Tumgik
#première-trimestre 2020
photos-car · 8 months
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felixlajoie · 11 months
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Séance #8 L'avenir du magasinage en ligne
Fini l’époque où l’on devait se déplacer en magasin ou au centre d’achat afin de se procurer nos vêtements préférés ou encore le plus récent IPhone. Si certaines boutiques en payent les conséquences, d’autres pages web s’en réjouissent. De quelle manière est-ce que ces entreprises réussissent à faire des bénéfices? Plusieurs facteurs l’expliquent. Premièrement, l’émergence et l’accessibilité du web permettent aux utilisateurs de n’être qu’à un seul clic de distance avec le contenu disponible. C’est beaucoup plus facile pour un individu de rechercher ce qu’il l’intéresse sur le web en utilisant des mots précis et clairs plutôt que de se perdre dans différentes rangées d’une succursale, qui n’a parfois même pas ce que l’on recherche. D’ailleurs, se perdre sur le web n’est point une expérience désagréable. Au contraire, lorsqu’une personne se perd sur le web, elle découvre des items basés sur son algorithme, lui permettant ainsi de découvrir du nouveau contenu dont elle n’aurait peut-être jamais eu l’intention d’acheter, mais puisqu’elle y est maintenant exposée, tout est possible. Un autre facteur entre en ligne de compte, la pandémie. Lorsque la COVID-19 a frappé l’ensemble de la planète, les gens n’ont pas eu d’autres choix que de se tourner vers le commerce en ligne, car évidemment il fallait éviter les contacts humains. Avec le temps, cette habitude s’est imprégnée dans le quotidien de la population et a grandement augmenté la croissance de l’achat en ligne. Les boutiques virtuelles ont un avantage considérable sur les magasins, car ils n’ont pas besoin de main d’œuvre. Dans l’environnement où nous vivons, la pénurie d’employées est un réel enjeu. Le magasinage en ligne s’affiche comme une solution à ce problème. Quel est l’avenir pour cette facette de notre vie qui ne cesse de développer? C’est une question qui soulève beaucoup d’interrogations, mais chose certaine, beaucoup plus d’entreprises se tournent désormais vers Internet, afin de vendre de plus en plus de produits.  
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C'est officiel ! Les candidatures sont ouvertes pour la bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon. Radio France internationale (RFI) a annoncé mardi l’ouverture jusqu’au 25 août des candidatures pour la bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon. Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon : les candidatures sont ouvertes Paiement des bourses d’études du mois de Mars 2023 pour l’année universitaire 2022-2023 ‘’Cette année encore, les candidatures sont ouvertes aux 25 pays francophones du continent africain’’, précise-t-elle dans un communiqué de presse. Cette dixième édition ‘’s’adresse, cette année encore, à tous les jeunes journalistes et technicien(ne)s de reportage de moins de 35 ans ayant déjà travaillé dans le domaine de la radio pendant au moins deux ans’’. remboursement d'impots → A LIRE AUSSI  Moussa Bocar Thiam souligne l'urgence d’assainir le secteur des médias Les candidats doivent résider dans l’un des pays francophones suivants : Algérie, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Comores, Congo, Côte d’Ivoire, Djibouti, Gabon, Guinée, Madagascar, Mali, Maroc, Maurice, Mauritanie, Niger, République centrafricaine, République démocratique du Congo, Sénégal, Seychelles, Tchad, Togo, Tunisie et Rwanda. La ‘’Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon’’ célèbre cette année son dixième anniversaire à Abidjan  Offre Bourses Liste des grandes Entreprises Qui Recrutent au Sénégal - Offre Bourses Lancée en 2013, la ‘’Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon’’ célèbre cette année son dixième anniversaire à Abidjan (Côte d’Ivoire), en partenariat avec la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI). Les lauréats 2023 seront connus le 2 novembre prochain, au cours d’une cérémonie à laquelle participeront les gagnants des neuf dernières éditions. Ils bénéficieront ensuite d’une formation d’un mois à Paris (France) au cours du premier trimestre 2024. → A LIRE AUSSI  Des Sénégalais bénéficient d’une formation aux enquêtes chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires Les neuf premières éditions se sont tenues au Mali (2014), à Madagascar (2015), au Bénin (2016), au Sénégal (2017), en Côte d’Ivoire (2018), en République démocratique du Congo (2019), à distance en 2020 et 2021 (en raison des contraintes sanitaires) et à Dakar en 2022. Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon les candidatures sont ouvertes La ‘’Bourse Ghislaine Dupont et Claude Verlon’’ a été créée en hommage à ses deux reporteurs assassinés le 2 novembre 2013 à Kidal, dans le nord du Mali. Elle ‘’récompense chaque année un(e) jeune journaliste et un(e) jeune technicien(ne) africains’’.
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claudehenrion · 4 years
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N'ayez pas peur : c'est pour votre bien !
   Le grand Pape qu'a été Jean Paul II, sanctifié depuis, se serait-il lourdement trompé, lorsqu'il nous disait ’‘N'ayez pas peur !“ ? Ce qui s'est passé depuis la fin du premier trimestre de cette année 2020, qui devrait rester dans l'Histoire-à-venir comme un millésime excellent dans le pire (à condition qu'il existe encore une ’'Humanité”, au sens où ce mot a été utilisé, depuis le début de l'aventure de l'Homme sur la Terre) est très inquiétant. Vous souvenez-vous combien elle était douce à vivre et agréable à fréquenter, “notre” Terre, il y si peu de temps encore ? Je me suis un peu inspiré de loin d'une idée de Patti Tillis et Mark Sargent, “It’s just a mask”, pour revisiter avec vous notre Histoire récente… et celle à venir, bientôt .
  Car au fond, pour chacun d'entre nous, plus ou moins bien cocooné dans un fauteuil douillet, occupé à temps presque plein (faute de mieux) et avec plus ou moins de lassitude (après 7 mois) à regarder sur son récepteur-télé les informations auxquelles les “on” aux manettes ont décidé que nous pouvions avoir accès, on dirait qu'il ne se passe rien de significatif, en dehors du covid... en tout cas, rien qui vaille la peine de se faire du mouron, rien qui justifie qu'on s'y arrête et qu'on en parle entre nous. Tout va mal... mais on sent bien que le pire du pire est à venir !
   Je sais ! C’est un gag plus qu’un ‘’pire’’ : Macron a chopé le covid, et avec lui plein de ces gens qui se croient importants à force de “se la jouer”… ’'Moi, je le porte tout le temps !“, aimait-il à répéter geste à l’appui, démontrant ainsi de manière somptueuse que toute leur comédie rituelle soi-disant sanitaire et leurs ballets gestuels ne servent à rien ou peu s'en faut. Mais pour notre plus grand malheur, le ridicule ne tue plus, de nos jours !). ’'Moi, commente de son côté Ma'ame Michu, ça me ferait plutôt rigoler. Après tout, c'est normal que, masque pour masque, le leur ne soit pas meilleur que le mien. Tout ça, c'est une histoire de masques et compagnie”. Et de fait, en dernière analyse il se pourrait bien que ce soit le masque, ce maudit masque, qui soit le vrai “mètre étalon” de cette ‘’crise’’
  Retour sur images : en quelques mois, et à cause de ce satané masque, la France est devenue une caricature de pays socialiste dans lequel –comme dans feues les ’’soi-disant démocraties dites populaires’’ de sinistre mémoire– c'est le gouvernement qui décide ce qui est permis et ce qui est défendu. Par exemple... les grands événements, les commémorations, les messes et leurs équivalents dans les autres religions, les mariages, les enterrements, les examens scolaires , les spectacles, les restaurants entre amis et les matches de foot, tout ça est terminé, fini, déclaré “défendu” en 2 temps 3 mouvements, sans la moindre explication. Circulez... y a rien à voir. Et personne n'a protesté. Pas un mot. Rien.
  Les petites entreprises, les petits commerces, les indépendants (à domicile ou non), les voyages, Terminé, aussi… Et les plus ‘’riquiqui’’ des déplacements (aller acheter une baguette et un médicament vital ou faire le tour du pâté de maison ave Médor… il a été soumis à la formalité infamante dite de l’Ausweis ‘’dérogatoire’’, humiliation que jamais des citoyens de pays civilisés n'ont eu à subir en temps de paix : même les radars sont moins infantilisants. Et pourtant, à part quelques “barouds d'honneur”, vite maîtrisés par la fabrication, par les médias aux ordres, d'un sentiment (injustifié) de culpabilité et de responsabilité individuelle...   Personne n'a sérieusement protesté, terrorisé par des avalanches de messages indignes, affolants : côté “pile”, c'est la sinistre litanie quotidienne du non moins sinistre Salomon –mais quand va-t-il se taire, ce Philippulus de malheur !) et, côté “face”, c'est la rengaine  “c'est pour votre bien. Ce n'est qu'un masque après tout !”.
