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#peuple kurde
colerenoire · 10 months
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“Vive le confédéralisme démocratique  soutien au peuple kurde révolutionnaire”
Nantes, Antiproduct
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ekman · 1 year
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Bien sûr, il est probable que nous tomberons plus bas encore. C’est même une évidence. Mais nous atteignons en ce moment précis un point intéressant dans la chute. À écouter l’ensemble des experts de plateau-téloche, à lire les pointures qui fourmillent sur les blogs géo-stratégiques, c’est une évidence : les Russes sont à genoux. On ne sait pas si ce sont les 24 chars Leopard ou les 8 Leclerc qu’on va leur prêter, mais sûr qu’ils vont bientôt rendre gorge et l’immonde Vladimir sera trainé dans le box des accusés d’une énième Cour pénale internationale en carton-pâte, où l’on pourra tranquillement prendre son tour de cou en vue d’un châtiment équitable. Qu’on fasse les comptes, nom d’un pope en plâtre ! Massacres de civils ukrainiens ou assimilés, certes compensés par l’exhibition nonchalante de leurs cadavres au devant des caméras du monde, exécution des combattants de la liberté grossièrement baptisés “mercenaires” par la Pravda, tortures sur des chats et même sur quelques chiens jaunes et bleus, rapt et déportation d’enfants sur le mode turco-argentin, conquête territoriale contre la volonté de moins d’un quart de la population concernée... Si ça c’est pas des fauteurs de guerre et des assassins professionnels, je veux bien endosser la responsabilité d’avoir percé les tuyaux du gaz.
Et avec tout ça, les Russes prennent les villes imprenables, grignotent, bombardent, grignotent encore, bombardent toujours et voilà : ils avancent. Oh, certes au prix de morts et d’amputés innombrables, mais ils s’en foutent, ce sont des Russes. Un coup de vodka sur la plaie, un autre dans le gosier, un sparadrap et hop, de retour sur le front, sans casque ni gilet pare-balles. On est comme ça chez les cosaques : rustres et durs à la peine. Du coup, sur les plateaux-téloche, ça perd un peu le fil du narratif poussif pondu par le service de presse de la Grande Alliance Atlantique :
“Oui, bien sûr, Stéphane, c’est évident que les assassins et les violeurs recrutés au goulag par Prigojine ont la part belle dans cette affaire puisque l’Europe tarde tant à envoyer ses chars !”, insiste l’argousin de service. “Oui, malgré les efforts d’Ursula von der Leyen, force est de constater que les coups de freins répétés de certains pays proches du Kremlin – comme la Hongrie, mais est-il encore utile de les citer – gênent la prise de décision de partenaires bien plus engagés sur la route de la défense des valeurs de la démocratie européenne, comme la Pologne ou l’Allemagne”, envoie le plumitif en second. “Oui tout à fait Stéphane, et n’oublions pas de rappeler le rôle trouble – pour ne pas dire équivoque – de la Turquie du néo-pacha Erdogan qui oppose son véto à l’ouverture de l’Otan à la Suède pour des raisons de basse politique. On a du mal à croire que le même Erdogan a été activement soutenu par les secouristes de l’Union Européenne lorsque récemment, son pays a été touché par des séismes. Peut-on parler d’ingratitude ? Au vu de son inflexibilité relative à la question kurde – une question qui relève des droits de l’homme, rappelons-le –, c’est sans doute possible.” Sur le plateau, six têtes de cons acquiescent. Là-bas, ailleurs, sur les radios, dans les journaux de la presse capitaliste subventionnée (qui l’eût cru ?), sur tous les canaux de la lucarne hertzo-câblée, le mot d’ordre est unique, catégorique et général : vaincre... le discernement !
Je fais confiance à la piétaille médiatique et à ses cohortes de supplétifs autorisés. Ce sont les révélateurs zélés du recul définitif de la composante intellectuelle du discours public. Le petit peuple, crédule, le cul ouvert par vocation, approuve tout en buvant son Coca. Les bourgeois – toujours prompts à se chier dessus – sont partants pour toutes les compromissions : “donnons-leur ce qu’ils demandent, nous gagnerons du temps !”. Même s’ils veulent votre semblant de liberté putative ? Vos illusions libérales ? Vos enfants wokisés ? “Mais oui, bien sûr ! Prenez tout ! Et pendant qu’on y est, remplacez-nous !” Affligeant, dégueulatoire, sans appel. Ne seriez-vous pas mieux dans un placard, entre la planche à repasser les Institutions, à côté de la macine à laver le linge sale, à l’abri des Lumières enfin éteintes et avec dans les oreilles la rumeur atténuée des prières du muezzin ? 
