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#perte de mémoire
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Victime des bombardements alliés de la Libération - Angèle Bulanger
À l’heure où nous nous préparons à fêter les 80 ans du débarquement allié et de la libération de 1944, je mets en ligne cet article pour rappeler que tout ne s’est pas passé idéalement bien et que les opérations de libération ont aussi entraîné la mort de personnes civiles innocentes. Ainsi, la cousine de mon grand-père paternel, Angèle Bulanger, est référencée parmi les 19 victimes civiles du…
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q-anth4rax · 9 months
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The potential for the @v@ creature to manipulate Bad while he does his stress-induced memory loss stuff is going through my mind rn and it won’t stop
La possibilité que la créature @v@ porrait manipuler Bad pendant qu'il subit sa perte de mémoire due au stress me traverse l'esprit en ce moment et ne s'arrête pas
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alexar60 · 1 year
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Après la fin du monde
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Lorsqu’elle se réveilla, elle ne se souvint pas s’être endormie dans un sarcophage de verre. Sa longue chevelure, ses ongles longs ainsi que son pubis touffu montraient qu’elle était ici depuis pas mal de temps. Toutefois, elle ne ressentit pas le besoin de manger.
Au milieu de cette immense salle éclairée artificiellement, elle se sentait comme la Belle au bois-dormant mais sans prince-charmant ni château. Elle respira à pleins poumons une atmosphère absolument seine.  Elle se leva et traversa avec maladresse la pièce contemplant les milliers de sarcophages, tombes ou lits ? Elle se sentait vivante.
Elle observa les autres passagers, hommes et femmes inconnus encore endormis. Elle ne savait pas combien ils étaient, tellement les couchettes étaient nombreuses. Elle remarqua quelques enfants. Leurs visages aux traits doux indiquaient qu’ils étaient heureux de dormir. En fait, chaque passager ne montrait aucun signe de stress. Ils dormaient juste…peut-être rêvaient-ils ?
Sa première réflexion fut sur son prénom, elle s’en souvenait. Elle quitta la salle en passant par deux portes qui s’écartèrent devant elle. Un long couloir aux murs blancs et lisses, se présenta. Dès lors, elle marcha ressentant une certaine chaleur imprégner la plante de ses pieds. Elle atteignit une seconde salle. Seules quelques tables et chaises blanches décoraient l’endroit. Elle s’assit et chercha à retrouver ses esprits. Elle ne se sentait pas vaseuse pour autant. Cependant, la perte de mémoire n’aidait en rien à trouver ses repères.
Après une courte pause, elle sortit par une autre porte automatique pourtant difficile à voir, à cause de sa blancheur. Elle marcha dans un nouveau corridor éclairé par des lampes invisibles. Elle atteignit enfin une nouvelle salle, occupée…cette fois-ci.
Certains faisaient du sport en courant sur des tapis roulants, d’autres se contentaient d’activité cérébrale et jouaient aux échecs ou lisaient tranquillement. Personne ne se soucia de la présence d’une nouvelle entièrement nue, en dehors d’un homme aux cheveux poivres et sels. Il posa une tablette sur la table, se leva et approcha de la jeune femme.
C’est déjà la relève ? interrogea-t-il.
Elle salua les sourires de bienvenue. Sa nudité ne dérangeait personne. Tout le monde continuait leur occupation. Néanmoins, une jeune femme aux cheveux courts l’invita à la rejoindre dans une sorte de vestibule où elle trouverait des vêtements adéquats.
La chambre blanche cachait en ses murs de nombreux placards et tiroirs rangeant une multitude de fringues. La fille aux cheveux courts proposa de l’aider. Elle accepta mais demanda avant quelques explications. Dès lors, sa future collègue se lança dans une tirade qui raviva sa mémoire.
Et la terre a finalement disparu ?
Oui, mais on peut encore la voir.
Elle observa le mur à tiroir qui se transforma en hublot ; procédé lié aux caméras filmant l’extérieur du vaisseau-station. Ses yeux obnubilés admirèrent les profondeurs de l’univers. Des milliers d’étoiles brillaient dans un noir absolu, comme des poussières sur une toile noire. Elle approcha, caressa du bout des doigts la fenêtre. L’autre fille indiqua un petit point à faible luminosité.
C’est notre soleil. Et bientôt, il va grossir comme celle-ci. Dit-elle en montrant un gros point brillant. Puis, il va s’éteindre et il ne sera plus visible d’ici une centaine d’année.
Et nous ? Où allons-nous ? demanda la réveillée.
La femme aux cheveux courts se pinça les lèvres tout en haussant les épaules. Elle poussa la vision du hublot pour ouvrir un tiroir et sortit une tenue identique à la sienne. Puis, elle l’invita à utiliser une douche dans la salle d’entretien.
Créer un nouveau monde, répondit-elle.
Alex@r60 – août 2023 – 30 jours pour écrire.
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equipe · 1 year
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Notes de mise à jour
🌟 Nouveautés
Le badge "601 et même pas de frein" a été ajouté aux récompenses. Il vous sera décerné après avoir consulté 601 billets (ou plus) au cours d'une même journée !
À l'image de ce qui a été fait sur le Web, le nouveau design des activités de la section Trafic est maintenant déployé sur iOS.
Sur le Web, certains utilisateurs peuvent découvrir une version expérimentale de l'interface de navigation. Le changement est conséquent, alors n'hésitez pas à nous faire part de vos remarques constructives via ce formulaire en sélectionnant la catégorie "Commentaire général". Chaque retour sera examiné avec soin.
