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#pubiens
lesdamesmures · 6 months
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Scène 11 "Une femme mure sur la plage"
Je me délectais de cet instant, la vision de ses fesses découvertes, son maillot que j’avais repoussé si haut à force de masser ses fesses, ses hanches formaient une protubérance qui retenait l’élastique de son maillot qui se limitait plus qu’un triangle coincé profondément dans sa raie. Quel privilège pensais-je, de pouvoir contempler sa croupe en la surplombant, admirant sa chaire intime qui ondulait sous mes doigts pressants et caressants. 
Je me retenais pour ne pas me hasarder entre ses cuisses jointes, glisser mes pouces dans cette intime partie lorsqu’elle bougea en tendant son bras vers ses fesses pour poser sa main sur la mienne, mêlant ses doigts aux miens. Je stoppais ma main à plat sur sa fesse droite, ses doigts se refermaient entre les miens
- Quel délice mon prince ! c’est plus qu’agréable ce massage, tu as des mains merveilleuses, quelle sensualité ! Elle s’exprimait en tournant la tête vers moi, avant d’ajouter en cherchant à taton la couture de son maillot
- Oh je pensais pas que c’était autant ! tu as largement dépassé le « un peu » petit coquin ! Son intonation était bienveillante malgré sa remontrance
- J’ai pas pu résister Julie, j’ai pas fais exprès, c’est tellement beau ! Je répondais en m’excusant d’avoir outrepassé sa consigne
- Comment ça tellement beau Titouan ? Tu trouves mes fesses si belles que ça ? Elles sont grosses plutôt ? Elle semblait surprise par mon propos plein d’enthousiasme
- Elles sont magnifiques Julie, j’aurai pu les caresser … masser encore des heures en les contemplant
- Elles sont encombrantes, pas si belles que ça mais merci Titouan, c’était très agréable vraiment. J’avais oublié cette sensation et si elles te plaisent tant, ça m’étonne mais ça me flatte ! Ajoutait-elle en donnant une tape sur sa fesse
- C’est du solide en tout cas ! Et elle se mit à rire en voyant mon air médusé par le claquement de sa main sur sa fesse
J’étais terriblement excité, l’entendre parler de ses fesses, voir sa main la claquer. Elle tenta de se retourner mais mes jambes la bloquait. Avant de libérer ses jambes, je ne pu résister à l’envie de me pencher sur ses fesses, les presser pour les réunir avant de poser mes lèvres sur sa raie profonde en l’embrassant avec gourmandise. Ce fût furtif, inattendu, je me redressais pour dégager ses jambes en voyant ma bosse qui faisait pointer mon short, elle se mit à glousser
- Oh ! Et bien j’ai vraiment l’impression que mes grosses fesses te plaisent Titouan ! Elle leva les yeux sur moi en rajoutant 
- Je ne savais pas que je pouvais faire autant d’effet à un jeune homme ! C’est troublant mon prince !
Elle s’était retournée, allongée sur le côté, j’étais toujours à califourchon sur ses jambes, les genoux enfoncés dans le sable. Elle pouvait découvrir mon érection qui pointait fièrement dans mon short. Sa hanche encore dénudée paraissait si large, sa fesse si charnue. De profil, son maillot relevé au plus haut sur sa hanche dévoilait les bourrelets de son ventre, un ventre mature et douillet, des poils pubiens foncés s’en échappaient. J’étais en extase devant ce que je découvrais le temps qu’elle se tourne, elle cherchait une position, les jambes posées l’une contre l’autre, son corps en Z, elle repliait son bras pour poser sa tête dans sa paume
- Vous me faites rêver Julie ! si vous saviez à quel point je vous trouve belle, vous me faites fantasmer, je n’aurai jamais imaginé vivre ce … ! Je m’arrêtais net en voyant son bras s’étirer vers moi, posant sa main sur ma bosse. 
Elle me regardait avec des yeux tendres, encore embrumés par mes caresses 
- Mon pauvre Titouan ! Ca doit te faire mal d’être serré comme ça … elle poursuivait en ajoutant 
- Tu sais, moi aussi j’en ai très envie … 
En découvrant son maillot relevé sur ses hanches, elle se redressait pour s’assoir en repliant ses jambes. Après avoir réajusté son maillot pour couvrir ses hanches et son ventre, plus pour cacher ses bourrelets qu’elle trouvait « disgracieux » disait-elle en tirant sur son maillot.
