Tumgik
#pierre gentillet
basilepesso · 1 year
Text
Ce chiffre n'a absolument aucun sens et Pierre a suffisamment de qualité pour dire toute la vérité. La plupart des crimes et délits en France sont commis par des descendants d’immigrés, les récents (depuis 2 014) migrants  (donc étrangers) se sont greffés à cette barbarie. Il faut systématiquement détailler, selon des bases raciales et de "genre". Je l'ai encore dit hier dans mon texte sur l’égorgement d'une femme trentenaire à Bruxelles, mais le canevas est le même partout en Europe voire en Occident (avec des variantes) : hommes descendants d'immigrés, arabes, noirs et pakistanais (ce 3e point, en Grande-Bretagne). Basile Pesso, 10 avril 2 023 (Fb) avec extrait vidéo (CNews) de Pierre Gentillet “Marseille est l’écurie d’Augias de l’insécurité en France depuis des décennies. Ce problème est insoluble notamment car personne ne veut voir le lien entre immigration et insécurité. Pourtant selon le Ministre de l’Intérieur 55% des délits sont commis par des étrangers !"
(Pierre Gentillet)
0 notes
jloisse · 2 years
Text
🇨🇵 🎥 «C'est inaudible de dire que nous allons travailler deux ans de plus alors qu'on a jeté l'argent par les fenêtres pendant deux ans», Pierre Gentillet dans Midi News
9 notes · View notes
yespat49 · 11 months
Text
Arras, Paty, Bruxelles : « Ce gouvernement est dans le déni migratoire ! »
Pierre Gentillet, avocat, et Jean-Yves le Gallou, président de Polémia, étaient réunis sur Radio Courtoisie pour évoquer l’incurie gouvernementale sur le sujet de l’immigration. Continue reading Untitled
youtube
View On WordPress
2 notes · View notes
lepartidelamort · 4 months
Text
« Pensées pour ces morts du 6 juin »
Tumblr media
Il se trouve que Pierre Gentillet a rappelé les évidences en citant De Gaulle.
Mais ce pauvre De Gaulle n’a jamais tiré les évidences de ses propres déclarations.
 » Le débarquement du 6 juin, ç’a été l’affaire des Anglo-Saxons, d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi !
Comme ils venaient de le faire en Italie et comme ils s’apprêtaient à le faire en Allemagne ! Ils avaient préparé leur AMGOT, qui devait gouverner souverainement la France à mesure de l’avance de leurs armées. Ils avaient imprimé leur fausse monnaie, qui aurait eu cours forcé. Ils se seraient conduits en pays conquis.
C’est exactement ce qui se serait passé si je n’avais pas imposé, oui imposé, mes commissaires de la République, mes préfets, mes sous- préfets, mes comités de libération ! Et vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il était le prélude à une seconde occupation du pays ?
Non, non, ne comptez pas sur moi ! Je veux bien que les choses se passent gracieusement, mais ma place n’est pas là ! »
A.Peyrefitte « C’était de Gaulle » – tome II – chapitre 14. 
Tumblr media
De Gaulle était un con.
Un con et un rusé.
Con énorme et désuet parce que médusé, interrogatif devant la puissance américaine, gigantesque, boulimique. Débris d’un naufrage d’un autre siècle, gargouille disloquée. Un croque-mort aux pattes d’araignée qui danse sur un violon.
Tumblr media
Rusé, parce que cette immense masse américaine, stupide comme une tumeur, allait à tâtons, sans science, sans vision. Ça pouvait se manoeuvrer, cette guimauve, comme les juifs la manœuvraient déjà. De Gaulle, remonté à grand peine sur la vieille mule française, allant cahin-caha, avait ses vieux tours en manche sous ses grands airs de vieille putain fatiguée.
Et il nous a flanqué sa république sur le dos, avec toute la lourdeur de ses juifs.
De Gaulle était un con réellement fantastique, qui s’ignore par définition.
Que croyait-il ?  Qu’on devait quelque chose à Jeanne d’Arc du côté de Washington ?
Oui !
De Gaulle le détraqué. Un fou qui a sauvé les meubles de la bourgeoisie française qui l’a dégagé comme il se devait, en temps et en heure, car, elle, n’était pas folle. Il s’est fait mijoter à feu doux, le De Gaulle, comme un bleu.
Et justement, depuis l’Amérique, l’hyper débarquement youtre, c’est du Hollywood.
Ils sont fermement aux commandes.
Tumblr media
Propre, net, bien cadré. Ce n’est pas au vieux singe juif qu’on apprend à extorquer les émotions du goy.
