Tumgik
#presse générale
iweb-rdc001 · 1 year
Text
Carnage de Goma : Patrick Muyaya et Peter Kazadi font le point de la situation générale
Le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières, Me. Peter KAZADI KANKONDE et le Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick MUYAYA KATEMBWE ont co-animé un Briefing Presse ce mercredi 06 septembre 2023. Au menu des échanges, les conclusions de la Commission interministérielle sur les événements survenus le 30 août 2023 à…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
aurevoirmonty · 18 days
Text
«Dégradation HISTORIQUE des comptes de la nation»: sous le choc de la rapidité de l’effondrement, le Sénat panique
«La situation est calamiteuse. On est au bord du précipice», résume (https://www.publicsenat.fr/actualites/economie/tout-cela-va-finir-par-ressembler-a-un-tres-grand-mensonge-detat-le-rapporteur-general-du-senat-convoque-une-conference-de-presse-sur-le-deficit?at_content=link&at_term=publicsenat&at_source=nonli) le rapporteur général de la commission des Finances, Jean-François Husson.
«La situation financière catastrophique est de la responsabilité exclusive de l’exécutif.»
A croire que financer un régime néo-nazi corrompu jusqu’à l’os pour faire une guerre au profit d’un pays qui attaque nos infrastructures stratégiques et mener une politique suicidaire de sanctions n’étaient pas la meilleur gestion possible.
Pour l’an prochain, la direction générale du Trésor estime que le respect «a minima» des nouvelles règles européennes imposera un effort de «grande ampleur»: 30 milliards d’euros d’économies.
Une situation que Bruno Le Maire pensait peut-être discrètement léguer à son successeur puisque cette note du Trésor particulièrement alarmiste date… du 17 juillet, mais les sénateurs viennent simplement de la recevoir.
Ne pas l’avoir transmise c’est très grave. Tout cela va finir par ressembler à un très grand mensonge d’Etat sur la réalité de la situation budgétaire de notre pays
3 notes · View notes
Text
We’re notifying you, citizen, that we believe it is time to close the barriers, if they have not been so already; that we send to the post office, that we put seals on all the journalistic presses, and that for this purpose we give order to the police commissioners to put under arrest the journalists, as well as the treacherous deputies; this is our and Robespierre’s opinion. Signed: the police administrators, Tanchon, Faro, E. Bigant, Quenel
The Paris Commune in a message to one of its agents on 9 thermidor, cited in Rapport fait au nom des Comités de salut public et de sûreté générale sur les événements du 9 thermidor an II, précédé d’une préface en réponse aux détracteurs de cette mémorable journée, prononcé le 8 thermidor an III, la veille de l’anniversaire de la chute du tyran by Edme-Bonaventure Courtois, supporting document number 13.
I thought that scene in LRF where Robespierre on 9 thermidor tells a guy (don’t know who he’s supposed to be) to shut down newspapers and arrest journalists and Convention deputies was made up in order to make him more of a bad guy, but turns out it’s actually not that far from the truth?
Tumblr media
Original text (I thought it was rather strangely phrased in a few places, so feel free to tell me if there’s any translation fails):
Nous te donnons avis, citoyen, que nous croyons qu’il est instant qu’on ferme les barrières, si elles ne le sont pas; qu’on envoie à la poste, que l’on mette les scellés sur toutes les presses des journalistes, et qu’à cet effet on en donne l’ordre aux commissaires de police, et les journalistes en arrestation, ainsi que les députés traîtres; c’est l’avis de Robespierre et le nôtre. Signé: les administrateurs de police, Tanchon, Faro, E. Bigant, Quenel 
24 notes · View notes
lupitovi · 2 years
Quote
Que nous apprend le projet politique qu’on appelle néolibéralisme ? Puisant ses racines idéologiques dans La Route de la servitude de Friedrich Hayek et les développant au sein de l’École de Chicago, le néolibéralisme a atteint l’Europe à la suite des luttes ouvrières des années 1970. Le cadre a été fixé par les représentants politiques du grand capital. En Grande-Bretagne, ce fut le gouvernement de Margaret Thatcher. Liberté et capitalisme, dit-on, sont indissociables. La moindre intervention de l’État pour modérer le « libre » marché serait le premier pas sur la voie de la dictature. En conséquence, le capitalisme doit réussir et les profits doivent être garantis. Cela signifie, inévitablement, un effort constant pour accroître l’exploitation de la classe ouvrière. Thatcher s’est employée à cette tâche avec une précision militaire en menant son attaque sur trois fronts : retirer les subventions de l’État aux industries défaillantes et permettre une augmentation massive du chômage ; promulguer des lois afin de restreindre la capacité des syndicats à résister ; et provoquer des grèves que le gouvernement savait pouvoir briser. Les choses se sont passées comme prévu. Alors que les usines étaient obligées de fermer les unes après les autres et que les industries tombaient en faillite, le chômage augmentait rapidement. La plupart des dirigeants syndicaux, des sociaux-démocrates de droite, ont choisi de ne pas mobiliser les militants alors que beaucoup étaient prêts à se battre. Cet échec, largement passé sous silence dans l’histoire écrite par la classe dominante, a joué un rôle important dans le succès de Thatcher. Avec tant de personnes sans emploi, il était plus difficile de défendre les salaires et les conditions de travail. « Si vous ne voulez pas travailler dans ces conditions, dix autres personnes sont prêtes à prendre votre place. » Les nouvelles lois ont été violentes. Les travailleurs ne pouvaient pas décider la grève lors d’une assemblée générale. On devait voter par correspondance, l’employeur se donnait ainsi le temps de se préparer et la presse pouvait faire campagne contre un éventuel débrayage. Seule une poignée de piquets de grève pouvaient s’opposer aux briseurs de grève lorsqu’ils essayaient de se rendre au travail. Le rapport de force entre classes sociales tournait fortement à l’avantage des employeurs. Les grèves étaient manipulées de telle sorte que les syndicats les plus fragiles étaient entraînés dans des combats qu’ils ne pouvaient pas gagner, à commencer par les sidérurgistes. Le syndicat le plus puissant et le plus politisé a été le dernier à rendre les armes. La grève des mineurs, en 1984, a duré un an et cette bataille a été cruciale. Le mouvement ouvrier a bénéficié d’un grand soutien de la base, mais, là encore, les leaders syndicaux se sont tenus à l’écart. Les dirigeants du parti travailliste, Neil Kinnock et Roy Hattersley, ont refusé d’apporter leur soutien aux grévistes. Ils se sont joints à la longue et honteuse liste de ceux qui ont accédé au pouvoir sur le dos des travailleurs et des travailleuses, mais qui les ont abandonnés quand ceux-ci avaient besoin d’eux. Les mineurs ont été vaincus. Et le néolibéralisme s’est poursuivi sans autre obstacle sur sa route. Les leçons ? Premièrement, le conflit entre les intérêts du capital et ceux du travail est au cœur même du capitalisme. Le grand capital cherchera toujours de nouvelles façons d’exploiter les travailleurs. C’est dans son ADN. La coexistence pacifique est vouée à l’échec. Le marché à vocation sociale est un mythe. Deuxièmement, le peuple se défendra toujours. La pauvreté, l’injustice, l’inégalité et le fait de savoir que l’on vous trompe – tout cela fera l’objet de résistances. Le peuple est courageux et a le sens de ce qui est juste et équitable. Mais cet engagement n’est pas suffisant et conduit à la leçon suivante... Troisièmement, il est essentiel qu’un mouvement de rupture avec le néolibéralisme soit guidé par de solides principes tout en ayant une stratégie politique avisée. Les responsables de ce mouvement doivent comprendre que la classe dominante est impitoyable. Toutes les avancées que les travailleurs peuvent conquérir doivent être consolidées et sécurisées et, en fin de compte, ne peuvent être sauvegardées que par la prise du pouvoir politique. Nos acquis de 1945, à savoir les nationalisations, le service de santé publique, l’éducation gratuite pour tous et bien d’autres choses encore, ont soit disparu soit sont en train d’être balayés à mesure que le capital continue de se développer. Le militantisme sans un puissant mouvement politique de rupture est comme la vapeur d’une bouilloire, il se dissipe dans l’air. Quatrièmement… pourquoi faut-il garder espoir ? Le capital n’est jamais rassasié. Il peut gagner une bataille, trouver de nouveaux modes d’exploitation, mais la concurrence acharnée oblige les gros employeurs à toujours trouver d’autres moyens de tirer des profits. Il faut alors mener une nouvelle lutte. Le cycle se répète sans cesse. Chaque tour de roue est donc une opportunité. Pouvons-nous nous organiser, nous défendre et gagner la prochaine fois ? Et, pour finir, mon avertissement. Il n’est plus possible que cette lutte se poursuive indéfiniment. Le changement climatique et la menace qui pèse sur l’environnement nous mettent en danger de façon imminente et rendent d’autant plus urgente la nécessité d’un changement fondamental. Rosa Luxemburg posait cette question : « Socialisme ou barbarie ? » Aujourd’hui, la question est celle-ci : Le socialisme ou la mort ?
Ken Loach - Socialisme ou la mort ? 
45 notes · View notes
carraways-son · 9 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Samedi
En haut, le ciel de cette fin de journée. Si heureusement commencée auprès de mes amours dans l'hiver kyôtoïte, cette année du Lapin se sera vite assombrie pour s'achever dans la tristesse, le chagrin, puis dans une ambiance générale proche de l'écœurement. Je n'ai plus le temps ni le goût de m'adapter aux épreuves de la vie, à l'actuelle tournure du monde. Alors ? Toujours plus de livres, de films, de musique, de whisky, de silence, d'océan, de compagnie raréfiée d'êtres aimés. Que nous réservera 2024 (qui me verra fêter ma 10e année sur Tumblr) ? Je me presse de vous/nous souhaiter une Nouvelle année tendre et fraîche, gaie et légère, juste et profonde, plus libre, inattendue, inespérée, et je vous embrasse.
9 notes · View notes
claudehenrion · 7 months
Text
Au fond... pourquoi plus rien ne marche ?
En parcourant la Presse –c'est-à-dire avec des pincettes, pour tenter d'approcher une vérité que ''le système'' (quoi que l'on mette derrière ce mot) se donne un mal de chien pour triturer et rhabiller ''comme le veut la doxa''--, on est frappé par une chose : par un effet ''boule-de-neige'', les choses qui fonctionnent vraiment mal entraînent dans le sillage de leur échec des pans entiers qui pourraient aller bien... sans les efforts que font nos ''meneurs'' pour tout déglinguer... (le cas-type, ce sont c'est les efforts absurdes dépensés pour mettre la France en iso-état de guerre de facto avec la Russie.).
La désaffection générale, qui touche toutes les classes sociales, tous les secteurs de l'activité, tous les âges, n'est une bonne nouvelle pour personne. L'impuissance profonde de l'Etat régalien, la désintégration des corps intermédiaires, l'épuisement des institutions, la décrédibilisation des élus, l'épuisement des institutions et l'aberration qui confond ''transparence à tout prix'' et ''démocratie au rabais'', dégoûte tous les citoyens de s'intéresser à la ''Res Publica'', ce qui explique sans doute pourquoi, au moment où se préparent des ''élections européennes'', on voit les partis hostiles à ce qu'est devenue l'Europe caracoler loin devant les tenants de la ''doxa'' –dont personne ne semble vouloir. Et au lieu de chercher à oblitérer les angoisses de nos concitoyens, les partis au pouvoir ne savent qu'insulter tous ceux qui ne partagent pas leur fantasme-repoussoir : sentant se lever (enfin) le vent libérateur de sa défaite, attendue par tant de braves citoyens, le ''système'' ne sait que se répandre en haine primaire contre tout ce qui n'est pas lui.
En fait –et à ce jour-- une campagne européenne digne de ce nom, devrait séparer la politique politicienne, ''macrono-court-termiste'' et ''européo-von der machinée'', des vrais problèmes, qu'ils soient immédiats ou à plus long terme. Conseils aux candidats : interdisez-vous de ne parler que de faux problèmes... et évitez la dialectique puérile qui semble être devenu le seul ''savoir faire'' de la majorité actuelle. (NB : je propose le néologisme ''savoir-ne-pas-faire'', pour désigner... la seule chose que savent faire les nuls en place : rien !).