Nous expérimentons par ailleurs un remodelage de la fenêtre de messagerie directe sur le Web. Faites-nous également part de vos remarques si vous le désirez.
Nos équipes testent de nouveaux ajouts au flux "Pour vous" afin de donner davantage d'exposition aux blogs qui ne reçoivent pas autant d'attention ou d'engagement que ceux d'ores et déjà bien établis.
Les billets comportant des sondages peuvent à présent être modifiés : un bloc Sondage peut être retiré, mais il n'est en revanche pas possible d'en changer les réglages après la création du billet.
Les images au format WebP peuvent maintenant être insérées dans les billets.
🛠️ Correctifs
Correction d'un bug dans l'éditeur de billets qui permettait l'importation de plusieurs vidéos natives au sein d'un même billet et dans les reblogs. Cette anomalie pouvait provoquer des erreurs, voire la perte du billet.
Correction d'une anomalie dans les flux RSS des blogs qui pouvait omettre les titres de certains éléments.
Correction sur le Web d'un problème qui pouvait provoquer un écart d'alignement de quelques pixels de l'icône Reblog dans le bas des billets.
Correction d'un bug sur toutes les plateformes dans les activités de la section Trafic qui pouvait afficher l'étiquette "Mutu" lors de réponses anonymes à des questions alors qu'aucun lien de réciprocité ne vous liait avec le blog en question.
Correction sur le Web d'une anomalie qui pouvait empêcher l'accès à d'anciens thèmes retirés du Jardin des Thèmes dans les pages de gestion des thèmes de créateurs.
🚧 En cours
Nos équipes sont informées que certains billets ont été malencontreusement étiquetés avec le label communautaire "Adulte", et que la demande d'appel de leurs auteurs n'a pas abouti. Nous travaillons d'arrache-pied pour résoudre ce problème au plus vite tout en nous assurant que cela ne se reproduise plus jamais. Veuillez accepter nos plus plates excuses pour cette erreur dans le processus d'examen des billets qui n'aurait certainement pas dû se produire.
Un bug dans l'application Android provoque une erreur fatale lors de la récupération de certains cadeaux. Un correctif est prêt et il sera déployé dans la prochaine mise à jour.
Nous sommes informés d'un bug dans la liste des activités de la section Trafic de l'application iOS qui peut dupliquer le nom des blogs. Un correctif sera là aussi déployé dans la prochaine mise à jour.
Au sujet de la nouvelle interface de navigation en phase expérimentale actuellement sur le Web, nous collectons vos retours qui nous sont fort utiles pour réaliser des améliorations pas à pas. Nous corrigeons en parallèle les bugs que vous nous communiquez.
Nos équipes corrigent par ailleurs les anomalies signalées lors de l'expérimentation du nouveau design de la fenêtre de messagerie sur le Web.
🌱 Prochainement
Nous travaillons à la possibilité de signaler spécifiquement certaines publicités en raison de la présence d'images clignotantes, ce qui nous permettra d'agir plus rapidement en conséquence.
Nous travaillons par ailleurs à la correction d'un grand nombre de soucis de performances du défilement sur le Web. Nos derniers tests ont démontré une réduction spectaculaire du stockage mémoire et de l'utilisation du CPU, et ce, en particulier pour les utilisateurs du Web mobile. À suivre !
Vous rencontrez un problème ? Écrivez-nous (en anglais) et nous reviendrons vers vous aussi vite que possible !
Vous souhaitez nous faire part de vos commentaires ? Rendez-nous visite sur le blog Work in Progress et participez aux discussions de la Communauté !
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sinniel · 9 months
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Salut :) ✍🏻️
Hey~ Alors... J'ai déjà parlé de pas mal d'OCs, donc allons-y pour celle qui est encore floue dans mon esprit : l'exploratrice de ma nouvelle "La Musique des Sphères".
Elle n'a pas encore de nom, ni vraiment de visage, ayant toujours été décrite comme une femme dans la trentaine cachée sous la capuche de son long manteau.
Elle n'a jamais été là pour devenir autre chose qu'une spectatrice. Son but n'est pas de résoudre les problèmes des gens ou des lieux qu'elle peut rencontrer, mais servir de témoin et découvrir les histoires liées aux mystères des ruines qu'elle parcourt. Sa curiosité est sa principale qualité mais également son plus gros défaut. Elle va dans des endroits qui se trouvent abandonnés pour de bonnes raisons, et c'est ce qui l'amènera à découvrir le conservatoire, un lieu qui entraînera sa perte. Il faut dire qu'elle n'est pas franchement aidée à être raisonnable vu qu'une de ses amies, une tatoueuse de génie, lui a implanté un tatouage d'hacking sur la paume. Elle peut pirater tous les appareils électroniques et, s'il leur reste assez d'énergie, les activer. Résultat, des portes qui auraient dû rester fermées s'ouvrent assez pour la laisser passer (l'histoire se passant dans le futur et l'espace, la technologie est presque partout).
Elle est par ailleurs très empathique avec l'ambiance des lieux qu'elle visite. Même si elle le réfute, elle est beaucoup trop touchée par ce qu'elle voit pour rester rationnelle. Les émotions fortes qu'elle ressent font qu'elle continue ses explorations, malgré les dangers qu'elle a rencontrés, parce qu'elle est incapable de résister à ces frissons. Du fait de ses recherches (oui, elle n'est pas inconsciente au point de se rendre à un endroit sans faire quelques vérifications au préalable) elle a beaucoup de connaissances sur les langues anciennes et les systèmes d'archives parfois sacrément compliqués à comprendre et à utiliser. Elle est également assez athlétique, et sait se débrouiller avec ce qu'elle a pour survivre ou réparer son vaisseau seule. Elle a aussi une excellente mémoire, et une tendance à essayer de relier les moindres éléments en sa possession afin d'en tirer toutes les conclusions possibles.