Marvel !
Tumblr media
Je souffre.
Tumblr media
Pendant ce temps-là, quelque part, les vioques n’en finissent pas de déconner.
Débarquement, Lourdes, Jeux Olympiques. Ça fait une sortie.
Tumblr media
Cette nouvelle guerre mondiale, je le confesse, je la désire de plus en plus.
Je veux ensevelir les vieux sous des montagnes de béton fondu, d’EHPAD éboulés.
Voir se faire éclater la panse de tous les résistants par procuration nés en 1978.
Leurs clébards aussi.
Elle me fait du charme, elle me séduit, meurtrière, cette guerre. Elle me tente. Je lui présente mes candidatures, très folichonnes, de belles salopes à faire canner en ligne. Et puisqu’on y vient – et quoique je ferais bien tuer d’abord et avant tout, de premier ordre, des inconnus complets qui osent se montrer à une commémoration républicaine, à une brocante à migrants – j’ai mes têtes.
Quelle liste !
Des notables, des tronches impossibles, des préfets en chapelet de saucisses, des truies odieuses du journalisme, et tellement d’autres profiteroles sur mon gâteau au souffre.
Puisque nous en sommes dans le registre 2GM, et des quarts de célébrités, Rougeyron (re)mérite d’être (encore) bollossé (par l’extrême-gauche).
Enterré vif, un gode dans le cul, tricolore, avec la tête de Gaulle en guise de gland.
« Les porcs qu’on abat », ça serait le nom du livre.
Tumblr media
La Russie est si lointaine que j’en souffre,
Ou plutôt ses missiles,
Missiles de Russie, où êtes-vous ? Je languis,
Votre givre et vos flammes me tardent,
N’avez-vous point une âme à flétrir,
Pour plaire à votre barde,
Je m’en irai cueillir le gui,
Et de chiens remplir le fournil,
Moyennant bois et souffre,
Qu’à éclater d’épaisses boîtes crâniennes, je me hasarde.
Démocratie Participative
0 notes
eric2ews · 1 year
Video
youtube
L'heure libre avec Michel Onfray et Pierre Gentillet : émission sur le r...
0 notes
jakez19 · 1 year
Text
0 notes
mongolitofragola · 1 year
Text
Regardez "[GRAND ENTRETIEN] Pierre GENTILLET - COVID-19, JUGES et SYNDICATS | Dans votre salon #30" sur YouTube
youtube
0 notes
memitodu29 · 2 years
Video
L'analyse fabuleuse de Pierre Gentillet sur la guerre en Ukraine et son ...
0 notes
andrioucha · 3 years
Text
« Nous n’obéissons plus au droit parce qu’il est juste mais parce que nous avons peur de la sanction. » Pierre Gentillet
« L’obéissance a toujours été plus dangereuse que la désobéissance civile. » Sonia Delahaigue
3 notes · View notes
Text
Dimanche 29 mars 2020
Entre deux migraines, je relis mon œuvre d’hier, et je le dis en toute humilité : j’ai du mal à me remettre d’être parvenue à tisser une prose aussi époustouflante.
Je commence à recevoir un certain nombre de messages d’encouragement. Des gens du commun m’apportent leur témoignage d’un peu partout en France.
Il y a Robert, qui a lancé un blog il y a une quinzaine de jours, “comme vous, Madame de Saint Léger”. Comme il est touchant. Depuis son deux-pièces au premier étage dans un immeuble de Clichy qui en compte vingt-trois, tous les midis, ce sympathique père de famille tend le bras par la fenêtre, son téléphone en main, pour prendre une photo du ciel et “voir le temps qu’il fait”. Puis il poste la photo en ligne, carré de ciel bleu, gris, ou nuageux, encadré par le haut des immeubles qui délimitent la cour intérieure sur laquelle donnent ses fenêtres. Il y aurait toute une réflexion artistique à formuler autour de ce passe-temps gentillet. C’est d’autant plus beau qu’il ne le sait pas, comme une femme est d’autant plus belle lorsqu’elle l’est sans le savoir.
Il y a Gaëlle, confinée avec son époux et ses deux enfants, qui rêve depuis des années de prendre un congé sabbatique pour écrire des thrillers. L’entreprise pour laquelle elle et son mari travaillent a mis tout son personnel au chômage technique. La journée, Gaëlle s’occupe des enfants, des repas, de l’entretien de la maison, et du jardin. Le soir, alors que son rêve de congé sabbatique s’est pourtant réalisé, elle se retrouve coincée devant une page blanche, comme hébétée. “C’est comme si j’étais vidée”. Son époux, lui, s’est lancé dans la conception d’une bande dessinée, et son projet avance à vive allure. Sans doute que lui a su lâcher prise sur certaines choses. “Pendant que je m’occupe de l’intendance, il passe toutes ses journées, du matin au soir, avec ses crayons, son aquarelle et son papier Canson,” m’écrit-elle. La fierté qu’elle éprouve à l’égard de son petit mari me réchauffe le cœur.