Gueux éborgnés et notables dépossédés, pseudo-paysans et cadres au labeur domiciliaire, imbéciles endettés sur 25 ans ou déjà faillis à cinquante piges, fils de la rente plate ou pères du néant générationnel, le même vide, la même peur vous rassemble. Cette Trouille défécatoire, c’est celle du vide qui vous habite, la lumière crue du frigo vide, l’indigence du sapin sans cadeaux, la fin de non-recevoir du Monop’ rideau baissé. Tout file entre vos doigts : la santé, la sécurité, l’emploi, le revenu, le retraite, le cul, le carbone... Tout calanche ! Tout disparaît dans les cris d’orfraie et les moues indignées ! Pas de lendemain, plus de coq pour chanter l’aurore nouvelle et la France éternelle ! Bande de cons écouillés ! Cocus de basse-cour ! Depuis sa fusée, Elon Musk vous tweete que vous ne serez plus jamais censurés ! Vive la liberté, vive l’Union Européenne, niet pasaran ! J.-M. M.
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lephenixkurde · 4 months
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"Le gouvernement des Kurdes, le gouvernement partisan et ordres sociaux alternatifs", un livre recommandé par l'Institut kurde de Paris
Joyce Blau - cofondatrice de l'Institut kurde de Paris - ne tarit pas d'éloge sur l'ouvrage collectif "Le gouvernement des Kurdes, gouvernement partisan et ordres sociaux alternatifs" qui vient de paraître aux éditions Karthala, sous la direction de Gilles Dorronsoro. Un gage de sérieux pour un livre qui n'a pas d'équivalent jusqu'ici.
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Joyce Blau a introduit la conférence de Gilles Dorronsoro, Olivier Grosjean, Hardy Mède et Nicolas Ressler-Fessy. / Photo B. D.
Les nombreux auditeurs de la conférence donnée le 16 décembre à l'IKP ont été particulièrement attentifs aux propos de Gilles Dorronsoro, professeur de science politique enseignant à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et de trois des co-auteurs (1) venus présenter le livre avec lui, samedi : Olivier Grojean, maître de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Hardy Mède, associé à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne mais aussi enseignant à l’Institut catholique de Paris; et enfin Nicolas Ressler-Fessy, chargé de cours à l'Institut national des langues et civilisations orientales, par ailleurs membre du programme Turquie de Noria-Research.
Tous se sont penchés sur une période exceptionnelle depuis la fin de l'Empire Ottoman, les trois décennies qui ont vu "la pointe de fer des Etats régionaux" desserrer leur étreinte autour des Kurdes qui sont des dizaines de millions répartis sur l'Iran, la Turquie, l'Irak et la Syrie depuis le Traité de Lausanne signé en 1923. Comme le rappellent les auteurs dans leur quatrième de couverture, cela fait donc un siècle que les Kurdes "se mobilisent régulièrement pour obtenir des droits culturels, une autonomie régionale, voire l'indépendance".
Lire mon article : "Un génocide oublié, 100 ans de solitude pour les Kurdes"
Si la perspective d'un Etat kurde n'a jamais été aussi lointaine pour des Kurdes en partie lâchés par leurs alliés occidentaux après la victoire contre Daesh, toutes les années de lutte n'ont pas été vaines, que ce soit celles du PDK et de l'UPK à Bashur (Kurdistan Sud, au nord de l'Irak), celles du YPG/PYD au Rojava (Kurdistan Ouest, au nord de la Syrie), ou encore celles du PKK à Baqur (Kurdistan Nord, est/sud-est de la Turquie) et chez ses voisins.
Une date constitue à cet égard un moment de bascule, la résolution 688 du Conseil de sécurité des Nations Unies, adoptée le 5 avril 1991, qui crée une "no-fly zone" au-dessus du Kurdistan irakien victime d'un terrible génocide pendant les années Saddam, l'opération Anfal.
Commander mon livre "Un génocide oublié, la voix brisée du peuple kurde"
Protégés des bombardements chimiques et des crimes de masse, les peshmergas des deux principaux partis se livrent bientôt une guerre fratricide, jusqu'à ce que la guerre civile entre PDK et UPK débouche finalement sur un accord signé en septembre 1998 sous l'égide des États-Unis, prélude à la création de la Région autonome du Kurdistan irakien.
La guérilla du PKK qui s'étend de son côté au Rojava ainsi que les interventions américaines en Irak et en Syrie vont par ailleurs favoriser le PYD, fondé en 2003 par des membres syriens du PKK à Qandîl, dans les montagnes du Kurdistan irakien.
Résultat, pour la première fois, des populations kurdes sont gouvernées par des mouvements kurdes. Et c'est bien là l'objet du livre dont il est question ici.
A rebours d’une conception romantique et loin des clichés sur les tribus kurdes, les auteurs montrent la centralité des partis politiques dans l’organisation des ordres sociaux alternatifs en vigueur au nord de l'Irak et de la Syrie mais aussi en Turquie, notamment à Baqur qui va bénéficier entre 2013 et 2015 des bienfaits d'un cessez-le-feu entre le PKK et le pouvoir, au bénéfice du HDP pro-Kurde créé en 2012.
A partir de données originales tirées de temps longs passés sur le terrain en Turquie, en Irak et en Syrie, les auteurs analysent ces «gouvernements partisans» dans toute leur complexité. Un travail d'autant plus intéressant que les mouvements kurdes se trouvent confrontés à la gestion de minorités non kurdes, notamment en Irak et en Syrie, provoquant une adaptation du programme politique ou la mise en place de régimes discriminatoires, selon les cas.
