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#piédroit
gerardbillet · 4 years
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Il a fallu attendre mes 70 ans pour visiter l’Arc de Triomphe ! Les 4 haut-reliefs adosses aux piédroits sont hauts de 18 m : Le Départ des Volontaires de 1792 ou la Marseillaise de Francois Rude, Le Triomphe de 1810 par Jean-Pierre Cortot, La Résistance de 1814 par Antoine Etex, La Paix de 1815 par Antoine Etex. #arcdetriomphe #napoleon #hautrelief #piédroit #ledépartdesvolontairesde1792 #lamarseillaise #francoisrude #letriomphede1810 #jeanpierrecortot #larésistancede1814 #antoineetex #lapaixde1815 #monumentsnationaux #instapic #photooftheday #parismaville (à Arc de Triomphe) https://www.instagram.com/p/CBtjha2l1sD/?igshid=7ccnsj3xptx4
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orpheusz · 6 years
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Basilique Saint-Just de Valcabrère, édifice de style roman des XIᵉ et XIIᵉ siècles. Piédroit de droite du portail (détail) représentant Sainte Hélène.
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rodezaggloculture · 6 years
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Flars, ancien fief de la noblesse de chevalerie rouergate
À environ 3 km au nord de Rodez, sur la commune de Sébazac-Concourès, le site de Flars est établi à 600 m d’altitude sur un beau replat calcaire, qui offre des vues dégagées sur le château d’Onet et le manoir de Labro à l’est, et sur la ville de Rodez au sud.
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  La seigneurie de Flars, connue dès le XIIe siècle, s’est notamment développée par sa proximité avec la grande « draye », ce chemin de transhumance entre le Quercy et l’Aubrac. Ces déplacements de troupeaux entre deux terroirs complémentaires, sont connus depuis le Moyen Age. Les moines d’Aubrac sont les premiers à généraliser des mouvements de transhumance à longue distance : d’abord avec les causses du Rouergue (causse comtal et le domaine de la grange des Bourines), puis avec ceux du Quercy.
Les troupeaux originaires des hautes prairies du Rouergue descendaient vers les terres chaudes des causses pour l’hivernage. Ces déplacements permirent aux éleveurs d’augmenter  leur cheptel de gros bétail sans avoir à créer de prairies artificielles aux dépens des cultures vivrières. C’est à la fin du Moyen Age, et jusqu’aux guerres de religions, que s’est accentué le phénomène, avec l’essor de l’élevage en relation avec l’augmentation de la consommation de viande de boucherie, et la croissance de l’artisanat de la laine et des cuirs.
Deux logis subsistent de nos jours à Flars, dont le plus ancien remonte aux alentours de l’an 1500. À cette époque, le territoire est en pleine période de reconstruction après la guerre de Cent ans. Les commanditaires de Flars sont certainement Antoine de Mancip et Marie de Saunhac, son épouse.  Les Mancip sont issus d’une des plus illustres familles de la noblesse de chevalerie rouergate. Raymond de Mancip est le premier, en 1323, à rendre hommage au comte de Rodez du mas de Flars.
Construit dans un calcaire aux nuances brunes qui affleure ici, près des marnes grises, l’édifice est de plan allongé, flanqué d’une tour. Celle-ci abrite l’escalier en vis et montre le caractère noble de la demeure, notamment par la présence d’un pigeonnier, apanage de la noblesse, logé dans sa partie haute. La canonnière, près de la tour, est aussi un élément défensif propre aux demeures seigneuriales. Enfin, une pierre sculptée aux armes de la famille de Mancip – d’azur à trois coquilles d’argent – identifie les anciens seigneurs. En remploi dans la maçonnerie de la tour, elle provient certainement de l’édifice antérieur, rappelant ainsi l’ancienneté et le prestige de la lignée, branche cadette des Mancip de Bournazel.
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Le décor des façades tient seulement aux moulurations appliquées aux appuis, aux piédroits et aux larmiers des fenêtres à croisée et à demi-croisées.
A l’intérieur, l’aménagement est simple. Le rez-de-chaussée est dévolu aux pièces de service : la cave au nord, la cuisine au sud avec sa cheminée monumentale, et une remise ou un cellier à l’ouest dans la partie rectangulaire adossée au logis.
Même distribution à l’étage, où l’on trouve la salle et la chambre dans le corps principal et une souillarde à l’ouest. Seule la cheminée de la salle bénéficie d’un décor d’architecture aux moulurations complexes. L’aménagement intérieur peut paraître assez sommaire, mais le logis tel qu’il est conservé aujourd’hui, est sans doute proche de son état d’origine ; Le fait qu’il est été délaissé, exploité comme « grenier », peut-être au profit du nouveau logis dès le XVIIe siècle, a sans doute évité qu’il subisse des remaniements.
