mais s'il vous plaît, venez dans mes bras et embrassez-moi, toutes, et ne vous souciez pas de ma robe ; j'entends bien la froisser de cette façon de nombreuses fois aujourd'hui » ; et Meg ouvrit ses bras à ses sœurs, qui la serrèrent, le sourire aux lèvres et les larmes aux yeux, en sentant dans leur cœur que le nouvel amour n'avait rien changé à l'ancien.
« Maintenant je vais aller nouer la cravate de John pour lui, et puis passer quelques minutes avec Père, au calme, dans l'étude » ; et Meg descendit en hâte pour accomplir ces petites cérémonies, et pour ensuite suivre sa mère où elle irait, consciente qu'en dépit des sourires, il y avait un chagrin caché au fond du cœur maternel, à voir le premier oisillon quitter le nid.
Pendant que les cadettes mettent la dernière touche à leurs simples toilettes, le moment est idéal pour parler des quelques changements que ces trois ans ont apportés à leurs apparences ; car en cet instant elles sont toutes à leur avantage.
Les angles de Jo se sont adoucis ; elle a appris à se déplacer avec aisance, sinon avec grâce. Les boucles courtes ont poussé en une épaisse masse frisée, plus seyante au petit visage perché en haut de la haute silhouette. Il y a une couleur nouvelle sur ses joues brunes, un doux éclat dans ses yeux ; aujourd'hui sa langue acérée ne produit que des mots aimables.
Beth s'est amincie en grandissant, elle est pâle et plus calme que jamais ; les beaux yeux tendres sont plus grands, et en eux réside une expression qui attriste celui qui la perçoit, bien qu'elle ne soit pas une expression de tristesse. C'est l'ombre de la douleur qui touche ce jeune visage avec une patience si pathétique ; mais Beth ne se plaint que rarement, et parle toujours avec espoir d'aller « mieux, bientôt ».
Amy est véritablement considérée comme la « fleur de la famille », car à seize ans elle a les airs et l'allure d'une femme adulte - non pas belle, mais pleine de ce charme indescriptible qu'est la grâce, visible dans sa silhouette, dans les mouvements de ses mains, le froufrou de sa robe et le tombé de ses cheveux - inconsciente mais harmonieuse, et pour beaucoup, aussi attirante que la beauté même. Le nez d'Amy la désolait toujours, car il ne serait jamais un nez grec ; de même que sa bouche qu'elle trouvait trop grande, et son menton décidé. Les traits incriminés donnaient du caractère à son visage, mais elle ne s'en rendit jamais compte, et se consolait avec son teint merveilleusement clair, ses yeux bleus vifs, et ses cheveux bouclés, plus dorés et plus abondants que jamais.
Toutes trois portaient des ensembles légers, gris argent (leurs meilleures robes d'été), avec des roses pâles dans les cheveux et au corsage ; et toutes les trois avaient exactement l'air de ce qu'elles étaient - des jeunes filles aux cœurs joyeux et aux visages frais, qui marquaient une pause dans leurs vies actives pour lire d'un air songeur le plus doux des chapitres de la romance féminine.
Il ne devait pas y avoir de cérémonies ostentatoires ; tout devait se faire de façon aussi naturelle et agréable que possible ; aussi quand Tante March arriva elle fut scandalisée de voir la future mariée venir l'accueillir en courant pour la faire entrer, de voir le futur marié en train de rattacher une guirlande qui était tombée, et d'apercevoir le ministre paternel monter gravement les escaliers, une bouteille de vin sous chaque bras.
« Ma parole, en voilà des façons ! » s'exclama la vieille dame en s'asseyant dans le fauteuil d'honneur préparé pour elle, et en arrangeant les plis de sa soie moirée lavande avec un grand froufrou. « Tu ne devrais pas te montrer avant la dernière minute, mon enfant.
— Je ne suis pas un spectacle, tantine, et personne ne vient pour me contempler, critiquer ma robe ou évaluer le coût de mon déjeuner. Je suis trop heureuse pour me soucier de ce qu'on peut dire ou penser, et je vais avoir mon petit mariage exactement comme je l'entends. John, chéri, voilà ton marteau, » et Meg s'en fut aider « cet homme » dans son activité particulièrement peu correcte.
Mr. Brooke ne dit même pas « Merci », mais comme il se penchait pour prendre l'outil si peu romantique, il embrassa sa petite fiancée derrière la porte, avec un air qui fit soudain monter la buée aux yeux perçants de Tante March, qui sortit promptement son mouchoir de poche.
Un grand fracas, un cri, et le rire de Laurie, accompagnés de l'exclamation, « Jupiter Ammon ! Jo a fait tomber le gâteau ! », causèrent un chaos temporaire, qui était à peine calmé quand une bande de cousins arriva, et « la fête entra », comme le disait Beth étant enfant.