Pour en savoir plus, il faut lire "Le gouvernement des Kurdes, le gouvernement partisan et ordres sociaux alternatifs", sous la direction de Gilles Dorronsoro, Paris, Karthala, 2023, 368p. Vendu au prix de 30€. Gilles Dorronsoro qui a annoncé que l'ouvrage allait être traduit en anglais très bientôt.
(1) Ont aussi contribué à cet ouvrage : Yohanan Benhaïm, Boris James, Sarah Guillemet, Patrick Haenni, Felix Legrand, Jean-François Pérouse, Cléa Pineau, Arthur Quesnay, Clémence Scalbert Yücel.
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thebusylilbee · 2 years
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" Lorsque les Etats-Unis décidèrent d’envahir l’Irak, en 2003, sur la foi d’un mensonge d’État (les armes de destruction massive inexistantes qu’était censé posséder Saddam Hussein), le camp atlantiste se rassembla comme un seul homme autour du président américain George W. Bush. Tony Blair et José Maria Aznar, alors Premiers ministres du Royaume-Uni et d’Espagne, y allèrent de leurs encouragements. D’autres montèrent dans l’armada en se faisant plus ou moins discrets. Un seul chef d’État occidental osa dire « Non » avec courage, fermeté et détermination : Jacques Chirac.
Gaullisme ?
Fidèle en cela à la geste gaulliste, le président de la République de l’époque sut percevoir les dangers inhérents à une invasion qui allait anéantir un pays et déstabiliser une région déjà transformée en baril de poudre. Nul n’oubliera le discours mémorable alors prononcé à l’ONU par Dominique de Villepin, ministre des Affaires étrangères, salué par des applaudissements, fait unique dans cette enceinte.
Vu avec le recul du temps et de l’expérience, on pourrait avoir le sentiment qu’une telle prise de position allait de soi. Il n’en est rien. Au contraire, c’est à cette époque qu’est né un nouveau sport que l’on pourrait appeler le « french bashing » de l’intérieur, par référence à ce dénigrement antifrançais qui avait alors fleuri des deux côtés de l’Atlantique.
En 2003, nombreux ont été ceux qui ont pris la réaction élyséenne avec des pincettes. La liberté de ton dont ils aiment se réclamer a les limites de l’atlantisme flamboyant. Critiquer la Russie, que l’on n’oublie jamais d’assimiler à son passé soviétique, oui. Décrire la Chine comme le futur impérialisme dominant, pas de problème. Mais dénoncer l’Amérique, fût-elle néoconservatrice et empêtrée dans les conséquences guerrières des théories fumeuses sur le « choc des civilisations », cela vaut illico presto l’accusation d’«anti-américanisme primaire », pour reprendre une formule chère à Bernard-Henri Lévy. [...]
Dans la famille politique de Jacques Chirac, l’embarras fut de mise. A preuve, la gêne exprimée par Nicolas Sarkozy. Du jour où il devint à son tour président, relayé par ses séides intellectuels, il fit tout ce qui était en son pouvoir pour se démarquer, persuadé que son prédécesseur avait commis le pire des crimes : s’affranchir de l’Amérique. A croire que le simple fait de critiquer les États-Unis revenait d’office à être un suppôt de Ben Laden et un coresponsable des attentats du 11-Septembre. Un peu comme si l’on avait accusé de francophobie les penseurs américains, ou britanniques, ayant pris fait et cause contre la guerre d’Algérie.
Atlantisme
Ce raisonnement absurde visait à faire oublier que Nicolas Sarkozy était entouré d’une camarilla de petits soldats qui ont cru à la fable des prétendues « armes de destruction massive » de Saddam Hussein, à l’image d’un Bernard Kouchner, ou d’un André Glusksmann (le père de Raphaël), à une époque où Barack Obama, lui, n’y croyait pas.
Pour ces gens-là, Jacques Chirac avait donc tout faux en 2003. André Glucksmann, Pascal Bruckner et le réalisateur Roman Goupil avaient publié une tribune commune dans Le Monde où ils écrivaient : « Que Saddam parte, de gré ou de force ! Les Irakiens, Kurdes, chiites mais aussi bien sunnites respireront plus librement et les peuples de la région en seront soulagés ». De son côté, BHL était un peu plus hésitant, avant de dire lors d’une intervention aux Etats-Unis : « J'étais opposé à l’administration Bush quand elle a décidé d’entrer en guerre contre l’Irak. Mais aujourd’hui, nous y sommes, nous devons désormais finir le travail ». Des personnages susnommés, seul Pascal Bruckner fera son mea culpa.
Pour nos amis atlantistes, il était évident que la France s’était « mise hors jeu », qu’elle s’était« ridiculisée ». Tony Blair, en revanche, était salué comme un « véritable chef d’État ». A de rares exceptions, la plupart des partis politiques français critiqueront le choix de Jacques Chirac, certains n‘hésitant pas à dénoncer un « nationalisme des imbéciles ».