Pendant près de trois siècles, Flars reste aux mains de la famille Mancip puis, au XVIIe siècle, le domaine devient la propriété de la famille de Pestels. Camille de Pestels, marquise de Monclar est mentionnée comme « dame du lieu » en 1650 lorsque, avec son fils, François de Beaufort et de Cassanhes, marquis de Miramont du Caila, elle vend la seigneurie à François de Maynard. Trente ans plus tard, c’est pourtant un membre de la famille de Beaufort, Jacques Joseph de Cassanhes de Beaufort, résidant au château de Pestels, en Auvergne, qui vend le domaine aux dames religieuses de Notre-Dame de Rodez.
Puis Flars sera saisi comme bien national et vendu en 1791.
En 1817, la famille de Séguret est propriétaire du domaine qu’elle vient de racheter à l’ancien procureur Fualdès l’avant-veille de son mystérieux assassinat.
   Crédit photographique : Gilles Tordjman 
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shelterskated · 7 years
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Quand la cathédrale s'illumine, soulignant encore plus la beauté de ses piédroits, voussures, baies, rocase et autres éléments architecturaux 🕍 (à Cathédrale d'Amiens)
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gerardbillet · 4 years
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Les portails de Notre-Dame désormais accessibles en photos ! #cryptearcheologiqueduparvisnotredame #cryptearcheologiquedeliledelacite #portail #notredamedeparis #portaildelavierge #portaildujugementdernier #sainteanne #tympamportail #trumeau #linteau #voussoire #piédroits #religion #catholicism #instapic #photooftheday #parismaville🇫🇷 (à Crypte archéologique de l'île de la Cité) https://www.instagram.com/p/CGcZ-gHFiYn/?igshid=5ta54i3zaybs
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rodezaggloculture · 6 years
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Petite histoire d'une grande maison médiévale : N° 1 et 3 de la place de l'Olmet (emplacement actuel des Opticiens Mutualistes) à Rodez
À l’est de la place de l’Olmet, la façade d’un vaste édifice de la seconde moitié du XIIIe siècle témoigne de l’aménagement de la place, et peut-être de sa création, au moment où le comte de Rodez, achète des maisons à la famille de la Barrière, au sud, pour y établir une halle aux draps contre son palais. C’est vraisemblablement un de ses proches qui érige le vaste bâtiment construit en grès rose qui nous intéresse. La qualité de sa mise en œuvre, ses dimensions et son implantation sur une place majeure de la ville, face à la rue du Bal et à proximité immédiate du palais comtal, signalent un hôtel aristocratique de première importance.Au deuxième étage, les fenêtres étaient différentes de celles du premier niveau :plus hautes, elles étaient pourvues de réseaux de pierre qui devaient ressembler à ceux des fenêtres de la cathédrale dont le chantier se déroule au même moment; la superbe façade conservée de la maison médiévale au numéro 5 de la place Champollion à Figeac offre une possibilité de rapprochement avec notre demeure de la place de l'Olmet, à  l’étage, les hautes baies laissent largement entrer la lumière et témoignent d’une recherche de confort et la qualité du décor sculpté affirme quant à lui l' importance du propriétaire (cf photographie maison de Figeac). Un des piédroits (cf photographie) est conservé à la limite avec l’enduit qui couvre la partie gauche de la façade. Il est formé d’un faisceau de trois colonnettes surmonté d’un chapiteau en calcaire. Les deux couronnes de feuilles sur la corbeille très évasée du chapiteau et les formes des fenêtres indiquent que la construction a eu lieu dans le dernier quart du XIIIe siècle. Les deux étages présentent donc un traitement différent en façade sur la place, parce qu’on a vraisemblablement voulu signifier la présence de la grande salle de la demeure, ou aula, au deuxième étage (cf photographie maison de Figeac).Les archives n’ont pour le moment pas livré le nom des commanditaires de ce bâtiment à Rodez. En revanche, leurs propriétaires à la fin du Moyen Age, les Masnau, sont bien connus. A la fin du XVe siècle, ils firent de cet édifice l’hôtellerie de la Fleur de Lys.
Retrouvez le service du patrimoine de Rodez agglomération (agenda, actualités, documentation etc.) sur notre site : www.patrimoine.rodezagglo.fr
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rodezaggloculture · 7 years
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Petite histoire de l'Auberge des Trois Mulets, rue Saint-Cyrice à Rodez
Le nom de l’auberge rappelle la place des chevaux et mulets utilisés encore jusquedans l’après-guerre dans le quartier. Le rez-de-chaussée, transformé aujourd’hui en garage, était dans les années 1970 en terre battue et pourvu de mangeoires. Cette maison du XVIe siècle se signale sur la rue par une tourelle en encorbellement abritant l’escalier à vis en pierre qui dessert les étages. Les belles cheminées en pierre aux piédroits ornés de volutes donnent un certain prestige aux intérieurs. Dans les années 1750, l’établissement était déjà une auberge tenue par les sieurs Richard et Lacombe. Quatre siècles plus tard, elle n’a pas changé d’activité et la restauration est assurée depuis plus de 40 ans par la famille Loustalet.
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