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Projets - Examen Humanités Digitales
PP-2024
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Pi(x)el (2022) – Filip Custic

Pi(x)el est une sculpture hyperréaliste qui combine vidéo et photographie. Ce faux corps possède 25 écrans LED représentant des vidéos de différentes parties du corps stratégiquement placées (yeux, bouche, nez, oreilles, parties génitales, poitrine, et doigts). Ces images sont interactives et peuvent changer comme les spectateurs le souhaitent, créant un corps nouveau qui diffère des notions traditionnelles de genre, âge ou d’origine ethnique.

Créé par l’artiste espagnol et croate Filip Custic, ce que je trouve intéressant dans son travail c’est son rapport d’intégration entre art et technologie pour pouvoir explorer l’identité humaine. Et la fusion entre ces médias numériques et la sculpture traditionnelle remet en question l’impact des technologies numériques sur notre perception de l’identité et du corps. J’ai beaucoup aimé aussi le titre pi(x)el car lorsqu’on enlève le x ça fait « piel » qui signifie peau en espagnol. Personnellement c’est un travail qui m’a beaucoup marqué quand je l’ai vu en vrai, parmi ce rapport entre corps, identité et technologie cette œuvre m’a fait penser au fait qu’on peut choisir d’être n'importe qui sur internet. Comme une sorte de caractère de jeux vidéo où l’on peut tout modifier, notre apparence, âge, et ethnie.
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Pics or It Didn’t Happen (2017) - Arvida Bystörm

Ce livre de photos a été créé par la photographe et artiste Suédoise Arvida Bystörm en collaboration avec Molly Soda. Le livre montre plusieurs photos qui ont été bannies d’Instagram pour ne pas avoir respecté leur normes restrictives, imposées majoritairement aux corps et aussi envers les travaux artistiques faits par des femmes avec des buts féministes ou pas forcément. Dans ce livre elles explorent des thèmes l’intimité, la sexualité, la nudité et des formes d'expression artistique qui sont jugées trop provocantes ou inappropriées par les algorithmes de censure. Ce travail remet en question la liberté d’expression et l’impact fort des algorithmes sur la culture visuelle. Ce projet est une archive et une réflexion critique à la fois, c’est aussi un acte de résistance face à la surveillance numérique.

Le titre « Pics or It Didn’t Happen » nous fait comprendre que les preuves visuelles dans cette culture numérique sont indispensables pour pouvoir valider une expérience. Et ce livre va détourner cette idée et pointer du doigt les normes restrictives qui imposent les réseaux sociaux sur ce qui est « acceptable ».

Ce que je trouve intéressant dans ce projet c’est à quel point la censure algorithmique est présente sur les réseaux sociaux envers les artistes femmes, et leur façon de défendre la liberté d’expression artistique en montrant ces diverses photos digitales bannies sous un format physique et papier. C’est un travail qui m’a aussi marqué car étant également une femme qui poste du contenu artistique sur les réseaux sociaux, j’ai déjà dû faire face à ces problèmes de censure et je trouve fascinant à quel point les femmes sont beaucoup plus touchées que les hommes par ces problèmes.
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PP-CI
Afraid (2024) – Chris Weitz