A ce jour, les deux seuls sujets autorisés sont le droit des femmes et l'Ukraine, mais qui ont perdu en chemin le vrai sens de chacun des mots employés, pour ne plus signifier, contre toute raison  : ''des divagations tous azimuts autour d'un sancti-sacralisé ''Droit des Femmes'' privé de tout sens raisonnable et rationnel''... pour l'un, et, pour l'autre : ''des considérations de comptoir autour du désir –jamais démontré et pour cause, mais rabâché ''H24'', pour faire peur aux foules-- de Poutine d'envahir le monde entier... alors qu'il n'arrive déjà pas à arraisonner l'Ukraine''
(NDLR : On en profite pour rappeler que cette ''crise'', bien au delà des chiffres officiels de l'aide française, grossièrement sous-estimée à 7 ou 8 milliards d'Euros, vole à nos contribuables pressurés, à nos paysans contraints au suicide, à nos industries, à nos ménages, à nos finances, à notre inflation, à nos fins de mois et à notre dette --''excusez du peu'' !-- un fardeau qui dépasse déjà les 20 milliards, soit 1 point de PIB. C'est gigantesque ! On n'aura pas besoin que Macron arrive à nous foutre réellement en guerre contre son fantasme puéril –ce qu'il appelle ''Poutine''-- pour que notre pays entérine son état d'exsanguination. On aura l'air encore plus malin que maintenant, et ce n'est pas peu dire !).
''On'' nous répète sans arrêt qu'une des définitions du ''Populisme'', c'est d'évacuer toute nuance, de surjouer l'affrontement ou la menace d'affrontement, de caricaturer l'adversaire qui doit être présenté comme un ''diable'', ou un fou, un gâteux, un grand malade ou un aliéné, et d'inventer des adversaires imaginaires...Eh ! Bien, il serait temps de se demander sérieusement qui ''rentre'' le mieux dans cette définition : est-ce vraiment Trump, Poutine, Orban, ou Javier Milei –après Bolsonaro, juste à côté), qui sont présentés, quoi qu'ils fassent, comme des réincarnations de Belzébuth ou de Méphisto... ou ne serait-ce pas plutôt les quelques grands malades qui mènent à sa ruine un Occident de plus en plus abandonné par tous les autres pays du monde, l'un après l'autre ? Ça fait un drôle d'effet de nous retrouver, nous, dans la posture ridicule de Khomeini qui accusait les USA d'être ''le grand satan'' dans les années '80 ! (Pour Macron et von der Truc, c'est Poutine qui est l'incarnation du Vilain).
(NDLR - 2 : Curieusement, on peut noter au passage que ''conservateur'', cette si enrichissante qualité, correspond au mal absolu, dans le jargon ésotérique de la ''Gôche''... cela seul justifiant qu'on la rejette ! Car le vieux ''catho'' qui sommeille en moi (et qui se réveille, parfois !) ne peut pas s'empêcher de citer Saint Jean : ''La lumière est venue dans le monde et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises et que celui qui fait le mal refuse la lumière, de peur que ses œuvres ne soient vues pour ce qu'elles sont'' (Jn2, 13-25). Une bien belle idée, rendue éternelle en peu de mots ! ).
Pour être complets sur ce sujet, il faut dire que deux sujets connexes (con-nexes serait meilleur, puisque le suffixe ''nexe'' veut dire ''qui ressemble à''... ) vont sans doute être autorisés dans cette campagne de désinformation ''à propos de l'Europe (?)'' : (1)- La vision –totalement dépassée, mais prédominante chez… ceux qui la partagent-- d'une Europe-déïté, que l'on peut adorer, mais pas critiquer... et (2)- La marotte périmée (et sortie des préoccupations de la science) des menaces sur le climat qui auraient la préséance sur tout autre sujet (souvenez-vous de l'avalanche des ''La maison brûle'', il y a trois ans, à propos du CO² !).
Depuis... je n'ai pas remarqué que l'incendie en question ait changé quoi que ce soit, sur qui que ce soit, où que ce soit : on parle d'autre chose ! De toutes les idéologies destinées à ''foutre la panique'', il ne reste que leur néfaste, coûteuse et inutile ''transition climatique'' dont l'économiste David Thesmar, Professeur au prestigieux MIT, écrivait hier (le Figaro) : ''La Cour des Comptes estime que le coût supplémentaire de leur ''transition écologique'' représente un surcoût équivalent à 5 % du PIB, et est en croissance''. Que de problèmes sérieux, vrais et graves, ne seront jamais résolus, par la faute de cette ponction insane !
Je ne crois pas inutile de préciser que les faits et les chiffres rappelés dans les paragraphes qui précèdent ne sont pas sortis de mon cerveau indigent (que je verrais très bien affublé, par la ''nullo-cratie'' au pouvoir, des insultes habituelles de nos ministres, y/c le premier, pour camoufler leurs échecs dans à peu près tous les domaines : ''Ah ! Non, M'sieu l'Agent ! C'est lui qui me provoque : il fait rien que de dire ce que je veux pas qu'il dise !''. Je leur propose de m'accuser d'être, en vrac... de droite, extrémiste, conservateur, complotiste, ''tradi'', et islamophobe, raciste, ''me too'', xénophobe, voire féminicide... et que sais-je encore ! Que d'honneur ils me feraient : il n'est plus grande gourmandise que de se faire insulter ''à contre-rôle'' par quelqu'un que l'on méprise !
Mais revenons à notre sujet : franchement, vous avez envie, vous, de vivre, de voter, de ''vous crever la paillasse''... dans le pays qu'ils ont salopé en détruisant tout ce qui valait la peine d'être français, et en remplaçant tout ce qui faisait qu'il faisait bon y habiter par des dystopies dont aucun esprit sain ou simplement normal ne voudrait envisager jusqu'à l'existence ? Le titre de cet éditorial est : ''Au fond... pourquoi plus rien ne marche ?''. Et... la réponse est : ''C'est, en grande partie, parce que... EUX !''.
H-Cl.
4 notes · View notes
Text
Pour atteindre le bonheur, optez pour une voyance par téléphone immédiate : Comme pour tout voyage, il est essentiel de bien préparer ses bagages pour avoir une expérience agréable. La voyance par téléphone immédiate peut vous donner l'assurance de réussir votre parcours grâce à des prédictions fiables et sérieuses qui vous guideront sur la voie la plus sûre et la plus passionnante.
Les cinq points forts de la voyance par téléphone immédiate au 0892 22 20 22 (et vous pouvez en profiter maintenant) : 1) Précision : contrairement aux prédictions générales que l'on peut lire dans la presse, notre voyance par téléphone immédiate vous offre une consultation personnalisée avec des prédictions qui vous concernent directement. 2) Empathie : nous savons que chercher des réponses sur son avenir peut être une expérience émotionnelle forte. C'est pourquoi notre équipe est empathique et compréhensive, créant un environnement propice à l'expression de vos préoccupations sans jugement. 3) Expertise : notre équipe de voyance par téléphone immédiate utilise tous les arts divinatoires pour vous fournir des informations qui vous aideront à mieux vous comprendre et à apporter des changements positifs dans votre vie. 4) Confidentialité : nous respectons la confidentialité de vos informations personnelles et veillons à ce que toutes les informations partagées pendant une lecture restent strictement confidentielles. 5) Rapidité : notre voyance par téléphone immédiate est accessible 24h/24 et 365 jours/an, ce qui vous permet de bénéficier de prédictions rapides en cas d'urgence ou de décision importante à prendre. Notre objectif est de vous aider à vivre pleinement votre vie en vous aidant à atteindre le bonheur
Tumblr media
22 notes · View notes
kp777 · 1 year
Text
By Olivia Rosane
Common Dreams
Sept. 4, 2023
ActionAid found that since the Paris agreement, banks have funded the largest Big Ag companies doing business in the Global South to the tune of $370 billion and the fossil fuel sector to the tune of $3.2 trillion.
Since the international community promised to limit global heating to 1.5°C above preindustrial levels, the world's major banks have funneled 20 times more money to climate-polluting industries in the Global South than Global North governments have given those same countries to address the climate emergency.
That's just one of the findings of How the Finance Flows: The Banks Fueling the Climate Crisis, an ActionAid report released Monday.
"This report names the biggest offenders in the banking world and calls on them to see that they are destroying the planet, while harming the present and future for their children," Ugandan climate activist Vanessa Nakate wrote in the foreword. "It's time to hold financial institutions to account, and demand that they end their funding of destructive activity."
The report focuses on the financing of two major climate-heating industries in the 134 nations of the Global South: fossil fuels and industrial agriculture.
"People generally know that fossil fuels are the number one cause of greenhouse gas emissions. But what is less understood is that industrial agriculture is actually the second biggest cause of climate emissions," Teresa Anderson, the global lead on climate justice at ActionAid International, said during a press briefing ahead of the report's release.
This is because of the sector's link to deforestation, as well as the emissions required to produce industrial fertilizers, she added.
In total, since the 2015 Paris agreement, banks have funded the largest Big Ag companies doing business in the Global South to the tune of $370 billion and the oil, gas, and coal sectors to the tune of $3.2 trillion.
"Global banks often make public declarations that they are addressing climate change, but the scale of their continued support of fossil fuels and industrial agriculture is simply staggering."
The top three banks that invested the most in these sectors were the Industrial and Commercial Bank of China at $154.3 billion, China CITIC Bank at $134.7 billion, and the Bank of China at $125.9 billion. Citigroup came in fourth at $104.5 billion, followed by HSBC at $80.8 billion.
While China features prominently in the report as the world's largest economy, Anderson noted that much of what it produces ends up purchased by consumers in the Global North.
The top three banks in the Americas funding big agriculture and fossil fuels were Citigroup, JPMorgan Chase, and Bank of America. While Citigroup was the leading regional funder of fossil fuels, JP Morgan Chase gave the most to industrial agriculture.
In Europe, the top funders after HSBC were BNP Paribas, Société Générale, and Barclays, while Mitsubishi UFJ Financial rounded out the top Asian funders.
Where is all that money going? When it comes to agriculture, the leading recipient was Bayer, which bought out Monsanto in 2018. Banks have given it $20.6 billion to do business in the Global South since 2016.
Much of the fossil fuel money went to China's State Power Investment Corporation and other Chinese companies; commodities trader Trafigura; and the usual fossil fuel suspects like ExxonMobil, BP, Shell, Saudi Aramco, and Petrobras.
"This is absurd," Anderson said of the findings. "Global banks often make public declarations that they are addressing climate change, but the scale of their continued support of fossil fuels and industrial agriculture is simply staggering."
ActionAid called the report the "flagship" document of its Fund Our Future campaign to redirect global money from climate crisis causes to climate solutions. The report calls on banks to make good on their climate promises and stop funding fossil fuels and deforestation, as well as to put additional safeguards in place to protect the rights of local communities, raise the ambition of their goals to reach "real zero" emissions, and improve transparency and other measures to make sure the projects they fund are behaving ethically.
youtube
"This can be stopped," Farah Kabir, the country director of ActionAid Bangladesh, said during the press briefing. "The banks cannot continue to fund fossil fuel industries and industrial agriculture."
In addition, the report offers recommendations to Global North governments to ensure a just transition to a sustainable future for everyone. These included setting stricter regulations for the banking, fossil fuel, and agricultural industries as well as ending public subsidies for these sectors and channeling the money to positive solutions like renewable energy and agroecology.
However, the form that funds take when sent to the Global South makes a big difference, said ActionAid USA executive director Niranjali Amerasinghe. Instead of coming in the form of private loans, it needs to be in the form of public money.
"Providing more loans to countries that are already in significant debt distress is not going to support their transition to a climate-compatible future," she said.
One reason that loans are counterproductive is that nations that accept them are forced to provide a return on investment, and currently the main industries that offer this are in fact fossil fuels and industrial agriculture.
