Tumgik
#patauger
ladyniniane · 3 months
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Je viens d’apprendre que j’avais réussi un devoir sur lequel j’ai passé 7h (bon pas d’affilée) à savoir la liste de mots-clés pour le référencement de mon futur site et bon sang que ça fait du bien avant le début du week-end.
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miung-dreamer · 2 years
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N’empêche, on doit la libération de Guenièvre dans le livre IV à une intuition de Karadoc. KA-RA-DOC.
Et sa deuxième libération dans KV1 à un mec qui s’appelle Kolaig et attaque des gens avec des lacets.
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jules-and-company · 1 year
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this man has never understood anything ever in his entire life
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valentin10 · 3 months
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Euro 2024 : Malgré Eriksen, le Danemark patauge contre la Slovénie
https://www.beinsports.com/fr-fr/football/euro/articles-video/euro-2024-malgr%C3%A9-eriksen-le-danemark-patauge-contre-la-slov%C3%A9nie-2024-06-16
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unesimplevie · 9 months
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Je fais ce que je peux. Avec mes silences et le reste. Avec mes peurs de bête. Avec mes cris d'enfant qui ne débordent plus. Je fais ce que je peux. Dans ce petit bain de cruauté et de lumière. Dans les éclats de sucre et de mensonge. Dans la délicatesse. Dans la violence du temps qui piétine nos rêves. Dans nos petits pataugements précieux. Un matin après l'autre. Un oubli après l'autre. Un mot sur le suivant. Je fais comme tout le monde. Avec le ciel et sans les dieux.
Thomas Vinau
Bleu de travail
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fidjiefidjie · 8 months
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"Mauvais signe, Attal patauge déjà ! ... Le nouveau Premier ministre au chevet des inondés du Pas-de-Calais" 📰
La Une du Canard Enchaîné
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ekman · 4 months
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Mais quelle marrade ! La gauche ne s’est pas aussi joliment embrenée depuis longtemps ! Les voyous Kanaks, plus ultra-violents encore que nos vaillants Tchétchènes, nos indomptables Blédars ou nos Blackos machetteurs, bordélisent leur bout de jungle insulaire au nom du pillage consumériste, du crétinisme endémique et de leur incapacité notoire à sauvegarder une identité minée par l’alcool et le RSA. Et pourtant c’est bien au nom de “l’identité des peuples autochtones” que les plus zélés imbéciles de gauche métropolitaine klaxonnent ça et là, d’éditos en plateaux. Au nom de la justice républicaine, le poids du nombre de sales Blancs en Nouvelle-Calédonie ne saurait supplanter la légitime prévalence indigène, fut-elle irrémédiablement minoritaire, fut-elle donc condamnée à être défaite lors de n’importe quel scrutin. Que l’on vienne leur faire remarquer que leur raisonnement s’applique au cas d’une France submergée par le tsunami africain que non, alors là pas du tout, mais non, vous jouez avec les mots, vous comparez l’incomparable. Ah bon ?  Dix poids, cent mesures, voilà leur universalisme de branquignole, pourriture intellectuelle qui chasse sans qu’ils le voient leur sacro-sainte croyance égalitaire, leur rousseauisme de fond de cuvette ! Fatals crétins qu’ils sont ! Oser dire que “les Blancs” – pas des Français, mais des Blancs – ont organisé l’étouffement numéraire des Kanaks par le choix d’un collège électoral favorable ! Mais faut-il être bête pour ne pas immédiatement comprendre qu’ils vendent ici-même la preuve du Grand Remplacement, concept qu’ils vômissent, réalité dénoncée sans cesse et encore par le diable camusien ! La pensée racialiste de la gauche issue de la Révolution, renforcée par un colonialisme civilisateur revendiqué Blanc, assumé raciste cette fois, a toujours été porté par la fleur des grands esprits humanistes – nos grands amis du Triangle magique ! On voit maintenant leurs héritiers patauger dans une mélasse confuse, une posture indéfendable, le preuve de facto de leur incapacité à comprendre le monde et à considérer l’humain dans ses vérités premières. Les pieds pris dans leur propre tapis sale, décoré de vieilles lunes, chamaré de conneries absurdes autant qu’indéfendables, les chantres (mous) du “décolonialisme” et de l’indigénisme tentent de faire oublier leur vieux slogan anti-afrikaaner : “un homme, un vote” ! Ce que c’est drôle, quand on a soi-même, en des temps reculés, défendu contre vents et marées le droit des Africains blancs d’Afrique du Sud à vivre et à cultiver leur identité sur une terre que personne d’autre qu’eux ne pouvait revendiquer !