  Résumons : en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, le gouvernement a installé (durablement semblerait-il) un régime d'authentique terreur (à ceci près que celle-là, pour la première fois de l'Histoire, se nourrit elle-même d'elle-même, s'auto-justifie et s'auto-entretient) qui lui permet, ou va bientôt lui permettre de contrôler ce que vous faites, où vous allez, quand et pourquoi, ce que vous allez manger, qui vous voyez, et combien de rouleaux de papier-cul vous avez acheté. J'exagère à peine. Et le plus surprenant, dans cette histoire invraisemblable, est que les gens ne s'en étonnent même pas et qu'ils ne paniquent pas en voyant l'efficacité terrifiante de ce gouvernement à leur nuire. Au contraire, ils ont peur de leurs voisins, de leurs petits-enfants (ou de leurs grands-parents, relégués dans la cuisine –pour ceux qui ne sont pas en EHPAD, dans des antichambres de la mort par solitude, abandon, chagrin), et de ceux qui laissent traîner une narine dehors en mettant leur masque. Je vous avoue que, plus que par le covid, je suis littéralement terrifié par le fait que mes contemporains acceptent toutes ces horreurs (qui étaient impossibles, et inenvisageables, hier encore) sans se poser mille et une questions. 
  Car je vais vous raconter la suite : après le chapitre “Mais voyons, c'est juste un masque, trois fois rien”, voici venir le chapitre “Mais voyons,  c'est juste un vaccin. C'est pour vot’ bien, qu'on vous dit. Et ça ne sera pas obligatoire”, foi de “celui qui vous le dit”. Ce qui sera sans doute vrai…  jusqu'au jour où vous découvrirez que vous ne pouvez plus prendre l'avion, d'abord, puis le train, puis aller au cinéma ou au concert, puis entrer dans un supermarché, puis faire vos courses dans votre quartier… si vous ne montrez pas que vous l'avez bien subi, ce vaccin-pas-obligatoire-foi-d'animal. Vous n'y croyez pas ? Cela vous semble impossible ?  
   C’est que vous avez déjà oublié qu'il vous a fallu moins de 48 heures pour oublier toute votre vie passée, tout ce que vous aimiez, votre chère liberté durement conquise par vos aïeux, et que vous avez déjà donné à ce gouvernement un blanc-seing implicite pour limiter et contrôler vos aller-venues, l'emploi du temps de vos vacances, la scolarité de vos enfants, ce qu'il appelle “votre santé” , pour transformer nos villes en morgues peuplées de fantômes sans visages, sans expression, et qui s'évitent l'un l'autre comme des pestiférés, tout ça juste parce que des “on” anonymes et sans la moindre compétence ni le moindre droit, vous ont dit que c'était ça qu'il fallait faire. Au nom de quoi ne se sentiraient-il pas “autorisés” à répéter ses mêmes comportements, puisque vous n'y trouvez rien à redire ? J'entends déjà les béni oui-oui : “Dans d'autres pays, peut-être, mais ici, en France, dans la Patrie de la Liberté chérie, ce n'est pas possible…”. On se demande où les héritiers des sans culottes de 1789 et des grognards de la Grande Armée ont été dégoter une telle soumission masochiste devant l'inacceptable ?  
  Dans nos rues peuplées d'ombres furtives, anonymes et fuyantes, les fantômes qui vont et viennent avec une agitation revancharde ne sont déjà plus tout-à-fait des humains (pas encore des “cyborgs” –mais ça ne saurait tarder, partis comme on l'est), déjà plus “une foule”… à peine une juxtaposition de semi-robots qui se surveillent l'un l'autre en cherchant à dépister “l'ennemi”, celui qui n'obéit pas comme un zombie aux ordres venus d'un néo-iso-Big Brother élyséen. (NDLR : et que dire… des stades, des salles de sport et des enceintes autrefois dédiées aux joyeux cris de joie des “supporters” de deux équipes aujourd'hui réduites à leur Press-book et à leur dépôt de bilan… Que dire des stations de sport d'hiver silencieuses… des plages sans jolies filles qui exhibent leur ravissant bronzage devant des jeunes gens déjà conquis ? ). Avez-vous pensé qu'il vous est déjà interdit de lécher un riche “ice-cream à l'italienne” en flânant devant des boutiques pleines de “riens” d'un goût douteux pourtant si tentants, pendant les vacances ? 
   Mais tout cela n'est pas grave, en fin de compte : “Ce n'est qu'un masque, qu'un vaccin” (qu'on va vous injecter “SGDG”, ça c'est garanti !), qu'un petit geste de rien du tout pour une distanciation contre l'humanité… qu'un interdit de fêter Noël avec vos 5 enfants (puisque avec le Papa et la Maman ça ferait 7…). Quand je vous répète, depuis plus de 7 ans, que “la folie est sortie des asiles…”, vous voyez bien que c'est moi qui ai raison contre tous les mauvais génies qui ne nous veulent que du mal ! Jusqu'à quand ? Jusqu'oú ? Relisez-donc les “billets” de ces derniers jours sur le complotisme, et demandez-vous de quel côté sont la raison, la sagesse et la probabilité… et de quel côté le “n'importe quoi”, l'affolement, la contrainte et l'interdiction (pour ne pas rappeler une récente mise dans un hôpital psychiatrique)… Et qui des uns ou des autres, est dans le vrai… dans le ''moins faux''… ou dans l’irresponsabilité comme cette idée délirante de la députée UDI Valérie Six qui veut remettre à toute personne vaccinée covid 19, un “passeport vert pour retrouver une vie normale” (sic  !). Quant aux 60 % qui n'ont pas confiance en cette mascarade, notoirement pas assez testée… ils n'auront droit qu'à un moignon, un ersatz, un semblant de vie. Il y a des coups de pied qui se perdent, mais ça a l'avantage d'être clair : nous sommes dirigés par des tyranneaux putatifs, et cette majorité d’amateurs professionnels a des penchants dictatoriaux !
  Bonnes vacances, malgré tout. Gardons la foi en l'Homme, plaignons nos frères français (et un peu les autres aussi, mais ça va faire un sacré boulot, avec les italiens, les autrichiens, les suédois …). Et soyons certains que si “le pire n'est pas toujours obligatoire”, c'est surtout parce que “Aide-toi toi-même, et le Ciel t'aidera”… Je vous souhaite du fond du cœur un Joyeux, un très joyeux Noël’’, malgré la manière étrange dont nos grands hommes tout petits gèrent cette crise (si ce n'était pas le cas, “ça se saurait”, et les résultats montreraient qu'ils ont eu raison de nous traiter comme des délinquants quelque peu ‘’minus habens’’). Nous nous retrouverons “l'année prochaine”, disons le mercredi 6 janvier 2021 (“date à reporter sur vos agendas”), juste à temps pour tirer les Rois, si Dieu le veut, mais chacun de son côté, comme il se doit, dans cet Absurdistan en marche vers son néant définitif, et le nôtre par conséquent
H-Cl. 
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helshades · 4 years
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Merci Hel ! Ça me rassure d'avoir ton analyse linguistique. Parfois (de plus en plus souvent), je suis assez soucieuse de la teneur et du vocabulaire des articles de presse (et assimilés) présents dans nos médias nationaux !
Je suis bien contente de t’avoir assistée dans ta Quête linguistique et toute prête à commisérer sur l’air de « c’était mieux avant ». D’accord, la presse de masse n’a pas toujours fait dans la dentelle (!!) et ce depuis ses débuts, mais je suis sincèrement perturbée de voir tant d’articles publiés dans de grands titres réputés écrits comme une rédaction de lycéen sous hakik (pensée émue pour Marcel Colucci)...
Je te copie in extenso, vu qu’il est court mais réservé aux abonnés, l’article du Diplo de ce mois consacré, justement, aux mutations récentes de la presse écrite, c’est saisissant autant que démoralisant :
Vendre de la discorde plutôt qu’informer
Un journalisme de guerres culturelles
(par Serge Halimi & Pierre Rimbert)
Le juste milieu ne rapporte plus. Hier assise sur la manne publicitaire, la presse modérée recherchait une audience de masse et la cajolait en simulant l’objectivité. La recette change. Désormais, les médias prospèrent en alimentant les guerres culturelles auprès de publics polarisés et mobilisés. Pour le meilleur ou pour le pire. Et sous le regard vigilant, parfois sectaire, de leur propre lectorat.
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Il rachète à tour de bras médias et éditeurs (Vivendi, Editis, Prisma), convoite Europe 1, taille dans les effectifs et les dépenses, encourage un journalisme de racolage destiné à l’extrême droite (CNews), fait régner la terreur dans les rédactions — et menace de poursuivre en justice Le Monde diplomatique, qui enquête sur ses activités en Afrique : s’il fallait personnifier les nuisances du capitalisme médiatique, le nom de Vincent Bolloré s’imposerait d’emblée.
Abondamment commentée dans la presse, la brutalité du milliardaire breton ne fournit pourtant pas le meilleur indicateur du mouvement qui bouscule le paysage journalistique des années 2020. Car la force montante ne se trouve ni dans l’infographie des propriétaires (1), ni dans le Bottin des annonceurs. Elle se devine dans l’empressement des directions éditoriales à s’excuser quand un article déplaît à leurs lecteurs. Ce nouveau pilier de l’économie de la presse fut longtemps considéré comme la cinquième roue du carrosse médiatique : les abonnés. Leur influence croissante fait résonner au cœur des rédactions les clameurs et les clivages de nos sociétés. Cette irruption ne concerne pour le moment qu’une poignée de titres. Mais elle traduit un mouvement de fond.