In addition to public funds, debt forgiveness or restructuring and new taxes could also help these countries with their green transition. If companies like Exxon or Bayer doing business in the Global South "were taxed in an equitable way, that would allow those governments to raise public revenue that can then be used to support climate action," Amerasinghe said.
In particular, the report emphasizes agroecology as a climate solution that should be funded in Global South countries.
"Climate change is real in Zambia."
Mary Sakala, a frontline smallholder farmer from Zambia, spoke at the press briefing about how the climate crisis and current agricultural policy put a strain on her community.
"Climate change is real in Zambia," she said, adding that it had brought flooding, droughts, pests, and diseases that meant that "families currently, as I'm speaking right now, sleep on an empty stomach."
Sakala saw hope in agroecology, which would help with food security and resilience, and make farmers less dependent on the government and large companies.
"We need policies to allow [us] to conserve our environment in a cultural way, to help us eat our food," Sakala said. "We want… every seed to be utilized and saved and shared in solidarity."
And she said that the companies and governments of the Global North have a duty to help them get there.
"Those people who are continuing to pollute and let the climate change increase, those people need to pay us, because we are suffering from the things that others are doing," she said.
Our work is licensed under Creative Commons (CC BY-NC-ND 3.0). Feel free to republish and share widely.
5 notes · View notes
salimsellami · 1 year
Text
♥ Egypt Papers : Une journaliste de Disclose en garde à vue
La direction générale de la sécurité intérieure (la DGSI) a perquisitionné ce mardi 19 septembre le domicile d‘Ariane Lavrilleux. La journaliste du site d’investigation Disclose a été placée en garde à vue. C’est une attaque d’une rare violence contre la liberté de la presse. Ariane Lavrilleux, journaliste qui travaille notamment pour le site d’investigation indépendant Disclose, a été placée en…
Tumblr media
View On WordPress
3 notes · View notes
Photo
Tumblr media
BLOCAGE GAI SAVOIR ET ASSEMBLEE GENERALE UNIVERSITE TOULOUSE JEAN-JAURÉS 300 étudiants, enseignants et personnel de l’université pour cette Assemblée Générales de l’université Toulouse Jean-Jaurès, prises de parole et votes piquet de greve des cheminots et éboueurs, coordination des étudiants a Paris, greve et journées nationales de mobilisation, l’interdiction des cours en distancies, Le soutien à l’occupation du Gai Savoir. Etc. France, Toulouse le 28, mars 2023. Prise de parole de Anouk, étudiante en cinéma, @lepoingleve_tlse ➡️ #AbacaPress #Abaca #Photographie #presse ➡️ #retraites #Fac #universite #JeanJaures #blocage #Toulouse #reformedesretraites #photographie #femmephotographe #photodocumentaire #press #photographie #leicawomenfotoproject #leicawomen #myleicaphoto #femmes #photojournalisme #toulouse #LeicaCameraFrance #LeicaCamera #Leica 📸 photo @patricia.huchot_boissier / @_abaca_ Série disponible sur #PixPalace & #Reuters https://linktr.ee/p.huchotboissier SNJ / Card number F1275 - IFJ (à Université Toulouse - Jean Jaurès) https://www.instagram.com/p/CqYwD5QD7ne/?igshid=NGJjMDIxMWI=
7 notes · View notes
iweb-rdc001 · 1 year
Text
Carnage de Goma : Patrick Muyaya et Peter Kazadi font le point de la situation générale
Le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières, Me. Peter KAZADI KANKONDE et le Ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick MUYAYA KATEMBWE ont co-animé un Briefing Presse ce mercredi 06 septembre 2023. Au menu des échanges, les conclusions de la Commission interministérielle sur les événements survenus le 30 août 2023 à…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
if-you-fan-a-fire · 1 year
Text
Tumblr media
"La grève continue dans la chaussure," La Presse. August 10, 1943. Page 8. ---- Les 400 ouvriers de l'industrie de la chaussure qui ont déclaré la grève hier matin en vue d'obtenir des vacances payées sont encore inactifs, aujourd'hui. Ces grévistes sont employés dans les ateliers de la Fix Shoe Company, de la LaSalle Slippers Co. et de la Dominion Shoe. Un représentant de la compagnie nous affirme, toutefois, qu'il n'y a pas de grève à la Dominion Shoe.
L'agent d'affaires du Syndicat des cordonniers, E. Ernest Saint-Amand, a déclaré avoir eu des entretiens dans la journée, avec deux des compagnies où les employés sont en grève. On n'a pas toutefois, conclu d'entente. Les pourparlers continuent aujourd'hui.
L'agent d'affaires précise, d'autre part, que la réception d'une lettre de l'Association des manufacturiers de chaussures, vendredi dernier, a empêché les membres de déclarer in grève générale hier matin, L'Association a accepté de donner des vacances payées.
1 note · View note
mariacallous · 2 years
Text
Protests in Iran spurred by the death of 22-year-old Mahsa Amini at the hands of the country’s so-called morality police have continued, with escalations by the regime—including the executions of a well-known wrestler and a dual national—failing to dampen public anger. Looking for a silver bullet to silence its restive public, Tehran has failed to find one. But the Iranian people have failed equally, being yet unable to find their own silver bullet to topple the ayatollahs for once and for all.
But it may be that bullet exists: corruption. And it’s lacking only a responsible Western power to pull the trigger.
Before digging into the ordure of Iranian official thievery, take a moment to recall the tales of other deposed regimes. In too many cases, leaders and cronies of various tyrannies were fully fledged members of the community of nations—with a seat at the United Nations, reception at the White House, and/or a nose at the U.S. taxpayer’s trough, among other seals of approval—only to be ousted and for the world to discover with shock—shock!—that the despot had been skimming billions of dollars from their country’s coffers.
Remember Washington’s dear pal, former Egyptian President Hosni Mubarak—a Camp David attendee who conducted annual visits to Washington and received tens of billions of dollars in U.S. military and economic assistance? He was ousted in 2011, but his corruption was legend inside Egypt—unofficially, of course—with only the smarmiest of admirers ignoring its manifest evidence. It should have been obvious in Washington as well. Mubarak owned property in Beverly Hills, a share of resorts in the Egyptian seaside city of Sharm el-Sheikh, and houses in London and New York. Experts estimated his fortune at a cool $70 billion, with his two kids also allegedly billionaires.
Or how about former Iraqi leader Saddam Hussein, who had been Washington’s darling before that embarrassing 1990 invasion of Kuwait. Throughout the 1990s, he used a United Nations-administered oil-for-food program to skim millions of dollars for his and his sons’ personal profit, with some of his dealings also reportedly enriching then-Russian President Boris Yeltsin and a young Vladimir Putin. The U.S. government was also well aware of Saddam’s evasions of oil sale restrictions, including to U.S. allies in Jordan, Turkey, and the Persian Gulf. (By the way, guess who was also profiting from Saddam’s dirty business? Iran’s Islamic Revolutionary Guard Corps, or IRGC. Also, one-time U.S. ally in the war on terrorism Syrian President Bashar al-Assad.)
And then there was former Libyan leader Muammar al-Qaddafi, the same Qaddafi who sponsored the downing of U.S. carrier Pan Am Flight 103 over Lockerbie, Scotland, in 1988, killing all 259 people aboard as well as 11 people on the ground. True, he was no one’s darling, even after a brief post-9/11 rapprochement with the West. But after then-U.S. President Barack Obama finally turned on the aging Qaddafi in 2010, implicitly supporting the Libyan mobs that ultimately captured and killed him, the press professed itself shocked: “As Libya takes stock, Moammar Kadafi’s hidden riches astound,” the Los Angeles Times marveled. The mercurial Qaddafi was discovered to have more than $200 billion stashed around the world. The kicker? Around $37 billion were reportedly in U.S. banks.
And like his neighbor Mubarak, the Libyan dictator shared with his kids, as did everyone seeking to curry favor with the leader. A friend of his son Saif earned $58 million in “advisory fees” from French financial services firm Société Générale, per Transparency International. The international anti-corruption watchdog also noted a Canadian company with Qaddafi’s daughter-in-law on its payroll. In 2019, the Independent reported on a “deadly web of global corruption” that risked entangling Canadian Prime Minister Justin Trudeau. The stories go on and on and on. And apparently, someone is still stealing the money Qaddafi stole first.
As this litany makes clear, any exposé of kleptomania in the Middle East could stretch for terabytes. Lebanon alone suffers from titanic levels of elite and government corruption that have destroyed what little Iran and Syria have left for the Lebanese people. Also clear is that most (though not all) such corruption is revealed after the fact; serious U.S. government action against corruption in, for example, Russia only came after Putin’s second invasion of Ukraine in 2022.
Which brings us to Iran.
There was a time when both Sunni and Shiite Islamists prided themselves on their resistance to the corruption endemic in the Middle East, but those days are long gone. Infamous former Iranian President Ali Akbar Hashemi Rafsanjani was said to have millions of dollars to his name. Anti-regime organization United Against Nuclear Iran runs through a timeline of official thievery, detailing billions of dollars stolen inside the Iranian oil ministry, billions more embezzled from state banks, tiny percentiles of government appropriations for health actually spent on medicine and supplies. After current Iranian President Ebrahim Raisi was appointed to run the nation’s judiciary in 2019, his predecessor was nailed for depositing bail money into 63 different bank accounts to the tune of almost $100 million.
Some of this corruption has been detailed in domestic newspapers and reports inside Iran. But the closer to the top the miscreant gets, the less likely there is to be any news. Infamously corrupt former senior IRGC officer and Tehran mayor Mohammad Bagher Ghalibaf allegedly bribed state officials to avoid fraud charges. Former IRGC-Quds Force Commander Qassem Soleimani was also implicated, with all revealed in a leaked recording.
The story received extremely limited coverage inside Iran because of Ghalibaf’s ties to Supreme Leader Ali Khamenei and Soleimani’s so-called martyrdom. Indeed, Khamenei slammed newspapers for reporting the story at all, labeling the leaks as enemy efforts to “[slander] the central elements that played a role in the advancement of the revolution; one day it’s the Majles [Iran’s parliament], one day it’s the Guardian Council, and one day it’s the IRGC. Today, it’s the IRGC’s turn. Today, they slander the IRGC and try to tarnish it and the great martyr Soleimani.”
Khamenei similarly swept sexual assault charges away in the case of a favored Quranic orator, censured newspapers and ministers that reported on corruption within the government, and denounced charges of corruption against former Chief Justice Ayatollah Sadeq Amoli Larijani, who was accused of tolerating widespread theft. (His former deputy was actually arrested for financial crimes in 2019.) Larijani was ultimately replaced by Raisi, who is now considered a likely candidate to replace the ailing supreme leader after his death. And when Rafsanjani began detailing Khamenei’s sons’ vast wealth in 2016, his own son was quickly arrested and sentenced to 10 years in prison.
Opposition cleric Mehdi Karroubi, who has been under house arrest since 2011, wrote an open letter to the supreme leader in 2018, accusing him of tolerating systemic corruption and impoverishing tens of millions of Iranians while enriching a small elite. “Under such conditions,” he warned, “it is natural that the lower classes, who were the grassroot supporters of the Islamic Revolution, will turn into a gunpowder barrel.”
Given widespread awareness of corruption inside Iran, curious people may wonder why additional sordid details could tip the balance of what is already a widespread revolution inside Iran. But there is a huge hole in reporting on graft at the most senior levels of Iran’s government, with allegations about Khamenei’s own crimes appearing only on exile and hostile foreign websites.
In short, Khamenei does not want his citizens (or lesser government officials) to know about the breadth of his own sins. And small wonder: Iran’s own Ministry of Cooperatives, Labour, and Social Welfare reported in January that around 60 percent of the country’s 84 million people live below the poverty line, with one-third living in “extreme poverty”—double the number of the previous year.
Far from blaming the United States or international sanctions for their strife, Iranians have made clear they blame their own government. Were they to know in real time—rather than after the fact, Qaddafi- and Mubarak-style—just how much money their supreme leader and his cronies had stolen, it could, as Karroubi warned, tip the balance and finally turn the regime’s remaining supporters in the security forces and the public against them.