J.-M. M.
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lepartidelamort · 4 months
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Ce Français tout juste arrivé au Japon est catégorique : il y faut beaucoup plus de migrants
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Pourquoi ce type a-t-il choisi de faire deux ans d’études au Japon et non pas en Algérie ? Mystère.
– En France, il y a beaucoup de migrants. Qu’en pensez-vous ? Est-ce un problème ou bien trouvez-vous ça bien ? – C’est vraiment bien. Je pense que le Japon devrait en avoir plus.
Il faut parler du péril que représente l’expat français moyen.
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Arrive au Japon depuis Paris, veut immédiatement rendre le pays moins japonais.
Les émigrés français guéris du virus gauchiste ne représentent qu’une fraction très marginale du lot. On peut évaluer à 5% leur nombre. Le reste est un mélange de mélenchonistes particulièrement véhéments et de macronistes, un macroniste n’étant qu’un mélenchoniste avec un revenu de cadre supérieur.
Plus précisément, les femmes blanches sont mélenchonistes et les hommes macronistes.
C’est ridicule.
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L’expatriée française moyenne au Japon n’y est que parce qu’un organisme de tutelle français l’y a collée. C’est donc, sous une forme ou sous une autre, une fonctionnaire. Toujours.
Avec le statut de la fonction publique viennent les certitudes bétonnées que porte en lui tout missionnaire républicain. Il est faux de croire que les Français ont abandonné l’idée coloniale de Jules Ferry. C’est devenu leur identité nationale.
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La chieuse française subventionnée à ne rien foutre passera ses journées à s’indigner du fait que le Japon n’est pas la France. C’est quelque chose qu’elle ne parviendra jamais à se représenter mentalement et qui la met très en colère. Généralement agglutinée avec d’autres Françaises, en plus de quelques occidentales passablement obèses, elle rage sur la condition de la femme ou la xénophobie de la société japonaises, tout en s’ingéniant à trouver le moyen de squatter éternellement dans le pays plutôt que de retourner vers le paradis des fonctionnaires où, pourtant, il devrait théoriquement faire bien mieux vivre.
Dans tous les pays développés, on retrouvera très majoritairement ces émigrés français qui ont fui, en toute connaissance de cause, le paradis hexagonal, mais qui prêchent l’avènement du merdier qu’ils ont fui dans leur pays d’accueil avec un aplomb véritablement odieux.
C’est là qu’il faut bien admettre que le choix du coq comme emblème national prend tout sons sens. Pataugeant dans la merde, il n’en continue pas moins de chanter avec arrogance.
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C’est là qu’apparaît une ressemblance frappante avec l’immigration du tiers-monde, surtout islamique : aussitôt réchappé de son trou à merde, l’immigré français moyen entreprend mécaniquement de recréer les conditions qui l’ont poussé à fuir son pays en premier lieu. Pour les musulmans, cela consiste à proclamer la loi coranique à coups de couteau et pour les Français à répandre le virus gauchiste. Tout s’imbrique : l’expat gauchiste français, partout où il va, pave la voie à l’arrivée des musulmans.
Sans gauchisme mental, il ne viendrait à l’idée de personne d’accepter ces populations bigarrées qui ne vivent que pour rendre cette planète invivable avec leur religion de merde. L’émigré français est Jean le Baptiste de l’islam africain, de la marée marron.