« Ne laisse pas ce jeune géant s'approcher de moi ; il m'inquiète plus que les moustiques », chuchota la vieille dame à Amy, comme la maison s'emplissait, et que la tête brune de Laurie dominait tout le reste.
« Il a promis d'être très sage aujourd'hui, et il peut être parfaitement élégant s'il le veut bien », répondit Amy, qui partit avertir Hercule de se méfier du dragon, avertissement qui l'incita à hanter la vieille dame avec une persistance qui faillit lui faire perdre ses moyens.
Il n'y eut pas de cortège nuptial, mais un silence soudain se fit quand Mr. March et le jeune couple prirent place sous l'arche de verdure. La mère et les sœurs vinrent se tenir auprès d'eux, comme réticentes à laisser partir Meg ; la voix paternelle se brisa plus d'une fois, ce qui ne rendit le service que plus beau et solennel ; la main du marié tremblait visiblement, et personne n'entendit ses réponses ; mais Meg avait les yeux rivés à ceux de son mari, et dit, « Je le veux ! » avec une telle confiance, une telle tendresse sur son visage et dans sa voix, que le cœur de sa mère se réjouit, et qu'on entendit renifler Tante March.
Jo ne pleura pas , mais elle en fut bien près, et n'évita de se donner en spectacle que parce qu'elle était consciente que Laurie était en train de la fixer, avec un mélange comique d'amusement et d'émotion dans ses espiègles yeux noirs. Beth cachait son visage contre l'épaule de sa mère, mais Amy était telle une gracieuse statue, son front blanc et les fleurs dans ses cheveux illuminés de manière charmante par un rayon de soleil.
Cela ne se fait pas du tout, j'en ai bien peur, mais à l'instant où elle fut effectivement mariée, Meg s'exclama, « Le premier baiser pour Marmee ! » et se tourna pour l'embrasser de tout son cœur. Durant le quart d'heure qui suivit elle fut, plus que jamais, semblable à une rose, car tous vinrent alors réclamer une part de son affection, de Mr. Laurence à la vieille Hannah, qui, parée d'une coiffe « étrange et admirable », l'intercepta dans le couloir, pleurant et riant, « Dieu vous bénisse, ma chérie, une centaine de fois ! Le gâteau n'a rien, et tout est très beau. »
Tout le monde se dispersa après ça, et dit quelque chose de profond, ou essaya, ce qui fit tout aussi bien l'affaire, car le rire est prompt à venir quand les cœurs sont légers. Il n'y eut pas d'étalage de cadeaux, car ils étaient déjà tous dans la petite maison, pas non plus de festin élaboré, mais un copieux déjeuner de gâteau et de fruits, ornés de fleurs. Mr. Laurence et Tante March haussèrent les épaules et échangèrent un sourire quand ils s'aperçurent que les seuls nectars offerts à l'assemblée par les trois Hébé étaient de l'eau, de la citronnade ou du café. Mais personne ne fit de remarque, jusqu'à ce que Laurie, qui avait insisté pour servir la mariée, apparut avec un plateau lourdement chargé, l'air perplexe.
« Est-ce que Jo a cassé toutes les bouteilles sans faire exprès ? souffla-t-il, ou est-ce que j'ai seulement rêvé en avoir vu quelques unes ce matin ?
— Non, ton grand-père nous a gentiment offert ce qu'il a de mieux, et Tante March en a envoyé quelques unes, mais Père en a mis un peu de côté pour Beth, et a fait parvenir le reste au Foyer des Soldats. Tu sais qu'il pense qu'on ne devrait boire de vin qu'en cas de maladie, et Mère dit que ni elle ni ses filles n'en offriront jamais à un jeune homme sous leur toit. »
Meg parlait sérieusement, et s'attendait à voir Laurie se renfrogner ou rire, mais il ne fit ni l'un ni l'autre, et après un bref regard, il dit, à sa manière impétueuse, « Cela me plaît ; car j'ai vu assez de malheurs arriver pour souhaiter que les autres femmes pensent comme vous !
— J'espère que ce n'est pas l'expérience qui te rend si sage ? » dit Meg avec une pointe d'inquiétude.
« Non, je t'en donne ma parole. N'aie pas non plus trop haute opinion de moi ; ce n'est pas une de mes tentations. Ayant grandi dans un pays où le vin est aussi commun que l'eau, et presque aussi inoffensif, je n'en ai cure ; mais quand une jolie fille en offre, on n'aime pas refuser, tu comprends.