How could this happen? Trump administration officials accused Khamenei of being worth around $200 billion. (A previous Reuters investigation detailed assets worth at least $95 billion.) But that’s the extent of U.S. government jabs at the supreme leader. Much as the Trump administration began detailing Khamenei’s personal wealth, the U.S. and European governments could begin unraveling the web of concealed assets owned by the supreme leader and his family—and act on the information.
Subsequent to Iraq’s invasion of Kuwait, the U.S. government froze Saddam’s assets. Ditto the assets of Qaddafi and his cronies once the United States decided he had to go. True, some of these assets were sovereign—nominally the foreign government’s money. But not all. So why wait? If corrupt enemies of the United States can have their assets frozen in the event of their ouster or war, then why not do it preemptively? As the Biden administration has made crystal clear in the case of Russian oligarchs and Putin’s cronies, it has the legal authority to freeze the proceeds of corruption.
Most of the Middle East’s late dictators had money and real estate in the United States under the jurisdiction of the U.S. federal government. The United States has multiple avenues to communicate details to the Iranian people, whether through whatever U.S. press leaks in, Persian-language Radio Farda (part of U.S.-funded Radio Free Europe/Radio Liberty), or the U.S. president’s own bully pulpit.
If, as senior U.S. officials have suggested to me, corruption is truly the Iranian regime’s Achilles’ heel, isn’t it time someone started exploiting that weakness to the benefit of the long-suffering Iranian people?
2 notes · View notes
bachassclub · 2 years
Photo
Tumblr media
  Le document ci-dessus représente les élus putschistes de l’automne 2021, réunis chez Robert Barde (maillot rayé, à droite) dans la salle de réunion de son entreprise de Bourg-de-Péage : issu.e.s de la majorité de Lysiane Vidana, élu.e.s avec elle en juin 2020 à la mairie de Chabeuil, ils créent ici un groupe d’opposition, Agir pour Chabeuil et convoquent la presse pour l’annoncer. A ce moment de leur aventure politique, ils veulent rester au Conseil municipal, et ne comptent pas en démissionner : Ils souhaitent ainsi pousser la maire de Chabeuil à la porte, pour...mettre l’un des leurs à sa place, sans élection générale, sans passer devant les électeurs. Mais Lysiane Vidana n’a pas cédé : il leur a donc fallu in fine démissionner du Conseil, provoquant mi-décembre son effondrement par une dissolution préfectorale qui appelait de nouvelles élections, en février 2022. ©Marlène Honorat. On reconnait sur sa photo (Drôme-Hebdo du 18 novembre 2021), de gauche à droite : Jean-Emmanuel Grégorio (à gauche, lunettes, grimace), Alban Pano (écharpe blanche), Thérèse Merit (doudoune, pull rayé) et Robert Barde, tous finalement co-listiers d’Alban Pano, tous élus avec lui en 2022, seuls bénéficiaires, électoralement parlant du putsch. Au centre (moustache), on reconnait le désormais tristement célèbre Patrice Courthial, maître d’oeuvre du coup d’état, ‘proclamé leader du groupe’ dans cette conférence de presse ; il n’aura cependant pas le courage de se (re)présenter devant les électeurs. 
UN AN DE PANO, ÉPISODE 1 : TOUT A COMMENCÉ PAR UN POUPOUTSCH, SAUCE CHABEUILLOISE...
Cet hiver, la mi-décembre marquait le premier anniversaire de la publication de l’arrêté préfectoral du 16 décembre 2021 qui signifiait la fin brutale du mandat de Lysiane Vidana, élue seulement 16 mois plus tôt, en juin 2020. La préfète de la Drôme convoquait par la même occasion les ‘électeurs de la Commune de Chabeuil en vue de l’élection partielle intégrale de 29 conseillers municipaux’ les 6 et 13 février qui allaient suivre. Épilogue lapidaire d’un sinistre coup d’état manoeuvrier conduit par une camarilla d’élus regroupée autour de Patrice Courthial, adjoint à l’urbanisme et caïd du régime Vidana. Un an plus tard, on peut reconstituer le déroulé des faits, au regard de nouveaux documents, et de nouveaux témoignages. Parce qu’il faut connaître mieux ce passé récent -et violent- si l’on veut comprendre bien la situation politique actuelle à Chabeuil, où la vie publique semble baignée d’une béatitude surjouée, témoin d’un irénisme absurde. L’élection dégagiste de février 2022 qui s’en est suivie, tenue après une campagne fébrile qui a raclé les fonds de tiroirs du personnel (exception pour la tête de la liste Pertusa) politique local, et la première année de gestion d’une équipe Pano toute nouvelle et inexpérimentée, feront l’objet d'un épisode 2, à paraître bientôt, quand on pourra marquer correctement l’anniversaire de l’élection d’Alban Pano à la mairie de Chabeuil et bien lire le ‘panotisme’ dans tous ses attendus. Dans ces deux articles, on entendra entre autres la voix de Lysiane Vidana, qui jugera de tout ça, sans concession pour les putschistes. Et avec une lucide sévérité quant à ses propres erreurs et manquements avant et pendant la crise.
L’ARRÊTÉ DU 16 DÉCEMBRE, précisait très utilement les contours des dates des nombreuses démissions qui avaient mis à mal le Conseil Municipal de Chabeuil dans les semaines qui avaient précédé : ‘vu les démissions successives des conseillers municipaux de leur mandat (…), effectives dès leur signification au maire et intervenues entre le 29 octobre et le 11 décembre et considère que ‘le conseil municipal, d’un effectif légal de 29 conseillers municipaux, a perdu, par l’effet des vacances survenues, plus du tiers de ses membres et [ne] compte  [plus que] 14 membres’. On était enfin fixé. Parce qu’entre le 26 octobre en fin de matinée où Patrice Courthial avait rendu ses délégations (urbanisme, etc...) et tonitruait publiquement cette annonce sur sa page FaceBook et la date de cet arrêté, Chabeuil avait vécu une période sinistre de ragots et de désinformation, d’enfumage et de rumeurs, sans que jamais les frondeurs ne donnent vraiment leurs raisons sur le fond, sans informer les chabeuillois de leurs désaccords avec la maire de Chabeuil. Drôme-Hebdo titrait même (4 novembre) : Démissions, un silence assourdissant. Une sale période de brouillard marécageux s’était ouverte, maussade, quand Chabeuil devait s’habituer aux coups de boutoirs désordonnés du clan Courthial. La presse locale jouait plutôt bien son rôle et égrenait tant bien que mal les démissions des uns, des unes et des autres, dressait la liste de leurs délégations abandonnées, pendant que Chabeuil s’enfonçait dans la crise politique, au rythme de ses informations. Point culminant mi-novembre avec la création d’un groupe fantoche, Agir pour Chabeuil, (voir donc photo ci-dessus) issu du groupe majoritaire, fort de 18 membres (sur 24 composant le groupe majoritaire élu en 2020) mais qui se plaçait par cette manoeuvre en opposition à Lysiane Vidana. Mais la date de la nouvelle élection était connue depuis qu’au début de la semaine du 6 décembre, Lysiane Vidana avait prévenu son entourage : ‘C’est fini…c’est fini…ça va aller vite…les imbéciles…’ Elle venait en effet de recevoir enfin les lettres officielles de démissions (du Conseil) et pouvait faire le total de celles qui étaient nécessaires pour effondrer le conseil municipal, et son mandat par la même occasion. Sur un ton triste et dépité, abattu, c’étaient bien sûr les patrons de la fronde en cours qui étaient visés, ‘les imbéciles...’,Patrice Courthial en tête, son instabilité, ses intermittences, épaulé par Pierre-Marie Dieval, adjoint à l’environnement, récemment rallié (issu d’une troisième liste, maintenue au 2e tour en 2020, siégeant d’abord dans l’opposition, il avait rejoint dès avril 2021 la majorité de Lysiane Vidana en dépit du bon sens des engagements pris auprès de ses électeurs). Et par Alban Pano, qui venait d’être élu conseiller départemental, qui s’était joint plus tardivement à l’intrigue. Pas un meneur celui-là, mais à tout le moins un suiviste prudent, moins brutal que le premier nommé, plus discret et plus constant que le second, attentiste pour tout dire, sorte de passager clandestin de la mutinerie. ‘Imbéciles’ parce que, quand ils ont lancé leur manoeuvre, ils ne mesuraient très visiblement pas jusqu’où ça mènerait la Commune : il leur semblait au début que Lysiane Vidana allait dégager tout simplement, par intimidation, laissant la place à son éphémère bras droit, Patrice Courthial, qu’ils allaient vaincre par brigue, voilà tout, par une sorte de déploiement factieux, à l’effet mécanique simple, comme un tapis roulant vers la sortie. Simpliste. “Ils sont paniqués, insistait-elle alors, dépassés par la situation, une situation qu’ils ont créée. Quel gâchis…” Elle n’avait pas cédé ; il leur faudrait démissionner du Conseil ; il faudrait donc de nouvelles élections générales. Ce qu’ils n’avaient pas prévu. Examinons ce qu’on sait maintenant, à la lumière des différents courriers que tout ce petit monde a échangé pendant la période de crise, et qui ont depuis refait surface.
[MAIS IL FAUT RAPPELER tout d’abord l’étrange situation où était rendu l’exécutif chabeuillois depuis le printemps 2021. Les départs du premier adjoint d’alors, Pierre Pellissier, accompagné notamment de celui d’Élodie Chambron, adjointe au Cadre de vie (les deux jeunes gens constituant à l’exécutif de Lysiane Vidana un fort pôle Environnement) ont seuls rendue possible la montée en puissance de l’adjoint à l’urbanisme, aspiré vers le haut, bouche-trou es fonction, par nécessité. Le dispositif décidé alors par le tandem Vidana-Courthial est lunaire, irréel. Dans leur système bricolé, Pierre Pellissier était censé rester premier adjoint en titre, mais remplacé ‘de fait’ (dans une réunion du groupe majoritaire dont on connait maintenant le détail, Lysiane Vidana avait dit : ‘vous vous adresserez à Patrice comme premier adjoint’). Refus évident de Pierre Pellissier, qui démissionne sans attendre, mais sans invoquer publiquement non plus les raisons qu’on vient de voir. Et pendant quelques mois, jusqu’au clash final, Patrice Courthial s’impose bien comme l’homme fort de la mairie, dans l’exacte mesure où Lysiane Vidana l’a imposé comme tel, proclamant même à ceux qui voulaient bien l’écouter encore des blagues du genre : ‘heureusement que je l’ai...’. Pierre Pellissier parti, c’est Chrystelle Bouvier qui va accepter, elle, de se prêter à cette pauvre comédie : Courthial en costaud des Batignolles, situation protocolaire que, dépassée, par les événement, elle accepte sans trop comprendre les enjeux ni les conséquences de la manoeuvre : elle couvre Patrice Courthial  de son faux nez de première adjointe en place. Rien de toutes ces extravagances n’a tenu, évidemment, comme on va le voir.] TOUJOURS EST-IL QU’AU DÉBUT DE L’AUTOMNE FATIDIQUE, notre caïd voudra aligner son titre sur sa situation de pouvoir ; il exigera le titre de premier adjoint, assorti d’un remaniement profond de l’exécutif, forçant la main de Lysiane Vidana. En effet, dans un mail du 10 octobre 2021, Patrice Courthial allait jusqu’à faire la liste de ses exigences, à savoir : ‘travailler avec Alban [Pano] sur les associations’, une ‘vue sur la police municipale’, ‘création d’un 8e poste d’adjoint’ et une très brouillonne ‘remise à niveau de l’ordre des adjoints’. Sans compter évidemment, ‘un vrai premier adjoint que tu n’a (sic) toujours pas et ce depuis 16 mois’. Avant de conclure  par un ultimatum : ‘j’ai besoin d’avoir des certitudes et des engagements de [ta] part (...) dans le cas contraire, je me verrai (sic. Décidemment...) dans l’obligation de rendre mes délégations. C’est à ce moment que ça craque. Lysiane Vidana réagissant tout aussitôt et déclarant (en substance) devant son groupe majoritaire que si Patrice Courthial n’y est pas arrivé avec les ‘pleins pouvoirs-SANS le titre’, il ne peut pas s’en sortir avec les pouvoirs ET le  titre de premier adjoint, qu’il revendique pourtant, et une charge de travail accrue. Vexé, il envoie alors tout péter, très vite. Le drame est noué : emportement brouillon du caïd versatile contre raideur et intransigeance de l’élue en place. Témoin ce compte rendu de réunion des adjoints du 22 octobre, rédigé par Patrice Courthial lui-même, où l’on peut lire les positions des deux parties, très clairement retranscrites, et maintenant irréductibles. On y voit que Lysiane Vidana n’a pas cédé aux exigences de son adjoint. Citations : -’j’ai pu constater le soutien que vous pouvez me porter les adjointes et les adjoints, encore une fois merci’ ; -’j’ai été profondément affecté au sujet de la conversation téléphonique entre Lysiane et Pierre-Marie (Vidana et Dieval) à savoir : mon incertitude, un coup je pars un coup je reste (effectivement je voulais rendre mes délégations en juin) ; -’mon mauvais caractère, soupe au lait’ ; -’mon échec dans le rôle de premier adjoint’.