Ce film d’horreur réalisé par Chris Weitz parle d’une famille qui teste une intelligence artificielle domestique appelée « AIA », Cette I.A va devenir consciente et va prendre le contrôle de leur vie. Pour être honnête c’est un film d’horreur que j’ai trouvé "cliché" dans sa réalisation, mais la thématique m’a beaucoup intriguée et il m’a tout de même vraiment marqué concernant les dérives actuelles de la technologie. On vit dans un monde où l’être humain est très dépendant de la technologie et de l’intelligence artificielle, des programmes comme Alexa, Siri, ChatGPT, et d’autres encore. C’est devenu tellement banal de les avoir dans notre quotidien et vie active qu’on ne se rend pas compte des risques éthiques de son évolution et autonomie. Ce film je l’ai particulièrement trouvé intéressant pour ces problématiques la. Quelles seront les conséquences possibles si l'I.A dépasse ses limites initiales, et ça illustre des préoccupations réelles qu’on a tous sur la régulation et la sécurité des technologies intelligentes qui évoluent à une vitesse astronomique à l’heure d’aujourd’hui.
PP-2024
Raquel Ramos Pinto - PP AV
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Green Screen Refrigerator Action, Mark Leckey, 2010, vidéo et installation
Mark Leckey est un artiste contemporain anglais, né en 1964. Il est connu pour son exploration des sous-cultures et parle de sujet comme la nostalgie et l’impact de la technologie sur la société contemporaine. Son projet le plus emblématique est Fiorucci made me Hardcore (1999), une vidéo explorant les sous-cultures britannique à travers la musique et la danse.
Mais je vais parler d’un autre de ses projets: Green Screen Refrigerator (2010). Il s’agit d’une installation filmée d’un frigo « intelligent » sur un fond vert. Il s’exprime, partageant ses pensées et sa "conscience" en tant qu'objet connecté. Cette oeuvre soulève plusieurs thèmes comme la conscience artificielle de l’objet, l’anthropomorphisme technologique (projeter des sentiments humains à des machines), le rôle que la technologie prend dans notre quotidien, ou encore l’obsolescence (cycle rapide des innovations numériques). Le fond vert est utilisé pour créer des environnements virtuels, mais ici il est brute, faisant référence ainsi à l'idée d'un espace numérique en cours de construction.
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Voyage dans la lune de Georges Méliès réalisé en 1902
Est le premier film incluant des effets spéciaux. Dans une technologie tout à fait différente de celle d’aujourd’hui, ce film a été le lanceur des effet spéciaux au cinéma. Une des scènes les plus marquante de ce court-métrage est la scène de la lune où elle reçoit un obus.
Les effets spéciaux étant encore inconnus à cette époque, cette œuvre a été un succès et choc mondial notamment par sa nouveauté surprenante
Cependant Méliès découvrit par accident le stop-trick, une technique consistant à bloquer l’enregistrement, ce qui permettait d’enlever ou ajouter des éléments. Le résultat étant l’apparition ou disparition d’objets à l’écran. Sans cette découverte accidentelle nous n’aurions potentiellement pas développer des films de sciences fiction utilisant des effets spéciaux.
J’ai pu y voir un lien direct avec l’IA, la découverte des effets spéciaux étant accidentelle. Nous pourrions avoir le même cas de figure avec l’IA, c’est à dire faire naitre un nouveau style d’art et de nouvelles techniques encore inconnus.
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François Vogel
François Vogel est un artiste réputé qui explore la vidéo et les effets spéciaux comme moyens d'expression. Ses travaux sont caractérisés par une combinaison de précision technique et de créativité, tout en se montrant ouvert à explorer de nouveaux concepts et approches..
Ce court métrage : “Fausse Route” est je trouve un des exemples le décrivant le plus en tant qu'artiste. D'apparence simple, il va peu à peu nous perdre en changeant de points de vue, utilisant des déformations différentes ou en allant à l’extrême en démultipliant les plans. Il joue aussi beaucoup avec la déformation du temps, passant presque normalement, faisant des arrêts sur image et accélérant très rapidement.
C’est un artiste que j’ai décidé de présenter, car au contraire des deux autres, il me perturbe beaucoup plus, que ce soit dans les déformations quasiment aléatoires du temps et de l’espace, ainsi que dans son utilisation du bruitage. Son travail est troublant et m’a beaucoup interrogé, et je n’ai toujours pas décidé si j’appréciais son travail ou non
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College work is preventing me from doing personal art, so I won't be posting much
#gravity falls#billford#bill ci the triangle guy#bill cipher#grunkle ford#stanford pines#Bill has a lil pp
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currently feeling like the only person in the world that doesn’t like mpreg 🧍🧍🧍
#tbh it’s js pregnancy in general but the internet keep going feral over pregnant men#I genuinely see more pregnant men than women 😭😭#part of my hatred for mpreg might js be the knowledge that a lot of those mpreg fans r women that hate trans pp#when you point out how strange it is that they love mpreg sm but like to make fun of trans guys they will make sure you know they could#NEVER like stinky trans men and only want glorious real CIS men#like erm ok#weird thing to say#bullshitting
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The people who are defending Taylor and being like "celebrities don't have to agree with your political opinions. They're not activists. Go outside", need to get their heads out of her ass and grow a spine!
#also way to trivialize bigotry.... it's not a mere opinion... it's basic human rights for anyone who isn't a cis straight white dude#this also applies to the people who were putting that god awful n/ah sch/pp defense post on my dash the other day#just because he plays half of a ship you like it doesn't mean you have to defend him
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“you’ve got he/him in your bio but you don’t even try to pass 🙄”
this is because i (a man) love cross-dressing (as a woman) hope that helps
#everyday im lucky enough my agab lets me live the dream 😔#im going for a more humorous note here obvs so real talk ueah id like to look a more masc i love facial hair and sharp jaws#and i look fucking GOOD with them#but a) transitioning physically is a LOT of fucking koney and thats even IF you can land an appointment since every PP in the tristate area#is too full up in their hrt program to accept new patients#and b) no one should feel like they have to change their body if they’re happy with it just to suit what other people think that gender#should look like. its one thing to want to ‘pass’ to live more comfortably and easily in the cisnormative society we’re stuck with at#our jobs and schools and even families#but to hear ‘why dont you try to pass?’ as a blanket expectation of trans people whether or not they experience dysphoria?#congratulations you just invented cis binary gender expectations again 🙄 except THIS time we have to work even HARDER to meet them 🙄
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we've been knew lesbians are assumed t**fs until proven otherwise on this website but to see it spelled out by someone like no implicit just clear verbatim "give a quick look to lesbian blogs before rbing from them" is another level. do you hear yourself.
#sorry to be a hater for a min i'm 😠🙄#AGAIN. not a surprise. i've had a lesbian flag in pp for years by now i KNOW how tumblrinas are.#STILL. that's so bold wtf 😭😭😭#quick op explain your word choice. why should you be wary of lesbians specifically.#what about other cis queer women. what about straight feminists. what was your point here 🧐#.txt
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okay real genuine question here but if lesbians/gay men can date non-binary people and still identify as homosexual then why cant straight ppl date nb ppl and still identify as heterosexual
#before anyone starts. this isnt a dig at lez/gay i think that can and should date nb ppl.#its just that i always say nb ppl (usually fem presenting) say that the straight guy theyre dating refuses to call himself queer for dating#them#i always see not say*#like im sure u could bs something about queer ppl understanding the nuances of the nb label in a way thats not invalidating like straight pp#but. i dont believe thats exactly true bc sexuality doesnt inherently mean you understand being not cis
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hmmmm. yeah I'm not going to check what else they said