Je l’écoutais les yeux pétillants en m’asseyant en face d’elle, toujours gêné par cette érection qui ne me quittait pas. Elle avait raison ça me faisait presque mal, j’avais besoin de me donner de l’air dans ce short. Elle me répétait qu’elle ressentait elle aussi cette envie d’aller plus loin. Prenant un air compatissant, elle m’expliquait qu’il lui fallait un peu de temps et puis même si la plage était déserte, elle se sentait mal à l’aise pour faire l’amour sur la plage.
J’étais attentif et troublé par ce qu’elle m’avouait, l’envie de faire l’amour avec moi ! Jamais je n’avais ressenti une telle émotion, mon coeur cognait dans ma poitrine, mes yeux brillaient. Elle aussi, je la sentais émue en me parlant. Elle me disait combien ça lui faisait drôle, de ressentir ce désir pour un si jeune homme, elle s’excusait comme si mon âge lui paraissait bien trop jeune mais finissait par me faire comprendre que jamais elle n’aurait imaginé avoir une relation aussi intime avec un homme de 30 ans de moins qu’elle. Depuis quelques jours, elle s’interrogeait sur ce que ça pouvait signifier, ce qui se passait entre nous, cette attirance ébranlait ses principes et pourtant elle me confiait que depuis son divorce, elle ne s’était pas sentie aussi proche d’un homme.
J’osais à peine lui avouer ce fantasme qui me tenait depuis des années, encore moins avec une femme de 58 ans, ni une telle femme que je trouvais de plus en plus belle, avec autant de classe et de douceur. Je la rassurais en lui confiant que je n’aurai jamais imaginé non plus avoir une relation avec une femme de son âge, qui paraissait aussi inaccessible quand j’évoquais notre première rencontre. Je finissais par lui avouer que je vivais un rêve et que je serai patient même si je ne pouvais m’empêcher de la désirer et même si j’avais 31 ans de moins qu’elle, puisque depuis aujourd’hui »hui nous avions 31 ans d’écart.
Elle en riait presque nerveusement, réagissant à ma remarque. Malgré tout, elle se sentait rassurée par ma compréhension et ma patience tout en me confiant qu’elle préférait que notre relation reste entre nous, me disant à demi-mot de n’en parler à personne. Je lui promettais que jamais je ne ferai quoique ce soit qui puisse la contrarier et puis si elle évoquait mes amis, je savais qu’ils ne comprendraient probablement pas ce que je pouvais ressentir.
Elle me tendit la main, pour que je l’aide à se relever, elle enchaina d’un ton plus léger
- Allez mon prince, on va aller se baigner ça va nous faire du bien à tous les 2 je crois ! Elle regardait mon short en se levant
- Si tu veux te baigner nu je comprendrais mais je préfère garder mon maillot si ça te dérange pas !
Je n’insistait pas, évidemment je ne l’obligeais en rien et gardait sa main dans la mienne.
Elle m’embrassa et me flatta en m’avouant qu’elle me trouvait très mignon. C’était la première fois qu’elle me faisait un compliment sur mon physique. J’étais aux anges en lui rendant son compliment une nouvelle fois. En approchant de l’eau elle me demanda 
- Quand est-ce que tes parents vont rentrer Titouan ? 
Sa question me laissait imaginer tant de choses. Je lui répondais qu’ils étaient absent une petite semaine, sans savoir exactement quand ils reviendraient mais que de toute façon, à mon âge j’étais libre de faire ce que je voulais. Elle ne répondait pas mais je sentais qu’elle organisait les choses dans sa tête.