Grâce à Wikileaks, on apprendra ensuite que des dirigeants du Parti socialiste s’étaient rendus à l’ambassade américaine à Paris pour exprimer leurs désaccords avec la position officielle de la France. Le 29 mai 2006, Pierre Moscovici, chargé à l'époque des relations internationales du PS, promit qu'un gouvernement socialiste se montrerait plus proaméricain que celui de Dominique de Villepin. Quelques jours plus tard, le 8 juin, Hollande, premier secrétaire du PS, regrettait devant l'ambassadeur des États-Unis que Chirac ait fait de « l'obstruction gratuite » face au président américain. Quand il s’agit de sombrer dans l’atlantisme, certains sont imbattables. "
ptdr le Parti Socialiste ???? Putain de vendus heureusement qu'ils ont crevé ceux là
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rojinfo · 2 years
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17 guérilleros tués à l’arme chimique par l’armée turque 
Le Centre de défense du peuple (HSM) a annoncé la mort de 17 guérilleros tués dans les attaques à l’arme chimique de la Turquie et accuse la communauté internationale d’être responsable de l’expansion des crimes de guerre commis par l’armée turque. L’armée turque utilise des armes chimiques dans ses attaques contre la guérilla kurde au Sud-Kurdistan (Nord de l’Irak) lors desquelles 17…
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alain-keler · 1 year
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Samedi 7 janvier 2023.
 Plusieurs milliers de kurdes sont venus manifester à Paris ce samedi 7 janvier pour célébrer la mémoire de trois militantes kurdes du PKK tuées en 2013. C’est ajouté à cette marche le souvenir de trois autres kurdes tués le 23 décembre dernier rue d’Enghien à Paris.
 Beaucoup de femmes et des pancartes comme un slogan en leur hommage : « notre vengeance sera la révolution des femmes ».
 Sur une autre banderole tenue par des femmes on peut lire : « Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s’annonce ».
 Les Kurdes sont un peuple sans état. Le Kurdistan s’étale sur quatre états : la Turquie, l’Iran, l’Irak et la Syrie. L’état kurde prévu par le traité de Sèvres en 1920 à la sortie de la première guerre mondiale n’a jamais vu le jour. *
 Une injustice flagrante que la communauté internationale ne semble pas prête d’effacer : la Turquie est entre autre un membre important de l’OTAN et un avant poste au Moyen-Orient dont l’instabilité chronique ne semble pas prête de s’arrêter.
* https://www.monde-diplomatique.fr/publications/l_atlas_du_monde_diplomatique/a53796
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jloisse · 2 years
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📝 Deux photos de BHL qui ont circulé ces derniers jours , une sur un talus auprès d'une combattante, une autre dans l'herbe haute, ont en réalité été prises voici deux ans chez les Kurdes, lors d'une séance d'entraînement.
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Turquie : peu de pain et beaucoup de colère, ou comment la société a perdu la raison
J'ai pensé que cet article de Courrier international pourrait t'intéresser :
La Turquie à la recherche de sa gloire passée où la folie des grandeurs de ses dirigeants passés et, surtout, au présent.
Dieu n'est pas responsable des malheurs de la Turquie !
Quand un bien leur arrivent, ils disent : c'est grâce à nous !
Quand un mal survient, il en rejette la faute sur dieu...
Qui donc est plus injuste que celui qui forge un mensonge contre dieu ?
La situation internationale de la Turquie est délicate et la politique des États voyous anglo-normands lui porte préjudice au niveau de son développement !
La Turquie est un carrefour commercial : l'union pour la Méditerranée est bloquée, la nation arabe comme source de développement au sud n'est pas constituée, avec la crise ukrainienne l'entrée de la Turquie dans l'union européenne est barrée pour longtemps quant au développement vers l'est et les pays "frères" Azerbaïdjan et Turkménistan il est hypothéqué par l'Arménie et sa reconnaissance d'un génocide.
Ce n'est pas tout.
La Turquie, historiquement, appartient à l'entité turco-mongol, les peuples de la vaste steppe, nomades et sédentarisés.
Mais ils doivent compter culturellement avec le magister persan en backyard et plus important le subcontinent indien. Des puissances réelles qui par le passé ont imprimées leur domination sur ce monde turco-mongol au moins par acculturation...
La Turquie sent et est sous la pression des évènements, c'est un facteur de déstabilisation du pays et de sa région.
Voilà pour le diagnostic, que préconiser ?
Faire le dos rond et oeuvrer au développement commercial vers l'est, le plus accessible par les temps qui courrent.
Le plus dur, ne pas faire la guerre à l'Arménie, négocier avec elle, c'est le maillon faible du blocus imposé par l'histoire aux peuples turco-mongols. Reconnaître et faire droit aux arméniens concernant les grands massacres du passé. Obtenir un couloir terrestre moyennant compensations terrestres ou de titres divers pour joindre le puzzle manquant vers l'Azerbaïdjan et le Turkménistan.
