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#pazuzu the aussie
achoirofcritters · 3 months
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I adore these hooligans.
We got our first decent snowfall of the winter, and watching my dogs play in the stuff is always my favorite part! I swear, I get one good "This is a summary of my dogs" silly trio photo a year, so here's one for 2024! :P
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imalayla · 5 years
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We ALSO got to meet and hang out with @achoirofcritters and their gang! Pazuzu and Layla had a nice walk together and Bridgette got some bomb ass pics of both the pups. Then later on I got to meet Evie and Astaroth *__* felt like meeting celebs!!! Didnt get pics tho because I'm a fool. Cant wait to go back for another visit ASAP
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writingghost · 6 years
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Pazuzu has a good life!
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gimmickzine · 5 years
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Sweet Sweet Lonely Girl
Sweet Sweet Lonely Girl : objet culte
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Pauvre spectateur français passionné de film de genre… Encore un film que tu n'auras jamais l'occasion de voir sur grand écran ou de posséder dans ta dvdthèque. Les distributeurs français risquent de passer à côté de ce petit film indépendant, lui préférant une horreur facile et mercantile : la saga Paranormal Activity ou d'autres films destinés à un public adolescent à la recherche de frissons vite oubliés entre deux poignées de pop-corn dans des multiplex froids et sans âme. Pourtant Sweet Sweet Lonely Girl, réalisé en 2016 par l'argentin Alejandro Daniel Calvo, est un grand film d'horreur qui a une autre époque serait sans nul doute devenu un petit classique.
 L'histoire se déroule dans l'Amérique des années quatre-vingt. Adèle une jeune femme blonde, introvertie et d'origine modeste se voit invitée par sa mère à quitter la maison de campagne où elle vit avec sa famille pour aller prendre soin de Dora : une tante fortunée et agoraphobe. En arrivant dans la demeure victorienne de cette dernière, Adèle ne la rencontre pas. D'ailleurs sa tante ne lui transmet ses consignes que par écrit en glissant des notes sous la porte de la chambre dont elle semble ne jamais sortir. La sexagénaire suit, aussi, un régime alimentaire particulier (sardines importées, crackers et thé) et des règles de vie strictes : la porte de la maison doit toujours rester fermée à clef et personne ne doit y entrer. Peu de temps après son arrivée, Adèle rencontre Beth, une jeune femme brune, libre et extravertie. Une romance naît entre les deux jeunes filles et amène Adèle à déroger aux règles établies par sa tante. Bien évidement, cela va avoir des conséquences désastreuses....
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 Au détour d'une scène dans un bar, l'apparition télévisuelle de Donald Reagan nous rappelle le contexte socio-économique des États-Unies à cette période où les disparités entre les classes aisées et populaires ont explosé, cela avait d'ailleurs inspiré They Live (Invasion Los Angeles) à John Carpenter en 1988. Il n'est donc pas étonnant que l'argent ait une place centrale dans la venue d'Adèle chez sa tante et dans la suite du récit. Sa mère en l'y envoyant attend d'elle qu'elle subvienne au besoin de sa famille en leur reversant son salaire. Puis Adèle, envieuse des beaux vêtements et du rythme de vie de Beth, va commencer à s'intéresser de plus en plus à la fortune de sa tante. La jeune femme repasse plusieurs fois devant une boutique de vêtements pour y contempler un chemisier, mais puisque sa tante lui refuse une avance, elle économise sur les courses en prenant des sardines locales et surtout en échangeant son traitement anticoagulant avec des cachets moins onéreux censés avoir les mêmes vertus médicales. Pourtant les conséquences de ses actes n'affecteront aucunement sa conscience. En sous texte, nous pouvons constater que le diable est là dans ses désirs de richesse et de possession, tapis dans le capitalisme et dans la société de consommation.
Porte communicante, Adèle au service de sa tante agoraphobe.