Voilà, tout était dit, Patrice Courthial se disait ‘affecté’, il ne supportait pas ‘le doute porté sur (ses) compétences, ni l’évidence de son ‘échec’ dans le rôle de premier adjoint. Il s’agit donc bien d’une vexation. On note au passage l’aveu très explicite de cette situation ubuesque où Patrice Courthial avait été promu premier adjoint de fait. Il écrit bien en effet : ‘mon rôle de premier adjoint’. Et il devait conclure, mortifié : ‘[face au] doute porté sur mes compétences ne m’assurant pas une suite sereine dans la continuité de ma présence dans l’exécutif, j’ai pris la décision de rendre mes délégations, sans attendre la prochaine réunion’. Et cette mortification allait amener la catastrophe qu’on connaît et l’annonce de ce lâchage de Lysiane Vidana, avec les conséquences politiques, puis directement électorales, qu’on connaît maintenant. Par ailleurs, il se confirme à l’examen de ces courriers que la crise couvait depuis juin 2021. Patrice Courthial, insiste là-dessus et révèle qu’il a commencé dès cette date son chantage au départ . Textuellement : ‘ce mal être à commencer (sic) fin juin. La faute à qui ?’ Parmi toutes les raisons qui ont entravé la bonne marche de la Commune dans la délégation de Patrice Courthial (on pense au plantage du Plan Local d’Urbanisme), il faut donc ajouter celle-là : il avait depuis longtemps la tête ailleurs, à son ‘mal-être’, à ses intrigues, et à ses menaces. A sa fatigue, comme on verra plus bas.
DE SOURCE TREMPIL. Autre source, qui montre la lente maturation de la colère courthialiste, très en amont de la crise de l’automne 21. Ça provient de l’entourage  de Cécile Trempil, qui était, à ce qu’il apparaît maintenant, au courant, dans les grandes lignes, des démarches destructrices de Patrice Courthial. A tout le moins de ses embardées. [Rappel : Cécile Trempil avait été de l’aventure dievaliste et tenait souvent la plume de Pierre-Marie Dieval ; elle lui tenait lieu de cerveau gauche, côté rationalité technocratique (mais on ne l’appelait pas encore WikiTrempil, ça allait venir...) en tous cas  dans l’affaire du recours contre le règlement intérieur que voulait instituer Lysiane Vidana. Son mari Patrice Trempil, était quant à lui dans le haut de la liste Cultivons Chabeuil de juin 2020). Et puis, quand Dieval  avait rallié la majorité de Lysiane Vidana, les Trempil avaient quant à eux rejoint le groupe de gauche-écologiste, Le Chemin des possibles.] Rembobinage rapide : dès la fin du printemps, Cécile Trempil se flatte des demandes d’explications de Patrice Courthial concernant le budget communal  : il l’avait fait venir en mairie pour savoir ce qu'il fallait penser des arguments de la maire, concernant les difficultés financières, réelles, fabriquées ou controuvées de la Commune (on sort d’un fameux audit des finances de la Commune…) La confiance règne, comme on dit. Devant témoins, Cécile Trempil se gausse ; on rit franchement de la naïveté des questionnements de l’adjoint à l’urbanisme, et on s’interroge surtout : le recours, pour des conseils, à une opposante déclarée à Lysiane Vidana ne présage rien de bon. Présent à la réunion en mairie : Alban Pano, dont Cécile Trempil a surtout retenu qu’il ne comprenait pas grand chose au ‘plan pluri-annuel d’investissement’ qu’il venait pourtant de voter. Puis début juillet. Là, c’est plus net encore : Cécile Trempil montre à qui veut bien les voir les textos de Patrice Courthial qui arrivent sur son téléphone, qui s’interrogent sur la manière de faire : démissionner, rendre ses délégations et à combien ? Que dit le code (c’est le domaine Trempil) des Communes ? Elle explique : le tiers du Conseil municipal...bla-bla, et déroule les textes, et détaille réglementairement blabla...la préfète. Réponse de Patrice Courthial : ‘j’en ai déjà cinq ou six’. La formule est franche et brutale : ces cinq ou six-là sont les conjurés de la première heure. Cécile Trempil se marre. Jaune. Et tout son entourage se demande s’il faut y croire, si ce n’est pas un coup de sang,  un de plus...En tous cas : printemps, été : Patrice Courthial travaillait bien contre l’équipe en place, ou en tous cas contre Lysiane Vidana. Et bien sûr : pas pour la Commune, quoiqu’il en ait dit par la suite. On comprend également à la lecture des courriers cités plus haut que, pendant toute la période de crise aiguë, notre homme distribuait l’argent comme s’il était en campagne, dans un budget communal dont il n’avait pourtant pas la maîtrise. Par exemple : ‘j’inscrirai au budget 50 k€ (pour une étude à Cuminal’). Et encore : ‘50k€ pour le Canal des Moulins (qui) seront à prévoir dans le budget environnement’. Je peux rapporter ici une rencontre personnelle avec Patrice Courthial sous le porche de la porte monumentale, le jeudi 28 octobre, qui confirmait très volontiers les chiffres ci-dessus et ces affectations budgétaires à l’emporte-pièce.  L’ÉPISODE DES DÉPARTEMENTALES. Pendant tout son début de mandat, le tandem Vidana-Courthial (avant de se déchirer comme on vient d’examiner) a raté une autre marche, d’importance, ratage qui laissera des traces profondes dans la déception de Patrice Courthial et dans son attitude pour la suite. Cet épisode de ratage supplémentaire est peu connu des chabeuillois dans la saga politique mouvementée de notre ‘homme fort’ ; il s’agit de l’élection départementale de juin 2021, pour laquelle il était candidat, avant de se prendre les pieds dans le tapis et de laisser la place à Alban Pano, beaucoup plus habile à s’imposer. Nous sommes en décembre 2020, donc, très tôt dans un mandat où tout est encore à peu près en place dans l’équipe de Lysiane Vidana, qui a toujours dit qu’elle ne cumulerait pas les mandats (hors agglomération de Communes où elle est vice-présidente de Nicolas Daragon), et qu’elle ne se présenterait donc pas au Département. Patrice Courthial annonce donc un beau matin au Groupe majoritaire qu’il compte ‘y aller’, ce qui ne pose problème à personne ; il est sans soutien extérieur, a très peu de contacts à Valence et n’a pas préparé son affaire mais il se lance. Début décembre 2020, il crée un compte FaceBook, dont il s’assure qu’un des tout premiers contacts est justement Nicolas Daragon, puis démarre ses premières consultations : les départementales ne se gagnent pas seul, jamais, il y faut en effet des soutiens larges, et pour tout dire un réseau politique, partisan le plus souvent, qui fait défaut dans les grandes largeurs à un Patrice Courthial qui n’était connu jusqu’alors que de quelques boulistes locaux. Qu’à cela ne tienne, il fonce, c’est sa marque de fabrique. Et se casse les dents, quasiment tout de suite : les forces politiques en présence et leurs états-majors ont déjà chacun une idée derrière la tête : d’une part Pascal Pertusa évidemment, conseiller départemental sortant qui va demander très logiquement l’investiture LaREm, et l’obtenir. Et, d’autre part les forces de gauche, qui vont s’avancer groupées (hors LFI) et qui commencent à tâter le terrain chabeuillois. Et qui resteront sur leur premier casting : Pierre Pellissier, qui est alors toujours le premier adjoint de Chabeuil et qui restera ce candidat, même après sa démission de la majorité vidaniste. LaRem et la gauche ont donc des candidats ? Manque quelqu’un. De poids. Manque LR, une paille dans le contexte daragonien local. Début décembre, Patrice Courthial, qui s’est fait expliquer les gravures et les mystères d’un positionnement politique fantaisiste, rencontre à sa permanence chabeuilloise Célia de Lavergne, qui est encore députée, et se dégage fissa de ses appartenances nouvelles, en même temps que de ce réseau politique. Il rencontre au même moment, dans son bureau de la mairie, un membre du groupe de gauche et écologiste Le Chemin des possibles, qui vient de se former à Chabeuil, qui lui réaffirme que lui, Courthial, issu d’une famille de gauche et implanté comme tel à Chabeuil ne peut aller à l’élection dans un combat électoral entre LaRem et la gauche. Illisible politiquement. Qu’à gauche, c’est un écolo qui sera désigné puisque le PS a déjà dit qu’il s’effacerait dans le canton de Chabeuil, et que cet écolo, il se pourrait bien que ce soit Pierre Pellissier. Courthial découvre l’Amérique. D’autant que Les Républicains locaux ne restent pas inactifs. A ce point qu’un beau jour, très peu de temps après, Alban Pano déclare dans le bureau de Lysiane Vidana que lui, Pano...’ben...il se verrait en candidat contre Pascal Pertusa. Et que d’ailleurs, il a vu ça avec...Nicolas Daragon...et que ben...ça va se faire.’ Ben tiens. Ne reste plus à Patrice Courthial qu’à renoncer, une main devant, une main derrière, lui qui voulait tout bouffer. Dans le même bureau, pendant la même discussion, il cède très facilement. Lysiane Vidana analyse maintenant cette candidature ratée très sévèrement, bien sûr : ‘ça a beaucoup compté dans la déception de Patrice Courthial, qui se voyait tout gagner, et siéger au conseil départemental et à la mairie, comme sa famille avant lui. C’était important pour lui, cette place dans l’histoire locale. Ce ratage, ajouté aux autres, l’a très sûrement marqué. Il s’est fait blouser par Alban Pano qui n’était rien à ce moment, qui était au chômage, qui n’y connaissait rien en politique (il n’avait pas voté aux sénatoriales, quelques mois auparavant), qui n’avait jamais discuté d’un brin de politique. En revanche, il était tous les jours en contact avec Nicolas Daragon, et s’en vantait.’
Et son soutien à elle, Lysiane Vidana (ex-PS), à une candidature Pano soutenue bientôt par tout l’appareil LR dans le canton ? ‘Avec le recul, c’était une erreur. Alban Pano était mon adjoint, il me semblait logique de le soutenir. Et puis je ne voulais pas du maintien de Pascal Pertusa au Département, alors que je venais de le battre à Chabeuil...J’ai comme qui dirait ‘inventé’ Pano...Ça a fini par me coûter très cher.’