En politique il faut souvent avaler son chapeau pour réussir, les grands leaders savent le faire, seul le résultat compte.
L'intransigeance paie rarement et pour être réélu il faut délivrer des résultats durables.
C'est l'économie qui prime ! Surtout pour la Turquie.
Quand à la question kurde elle devra trouver sa solution autrement que par les armes, il faut régler ce problème qui grève le développement turc. Par la diplomatie internationale dans la région, arabes et persans ont leur mot à dire !
Cette question doit trouver son règlement et le plus tôt sera le mieux.
Quand ces problèmes seront réglés l'avenir se dégagera radicalement pour cette nouvelle Turquie, plus libre, plus riche... Plus heureuse.
Nous sommes des Méditerranéens, soyez indulgents, c’est de là que vient notre agitation. Nous avons la joie facile, tout comme la peine et la colère. Mais ces dernières années nous sommes encore plus en colère, comme constamment prêts à croiser le fer.
Au travail, en famille, avec des amis, les sacs de course à la main ou au volant de la voiture nous sommes sans cesse sur le point d’exploser. Ces dix dernières années ont rendu notre société plus tendue, plus malheureuse aussi et plus intolérante.
“La polarisation politique nourrie et voulue par Erdogan nous a dressés les uns contre les autres [...]
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Project2025 #CorpMedia #Oligarchs #MegaBanks vs #Union #Occupy #NoDAPL #BLM #SDF #DACA #MeToo #Humanity #FeelTheBern
JinJiyanAzadi #BijiRojava Les élections locales en Turquie confirment la montée en puissance du DEM, parti pro kurde
DEM Parti, le Parti de l’égalité et de la démocratie des peuples, ressort renforcé à l’issue de cette consultation électorale, en dépit des manipulations et tricheries en tout genre qui ont engendré de nombreuses contestations. DEM parti s’impose officiellement dans trois villes métropolitaines et de belle manière : non seulement il remporte les mairies métropolitaines de Diyarbakir, Van et Mardin, mais aussi 13 mairies de districts sur 17 à Diyarbakir, 6 sur 10 à Mardin et les 14 districts à Van. Il s’impose également dans sept villes chefs-lieux de provinces, cinquante-huit mairies de districts, dix mairies de petites et moyennes villes, soit 78 mairies qui vont être dirigées par un maire, homme ou femme, kurde. A cela, il faut ajouter les onze président-e-s des conseils provinciaux issu-es des élections régionales. Soit, au total, 89 assemblées locales et régionales dirigées par des Kurdes…
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gundemarsivi · 4 months
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Onursuz Hain Seyit Rıza
✍🏻 Yılmaz Dikbaş
https://www.gundemarsivi.com/onursuz-hain-seyit-riza/
Değerli Dostlar,
Nergiz Yayınları rafından yayımlamış olan ↗ “TÜRK MİLLETİNE SUİKAST” adlı kitabımdan bir bölümü aşağıda sizlerle paylaşıyorum:
30 Temmuz 1937, Cuma
Dersim isyanında elebaşı Seyit Rıza, bugünün tarihiyle, İngiltere Dışişleri Bakanlığı’na bir mektup gönderdi.
Daktiloyla Fransızca yazılmış olan bu mektup, el yazısıyla “Dersim Generali Seyid Rıza” olarak imzalanmıştır.
Şimdi size, bu mektubun aslını sunuyorum.
Mektubun Fransızca aslı, Türkiye’de ilk kez burada yer almaktadır.
Dersim-Kurdistan
Le 30 Juiliet 1937
Ministêre des Affirs Etrangêres
Monsieur le Ministre,
Depuis des annêes le gouvernment Turc tente d’assimiler le peuple Kurda et dans ce but opprime ce peuple, interdisant les journaux et les publications de langue Kurde, persêcutant les gens qui parlent leur langue d’origine, organisant des emigrations forcêes et sutêmatiques des territories fertiles du Kurdistan aux territories incultes de l’Anatolies oû ces emigrês pêrirent en Grand nombre.
Dernierement le gouvernment Turc a essayê de penstrer dans la region de Dersim qui restait, grâce a une etente avec le gouvernement Turc â l’abri de ces persêcutions.
Devant ce fait, au lieu de pêrir sur les routes lointaines de l’emigration, les Kurdes ont pris les armes pour se dêfendre, comme en 1930 dans le mont d’Ararart et dans la vallêe de Zilan et Bayezid.
Depuis trois mois une guerre atroce sevit dans non pays.
Malgrês l’inegalitê des moyens de combat et en dêpit de l’emploi dêavion de bombardement, de bombes incendiares, de gas asphyxiants, moi et mes compatriotes nous avons pû tenir l’armêe Turque en êchec.
Devant Notre rêsistance les avions turcs bombardent les villages, les incendient, et tuent les femmes et les enfants sans dêfance et ainsi le gouvernement turc se venge de son êchec en persêcutant les hbitants de tout le Kurdistan.
Les prisons regorgent de la population paisible Kurde et les intellectuels sont fusillês, pendus ou exilês dans des rêgions isolêes de la Turquie.