Certes, l’appropriation privée rebat toujours les cartes du grand Monopoly de la communication. Mais elle a cessé de bouleverser un secteur depuis longtemps soumis à sa logique marchande. Et à son corset managérial : alors que les écrans dévorent toujours plus avidement le temps et les conversations, les forces qui produisent l’information se raréfient. En France, le nombre de journalistes s’effrite à un rythme modéré (— 6 % entre 2008 et 2019), mais l’effectif a chuté de près d’un quart aux États-Unis. Cette moyenne masque une disparité : les rédactions américaines ont supprimé 36 000 emplois dans la presse écrite tandis qu’elles créaient 10 000 postes dans les médias non imprimés (2).
Longtemps prophétisé, le régime d’information à deux vitesses — riche pour les riches, pauvre pour les pauvres — s’installe sous nos yeux. Il réverbère la géographie des inégalités éducatives et culturelles. Moins agile à se déployer en ligne compte tenu de l’âge et des habitudes de son lectorat, la presse locale s’appauvrit, se concentre ou, comme aux États-Unis, s’éteint : plus de 2 100 quotidiens et hebdomadaires y ont disparu depuis 2004, soit un quart du total, bien souvent remplacés par un réseau de sites partisans dont l’allure journalistique, la maquette classique et la couverture territoriale servent de paravent à la diffusion d’articles de complaisance financés par des intérêts liés aux partis politiques (3). La survie de la presse locale reposait sur la publicité et les petites annonces, deux ressources englouties par Facebook et Google, qui, eux, ne produisent pas d’informations mais pillent celles des journaux qu’ils ont préalablement privés d’annonceurs.
Proportionnel au nombre de paires d’yeux tombées sur la réclame imprimée, le prix de la publicité obéit à une tout autre règle sur Internet, où la qualité du ciblage remplace la quantité de public touché. Or, dans ce domaine, nul ne surclasse les prédateurs de la Silicon Valley. Leur concurrence force la presse généraliste à vendre ses espaces numériques à prix sacrifiés : de l’an 2000 (quand Google crée sa régie) à 2018, ses recettes publicitaires ont été divisées par trois (4). La pandémie leur porte le coup de grâce. Au deuxième trimestre 2020, la mise à l’arrêt de l’économie a sabré 20 % des revenus procurés par les annonceurs du Monde (5) — et 44 % au New York Times (6 août 2020).
Ci-gît le modèle du « double marché » inventé en 1836 par Émile de Girardin qui, d’un côté, alléchait le chaland par un faible prix de vente et, de l’autre, vendait le lectorat aux marchands souhaitant placer leur réclame. Cette économie impliquait une double dépendance : aux annonceurs quand tout allait bien ; aux actionnaires, sollicités pour remettre au pot, en période de vaches maigres. Elle connaît son âge d’or dans les années 1960 et 1970, puis, sur un mode plus frénétique, lors de la « bulle Internet » qui éclata en 2000 : dans les couloirs de Libération, un quotidien alors gavé de publicité, les dirigeants éditoriaux gloussaient qu’ils pourraient désormais se dispenser des ventes. Les journaux dits « gratuits » concrétiseront en 2002 cette stratégie de génie — avant de disparaître dans le trou noir de l’économie numérique.
Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, la prééminence de la ressource publicitaire avait transformé la vision du monde social renvoyée aux lecteurs : « La couverture du monde du travail a diminué et changé d’orientation, passant de la puissance des syndicats en tant qu’institutions aux désagréments que les grèves imposaient aux consommateurs », observe Nicholas Lemann, professeur de journalisme à l’université de Columbia (6). L’ère de la réclame avait coïncidé avec une élévation sensible du salaire, du statut et du niveau de diplôme des salariés de la presse. Elle se clôt dans un climat de précarité des producteurs d’information, de discrédit des médias, de défiance radicale entre les classes populaires et les couches intellectuelles. « Pour la toute première fois, moins de la moitié des Américains font confiance aux médias traditionnels », s’épouvante en janvier dernier une société de conseil (7). L’élection surprise de M. Donald Trump en 2016 aura dissipé aux yeux des lecteurs du New York Times le mirage d’une société de marché pacifiée par les vertus de l’éducation et de la communication. Un nouveau modèle émerge, mieux ajusté à l’anémie publicitaire et aux réalités d’une société fracturée : celui de médias hyperpartisans, de masse ou de niche, financés lorsqu’ils relèvent de l’écrit par une solide base d’abonnés.
L’abonné : « Temps futurs ! Vision sublime ! » Les médias sont hors de l’abîme… Hier jugé hors d’atteinte et hors du coup par les génies d’Internet, convaincus que l’information en ligne serait gratuite ou ne serait pas, ce souscripteur fidèle fait quinze ans plus tard l’objet de toutes les convoitises. Des chaînes payantes, plates-formes de diffusion vidéo et audio ont démontré que, à l’époque de la gratuité et du piratage généralisés, les utilisateurs restent disposés à payer un service spécifique pourvu qu’on ne le trouve pas ailleurs.
Au jeu de la conversion de l’audience gratuite en lecteurs payants, seuls les journaux les plus puissants et les plus spécialisés triomphent. Pour ceux nés à l’époque de l’imprimerie, la réussite économique passe par le sacrifice progressif du papier et de ses coûts d’impression et de distribution. Le Monde compte 360 000 abonnés numériques au début de cette année et vise le million en 2025, pour seulement 100 000 abonnés papier. De son côté, après une décennie de numérisation à marche forcée, le New York Times a plastronné : « Pour la première fois, les recettes des abonnés au numérique dépassent celles des abonnés au papier » (5 novembre 2020). À cette date, 4,7 millions de souscripteurs sur écrans rapportaient à peine plus que les 831 000 abonnés à l’édition imprimée : le salut économique impose donc un recrutement numérique tous azimuts. Dans un raccourci saisissant de notre époque, des fabricants de papier journal, comme Norske Skog, reconvertissent leurs machines afin de produire du carton d’emballage pour Amazon (8)…
« Avant Internet, le New York Times, comme tous les journaux, se contentait de servir ses maîtres publicitaires. Aujourd’hui, en l’absence d’autres formes de revenus — subventions gouvernementales, fondations à but non lucratif —, c’est le lecteur qui décide si une publication vit ou meurt, résume Ross Barkan, journaliste et militant de l’aile gauche du Parti démocrate. Et cela confère au public un pouvoir nouveau (9). » À première vue, la bascule marque un bond vers l’indépendance : les abonnés ne réclament-ils pas la meilleure information possible là où les annonceurs n’exigent qu’un temps de cerveau disponible ? Naguère perçu comme hétérogène et dépourvu de moyen de pression, le lectorat a rarement disposé d’une influence sur la ligne éditoriale. En se fixant une identité, politique (en France) ou locale (aux États-Unis), chaque publication naissante sélectionnait d’emblée une audience correspondant à sa vision du monde. De leur côté, les responsables de la presse « de qualité » se faisaient de leur clientèle l’image reflétée par le courrier des lecteurs : libérale éclairée, allergique au sectarisme, intéressée à la chose commune et à la marche du monde, ne formant son jugement qu’à partir de faits liés par des raisonnements ; la figure de l’« honnête homme », en somme, pour qui la lecture du quotidien représentait, selon la fameuse formule de Friedrich Hegel, « une sorte de prière du matin réaliste ». Le journalisme s’inventait un peuple de croyants dont il serait le dieu.
Ce mirage s’est dissipé. Toute source de financement comporte un risque d’influence éditoriale, et le modèle de l’abonnement ne fait pas exception. Les années 1990 et 2000 avaient été marquées par une discordance entre la polarisation sociale croissante des populations et l’homogénéité relative des médias dominants. Les parts de marché, estimaient les comptables de la presse, se gagnent au centre, comme les élections. De l’ère Brexit-Trump, l’élite du journalisme aura retenu cette leçon : l’exacerbation des divisions politiques — et surtout culturelles — alimente l’audience, mobilise les lecteurs et génère du profit. « Les entreprises cherchaient auparavant à attirer un public le plus large possible ; elles s’emploient désormais à capter et à retenir de multiples fractions de lectorat, a résumé le journaliste américain Matt Taibbi. Fondamentalement, cela signifie que la presse, qui commercialisait naguère une vision de la réalité supposée acceptable aux yeux d’un large éventail, vend à présent de la division (10) » (lire « Comment Donald Trump et les médias ont ravagé la vie publique »). Plutôt que ses « vieux » lecteurs, qui considèrent encore le journal comme une entité éditoriale à part entière, le New York Times s’emploie à séduire des « communautés » qui reçoivent sur les réseaux sociaux les liens d’articles isolés, détachés du reste de l’édition du jour, mais correspondant étroitement à leurs attentes. Sur chacun des sujets qui les mobilisent, ces petits groupes accueilleront tout faux pas par une tempête de tweets indignés.