Une fois dans l’eau, je lui disais qu’elle avait raison, ça me faisait beaucoup de bien. Je me sentais bien, la fraicheur venait calmer mon ardeur, je sentais mon sexe se relâcher, retrouvant enfin un peu de place dans mon short que j’avais finalement gardé. Avec la différence de température, je réalisais que pendant tout ce temps, mon dos était resté en plein soleil. Elle le remarqua quand elle posait sa main sur mon dos, le trouvant chaud et me remit en garde en me faisant promettre de faire attention à l’avenir, comme le ferait une maman
On était serein, proche l’un de l’autre, complice même. On nageait tranquillement en silence, chacun dans nos pensées et après quelques brasses je lui demandais
- Ca vous dérange Julie, si j’enlève mon maillot, ça va mieux mais j’ai très envie de me baigner sans rien ! Je me sentais gonflé comme un coq après tout ce qu’elle m’avait dit
- Non ça ne me dérange pas Titouan, mais où vas-tu le mettre ? On nageait à quelques mètres du bord,  la mer était remontée nous n’avions plus pied
Je ne répondais pas et en m’arrêtant pendant qu’elle nageait, je retirai mon short et le mettait en boule dans ma main
- Voila je vais nager avec, c’est pas très encombrant ! Répondais-je en revenant à sa hauteur
Elle tournait la tête vers moi en souriant, me demandant si c’était agréable. Je lui vantais la sensation de nager sans rien, c’était malgré tout naturelle et agréable avec la liberté des mouvements sans la contrainte d’un tissu.
Elle acquiesçait de la tête en disant « surement oui ! ». Après quelques brasses qui nous éloignaient, on décidait de revenir tranquillement. Elle parlait en me posant des questions, sur ma vie comme si elle voulait apprendre tout de moi, je lui répondais docilement en lui retournant certaines de ses questions. On s’arrêtait de nager à quelques mètres du bord, l’eau au niveau des pectoraux pour moi, au dessus de sa poitrine pour elle, je devais mesurer une petite 20aine de centimètre de plus.
On restait un moment en continuant à discuter, elle était curieuse dans ses questions, je l’étais aussi. Elle se tenait en face de moi, bougeant les jambes par moment en se laissant flotter tout en continuant à parler quand elle me demanda si ça allait mieux et si j’étais bien comme ça, tout nu !
- Oh oui ça va beaucoup mieux Julie, c’est très agréable oui, sentir le courant sur son corps nu ! Vous n’avez jamais essayé ? Posant naïvement la question à laquelle elle me répondait 
- Non j’ai jamais essayé, j’ai pas souvenir d’avoir eu l’occasion, et encore moins pour pratiquer du naturisme mais je crois que j’ai envie d’essayer ! Lâchait-elle soudainement, commençant à baisser ses bretelles, dégageant ses bras pour finir par se recroqueviller pour faire glisser son maillot jusqu’à ses pieds.
Je voyais son menton se relever, pour rester à la surface avant de se redresser en sortant son maillot de l’eau, en me le montrant comme si elle tenait un trophée.
- Et voilà ! J’ai envie de découvrir cette sensation de nager sans rien, sans contrainte mais je vais avoir du mal à nager avec mon maillot dans la main, tu veux bien aller le déposer Titouan ? Me demandait-elle alors que j’étais resté bouche bée en la voyant faire.
Je prenais son maillot et rejoignais le bord en marchant dans l’eau jusqu’à sortir tout nu avant d’abandonner nos maillots sur le sable. En me retournant, je la voyais un grand sourire sur les lèvres, avec cette expression qu’elle prenait quand elle me taquinait « hum Titouan ! Tu as une sacré marque blanche et de belles fesses dis donc ! ». 
Je rigolais de satisfaction en l’entendant avant de la remercier « pas autant que les vôtres Julie ! » et elle se mit à rire comme si elle n’y croyait pas une seconde. Elle bougeait ses bras en reculant, visiblement ses jambes pédalaient sous l’eau je pouvais voir ses seins blancs en surface tels des bouées qui flottaient au rythme du clapot de la mer. En la rejoignant je pouvais apercevoir ses tétons qui émergeaient au rythme de ses mouvements.
- Allez ! on va nager, j’ai envie de découvrir cette sensation ! Disait-elle en se mettant sur le ventre pour commencer quelques brasses.
Je la voyais déjà partir et pouvait voir ses fesses blanches qui émergeaient à chaque brassée, elles ressortaient toutes arrondies, luisantes, ses jambes s’écartaient et se refermaient. Je me mettais à nager arrivant à sa hauteur après avoir profité de sa nudité pendant quelques brasses.
En la rejoignant, elle me confia en parlant comme en appartée «  Tu as un beau sexe Titouan ! ». Je restais sans voix, ne m’attendant pas à cette réflexion à retardement. En l’entendant me dire ça, j’en déduisais que ses pensées étaient tout aussi coquine que les miennes. A part la remercier je ne savais quoi lui répondre, la seule réponse qui ne venait à ce moment sortait presque malgré moi « Vous êtes coquine Julie ! ». Elle se mit à rire en me répondant du tac au tac « Je crois bien que oui mon prince ». J’avais tellement envie de découvrir le sien à ce moment, je me retenais pour ne pas glisser ma main entre ses cuisses et sentir son intimité nue qui s’ouvrait et se refermait au rythme de ses brassées mais je me disais que ma patience serait récompensée et je craignais de la refroidir plus qu’autre chose en étant trop entreprenant. Encore une fois je décidais de lui laisser l'initiative et puis j’adorais cette intimité, je trouvais ça tellement érotique
Je me contentais de profiter de sa nudité à peine voilée par les ondulations de l’eau. Elle souriait par moment en remarquant mes regards sur son anatomie dénudée. Nous nagions en papotant, en jouant de ces regards et de ce halo d’érotisme qui nous entourait.
Une fois qu’on avait pied, on continuait à papoter debout dans l’eau, ses seins flottaient au rythme des vaguelettes. Malgré la fraicheur de la mer mon sexe était à nouveau en érection depuis un moment. Elle devait s’en apercevoir ou le deviner sans même baisser le regard, tout comme je voyais furtivement les parties de son corps dénudées. Elle baissait la tête sur sa poitrine nue en disant
- C’est vrai que c’est agréable d’être sans maillot, ma poitrine flotte, elle se ballote toute seule ! Elle en parlait comme si elle s’en amusait
- Vous voyez j’avais raison Julie ! Ajoutais-je en regardant ses seins sans détour. Ses tétons étaient dressés, presque provocants
- Ca te plait on dirait Titouan ! Les prenants dans ses mains en me regardant
Je ne pouvais quitter mon regard, la voir prendre ses seins en les soulevant comme pour les sortir de l’eau me troublait terriblement, j’en avais rêvé durant mes moments solitaires
- Oh oui Julie ça me plait beaucoup, ils sont remuants comme des bouées, j’adore c’est très troublant !
Elle lâcha sa poitrine et tendit ses bras vers moi en répliquant
- Viens dans mes bras mon prince, j’ai envie de te serrer dans mes seins ! Elle m’attirait vers elle, contre ses seins en m’ouvrant ses bras. 
J’étais terriblement ému en sentant ses bras se serrer autour de moi pour m’amener sur sa poitrine. A mon tour je passais mes bras autour de sa taille et calait ma tête dans ses seins. Mon visage était à moitié immergé sous l’eau, sans rien dire je la soulevais délicatement pour amener sa poitrine à hauteur de mon visage, je m’y plongeais en me délectant de leur volume, leur douceur maternelle. Je sentais ses tétons dressés par la température de l’eau mais probablement excités par la situation. Ses aréoles étaient pigmentées de frissons, je sentais leur dureté sur ma joue, sur mes lèvres, je me plongeais dans ses seins en lâchant des « hum ! » de plaisir. Elle serrait ma tête dans ses bras en la pressant dans ses seins, j’étais enveloppé de douceur, de ses formes charnues et accueillantes. J’aurai voulu que le temps s’arrête pour profiter de cette douceur incomparable
- Tu es bien dans mes seins mon bébé ! Demandait-elle de sa voix douce et enveloppante
Elle m’appelait « mon bébé » ! j’en étais sur-excité, en l’entendant j’ouvrais mes lèves pour lécher son téton gauche, y frotter mon visage avant de prendre son autre mamelon pour le téter comme un bébé. 