ÉCHOUÉE DE PARTOUT, la barcasse de Patrice Courthial se met à la cape : fin octobre 2021, il rompt avec le groupe majoritaire : retour à cette période où, porté par son actualité personnelle, il tient table ouverte dans la presse. Le Dauphiné Libéré du 27 octobre était amené à titrer : ‘Patrice Courthial quitte la majorité, deux autres élus l’imitent (Dieval et Dieuleveut)’ et démarre son article par une formule choc : ‘C’est une bombe qu’a lâchée Patrice Courthial’. Avant de confirmer ce qu’on vient de voir plus en détail : le pourrissement ancien de la situation : ‘son départ aurait dû avoir lieu en juin’ et de conclure par une prédiction assez juste : ‘la bombe lâchée par Patrice Courthial pourrait bien être à retardement’. Toujours prompts à tourner casaque, Pierre-Marie Dieval et Hélène Dieuleveut venaient quant à eux d’emboîter le pas au désormais ex-premier adjoint, sans attendre, sans précautions excessives, ‘par solidarité et conviction’ [rires dans la salle. Histrionisme] Et en effet ça s’agglomère, et ça fait boule de neige autour de lui, l’avalanche Courthial se forme : Pierre Clutier et Robert Barde tout d’abord, en charge respectivement des services et du tourisme-commerce, à qui s’adjoignent tout de suite Véronique Recouras-Massaquant et Edwige Derbuel (issues des familles Courthial et Barde). Second couteau : Jean-Emmanuel Gregorio (voirie, et surtout...Société de pêche), qui glisse naturellement vers où ça penche. Chacun à son tour dans la presse et/ou sur les réseaux sociaux annonce qu’il rejoint Patrice Courthial à cette place qu’il s’était réservée, ‘seul au Conseil Municipal, en bout de table’. Pas si seul, comme on voit. D’autant que les courthialistes du premier cercle font pression sur les indécis, les plus nombreux finalement, naïfs ou éloignés de la combine, inexpérimentés et/ou peu présents en mairie. Clutier, Grégorio, Courthial sont trois chevaux de réforme, issus des mandats anciens de Jean-Pierre Badois ou de Pascal Pertusa : pour les deux derniers cités, ça s’est mal passé, ça s’est terminé en eau de boudin ; il n’empêche : il apparaissent à leurs jeunes collègues comme des élus d’expérience, dont il convient de prendre l’avis. Les rossinantes se font insistantes. Ainsi de C.M... une adjointe qui, jusqu’au bout tente de rabibocher son monde et déclare par courrier (25 octobre) à Lysiane Vidana qu’il ‘est urgent de redevenir une équipe soudée (oui, naïve...) qui va dans la même direction et pour cela nous avons besoin de Patrice’. Pour elle, Patrice Courthial reste ‘un pilier et une référence’. Mais qui met l’accent sur un moment fort de la crise : Lysiane Vidana a eu ‘des paroles envers Patrice (...) très dures et blessantes’. Retour donc à l’hypothèse de la vexation, qui reviendra fréquemment dans les explications des protagonistes du putsch qui était alors en cours. Le Dauphiné Libéré du 16 décembre confirmera ainsi, à propos de Patrice Courthial lui-même, qui déplorait, en plus de désaccords politiques, ‘des propos blessants dont il a été victime lors d’une réunion de groupe.’ Confirmé dans le même article par Lysiane Vidana : ‘il a été vexé parce que je lui ai dit simplement les choses’. Vexation encore. Ainsi de C.G...conseillère municipale, plutôt effacée et discrète en début de mandat qui décrira plus tard, tout en regrettant amèrement ce qui s’est passé, un Patrice Courthial lui rendant visite chez elle, agité, ‘les larmes au yeux,’ lyrique, qui en appelle à l’avenir de la Commune, qu’il s’agissait de sauver. Elle cèdera et rejoindra l’équipe des conjurés, avant de s’effacer de la vie publique locale. Et qui regrette maintenant sa décision. Pareil pour B.P...qui quitte la majorité en quelques heures alors que rien ne présageait de son revirement, et qui manifeste maintenant lui aussi des regrets. ‘Les  larmes aux yeux’...l’expression était déjà dans le mail de Patrice Courthial, déjà cité ici, celui  qui relate la réunion de crise du 22 octobre : ‘...et c’est les larmes aux yeux que j’en termine ce mail’. Eh oui...la violence politique aussi a ses raisons, et ses bons sentiments, ses larmoiements. Mais elle reste la violence. LE TÉMOIGNAGE RÉCENT DE LYSIANE VIDANA va dans le même sens, celui d’une pression panique pendant cette Toussaint sanglante, insistante : ‘ils sont passés, chez les uns et les autres avec assiduité, c’était pesant, ça n’arrêtait pas, il fallait rejoindre leur groupe, pour me pousser dehors. Ils disaient alors que ‘le blocage’, c’était moi, parce que je ne laissais pas la place assez vite’. Elle rassemble alors ses souvenirs, à vif, de la période et raconte : ‘ils sont même passés chez moi, à la maison, pour me convaincre de lâcher la mairie. C’était odieux. Incessant. Mes soutiens anciens, même les grenouilles de bénitier qui oubliaient leurs bonnes manières, qui me lâchaient, qui insistaient...chez moi...je n’en reviens toujours pas...’ Le mot ‘trahison’ revient dans sa conversation, comme une hantise : ‘je leur avais donné ma confiance, et en retour, j’ai été trahie’. Lysiane Vidana  se remémore : ‘Et encore, je me souviens de Pierre Clutier, par exemple, vautré, à l’aise dans un fauteuil de mon bureau, me déclarant avec une vulgarité appuyée que je devais partir. Il venait de passer dans l’opposition, mais il souhaitait garder ses délégations, et ses indemnités, fallait pas se gêner. Ils ont tout tenté pour me déstabiliser. Ça a duré de longues semaines. Et Robert Barde qui me disait, tranquille, candide : ‘pour la mairie, je préfère Patrice Courthial’. A qui je répondais : ‘mais enfin, les chabeuillois nous ont élus, ce sont eux qui décident. Pas toi ou quelques-uns autour de Patrice Courthial...’Pendant tout ce temps où ils espéraient que je leur cède la place, on me rapportait qu’ils se réunissaient, très régulièrement, et que Courthial, leur chef, leur garantissait : ‘elle va démissionner, ce n’est pas possible autrement. restons groupés.’ Pour l’anecdote, les nombreux interlocuteurs de Robert Barde qui cherchaient des explications à l’attitude de Patrice Courthial à ce moment de la crise chabeuilloise rapportent qu’il confiait avec une inquiétude sincère : ‘Patrice est en burn-out’. Toujours au rang des anecdotes, celle-là, qui provient du carnet de notes du président d’une association chabeuilloise amenée à rencontrer l’adjoint à l’urbanisme. On y lit, à la date du 4 octobre 2021, porté dans un style télégraphique : ‘Courthial correct. A bout de fatigue. (Malade ou +grave)’. Burn-out, ou grosse fatigue, on comprend l’état de nerfs où était alors notre ‘homme fort’, pas si fort que ça... MAIS IL Y A EU PIRE. Bien sûr. En matière de trahison, il y a toujours pire...On parle ici de deux tracts pestilentiels, affichés au centre-ville de Chabeuil, anonymes évidemment, grossiers et insultants, vulgaires là encore. Ils sont de même origine, même graphie, même ton dégueulasse, même dénonciations ignominieuses. Premier libelle pourri, toute fin novembre 2021, format A4, affiché au centre-ville de Chabeuil, agrémenté d’une photo de Lysiane Vidana tirée d’un document de campagne officiel, montée-collée sur une publicité pour le cirque ‘Variety’. Le tout orné d’un formidable commentaire politique : ‘APRÈS LA GUERRE/SON RÊVE/DEPLIER LE TAPIS/ROUGE A PERTUSA/ET JOUER LA POM POM/ GIRL. Deuxième affichette, de même parfum, quelques jours plus tard, pas piquée des hannetons non plus, même feutre noir, mêmes lettres capitales : VIDANA /DEMISSION/ÊTRE LA MAÎTRESSE/DE MEUNIER/C’EST LOYAL?’. Lysiane Vidana parle maintenant, quand elle évoque cet épisode de la vie locale, de  ‘tracts sexistes’, pour insister sur le caractère fondamentalement misogyne de ces documents. ‘C’était fait pour me déstabiliser, ça aussi. Ils n’ont pas hésité à taper bas.’ Elle explique également le ‘loyal’ du deuxième document : ‘j’étais à l’Assemblée Générale d’un club sportif, quelques jours auparavant. Ce club est animé par un ami, qui m’est resté loyal pendant la crise. J’ai prononcé ce mot à son endroit. Des proches de Patrice Courthial étaient présents dans cette assemblée. Ils l’ont rapporté au corbeau, qui l’a écrit dans son tract, qui n’est pas seulement resté affiché mais qui a circulé dans Chabeuil. On a fini par le retrouver sur le parvis de la mairie, disposé en évidence’. Ces deux pauvres pamphlets de caniveau ont fait l’objet de deux plaintes en diffamation, recueillies par la gendarmerie de Chabeuil au tout début décembre 2021, l’une par la maire de Chabeuil, l’autre par moi-même, rédacteur de cet article, visé nommément par le deuxième placard. L’enquête a été menée par la brigade de Crest, où a été déportée l’affaire, qui a interrogé Patrice Courthial. Mais la justice ne s’est pas saisie de ces plaintes : infection ou pas, diffamation ou pas, personne ne veut en savoir plus, c’est bien commode : le corbeau court toujours. Ces deux tracts témoignent de la vulgarité et de la bassesse morale de leur auteur, certes, mais aussi d’une des angoisses des putschistes : en cas de démission collective, il faudrait de nouvelles élections, pour lesquelles...Pascal Pertusa partait favori. Le retour de l’ancien maire de Chabeuil les obnubilait, jusqu’à prétendre que Lysiane Vidana pourrait ‘dérouler le tapis rouge’ à celui qu’elle avait battu. L’OPINION CHABEUILLOISE était en effet en train de tourner : elle attendait l’exposé des raisons des putschistes, qui ne venait toujours pas ; elle avait assimilé de plus la position de la maire de Chabeuil, qui n’allait pas céder. Mais elle commençait à comprendre aussi que ça peut durer longtemps ce genre de blocage institutionnel, que les choses peuvent rester en l’état un grand moment, qu’on peut comme cela gérer les affaires courantes, bref, Chabeuil avait compris que le putsch avait foiré. Principaux vecteurs de ce basculement de l‘opinion : les réseaux pertusistes, qui restaient puissants et actifs en ville, et qui le sont encore. Et organisés puisqu’ils siégeaient au Conseil municipal, dans l’opposition. Or, Pascal Pertusa appelle à de nouvelles élections, qui pourraient se tenir après démission massive d’au moins un tiers des Conseillers municipaux. Il va donc offrir par voie de presse, de démissionner avec tous ces co-listiers, espérant provoquer ainsi une rupture décisive. L’activation de ces réseaux, appuyés bientôt par un tract public issus des rangs pertusistes exposant ces mêmes arguments, mettent les malheureux putschistes dans la seringue, en porte-à-faux avec les chabeuillois. Le groupe Le Chemin des possibles réclame la même chose, au même moment, par un tractage efficace sur la place du marché : il demande de nouvelles élections, avec les mêmes arguments : pas d’arrangement en bout de table du Conseil, dans le dos des électeurs de 2020. Pendant que le samedi un groupe informel et disparate de citoyens se réunit pour réclamer des explications, à grands coups de banderoles ironiques. Ça finit par faire beaucoup, ça finit par peser : le putsch apparaît enfin pour ce qu’il est : une combine de petite politique locale, inexplicable, mal préparé.   Tout ça aboutit au changement de pied de Patrice Courthial, un de plus : il démissionne et fait démissionner les conjurés qui l’entourent. Titre du Dauphiné Libéré du 8 décembre : ‘Patrice Courthial démissionne...et appelle les autres élus à l’imiter’. Il s’exprime alors en patron de clique. Ça ne va durer. Thibaud Carage, qui a suivi toute l’affaire pour ce journal baisse le rideau, très à propos : ‘[ils] espéraient, depuis début novembre, que la maire démissionne. Cette dernière avait rapidement coupé l’herbe sous le pied des frondeurs, indiquant qu’elle assumerait jusqu’au bout sa fonction, d’où cette (...) vague de départs quelques peu forcés’. ‘Forcés’ en effet : il leur faudrait passer devant les électeurs, ce qui serait une autre affaire, autrement compliquée, qui ne pourrait se régler par les quelques claquages de talons d’un ‘sous off’ irascible. En tous cas, c’est l’échec du poupoutsch des conjurés d’Agir pour Chabeuil.