Démocratie Participative
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mrlafont · 10 months
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Très étonné encore de constater à quel point mon évolution professionnelle agit sur ma psyché, mon caractère, ma vision des choses, de toutes les choses. L'efficacité exigée dans le milieu du travail, à laquelle je souscris bien volontiers, me purge malgré moi de toutes les superficialités intellectuelles. Devenir efficace, c'est surtout réduire à l'essentiel, c'est surtout défaire, se défaire de toutes les gestes inutiles, hasardeux, hésitants. On devient efficace certes par l'expérience, mais aussi en s'efforçant de se maintenir dans un certain état d'esprit, dans un effort conscient. Sans cesse, dès que la journée de travail commence, on a tendance à s'éparpiller, à patauger dans les tâches : car si l'esprit est ailleurs ou n'a pas en lui la volonté bien consciente d'être efficace, il ne le sera pas. Certes nous sommes tous naturellement plus ou moins oisifs, plus ou moins efficaces. Avec les années d'expérience, j'imagine qu'on arrive à un stade où, dans une certaine mesure, le corps sait ce qu'il a à faire, il connait les gestes, il est rodé, il connait la danse, il entre dans un certain automatisme, et l'esprit peut ainsi se libérer d'une certaine tension. Je parle surtout pour moi, apprenti, qui recherche l'efficacité, la pertinence, qualités qui ont pu me manquer en voulant trop bien faire. Bref, cela pour dire que l'efficacité que j'acquière dans le métier, je l'acquière également sur le plan personnel, affectif, dans tout mon spectre mental, la vision que j'aie et de moi et des choses et des gens et du monde. Je deviens, en tout et pour tout, meilleur. Bienfait des métiers manuels qui, si on en a la passion, vous rendent beaux, bons, sages et gais. Je m'en vais bien enthousiaste poursuivre dans cette voie qui me donne tout ce que les livres ne donneront jamais. Apprendre, c'est une des plus belles choses qui soient. Et tout apprentissage doit combler de joie. Si ce n'est pas le cas, on apprend la mauvaise chose. J'ai appris, dans les livres (intellectuelles je précise), plein de choses : elles ne m'ont jamais rendu heureux. Pourquoi ? Car elles ne m'ont jamais engagé dans la vie. Être heureux, c'est se faire meilleur, non pas accumuler des connaissances que notre main ne peut éprouver.
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leparfumdesreves · 11 months
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Parfois, j'aimerais faire partie du troupeau...
De ceux qui vont où on leur dit d'aller, d'aimer ce qui doit être aimé, de se rallier à celui qui a la voix plus forte que ses idées, de partir aux mêmes endroits fashion que tous les autres, de s'afficher avec des influenceurs, parce-que c'est tendance, de se prendre en selfie à tout moment parce-que tout le monde le fait, de raconter sa vie du lever au coucher sur Facebook parce-que sinon on passe pour un con, de comptabiliser des amis et comparer leur nombre avec d'autres, alors que les trois-quart n'en ont rien à foutre de vous, de courir tous les week-ends aux mêmes heures et aux mêmes endroits que tout le monde parce-que sinon que vont penser les collègues au bureau le lundi matin, de claquer un pognon monstre au resto à la mode parce-qu'il faut au moins avoir vu la dernière déco du dernier si talentueux designer alors qu'en rentrant chez vous vous avez avalé tous les paquets de gâteaux tellement il n'y avait rien à manger dans l'assiette, de faire cinq heures de queue pour voir une expo à laquelle vous n'y comprendrez rien mais c'est tellement chic de laisser traîner le catalogue sur votre dernier canapé que vous avez du mal à finir de rembourser mais il le valait bien parce-que ma chériiiiie on est teeeeellement bien dedans tu verras, de paraître sur-bookée, pressée, stressée, affolée, dépassée, parce-que tout le monde l'est, donc vous aussi, d'assister dans une salle d'Art et d'Essai à la projection du dernier film d'un Réalisateur dont vous êtes incapable de prononcer le nom d'ailleurs vous avez décidé de vous mettre au finlandais parce-que la meilleure amie de la belle soeur de votre ex s'y est mise et qu'avec le réchauffement climatique vous serez prête au cas où......