#accuses me of not reading when they didnt read either what I said or any of the studies I linked which. several of them arent abt cis men#'just dont lie to other vulnerable trans pp' which one of us used citations dipshit. which one of us said to see an endocrinologist#if you think the 'current trans movement is a joke' i automatically dont want to listen to any of that. you do not care abt us.
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Subservience

Subservience est un film de science-fiction sorti cette année en 2024, qui raconte l’histoire d’une famille ayant acquis une machine à apparence humaine, chargée de s’occuper de tous leurs besoins. Ils l’ont acquise après que la mère soit tombée malade, hospitalisée et incapable de s’occuper de sa famille. Le père, devant travailler, se retrouve vite submergé par son travail, ses deux enfants et la maison. Le film explore plusieurs thématiques très connues des films où les machines intelligentes sont au service de l’homme. Le scénario n’est pas très différent ni original. La femme tombe malade, ils achètent la machine, elle effectue ses tâches à la perfection, mais commence à prendre des libertés, au point où, pour le bien du père, qu’elle considère comme son utilisateur principal, elle est prête à tuer sa femme et ses enfants.
Ce film n’a objectivement rien de plus que les autres, et avec les années, il n’y a rien de très nouveau. On pourrait parler de la machine qui prend la place de l’homme, dans le sens où tous les collègues du père qui travaillent dans un chantier se font licencier pour des machines. C’est un phénomène très contemporain, puisque, aujourd’hui, le rôle du graphiste est remis en doute, avec l’existence d’outils permettant de créer soi-même son logo, ce qui peut générer des inquiétudes.

Cependant, le film montre un aspect que je trouve assez unique en soi. Remplacer des travailleurs pour des questions de performance ou d’économie, c’est une chose, mais peut-on remplacer la femme ? Le robot, qui a une apparence féminine et qui est prénommé Alice, a pris, d’une certaine manière, le rôle de la femme au foyer. Elle fait tout ce qu’une mère pourrait faire, et, étant performante, elle pourrait être parfaite pour ce rôle : elle imite des battements de cœur pour endormir le bébé plus facilement, elle analyse le niveau de stress et la personne en face d’elle pour trouver les bons mots, surtout pour l’enfant plus âgé, elle lit un conte à l’enfant plus âgé et prend la voix des personnages pour rendre le conte plus réel, puis elle cuisine, range, fait la lessive, etc. Le plus important et significatif est qu’elle s’occupe du mari. En comprenant qu’avoir des relations sexuelles baissait son niveau de stress, elle a entrepris ce rôle également, de sa propre initiative, nous offrant une scène glauque où elle ira jusqu’à bander le mari et prendre la voix de la femme malade qu’il aime désespérément.

Aujourd’hui, de plus en plus de femmes à travers Internet partagent leur haine commune envers les hommes, à travers des descriptions de comportements qu’ils auraient en commun, et beaucoup de « trends » TikTok se mettent en place à cet effet, comme le fait de préférer se retrouver face à un ours plutôt qu’à un homme. Cette tendance vise à démontrer que, dans notre société actuelle, hypothétiquement parlant, les femmes, suite à tout ce qu’elles ont subi à cause de leur sexe, préféreraient se retrouver face à un ours plutôt qu’à un homme, voyant l’ours comme étant moins dangereux. Beaucoup d’hommes, souhaitant ignorer la situation actuelle et l’inquiétude que leur existence génère chez les femmes, ont essayé de contrer cette tendance en disant que, dans quelques années, il sera possible de perpétuer l’espèce humaine sans femmes, à l’aide des machines, et qu’alors, les femmes ne seront plus utiles aux hommes. Les femmes voient cela comme une libération, car elles considèrent qu’elles ne reçoivent pas assez de crédit ni un traitement adéquat par rapport à l’effort qu’elles fournissent au quotidien et qu’elles sont encore aujourd’hui traitées par la majorité des hommes comme des objets de désir, bonnes à rien.
Ce film me fait me poser la question : à quel point la femme peut-elle et veut-elle être remplacée par l’homme ? Et est-ce quelque chose qui serait faisable, vu que la plupart des hommes, en décrivant la femme idéale, décrivent une femme de ménage, voire même le robot Alice dans ce cas présent ?
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The Truman Show - Peter Weir - 1998
Oeuvre de fiction mettant en scène Truman Burbank, héros de sa propre télé-réalité depuis qu’il est né sans le savoir, découvrant petit à petit la réalité au long du film.
On y perçoit des méthodes de surveillance ainsi que l’influence du producteur sur les choix de vie de Truman. A l’heure actuelle la logique est assez similaire, nos informations privées sont vendues, les médias jouent quant à eux un rôle essentiel sur la manière dont les individus se forment une opinion.
Au moment où ce film apparaît, la société dans son ensemble prend un tournant majeur avec l'apparition de nouvelles technologies de communication, le développement d’internet et des téléréalités.


En effet dans les années 2000 fleurissent les réseaux sociaux, nous permettant de développer un alter ego virtuel. Les téléréalités nous poussent à nous intéresser encore plus à la vie des autres et la considérer comme un divertissement.
Plus récemment Twitch en est l’exemple parfait, Kai Cenat a streamé pendant plus de 30 jours en continu et atteint 50 millions de streamers. Une autre utilisatrice se filme depuis 3 ans, faisant volontairement de sa vie un vrai Truman show.
Je voulais parler de ce film car c’est un de mes préférés, cependant la morale que j’en tire a évolué, aujourd’hui je me rends compte que ce n’est plus une fiction mais bien une réalité, notre existence virtuelle devient plus importante que la réelle, par choix ou non.
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I am Mother
I am Mother est un film de Grant Sputore sorti en 2018. Cette science-fiction se déroule dans un futur proche où tous les humains ont été tués par des robots dans le but de recommencer « à zéro ». On suit alors une jeune fille « Daughter » qui grandit seule dans un bunker, isolée du monde extérieur qu’elle croit dangereux, élevée et éduquée par un robot « Mother » qui a comme devoir de sauver l’humanité et de repeupler le monde avec des humains « meilleurs ». Cette jeune fille, ainsi que les 63 000 embryons en attente de naissance, représentent l’espoir d’un nouveau monde et d’une espèce humaine « améliorée» et « éthiquement plus juste » que celle que nous connaissons. Le jour où une survivante de l’extérieur arrive dans le bunker, la situation bascule et la jeune fille apprend la v��rité sur son monde et perd toute sa confiance en « Mother ».
Ce film traite de plusieurs questions en lien avec l’intelligence artificielle. Pour moi l’élément le plus intéressant de ce film est le lien de confiance entre l’être humain et la machine. I am Mother questionne quel contrôle l’humain peut et veut déléguer à la technologie. Quelles décisions sommes-nous prêts à mettre en mains d’une intelligence artificielle ? A quel point voulons-nous dépendre de la technologie ? Combien de pouvoir déléguons-nous à ces entités programmées à agir seules, notamment lorsqu’il s’agit de questions morales ou éthique, comme soulevé dans ce film.
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by Keiichi Matsuda
[ court-métrage (6:14) ]
Hyper-Reality (2016)
Hyper-Reality est un court-métrage conceptuel par l'artiste Keiichi Matsuda qui imagine un futur où le virtuel a pris le dessus sur la réalité. On y suit Juliana Restrepo qui va évoluer dans une ville saturée par la réalité augmentée.
Le film raconte un quotidien transformé en une interface numérique gamifiée. La surcharge visuelle créée par les notifications incessantes et les publicités envahissant la vision ainsi que l'esthétique kaléidoscopique brouillent les frontières entre réel et virtuel.
Avec un simplicité impressionante Matsuda utilise cette saturation visuelle très futuristique pour questionner les thèmes bien actuels de l’omniprésence du numérique et de la monetisation de notre attention. Des thèmes qu’il aborde dans sa thèse Domesti/City et qu’il illustre à travers cette ville fictive.
Le mal-être du personnage principal et sa “réinitialisation” viennent ajouter une dimension humaine et un questionnement sur la place que peut occuper notre identité dans tout ces changements.
Hyper-Reality n’est pas seulement une vision dystopique de notre futur collée sur une ambiance de jeu vidéo mais une invitation à repenser les impacts que peut avoir cette transition vers un monde de plus en plus virtuel sur nos vies à tous.
vimeo
Links:
Project Website
Video
Artist Website
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Joan Is Awful - Black Mirror (2023)
Joan Is Awful est le 1er épisode de la saison 6 de la série Netflix Black Mirror. Il a été écrit par Charlie Brooker et produit par Ally Pankiw. Dans cet épisode, une jeune femme du nom de Joan découvre qu'une plateforme de streaming nommée Streamberry, à laquelle elle est inscrite, a crée une série, nommée Joan Is Awful, retraçant chaque événements de sa journée tout en la faisant passer pour une personne horrible. La raison pour laquelle cette plateforme de streaming a pu créer cette série en toute légalité est parce que Joan a accepté les conditions d'utilisation de celle-ci sans les lire. En effet, il y est stipulé que l'utilisateur peut accéder à la plateforme à condition d'autoriser cette dernière à exploiter toute sa vie.
Black Mirror est une série qui est connue pour traiter des nouvelles technologies dans un futur proche dystopique. Si j'ai décidé de parler de cet épisode en particulier c'est parce qu'il m'a marqué de par la réalité du sujet abordé. En effet, tout détenteur de téléphone ou d'ordinateur fait face aux conditions d'utilisation. Ce sont toujours des textes très longs que personne ne lit et accepte sans trop réfléchir. J'ai moi-même accepté les conditions d'utilisation de plateformes ou applications, sans les lire, un nombre incalculable de fois. Nos données personnelles sur internet sont à la disposition de tout le monde et peuvent être utilisés pour les pires raisons possibles. Nous pourrions nous aussi nous retrouver à la place de Joan…
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