MAIS TOURNEZ ROTATIVES, crépitez telex, la presse publie alors à tour de bras : les 7 et 8 décembre 2021, Courthial, et Dieval-Dieuleveut quittent le Conseil, avant que les journaux relèvent, le 10 décembre, une ‘pluie de démissions’. Faut ce qu’il faut : le Conseil municipal de Chabeuil est à terre, et Le Dauphiné Libéré du 10 décembre peut alors titrer : ‘les chabeuillois devront retourner aux urnes’. Et nous voilà rendus au début de cet article, quand madame la préfète de la Drôme tire les conséquences de ces inconséquences, et appelle à de nouvelles élections. Revenus par la même occasion à la triste sentence de Lysiane Vidana’...c’est fini, les imbéciles...’
La conclusion des déclarations publiques revenait alors à Lysiane Vidana, dans une interview du 16 décembre 2021 où elle exposait ses raisons, avec la raideur intransigeante qu'on lui connaît, pénible, qui n’a jamais varié pendant son court mandat et qui lui a coûté si cher. Elle livre une analyse précoce : [Patrice Courthial] a été vexé parce que je lui ai simplement dit les choses’. Dans ce rude article au ton vitriolé, la maire de Chabeuil se montre plus critique encore envers Alban Pano, qu’elle allume sans ambages : ‘ la palme d’or revient à Alban Pano, lui c’est une trahison.’  Elle insiste : ‘c’est un gros gâchis.’ Et n’oublie pas de se mettre des claques : ‘cet échec, je me le dois pour ne pas avoir su animer ce groupe. Pour ne pas avoir mesuré le bourbier dans lequel j’ai entraîné mes colistiers’. Thibaut Carage, qui prend l’interview ajoute alors, vachard : ‘Et Chabeuil avec’.
Plus d’un an plus tard, Lysiane Vidana ne varie guère dans l’examen de ses responsabilités : ‘je n’étais pas faite pour ça. Pour gérer la Commune, les dossiers, le budget, l’Agglo... oui, j’étais à la hauteur. Mais pour travailler avec des gens comme ça, leur raconter des salades, leur dire qu’ils sont les meilleurs, les flatter, toute cette hypocrisie qui semble nécessaire, ça, je n’ai pas su faire. C’est sûr. Je ne saurai jamais faire’. 
Fin du set le 14 décembre 2021 pour Patrice Courthial, quand il déclare finalement  au Dauphiné libéré, comme éreinté : ‘à ce jour, je ne suis pas candidat’. Le quotidien fait alors le portrait d’un homme ‘usé, (...) dégoûté par ce qu’il s’est passé et conclut par un clou dans le cercueil politique de notre héros : ‘raillé par certains commentateurs de la vie politique chabeuilloise [il] affirme avoir besoin de souffler.’ Tout ça pour ça : moqué, lessivé, épuisé par un putsch qu’il n’a pas su conduire, Patrice Courthial laisse filer l’élection à venir, laisse la place à un Alban Pano (une habitude !) qui n’a pas perdu de temps (appel à une liste d’union d’action municipale dès le 10 décembre), et... retourne jouer aux boules. Dans les premiers mois du mandat Pano, il demandera bien à siéger dans quelques Comités consultatifs, avant de se voir contenu dans celui voué à l’urbanisme. Alban Pano, conscient alors de la mauvais réputation de Patrice Courthial va s’employer à digérer son ancien collègue, à le bordurer, lui laissant de moins en moins de place dans les dossiers en cours.
LE CAS PANO POUR FINIR, qu’on doit traiter à part, eu égard à son statut nouveau de maire de Chabeuil, qui a fini par remporter l’élection de 2022. Et aussi parce que, durant toute l’opération des branquignols, il n’a pas fait comme les autres et semble s’être tenu à l’écart. A en croire le témoignage tout récent de Lysiane Vidana : ‘Alban Pano est resté avec moi assez tard ; il n’a rendu ses délégations qu’au dernier moment’. On lui a visiblement conseillé d’être prudent dans cette affaire’. Elle accepte de tempérer son jugement de l’an dernier, sur la ‘palme d’or de la trahison’ : ‘ Alban Pano ne s’est pas aussi mal conduit que les autres, pas aussi violemment, et jamais aussi vulgairement. Il n’a rien précipité, lui, puisque c’est moi qui lui ai retiré ses délégations (Sport et associations), après qu’il ait réclamé ‘une nouvelle gouvernance’. Ce n’est qu’après ce retrait, en effet qu’Alban Pano avait lâché ses coups : ‘elle poursuit sa politique de la terre brulée’, ou bien encore dénonçant publiquement ‘l’aveuglement et l’entêtement’ de Lysiane Vidana (Dauphiné Libéré du 18 novembre 2021) Plus discret donc, il est aussi plus véloce : on a vu comment il a grillé, comme aux départementales, la politesse à un Courthial dépassé par les événements. Mais Lysiane Vidana est sans illusions sur l’habilité de son jeune adjoint d’alors : ‘bien sûr Alban Pano était coaché, c’est une évidence pour ceux qui l’ont connu au tout début de sa carrière, où il était plutôt léger. ll ne doit pas ses succès à sa seule expérience politique personnelle, c’est sûr. Il prend ses conseils à Valence’.
Discrétion d’Alban Pano pendant le putsch, et vista ensuite, confirmées dans cette notation du Dauphiné Libéré du 10 décembre 2021, qui déboucle la conjuration : ‘plutôt discret dans les différents feuilletons qui animent la vie politique de Chabeuil depuis quelques mois, le conseiller départemental Alban Pano (...) imagine désormais la suite des événements, ajoutant finalement : ‘notre responsabilité est de proposer le choix de l’union.’ En route donc vers une liste, très vite  : ‘Alban Pano va travailler en ce sens, pour constituer une liste d’union d’action municipale.’
UNE CONVERSATION AVEC VALÉRIE MACQUAIRE. Rapportons pour finir un témoignage précieux, sous la forme du souvenir d’une troublante et franche conversation avec Valérie Macquaire. Précieux parce que la dame est d’un naturel discret et sévère, rare à la confidence. Elle a été avec Patrice Bouchet et Monique Barnasson la seule à ne pas lâcher Lysiane Vidana et à siéger jusqu’au bout à ses côtés, jusqu’au tout dernier Conseil municipal du 14 janvier 2022. Elle est à ce moment 6e adjointe, en charge des services, du participatif et de la Communication.
Nous sommes à la veille de la Toussaint 2021, entre averses dominicales, bourrasques et éclaircies ensoleillées, attablé.e.s dans un beau jardin de la ville. Valérie Macquaire ouvre son grand cahier rouge à spirale et donne un récit détaillé, devant témoins. Elle a voulu cet entretien (je demande si je peux prendre des notes : oui...), et s’est préparée : elle raconte par le menu, avec un soin très précisément documenté (et chiffré, budgété, pour tout dire...) l’impéritie, et l’immaturité de Patrice Courthial. ‘Immaturité’ reviendra à plusieurs reprise dans l’entretien, bien pointé, utile à la compréhension du personnage et de la situation. Ce vocabulaire choisi accompagne un diagnostic qui avait échappé jusqu’alors aux observateurs : ‘Patrice Courthial ne supporte pas qu’on lui impose des limites, même quand ces limites sont tracées par le groupe auquel il appartient, et votée par lui. C’est très grave’. À l’entendre dans le détail : école de musique, MJC, budget des associations sur tous ces dossiers, Patrice Courthial, Lysiane Vidana et leur groupe sont au diapason, d’accord notamment pour réduire de 30 %, pour cette année là, le budget des subventions aux associations. Réduction qui avait fait du bruit. Au diapason du programme. Valérie Macquaire insiste : ‘il fallait revoir les subventions après le Covid, et après des années de clientélisme. tout le monde était d’accord, Courthial, Pano dont c’était la délégation. C’était très net, il fallait revoir, pour redistribuer ensuite, sur des bases revues, plus équitables. Le Groupe s’était mis d’accord là-dessus [On trouve confirmation de cet agrément de Courthial à la diminution des subvention dans le courrier du 10 octobre 2021, cité plus haut, où l’on peut lire : ‘...ta vision sur l’équité était juste’]. Oui mais voilà, en ville, auprès de ses amis et de certains groupes de pression, Patrice Courthial ne pouvait assumer cette position. En ville, il tenait un tout autre discours, contradictoire.’
Et on comprend enfin que, dans toute cette histoire, les putschistes ne se sont décidés pour aucune raison de fond, aucun dossier qui bloquait, aucune orientation contradictoire. Pas le gymnase départemental, pas Cuminal et sa putative école de musique, pas la situation financière, pas le budget des associations (on vient de le voir...). Rien de tout ça, rien au fond : ...le crash de la Commune, ce n’est pas une affaire d’orientation politique, pas une affaire de dossier échoué ou mal bouclé, non c’est une affaire de susceptibilité, juste l’impuissance et les faiblesses d’un homme qui s’y croyait, et d’un petit groupe qui y croyait avec lui.’ On vérifie un point avec Valérie Macquaire : ...’et Pierre Pellissier ?’ Elle n’hésite pas une seconde : ‘Patrice Courthial l’a poussé dehors.’
Revue très récemment en présence de Lysiane Vidana, Valérie Macquaire confirme volontiers ses premières analyses, que le recul, à son sens, n’a pas modifiées : ‘une personne immature, un notable, que Lysiane Vidana avait mis en place et qu’elle s’apprêtait à rétrograder devant ses échecs, explose. Ça peut arriver. Un petit groupe le suit, construit par affinité (même génération, culture machiste : Grégorio, Clutier, Barde). C’est plus rare. Mais là, ça a tout emporté, c’est ça qui est injuste. Mais que tous les autres aient suivi, c’est toujours un mystère...Un mystère de la nature humaine : faiblesse, versatilité, peur, bons sentiments...Ç’aurait pu être tellement différent...’Et elle conclut : ‘Ce qui caractérise Lysiane Vidana, c’est l’intransigeance. Pas l’autoritarisme, non l’intransigeance. L’intransigeance d’une femme, qui s’est trouvée opposée à l’immaturité de celui qui s’était pris pour un ‘homme fort’. TOURNER LA PAGE. Les efforts de chacun pour ‘tourner la page’ sont compréhensibles ; personne à Chabeuil ne veut revenir à la sinistre période de dynamitage qu’on vient de décrire, et se mettre à nouveau sous la mitraille. Chabeuil doit gouverner de manière harmonieuse, c’est une affaire entendue. Les allusions très fréquentes, appuyées et rebattues d’Alban Pano dans ses discours publics, ses invitations à ‘tourner la page’, à ne plus ‘regarder dans le rétro’, ses appels à une ‘sérénité retrouvée’, à ‘l’écoute’, sont nécessaires, et semble-t-il assez bien comprises des chabeuillois. Certes, tout cela est très bel et bon, et très sympathique et ça va mieux en le disant et encore ces jours-ci (Dauphiné Libéré du lundi 13 février 2023) dans un article très convenu et paresseux d’un Thibaut Carage qui fait dire à Pano : ‘les règlements de compte, c’est derrière nous.’ Dans cet article, premier volet d’un polyptique plus équilibré et plus riche vers la fin [On signale une interview de Lysiane Vidana, ‘au franc parler historique’. En tous cas, l’ensemble, publié tout au long de la semaine s’avère utile pour comprendre l’état politique où est rendu Chabeuil. Comme quoi on ne peut rien y comprendre si on examine pas ce qu’il s’est passé. CQFD.], on trouve une formule distrayante du jeune maire de Chabeuil. À la question : ‘la vie municipale est plus apaisée aujourd’hui. Comment avez vous fait ?’ Alban Pano a l’estomac de répondre : ‘en étant nous même (...) Alban Pano (il parle de lui à la troisième personne, relève tout de même le journaliste) reste celui qui est né ici, qui parle à tout le monde, qui n’a pas d’histoire avec les autres’. Tourner la page ne se fera pas en usant de telle tartarinades : ‘en étant nous même’, non mais...