Je pense réutiliser ce personnage dans d'autres nouvelles, où je pourrais continuer de l'étoffer, voire de lui donner sa propre histoire, surtout qu'elle a désormais une épée de Damoclès sur la tête.
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solhrafn · 2 months
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Je me réveille, je pense à la mort. Elle plane au-dessus de mes moindres faits et gestes. J'ai déjà connu ça. C'est cyclique. A peu près tous les 5-10 ans, je traverse une période de préoccupations existentielles. Rarement elles existent dans le vide. Il y a toujours des raisons autour. Je pense dans ce cas-ci que c'est parce que j'ai énormément à perdre et que certaines pertes sont inévitables.
Ce matin j'ai été réveillé par l'orage puis je me suis rendormi. Lorsque j'ai rouvert les yeux, j'ai pris le temps de bien démarrer. Le boulot est calme et donc je peux me permettre d'arriver en décalé. Je me suis levé tranquillement, douché, j'ai mangé des oeufs sur le plat, j'ai fait mon sac de manière tête en l'air car j'ai oublié mes cartes mémoires et mon porte-feuille. Je suis arrivé au travail sur la réserve de diesel. Pas de carte pour passer à la pompe donc, mais normalement ce sera tout juste pour rentrer.
C'est fou comme le trajet de 50km me semble être dérisoire et rapide après avoir fait trois semaines de vacances dans un pays peu peuplé et fort étendu. C'est une impression qui malheureusement se dissipe au fur et à mesure que la routine se réinstalle.
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Quelques trucs bien. Aout 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Finir la saison en apothéose avec la fête de mon anniversaire et une nuit blanche 
Penser et repenser à comment écrire ce discours pour le mariage de ma fille. Tenter de parler d’amour et de couple sans parler de ma propre expérience. Réaliser que j’ai probablement été meilleure mère qu’épouse 
Faire la rentrée de bonne humeur, encore énergisée par la fête récente et le week-end d’amitié avec mon amie C. 
Voir (encore) un arc-en-ciel. Présager le meilleur pour les jours à venir 
Organiser une fête d’anniversaire au dernier moment et à l’auberge espagnole : dépasser l’anxiété sociale. Youpi ! 
Passer plus d’une heure au téléphone avec ma cousine. Prendre l’apéro en écoutant ses confidences, puis dans une légère ivresse, lui envoyer une carte postale de remerciement 
Faire une prise de sang Check up le jour de mon anniversaire de 50 ans. Analyses impeccables ! Pourvu que ça dure 
Remercier mon fils qui pense à me préparer à manger 
Voir un arc-en-ciel pendant la canicule 
Espérer que l’armure se se fissure et que je trouve le courage de dire mes failles et mes désirs. Accepter d’être vulnérable 
Pouponner mon petit M. qui a déjà deux mois, prend du poids et des biscotos qu’adoucissent ses premiers sourires 
Bricoler avec mon fils pour rénover le mur coloré de sa chambre. M’émerveiller de son adresse et de son ingéniosité 
Préparer un cocktail Prosecco et sirop de fleurs de sureau. Trouver une alternative au Spritz trop amer 
Organiser un apéro dînatoire sous l’arbre en soirée. Mettre une nappe bleue pour donner une autre couleur à ce moment plus intimiste 
Accueillir Tatie M. à la maison pour quatre jours. Me sentir moi aussi un peu en vacances 
Sentir encore une accroche avec quelqu’un. Nous sentir engoncés l’un l’autre dans la timidité. Hésiter encore à prendre l’initiative de la rencontre 
Sortir manger une glace avec maman au village. La sentir en vacances un moment suspendu 
Trouver tous les accessoires pour le mariage de ma fille : sac pochette, bijoux, etc. 
Prendre de la distance avec ma sœur qui est partie deux semaines en vacances. Me dire qu’elle avait certainement besoin de couper et qu’elle ne vit pas dans la culpabilité comme moi 
Accepter les pertes de mémoire de maman. Me réconforter en me persuadant que c’est moins douloureux pour sa conscience de la perte d’autonomie 
Accompagner ma fille pour l’essayage de sa robe de mariée. La rassurer sur la beauté de son épanouissement de jeune femme et de jeune mère. Ce sera un des jours de sa vie où elle sera la plus belle 
Me voir offrir par les copines un bouquin intitulé « Fous à lier » parce que ça a immédiatement fait penser à moi 
Trouver du plaisir à jardiner : arroser le jardin et tailler les fleurs fanées 
Retrouver un ami de presque 30 ans pour une soirée. Reprendre le fil des confidences comme si le temps s’était suspendu depuis 
Passer une soirée entre filles à faire débat autour d’un roman féministe de Chloé Delaume. Finir la soirée en lecture à voix haute pour les copines de sororité 
Découvrir une nouvelle forme fixe de poème : ghazel
Surprendre une biche qui traverse la piste devant ma voiture. Surprise réciproque 
Découvrir une petite tarente perdue au plafond de ma chambre. Tenter de la chasser et m’endormir sans crainte
Aller chez le notaire avec ma fille. Me sentir enfin légitime après tant d’années
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recapqsmp · 1 year
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Lundi 21/08 - Perte de mémoire
Philza a accompli sa quête de prendre des photos de lieux ou choses qu'il juge intéressant ou drôle. Cucurucho a validé la quête, il a donc reçu un chapeau, un souffleur a bulle, un trident, et un catalogue de photos de Cucurucho…
BadBoyHalo a effectué un appel avec Skeppy en compagnie des oeufs, en branchant un skeppy block à l'antenne de Sofia. Skeppy lui a dit qu'il était sur l'île, sous forme de blocs de diamant empilés, mais que BadBoy ne l'avait pas encore trouvé. Lorsqu'il le trouvera, il devra casser les blocs pour le faire revenir sous sa forme humaine. Il a appris que BadBoy avait adopté Pomme, et souhaite qu'elle soit en charge de Dapper et BadBoy en attendant d'être sauvé.