Trois millions de Kurdes se trouvant das leur pays et ne demandant que en paix et en libertê en conservant leur race, leur langue, leur traditions, leur culture et leur civilasation, par ma voix s’adressent â votre Excellence, vou prient de faire bênêficier le peuple Kurde de la haute influence morale de votre gouvernement, pour metre fin a cette injustice cruelle.
J’ai l’honneur Monsieur le Ministre, de vous prier d’agrêer l’expressin de ma haute considêration.
Le generalissmeou Dersim
Seyid Rıza
Mektubun Türkçe Çevirisi
İngiltere Dışişleri Bakanlığı’na
Dersim-Kürdistan
30 Temmuz 1937
“Sayın Bakan,
Yıllardan beridir Türk Hükümeti, Kürt halkını asimile etmeye çalışmakta ve bu amaçla gazete ve Kürt dili yayınlarını yasaklamakta, anadillerini konuşanlara eziyet ederek, Kürdistan’ın verimli topraklarından gidenlerden büyük bir bölümünün telef olduğu Anadolu’nun çorak topraklarına zorunlu göçler düzenleyerek bu halka baskı yapmaktadır.
Son günlerde Türk Hükümeti, kendisiyle yapılan bir antlaşma sonucu bu baskılardan arındırılmış Dersim bölgesine de girmeye kalkışmıştır.
Bu olay karşısında Kürtler, göçün uzak yollarında can vermek yerine kendilerini korumak için 1930′da Ararat Dağı’nda, Zilan ve Beyazıt Ovası’nda olduğu gibi silahlara sarıldılar.
Üç aydan beri ülkemde vahşi bir savaş ortalığı kırıp geçirmektedir.
Savaş olanaklarının eşitsizliğine ve bombardıman uçaklarının, yangın bombalarının, boğucu gazların kullanılmasına rağmen ben ve yurttaşlarım Türkiye ordusunu başarısızlığa uğrattık.
Direnişimiz karşısında Türk uçakları köyleri bombaladılar, yangınlar çıkardılar ve savunmasız kadın ve çocukları öldürdüler. Böylece Türk Hükümeti, tüm Kürdistan halkına zulüm ederek yenilgisinin intikamını alıyor.
Hapishaneler yumuşak başlı Kürt halkıyla dolup taşıyor, aydınlar kurşuna diziliyor, asılıyor ya da Türkiye’nin ıssız bölgelerine sürülüyor.
Üç milyon Kürt ülkesinde bulunuyor ve sadece soylarını, dillerini, geleneklerini, kültürlerini ve uygarlıklarını koruyarak barış ve özgürlük içinde yaşamak istiyor. Kürt halkı, benim sesimden Ekselanslarına sesleniyor ve hükümetinizin manevi etkisinden Kürt halkını yararlandırmanızı sizden istirham ediyor.
Sayın Bakan, en derin saygılarımın kabulünü rica ederim.”
Dersim Generali
Seyid Rıza
Şimdi iki soru iki cevabımız var:
Birinci soru: Seyit Rıza bu mektubu İngiltere Dışişleri Bakanlığı’na nasıl gönderdi?
Cevap: İngiliz belgelerinden öğreniyoruz, Seyit Rıza mektubunu İstanbul’daki İngiliz Büyükelçiliği’ne göndermiş ve onlardan mektubun Londra’ya ulaştırılmasını rica etmiş.
İkinci soru: Peki, İngilizler Seyit Rıza’nın mektubuna cevap vermişler mi?
Cevap: İstanbul’daki İngiliz Büyükelçiliği, Seyit Rıza’nın mektubunu İngiltere Dışişleri Bakanlığı’na şu el yazısı kısa notla birlikte göndermiş:
23rd September, 1937
We close herein a copy of a letter which we have received from Seyid Rıza.
Needless to say that we have not sent any acknowledgement.
Türkçesi:
23 Eylül 1937
“Seyit Rıza’dan almış olduğumuz bir mektubun kopyasını ekte sunuyoruz.
Söylememize gerek yok, Seyit Rıza’ya mektubunu aldığımıza dair bir teyit göndermedik.”
Son bir soru: Seyit Rıza’nın mektubunu alan İngiltere Dışişleri Bakanlığı bir cevap vermiş mi?
Cevap: Evet vermiş, ama Seyit Rıza’ya değil! Cevabını İstanbul’daki Büyükelçiliğe göndermiş.
İşte o mektubun İngilizce aslı:
British Embassy, İstanbul
5th October, 1937
Thank you for your letter of September 23 (E 5529/466/44), enclosing a copy of a letter from Seyid Riza.
We feel that it would create a good impression if we could let the Turkish Government know, unofficially, that no notice has been taken of it.
Would you have any objection to our acting accordingly?
We should also like to know by what means it reached you.
Türkçesi:
Britanya Büyükelçiliği, İstanbul
5 Ekim 1937
“Seyit Rıza’dan aldığınız mektubun bir kopyasını iliştirdiğiniz 23 Eylül 1937 tarihli (E 5529/466/44) mektubunuz için teşekkür ederiz.
Eğer bu mektubun varlığından Türk Hükümetini resmi olmayan yoldan haberdar eder ve bu mektubu hiç dikkate almadığımızı bildirirsek iyi bir izlenim yaratmış olacağımıza inanıyoruz.
Böyle davranmamıza sizin herhangi bir itirazınız var mı?
Seyit Rıza’nın mektubunun size hangi yoldan ulaşmış olduğunu da bilmek isteriz.”
Son bir değerlendirme yapalım.
Dersim isyanının elebaşı Seyit Rıza, İngilizlerden yardım dileniyor.
Tarihte, yabancılardan yardım ve merhamet dileyerek bağımsızlığını elde etmiş bir halk var mı?
İngilizlerden yardım dilenen Seyit Rıza’nın onurlu ve şerefli bir kişi olduğunu söyleyebilir misiniz?
Seyit Rıza’nın yardım dilendiği İngilizler, mektubuna cevap bile vermiyorlar! İngilizler, Seyit Rıza’nın mektubunu dikkate bile almıyorlar!
Seyit Rıza’nın o çok güvendiği İngilizler, Seyit Rıza’nın mektubundan Türk Hükümetini haberdar edelim, böylece Türk Hükümeti üzerinde iyi bir izlenim yaratalım, diyor!
Onur ve şeref gibi yüce değerleri bir yana bırakalım, Seyit Rıza’nın sömürgeci İngilizleri hiç anlamamış, hiç öğrenmemiş olmasına ne diyelim? İngilizlerin dostaları yoktur, çıkarları vardır, deyimini bile bilmeyen, bilgisiz ve bilinçsiz Seyit Rıza, silaha sarılıp Türkleri arkadan vurmakla hem çok sayıda günahsız Kürtlerin ölmesine neden olmuş hem de Türk Milletine Suikast düzenleyenlere uşaklık yapmıştır…
Yılmaz Dikbaş
27 Aralık 2023, Çarşamba
0532 233 31 52
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ataturquie · 6 months
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colerenoire · 7 months
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Nûdem Durak, jeune kurde emprisonnée en Turquie depuis 2015 pour 19 années de prison pour son engagement artistique, pour avoir chanter dans sa langue maternelle...sa guitare et sa voix pour seule arme. Comme le symbole de l'oppression du peuple kurde. Pour en savoir plus je recommande vivement le passionnant livre de @andrasjo00 "Nûdem Durak, sur la terre du Kurdistan" paru en 2023.
Nantes, Antiproduct.
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news24fr · 1 year
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Au moins 100 Iraniens arrêtés au cours de plus de 100 jours de manifestations à l'échelle nationale font face à des accusations passibles de la peine de mort, a déclaré le groupe Iran Human Rights (IHR) basé à Oslo.Des manifestations ont saisi l'Iran depuis septembre après qu'une femme irano-kurde, Mahsa Amini, est décédée en détention après son arrestation à Téhéran pour une violation présumée du code vestimentaire strict du pays pour les femmes.Plus tôt ce mois-ci, l'Iran a exécuté deux hommes en lien avec les manifestations, une escalade de la répression des autorités qui, selon les militants, vise à semer la peur dans le public.Le moment de vérité de l'Iran : que faudra-t-il pour que le peuple renverse le régime ?Lire la suiteDans un rapport publié mardi, IHR a identifié 100 détenus passibles de la peine capitale, dont au moins 11 déjà condamnés à mort. Cinq détenus sur la liste IHR sont des femmes.Le rapport indique que beaucoup d'entre eux ont un accès limité à une représentation légale.« En prononçant des condamnations à mort et en exécutant certaines d'entre elles, [the authorities] veulent faire rentrer les gens chez eux », a déclaré le directeur de l'IHR, Mahmood Amiry-Moghaddam."Ça a un certain effet... [but] ce que nous avons observé en général, c'est plus de colère contre les autorités. Leur stratégie de semer la peur par les exécutions a échoué.Dans un bilan mis à jour publié mardi, IHR a déclaré que 476 manifestants avaient été tués depuis le début des manifestations. Début décembre, le plus haut organe de sécurité iranien a fait le bilan de plus de 200 personnes tuées, dont des agents de sécurité.Au moins 14 000 personnes ont été arrêtées depuis le début des troubles à l'échelle nationale, a annoncé l'ONU en novembre.Majidreza Rahnavard, 23 ans, a été pendue en public à une grue le 12 décembre après avoir été condamnée par un tribunal de Mashhad pour avoir tué deux membres des forces de sécurité avec un couteau.Quatre jours plus tôt, Mohsen Shekari, également âgé de 23 ans, avait été exécuté pour avoir blessé un membre des forces de sécurité.Le pouvoir judiciaire a déclaré que neuf autres personnes avaient été condamnées à mort pour les manifestations, dont deux ont été autorisées à être rejugées.Le père du condamné à mort Mohammad Ghodablou a publié un plaidoyer sur les réseaux sociaux appelant à la libération de son fils, affirmant qu'"il a fait une grosse erreur"."Mohammad n'avait jusqu'à présent aucun casier judiciaire", a déclaré le père dans une vidéo diffusée cette semaine, ajoutant qu'il souffrait d'un trouble mental.Ghodablou, 22 ans, a été inculpé à Téhéran de "corruption sur terre" pour "avoir attaqué des policiers avec une voiture, ce qui a entraîné la mort d'un policier et la blessure de cinq autres".Le site d'information Mizan Online du pouvoir judiciaire a rapporté lundi que Ghodablou avait subi une évaluation psychiatrique concluant qu'il "était conscient de la nature de son crime".L'agence de presse américaine Human Rights Activists News Agency a noté dans un rapport publié lundi que l'Iran avait connu une augmentation de 88% des exécutions en 2022 par rapport à 2021 et une augmentation de 8% des condamnations à mort, la grande majorité d'entre elles pour meurtre ou drogue. infractions.Selon Amnesty International, l'Iran est le deuxième derrière la Chine pour l'utilisation de la peine de mort, avec au moins 314 personnes exécutées en 2021.