Les règlements de compte ne sont pas derrière nous (et qui ça, ‘nous’ ?), bien évidemment : ils ne sont pas derrière nous, puisque les comptes des putschistes n’ont jamais été examinés, pesés, exposés et que les explications de fond et de détails n’ont jamais eu lieu. Et qu’un certain nombre d’entre eux sont encore en place. Sans oublier un détail :  le corbeau chabeuillois court toujours. L’élection de 2022 n’est précisément pas ‘un solde de tout compte’, puisqu’elle n’était pas faite pour ça, et heureusement. Les chabeuillois ont fait leur boulot, plutôt finement : sortir de la crise sans repasser par la case Pertusa,, se doter, par défaut peut être, d’une nouvelle équipe. Soit. Mais le mandat Pano sera très court : à qui la faute ? Chabeuil aura du mal à se remettre de ce crash politique. Qui est responsable ? L’urbanisme de la ville est hors de contrôle. Pourquoi ? Comment penser qu’on sortira de cette situation difficile sans répondre à ces questions ? Et comment penser que l’avenir de Chabeuil sera peint à la gouache épaisse du déni et de l’oubli, en se racontant des histoires à la troisième personne, les histoires du pays joli où la fiction tintinomaniaque et infantilisante occupe toute la bibliothèque, la fable pour tout dire, des habits neufs de l’empereur ? Et c’est bien pour ça, qu’avant de faire le bilan de la première année Pano, il fallait en passer par le récit de cette automne pourri, dont les conséquences ont rendu possible son élection.                                                                              claude meunier.
Ne descendons jamais dans ces lâches intrigues/n’allons point à l’honneur par de honteuses brigues. Boileau, L’Art poétique, IV.
 Le présent article sera complété par un second chapitre, présentant un bilan de la première année Pano. On attendra pour ce faire le vote de son deuxième budget, pour mieux comprendre les orientations de fond de la nouvelle équipe. Ça sera donc vers la mi-avril...On ne pourra faire l’économie d’un portrait politique du jeune maire de Chabeuil, très occupé à enjoliver Chabeuil. Titre provisoire : Alban Pano est de droite, oui, mais laquelle ? Et le sait il vraiment ?...’
D’ici là , le Bachass’ Club vous aura présenté un portrait de Jean-Marc Chevallier, peintre fameux, chabeuillois de fort tonnage, mort il y a tout juste dix ans.
2 notes · View notes
claudehenrion · 1 year
Text
Apocalypse now...
  Cet éditorial est, un peu, une suite à celui d'hier. Parmi les menaces majeures qui menacent notre futur, individuellement et collectivement, il y a celles proférées par ceux-qui-font-croire-qu'ils-savent, et qui en profitent pour affoler le pauvre monde, ce qui fait d'eux les seuls authentiques complotistes du moment, relayés par une presse qui (coincée dans sa vision ''à Gauche toute'', notoirement mortifère), ne sait plus distinguer les mensonges de la Vérité --ce qui devrait être son ‘’savoir-faire’’ !
A l'expérience, on peut tirer une sorte de ''règle générale'' des mauvaises idées qui ont assombri nos existences depuis 3 ans : plus un problème est sérieux, fondamental et prioritaire, et plus... on en parle moins ! Sont concernés par cette affirmation les mensonges  d'Etat, soi-disant médico-scientifiques et devenus autant de ''credos'' incontournables sous peine de mort sociale et de déchaînement de la Presse subventionnée, l'immigration hostile à en être ''remplaciforme'', et la totalité des pathologies mortelles que la Gauche désigne par ''le sociétal'' : on peut, en Macronie, avoir une opinion sur elles à condition d'être ''pour''... mais pas de critiquer toutes les idéologies mortifères, dites woke, transhumaniste, androphobe-et-hyper-féministe, le mépris de toute loi naturelle, la gestation ‘’industrielle’’, la ''cyborg-ification'' de l'humanité, le ''racisme-partout'' et la haine de l’homme blanc....
Et comme si tout ça ne suffisait pas, le seul ''narratif'' qui ne cause pas d'ennuis repose sur les mensonges de la ''doxa'' gaucho-bobo-donc-pas-correcte. Dans ce déversoir, outre les inepties relatives à l'existence de ''complotistes'' (mais pourquoi comploter ? Nos lumières éteintes se chargent de pourrir toute situation, et n'ont pas besoin d'aide pour ruiner le pays !), on trouve la transition énergétique, le CO², la pénurie d'eau, les véhicules électriques... sans compter la pression intellectuelle, morale et même physique qui atteint des niveaux insupportables. Et cerise sur le gâteau, la crise dite du covid , qui ne fut qu'une somme de ''confinement absurde + gestes-barrière sans effet + masques néfastes + vaccination forcée qui n'en est pas une + défense d'aller dans la rue, à la plage, à l'école, au restaurant, et d'enterrer ses ''vieux'' sous prétexte qu'ils seraient ''vulnérables'' (Tu parles !), etc..) a fait réaliser à nos nuisibles-au-pouvoir combien la terreur des braves gens était à portée de main et facile à mettre en œuvre... et combien elle était était ''payante'' !
Les humiliations qui nous ont été imposées sans raison sérieuse et que nous avons supportées ''sans moufeter'' sont une novation dans l'histoire du monde. Dieu seul sait le nombre d'interdits, de mensonges, de conneries et de saloperies que le cerveau humain a pu fabriquer et imposer à ses semblables au cours des siècles ! Eh ! bien, jamais le niveau d''emmerdements'' atteint lors de cette fausse pandémie n'avait été imaginé, osé, ou tenté à un tel degré sur une population si vaste : leur maudite transition écologique-énergétique est une arnaque planétaire. (NB : Dire que la France était dite, jusque là, révoltée,  frondeuse; râleuse et révolutionnaire !).
Mais ce n'est pas tout ! Il existe autre invention de dimension  comparable : le méga-projet dit ''Net-Zéro'', usine à gaz lancée en juin 2018 par l'ONU (ce qui devrait faire trembler dans les chaumières !) et porté par ''Carbone 4'', groupuscule de pression de 80 clampins qui rêvent de terroriser le monde entier, ''appuyés, dit leur brochure, par des Experts de très haut niveau'' (NDLR : on sait toutes les désinformations sur le covid, l'Ukraine ou le CO² qu'on doit à ces médicastres en froid avec Hippocrate, vieilles badernes ''2 R'' ou climatodoules fanatiques, ''experts du 20 Heures'' !). Et tout ça ''en vue d'atteindre zéro émission nette de carbone, mondialement''. (''Excusez du peu'' ! Pas que à Romorantin ou à Saint-Pourçain-sur-Sioule ! Comme disait Lénine :''Si vous mentez, mentez gros, sinon on ne vous croira pas'' !). Que faut-il garder de ce catalogue de fausses bonnes intentions ?
Nous avons souvent parlé du CO², et de ses volumes colossaux : 3 000 milliards de tonnes ! Devant cette réalité inconcevable, tout programme humain est dérisoire, insignifiant.  Le carbone, qui lui donne naissance, est l'un des 4 éléments les plus abondants dans l'univers, à l'état soit de corps simple (charbon, diamants), soit de composés inorganiques (CO²), soit de composés organiques (biomasse, pétrole ou gaz naturel)... et l'un comme l'autre, ils sont absolument nécessaires à la vie... et à son maintien sur terre. Nous nous trouvons donc là devant une rupture, le divorce incompréhensible de la vie elle-même avec une idéologie mortifère qui prétend sauver la planète, quitte à faire disparaître toute vie de sa surface... Question : à quoi bon sauver un truc qui ne servirait plus à rien ? Les ayatollahs disent que ''c'est pas le sujet''. (NDLR : ''Tu parles''!). (NB : en principe, ce type de cécité volontaire devrait pouvoir se soigner et même de guérir, diagnostiquée à temps !).
Et pourtant, malgré ses volumes, le dioxyde de carbone (CO²) ne représente que 0,04 % de l'atmosphère ! On estime que les activités humaines seraient responsables de 5 % de ce total. Un calcul à la portée des ''CM 1'' d'avant Pap Ndiaye permet de trouver que 5 % de 0,04 % donne le résultat ''millipoilique'' de 0,002 % (Vous avez bien lu : Zéro virgule zéro zéro deux, pour cent !). Eh ! Bien, c'est  ce ''très infiniment tout petit'' que le grandiose projet ''Net-Zéro'' rêve de réduire … et ''considérablement'', s'il vous plaît !  Qui peut croire que rien n'est plus urgent que de diminuer sensiblement (je cite) ''les émissions de gaz à effet de serre à un niveau aussi proche que possible de zéro''. A la rigueur, et pour éviter des pinaillages oiseux, on pourrait faire semblant de dire ''OK !''. Mais comment pourrait-on diminuer une non-quantité asymptote à zéro, un ''rien absolu'' ?
Les ''décroissantistes-à-en-mourir'' affolent les populations.  Par exemple (je cite et je questionne) : ''La science (?) montre clairement (?) que pour éviter les effets les plus graves (?)  des changements climatiques et maintenir (?) une planète habitable (?), l’élévation de la température mondiale doit être limitée à 1,5 °C  (??) par rapport à bla bla bla... (''Quelle science'' ? ''clairement ''? ''les plus graves'' ? ''doit être'' ?... ''pourquoi 1°5, et pas ''0°8497'' ?, et ''habitable pour qui'' ? Des bactéries, des vermisseaux ? --Mais circulez, y a rien à voir !)... ''Actuellement, la température est déjà supérieure de 1,1 °C par rapport à la fin des années 1800 (Et alors ? Je n’ai pas pu reconstituer pourquoi ce serait si grave d'être à ''+ 1°  par rapport à 1800′’. Serait-ce ‘’because’’ la préparation du sacre de Napoléon 1er ?).
Dans un volapük parfaitement anti-scientifique, ils affirment : ''Les émissions continuent d’augmenter. Pour limiter le réchauffement de la planète à ‘’+ 1,5 °C’’,  et conformément à l’objectif de l’’Accord de Paris, il convient (?) de réduire les émissions de 45 % d’ici à 2030 et d’atteindre l’objectif de zéro émission nette d’ici à 2050''. Autrement dit, pour un ''objectif fixé au pifomètre'' par ce génie de Fabius, on devrait foutre en l'air la survie de l'humanité ? A leur place, j'aurais fixé des limites plus exigeantes. Par exemple : réduire les émissions de 158,46 % d'ici fin juin 2023... Ça, au moins, ça a de la gueule ! Ça, c'est de la vraie écologie !
Mais ''ils'' continuent, dans leur logique illogique, grâce à un jargon et à un système de référence ''pigés'' par eux seuls : ''La transition vers un monde neutre en carbone est l’un des plus grands défis pour l’humanité. Il s’agit tout simplement (sic ! Ne riez pas, ce serait cruel !) d’une transformation complète de notre façon de produire, de consommer et de nous déplacer'' (re--''Excusez du peu''!). Dans leur charabia, ils précisent : ''L'énergie est responsable de 3/4 des émissions de gaz à effet de serre les plus graves du réchauffement climatique''... à ceci près que, comme toujours, l'actualité contredit ces ayatollahs : hier 15 mai 2023, il y avait 5 mètres de neige dans les Alpes Bavaroises (au Zugspitze, à 2962 m), du jamais vu, et il faisait ''--75°C'' dans l'Antarctique. De tels records n’ont jamais été enregistrés, ni  envisagés, jusque là. Est-ce qu'on se foutrait de nous ?)
Décidément, à force de tourner en rond, ils vont finir par nous faire tourner en bourriques... à moins que ce ne soit déjà fait et que, ceci expliquant cela... il soit trop tard pour sauver l'humanité de la planète, à force de raconter qu'il faudrait sauver la planète de l'humanité... C’est une seconde Apocalypse !
H-Cl.
8 notes · View notes
snap221sn · 4 days
Text
Activités nucléaires : Le Burkina Faso collabore avec l’Iran avec un premier protocole d’accord
D’après l’Agence de presse iranienne IRNA, relayée par l’AIB, le Burkina Faso et l’Iran ont signé un protocole d’accord portant sur la “coopération dans les activités nucléaires à des fins pacifiques”. Cette signature a eu lieu lors de la 68e session de la Conférence générale de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), récemment organisée à Vienne, en Autriche. Cet accord prévoit une…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes