#propos carnistes

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"Je suis un prédateur"

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    le bingo des omnis!

Aujourd'hui un petit article pour affûter vos arguments, et avoir la paix en mangeant!

L'idée ici n'est pas de se lancer dans un débat avec votre interlocuteur, qui lorsqu'il en vient à sortir des arguments de ce type a souvent déjà une opinion bien tranchée sur le sujet. Répondre par l'humour, ou avec assurance, peut permettre l’émergence d'une discussion constructive, sans entrer dans le conflit.

Et si aujourd'hui n'est pas une bonne journée pour jouer les pédagogues (oui on a le droit ne pas avoir envie de tout réexpliquer, internet le fait très bien), c'est un bon moyen d'éviter le débat stérile.

1 -rappeler qu'on ne force personne à rien, et que dans le cadre qui est le nôtre, dans des conditions loin d'être extrême, nous n'avons aucune raison de manger ces aliments-là. Et que jusqu’à preuve du contraire, il n'y a pas carrouf dans le désert.

2- C'est tout ce qu'implique le fait de manger -insérer votre aliment carniste au choix- qui est extrême, qu’on parle de déforestation, d’élevage, de pêche en haute mer, d’ogm, de risques sanitaires, ou du droit à la vie des animaux. Pas le refus d'y participer.

3- On trouve des protéines dans tout le reste :) parler des rhinocéros, des hippopotames, des éléphants, des chevaux, des taureaux, ces bouffeurs d'herbe carencés, et clairement en manque de protéines.

4- Re-parler des rhinocéros, des hippopotames, des éléphants, des chevaux, des taureaux, ces bouffeurs d'herbes tellement pas viriles.

5- A propos de chaîne alimentaire, rappeler que la seconde cause de mortalité humaine est le moustique. Proposer de vérifier la dite théorie dans un parc à ours, loup, tigre...

6- Malgré les disparités qu'implique la diversité de l'humanité, si plus de 300 millions de personnes dans le monde sont végétariennes, quelque chose me dit que si l'envie était vraiment là, ce serait possible.

7- La plupart des différents qui peuvent être cités lorsqu’on parle de différence humains / autres animaux: culture, pensée, intelligence peuvent trouver des contre-exemples assez aisément dans le règne animal. L'humain est aussi différent dans le fait d'avoir le choix de ce qu'il mange ou ne mange pas, et en l’occurrence le choix de ne pas tuer ou détruire pour manger.

8- Rappeler que les lions ne va pas acheter ses gazelles, découpés, emballés, congelé, prête à manger au monop de la savane.

9- si l'on ne mangeait pas d'animaux, on ne serait pas obligé de raser l'Amazonie (avec plein d'animaux donc) pour nourrir d'autres animaux amenés à disparaitre dans les assiettes.

10- Si nous n'avons pas de preuves pour le moment que les plantes souffrent, nous en avons de très claires sur le fait que les animaux souffrent. Mentionner au passage que la plupart des végétaux que nous faisons pousser dans le monde, sert à nourrir des animaux. Être vegan, c’est donc épargner aussi des végétaux.

11- Il y a, et il y a toujours eu des végéta*iens partout, de toutes nationalités et classes sociales. L’écologie reçois une critique semblable, (à ce propos). Si s’occuper du sort de son prochain, et de la planète est snob, et bien soit! soyons snob!

12- Nous produisons déjà assez de nourriture pour 10 milliards d’être humains, dont une bonne partie est simplement gâchée. De plus, les animaux élevés pour leur viande, leur lait, leur pelage, consomment une très grande quantité de nourriture et d’eau. En conséquence de quoi, un régime végéta*ien est bien moins coûteux en énergie et nourriture.

RDV, dans un prochain article pour la suite!                                                                                            Angie

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Point de vue carniste

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Changer ses ... what?

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Déculpabilisation carniste

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“Nan mais les plantes aussi elles souffrent”