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https://clips.twitch.tv/TolerantDreamyFungusOMGScoots-5H7M2L7cN37PcgiM
Quackity est revenu ! Il est réapparu, piégé dans l'eau, comme lors de sa disparition. Le plafond de son piège s'est ouvert, et Cucurucho lui a dit de le suivre. Quackity était effrayé par Cucurucho, a essayé d'abord de poser des blocs pour se protéger, et Cucurucho a du le menacer avec un flingue pour lui faire faire certaines tâches. Il l'a fait monter sur un tapis roulant, mais Quackity était très faible et n'arrivait pas a tenir longtemps dessus. Il préférait repartir dans le bac d'eau plutôt que de continuer a monter sur le tapis roulant. Il a aussi subit un test de mémoire, mais il ne se souvenait pas de grand chose, ni de Tilin, ni de l'école qu'il a construite… Quand on lui demande d'écrire quelque chose, sa réponse n'a aucun sens. Il lui a aussi fait passer un test de Rorschach. Après avoir effectué tous ces tests, Cucurucho l'a ramené sur l'île, devant sa maison (qui a été reconstruite dans la nuit).
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- Areo
Après s'être un peu baladé et avoir vu l'endroit où se tenait la cérémonie de mariage, Quackity a demandé aux autres à quelle heure était la fête. Ils se sont réunis pour comprendre ce qui s'était passé, mais le comportement de Quackity était très flou, il ne se souvenait uniquement du moment où il avait été invité à la fête. Quackity avait l'air de vouloir quelque chose en particulier, mais il n'arrivait pas a écrire correctement, et errait pendant que les joueurs l'interrogeaient.
Au bout d'un moment, il a fini par faire faux bond aux autres et est allé dans un endroit sous-terrain, pour construire quelque chose avec du Quartz. Il n'en avait pas assez, donc il a essayé de demander dans le chat si quelqu'un en avait (mais en écrivant un gribouillis que personne n'a compris), puis est allé à la rencontre de Baghera pour lui demander de l'aide. Les deux sont parti dans le désert, en allant d'abord dans un temple où un coffre se trouvait, contenant des souvenirs de la vie de Quackity. Il a ensuite dit vouloir chercher de la lave, a fini par en trouver, et a brûlé tout ce qu'il possédait (excepté un toast à l'avocat). Il est parti dans un village (tout seul, car Baghera l'a perdu de vue), et a eu l'air d'effectuer un speedrun pour aller dans le nether : il a d'abord récupéré un lit, du bois, a crafté une hache, a fait un pillier de 3 blocs de hauts pour frapper un golem. Lorsqu'il s'est retrouvé piégé contre un zombie dans une maison, et qu'il allait mourir, il s'est déconnecté.
twitch_clip
https://clips.twitch.tv/EnchantingAggressiveJackalPupper-ZbcvO-xe3JuAx_Yo
Baghera, ne le trouvant plus, est allé récupérer les livres et photos souvenirs vu dans le temple, a tout traduit, et en a fait une copie. Elle a compris en voyant un tableau de Rorschach que la fédération lui avait probablement fait faire des tests de mémoire, et que tous les livres trouvés dataient de plusieurs mois.
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automata-pi · 4 months
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Small Language Models : j'allais faire une accroche putaclic sur la taille mais je me suis ravisé
Qu'est-ce que c'est ?
Pourquoi petit alors que des gros existent ?
Est-ce juste une mode ?
Comme leur nom l'indique, les Small Language Models (SLM), sont plus petits que leurs camarades les Large Language Models (LLM).
Un SLM a autour de 2 milliards de paramètres quand les LLM vont de 7 milliards pour les plus petits à 1500 milliards (1.5 trillion) de paramètres pour ChatGPT-4.
(Taille estimée, pas d'information officielle)
Pourquoi les SLM ? Cela part d'un besoin et d'une constatation surprenante.
Il y a de nombreux cas où l'on veut un modèle très rapide, qui utilise peu de ressources mémoire et processeur pour fonctionner.
En clair pour tourner sur des ordinateurs grand public, des téléphones ou de l'IoT.
En plus, pour des applications spécialisées où l'on peut finetuner un modèle sur une tâche précise, cela diminue drastiquement les coûts d'entraînement et notre modèle reste très performant sur sa tâche spécialisée.
C'est une tendance de rendre compact, d'optimiser les modèles.
Il y a un constat, c'est que dans les LLM, une bonne partie des poids du réseau de neurones contribuent peu au résultat final.
Il y a différentes méthodes que l'on utilise pour "compresser" les LLM avec peu de perte :
👉 La distillation : Le fait d’entraîner un petit modèle à imiter un grand.