Comme lors de son baiser, sa main venait prendre l’arrière de mon crâne. Ce geste me troublait énormément, comme si elle m’encourageait à profiter de ce moment en me maternant, comme si elle me disait « tu aimes mes seins mon bébé, ils sont pour toi si ça te fait plaisir »
A ce moment elle ouvrit ses jambes pour les serrer autour de mon bassin, instinctivement ma main la souleva en se posant sous ses fesses. Je laissais ma main ouverte sur ses fesses pendant que ses cuisses se calaient sur ma taille. Ses seins comprimés sur mon visage, ma paume pouvaient sentir sa raie profonde, ses fesses s’écartaient en même temps qu’elle remontait ses cuisses pour se lover sur moi. Je ressentais son intimité, sa pilosité sous mon petit doigt, je n’en pouvais plus je me sentais proche de l’éjaculation. Le simple contact de mon gland sur mon bras et ses fesses me procurait une sensation nouvelle, jamais ressentie
- Oh Julie, vous m’excitez tellement ! Éructais-je bêtement, la bouche presque écrasée dans ses seins matures
En m’entendant, elle lâcha une main pour passer son bras dans son dos et poser sa main sous mon sexe en le calant contre ses fesses. Ma main la soulevant était en contact avec mon sexe, dressé comme un bâton. Sans rien dire elle gardait mon sexe bloqué sous sa main et sa raie ouverte tout en commençant à onduler langoureusement comme pour nous masturber. Je savais qu’elle sentait que j’étais proche de la jouissance
- Moi aussi mon bébé ! Laisses toi aller, ne te retiens pas Titouan … 
En goutant ces paroles, cette douceur, le contact de sa main qui maintenait mon sexe dans ses fesses, ma main plaquée sur son cul mature, mes doigts qui glissaient dans son intimité, la sensation de sa pilosité naturelle et ses seins qui enfermait mon visage je n’allais pas résister longtemps. A peine une vingtaine d’ondulation de nos bassins suffisaient à me faire éjaculer, au même moment je la voyais  mordre ses lèvres en crispant son visage pour retenir un cri de jouissance …
On restait plus d’une minute sans bouger, serrés l’un contre l’autre, sexe contre fesse, visage contre sein, paume ouverte sur mon crâne avant de relâcher l’emprise de cette pure jouissance qu’on terminait par un baiser amoureux qui dura un temps indéfinissable.
Tout à coup je sentais son poids, bien que soulagé par l’apesanteur de l’eau, mon biceps se tétanisait. Je libérais ses fesses, elle se recula en se laissant flotter sur le dos, en faisant la planche bras ouvert, jambes écartées comme une étoile de mer. Je la regardais enivré par ce moment d’intimité et de jouissance qui n’avait pas du durer plus de 5 minutes. Pour la première fois je découvrais son intimité, ses jambes écartées laissaient apparaitre sa toison fournie, encore plus large que je l’avais imaginé. Je m’approchais d’elle en la soutenant sous le dos pour la faire tourner lentement autour de moi et admirer son corps mature.
Après ce moment de plaisir intense, inattendu, comme une sorte de prémisse, nous sortions de l’eau enlacés comme 2 jeunes amoureux ne voulant plus se séparer. On était serein en se reposant sur nos serviettes, les doigts croisés dans la main de l’autre, proche et nu sur cette plage, s’assoupissant ensemble sans besoin de parler avant de se réveiller dans la même position, tournés l’un vers l’autre, ses jambes repliés dans le creux de mon bas ventre.
J’ouvrais les yeux et la regardais un instant, quand je caressai ses cheveux elle se réveilla en me faisant un sourire de contentement. On ne parlait pas de ce qui s’était passé, ce moment de communion n’avait pas besoin de justification, on avait vécu ce moment d’osmose et nous savions tous les 2 qu’il y en aurait d’autres encore.
Il était plus de 16h, le temps de rentrer me suggérait-elle avec regret. N’étant pas joignable depuis le matin, Julie voulais retrouver du réseau et consulter sa messagerie qui devait contenir des messages et des sms reçus pour son anniversaire. En reprenant le chemin du retour, je sentais déjà la nostalgie de cette journée, je me retournais en grimpant la dune comme pour graver ce paysage à jamais. Durant tout le trajet du retour, nous échangions sur cette merveilleuse journée. Julie me remerciait encore et adoptait mon point de vu sur le bien-être d’être nu même si elle ne s’imaginait pas le faire avec du monde autour d’elle.