 Au-delà de cette dimension critique, qui fait aussi écho à notre propre époque, le film dégage une atmosphère au parfum étrange. La tante recluse et sa jeune nièce, même si elles ne se rencontrent jamais, tissent une véritable relation partagée entre amour et haine dans une codépendance malsaine et intéressée. La relation entre Beth et Adèle n'a rien de rassurante, elle non plus, en effet la tension sexuelle entre les deux jeunes femmes et l'animalité de Beth ajoutent à l'étrangeté du métrage. La mise en scène vient aussi appuyer ces impressions. Esthétiquement le film possède une patine 70/80 qui n'est pas sans rappelé The House of the Devil (Ti West, 2009). À l'aide de longs zooms et de gros plans, le réalisateur insiste sur le malaise d'Adèle et prend aussi le temps de mettre en place son récit tout en instillant une ambiance très anxiogène. Le grain de l'image et les mouvements de caméra ne sont donc pas les seuls éléments du film qui font écho au travail Ti West, puisque la construction narrative s'approche de celle de The Innkeepers (2011), la tension monte crescendo tout au long du film pour nous conduire à un final inéluctable et effroyable.
 Sweet Sweet Lonely Girl s'avèrent donc être un grand film de hantise à la tension palpable. Ici et là, des fétiches reconnaissables sont donnés à voir aux spectateurs férus de film de genre, comme par exemple une statuette de Pazuzu (le démon présent dans L'Exorciste) ou encore ce plan final fortement inspiré du magnifique La sentinelle des maudits de Michael Winner. Pourtant, il semble fort peu probable que ce film parvienne à se frayer un chemin sur nos écrans. En connaissance de cause, cela donne à Sweet Sweet Lonely Girl une toute autre dimension. Celle d'un objet culte, d'un Graal que nous pouvons partager et chérir avec d'autres initiés curieux et demandeurs, eux aussi, d'une horreur plus insidieuse.
 Pinhead
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churchoseitan · 7 years
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Le pesto post-traumatique
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Tu vois, comme beaucoup d'enfants des cuisines centrales des années 80, je porte en moi les stigmates de divers traumatismes. Celui de madame Ortega, qui ressemblait à ma Mamé et baragouinait la même patouille franco-espagnole et que, par conséquent, je croyais gentille, mais qui pourtant m'obligeait à finir mon “bisteco”. J'ai grandi à Alès, dans le Gard. Je vous suggère de demander à Lycos d'aller chercher “abattoir Alès”, pour ceux qui ne sont pas au courant. Je vous prie de croire qu'il y a 30 ans les méthodes n'étaient probablement pas plus élégantes et que la qualité des produits qui en sortaient pour rejoindre les assiettes de la cantine scolaire du centre ville oú déjeunaient les chiards des écoles Mandajors, Végalier et Mistral aurait fait passer la gamelle d'un régiment serbe en campagne pour un étoilé Michelin.
Mais je voulais pas parler de ça. Un jour alors que j'étais encore scolarisé à l'école maternelle Mandajors et aussi à celle de La Grand Combe (ouais j'ai suivi une double cursus à ma manière) je revenais d'une excursion à Chanclauson et durant le trajet de retour j'ai gerbé tout mon œuf dur et mes épinards béchamel. L’œuf c'était normal, j'ai toujours trouvé ça dégueu, ça m'a toujours foutu la gerbe. Parfois même simplement l'odeur. Ouais. Ma maman disait que je les digérais pas parce que j'avais pas de foie quand je suis né mais moi je crois que c'est plutôt à cause de la poule avec laquelle j'ai été élevé et que mon père a refusé de tuer parce qu'elle avait pondu un œuf le jour de ma naissance. Une jolie poule rousse comme dans le conte. Mais ces connasses de dames-cantine m'ont forcé à tout bouffer alors que j'avais prévenu que j'allais tout dégueuler. Dans mon souvenir le site de Chanclauson ressemblait à un orphelinat roumain, le pavillon 36 de l'hôpital psychiatrique de Villejuif. Un truc géré par des tortionnaires reptiliens nazis en fuite. Je pense que l'incendie de 1986 qui en est parti et qui a défoncé toute cette partie des Cévennes a été déclenché au cours d'un de leurs rites malsains à la gloire de Pazuzu, Eva Braun ou Frédéric Mistral.
Donc j'ai tout dégueulé. Un truc gore, médiéval. Y’en avait toupar dans le bus. Et à l'arrivée ma mère qui ne me gronde pas et qui dit aux dames-cantine “il vous a dit qu'il allait être malade, pourquoi vous n'écoutez pas les gosses ? Ils se connaissent mieux que vous et ils mentent moins que les adultes". Bim. Dans ta gueule. Mam, tu as raison mais tu sais, je pourrai plus jamais manger d’épinards. Je sais mon cœur, on fera sans.
Alors j'ai détesté les épinards. Franchement, de toutes les choses que j'ai détesté dans ma vie, c'était de loin la plus facile. Détester les Smiths par exemple c'est pas toujours évident, heureusement que leurs connards de fans coiffés comme Morrissey parviennent à nous faire oublier qu'il y a parfois de bonnes chansons. Détester les épinards c'est trop facile. Surtout quand on les fréquente par la coquine entremise des cantines scolaires. Je sais pas, comment un truc qui a l'aspect, la couleur et l'odeur d'une bousasse fraîche pourrait ne pas en avoir également le goût ? Je demande.
J'ai commencé à me remettre en question en Norvège au mitan des années nonantes. Rewend, notre poto kurde faisait un truc dément avec du riz, des épinards et du yaourt. J'ai cédé à plusieurs plats qui, bien que contenant la salade honni, me paraissaient goûteux. J'ai aimé ce borek fromage épinards mangé à Liège sur le chemin de l'An Vert oú nous allions ouvrir pour Monster et Rudy Trouvé. J'ai réalisé ce pesto d’épinards et puis à Noël j'ai tout à fait cédé face au curry vert d’épinards de mon frangin. Ok. J'aime les épinards. Un tournant dans ma vie parce que ça signifie que tout ce que je m'autorise à avaler, je le puis désormais. Bon je suis pas fan de polenta et je trouve que l'abricot c'est complètement raté comme fruit, mais si je dois bouffer une polenta aux abricots, ma foi, je m’exécuterais sans grimaces.
C'est en tentant de reproduire le curry fraternel sus-cité que je me suis retrouvé en possession d'une copieuse portion de queues d’épinards et de queues de coriandre. J'ai pensé à notre pote Jeanne qui fait les poubelles et qui cuisine un pesto de fanes de carottes. Et après avoir hésité entre la réalisation d'une soupe et d'un truc qui me permettait à la fois de bouffer de l'ail cru et des pâtes, j'ai dit à mon chat "allons y mon vieux Milo”.  
En cours de réalisation, l'odeur de la coriandre sans doute, m'a donné envie d'adjoindre du curry au bordel. De toute façons j'ai envie de curry tout le temps en ce moment, doit y avoir un antidépresseur naturel dedans, comme dans le chocolat. Mais bon le chocolat faut que je me calme un peu, j'ai du cholestérol. Et puis merde, je sais pas pourquoi on bouffe toujours le curry avec du riz, moi je trouve ça trop bon avec les pâtes.
Alors donc pour réaliser cette sauce il faut :
Les queues d'une livre d'epinards frais
Les queues d'un bouquet de coriandre
2 gousses d'ail
100 grammes environ de noix de cajou
4 cuillères de parmesan râpé 
De l'huile d'olive
Du curry en poudre
D'abord, tu découpes en tronçons raisonnable les queues et tu les fais cuire 5min à la vapeur. 
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Ce faisant tu écrases du plat de ta lame les gousses d'ail et tu grilles à keus tes cajous.
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Quand c'est prêt tu fous le vert, l'ail, le parmesan et les cajous dans le bol du mixeur-plongeur. Tu mixes-plonges, tu t’aperçois que le machin et plein de fils et est en train d'enrayer ton outil. Ça sent bon la coriandre alors tu soupoudre généreusement de curry. Tu mixes-plonges plus fort et tu t’aperçois que tu es en train de fabriquer un honnête mortier, tu adjoints de l'huile d'olive. Ça délai un peu mais ça reste mastoc. Les cajous sans doute. SI je devais le refaire, je réserverai un godet de l’eau de cuisson des légumes pour assouplir l’appareil. 
Peu importe, j’ai servi ça sur des linguines parce que je suis fan hardcore de linguines. Mais c’était pas une super idée je pense, c’était chiant à touiller. Tout bien considéré je le mettrait sur des farfalles. 
Bon, c’était bon.
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dronetothebone · 7 years
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ACID KING (stoner doom legends / since 1993, USA) CHILD (heavy blues, AU)
2 août 2017 @ Urgence Disk - L’Usine (Genève, Suisse) L’Usine | 4 Place des Volontaires | 1204 Genève – Suisse Apéro 18:00 | Premier concert 18:30 | 7 CHF minimum
Est-il franchement nécessaire de présenter les légendes vivantes que sont ACID KING? Sérieusement?
Depuis sa formation en Californie en 93, le trio mené par la charismatique Lori S. s'est imposé comme l'un des piliers majeurs de l'Underground stoner doom nord-américain. Rien que ça. Créateurs d'hymnes aussi telluriques que psychédéliques, ACID KING c'est un peu la puissance d'un mammouth allié à la vitesse d'une attaque de limace.
Toujours aussi épais, hypnotique et inspiré, le trio signe son grand retour aux affaires après plus de 10 ans de silence radio! "Middle of Nowhere, Center of Everywhere", sorti en 2015 sur les très influents Svart Records (Beastmilk, Oranssi Pazuzu, Mantar...), nous donne rendez-vous avec un groupe au sommet de son art. Une date événement à ne manquer sous aucun prétexte, d’autant que la présence du groupe en Europe est rarissime! En ouverture, les Australiens de CHILD nous raviront le oreilles avec leur Heavy blues de très très grande classe! Attention, on vous suggère fortement d'être à l'heure, Messieurs, Dames ; il y a fort à parier qu'il n'y aura pas la place pour tout le monde.
Une fois n'est pas coutume, on pousse les murs du shop et on investit la petite scène du Rez de L'Usine! Entrée côté place des Volontaires.
Liens: DTB: http://dronetothebone.tumblr.com URGENCE DISK: https://www.facebook.com/pages/URGENCE-DISK-RECORDS/101329779912757 ACID KING: https://acidking.bandcamp.com CHILD: https://childtheband.bandcamp.com
Facebook event: https://www.facebook.com/events/1351814574932528/
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achoirofcritters · 1 month
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Spring is here!
Pazuzu modeling at a local cemetery where we had a blooming of cherry blossoms, and we also found a magnolia tree. :)
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achoirofcritters · 4 months
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Happy 6th Gotcha Day, Pazuzu!
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achoirofcritters · 7 months
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I am almost too late but today was Pazuzu's 6th Birthday!
Can you guys believe he's this old already?! Here he is looking absolutely beautiful and for once harnessing his modeling skills on a hike we had earlier this year! My little goofball, and a vicious, stinky man, I can't even fathom that he's a Whole Adult. If you've been following us for a while, time to feel old!
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achoirofcritters · 4 months
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Pazuzu in 2023
Took some of my favorite shots of him this year, don't ask me why he doesn't always look so sweet and pristine as he does in that first photo but it's definitely my favorite, lol.
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achoirofcritters · 3 months
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Matching portraits of the demon heathen lads!
Pazuzu & Astaroth, 2024
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achoirofcritters · 3 months
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Pazuzu looking handsome in the snow! Winter 2024
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achoirofcritters · 5 months
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HIM............ bo
Pazuzu, last November
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achoirofcritters · 11 months
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Sunshine himbo.
Pazuzu, 2023
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achoirofcritters · 5 months
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Shoutout to when we could still see the sun, little himbos flourish in the stuff.
Pazuzu, 2023
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achoirofcritters · 1 year
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Pazuzu had a great time on a hike today.
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