👉 La quantisation : Le fait d'exprimer les poids des neurones sur moins de bits (on peut passer de 32 bits à 16, 8, 4, 3, 2 ou même 1 bit).
👉 L'élagage de neurones : on vient carrément supprimer les neurones qui contribuent le moins au résultat.
Une direction possible de l'AGI est d'avoir une multitude de petits modèles ultra spécialisés sur des tâches précises
ET
Un modèle dont le seul rôle est de savoir déléguer au meilleur SLM pour la tâche à accomplir.
C'est donc une tendance qui est là pour durer.
Si vous avez un sujet que vous aimeriez que je vulgarise, dites-le moi en commentaire 👇 ---------- Mon Substack IA / Automatisation / Entrepreneuriat https://paulirolla.substack
----------
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ahgaaarssssss · 7 months
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La dépression chez les étudiants : Un mal silencieux qui gangrène les campus camerounais
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Derrière l'image vibrante et dynamique de la vie estudiantine au Cameroun se cache une réalité sombre et souvent ignorée : la dépression. Ce trouble mental, qui touche de plus en plus d'étudiants, impacte négativement leur bien-être et leur performance académique.
Facteurs de risque
Les facteurs favorisant la dépression chez les étudiants camerounais sont multiples et complexes. Parmi les plus importants, on peut citer :
Le stress académique: La pression liée aux examens, aux résultats et à l'insertion professionnelle est une source majeure de stress pour les étudiants.
Les difficultés financières: Le manque de ressources financières peut engendrer des soucis quotidiens et un sentiment d'insécurité.
L'isolement social: L'éloignement de la famille et des amis, l'adaptation à un nouvel environnement et la difficulté à se faire de nouveaux amis peuvent contribuer à un sentiment de solitude.
Le manque de soutien: L'absence d'un système de soutien adéquat, que ce soit de la part de la famille, des amis ou des institutions universitaires, peut aggraver les symptômes de la dépression.
Symptômes et manifestations
La dépression ne se manifeste pas toujours de manière flagrante. Il est important de connaître les symptômes les plus courants afin de pouvoir identifier les étudiants en souffrance et leur proposer une aide adéquate. Parmi ces symptômes, on peut citer :
Tristesse persistante
Perte de motivation et d'intérêt pour les activités habituellement appréciées
Troubles du sommeil et de l'appétit
Difficultés de concentration et de mémoire
Sentiment de culpabilité et d'inutilité
Pensées suicidaires
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Conséquences et impact
La dépression chez les étudiants peut avoir des conséquences graves sur leur vie personnelle, académique et professionnelle. Elle peut les conduire à :
Abandonner leurs études
Avoir des résultats scolaires médiocres
Se replier sur eux-mêmes et s'isoler socialement
Développer des comportements à risque
Attenter à leur vie
Lutter contre la dépression : Un enjeu collectif
La lutte contre la dépression chez les étudiants nécessite une mobilisation collective. Voici quelques pistes d'action :
Mettre en place des programmes de sensibilisation et de formation pour informer les étudiants sur la dépression et ses symptômes.
Créer des cellules d'écoute et de soutien psychologique accessibles et confidentielles sur les campus.
Former le personnel universitaire à la détection des signes de dépression et à l'orientation des étudiants en souffrance.
Encourager l'entraide et la solidarité entre étudiants.
Améliorer les conditions de vie et d'études des étudiants.
Conclusion
La dépression est un problème de santé publique qui touche de plein fouet les étudiants camerounais. Il est crucial de briser le silence et de mettre en place des mesures concrètes pour soutenir les étudiants en souffrance et leur permettre de s'épanouir pleinement.
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lagomarbast · 1 year
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Le Covid-19 est bel et bien de retour. En trois ans, les symptômes n'ont pas cessé d'évoluer. En plus des traditionnels toux, fièvre et migraine, s’ajoutent à présent de nouveaux symptômes.
Avec la fin de l'été, reviennent les maladies virales... et le Covid-19. La campagne de vaccination a été avancée au 2 octobre par le ministère de la Santé, face à la recrudescence des cas. D'autant que depuis l'année dernière, le virus a développé sa gamme de symptômes, liée à la contamination des variants d’Omicron, Eric ou Pirola (le nouveau sous-variant d’Omicron). Après la toux, les maux de tête ou la perte de goût, l’infection se traduit pour certains patients par des réactions exceptionnelles.
En trois ans et demi de circulation, les médecins ont observé des symptômes plus insoupçonnés les uns que les autres. “Le Covid est un peu un mouton à cinq pattes avec son triple tropisme (respiratoire, entérique, et neurologique), il présente des signes de plus en plus atypiques, même s’ils restent exceptionnels”.
Chez certains patients, des engelures sont apparues au niveau des orteils qui ont alors gonflé et tourné au violet. Si les extrémités sont les points les plus touchés par ces bleuissements, une étude de l’université britannique de Leeds décrivait en août dernier le cas d’un patient âgé de 33 ans, atteint du Covid-19, dont les jambes sont devenues bleues sans que les basses températures en soient la cause. Des éruptions cutanées apparaissaient sur la plante de ses pieds lorsqu’il se tenait debout, et disparaissaient lorsqu’il s’allongeait. Il se plaignait également d’une sensation de lourdeur des jambes, accompagnée de démangeaisons et de picotements. Selon l’étude, cette manifestation serait due à un dysfonctionnement du système nerveux autonome, initié par le virus.