Je reçois beaucoup de messages de personnes aspirant à devenir écrivain. Kevin, ouvrier d’une usine elle aussi au chômage technique, constate que le roman qu’il a dans la tête depuis trois ans au moindre détail près ne s’écrit pas aussi facilement qu’il l’aurait cru. À la lecture de sa prose naïve, je constate avec attendrissement qu’elle ne comporte pas la moindre faute de français. Les correcteurs automatiques sont aujourd’hui d’une efficacité terrifiante. Kevin me raconte qu’il ne parvient à griffonner sur son brouillon que des scènes ratées et des sentiments confus.
Eh bien oui.
C’est un métier.
Mais c’est avant tout un don.
Une certaine Lola m’a demandé de façon très laconique: “C’est du second degré ?!” – sans Bonjour, ni Merci, ni Au revoir. Je ne sais pas à quel passage précis elle fait référence, mais oui, bien sûr qu’il m’arrive de faire du second degré. Je me love et m’épanouis dans tous les registres et dans tous les styles possibles. Je suis un animal littéraire ! Et même si je goûte généralement peu le sarcasme – trop d’agressivité passive – je sais parfaitement être dans l’auto-dérision.
J’accueille tous ces messages de sympathie et d’admiration avec beaucoup de gratitude et d’humilité, alors qu’au dehors, le vent souffle de toutes ses forces. En haut de la colline de Trouville, le vieux manoir tremble et les courants d’air remuent la poussière. Confinée dans ma chambre au second étage, avec pour seule distraction quelques rares visites de Dolores, il m’arrive d’aller contempler par la fenêtre la vue sur le jardin et sur la mer. Comme Robert avec son smartphone brandi au bout de son bras tendu au milieu des édifices, je cherche parmi les nuages gris un petit coin de ciel bleu.
Un coup de fatigue. Je vais m’allonger quelques minutes. Coup de fil à Dolores : je veux qu’elle me passe Édouard.
– Mais il est en plein cours de chinois sur Skype avec son professeur ! me répond-elle dans un parler indistinct.
– Le chinois attendra.
Je l’entends qui explique à mon fils que sa maman veut lui parler. Il râle un instant parce qu’il aime bien faire le grand.
– Oui, Maman ?
– Ça va mon chaton ? Je voulais simplement entendre le son de ta voix.
– Oui oui, ça va. Tu t’ennuies ?
– Non, tu sais. J’apprécie beaucoup ma propre compagnie.
– J’ai cours avec Qiang, là. Tu veux que je te passe Henri ?
– Non non, repasse le portable à Dolores, mon grand. Bon cours.
Je raccroche, un sourire serein sur les lèvres. Henri est trop petit pour parler au téléphone, ça prend toujours des heures. Je l’entends qui pleure en bas. J’espère qu’il ne s’est pas fait mal.
Je reprends mon téléphone et je vais me promener un instant dans le ventre de la bête immonde de notre époque, grande moissonneuse-batteuse des intellects, grande messe bruyante de la pensée unique, à laquelle je participe à mon corps défendant, par pure nécessité. Effleurement de l’icône bleue et blanche, et la vie, les visages et les lectures de mes amis s’étalent sous mes yeux.
Facebook.
Tout cela me met très mal à l’aise. J’ai du mal à comprendre que l’on puisse exposer ainsi sa vie privée.
Tiens, la publication que j’ai postée hier pour annoncer que j’étais atteinte du Covid-19 compte trente-six nouveaux likes, et douze nouveaux commentaires. Je ne peux m’empêcher de remarquer que Claire, avec la video de son fils qui joue à l’aventurier sur le canapé de leur salon, n’a fait que six likes.
Je suis rassurée de voir que les gens préfèrent encore les mots vrais aux vidéos anesthésiantes.
Je like à mon tour les commentaires qui m’ont été laissés, mais je n’y réponds pas. Je posterai un merci général si jamais je m’en sors.
Je continue de descendre. Mon ami Pierre-Henri a posté une video de son chat qui a dépassé les trois mille vues. Comme les gens doivent s’ennuyer ! Cela me dépasse. Cette période de confinement, c’est l’occasion rêvée de faire tout ce que l’on persiste à remettre au lendemain, ou, comme Kevin et Gaëlle, de s’essayer à un nouveau hobby !
Quelle idée bizarre, tout de même, de perdre ce temps si précieux, ce bien insaisissable dont nous ne disposons qu’en quantité finie, pour regarder un chat donner des petits coups de patte dans une araignée de jardin. Et puis cette video est mal filmée, tout y est flou, et il ne se passe rien d’incroyable à la fin.
À l’idée que tant de personnes puissent préférer cela à n’importe quelle saine lecture, je suis envahie d’un pessimisme glaçant.
Je pose mon téléphone, étourdie d’angoisse.
Je bois une gorgée d’eau.
Je respire.
Pourquoi mes contemporains courent-ils en permanence derrière le divertissement le plus criard et le plus bruyant possible ? Pour ma part, je suis plutôt d’un naturel contemplatif. Paresseuse contrariée qui trouve somme toute une certaine satisfaction à ce confinement. S’il n’était pas une telle source d’anxiété, je crois bien que je pourrais m’y faire, à cette dolce vita, cette douce vie où l’on peut se laisser aller à regarder les journées passer.  À observer les variations infimes de la lumière sur le vert mouvant des feuilles, tout en entendant au loin les rires des enfants.
Temps propices à la création.
Et si cette crise nous amenait à repenser le monde différemment ? À repenser nos vies pour les ramener à l’essentiel ?
Je pense à tout ce qu’il y a de vraiment indispensable dans mon existence, en dehors de l’écriture.
Respirer.
Lire les grands classiques littéraires, et quelques écrivains contemporains.
Manger correctement.
Passer des moments privilégiés avec mes enfants, sans avoir à me soucier des basses questions logistiques.
Le violon.
Victor.
Je me rends compte que mis à part le violon, pauvre ami fidèle resté à Paris pour garder la maison, j’ai là tout ce qu’il me faut vraiment, et même plus – j’ai également un jardin, la présence rassurante de mes parents, et mille et une autres petites choses.
Mais à bien y réfléchir, en faisant un petit effort, nous pourrions, tous, nous contenter de peu.
Je rappelle Dolores au téléphone pour qu’elle nous prépare pour le dîner des bouchées de lotte au pamplemousse et au safran et une pavlova à la poire et aux amandes.
Des aliments sains et bons.
Des choses simples. Surtout ne jamais passer à côté.
—Ludivine de Saint Léger
4 notes · View notes
basilepesso · 2 years
Text
Un des meilleurs, apparus comme je le disais récemment (Fb) depuis peu, à la faveur de la crise sanitaire en tant qu'avocat. Il expose ici un discours révolutionnaire en parlant de "prise de pouvoir par une jeunesse éveillée" sur les boomers et leurs descendants, dont ceux qu'il appelle les "boomers mentaux" et qui sont les Sections Sucrées définies il y a vingt ans par Philippe Muray. En cela il est un des seuls à rejoindre les analyses que je fais sur ces points depuis quasiment dix ans. Avec Gentillet, qui ne l'est pas, c'est la Révolution qui s'est invitée sur les plateaux télé, avec une stratégie d'avocat qui met le barreau. Basile Pesso, 4 février 2 023, 1e diffusion hier (Fb) avec Vidéo de 2 minutes de Pierre Gentillet
0 notes
jloisse · 2 years
Text
"Noel est une fête chrétienne et non une fête de la consommation."
Pierre Gentillet
11 notes · View notes
yespat49 · 4 months
Text
Aide juridictionnelle pour les étrangers : qu’est-ce qui change ?
Le Conseil vient de censurer la loi de 1991, qui ne réservait le bénéfice de l’aide juridictionnelle qu’aux étrangers en situation régulière. À compter de ce mardi 28 mai, tous les étrangers clandestins y auront droit. Voici quelques éléments d’analyse de cette décision par Pierre Gentillet, avocat et chroniqueur sur CNews, partagés sur son compte Twitter. Aide juridictionnelle : quel était…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
freddyliberalyoga · 3 years
Link
0 notes
jakez19 · 2 years
Text
0 notes
mrtorchon · 8 years
Quote
PierreGentillet a tweeté @Annalyna__ @AlexandreMOUSTA @Jackeraser2 L'arabie Saoudite, le Qatar oui. L'Iran, le Hezbollah non. :) :) :)— Pierre Gentillet (@PierreGentillet) January 13, 2017
http://twitter.com/PierreGentillet/status/819902863350657025
0 notes