Du consensus sédatif au dissensus lucratif, le virage épouse opportunément le fonctionnement des réseaux sociaux. Hier propre à Facebook et à Twitter, le modèle de la chambre d’écho qui renvoie inlassablement aux utilisateurs ce qu’ils veulent lire et entendre s’étend désormais aux médias traditionnels, à cette différence que les lecteurs paient cash pour recevoir les informations qui les caressent dans le sens du poil. D’autant plus persuadés que Twitter arbitre la vie publique qu’ils y passent eux-mêmes une partie significative de leur temps d’éveil, les journalistes confondent volontiers l’activisme polémique alimenté au quotidien par quelques centaines de « twittos » blanchis sous le clavier avec les attentes de leurs centaines de milliers d’abonnés. Échaudés par quelques orages d’indignation numérique, bien des dirigeants éditoriaux évitent de prendre à rebrousse-poil les militants du clic. « Le journalisme en ligne financé par les lecteurs favorise un contenu éditorial plus idéologique : des articles qui réaffirment ce que pense déjà son public, plutôt que de le contredire, écrit Lemann. Ainsi fonctionnent les chaînes d’information câblées (11). »
Selon une enquête réalisée fin 2019 par le Pew Reseach Center, 93 % des personnes qui utilisent Fox News comme source principale d’information politique se déclarent républicaines. Symétriquement, 95 % de celles qui choisissent MSNBC se disent démocrates ; tout comme, dans la presse écrite, 91 % des lecteurs du New York Times (12). Divisés de part et d’autre d’une barricade culturelle, deux publics enfermés dans leurs chambres d’écho respectives arment leurs convictions, les répercutent en ligne et, au moindre écart, somment leurs médias favoris de rectifier le tir ou de purger les déviants.
Mais les rafales de tweets qui charpentent les polémiques en ligne influencent-elles vraiment la production d’information ? Dans une large mesure, explique une enquête en cours de publication (13). Partant d’une série de plusieurs milliers d’« événements » lancés sur les réseaux sociaux et repris dans les médias traditionnels, les chercheurs établissent que la popularité d’un sujet apparu sur Twitter — mesurée au nombre de tweets, de retweets et de citations qu’il génère — détermine la couverture que lui consacre la presse : « Une augmentation de 1 % du nombre de tweets correspond à une augmentation de 8,9 % du nombre d’articles. » Et le phénomène est encore plus prononcé dans les journaux où les rédacteurs s’activent le plus ardemment sur la messagerie en 280 signes.
Car les journalistes ont trouvé dans ce réseau social souvent narcissique, péremptoire et moutonnier un monde qui leur ressemble. « Twitter est une fenêtre sur l’actualité du monde, c’est pourquoi certains des comptes les plus actifs appartiennent à des journalistes », claironne une page consacrée aux « bonnes pratiques » du groupe fondé par M. Jack Dorsey (14). C’est la définition même de l’effet Larsen : les journalistes les plus bouillonnants sur un réseau social où piaffent nombre de leurs collègues répercutent dans leurs colonnes l’écho de cet environnement électronique. Issus de plus en plus exclusivement de la bourgeoisie cultivée, au point que plus de la moitié des rédacteurs du New York Times et du Wall Street Journal sortent des universités d’élites américaines (15), les gens de presse oublient que Twitter lui-même attire une clientèle plus diplômée, aisée, urbaine, jeune et de gauche que la population au milieu de laquelle elle vit. Et que la « fenêtre » est elle-même distordue, puisque les 10 % de « twittos » les plus prolixes produisent 80 % des tweets (16). « Il faut souligner que les utilisateurs de Twitter ne sont pas représentatifs de la population générale des lecteurs de presse », insistent les auteurs de l’enquête précitée.
Mais il est si doux et, pour un temps, si payant de prendre son reflet pour le miroir du monde…
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(1) Lire « Médias français : qui possède quoi ? ».
(2) Elizabeth Grieco, « 10 charts about America’s newsrooms », Pew Research Center, 28 avril 2020, www.pewresearch.org
(3) The New York Times, 19 octobre 2020.
(4) Séries longues de la presse éditeur de 1985 à 2018 — presse d’information générale et politique française, nationale et locale, ministère de la culture, www.culture.gouv.fr
(5) La Lettre A, 30 juillet 2020.
(6) Nicholas Lemann, « Can journalism be saved ? », The New York Review of Books, 27 février 2020.
(7) www.axios.com, 21 janvier 2021.
(8) L’Usine nouvelle, Antony, 17 juin 2020 ;  Les Affaires, Québec, 30 juin 2018.
(9) Ross Barkan, « The gray zone lady », The Baffler, mars-avril 2020, https://thebaffler.com
(10) Matt Taibbi, « The post-objectivity era », TK News, substack.com, 19 septembre 2020.
(11) Nicholas Lemann, « Can journalism be saved ? », op. cit.
(12) Elizabeth Grieco, « Americans’ main sources for political news vary by party and age », Pew Research Center, 1er avril 2020.
(13) Julia Cagé, Nicolas Hervé et Béatrice Mazoyer, « Social media and newsroom production decisions », Social Science Research Network, 20 octobre 2020 (prépublication).
(14) Jennifer Hollett, « How journalists can best engage with their audience », Twitter.
(15) Proportion plus élevée au sein de la Chambre des représentants, du Sénat, des juges fédéraux ou… des patrons du Fortune 500. Cf. Zaid Jilani, « Graduates of elite universities dominate the New York Times and Wall Street Journal, study finds », The Intercept, 6 mai 2018, https://theintercept.com
(16) Stefan Wojcik et Adam Hughes, « Sizing up Twitter users », Pew Research Center,  24 avril 2019.
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amalelrhazi · 4 years
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Soitec encaisse le coup du Covid-19 pour rebondir ensuite
Amal El Rhazi, Soitec encaisse le coup du Covid-19 pour rebondir ensuite. Sous l’effet du Covid-19, Soitec voit son chiffre d’affaires décrocher de 4,9 % au deuxième trimestre 2020. Une première en cinq ans. Mais, confiant dans le développement de la 5G et les perspectives de ses diversifications au-delà du silicium, le fabricant français de substrats électroniques espère rattraper pour terminer son […] Lire l'article
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einquinn · 5 years
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"Déjà le tome 2 des aventures de Fusion Man ? Mais je n'ai pas encore lu le tome 1 !!!" Pas d'inquiétudes, c'est normal ! Il n'est pas encore disponible. Sa création est en cours grâce à vous et la précédente campagne de financement participative réalisée avec succès. Et nous aimerions continuer l'aventure avec vous !
Après le court-métrage de Canal Plus diffusé en 2009, nous avons attendu 10 ans pour mettre en chantier l'histoire de ses origines. Avec cette campagne de financement, nous voulons vous offrir d'ores et déjà la possibilité de découvrir la suite de ses aventures sans attendre dix années supplémentaires. Parce que 120 pages de bande-dessinée, ça prend beaucoup du temps, et ça demande un financement solide.
...surtout dans la bande-dessinée où les grands éditeurs traînent des pieds.
Les récentes violences contre les LGBT+ dans le monde et en France montrent qu'il y a encore du travail pour que les choses changent. Un changement qui se fait grâce au travail frontal et complexe des organismes et associations militantes LGBT+. Mais aussi par le biais d'une révolution douce, tout aussi efficace et pertinente. La présence de personnages LGBT+ dans la fiction pour tous banalise l'homosexualité aux yeux du plus grand nombre.
Après le succès de la campagne du Tome 1 l'an dernier, la mise en chantier d'un Tome 2 s'est imposée à nous. Les lecteurs aiment suivre des héros qui leur ressemblent. Et en redemandent ! Déjà presque 100 ans de Superman, de Batman et Wonder Woman, il est temps pour les personnages LGBT+ de rentrer dans l'histoire à leur tour. Vous êtes lecteur du projet mais aussi notre éditeur principal. C'est vous qui produisez la création de l'ouvrage, jugée trop "de niche", "geek et gay" par ceux qui pourraient éditer et produire le projet à grande échelle. À nous de prendre les choses en main. Les défis sont nombreux. D'abord, pour vous parler du projet et de l'histoire de ce nouveau tome sans parler du tome 1 qui n'est pas encore sorti, il va nous falloir être malins. Il ne faudrait pas vous gâcher les surprises du récit. (sortie du Tome 1 volume 1 et 2 courant 2020 - disponible dans les contreparties pour les retardataires et les nouveaux venus). Nous vous dévoilerons donc du contenu, en étant attentif à ne pas vous dévoiler trop de spoilers... ou divulgacheurs comme disent les québecois ! Rien n'assure que les personnages présents sur cette page ont tous survécu au tome 1... Suspens ! Pour le savoir il faudra lire "Fusion Man, les Origines d'Un Super-Héros". Autre défis, ceux qui ne connaissent pas du tout Fusion Man ! Il faut te donner envie à toi qui ne connaît peut-être ni le court-métrage ni la version comics, qui découvre cette page Ulule, de rejoindre l'aventure Fusion Man, sans que tu aies l'impression de rejoindre le train en cours de route. Pour ça, nous sommes disponibles par message privé pour répondre à tes questions. De toute façon, tu peux profiter de ce tome sans forcément avoir lu le précédent, (même si c'est mieux, il faut l'avouer). Ou soutenir le projet aujourd'hui, et profiter des mois à patienter pour la sortie de l'ouvrage pour découvrir ce qui a été fait précédement comme le court-métrage, le webcomics ou le tome 1 à venir.