Plus on avançait, moins on parlait comme si cette journée nous avait marqué tous les 2. En retrouvant la route, son portable n’en finissait plus de biper, elle recevait en cascade tous les messages de ses proches et amis lui ayant probablement souhaité son anniversaire. 
Après un moment passé à consulter ses messages, elle prit l’initiative en me demandant qu’une fois arrivés chez elle, de lui laisser 2 heures pour se reconnecter au quotidien et prendre le temps de passer quelques appels, répondre à ses sms avant de se retrouver pour profiter de cette journée qu’elle voulait nous accorder
- Si tu n’as rien de prévu Titouan, tu voudrais venir diner avec moi ? Me disait-elle en posant sa main sur ma cuisse
J’étais le plus heureux des hommes en l’entendant en lui répondant que je comprenais, j’avais accaparé sa journée d’anniversaire et que même si j’avais eu quelque chose de prévu, j’aurai annulé préférant son invitation à tout autre chose. Je rajoutais que c’était la meilleure journée de toute ma vie. Elle en rigola en ajoutant 
- Tu exagères mon prince ! On retrouvait cette légèreté rassurante
J’exagérais peut-être mais après cette journée, j’étais sincère et lui confirmait que je n’avais pas de souvenir aussi heureux en tête que cette journée à la cote sauvage en sa compagnie
- Je suis votre bébé Julie, ça me rend heureux je n’y peux rien ! Ajoutais-je en la regardant avec un air naïf
Elle souriait sans rien ajouter et elle prit ma main pour la poser sur sa cuisse pour garder un contact physique pendant qu’on roulait
- J’ai hâte qu’on se retrouve ! Lâchait-elle en approchant de sa maison
Je caressais sa cuisse en guise d’approbation en ajoutant « Oh moi aussi Julie ! ». En la quittant devant le portail, mon vélo à la main je lui demandais si elle voulait que j’amène quelque chose ?
- Non mon bébé, tu es mignon ! Ta présence me suffira largement pour passer un bon moment ! Elle approcha ses lèvres et les posa quelques secondes sur les miennes en ajoutant «  à très vite mon prince ! »
A suivre ... (Scène 12 le 31 mars 2024 à 6h00)
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lukysoul · 11 months
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certain people when i prefer to watch fnaf over "merde le cul" or whatever because i like funny robots and not slideshows in french that where released once by some guy named poils pubiens in his garage that i have to sell my soul and left lung to get only to be irreversibly traumatized after viewing
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Puissant Sort D'amour Par Le Maître Le Plus Redoutable Tobonon Djafa 
Sort d'amour sur les poils pubiens d'un homme Sortilège Pour Rendre Un Homme Fou Amoureux à Distance Rituels d'amour puissant avec miel et photo Envoûtement amoureux - Comment lancer un sort d'amour Tel: +33774813740 Email: [email protected]
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gedjub · 2 years
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151022 Bugünün menüsü
211022 mon passé devenu vintage
251022 BD Aujourd'hui je fais : l'ascension de Lóránt, la traversée d'une feuille blanche en laissant des traces, l'immersion dans les poils pubiens de Felix...
291022 pour chouchou un portrait d'automne avec de belles feuilles jaunes
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philoursmars · 5 years
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Un parallèle intéressant fait au Mont Rose...
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acomoclitiques · 3 years
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Hmm… Pas beaucoup de place pour du poil pubien! Disons qu’on peut bien croire qu’elle se rase bien tout partout. Mieux encore, je crois que s’est bien épilé partout! J’ai bien scruté la photo, j’ai pas trouvé un seul poil. Ni aux bras ni aux cuisses. Vous êtes jolie ma demoiselle.
❤️🛁🪒🧼👅❤️
Hmm … Not much room for pubic hair! Let’s say we can imagine that she shaves well everywhere. Better yet, I think he plucked well everywhere! I took a good look at the photo, couldn’t find a single hair. Neither the arms nor the thighs. You are pretty, my young lady.