Oui, comme j'aimerais parfois faire partie du troupeau.
Parce-que ce troupeau ne pense pas, ne réfléchit pas, il avance. Tête baissée, les oreilles fermées, les yeux voilés, insensible à la beauté d'un vol d'hirondelles, au bruissement du vent dans les champs de blé, sourd à la musique du temps.
Parce-que ce troupeau ne ressent pas la souffrance du Rêveur, de l'Idéaliste, du Poète, de celui qui est attiré par la beauté du Diable et la noirceur de l'Ange, de l'Artiste qui enfante dans la souffrance.
Est-ce ça la vraie Vie, celle où pataugeant dans les vases nauséabondes de ce Monde d'en bas, on est à l'abri de toutes émotions sincères, de toutes douleurs existentielles, de tous les silences qui font du bruit à s'en déchirer le coeur.
Oui, j'aimerais parfois faire partie du troupeau...
L.PDR
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leseigneurdufeu · 1 year
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je dois lire des livres de Martine Pouchain pour les cours, choix du livre libre (et vu la spécificité du devoir étant donné que Pouchain n'est pas au programme du reste de mon université, juste de ma classe, j'espère ne pas me griller si d'autres personnes de ma classe sont sur tumblr...) et comme je peux pas discuter de ça avec qui que ce soit d'autre, voilà :
J'ai choisi ses romans policiers historiques, et... bon si j'avais pas grandi avec des Evelyne Brisou-Pellen je penserai peut-être différemment mais Pouchain... c'est bien écrit, mais c'est pas... authentique, d'une certaine manière.
Avec EBP en gros vous avez un personnage qui est un produit de son époque (généralement le moyen-âge, parfois l'antiquité tardive, parfois la révolution française ou l'époque contemporaine...), qui est parfois un peu lâche (Garin Trousseboeuf), qui a le sang chaud et pas de self-contrôle (Ysée Chastelène), qui ne réfléchit pas aux conséquences de ses actions (Petrus), ou qui n'a simplement quasiment aucune information sur sa situation et tire des conclusions erronées (Catherine de Lormont et d'autres). Dans tous les cas, le personnage principal patauge autant que le lecteur, est, sinon un fervent catholique, au moins le produit visible d'une société chrétienne (ou païenne, re: Petrus et ses potes, Celtill...) médiévale ou antique. Les personnages jugent les évènements à l'aune des valeurs de leur époque, et lorsqu'il y a une intrusion peut-être un peu plus moderne, elle est présentée à travers un personnage (généralement le narrateur/héros) qui est, comme précédemment noté, imparfait, et n'est pas jugé comme la science infuse. Lorsqu'une intrigue policière est présente, le lecteur peut deviner dès les premières pages qui est le coupable, ça importe peu car le personnage principal va réussir à s'embrouiller dans ses préjugés, ses angles morts et/ou ses informations, et à ne découvrir la vérité qu'in extremis.
(Il y a aussi la question de la religion : Ysée et sa mère sont à moitié païennes, Celtill l'est carrément, Petrus, Windus et Morgana changent de religion régulièrement, Garin est chrétien mais aime bien faire la grasse mat' le dimanche matin, Loup, bien que forcé d'entrer dans les ordres, s'en accomode bien, Nicole choisit le couvent de son plein gré, Guillemette est chrétienne, etc, et aucun de ces personnages n'est présenté comme ayant la vraie religion ou le meilleur mode de vie/système de croyance)
Avec Pouchain cependant ? Le héros est un amiénois du 13° siècle. Bien entendu, il n'est pas chrétien, mais croit en la réincarnation et en les doctrines védiques. Il a apparemment des pouvoirs qui lui sont donnés par la méditation, dont il ne parle à personne par peur d'être brûlé vif (anachronique. si je me souviens bien on pendait les sorcières, on ne les brûlait pas, et de toute manière vers cette période l'église catholique devait déjà avoir interdit la chasse aux sorcières, même si des exactions ont eu lieu malgré tout). Il a l'ouverture d'esprit d'un homme du 21° siècle et la manière d'exposer ses opinions d'un utilisateur de twitter, tout comme la manière d'amener le sujet. Il n'a absolument aucun préjugé négatif à l'égard de qui que ce soit, fût-ce des saltimbanques, des étrangers... ah si pardon. Il a des préjugés, mais c'est contre les chrétiens qui sont contents de leur vie médiévale, car il les juge demeurés et naïfs. Comme si ce n'était pas 99% de la population amiénoise du 13° siècle dont on parlait. Il a suivi des enseignements hérétiques que la narration présente clairement comme la vérité (re: réincarnation, doctrines védiques, etc) et lorsque le mariage d'un homme de 30 ans avec une fille de 16 ans est annoncé, c'est dégoûtant (pas faux)... ah non, attendez, l'homme de 30 ans est mort, l'adolescente s'enfuit avec son professeur particulier (seul adulte que ses parents lui permettaient de voir) qui a également la trentaine, et il l'épouse, mais c'est vu comme parfaitement normal et sain car, lui, il croit en la réincarnation et le reste, comme le héros, et est donc un homme savant et bon. ça n'a aucun sens.
Quant à ce qui est de l'intrigue policière, on peut deviner qui est le coupable dès les premières pages (c'était mon cas) mais le héros ne va pas s'embrouiller comme chez EBP. Le héros va constamment ridiculiser les craintes légitimes des voisins des victimes, expliquer à quel point il est intelligent, génial, un esprit supérieur en somme, avant de se retrouver à avoir tort sur le coupable, la méthode du crime, en bref, sur TOUT (soit sa femme, qui comme tous les saltimbanques, sait lire le latin couramment bien entendu, soit ses pouvoirs mystiques - car apparemment il en a - lui révèleront le vrai coupable) mais il va avoir très légèrement moins tort que les victimes dont il se moquait et celles-ci vont se mettre à le traiter en héros et à l'admirer pour avoir eu raison tout du long.
En fait, ce qui différencie vraiment EBP et Pouchain (si on ôte... ben, les anachronismes qui parsèment les personnages, lieux et intrigues de Pouchain, ainsi que son irrespect flagrant pour l'époque et la civilisation dans laquelle elle place son intrigue) c'est que lire un EBP donne l'impression qu'on lit une histoire écrite par quelqu'un qui a lut vingt-cinq ouvrages de recherches sur une époque et s'est dit "tiens, je vais écrire toute une histoire pour la jeunesse sur LA TEINTURE AU MOYEN-ÂGE !" "c'est-y pas passionant, le SERVICE DES POSTES EN 1789 ???" "ne partez pas tout de suite, j'ai tellement à vous dire sur le système scolaire à la cour de Charlemagne !" et qui y a ajouté une intrigue au moins vaguement intéressante, des héros attachants, et de l'humour. Tandis qu'avec Pouchain... ben on a juste quelqu'un qui voulait écrire quelque chose à propos d'Amiens. Et du Moyen-Âge. Qui s'est sans doute vaguement renseignée sur la construction de la cathédrale et la fête des fous, les hortillonages et l'ancêtre du handball. Et a ajouté à tout ça une série de meurtres, des personnages moralisateurs qui n'ont pas leur place dans le décor planté, et une ode à l'intelligence d'un personnage qui a mis 200 pages et une vision magique à découvrir ce qui était évident en 50 pages et zéro vision au lecteur.
Bref, grande déception à la lecture de Pouchain et je sais que EBP écrit plutôt pour les enfants et ados que pour les adultes mais faut que j'aille me rincer la cornée en relisant Ysée ou les Messagers du Temps.
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lesondupapillon · 2 years
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quel est ce ronflement joufflu emplissant la pénombre
à la lisière du silence pataugeant parmi les anges
/ Tristan Tzara
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chifourmi · 1 year
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J'adore être la pote qui suit rien à l'organisation de nos vacances, je me sens ultra inutile 🫠 On doit prendre des tas de correspondances et dans des villes avec des noms qui m'embrouillent complètement l'esprit mais mes 2 potes ont l'air de tout suivre, de tout gérer, et moi je patauge parce que comme d'hab j'ai un cerveau ultra lent et j'ai besoin de tout écrire pour tout comprendre. Ce qui me rassure c'est que ma thérapeute m'a justement dit aujourd'hui que j'avais l'air de fonctionner différemment de la normale dans ma fichue tête donc je vais clairement mettre la faute là-dessus.
(01/07/2023)
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claudehenrion · 7 months
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Retour sur images
Ah ! Il s'en passe, des choses dans notre république sourde, aveugle, et liberticide et dans notre démocratie redéfinie (l'ancienne ''volonté du peuple'' y a été remplacée par ''ce qui est décidé-- on ne sait par qui-- comme étant le bien'' !). Pendant les vacances qui se terminent, de panthéonisations inexpliquées (Macron doit adorer se promener rue Soufflot !) en promesses faites pour ne pas être tenues, et de dépenses folles sans''retour sur investissement'' en discours sans contenu... on a ouvert la boite du désespoir des braves gens.
Mises à part des dépenses insensées dans des conflits qui ne nous regardent absolument pas et où nous n'avons rien à gagner, mais tout à perdre et des coups à prendre... un bel exemple de trucs à ne pas faire et à ne pas dire est lié à la gestion déplorable de l'Etat et de ses finances. Profitant des vacances scolaires, notre étincelant Sinistre des finances, le fringant Bruno Le Maire, a arboré son regard de merlan frit et pris une voix jugée ''de circonstance'' par ses cons-seillers en ''Comm'' pour nous annoncer le grand virage, attendu depuis bientôt sept trop longues années : on va se serrer la ceinture. Enfin... un peu ! Faut pas exagérer, quand même !
Et là, la France (''La France outragée ! La France brisée ! La France martyrisée ! Mais la France pas du tout libérée'' –pour paraphraser De Gaulle !) a eu droit au bonheur masochiste de discours surréalistes, où chaque mot valait son pesant de cacahuètes. O français, mes frères, nos dirigeants (ça doit être vrai : c'est eux qui le disent !) ont compris le message qu'on hurle depuis 7 ans : ''Assez de gabegie, assez de dépenses inconsidérées, assez de ''pognon dingue'' (ça, c'est Macron qui le dit) jeté par les fenêtres. L'Etat vit très au dessus de ses moyens ? On va en tirer les conséquences, et vous allez voir ce que vous allez voir...''.
D'abord, on va faire 10 milliards d'économies ''sans que les citoyens ne soient impactés'' (NB : 'faudra m'expliquer comment c'est possible, et pourquoi ne pas l'avoir fait plus tôt ?). Et pour un pauvre français condamné à vivre avec le peu que l'Etat le plus ''con-Fisc-ateur'' du monde lui laisse en fin de mois, le chiffre paraît digne de ''Aouaaah !'' d'admiration. En fait, il s'agit de à peine 0,4 du PIB et 0,8 des dépenses de l'Etat... soit l'épaisseur du trait en bas de l'addition : à peine visible ! Nous sommes loin de la révolution annoncée : c'est juste un petit ''coup de rabot'', comme nos gouvernants nous ont habitués à les entendre les évoquer : des effets d'annonce, mais rien de bien significatif. Et en plus, ces soi-disant ''10 milliards d'économies'' ont déjà été bouffés et bien au delà, par les générosités insensées de Macron envers l'Ukraine --en attendant le sang de nos soldats, qu'il vient de promettre, follement : le montant soi-disant promis est 13 milliards, dont 3 nouveaux, sortis hier du chapeau du mystificateur.... C'est se foutre de la g... des gens : pas une seule des subventions à des trucs néfastes n'est touchée, et les paysans peuvent crever : les ukrainiens d'abord... C'est une honte !
Avec le fléchissement de la croissance qu'il subit sans l'avoir vu arriver (comme tout le reste !), l'Etat nous prépare à un ''jeûne intermittent'' –comme chaque fois qu'un ''Standard and Poors'' quelconque menace de nous dégrader... Mais plus question d'une diminution du nombre des ''ponctionnaires'', ni de la privatisation partielle d'une partie des 52 milliards d'€uros de ces participations que l'Etat gère si mal, ni des aides indues à des pays et des organismes qui nous haïssent, ni... ni... ni... . Il faudra nous contenter de patauger sans solution dans notre ''cinquième année consécutive de déficit extrême'' --dixit Thomas Cazenave, le nouvel inconnu en charge du ministère du Budget, qui précise même : ''les dépenses de l'Etat s'élevaient à 320 milliards d'€uros en 2019 et à plus de 400 milliards fin 2023''. L'ancien DG d'une très grosse boite que j'ai été aurait dû déposer son bilan pour bien moins que ça !
Mais notre Etat, à la fois obèse et famélique (ce qui est un comble !), semble se vautrer dans les faux délices de Capoue-Bruxelles : il passe à côté de 100% des vrais problèmes qui se posent à lui pour se con-centrer (faute d'orthographe encore plus volontaire que les autres !) sur des absurdités qui ne peuvent être de son ressort en aucun cas : 'il se met à s'occuper, à grands frais et à grands coups d'usines-à-gaz injustifiées, de la réparation de nos presse-jus et de nos robots Thermomix ou, pire encore, du ressemelage de nos chaussures... en même temps qu'il veut empêcher Poutine de faire ce qu'il a déjà fait : gagner ! L'expression ''se foutre de la gueule des gens'' est trop faible pour décrire le ridicule dans lequel une bande de pantins inexistants et prétentieux nous condamne à plonger...
C'est tout un mode de raisonnement –celui qui a prévalu en 1945-- qui est à revoir de fond en comble. Nos références sont périmées, nos systèmes ne peuvent mener qu'à des catastrophes en série, et notre logiciel ne peut plus s'adapter aux anciens softwares sur lesquels on persiste à vouloir le faire fonctionner. La mode est donc de raconter n'importe quoi, sans plus le moindre rapport avec quelque réalité que ce soit. Et notre personnel politique semble être le dernier groupe humain à comprendre ce qui se passe... dont il est pourtant coresponsable.
La seule condition pour que les populations retrouvent équilibre, santé et joie de vivre, serait que nos nuls, dont l'entêtement à se tromper systématiquement sur tout frôle le crime, abandonnent enfin (mais définitivement) les trois ''principes'' sur lesquels repose leur anti-système mortel : leur stupide mondialisation (qui ne peut pas marcher, jamais, et c'est tant mieux), leur soi-disant Europe anthropophage (qui est tout aussi létale) et leur maudite ''transition écologique'' (qui ne correspond à aucun besoin réel, tels qu'ils la rêvent). Mais... autant demander à Macron de se couper un bras... ou les deux, et la tête, en plus ! Nous en reparlons demain, c'est promis.
Comme c'est depuis hier le cas pour l'Ukraine, l'aveuglement présidentiel risque de nous entraîner dans des tourmentes inconnues. Et un risque que nul n'a vu venir se profile à l'horizon  : en prétendant voir dans le Rassemblement National le seul danger pour ''la démocratie'' --Rappel : qui ne désigne désormais qu'une conformité avec les (mauvaises) idées à la mode du jour... au lieu d'être un régime politique dans lequel tous les citoyens participent aux décisions-- , ils sont en train de s'inventer une fausse légitimité à s'opposer, fut-ce par la force, à tout résultat des urnes qui leur serait défavorable : ''l'arc républicain'' qui exclut le RN est une menace terrible, cousue de fil blanc. Mais il ne faut pas compter sur la Presse ''main stream'' pour nous en parler !
Leur argumentation est claire : ''Dans le cas (NB -très probable, à ce jour) d'une victoire non conforme à leur pensée dite correcte, il faut être prêt à sauver le peuple en s'opposant ''quoi qu'il en coûte'' à une décision prise dans les urnes par des citoyens ''désinformés –sic'', le tout au nom de leur fausse démocratie idéologique. Certains vont penser que je me prends pour un ''complotiste'' ? Peut-être, si cela veut dire ''voir un obstacle avant qu'il ne vous frappe''... A moins d'un changement radical, ce dispositif se met en place subrepticement, et ils nous referont le coup du ''On ne savait pas'' !
Ces vacances ont permis une jolie moisson de vilenies ! Et ce soir, si notre ''le plus jeune ceci et cela'' mène sa guéguerre à lui, contre Poutine, avec ses 25 000 combattants sous-équipés (on a fait cadeau de tout notre ''matos'' aux ukrainiens !), tout seul comme un grand... qu'il ne sera décidément jamais (Il faut voir la tête des adultes devant qui il a énoncé cette incongruité), et alors qu'il ne se peut pas qu'il n'y ait déjà bon nombre de militaires de l'Otan sur le sol ukrainien (dont les durs à cuire de notre ''Service Action''!), on est en droit de se demander à quoi pense notre Président, quand il profère de telles énormités ?
H-Cl.
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being-purple · 10 months
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Qui est-on ? Où s'en vont nos anciens "moi" ? Plus j'avance dans le temps, plus je réalise que les versions de moi-même sont presque illimitées. Ce qui crée à chaque fois une nouvelle version, c'est l'expérience. Ça paraît très superflu comme réflexion, et pourtant, comprendre cela, c'est comprendre la vie, dans un sens.
Dire que 2023 m'a appris des choses est un immense euphémisme. En fêtant la nouvelle année il y a plus de onze mois, je n'aurai jamais, JAMAIS imaginé ce qui m'attendait - pour le meilleur et pour le pire. Et la vérité, c'est que même en ayant l'impression d'être complet.e à un moment donné, eh bien on n'en a pas fini d'apprendre des choses sur nous-mêmes et d'évoluer. Ça peut semble décourageant au premier abord, et c'est ce que j'éprouvais à cette pensée au début. Maintenant, je peux le dire, je ressens du soulagement à cette idée, car cela remplit une des grandes joies de ma vie : apprendre. Apprendre sans cesse. Souffrir et patauger, certes, mais découvrir, comprendre et évoluer. C'est ce vers quoi je tends depuis si longtemps. Merci la vie de ne jamais être acquise, malgré les moments de faiblesse ou de désespoir.
Merci la vie de n'être jamais définie. C'est un beau cadeau que de ne jamais savoir ce qui nous attend, dans un sens comme dans l'autre.
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vicnormansstuff · 1 year
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.over-blog.com
Contrairement à une tendance prétendument naturelle, plus je vieillis et plus je crois à la nécessité impérieuse de la révolution. Chaque jour, la République représentative démontre qu’elle n’est qu’un système de copinage et de prévarication, d’endogamie para-maffieuse, non pas par dégénérescence, ou de façon circonstancielle, mais par nature, intrinsèquement, ontologiquement. Le mythe démocratique définitivement et officiellement enterré après le vote trahi contre le traité constitutionnel européen, il ne reste désormais plus qu’une vieille boutique crasseuse négociant ses prébendes et ses passe-droits. La multiplication des « fromages », des « placards dorés », des « pantouflages » et des « recyclages », grassement rémunérés, n’est pas une « dérive », elle est le but et la fonction du système, quelle que soit sa coloration politique passagère.
Ce n’est donc pas la VIe République qu’il faut penser, mais l’après-République. Même s’il est à craindre que celle-ci finisse comme elle a commencé : en pataugeant dans le sang du peuple
Xavier Eman
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