RESUMÉ : Fusion Man ne sait plus où donner de la tête quand Water Man, "une vieille connaissance" - son ex - revient à Paris. Super-héros comme Fusion Man, Water Man a pourtant une définition du super-héroïsme assez différente de celle de Dan. Et tout se complique quand une amie en qui il avait totalement confiance effectue d'étranges recherches avec un "Docteur" aux motivations obscures... Fusion Man va devoir faire la paix avec lui-même et son entourage pour faire face au combat qui l'attend !
THÈME :Mélange d'actions, d'humours, d'introspection et de fantastique, Fusion Man revient très en forme ! Écrit pour toucher un public large, ce tome parle de responsabilité, de famille et de deuil. Des sujets qui nous touchent tous, peu importe notre sexualité, dans le but de banaliser l'identité sexuelle et l'identité de genre des héros. Les auteurs ont été nourris à Batman The Animated Series, Brian K. Vaughan et Buffy contre les vampires, au cinéma de Spielberg... et tentent de faire honneur à leurs influences avec Fusion Man.
INFOS EXPRESS :
Fusion Man, Tome 2 sera découpé comme le Tome 1 en deux volumes de 60 pages pour un total de 120 planches de BD.
Volume 1 : Fusion Man, Les Choix Des Héros (premier trimestre 2021)
Volume 2 : Fusion Man, À La Croisée Des Chemins (dernier trimestre 2021).
Format : Comics. Couleur. Couverture rigide.
Scénariste : David Halphen
Dessinateur : Jonas
Première apparition télé : Court-métrage Les Incroyables Aventures de Fusion Man, diffusé en 2010 sur Canal plus.
Première parution brochée : Recueil d’histoires courtes Fusion Man, super héros homo et frenchie, paru en 2017 chez Spirit Darko.
Tirage : 1 000 exemplaires, ou plus selon le succès du financement participatif.
Edition : auto édition chez Spirit Darko
Résumé express : Fusion Man et Water Man doivent faire face aux agissements d'un mystérieux Docteur. Mais l'aide de Water Man pourrait s'avérer plus limitée que prévue.
Langue : Version Française (cher(e)s soutiens, nous sommes interessés si vous avez des contacts pour une éventuelle édition et traduction en langue anglaise.
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Facebook s’apprête à bousculer le secteur de la cryptomonnaie/ Échange de crypto-monnaie, bitflyer,CoinMarketCap,poloniex,bitfinex
LONDRES — Facebook doit révéler mardi les détails d’un projet qui devrait signer l’entrée du géant américain dans l’univers des cryptomonnaies. Un événement susceptible de révolutionner l’écosystème actuel des devises virtuelles. Que sait-on déjà? R  Cela fait plusieurs mois que l’intérêt de Facebook concernant les cryptomonnaies est connu et plusieurs informations ont déjà fait l’objet de fuites dans la presse, même si aucune n’a encore été confirmée officiellement. La BBC a révélé il y a trois semaines que le réseau social envisageait le lancement de sa monnaie virtuelle au premier trimestre 2020, d’abord dans une douzaine de pays. Adossée à un panier de monnaies, cette cryptomonnaie qui pourrait s’appeler «Libra» serait susceptible de transiter à partir d’applications détenues par Facebook, notamment Messenger et Whatsapp, qui regroupent plus de deux milliards d’utilisateurs. Plusieurs entreprises comme Visa, Mastercard, PayPal et Uber ont déjà rejoint le consortium créé par Facebook, selon le Wall Street Journal. D’après le quotidien Les Échos, l’opérateur télécoms Illiad, maison mère de Free, fait également partie des premiers investisseurs. Des partenaires dont la présence ne manque pas d’étonner Cathy Mulligan, chercheuse spécialisée dans les devises virtuelles, alors que «tout le monde a toujours considéré les cryptomonnaies comme des concurrents majeurs pour Visa ou Mastercard». S’exprimant à l’occasion d’un panel de discussion organisé à Genève, en Suisse, par l’ONU, Mme Mulligan s’est ainsi inquiétée d’une «monopolisation de ce qui pourrait être une cryptomonnaie mondiale». Q  Est-ce la même chose que le bitcoin? R  Pas vraiment. Comme la première et principale monnaie virtuelle décentralisée, la devise Facebook devrait utiliser la «blockchain» (chaîne de blocs), un registre décentralisé, public et infalsifiable, qui permet de garantir la fiabilité des échanges sans faire appel à un tiers de confiance. En revanche, la cryptomonnaie de Facebook ne devrait pas fluctuer librement selon l’offre et la demande, comme c’est le cas du bitcoin. Ce dernier, qui ne valait rien à sa création et a dépassé les 19 500 dollars en décembre 2017, a souvent été critiqué pour sa forte volatilité, jugée comme un frein à son adoption par le grand public. En effet, selon plusieurs études, le bitcoin est plus souvent conservé à des fins de spéculation qu’utilisé comme moyen d’échange. Facebook s’acheminerait donc vers la création d’un «stablecoin», une cryptodevise adossée à un panier de devises réelles censé en garantir le cours. Q  Est-ce positif ou négatif pour le bitcoin? R  Difficile à dire, au moment où le bitcoin vient de franchir lundi les 9200 dollars pour la première fois depuis mai 2018. L’engouement autour de la monnaie virtuelle de Facebook pourrait relancer l’intérêt pour les cryptomonnaies après une période de relative accalmie, voire de défiance. Cela «banalise les cryptos», a expliqué à l’AFP Neil Wilson, analyste pour Markets.com, qui y voit un signal «clairement positif» pour le secteur. En revanche, la puissance de frappe du géant américain, avec ses milliards d’utilisateurs, et son ambition de créer une monnaie décentralisée qui servirait véritablement de moyen d’échange, pourrait également porter un sérieux coup à l’intérêt du bitcoin et tirer les prix des autres monnaies virtuelles vers le bas. Q  Est-ce une première? R  Non, à la mi-février, la banque américaine JPMorgan Chase avait annoncé le lancement du JPM Coin, adossé également à un panier de devises réelles. Mais les ambitions des deux cryptomonnaies semblent différentes. Alors que le JPM Coin sera restreint à des transactions financières entre grands investisseurs, la devise virtuelle de Facebook, elle, pourrait potentiellement s’adresser à des particuliers qui ne disposent même pas de compte bancaire. BitSEVEN | Echange mercantile de Bitcoin Echangez avec un maximum de 100x de profitEchangez Bitcoin et autres cryptocurrences avec un maximum de 100x de profit  Exécution rapide, frais bas, disponible seulement sur BitSEVEN
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IPhone 5G date de sortie rumeurs
Apple publiera trois iPhones compatibles 5G dans la seconde moitié de 2020
Ceux-ci seront basés sur les modems Qualcomm
Apple vise à produire ses propres modems 5G d'ici 2021
Avec la confirmation par Samsung que certains modèles du Galaxy S10 offriront la 5G, vous vous demandez peut-être quand un iPhone 5G sera lancé. Si vous espériez qu'un iPhone 5G serait disponible parmi les iPhone que Apple devrait lancer en septembre 2019, vous ' Tu seras déçu.
Certains sceptiques pensent que l'attente est longue, mais pas trop, espérons-le: l'analyste respecté Ming-Chi Kuo s'attend à ce que les trois iPhones de la fin de 2020 prennent en charge la 5G. Il y a aussi la nouvelle qu'Apple a acquis le secteur des modems pour smartphones d'Intel pour nous donner l'espoir que nous aurons de nouveaux iPhones avec la 5G en 2020.
Dans cet article, nous résumons les fuites, les rumeurs et les activités liées aux brevets qui annoncent le lancement imminent d'un iPhone 5G, en prédisant la date de sortie et les fonctionnalités de l'appareil. Nous proposons également des informations sur les progrès de l’adoption de la 5G sur le marché dans son ensemble et sur les avantages que la 5G offrira aux utilisateurs d’iPhone lorsqu’Apple s’engagera.
Pour plus de spéculation sur les smartphones, vous pouvez en savoir plus sur les rumeurs de repliement d'iPhone et nos réflexions sur la mise à jour de l'iPhone 2019. Si vous êtes plus intéressé par les appareils que vous pouvez acheter maintenant, consultez notre tour d'horizon des meilleures offres pour iPhone.
IPhone 5G date de sortie
Nous prévoyons la publication de trois iPhones compatibles 5G au cours du second semestre 2020.
Le Galaxy S10 5G est en vente et l’OnePlus 7 Pro 5 G a été annoncé. Mais, alors que les autres fabricants de smartphones continuent de planifier la 5G pour 2019, il semble que Apple ne soit pas prêt à faire de même avant 2020.