La perte d’odorat et celle du goût sont déjà connues et largement observées, mais certains malades ont également signalé une perte… de l’ouïe ! C’est le cas d’une patiente au Royaume-Uni qui a perdu l’audition soudainement alors qu’elle était atteinte du coronavirus.
Plus étonnant encore, un cas de “hoquet persistant” a été observé aux États-Unis chez un patient de 62 ans qui a hoqueté sans interruption pendant quatre jours. Pour les médecins et la revue spécialisée “The American journal of emergency”, ce signe serait une conséquence de l’infection respiratoire provoquée par le virus.
En 2023, après différentes mutations du virus, les symptômes ont changé devenant moins sévères qu’en 2020. La perte d’odorat ou de goût, ainsi que la fièvre ou l'essoufflement, disparaissent peu à peu, laissant place à des manifestations plus inattendues : diarrhées, courbatures, conjonctivites, plaques rouges sur la peau… Certains patients se plaignent également de symptômes neurologiques, notamment des difficultés d’élocution, de concentration ou des pertes de mémoires rapportées par des patients atteints de Covid long.
“Les manifestations restent encore en majorité ORL/respiratoires, mais on observe de plus en plus de formes qui se rapprochent de la grippe : maux de têtes, fièvre… avec moins de fatigue qu’initialement”
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e642 · 1 year
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Je ne sais pas si je suis coincée dans l'engrenage d'une dépression d'ampleur ou si je vais bien. Peut-être que ce doute tranche la question et oriente la réponse en faveur de la proposition numéro un. Je ne sais pas combien j'ai essuyé de reproches ces dernières semaines "tu n'es plus ma meilleure amie", "tu es ailleurs", "tu as l'air absente", "t'en as rien à foutre", "pourquoi tu mets autant de temps à répondre" ect. Peut-être que le plus désolant c'est que je n'ai pas de justification à ce comportement. J'essaie de me dire que m'en foutre de tout est un postulat trop simple. Sûrement qu'il y a quelque chose de plus profond mais je dois dire que je commence à m'épuiser à force de m'analyser constamment. D'essayer de me comprendre. Je ne sais pas si on peut qualifier ça de résilience, c'est peut-être un peu trop mélioratif pour dire que tout me passe à travers, comme si j'étais un fantôme. Je suis fatiguée et ça ne passe pas, je n'arrive plus à organiser les journées, à faire comme si j'avais toujours mille trucs à dire. De moins en moins, je suis capable de mettre le vide de côté et m'adapter aux autres. Je préfère rien faire que seulement discuter ou passer la journée avec quelqu'un. Dans ces journées de rien, qui sont multiples, je me rends compte de la gravité de la situation. Je ne suis pas capable de m'occuper. Rien ne m'intéresse. Ni les interactions sociales, ni moi, ni les activités. Je passe mes journées à me relire, à trier et faire le ménage. Un concentré de médiocrité incapable de faire les efforts qu'on lui demande. Je suis incapable de répondre à des messages, des appels, je mets des semaines à voir des gens 1h. Et personne comprend. Parce que c'est incompréhensible même pour moi cette perte toujours plus important de mon élan vital. Chaque année je me sens un peu moins présente, un peu plus transparente, très loin de tout. Le mutisme, les trous de mémoire, l'antipathie, le rejet, le manque d'efforts sont un tableau symptomatologique de la dépression et je le sais. En fait, je sais qu'elle est latente et que probablement rien ne soignera ce vague à l'âme qui bouffe chacune de mes ressources. Je suis inconfortable dans l'existence et le plus ironique c'est que les seuls qui trouvent satisfaction à la dégradation de ma santé mentale sont mes parents car ils ne me connaissent pas au fond. La dernière fois, je me demandais à qui je parlerai d'un avortement si j'y étais confrontée, j'en ai conclu que j'irai seule et que je vivrai avec ça seule. Je suis dépourvue honnêtement et ça m'inquiète. J'essaie de contrebalancer mais au fond, quand on enlève les cours, qui prennent 80% de mon temps, je me sens comme au lycée, quand j'étais incapable de seulement me lever et faire des choses qui me font plaisir. Car rien ne me fait plaisir. Les choses m'occupent mais me laissent parfaitement indifférente. Ça me fait très peur de réaliser que rien n'a réellement changer, si ce n'est que je serai bientôt titulaire d'un bac +3. Et quand je pense à ça, je me demande encore combien d'années je vais supporter ce sursis et combien d'années je vais continuer de m'en vouloir de ne pas passer à l'acte. Revoir quelqu'un pour parler dans un cadre clinique, j'y pense, mais je reste découragée et sans volonté. J'aimerais faire mieux mais je suis tétanisée organiquement. Rien ne fonctionne. J'ai l'impression que je pourrai me mettre dans un coin de mon appartement et me laisser mourir comme un animal blessé. La réelle crainte implicite c'est que c'est sûrement irréversible cet état.
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maddiesbookshelves · 9 months
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Le Patient, by Timothé Le Boucher
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The police arrests a young girl wandering the streets covered in blood and holding a knife. When they go to her house, they discover the dreadful scene of a massacre: her whole family has been murdered... Six years later, Pierre Grimaud, the sole survivor of the "Corneilles street massacre" wakes up from a deep coma. The 15 year-old teenager that he was at the time is now a young man aged 21. Disoriented, still paralized and suffuring from partial amnesia, he is put under the care of doctor Anna Kieffer, a psychologist who specialises in criminology and victimology. During their sessions, Anna tries to help Pierre remember the circumstances that led to the tragedy despite his memory loss. Pierre mentions a mysterious "man in black" haunting his dreams, a possible trauma response. After several sessions, Anna finds Pierre to be sensitive and intelligent. Moved by his story, she even starts taking a liking to him. With time, they develop a real sense of complicity. Anna can't imagine how this patient will forever change her life...
Would I recommend it to anyone? Like all of Timothé Le Boucher's work, you've got to look up potential trigger warnings (you can always ask me by the way, I'll answer as best I can), but otherwise yeah, I'd definitely recommend it. Well, you've got to appreciate mind games, mysteries and horror but yeah
Level of (dis)satisfaction based on the summary and my expectations? I thought Le Patient had come out before Ces Jours qui Disparaissent so I thought Le Boucher's art and the overall plot would be between this and Dans les vestiaires. Turns out I was wrong, it came out after and it's even better, so I was pleasantly surprised
My thoughts on it? All of Thimoté Le Boucher's preferred themes are back, aka time, identity and memory. His characters are always complex and intriguing, and his way of telling a story by turning it on its head always impresses me. I want to read 47 Cordes so bad, but the end isn't out yet so I'm gonna wait, otherwise I'm going to suffer
French version under the cut
La police arrête une jeune fille errant dans la rue, couverte de sang, un couteau à la main. En se rendant chez elle, les agents découvrent avec effroi une scène de massacre : toute sa famille a été assassinée... 6 ans plus tard, Pierre Grimaud, l’unique survivant du « massacre de la rue des Corneilles », se réveille d’un profond coma. L’adolescent de 15 ans qu’il était au moment des faits est aujourd’hui un jeune homme de 21 ans. Désorienté, encore paralysé et souffrant d’amnésie partielle, il est pris en charge par le docteur Anna Kieffer, psychologue spécialisée sur les questions de criminologie et de victimologie. Pendant leurs séances, Anna tente de l’amener à se souvenir des circonstances du drame, malgré ses pertes de mémoire. Pierre lui évoque la présence mystérieuse d’un « homme en noir » qui hante ses rêves, probable réponse inconsciente à son traumatisme. Après plusieurs rendez-vous, Anna découvre en Pierre un être sensible et très intelligent. Touchée par son histoire, elle se met même à le prendre en affection. Petit à petit, une véritable complicité s’installe entre eux. Anna n’imagine pas à quel point ce patient va changer sa vie…
Est-ce que tu le conseillerais à quelqu’un ? Comme les autres Timothé Le Boucher, il faut se renseigner sur les TW potentiels mais sinon carrément. Après faut aimer les jeux mentaux, les mystères et l’horreur
Niveau de déception/satisfaction par rapport au résumé et tes attentes ? Je pensais que Ces jours qui disparaissent était sorti en dernier, du coup je pensais que Le Patient serait entre ça et Dans les vestiaires niveau dessins et histoire, mais en fait Le Patient est sorti en troisième. Du coup j’ai été très agréablement surprise
Avis sans spoiler ? On retrouve les thèmes de prédilection de Timothé Le Boucher, soit le temps, l’identité et la mémoire. Ses personnages sont toujours complexes et intrigants et sa manière de raconter l’histoire en la retournant sur elle-même m’impressionnent toujours. J’ai énormément envie de lire 47 Cordes mais pour l’instant la fin n'est pas encore sortie alors je vais attendre parce que je sais que je vais souffrir
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Le papier d’aluminium, qui a été introduit pour la première fois au début des années 1900, est actuellement l’un des articles de cuisine les plus couramment utilisés. Il est extrêmement polyvalent et est utilisé pour la cuisson, l’emballage et même pour traiter certains problèmes de santé courants. Cependant, le problème avec cet article de cuisine est sa nature neurotoxique, qui affecte négativement la fonction cérébrale et on a même constaté qu’il déclenchait l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Comme expliqué par un expert médical, l’exposition à ce métal peut entraîner un déclin mental et une perte de mémoire, d’équilibre, de contrôle corporel et de coordination. En outre, il a été démontré scientifiquement que la cuisson avec du papier d’aluminium affecte les os, en raison du fait que le métal s’accumule dans les os et entraîne une perte de calcium qui est d’une importance primordiale pour une bonne santé osseuse. On a également constaté que la cuisson avec du papier d’aluminium provoque la fibrose pulmonaire et d’autres problèmes respiratoires. Lorsqu’ils sont exposés à des températures élevées par cuisson ou grillade, les petits morceaux de métal se retrouvent dans les aliments. Même si ces petites morceaux ne sont pas relâchés, ajouter certaines épices ou des citrons peut provoquer une lixiviation chimique de l’aluminium
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raisongardee · 1 year
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“Président de l’Union de la jeunesse taurine française, l’éleveur nous explique le contexte politique :"Les animalistes parisiens, Aymeric Caron en tête, qui a emmené le groupe LFI dans le mur, ont échoué à l’automne dernier à faire voter l’abolition de la corrida à l’Assemblée nationale. Je regrette que le vote n’ait pas eu lieu, car finalement cela aurait clos le débat. Nous avions une grosse majorité de députés derrière nous, dont une dizaine de députés communistes. Ils s’attaquent désormais à la bouvine, mais en réalité ces urbains radicalisés mènent une attaque en règle contre notre mode de vie, contre ce que nous sommes. L’élevage, l’agriculture, la chasse, la gastronomie, les traditions taurines et toutes les activités en lien avec les animaux sont dans leur collimateur. S’ils gagnent sur les jeux taurins, ce sera bientôt la chasse, la pêche, et pourquoi pas les joutes sétoises." Au jour J, le 11 février, en fin de matinée, près de 500 gardians à cheval et 15000 manifestants (13000 selon la préfecture) ont pris place au pied du Corum, le palais des congrès de Montpellier, dans le centre-ville, pour défendre leur mode de vie et leur culture. Agriculteurs, éleveurs, pêcheurs, chasseurs, toreros, félibres, raseteurs, écarteurs, gardians, jouteurs, manadiers, directeurs d’arènes, aficionados… tous unis contre la "dictature verte" et les donneurs de leçons des plateaux télévisés ! Parmi les intervenants, Camille Hoteman, la reine d’Arles, s’est fait l’ambassadrice de la culture provençale :"Interdire la corrida, abolir la course camarguaise, radier la course landaise, bannir la ferrade, empêcher l’abrivade, censurer la roussatine, asphyxier la bouvine, c’est renier tout un pan de la culture française. C’est oublier son histoire, car toutes ces pratiques ne sont pas issues d’un mauvais folklore, elles défendent des métiers qui ont permis à nos aînés de vivre et de tirer bénéfice de nos terres." Ce rassemblement historique dans le centre de Montpellier devenu, grâce à la piétonisation, au tramway et aux politiques de "verdissement", une "citadelle imprenable" de bobos s’est terminé comme il se doit par l’hymne du Félibrige Coupo Santo repris en chœur par la foule. Ancien matador et président de l’Observatoire national des cultures taurines, André Viard se veut optimiste sur l’avenir des traditions tauromachiques :"Le cynisme des mouvements politiques qui prônent l’intolérance en opposant les citoyens entre eux provoquera leur perte quand, lassé par la globalisation libéro-libertaire que l’on veut lui imposer, le peuple trouvera refuge dans ses ancrages ancestraux dont on prétend le couper en le privant de mémoire pour mieux le manipuler."”
Pascal Eysseric, « La colère de la ruralité », in la revue éléments n°201, avril-mai 2022. 
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mmepastel · 11 months
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Quelle merveille !
Ce livre vient de remporter le Prix des Inrocks du premier roman, et je comprends pourquoi. C’est un trésor d’humour et de mélancolie.
Ce n’est pas un roman, ni une autobiographie, ni un livre de cuisine, ni un documentaire sur la mémoire des ashkénazes, mais un peu tout ça à la fois.
L’écriture est fragmentaire, faite de phrases où éventuellement de paragraphes, dont la nature est composite : dictons, recettes, éléments factuels sur la carpe ou historiques, anecdotes familiales, pensées, qui s’enchaînent par association. Car la narratrice a « l’esprit de l’escalier », comme elle le dit, et un goût profond pour le presque rien, une forme de modestie exacerbée qu’elle associe à son appartenance ashkénaze. Le fragment épouse l’idée qui sous-tend tout le livre : elle commence en déclarant (je paraphrase) que lorsqu’un objet est brisé, on ne retrouve jamais l’entièreté des morceaux, certains, parfois minuscules, sont perdus pour toujours, et elle finit le livre en faisant allusion à l’art japonais du kintsugi qui précisément consiste à recoller les morceaux de porcelaine sans vouloir gommer les brisures mais en les soulignant à la poudre d’or.
L’écriture ici serait l’or, celui de la mémoire, du désir de renouer avec un passé qui s’enfuit, qui se dilue, menace de disparaître. Il s’agit évidemment de cette identité juive, et d’un passé douloureux. Dans les brisures du récit apparaît le trou béant non exploré de la Shoah, mais qui devient palpable, entre les lignes, dans les trous de la mémoire, dans par exemple, le tombeau du grand-père qui a quitté la Pologne à temps pour se sauver, tombeau qui porte le nom d’êtres dont les corps n’ont pas été enterrés parce qu’ils ont disparu dans les camps.
On pourrait dire que l’autrice approche son sujet avec fantaisie, en crabe, même si la star du récit est pourtant cette fameuse carpe farcie, plat de fête qu’elle décrit comme vilain et assez insipide. Petite, elle ne comprenait pas la cuisine ashkénaze qui semblait si pâle et si fade, mais en vieillissant, elle a éprouvé une forme de sentimentalisme pour les plats de son enfance, et tous les souvenirs familiaux liés à la confection des repas. Elle émaille ses souvenirs de mots yiddishs, qu’elle orthographie comme elle les a entendus car elle n’a jamais appris cette langue ; et elle s’attache à décrire des figures aimées, son père par exemple, fan de Colombo ; elle trouve un trait commun aux deux hommes : un goût pour le défraîchi, le beige sale, le low profile en sorte. Et à travers ces goûts culinaires si peu éclatants, ces portraits peu glorieux, elle fait le portrait incomplet de sa famille, d’un peuple dont les traditions se diluent, avec autant de tendresse que d’ironie, comme elle l’a appris. Encore un héritage, précieux, moins fragile que d’autres.
Son livre m’a touchée en plein cœur, alors que cet univers m’est complètement inconnu. Elle a réussi à transmettre l’amour intime et pudique d’une fille pour ses aînés, en ayant l’élégance de jongler avec l’humour et le spectre de la perte, le gouffre de l’indicible.
Un beau livre, discret, humble, qui détonne avec l’actualité sombre qui, en plus des crimes étourdissants, hurle des revendications contradictoires déplaisantes dans tous les sens.
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