— Mais tu refuseras, pour les autres sinon pour ton bien. Allons, Laurie, promets, et donne-moi une raison de plus d'appeler ce jour le plus heureux de ma vie. »
Cette demande si soudaine et si sérieuse fit hésiter un moment le jeune homme, car le ridicule est souvent plus difficile à supporter que l'abnégation. Meg savait que s'il lui donnait sa parole, il la tiendrait à tout prix, et, consciente de son pouvoir, en usait comme peut le faire une femme pour le bien de son ami. Elle ne dit rien, mais leva vers lui un visage rendu très éloquent par le bonheur, et un sourire qui disait, « Personne ne peut rien me refuser aujourd'hui ». Laurie, assurément, en était incapable, et avec un sourire il lui tendit la main, en disant chaleureusement, « Je promets, Mrs. Brooke !
— Je te remercie infiniment.
— Et je bois à ta résolution, Teddy », s'écria Jo en le baptisant d'une lampée de limonade, comme elle agitait son verre, rayonnante d'approbation.
Aussi le toast fut bu, le serment prêté, et loyalement tenu en dépit de nombreuses tentations ; car avec une sagesse instinctive, les filles avaient profité d'un heureux moment pour rendre un service à leur ami, pour lequel il leur fut éternellement reconnaissant.
Après le déjeuner, les invités se promenèrent, par deux ou trois, à travers la maison et le jardin, profitant du soleil. Il se trouva que Meg et John se tenaient ensemble au milieu de la pelouse, quand Laurie eut une inspiration qui ajouta la touche finale à ces noces démodées.
« Tous les couples mariés se prennent par la main et dansent en cercle autour des jeunes époux, comme le font les Allemands, tandis que nous autres célibataires dansons en couples à l'extérieur ! » s'écria Laurie, en galopant le long de l'allée avec Amy, avec une bonne humeur si contagieuse que tous les autres suivirent leur exemple sans un murmure. Mr. et Mrs. March, Tante et Oncle Carrol commencèrent ; d'autres se joignirent rapidement à eux ; même Sallie Moffat, après une hésitation, releva sa traîne et entraina Ned dans la ronde. Mais le meilleur vint avec Mr. Laurence et Tante March ; car quand le majestueux vieux gentleman s'approcha solennellement de la vieille lady, elle glissa sa canne sous son bras, et sautilla vivement pour venir donner la main aux autres, tandis que les jeunes gens envahissaient le reste du jardin comme des papillons un jour d'été.
L'essoufflement mit fin au bal impromptu, et les invités commencèrent à partir.
« Je te souhaite d'être heureuse, ma chérie ; de tout mon cœur ; mais je pense que tu le regretteras », dit Tante March à Meg, en ajoutant pour le jeune marié, quand il l'accompagna à sa voiture, « Vous avez un trésor, jeune homme, faites en sorte de le mériter. »
« C'est le plus joli mariage auquel j'ai assisté depuis longtemps, Ned, et je ne saurais dire pourquoi, car il n'avait pas une once de style », fit remarquer Sallie à son mari, comme ils s'en allaient.
« Laurie, mon garçon, si jamais tu veux te laisser aller à ce genre de choses, fais-toi aider par une de ces jeunes filles, et je serai parfaitement satisfait », dit Mr. Laurence en s'installant dans son fauteuil pour se reposer, après l'agitation de la matinée.
« Je ferai de mon mieux pour vous contenter, sir », fut la réponse inhabituellement docile de Laurie, tandis qu'il détachait soigneusement la fleur que Jo avait mise à sa boutonnière.
La petite maison n'était pas loin, et le seul voyage de noces de Meg devait être la calme promenade avec John, de l'ancienne maison à la nouvelle. Quand elle parut, telle une jolie quakeresse dans sa robe grise, avec son bonnet de paille noué d'un ruban blanc, tout le monde se rassembla pour lui dire « Au revoir », aussi tendrement que si elle partait de l'autre côté de l'océan.
« Ne crois pas que je me sépare de toi, Marmee chérie, ou que je t'aime moins parce que j'aime tant John », dit-elle, en prenant pour un moment sa mère dans ses bras, les larmes aux yeux. « Je viendrai tous les jours, Père, et je compte bien garder ma place dans vos cœurs à tous, même si je suis mariée. Beth sera souvent avec moi, et les autres filles passeront me voir pour rire de mes problèmes de maîtresse de maison. Merci à tous pour mon joyeux mariage. Au revoir, au revoir ! »
Ils la regardèrent, les visages empreints d'amour, et d'espoir, et de tendre fierté, tandis qu'elle s'éloignait au bras de son mari, les mains pleines de fleurs et le soleil de juin illuminant son joyeux minois - et ainsi débuta la vie d'épouse de Meg.
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