En 2018, il a été rapporté qu'Apple travaillait sur un modem 5G avec Intel, mais des problèmes de connectivité apparemment insolubles se sont manifestés lors des tests. Ni Intel (qui a depuis quitté l’arène 5G et vendu la majorité de ses activités de modems pour smartphones à Apple) ni le candidat-fournisseur ultérieur MediaTek ne seraient en mesure de fournir des composants 5G pour un lancement à l’automne 2019.
Cela peut paraître décevant, compte tenu des progrès réalisés par la concurrence d'Apple, mais un lancement en 2020 est bien meilleur qu'on ne le craignait. Jusqu'à ce que Apple parvienne à un accord avec Qualcomm, on pensait en fait que l'iPhone 5G d'Apple n'arriverait pas avant 2021. L'analyste d'UBS, Timothy Arcuri, avait déclaré à 9to5Mac début avril 2019 qu'Apple visait 2021 pour la sortie de l'iPhone 5G et a décrit même cela comme un "obstacle technique".
Ce retard était dû à plusieurs raisons, mais celles-ci ont été corrigées depuis. En conséquence, l’analyste Ming-Chi Kuo pense que l’iPhone 5G d’Apple arrivera dans la seconde moitié de 2020.
Dans une note de recherche publiée par MacRumors en avril 2019, Kuo écrivait : "La fin du litige en matière de brevets entre Apple et Qualcomm et l'entrée dans un contrat de licence de six ans impliquent que les nouveaux modèles d'iPhone 2H20 prendront en charge la 5G". Il a réitéré cette prédiction en juin 2019 en écrivant : "Les [nouveaux modèles d'iPhone OLED 6.7in et 5.4in de 2H20] prendront probablement en charge la 5G."
Et le 28 juillet 2019, Kuo a répondu aux acquisitions de modems Intel par une note de recherche dans laquelle il prédisait que les trois modèles d'iPhone de la fin de 2020 prendraient en charge la 5G.
"Nous pensons maintenant que les trois nouveaux modèles d'iPhone 2H20 prendront en charge la 5G pour les raisons suivantes. (1) Apple dispose de plus de ressources pour développer l'iPhone 5G après l'acquisition de la base de données Intel. (2) Nous nous attendons à ce que les prix de la 5G Android les smartphones vont baisser à 249-349 USD d'ici 2H20 ... Les modèles d'iPhone qui seront vendus à des prix plus élevés doivent aider la 5G à gagner plus de subventions des opérateurs mobiles et l'intention d'achat des consommateurs. "
Pourquoi l'iPhone 5G est-il retardé ?
Il y a plusieurs raisons pour lesquelles l'iPhone 5G d'Apple a été retardé.
L’un est son désaccord avec Qualcomm (dont nous parlerons plus loin), l’autre raison était qu’en raison de sa collaboration avec Qualcomm, la société devait s’appuyer sur Intel (et comme nous le verrons plus tard, Intel luttait un peu avec développement de son modem 5G).
Avec Qualcomm et Intel retardés, Apple a également une équipe interne qui travaille au développement de modems 5G. Un rapport de The Information a prédit que ceux-ci ne seront pas prêts avant 2025, mais l'acquisition par Apple du secteur des modems d'Intel rapprochera probablement cette date.
Apple vs Qualcomm
L’affaire Apple vs Qualcomm était le principal obstacle aux projets d’Apple concernant les combinés 5G.
Pendant plusieurs années, Apple était partenaire de Qualcomm, seul fournisseur de puces sans fil pour iPhone avant 2016, et à partir de 2016-2017, elle fournissait des puces à Apple aux côtés d'Intel.
Nous n'entrerons pas dans les détails concernant le conflit entre Apple et Qualcomm, sauf pour dire que lorsqu’Apple a cessé d'utiliser des puces Qualcomm sur l'iPhone en 2018, la relation entre les deux sociétés s'est effondrée.
 En un mot, les deux sociétés ont accusé l’autre d’avoir contrefait leurs brevets, Qualcomm a prétendu qu’Apple lui devait des redevances pour l’utilisation de sa technologie, et que la FTC (US Fédéral Trade Commission) poursuivait également Qualcomm pour pratiques anticoncurrentielles. Et il y avait beaucoup plus dans la bataille que cela.
Qualcomm a apparemment refusé de fournir des jetons à Apple pendant que les combats judiciaires se poursuivaient. Depuis que Qualcomm avait déjà dévoilé ce qu’il appelle le "premier modem 5G au monde", le Snapdragon X50 - qui est déjà utilisé dans d’autres smartphones -, il semblait que l’iPhone serait laissé pour compte.
Heureusement, les entreprises sont parvenues à un accord depuis. Dans un communiqué de presse (que vous pouvez lire ici), les sociétés ont annoncé leur accord pour abandonner tout litige.
Dans le cadre de l'accord de règlement, Apple a accepté un contrat de licence de six ans avec Qualcomm. Nous devrions donc voir les modems Qualcomm dans les nouveaux iPhones, après tout.
Intel et 5G
Intel a été l’autre facteur de retardement de la puce 5G. Qualcomm étant temporairement exclu, Apple dépendait d'Intel, mais Intel avait du mal à mettre au point un modem 5G.
Selon des sources de Fast Company en novembre 2018, la puce de modem Intel 5G avec laquelle Apple travaillait souffrait de "problèmes de dissipation de chaleur". Plusieurs porte-parole d'Intel ont confirmé les retards et des rapports ont évoqué les problèmes rencontrés par Intel. À la suite des accords Apple et Qualcomm, Intel a confirmé son intention de quitter le marché des puces en bande de base 5G.
Et le 25 juillet, Apple a annoncé son intention d'acquérir "la majorité des activités de modem pour smartphone d'Intel" au quatrième trimestre de 2019 (sous réserve des approbations réglementaires) pour une valeur de transaction de 1 milliard de dollars. Ceci rapproche Apple de la possibilité de créer ses propres modems 5G, comme nous le verrons dans la section suivante.
Forfaits de modem 5G d'Apple
Bien qu’il soit parvenu à un accord avec Qualcomm, Apple préférerait maîtriser son propre destin, principe connu depuis sous le nom de Doctrine Cook depuis que le PDG de la société a affirmé en 2009 qu’Apple "doit posséder et contrôler les technologies de base derrière les produits. que nous faisons ".
Selon un rapport de l'agence Reuters de février 2019, Apple a mis au point une équipe travaillant sur les modems 5G, dirigée par le vice-président matériel, Johny Srouji. Le même mois, la société a embauché UMA Shankar Thyagarajan, leader du modem 5G d'Intel, selon un rapport de Telegraph. . Thyagarajan a dirigé le projet d'Intel visant à construire des modems cellulaires pour Apple.
Maintenant qu’un accord a été signé pour acquérir le personnel, les technologies et les équipements de modems smartphone d’Intel, Apple est bien placé pour prendre le contrôle de son destin 5G - mais il reste encore beaucoup à faire avant d’atteindre ce stade, et nous espérons vivement Qualcomm fournira les modems pour la première génération d'iPhone 5G en 2020.
Au-delà de cela, cependant, les choses vont commencer à changer. Citant "une personne familière avec le sujet", Reuters rapporte qu'Apple "souhaite disposer d'une technologie de modem 5G développée en interne et prête à être utilisée dans certains de ses produits d'ici 2021".
Il y aura une période de transition pendant laquelle Apple travaillera pour assurer la compatibilité mondiale, cependant, et les modems Qualcomm resteront peut être utilisés pendant un certain temps : "Apple souhaite ardemment l'indépendance, mais ils réalisent également qu'il faut le faire de manière responsable. ", a déclaré la source de Reuters.
Qu'est-ce que la 5G ?
La 5G est le successeur de la 4G. Il devrait pouvoir offrir des vitesses de téléchargement de l'ordre de 1 Gb / s (gigabits par seconde), voire de 10 Gb / s. Cela permettrait de télécharger un film HD en seulement 10 secondes au lieu d’environ 10 minutes, comme c’est le cas actuellement.
Il devrait également ouvrir la voie à de nouvelles avancées technologiques telles que les voitures sans conducteur, car il offrira une latence moindre. Cela devrait également être bénéfique pour les jeux en ligne, les drones de livraison et autres éléments nécessitant une connexion permanente.
Vous pouvez également vous attendre à voir davantage d'applications VR et AR, et les gadgets IoT deviendront de plus en plus courants au fur et à mesure que davantage d'appareils seront connectés à Internet.
La 5G utilisera des fréquences radio plus élevées, qui sont moins encombrées et peuvent transporter des informations plus rapidement. Cependant, ils ne transportent pas les informations aussi loin, donc il faut plus d'antennes.
Quand aurons-nous la 5G ?
L’accès au réseau 5G dépend de votre pays de résidence. En ces débuts, la couverture a tendance à être limitée aux grandes villes.
Nous voyons maintenant le lancement de la couverture 5G au Royaume-Uni par deux des principaux réseaux : EE était le premier, le 30 mai 2019, suivi de Vodafone le 3 juillet. O2 exécute également des essais 5G, mais il (et d'autres réseaux) pourrait ne proposer la 5G qu'en 2020. Attendez-vous à une couverture limitée au début. Vous devrez peut-être attendre 2022 avant que la 5G ne vous parvienne si vous n'êtes pas dans une grande ville.