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lawrencelawossart · 7 years
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#LineBeast | Hippo - Instagram serie - LaWrence Art - March/Mars 2017
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몸 le corps humain
*plus ou moins de haut en bas
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👩‍🦲 머리* tête      머리카락 cheveux *머리 peut aussi être utilisé quand on parle de se brosser les cheveux (머리를 빗다), se couper les cheveux (머리를 깎다) etc. Il est en fait pratiquement interchangeable avec 머리카락 pour parler des cheveux.      두개골 頭蓋骨 crâne 이마 front 눈썹 sourcils 👁️ 속눈썹 cils       눈 œil       눈동자 ―瞳子 pupille de l’œil   👃 코 nez      콧구멍 narine 👂  귀 oreilles      귓불 lobe de l’oreille  👄 입 bouche       입술 les lèvres        이(빨) les dents 👅 혀 langue 볼 joue 턱 mâchoire/menton
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목 cou, gorge 등 dos 어깨 épaules      겨드랑이 aisselle      팔 bras      이두근 二頭筋 biceps      팔꿈치 coude      손목 poignet ✋ 손 main      손가락 doigts      손톱 ongles 가슴 poitrine, seins 허리 taille 배 ventre 복부 腹部 abdomen     배꼽 nombril
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🍑 **엉덩이 fesses **informel 항문 肛門 anus  질 膣 vagin 🍆 음경 陰莖 penis       음모 陰毛 poils pubiens 다리 jambes      허벅지 cuisses      무릎 genoux      발목 cheville 🦶발 pied            발뒤꿈치 talon            발바닥 plante des pied            발가락 orteils            발톱 ongles de pieds
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bienvenuechezmoi · 5 years
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Aux enfants de la patrie
Lançons des petits cailloux. Ce soir je me regarde une vidéo d'Amixem, parce que ces conneries me font rire et que quand je ne veux plus penser à rien c'est ce que je trouve de mieux. Qu'elle n'a pas été ma déception quand dans un jeu d'image ou on voit apparaître une femme en culotte avec des poils qui dépasse de celle ci il a eu une réaction de gamin immature. Le plus gros cri d ela vidéo suivi d'un délicat "il faut aller chez le coiffeur". Incroyable. Le mec est marié et a un gosse, inshallah si c'est une fille j'espère qu' elle ne sera pas poilue. Oui les meufs ça à des poils à la vulve, des poils qui dépassesnt, des poils partout enfaite.
Oui je fais partie de ces meufs là extrêmement poilue dans une société qui vomi carrément les poils féminins. Tu vois la vidéo de Solange te parle sur les poils pubiens. Je suis l'autre personne à qui elle compare ses poils de vulve, oui oui avec le maillot qui dépasse bien bien bien. Moi je m'en fiche, je suis arrivée à un momen où je connais ma valeur et il dit ce qu'il a dit enfaite je le trouve simplement immature, resté coincé à un stade où je n'ai pas envie d'être. Mais je pense à toutes ses ados, à l'ado que j'étais qui entend ça, je me serais enfoncée dans mon pire complexe. Ma sœur qui est plus poilue que moi n'est pas allé à la plage pendant quelques années à cause des règles sociales. Ne t'inquiète pas on a entendu les "t'es con de pas venir" mais non ça ne marche pas comme ça. Bon maintenant on y va tout poils sortient mais ça a été un long chemin.
"Les poils c'est dégueulasses", c'est la meilleure protection contre les bactéries que ta vulve peut rêver d'avoir. Et de toute façon tu ne vaincra jamais la guerre contre tes poils, plus tu le comprendra vite mieux tu te sentira et ça t'évitera des soirées à pleurer parce que le lendemain tu as journée plage avec tes ami.e.s et des réflexions comme "moi je n'aime pas trop le sud je préfère le nord". Non ce n'est pas que tu n'aimes pas le sud c'est que dans le nord tu peux te cacher sous des vêtements ça n'a rien à voir.
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pauline-lewis · 5 years
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Do you feel held by him ? Does he feel like home ?
