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#payer quelqu’un pour briser un couple
maraboutbadou · 7 months
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Rituel à distance pour briser une relation de couple
Comment briser une relation à distance vise à ce que deux personnes s’éloignent physiquement et spirituellement l’une de l’autre. Il s’agit généralement d’un couple, mais il peut concerner également d’autres catégories (des membres d’une même famille, amis, collègue de travail… ). Par ailleurs, notez que ce rituel puissant de magie noir pour briser un couple est destiné à mettre fin…
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marie-swriting · 8 months
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La Traînée D'Hawkins - Steve Harrington [1/2]
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Partie deux
Partie une - deux (version anglaise)
Résumé : Tu subis les conséquences pour être sortie avec Steve Harrington.
Warnings : les italiques sont des flashbacks, Slutshaming, harcèlement scolaire (reader se fait harceler) (parlez avec quelqu'un si vous subissez du harcèlement !) , sous-entendu de sex, Steve est un peu un lâche, mauvaise relation avec les parents, angst, fin triste, bagarre.
Nombre de mots : 3.8k
Chanson qui m'a inspiré : Because I Liked A Boy par Sabrina Carpenter
Les rires remplissaient l’air frais du début de soirée. Allongée sur le trampoline dans ton jardin, tu étais dans les bras de Steve. Vous êtiez devenus proches récemment et tu devais avouer que ça faisait du bien d’avoir quelqu’un à qui parler, surtout quand tes parents n’étaient pas là - ce qui était assez souvent, ce soir en était une nouvelle preuve.
Steve t’avait serré un peu plus contre lui alors que vous parliez de vos artistes musicaux favoris. Tu avais donné quelques noms comme Madonna, Bowie et c’était à la mention des Beatles que tu avais eu toute son attention. 
-L’album Help! est définitivement mon préféré, t’avais informé Steve. 
-Pareil pour moi, j’aime toutes les chansons mais You’re Going To Lose That Girl et It’s Only Love ont une place dans mon cœur, avais-tu dit alors que Steve détourne le regard. Tout va bien ?
-Ouais, c’est juste que It’s Only Love était notre chanson préférée, à Nancy et moi.
-Tu l’as vraiment aimé, hein ?
-C’était mon premier amour. Malheureusement, ça s’est assez mal fini. C’est surtout devenu compliqué après la disparition de Barbara, sa meilleure amie. Et puis, je dois admettre que j’ai mes torts dans l’histoire, mais j’essaye de me racheter. 
-Je suis sûre que tu y arriveras, avais-tu affirmé en le serrant un peu plus contre toi. Tu n’es plus le même Steve que tu étais au début du lycée. Autrement, on ne serait pas là. Tu es quelqu’un de bien, Steve, n’en doute pas une seconde. 
-Merci pour ce que tu viens de dire, t’avait souri Steve. 
-Sinon, qu’est-ce que tu penses de I Need You ? 
-J’ai dû mal avec cette chanson.
-Steve Harrington, je suis outrée ! Comment oses-tu dire ce genre de chose ? t’étais-tu exclamée, faussement choquée.
-T’as demandé mon avis.
-Et tu es censée être d’accord avec moi. 
-J’arrive pas à l’apprécier c’est pas de ma faute.
-Tu ne comprends juste pas cette chanson. Tu vas voir, tu en seras fan un jour, je m’en assurerai, avais-tu déclaré en le regardant droit dans les yeux. 
-Je veux bien voir ça. 
Vos lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres de l’une de l’autre. Tu n’osais pas faire le premier pas, même si tu en mourrais d’envie, tu avais peur d’avoir trop lu entre les lignes. Steve te plaisait beaucoup, mais tu n’étais pas sûre qu’il voulait la même chose. Steve te regardait avec des yeux remplis d’étoiles et de tendresse, les tiens n’étaient pas très différents. Vous attendiez seulement de voir lequel d’entre vous craquerait en premier. Steve était celui qui avait fini par briser les centimètres qui vous séparaient en posant ses lèvres sur les tiennes. Vos lèvres bougeaient doucement, appréciant ce moment si innocent du début de votre relation. 
Maintenant, l’innocence est partie. Quand tu refermes ton casier, le mot “traînée” est écrit en grosses lettres, te rappelant le prix que tu as dû payer pour ce moment. Qui aurait cru qu’un câlin dans un trampoline pouvait être si dangereux ? 
Au loin, Steve te regarde. Toutefois, la seconde où tu te tournes vers lui, il baisse les yeux et part dans la direction opposée. C’est la même chose depuis un mois. Tu reçois des insultes et Steve regarde ailleurs. Tu es accusée d’être une briseuse de couple et Steve reçoit la sympathie pour la douleur que tu lui aurais causée. 
Pendant ta journée de cours, tu gardes la tête baissée, ne voulant pas attirer plus l’attention sur toi. Malheureusement, les insultes tout comme les bouts de papier dégradant continuent de fuser sur ton passage. Ton seul moment de répit est pendant le déjeuner. 
Au début, tu te cachais dans les WC du lycée puis, tu as fini par croiser quelques filles qui t’ont bien fait comprendre qu’elles n’étaient pas de ton côté alors tu t’es réfugiée dans le placard du concierge. Au moins, personne ne peut venir t’embêter là-bas. Tu n’aimes pas la façon dont tu as fini par accepter le harcèlement, mais toutes les fois où tu as essayé d’expliquer la situation, personne ne t’a écouté. Alors, maintenant, tu ne dis plus rien et tu laisses les personnes définir qui tu es tout en espérant que cette histoire se tasse bientôt. 
L’après-midi, tu as cours de chimie. Comme à ton habitude depuis un mois, tu restes au fond de la classe, voulant être loin du regard de tes camarades. Tu fais de ton mieux pour écouter le cours, mais tu dois avouer que depuis cette histoire, tes notes ont commencé à baisser. Tu conserves toute ton énergie pour survivre aux remarques alors il ne t’en reste plus pour avoir des bonnes notes. 
Alors que tu finis de noter ce que le professeur Kaminski vient de dire, il annonce que vous allez travailler en groupe de deux. Tout de suite, ton ventre se tord et tu as envie de vomir. Tu ne veux pas travailler en groupe. Tu n’as jamais été fan de travaux de groupe, maintenant, tu les hais ; c’est la porte ouverte aux insultes pendant une heure sans arrêt. Le professeur informe qu’il a déjà fait les groupes avant de les énoncer à voix haute. Comme un condamné, tu attends qu’il dise ton prénom. Tu fais partie du dernier groupe et tu es avec Tucker Walker. À l’annonce de ton partenaire, tu as envie de mourir. Il fait partie de l’équipe de basket et il se croit tout permis. Tu ne l’aimes pas. Tu essayes de négocier avec ton professeur pour travailler seule, mais il insiste. 
-Viens, Y/L/N, je vais pas te manger, rigole Tucker. 
À contrecoeur, tu réunis tes affaires et tu le rejoins à sa table. Tu mets un maximum de distance entre vous deux, voulant éviter de nouvelles rumeurs. 
-Je vais faire tout l’exercice et je mettrai ton nom sur la feuille comme ça, tu n’auras rien à faire, annonces-tu en commençant à lire ce que tu dois faire.
-Qui a dit que je ne voulais pas bosser avec toi ?
-Je ne veux pas bosser avec toi, précises-tu. Maintenant, occupe-toi et laisse-moi travailler.
-Au contraire, je suis sûr que je peux être utile, contredit-il en posant sa main sur ton genou.
-Enlève ta main, dis-tu en serrant les dents.
-Quoi ? 
-Ta main. Je ne t’aime pas et si je ne me trompe pas, tu es en couple.
-Ça ne t’a pas arrêté avec Harrington, dit-il avant de se pencher vers toi. Tu peux venir me rejoindre derrière le lycée tout à l’heure. 
-Non.
-Tu n’as pas à faire la fille difficile parce qu’on est en cours.
-Je ne fais pas la difficile, je ne t’aime pas, répètes-tu en essayant de rester calme.
-C’est ce que tu dis maintenant. 
Par chance, Tucker finit par retirer sa main et te laisse travailler. Tu es surprise de voir qu’il a abandonné si vite. Tu sais que ça cache autre chose, il faut que tu l’évites. 
Tu termines l’exercice de chimie pile quand le cours se termine. Tu ranges tes affaires en quatrième vitesse et rends la feuille à ton professeur avant de quitter la salle. Tucker ne t’a pas suivi, te permettant de lâcher un soupir de soulagement. 
En repassant devant ton casier, tu découvres que l’insulte a disparu. C’est un des points positifs avec le concierge du lycée, il efface rapidement les insultes. Cependant, peu importe le nombre de fois qu’il l’efface, il ne l’a jamais signalé au principal, te laissant seule face au venin des lycéens. 
Quand tu sors du lycée, tu te diriges vers ta voiture quand on te bloque la route. Devant toi se trouvent quatre filles dont Jessica, la petite amie de Tucker. Tu essayes de faire bonne figure, te préparant déjà à ce qu’elle va te dire.
-Qu’est-ce qui te fait croire que tu peux faire des avances à Tucker, mon petit ami ? demande-t-elle sèchement. Être son partenaire de chimie et lui dire de te rejoindre derrière le lycée ? C’est là où tu allais, n’est-ce pas ? Il ne viendra pas. Contrairement à Steve, il ne laissera pas la traînée d’Hawkins briser notre couple, affirme Jessica, tu t’apprêtes à lui répondre quand elle te devance. N’essaye même pas de le nier, Tucker m’a dit et Sarah t’a entendue !
-Elle entend mal, alors. Tucker est celui qui m’a fait des avances et je l’ai repoussé. Il a posé sa main sur mon genou et m’a dit de le rejoindre derrière le lycée, rétorques-tu, agacée.
-Tu penses que je vais croire une fille comme toi plutôt que mon copain ?
-Je sais que tu ne vas pas me croire. C’est tellement plus facile de croire le gars qui te dit de belles paroles plutôt que la fille qui te montre le vrai visage de ton copain. Ne sois pas trop déçue le jour où tu découvriras qu’il t’a trompé, si ce n’est pas déjà fait, déclares-tu avec un faux sourire.
-Retire ce que tu viens de dire.
-Pourquoi ? Tout le monde sait qu’il n’est pas fidèle.
-Il est différent avec moi, insiste Jessica et tu secoues la tête.
-C’est ce qu’il te fait croire mais la vérité c’est qu’il va voir ailleurs tout en te gardant sous le coude. 
Le bruit de la claque résonne dans le parking du lycée. Tu regardes Jessica avec de grands yeux alors que tu te tiens la joue. Pour toi, c’est la goutte de trop, tu réponds à son attaque en lui tirant les cheveux. Le cri de Jessica alerte les adultes alors que ses amies essayent de défaire ton emprise. Tu continues à lui dire ses quatre vérités alors que deux bras s’enroulent autour de ton corps et t’éloignent de Jessica. Être séparées ne vous empêche pas de continuer à vous insulter et à essayer de vous sauter à la gorge à nouveau jusqu’à ce que monsieur Jenkins arrive.
-Ça suffit ! Mais qu’est-ce qui se passe ici ? 
-Elle m’a attaqué ! ment Jessica en te pointant du doigt.
-Quoi ? C’est toi qui m’a giflée en premier.
-C’est faux, monsieur, on l’a vue ! ajoute une amie de Jessica.
-Elles mentent, Jessica l’a tapée en premier.
En regardant derrière toi, tu réalises que celui qui t’a retenu et qui te défend n’est autre qu’Eddie Munson. Tu ne l’avais même pas vu dans les alentours et tu ne t'attendais certainement pas à ce qu’il prenne ta défense. 
-Vous allez sérieusement pas croire les mots de Munson ? questionne Jessica, les larmes aux yeux. Il est toujours contre nous ! Il dirait n’importe quoi pour nous attirer des ennuis. Je suis la victime dans l’histoire…
-Tu dis n’importe quoi, tu…, l’interromps-tu avant que monsieur Jenkins attire votre attention.
-Stop ! J’en ai assez. Chez le principal, tout de suite ! 
Et c’est ainsi que tu te retrouves pour la première fois dans le bureau de monsieur Higgins. Tu n’arrives pas à croire que la situation ait dégénéré à ce point. Le pire ce n’est pas d’entendre le discours réprobateur du principal, c’est d’être témoin de la déception de ta mère à tes côtés pendant qu’il le fait. 
Alors que le principal explique à ta mère et à celle de Jessica ce qu’il s’est passé, tu regardes tes chaussures tout en retenant tes larmes de colère. Quand il a fini de parler, Higgins attire votre attention à toi et Jessica.
-Vous avez quelque chose à ajouter ?
-Je ne l'ai pas attaquée en premier, insistes-tu. 
-Tout le monde t’a vue ! rétorque Jessica.
-C’est toi qui es venue m’accuser de voler ton petit ami. Je n’ai rien fait. 
-Ouais comme tu n’as rien fait pour briser le couple de Nancy et Steve. 
-Monsieur, commences-tu en gardant une voix posée, ça fait plus d’un mois que je me prends des insultes de la part de tout le monde dont Jessica. Elle m’a traité de traînée puis elle m’a giflé quand j’ai dit que son copain n’était pas fidèle. Eddie Munson est témoin, il l’a dit à monsieur Jenkins. 
-Munson, celui qui dirige une culte ? Quel témoin fiable ! déclare la mère de Jessica en levant les yeux au ciel.
-Madame, s’il vous plaît, réprimande le directeur. Un témoin contre les trois amis de Jessica, ça n’apporte pas grand chose. 
-Et vous n’allez rien faire pour les insultes qui me sont adressées ?
-Y/N, dit ta mère d’un ton sec.
-Je n’ai jamais entendu parler d’insultes à ton égard. Toutefois, tes notes sont de moins en moins bonnes pour une raison inconnue.
-Si vous faisiez plus attention à vos élèves, peut-être que vous sauriez pourquoi.
-Y/N, ça suffit ! te rappelle à l’ordre ta mère avant de se tourner vers monsieur Higgins. Je vous présente mes excuses. J’imagine que Y/N sera punie ?
-En effet, on ne peut tolérer ce comportement. Logiquement, ce genre de situation peut amener à l’expulsion mais étant donné que Y/N a toujours été une élève modèle jusqu’ici, nous allons dire que c’est seulement une mauvaise phase. Y/N aura un mois de retenue et tu devras faire un devoir sur le harcèlement.
Avant que tu puisses protester, ta mère te lance un regard noir. Tu restes silencieuse alors que ta mère s’excuse encore une fois pour ton comportement. L’emprise de ta mère sur ton bras te force à te lever et à quitter le bureau. Elle ne dit rien jusqu’à ce que tu arrives à ta voiture où elle t’ordonne de rentrer à la maison. 
Quand tu arrives chez toi, ta mère t’informe que tu es privée de voiture, t’obligeant ainsi à aller à l’école en bus puis, elle te dit de rester dans ta chambre jusqu’à l’arrivée de ton père.
Quand tu refermes la porte de ta chambre, tu laisses enfin tes larmes de colère couler sur tes joues. Tu es frustrée par toute la situation et tu ne t’es jamais sentie aussi seule. Tu t’allonges sur ton lit en boule, cherchant un peu de réconfort. Pendant que tu recherches ce réconfort, ton esprit te ramène à un moment de ta vie où tu l'avais sans avoir besoin de faire un effort. As you search for that much-needed comfort, your mind takes you back to a time in your life when you had it without needing to make any effort.
À un moment, tu avais ce réconfort. Quand tout allait encore bien, il n’était pas rare que Steve vienne chez toi et qu’il te fasse sourire. 
Vous étiez en couple depuis trois mois et personne ne savait pour votre relation. Vous aviez préféré ne rien dire, voulant chérir ce que vous aviez. Grâce à votre relation, vous vous sentiez moins seuls, vous aviez enfin l’impression que quelqu’un s’inquiétait pour vous, c’était pourquoi tu étais si bien avec lui. Par conséquent, vous vous voyez quand vos parents ne sont pas chez vous. Ne voulant pas rester seule une autre nuit, tu avais invité Steve à venir chez toi. Étant dans la même situation, Steve avait sonné à ta porte une trentaine de minutes plus tard. 
Allongés dans ton lit, vous profitiez de la présence de l’autre après votre premier moment intime que vous veniez de partager. Steve a ses bras autour de tes hanches, plaquant ton dos contre son torse. 
-Tu sais, avait commencé Steve en murmurant à ton oreille, peut-être que tu es en retard pour être mon premier amour, mais tu seras toujours mon préféré. J’aime ce qu’on a.
-Moi aussi. Je t’aime beaucoup, Steve, avais-tu dit en te retournant pour le regarder. 
-Je t’aime beaucoup aussi, avait-il répondu en t’embrassant tendrement.
Tes pensées sont interrompues par la voix dure de ton père t’ordonnant de descendre. Tu essuies rapidement tes larmes et te prépares pour ce que tes parents s'apprêtent à te dire. En descendant les escaliers, ton père te fait signe d’aller dans la cuisine. Tu t’assois alors que tes parents restent debout de l’autre côté de la table, une expression sévère sur leur visage.
-C’est quoi cette histoire que ta mère m’a raconté ? Tu te bats maintenant ? s’indigne ton père. 
-Je ne faisais que me défendre, Jessica m’a attaqué en premier. 
-Pourquoi est-ce qu’elle t’aurait attaqué ? Je connais son père, c’est une fille adorable.
-Elle m’a insulté de traînée et elle m’a accusé de lui voler son petit ami alors que je n’ai rien fait. 
-Pourquoi est-ce qu’elle dit que c’est le cas alors ? questionne ta mère, agacée.
-Parce qu’elle est contre moi, comme tout le monde dans ce lycée !
-Baisse d’un ton, jeune fille, t’ordonne ton père. 
-C’est par rapport à ce qu’elle dit sur Steve et Nancy, n’est-ce pas ? veut savoir ta mère avec un regard accusateur.
-Oui, on m’accuse d’avoir brisé leur couple alors que c’est faux.
-Parce que tu n’as jamais rien fait avec Steve peut-être ?
-Comment tu…, commences-tu, surprise de découvrir qu’elle sait.
-C’est une petite ville et tu pensais vraiment que les voisins ne te verraient pas faire rentrer un garçon dans notre propre maison ? 
-Tu as fait venir un garçon en douce ? s’énerve ton père.
-Et d’après madame Johnson, ça a duré pendant plusieurs mois, précise ta mère. Tu n’as pas honte de toi ?
À cette phrase, le peu d’espoir que tu avais concernant tes parents disparaît. Tu n'arrives pas à croire que ta propre mère soit contre toi. Tu commences à t’habituer à la réputation que l’on t’a faite, mais entendre ta propre mère sous-entendre que tu es moins bien à cause de ta relation est le coup de grâce. Tu n’arrives pas à comprendre comment aimer un garçon a pu à ce point tout détruire. 
-Steve et moi, on s’était mis en couple après sa séparation avec Nancy, je lui parlais à peine quand il était encore avec elle. Steve était mon petit ami et on a rien fait de mal ! te défends-tu, sentant les larmes monter.
-Bien sûr et tu n’as rien fait de mal quand tu as attaqué cette pauvre Jessica ?
-Pauvre Jessica ? Elle m’a insulté et frappé. Je n’ai rien fait. Pourquoi est-ce que vous ne voulez pas me croire ? Je suis votre fille et pourtant, vous préférez croire Jessica que moi.
-Les faits sont là ! tonne ton père. Et puis, on aurait dû agir il y a un moment, tu as vu tes notes aussi ? Tu penses vraiment réussir ton année ainsi ?
-Mes notes se dégradent parce qu’on me fait vivre un enfer au lycée. 
-Arrête de te victimiser ! On en a assez de ton comportement. Tu as intérêt à remonter la pente et très vite. Monte dans ta chambre, tout de suite ! Et tu n’oublieras pas de faire tes excuses à Jessica.
Fatiguée de crier dans le vide, tu ne réponds pas à l’ordre de ta mère et cours te réfugier dans ta chambre. Énervée, tu fais claquer la porte derrière toi. En temps normal, tu aurais peur de recevoir d’autres réprimandes, mais à cet instant précis, c’est le cadet de tes soucis. 
Tu te jettes sur ton lit et tu te retiens de hurler ta frustration. Tu n’arrives pas à comprendre comment tes propres parents ne te défendent pas. Ils n’ont même pas essayé de t’écouter, ils n’ont fait que de te blâmer encore plus. Tu sais que c’est idiot, mais une part de toi espérait qu’ils essayeraient de te comprendre. Tu avais tort. Personne n’est de ton côté. Tu ne le pensais pas possible, pourtant, tu te sens encore plus seule. 
Si tu pensais déjà être l’ennemi public numéro un, quand tu retournes en cours le lendemain, tu réalises que c’est pire. Tout le monde te lance des regards de travers, les insultes se font plus nombreuses comme les messes basses. Tu te fais encore plus discrète que d’habitude - si c’est possible - restant dans ton coin. 
Finalement, tu te dis que tu ne recommanderais à personne de sortir avec des garçons qui ont des exs, ça ne vaut pas toute la douleur et le harcèlement qui vient avec, surtout si ledit garçon vous ignore. 
Quand tu vas à ton dernier cours de la journée, tu aimerais pouvoir dire que tu t’apprêtes à enfin respirer, mais tu as ta retenue. Tu vas devoir rester au lycée encore quelques heures. 
En t’asseyant à ta table habituelle de ta salle d’histoire, tu poses ton cahier sur ta table. Tes yeux se posent sur la dernière page où tu as écrit jusqu’à ce qu’ils dérivent sur une inscription gravée sur ta table : “la traînée d’Hawkins = Y/N”. Tu ne découvres pas ces mots, c’est d’ailleurs ces mots sur cette table qui t’ont fait réaliser que ta vie allait changer sans que tu puisses réagir. Malgré le temps, ces mots te font toujours l’effet d’un coup de poignard. Tu te rappelles encore de ce moment où tout a basculé. 
Tu étais derrière le lycée avec Steve. Vous étiez en couple depuis quatre mois mais contrairement aux trois premiers, ça n’allait plus entre vous. Vous n’étiez plus sur la même longueur d’onde. Peu importe tes efforts pour essayer de le garder auprès de toi pour sauver votre couple, ça se finissait toujours en dispute. Le sujet principal était que tu étais plus investie dans votre relation que Steve. Tu avais notamment remarqué ceci quand tu avais essayé d’être plus proche de lui au lycée. 
-Je ne t’en demande pas beaucoup Steve ! Je demande pas à t’embrasser avec la langue devant tout le monde, je veux juste pouvoir au moins te parler sans que tu m’ignores. Je suis ta petite amie et pourtant, on dirait que je suis inconnue pour toi, avais-tu demandé, à la fois énervée et désespérée.
-T’as dit que tu voulais garder notre relation pour nous, avait rétorqué Steve en évitant ton regard.
-C’était avant que ça devienne plus sérieux entre nous. Je t’aime beaucoup et je veux pouvoir dire que tu es mon petit ami.
-Je sais mais tu sais avec Nancy…
-Pourquoi est-ce que tu parles d’elle ? Elle a avancé, contrairement à toi ! Elle est avec Jonathan, je pense qu’elle s’en fiche si tu es de nouveau en couple. Pourquoi est-ce que tu cherches des excuses ? Je croyais que tu m’aimais beaucoup aussi.
-C’est le cas. 
-Ah bon ? On dirait pas ! t’étais-tu offusquée. J’ai l’impression d’être seule dans cette relation. À chaque fois que je fais un pas vers toi, tu me repousses un peu plus. Je commence à en avoir marre. Je ne sais même pas pourquoi je continue à essayer de sauver notre couple alors que c’est clair que tu t’en fiches, avais-tu fini en rentrant à l’intérieur du lycée. 
-Y/N, attends…, avait-il essayé de te retenir
-Non, c’est fini, Steve ! 
Ce jour-là, tu avais mis fin à ta relation avec Steve, signant aussi la fin de ta tranquillité au lycée. Pendant que vous vous disputiez, quelqu’un vous avait entendu et avait tordu toute l’histoire. Avant que tu puisses réagir, quelques jours plus tard, les rumeurs avaient commencé à tourner au lycée disant que tu avais ruiné le couple de Nancy et Steve en le séduisant. Tu n’avais rien pu faire pour corriger les rumeurs. Juste parce que tu avais aimé un garçon, on t’avait jugé comme une briseuse de couple et tu devais accepter ta sentence.
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assogba · 2 years
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Comment Réaliser pour briser un couple a distance- briser 1 couple a distance.
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shalomelohim · 6 years
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Les liens d’âmes
« David avait achevé de parler à Saül, et dés lors l’âme de Jonathan fut attachée à l’âme de David, et Jonathan l’aima comme son âme. Ce même jour, Saül retint David et ne le laissa pas retourner dans la maison de son père. Jonathan fit alliance avec David, parce qu’il l’aimait comme son âme. Il ôta (ou se dépouilla) le manteau qu’il portait pour le donner à David, et lui donna ses vêtements, même son épée, son arc et sa ceinture ». (1 Samuel 18 :1-4)
Situons les personnages de ce passage de la Bible pour bien comprendre cet attachement, cette alliance entre Jonathan et David :
1-Saül est le 1er roi d’Israël. Il a été choisi par Elohim pour satisfaire à la demande, avec insistance, du peuple d’Israël. Mais Saül est maintenant un roi déchu à qui la royauté a été enlevée, par Elohim, à cause de sa désobéissance due à la crainte des hommes plus grande que la crainte d’Elohim.
2-Jonathan est un fils de Saül, un prince. Le prince héritier de la couronne, de la royauté, qui normalement aurait dû succéder à son père. Mais à cause de la désobéissance de son père, la royauté lui est enlevée.
3-David est un jeune garçon, berger. Il vient d’être choisi par Elohim et oint par le prophète Samuel comme futur roi d’Israël. Donc en Israël la royauté va changer de famille.
Voilà le personnage avec qui Jonathan va faire alliance et l’aimer comme lui-même à l’encontre de son père.
En se dépouillant de son manteau royal, Jonathan démontre qu’il reconnait en David l’oint d’Elohim, son futur roi auquel il devra se soumettre.
Tout cela, il l’accomplit dans l’amour,  il ne convoite pas une place de premier ministre ni de ministre des finances.
Son amour pour David est gratuit. Jonathan est habité par la crainte d’Elohim. Son attitude nous rappelle l’attitude de Yahshua quand il a quitté son ciel de gloire.
“ Ayez en vous les sentiments qui étaient en Yahshua existant en forme d’Elohim, il n’a point regardé son égalité avec Elohim comme une proie à arracher. Mais il s’est dépouillé lui-même en devenant semblable, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes et il a paru comme un vrai homme. Il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort même jusqu'à la mort de la croix. “ (Philippiens 2:5-8)
Tout comme Yahshua, Jonathan n’éprouve aucun sentiment de rejet, de victime, de pitié de soi, de dévalorisation face à David.
Plusieurs fois, il va sauver la vie de David que son père le roi, Saül veut tuer. Même, il ose affronter son père, soustraire David à la vengeance, à la jalousie, à la mort.
Nous avons là deux cœurs purs, demeurant dans la crainte dElohim, mais demeurant dans la foi, dans l’assurance envers YHWH. Aucun des deux ne cherche à dominer l’autre, ni a tirer profit de cette alliance pour lui-même.
David appelait Jonathan, son frère. Yahshua a fait de même, il n’a pas craint, devant son Père de nous appeler ses frères.
- Pourquoi ce lien d’âme ou alliance nous est montré en exemple dans la bible ?
C’est à cela que nous sommes appelés à vivre. Aucun des deux ne cherche à influencer l’autre. L’un et l’autre œuvre pour le royaume, chacun à sa place et  non pour son propre intérêt. Ce type d’alliance ou de lien d’âme plait à Elohim et il le bénit.
C’est l’alliance ou lien d’âmes dont nous parle Actes 2:24 :
« Tous ceux qui croyaient, étaient dans le même lieu, et ils avaient tout en commun. Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens et ils partageaient le produit entre tous, selon les besoins de chacun. Ils étaient chaque jour tous ensembles au temple, ils rompaient le pain dans les maisons et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur. Louant Elohim, et trouvant grâce auprès de tout le peuple. Et le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Eglise ceux qui étaient sauvés » 
“ La multitude de ceux qui avaient cru n'était qu'un coeur et qu'une âme. Nul ne disait que ses biens lui appartinssent en propre, mais tout était commun entre eux. Les apôtres rendaient avec beaucoup de force témoignage de la résurrection du Seigneur Yahshua. Et une grande grâce reposait sur eux tous. Car il n'y avait parmi eux aucun indigent : tous ceux qui possédaient des champs ou des maisons les vendaient, apportaient le prix de ce qu'ils avaient vendu, et le déposaient aux pieds des apôtres ; et l'on faisait des distributions à chacun selon qu'il en avait besoin. “ (Actes 4:32-35)
[Notes : nous pouvons parler ici de maillage spirituel entre les différents membres du corps de Yahshua.
C’est le même type d’alliance ou de lien d’âme que l’on devrait retrouver des les couples, entre époux et épouse, mais aussi dans la relation parents-enfants et enfants- parents, entre croyants ou chrétiens. 
Seul Yahshua est qualifié pour nous délivrer des mauvais liens d'âmes. Voici ce qu'il a déclaré dans la synagogue de Nazareth, il y a deux mille ans.
“ L'Esprit du seigneur est sur moi. Parce qu’il  m'a oint pour annoncer de bonnes nouvelles aux pauvres. (Toute personne qui est dans un lien est un pauvre) il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé. Pour proclamer aux captifs la délivrance. Pour renvoyer libre les opprimés.” (Luc 4-18)
“ Homme israélite, écoutez ces paroles ! Yahshua de Nazareth, cet homme à qui Elohim a rendu témoignage devant vous par des miracles, des prodiges et des signes qu’il a opéré par lui, au milieu de vous. Comme vous le savez vous-même, cet homme livré selon le dessein arrêté et selon la prescience d’Elohim, vous l’avez crucifié, vous l’avez fait mourir par la main des impies.” (Actes 2-22 à 24)
Elohim l’a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu'il n'était pas possible qu'il soit retenu par elle.
Voila bonne nouvelle : les hommes ont mis Yahshua au tombeau. Mais il a été délivré des liens de la mort, parce qu'il n'était pas possible qu'il soit retenu par elle. Yahshua a acquis le droit, l'autorité pour briser tous les liens de la mort ou diaboliques mise sur nos vies. Le lien de la mort, c'est le lien le plus puissant auquel un homme ou une femme puisse être soumis.
Aucun être humain n’a pu se délivrer lui-même de la mort, sauf Yahshua. Car en lui le péché n’a pas eu d'emprise. Le diable n'a trouvé aucune faille, aucune porte ouverte dans sa vie.
Donc maintenant Yahshua est qualifié pour nous sortir, nous libérer de tous lien diabolique, de tout lien d’âme négatif.
-- Délivrance = accorder le pardon et la libération avec le paiement d’une rançon.
Nous avons été kidnappés par Satan, Yahshua s'est offert en rançon pour libérer nos vies.
Délivrance = briser les portes de la prison, tiré quelqu’un d’une situation ou d’un état dans lequel il était retenu ou menacé.
Action de rendre libre, relâché de la captivité, de l'emprisonnement, pardonner la faute, bien-être, victoire, salut (par la nouvelle naissance) justifiés, secourir, réchappé (de YHWH), donner naissance : l'accouchement est une délivrance après l'expulsion du placenta.
“ C’est par des liens d’une tendresse tout humaine et des cordes d’amour que je le conduisais, et j’ai été pour lui comme quelqu’un qui porte un nourrisson contre ses joues pour lui tendre à manger. “ (Osée 11-4)
Le salut, ce sont les liens de la mort rompus. Nous avons un exemple de la délivrance de la mort avec Lazare, dans le tombeau depuis quatre jours, que Yahshua libère.
“ Devant le tombeau Yahshua cria d'une voix forte : Lazare sors ! Et le mort sortit les pieds et les mains liés de bandelettes et le visage couvert d'un linge. Yahshua leur dit : délier le, et laisser le aller. “ (Jean 11:43-44)
Là nous voyons Yahshua faire la distinction entre les liens de la mort, ou sataniques, et les liens que les hommes posent sur la vie d'autrui, ou nous même sur notre vie.
Nous sommes responsables des liens que nous mettons sur notre vie, ou sur la vie  des autres.
L’initiative de la délivrance nous appartient.
Comment ? Par la repentance et le pardon.
* Les liens d’âmes fusionnels et le vampirisme *
C'est-à-dire que le dominant pompe l'énergie du dominé. 
Cela peut  provenir par une personne qui n'a pas traité la pitié de soi dans sa vie. Nous la reconnaissons à ses paroles, quand nous  voulons lui parler de personnes en difficulté, elle vous rétorque à chaque fois : Eh bien  pour moi ce qui m’arrive c'est beaucoup plus grave. Elle devient un vampire spirituel et domine tous les siens, son entourage finit par se soumettre à elle pour éviter les conflits.
Citons encore les liens d’âme avec les artistes : chanteur ou groupe de musiques sur leurs fans. Les fans choisissent la même coiffure ou coupe de cheveux etc. que l'artiste. Ils sont prêts à dépenser tous leurs argents pour acheter des CD ou DVD d'un artiste. Même à se déplacer loin et payer cher des billets d'entrée pour le rencontrer au simplement l’écouter.
Toute personne battue, mal traités, contrôlée, dominée, limitée dans son action et dans ses déplacements, harcelés physiquement, mentalement, moralement, financièrement, spirituellement, est sous un lien d’âme. Il en est de même pour toute personne abusée physiquement, moralement ou même spirituellement. Elle a besoin d'être délivrée d'un lien d’âme.
Sur le plan spirituel nous pourrions parler des liens mis par les responsables :
. gourous dans les sectes, . des pasteurs ou des prêtres dans certaines églises.
Il faudrait y ajouter certaines pratiques de l'islam.
L’initiative de la délivrance nous appartient.
Comment ? Par la repentance et le pardon.
Nous devons demander pardon pour les liens que nous avons mis sur notre vie où les liens que nous avons acceptés de nous laisser mettre par les autres. Nous devons également pardonner à ceux qui ont posé les liens sur nos vies.
Ensuite Yahshua, nous a donné l'autorité en son nom pour être délivré.
Nous avons besoin de serviteurs matures pour nous aider.
Le ministère du Ruah Ha Kodesh est également indispensable. Nous le voyons avec les amis de Daniel dans la fournaise ardente. C'est le feu qui brûle leurs liens. Ici le feu symbolise l'action libératrice du Ruah Ha Kodesh.
“ Voici, notre Elohim que nous servons peut nous délivrer de la fournaise ardente, et il nous délivrera de ta main, ô roi. Simon, sache, ô roi, que nous ne servirons pas tes dieux, et que nous n'adorerons pas la statue d'or que tu as élevée. Sur quoi Nebucadnetsar fut rempli de fureur, et il changea de visage en tournant ses regards contre Schadrac, Méschac et Abed Nego. Il reprit la parole et ordonna de chauffer la fournaise sept fois plus qu'il ne convenait de la chauffer. Puis il commanda à quelques-uns des plus vigoureux soldats de son armée de lier Schadrac, Méschac et Abed Nego, et de les jeter dans la fournaise ardente. Ces hommes furent liés avec leurs caleçons, leurs tuniques, leurs manteaux et leurs autres vêtements, et jetés au milieu de la fournaise ardente. Comme l'ordre du roi était sévère, et que la fournaise était extraordinairement chauffée, la flamme tua les hommes qui y avaient jeté Schadrac, Méschac et Abed Nego. Et ces trois hommes, Schadrac, Méschac et Abed Nego, tombèrent liés au milieu de la fournaise ardente. Alors le roi Nebucadnetsar fut effrayé, et se leva précipitamment. Il prit la parole, et dit à ses conseillers : N'avons-nous pas jeté au milieu du feu trois hommes liés ? Ils répondirent au roi : Certainement, ô roi ! Il reprit et dit : Eh bien, je vois quatre hommes sans liens, qui marchent au milieu du feu, et qui n'ont point de mal ; et la figure du quatrième ressemble à celle d'un fils des dieux. “ (Daniel 3:17-25)
De même dans la vie de Samson qui était lié, par ses frères, pour être livré dans les mains de ses ennemis. C'est le feu du Ruah Ha Koesh qui est venu le libérer en brulant ses lien:
“ Les hommes de Juda dirent : Pourquoi êtes-vous montés contre nous ? Ils répondirent : Nous sommes montés pour lier Samson, afin de le traiter comme il nous a traités. Sur quoi trois mille hommes de Juda descendirent à la caverne du rocher d'Étam, et dirent à Samson : Ne sais-tu pas que les Philistins dominent sur nous ? Que nous as-tu donc fait ? Il leur répondit : Je les ai traités comme il m'ont traité. Ils lui dirent : Nous sommes descendus pour te lier, afin de te livrer entre les mains des Philistins. Samson leur dit : Jurez-moi que vous ne me tuerez pas. Ils lui répondirent : Non ; nous voulons seulement te lier et te livrer entre leurs mains, mais nous ne te ferons pas mourir. Et ils le lièrent avec deux cordes neuves, et le firent sortir du rocher. Lorsqu'il arriva à Léchi, les Philistins poussèrent des cris à sa rencontre. Alors l'esprit de YHWH le saisit. Les cordes qu'il avait aux bras devinrent comme du lin brûlé par le feu, et ses liens tombèrent de ses mains. “ (Juges 15:10-14)
Si c'est le cas, nous devons implorer le pardon d’Elohim pour les liens dont nous sommes responsables sur nos vies, et celle des autres, et des conséquences que cela a engendrées dans leur vie.
Nous devons nous repentir et demander  le pardon d’Elohim pour tous les liens qui sont venus dans nos propres vies à la suite de la désobéissance à la parole d’Elohim.
Jusqu'à maintenant nous avons parlé de lien satanique, mais il arrive dans certains cas, de désobéissance à la parole d’Elohim, qu’Elohim lui-même permette à un esprit de ténèbres de venir tourmenter notre vie.
La Bible nous en montre un exemple avec Saül le roi d'Israël. Il désobéit, s'approprie un rôle pour lequel il n'avait pas été mandaté.
Conséquences : l'onction du Ruah Ha Kodesh le quitte, et Elohim a permis à un esprit de dépression de venir sur sa vie pour le tourmenter.
Ensuite, reconnaissons que nous avons besoin de libération dans nos vies, et ceci sans en accuser les autres.
Plaidons coupables et demandons à Yahshua de venir nous libérer.
Souvenons-nous de l’exemple de Bartimée, mendiant aveugle qui s'est présenté devant Yahshua pour être guéri :
“ Yahshua s'arrêta, et dit : Appelez-le. Ils appelèrent l'aveugle, en lui disant : Prends courage, lève-toi, il t'appelle. L'aveugle jeta son manteau, et, se levant d'un bond, vint vers Yahshua. Yahshua, prenant la parole, lui dit : Que veux-tu que je te fasse ? Rabbouni, lui répondit l'aveugle, que je recouvre la vue. Et Yahshua lui dit : Va, ta foi t'a sauvé. Aussitôt il recouvra la vue, et suivit Yahshua dans le chemin. “ (Marc 10;49-52)
Donc ne craignons pas de faire connaître nos besoins à Elohim par son Fils Yahshua.
“ L'esprit du Seigneur, YHWH, est sur moi, Car YHWH m'a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux ; Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, Pour proclamer aux captifs la liberté, Et aux prisonniers la délivrance ; Pour publier une année de grâce de YHWH, Et un jour de vengeance de notre Elohim ; Pour consoler tous les affligés ; Pour accorder aux affligés de Sion, Pour leur donner un diadème au lieu de la cendre, Une huile de joie au lieu du deuil, Un vêtement de louange au lieu d'un esprit abattu, Afin qu'on les appelle des térébinthes de la justice, Une plantation de YHWH, pour servir à sa gloire. “ (Esaïe 61:1-3)
Source : Parolevivante.net
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Notes : C’est la raison pour laquelle Père nous demande de couper les liens avec le monde actuel [Satan qui nous tient avec la laisse de l’esclavage] afin de ne plus prendre part à ses agissements :
“ Quel rapport y a-t-il entre le temple d’Elohim et les idoles? Car nous sommes le temple de l’Elohim vivant, comme Elohim l'a dit: J'habiterai et je marcherai au milieu d'eux; je serai leur Elohim, et ils seront mon peuple. C'est pourquoi, Sortez du milieu d'eux, Et séparez-vous, dit le Seigneur; Ne touchez pas à ce qui est impur, Et je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, Et vous serez pour moi des fils et des filles, Dit le Seigneur tout-puissant. “ (2 Cortinhiens 6:16-18)
“ Sortez du milieu d'elle, mon peuple, Et que chacun sauve sa vie, En échappant à la colère ardente de YHWH ! Que votre coeur ne se trouble point, et ne vous effrayez pas Des bruits qui se répandront dans le pays; Car cette année surviendra un bruit, Et l'année suivante un autre bruit, La violence régnera dans le pays, Et un dominateur s'élèvera contre un autre dominateur.… “ (Jérémie 51:45-46)
“ Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux. “ (Apocalypse 18:4)
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Les noces nocives R&C
Si tu as pris la résolution de te marier cette année, j'ai deux choses à te dire: 1- Se marier, c'est pas une résolution, c'est un projet. 2- C'est quand même une mauvaise idée.
Prenons un moment pour freiner: personne n’a prétendu que le mariage était une résolution, et non, ce n’est pas nécessairement une mauvaise idée. C’est -potentiellement- une mauvaise idée.
Le mariage, c'est un gros spectacle artificiel de bullshit qui n'officialise que ce qui est déjà confirmé, dans une atmosphère prétentieusement glorieuse et enchanteresse. -PV C'était à la base religieux. Pour certains, ça le demeure encore, mais rendu là, ça va devenir un débat de religion et non de mariage, donc l'intérêt est mal ciblé. Pas tant. La justification religieuse ne peut pas être ignorée dans l’analyse du sujet, même si cette chronique explore un angle non-religieux. Mais pour les autres, qui se marient tout de même, dans ce qu'on appelle le “mariage au civil”, c'est pas mieux. Un mariage, c'est une signature de papier chez le notaire. Officiellement, c'est juste ça. De la paperasse conjugale pour que l'État garde un oeil et un contrôle sur ta cellule familiale. Entre autres, mais pas exclusivement. Mais ce qu'on s'imagine quand on pense au mariage, ce n'est pas la signature plate sur papier. C'est la grosse cérémonie. C'est la festivité flamboyante. C'est les noces. Et voilà, c'est là que le trouble commence. En fait, si trouble il y a, ça a commencé avant la cérémonie. Les problèmes ne surgissent pas spontanément seulement parce qu’il y a une célébration organisée. On organise une affaire de débile, qui coûte les yeux d'la tête, en imposant un “tarif d'entrée” ultra dispendieux aux invités pour qu'ils assument nos caprices de futurs mariés sous prétexte que “c'est un grand événement”, et pour palier aux dépenses exorbitantes, on invite des gens qu'on n'a pas vus depuis des siècles pour obtenir davantage de cotisations, et on prétend être heureux de retrouver ces personnes, alors qu'on avait perdu contact à la base pour une sacrée bonne raison, quelle qu'elle soit. Peut-être pas pour une bonne raison. Mais dans tous les cas, il y a certainement une forme d’hypocrisie à demi-voilée, quelque chose de non-dit, d’inavoué et surtout, de forcé. On se retrouve avec une bande de gens qui n'ont pas envie d'être présents, pas envie de payer le montant insensé exigé, et pas envie d'offrir un cadeau en plus. Parce que oui, en plus de payer pour assister, tu dois fournir un cadeau. Pis là tu sais pas quoi donner, alors tu donnes des cochonneries comme une plaque à couper du fromage ou un vase super laid pour mélanger ta salade de betteraves, parce que anyway, au prix que tu payes, tu t'en crisses de ce que tu donnes. -PV C’est symptomatique d’une forme de distance relationnelle, quand tu n’as aucune idée de cadeau. Généralement, c’est parce que tu ne connais pas les besoins de la personne, ni même ses préférences, confirmant que votre relation s’est effritée. Pis là, quand c'est toi qui se marie, tu trouves ça cheap de recevoir des cadeaux de marde, mais t'oublies que toi, à la base, t'as imposé des tarifs ET l'idée du cadeau à des gens qui n'en avaient rien à foutre. -PV Et puis tu bitches les invités qui t'ont déçu dans leur cotisation ou leur cadeau. Tu les trouves hypocrites. Et tu oublies qu'à la base, ça te tentait même pas de voir ces gens-là à ta soirée, sauf que par convention et pour ajouter un revenu sur tes dépenses, ça paraissait bien de les inviter. La convention d’abord: on ne voudrait pas oublier d’inviter quelqu’un qui pourrait avoir envie d’être là. Parce que pire que d’inviter quelqu’un qu’on ne veut pas vraiment voir, il y a la mauvaise image que peut laisser le fait d’avoir oublié quelqu’un. Et c'est pas tout. Les raisons pour se marier font autant pitié que les traditions qui s'y ajoutent. -PV Si tu te mariais pour les raisons administratives, les seules véritables raisons légitimes de se marier, t'aurais pas besoin de faire des noces. Nonon. Alors qu'est-ce qui te pousse à vouloir absolument en faire? Des caprices. -PV Comme, évidemment, le classique de la robe. Un rêve de princesse en manque d'attention à saveur hollywoodienne. Tu veux ta belle robe, te sentir belle, tu veux que tout le monde te voit, t'admire, soit jaloux comme toi tu l'as été jadis. -PV Tu veux être la star, le centre d'attention. Dans tout ce cirque de noces, et sous un honteux prétexte d'union amoureuse, tu veux, dans ton égocentrisme, avoir ton moment de gloire et te hisser au faux piédestal de pseudo vedette. Tu veux que les autres demoiselles ressentent l'envie et la jalousie que tu as aussi ressenties auparavant. Tu veux être superficiellement heureuse et faire souffrir d'autres demoiselles en entretenant ce cercle vicieux de rêve royal. -PV Non seulement il s’agit d’une provocation volontaire, il s’agit aussi d’un procès d’intention inutile. Cette critique ne saurait s’appliquer à toutes celles souhaitant se marier. Et du côté masculin, tu vas te marier parce que tu veux faire plaisir à ta copine. Incapable d'assumer que tu n'y vois aucun intérêt, tu plies devant un caprice pour en assouvir un autre: celui d'avoir la paix. La paix d'esprit, la paix conjugale. -PV Ou encore: tu prétextes idiotement le fameux sexe incroyable de la lune de miel comme étant une source de motivation suffisante pour te lancer dans des démarches organisationnelles et onéreuses qui sont toujours beaucoup plus néfastes dans la balance que ton p'tit bonheur temporairement sexy. -PV Ces arguments ont déjà été entendus et sont effectivement des raisons condamnables, mais ce ne sont certainement pas les seuls arguments, de toute évidence. J’ai aussi entendu des arguments concernant la simplification de successions financières en cas de décès, ce qui peut être une avenue souhaitable selon les convictions et la situation du couple en question. Quand t'es rendu à te convaincre que tu le fais pour toi alors que tu sais pertinemment que t'es en train de faire un compromis qui ne te plait pas, t'es hypocrite avec toi-même. Et c'est ça, une noce: un paquet de gens crissement hypocrites qui, d'un commun accord, s'entendent pour bien paraitre le temps d'un moment en respectant des conventions dépassées auxquelles personne n'adhère réellement, car c'est si confortable de se lover dans la conformité, aussi absurde soit-elle. -PV SI, et seulement si, tu te mens à toi-même, alors il y a hypocrisie. Ce n’est pas souhaitable, mais ce n’est certainement une hypocrisie automatique. Et là tu vas me sortir les niaiseries habituelles: Hen non, quand on se marie, c'est pour célébrer notre amour! C'est pour célébrer notre union! C'est pour célébrer notre bonheur! Si tu tiens tant que ça à célébrer, organise un party. Magasines-en, une robe, si tu veux te sentir belle, pis porte-là le soir du party. Ça va surprendre tout le monde, et tu vas recevoir des compliments sincères qui ne seront pas des politesses fades. Prépare un bon repas avec quelques trucs aphrodisiaques, un bon vin et une chambre propre et chaleureuse, et t'en auras, du bon sexe mémorable. Célèbre avec les gens que t'as réellement envie de voir. Tant qu'à dépenser, fuck le gros gâteau blanc que personne ne mange, fuck les bouquets de fleurs qu'on sacre à terre, fuck les locations de salles beaucoup trop grandes et dispendieuses. Pogne-toi un endroit simple, accueillant, à tarif réduit, fais venir un DJ ou un band, selon tes goûts. Arrange-toi pour que l'ambiance soit vraiment festive, et que les gens aient sincèrement envie d'être présents, car en plus de vous rassembler, ils auront un réel plaisir d'assister à l'événement. La sincérité derrière l’intention provoque généralement une sincérité derrière la réception. En faisant ça, tu prends les bons côtés d'une cérémonie sans te faire chier avec les mauvais. D'autant plus que la plupart des mariages finissent souvent en divorces, ce qui prouve que non seulement ce n'est plus du tout de mise comme procédé, mais qu'en plus, avec la marde que font les divorces, prends donc pas de chances. T'es pas tout(e) seul(e) dans le bateau. Ça prouve surtout que le procédé est beaucoup plus faillible que l’image de bonheur éternel qu’il vend. La seule bonne raison pour te marier, c'est que si t'es étudiant et que tu te maries avec ton/ta colocataire, tu peux obtenir des bourses de plusieurs milliers de dollars. Pis là, tu pourras effectivement faire un party sans que ça coûte quoi que ce soit aux invités. Et tu vas inviter seulement les gens dont la présence te tient réellement à coeur. Tant qu'à avoir un système hypocrite en place, aussi bien en profiter un peu. Toujours en ayant en tête d’être honnête avec soi-même. Et y'a uniquement dans ce genre de mariage qu'un divorce sera non seulement approprié, mais probablement rigolo et surtout, sans souffrance. Beaucoup trop de provocations volontaires et inutiles dans ce texte. Les procès d’intention sont nombreux et manquent de nuances. L’idée est de présenter les défauts et de briser les illusions du mariage, mais cela est fait de manière trop unilatérale. M’as te prendre une note: C
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