Aux États-Unis, le déploiement de la 5G pour AT & T, Verizon, Sprint et T-Mobile a commencé.
En ce qui concerne les smartphones, de nombreux appareils compatibles 5G ont été lancés au Royaume-Uni, notamment le OnePlus 7 Pro 5G de EE, le Mi Mix 3 5G (via Vodafone), le Samsung Galaxy S10 5G, le LG V50 ThinQ 5G et Oppo est Reno 5G. Nos collègues de Tech Advisor ont un guide sur les meilleurs téléphones 5G à venir en 2019.
L'iPhone XS fonctionnera-t-il avec la 5G ?
Aucun iPhone existant ne pourra utiliser le réseau 5G. En fait, il semble que même l'iPhone 2019 ne puisse pas utiliser le réseau 5G.
Cependant, les iPhone XS et XS Max offrent Gigabit LTE. Si votre opérateur prend en charge Gigabit LTE, vous pouvez tirer parti d’une connexion plus rapide et votre téléphone devrait pouvoir mieux trouver et maintenir la connexion lorsque le signal est faible.
À quoi ressemblera l'iPhone 5G ?
Nous comprenons que la mise à jour de l'iPhone 2019 sera probablement relativement conservatrice en termes de conception, mais bon nombre des changements prévus auront lieu en 2020, parallèlement à l'ajout de la connectivité 5G. L'encoche est susceptible de disparaître, alors que l'appareil photo à trois objectifs de l'iPhone 2019 pourrait être porté à quatre.
Voici ce que pense, selon Ben Geskin, le spécialiste en fuite :
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photos-car · 9 months
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bondenargentina · 5 years
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Jeff Kleeman, exvicepresidente de United Artists: "Hoy la audiencia reacciona antes de que escribas el guion"
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READ ENGLISH VERSION HERE (The Secret Agent Lair)
Licenciado en Letras por la Universidad de Yale, Jeff Kleeman participó activamente del relanzamiento de James Bond en el cine como vicepresidente de United Artists durante la década del '90, llevando a cabo la ardua tarea de instalar a Pierce Brosnan como el nuevo agente 007 sus tres primeras películas.
En esta entrevista, Jeff nos habló de la incertidumbre del estreno de GoldenEye, la forma en la que Titanic afectó la taquilla de El Mañana Nunca Muere y el tratamiento de los spoilers en la campaña promocional de El Mundo No Basta. Además, nos da su visión profesional sobre los retrasos que sufrió el estreno de Bond 25.
Ante todo, muchas gracias Jeff por dedicarnos tu tiempo para esta entrevista. ¿Cómo fue que te involucraste con United Artists y cuáles fueron tus mejores recuerdos trabajando en las tres primeras películas de Pierce Brosnan como James Bond?
Trabajé para Francis Coppola en la productora American Zoetrope por un acuerdo que él tenía con Sony, que le permitió hacer Drácula. Cuando terminó el acuerdo con Sony, Francis decidió no renovar y trasladó Zoetrope de vuelta al norte de California. Gareth Wigan, un gran ejecutivo que supervisó el trato de Zoetrope para Sony, me sugirió que me encontrara con John Calley, que estaba volviendo de su retiro para supervisor un regreso de United Artists. Me encontré John y me ofreció trabajar con él, cosa que acepté con mucha alegría sabiendo que United Artists controlaba los derechos de James Bond. Podría escribir un libro entero con anécdotas de mis tres experiencias Bond, pero acá les cuento una…
GoldenEye tuvo su première real en Londres. Antes de que comenzara la función, un grupo de nosotros tuvo el honor de conocer al príncipe Carlos. Nos dieron unas instrucciones de protocolo y nos organizaron en un semi-círculo. El príncipe Carlos comenzó desde la izquierda y uno por uno nos daba la mano, conversando brevemente con nosotros. Yo estaba aproximadamente a cuatro personas de distancia desde el lado izquierdo. Del otro lado, más o menos a la misma distancia, estaba Tina Turner. Nos miramos directo a la cara. Mientras el príncipe Carlos estrechaba su mano, Tina, como una niña traviesa, me sacó la lengua. El príncipe estaba de espaldas a ella, entonces no la vio. Me preguntó por mi trabajo en GoldenEye y mientras trataba de contestarle, Tina empezó a hacer muecas y caras tontas que solamente yo podía ver. ¡Qué momento tan increíble! La première de una película de Bond, y yo hablando con el príncipe de Inglaterra (que fue muy amable) mientras Tina Turner trataba de hacerme reír.
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Internet tuvo un rol importante en la promoción de GoldenEye, El Mañana Nunca Muere y El Mundo No Basta. ¿Cómo hicieron para afrontar estas nuevas dinámicas de comunicación, por ejemplo publicar actualizaciones regularmente sobre la producción del film y el hecho de que la gente del otro lado se impacientaba más con un estreno de Bond?
¿Fue importante Internet para promocionarlas? GoldenEye se estrenó en 1995. Los dispositivos portátiles aún no habían salido y cuando estrenamos Hackers, casi para la misma fecha¸ muchos estaban confundidos sobre estas nuevas tecnologías porque la conexión dial-up aún no estaba del todo afianzada por las principales audiencias. Sin embargo, no voy a negar que pudiera haber habido un componente online en la promoción de esas películas, pero yo no estuve directamente involucrado en eso. Sin embargo, el nuevo –y más grande- factor que diferenció el estreno de GoldenEye con el de las películas anteriores fue el juego de Nintendo. Fue un exitazo que atrajo una nueva generación de niños a Bond, algo que hizo que las películas siguientes se beneficiaran mucho. El hecho de que los films se estrenaran nuevamente cada dos años fue un resultado del éxito de GoldenEye. MGM/UA se dio cuenta que Bond era lo más rentable que tenían, así que hicieron lo imposible para que cada film saliera más rápido. Nos arreglamos con eso de la única forma que podíamos: adaptándonos a nuevas metodologías que nos permitían escribir, filmar y realizar la post-producción más rápido. Muchos de esos métodos ahora son la norma a seguir por las franquicias de los grandes estudios.
Esto nos lleva a Bond 25, y no solamente a Internet sino a las redes sociales. Como debés saber, la próxima película de Bond ya tuvo un cambio de director (Danny Boyle por Cary Fukunaga) y la fecha de estreno cambió tres veces entre noviembre de 2019 y abril de 2020. Hay muchos fans de Bond que están un tanto decepcionados, preocupados e incluso enojados por esto. ¿Te parece que la inmediatez de la comunicación es la causante de esto o también pasaba en la década de 1990?
La inmediatez de la comunicación de estos días nos sitúa en una posición muy diferente a la hora de hacer películas, especialmente en lo relativo a proyectos de alto nivel como las películas de Bond. Con GoldenEye, MGM/UA se preguntaba si el público seguía interesado en Bond y recién un tiempo después de empezar la producción, cuando el teaser trailer (“Usted conoce el nombre. Usted conoce el número”)  fue proyectado en cines, percibimos algún tipo de respuesta. Pero hoy la audiencia reacciona antes de que escribas el guion. 
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Las tres películas de Bond en las que trabajaste se estrenaron entre noviembre y diciembre, un patrón también seguido por Otro Día Para Morir y las películas de Daniel Craig, todas estrenadas en el último trimestre de su año de producción. Ahora, Bond 25 está prevista para principios de 2020 (primero fue febrero, luego abril). ¿Nos dirías que una producción Bond tendrá un impacto diferente al estrenarse a principio de año en vez de la temporada próxima a Navidad?
La fecha no debería significar mucho. Cuando comenzamos a trabajar con GoldenEye, estaba prevista para estrenarse en verano (invierno en el hemisferio sur) – la clase de gran estreno de junio que vemos cada año. Luego pospusimos el comienzo de producción y se terminó corriendo para otoño/invierno (primavera/verano de nuestro hemisferio). Algunos estábamos muy preocupados por el cambio de fecha, pero como ya sabemos, todo salió más que bien. Así que eso nos instauró el hábito de estrenar todas las películas de Bond en esa época. La fecha de estreno de GoldenEye fue casualidad, no estrategia. En general, no creo que un mes en particular sea mejor que otro, lo que más importa son las otras cosas que pasan al momento que vas a estrenar tu película. El Mañana Nunca Muere, por ejemplo, se estrenó el mismo día que Titanic (19 de diciembre de 1997, en Estados Unidos). Le hubiera ido mucho mejor en la taquilla si se corría para febrero o abril del año siguiente, evitando competir contra Titanic.
Nuestra última pregunta tiene que ver con algunas estrategias de marketing relacionadas a los spoilers. Los tráilers de GoldenEye revelaron que un amigo de Bond -el agente 006- era el villano principal, mientras que en El Mundo No Basta se ocultó el hecho de que la villana principal era Elektra King, la mujer de la que Bond se enamora. ¿Cómo se organizan esas ideas? ¿Es una decisión de EON o el estudio tiene una palabra importante?
EON siempre colaboró mucho. Más allá de los derechos por contrato de todas las partes, tomamos las decisiones en equipo. Con GoldenEye, nos parecía que la idea de 006 enfrentado 007 vendía mucho. Era una forma de atraer a la gente a Bond y presentar a un nuevo actor en el rol. Era un spoiler menor que sentimos que no iba a arruinar la experiencia de ver la película. Sin embargo, el elenco y el guion de El Mundo No Basta lo armamos intencionalmente para enmascarar la villanía de Elektra King por un buen tiempo. En ese caso, era importante que este detalle no se filtre en el marketing. Aunque hay algunas películas que cuentan con un efecto teatral para definir toda la experiencia de verlas, eso no tiende a ser lo que hace que una película de Bond funcione. Lo mejor es que sea una experiencia consistente de principio a fin, que pueda ser disfrutada una y otra vez sin importar tu lo que sepas del argumento antes de verla.
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Una vez más agradecemos a Jeff Kleeman por sus muy ilustradoras  respuestas que nos ayudan a repensar el fenómeno de James Bond en el cine y a entender el interesante proceso creativo que conlleva el armado de sus películas desde el punto de vista comercial. También le damos las gracias a Phil Poggiali por permitirnos el contacto con Jeff y facilitar el armado de esta entrevista. Nicolás Suszczyk
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dujeu · 3 years
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Les revenus trimestriels du réservoir fissure de 27 millions de dollars en tant que PDG de 3 milliards de dollars d'une valeur de 3 milliards de dollars dans le pipeline '
Médias du réservoir (NASDAQ: RSVR) a généré 27,1 millions de dollars au quatrième trimestre 2021, et le PDG Golnar Khosrowshahi a relayé que la société basée à New York a «3 milliards de dollars d'offres de la pipeline».
Celles-ci et d'autres spécificités opérationnelles remarquables ont été allumées dans le nouvel échographie du rapport sur le réservoir, qui est arrivé sur NASDAQ à la fin de juillet 2021. Comme mentionné, l'entité de 15 ans a généré 27,1 millions de dollars pendant Le tronçon de trois mois, en hausse de 25,9% d'année sur l'année où l'affacturage des revenus existants et des revenus liés à l'acquisition.
Gardant à l'esprit ces investissements de catalogue, le réservoir dit que sa musique enregistrée montrant de la musique numérique, avec des recettes de 4,9 millions de dollars au quatrième trimestre 2021 (1,5 million de dollars de 1,5 million de dollars au quatrième trimestre).
Peut-être que la composante la plus intéressante de l'analyse de la performance du réservoir - qui représente environ 140 000 droits d'auteur et 36 000 maîtres - concerne la somme initialement mentionnée des offres non annoncées de la société. L'entreprise a également l'intention de supprimer 200 millions de dollars sur les fusions et acquisitions au cours de sa première année sur le marché boursier, selon le fondateur du réservoir et le PDG Golnar Khosrowshahi.
Médias du réservoir (NASDAQ: RSVR) a généré 27,1 millions de dollars au quatrième trimestre 2021, et le PDG Golnar Khosrowshahi a relayé que la société basée à New York a «3 milliards de dollars d'offres de la pipeline».
Dans le cadre du total, la publication des recettes est arrivée à 18,4 millions de dollars (en hausse de 3,7% en yoy ou 22,3% après «ajustement d'un règlement ponctuel reçu dans la période de l'année précédente»), et le revenu de musique enregistré, à 8,1 millions de dollars, a sauté près de 150 Pourcentage de 3,3 millions de dollars de trimestre de trimestre 2020. (Réservoir a acquis Tommy Boy Music en juin 2021 et a depuis acheté les droits de la chanson de Tom Werman, Dallas Austin et Travis Tritt, pour en nommer certains.)
Gardant à l'esprit ces investissements de catalogue, le réservoir dit que sa musique enregistrée montrant de la musique numérique, avec des recettes de 4,9 millions de dollars au quatrième trimestre 2021 (1,5 million de dollars de 1,5 million de dollars au quatrième trimestre).
Le revenu physique enregistré-musique s'est amélioré de 1,2 million de dollars à 1,3 million de dollars à travers les trimestres, avec une augmentation de 200 000 $ pour les droits voisins (total de 700 000 $ au quatrième trimestre 2021) et un saut de 1,1 million de dollars pour synchronisation (total de 1,2 million de dollars).
Le résultat opérationnel du réservoir a glissé de 18,7% en yoy, voire 4 millions de dollars et plus d'UPS a attribué l'incendie à «une hausse de 1,3 million de dollars pour une indemnisation fondée sur des actions et environ 1,0 million de dollars en coûts associés à une entreprise publique».
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La hausse précédemment mise en évidence dans les revenus de musique enregistrée a contribué à une augmentation de 11,3% en Yoy pour OIBDA (total de 9 millions de dollars), contre le résultat net fixe (2,4 millions de dollars). Pour l'intégralité de l'exercice 2022 - ou les 12 mois se terminant le 31 mars - le réservoir a recueilli ses revenus prévus entre 103 et 105 millions de dollars.
Peut-être que la composante la plus intéressante de l'analyse de la performance du réservoir - qui représente environ 140 000 droits d'auteur et 36 000 maîtres - concerne la somme initialement mentionnée des offres non annoncées de la société. L'entreprise a également l'intention de supprimer 200 millions de dollars sur les fusions et acquisitions au cours de sa première année sur le marché boursier, selon le fondateur du réservoir et le PDG Golnar Khosrowshahi.
«Notre forte troisième quart d'exercice sur la performance financière du troisième quartier fiscal montre la capitalisation de la croissance de l'industrie de la musique et de générer une valeur significative en exécutant sur notre stratégie de construction d'un portefeuille robuste, organisé et diversifié de corps de compositeurs primés et d'artistes. Travailler, "dit Khosrowshahi en partie.
«Dans le cadre de cela, nous prévoyons de déployer plus de 200 millions de dollars en fusions et acquisitions stratégiques au cours de notre première année en tant que société publique.... Nous sommes honorés que ces artistes et créateurs incroyablement talentueux nous ont confiés à des gardiens de leur travail de leur vie. Nous avons 3 milliards de dollars d'offres dans le pipeline et que la nature génératrice de cette entreprise continuera à alimenter ces opportunités de levier d'exploitation élevées, à mesure que nous avançons. "
Les actions du réservoir commercialisaient 6,01 $ par action au moment de la publication de cette pièce - moins de 25% en 2022 et près de 45% du même point de février 2021. Plus tôt ce mois-ci, la société a dévoilé une affaire de publication dans le monde entier. Producteur Warren «Oak» Felder.
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TikTok a généré plus de trafic que Google en 2021, se classant en tête des sites Web
TikTok est devenu le site Web le plus populaire en 2021, dépassant même Google. Selon le classement Internet 2021 "Year In Review" de Cloudflare, TikTok s'est hissé en tête pour la première fois en février de cette année. Mais ce n'est qu'à partir du mois d'août que la plateforme s'est constamment classée en tête du trafic Internet. Le classement de Cloudflare affiche un changement radical par rapport à 2020, lorsque TikTok occupait encore la huitième place et Google figurait en tête. TikTok, détenu par la société chinoise ByteDance, est devenu disponible dans le monde entier en août 2018, lorsque la plateforme a fusionné avec une autre application populaire, Musical.ly. Les influenceurs Internet s'étaient tournés vers Musical.ly après la disparition début 2017 de Vine, une autre application populaire où les utilisateurs pouvaient poster des vidéos de 7 secondes. Après que TikTok et Musical.ly ont combiné leurs services, le nouvelle appli a vu sa popularité augmenter de façon exponentielle. Croissance fulgurante pendant la pandémie TikTok a connu une croissance impressionnante au cours de la pandémie, des personnes de tous âges ayant afflué vers l'application qui était auparavant considérée comme une plateforme principalement destinée aux adolescents. Selon Statista, l'utilisation de TikTok a augmenté de 180% chez les 15-25 ans. Au premier trimestre 2020, lorsque le Covid-19 et la crise sanitaire ont commencé à toucher de nombreuses personnes dans le monde, TikTok a enregistré 315 millions de téléchargements, selon Tug Agency. En juillet de cette année, les données de Sensor Tower ont révélé que TikTok avait été téléchargé plus de trois milliards de fois — un cap que seul Facebook avait franchi avant lui. L'application est désormais un lieu de prédilection pour les marques qui souhaitent commercialiser leurs produits. Et elle vient même de lancer l'idée d'ouvrir des cuisines fantômes (dark kitchens, en anglais) aux États-Unis, pour proposer aux utilisateurs certains des plats les plus viraux sur la plateforme. Le succès de TikTok réside probablement dans son algorithme, sur lequel l'entreprise est particulièrement secrète. Selon un document qui a fait l'objet d'une fuite au début du mois, l'application diversifie délibérément sa page d'accueil — sa fameuse page "For you" — afin que les utilisateurs ne se lassent pas. Trouvez la batterie de rechange pour votre telephone ou votre ordinateur portable, achetez votre batterie de rechange en ligne. Grossiste-batteries.com spécialisée dans la vente de batteries et de chargeurs pour ordinateurs portables, tablettes, téléphones... Livraison Rapide, Garantie 1an!
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amalelrhazi · 3 years
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journaldufreenaute · 3 years
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