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lephenixkurde · 8 months
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Merci à Kurdistan Au féminin pour le relais.
Effectivement, le génocide kurde a frappé au Sud, mais aussi au nord, à l'ouest et à l'est du Kurdistan divisé en en quatre le 24 juillet 1923 par les vainqueurs de la Première Guerre mondiale, lors du Traité de Lausanne.
Impossible pour une personne seule aidée de quelques amis d'enquêter sur un génocide à aussi grande échelle, raison pour laquelle j'ai circonscrit le périmètre de mes investigations à Bashur.
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J'ai fait ma part. D'autres travaillent sur d'autres terrains. C'est à nous tous de nous battre collectivement, livres et stylos à la main, pour qu'un jour le monde accepte l'évidence et reconnaisse enfin officiellement le génocide kurde.
Pour cela, il faut lire ce livre et d'autres, il faut partager nos travaux. Et faire connaître le témoignage des victimes qui ont aussi besoin de cette reconnaissance pour se reconstruire et honorer la mémoire des disparus.
Merci pour elles, merci pour eux.
https://kurdistan-au-feminin.fr/2023/08/18/un-genocide-oublie-la-voix-brisee-du-peuple-kurde/
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christophe76460 · 1 year
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La Turquie, comme la Russie, est un pays transcontinental entre l’Asie et l’Europe, mais la partie européenne ne représente que trois pour cent de son territoire, dont la superficie totale représente une fois et demie la France.
Avec quatre-vingt-quatre-millions d’habitants, la Turquie est le neuvième pays le plus peuplé d’Asie.
Ce pays a été christianisé au premier siècle de notre ère. De nombreuses villes sont citées dans le Nouveau Testament : Antioche, Éphèse, Laodicée, Smyrne… Les sept Églises mentionnées dans le livre de l’Apocalypse étaient toutes sur ce territoire.
À partir du septième siècle, la conquête musulmane cherchera à s’installer à Constantinople. Les conflits seront nombreux, et finalement la ville sera conquise en 1453. L’Islam deviendra la religion dominante dans le pays jusqu’à ce jour.   
Pendant la première guerre mondiale, l’empire ottoman, en 1915, se livra au génocide du peuple Arménien. À la fin de la guerre, l’empire fut démantelé. L’identité nationale Turque se fera sur les cendres de cet empire, à partir de 1919, sous l’impulsion du général Mustapha Kémal, qui créera une République laïque.
À ce jour, des tensions fortes subsistent à l’Ouest avec la Grèce, et à l’Est dans la partie Kurde du pays.
S’appuyant sur le vote des islamistes, le président actuel, souffle le chaud et le froid dans ses relations avec l’Occident. De nombreux chrétiens fuient le pays, ou sont expulsés.
Il y a une minorité de chrétiens dispersés dans ce grand pays. Le primat de l’Église orthodoxe de Constantinople s’est exprimé dernièrement lors d’un attentat qui a eu lieu dans le cœur d’Istanbul.
« Seigneur, nous te prions pour cette nation qui, sous l’impulsion de son dirigeant actuel, se ferme aux libertés individuelles, brime les chrétiens et les minorités ; nous te prions pour la protection de ces minorités. 
Nous prions pour que Dieu réveille cette nation afin que ce berceau du christianisme retrouve sa foi en Jésus.
Que les dirigeants travaillent à l’unité de la nation, au respect des minorités, à chercher le bien de tous, au nom de Jésus, amen ! »
Avec amour,
Paul Calzada
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rojinfo · 2 years
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Pourquoi le PKK utilise des masques à gaz ? 
Alors que les Forces de défense du peuple (HPG, branche armée du PKK) ont annoncé que leurs combattants ont été exposés à des attaques d’armes chimiques, l’État turc a démenti l’utilisation de ces armes. L’armée turque a publié des images de masques à gaz, de l’oxygène et des tubes respiratoires qu’elle a saisi auprès des combattants kurdes. Que signifient donc ces images ? Les crimes de guerre…
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