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Midsommar, Ari Aster (2019)
Si d’aventure un jour vous voulez absolument que je vois un film, je vous conseille de me dire qu’il n’est pas pour moi, que je ne le supporterais pas. D’un coup je serais gonflée de cette certitude de devoir prouver ma valeur. C’est dans cet état d’esprit de fronde et d’indiscipline que je suis allée voir Midsommar à la fin de l’été, ayant tout de même enrôlé de la compagnie en cas de crise de nerf. Je ne faisais pas la fière, le nez dans mon café, quand j’ai senti poindre la crise d’angoisse dès la première scène.
Malgré tout. J’ai un petit penchant pour les films sur la rage des femmes. Si je pense aux scènes qui m’ont marquée bien sûr il y a Ingrid Bergman au volant de sa voiture dans Les enchaînés, il y a Lauren Bacall dont le regard de braise était né pour la colère (Le port de l’angoisse) et puis Liselotte Pulver dans Le Temps d’aimer et de mourir et puis la rage absente de Tatiana Samoïlova dans Quand passe les cigognes. Et mille autres.
Donc je serais tout à fait capable d’aimer Midsommar d’Ari Aster simplement pour l’un des plans de fin où Florence Pugh, habillée de fleurs et de tristesse, décoche ce regard et ce premier sourire qui reviennent me hanter à chaque minute. Ou alors peut-être que je pourrais l’aimer pour cette scène incroyable où elle est accompagnée dans ses pleurs bestiaux par un cortège de femme. Pouvoir crier de concert, voilà quelque chose qui n’est pas admis dans nos sociétés et pourtant qu’est-ce qu’on peut accumuler comme colère, parfois ça irradie en vibrations jusqu’au bout des doigts.
Midsommar raconte l’histoire d’une jeune fille, jouée magnifiquement bien par Florence Pugh, qui vient de vivre un drame personnel d’une violence telle qu’elle ne peut pas en dessiner les contours. Il y a trop de ramifications à sa tristesse pour qu’elle en aperçoive le fond. Quand va-t-elle arrêter de hurler ? De dormir ? D’entendre la voix des autres comme un écho lointain ? Son petit ami, qui est un connard fini, la prend vaguement en pitié et décide de l’emmener avec sa bande de mâles américains privilégiés dans un village de Suède. Là-bas se déroule un festival qui n’a lieu que les 80 ans et où se mêlent des traditions dérangeantes qui servent toujours d’interrogation sur l’importance du regard que l’on porte sur les choses, sur le deuil, l’empathie, les relations amoureuses et la place que l’on accorde à la souffrance et à la mort dans nos classes moyennes éduquées. J’y ai vu aussi une réflexion vraiment fine sur les boy’s club, sur les personnes qui pensent que tout leur est dû et sur la place que l’on peut perdre quand on souffre ou qu’on devient inadapté.
Le décor irréel, l’esthétique presque trop travaillée et les situations qui semblent se produire dans une autre dimension permettent pour moi de vivre encore plus intensément le personnage. Tout est trop beau mais le personnage principal, lui, n’en est que plus vrai. Il se détache de ce folklore. J’étais avec l’héroïne dans toutes ses respirations syncopées, quand son souffle était coupé, à travers les champs d’herbe sèches, dans la rage et l’incompréhension. Et j’ai ri aussi parce qu’il y a des tourtes aux poils pubiens et que les personnages masculins sont nuls. Allez-y !
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In a Lonely Place, Nicholas Ray (1950)
Mettons-nous d’accord : la rage des femmes, oui, la violence des hommes, non. Je ne suis pas partie victorieuse à la conquête du In a Lonely Place de Nicholas Ray (Le violent en français, y a pas de mystère). Le film raconte l’histoire d’un scénariste agressif qui gère très mal sa colère et qui se retrouve accusé d’un meurtre. Tout semble l’accabler : la victime était passée chez lui boire un verre la veille, il avait été vu dans la soirée perdre totalement son sang froid... Bref, tout pointe sur l’ami Bogart (que définitivement je n’aime pas voir dans un rôle mal aimable).
Sauf que, lorsqu’elle est interrogée, sa voisine (Gloria Grahame) affirme avoir vu Bogart raccompagnant la victime. Il est donc à ses yeux totalement innocent et son témoignage permet de lever une partie des soupçons de la police. Pendant tout le film, elle le protège donc et tombe amoureuse de lui, malgré le fait qu’il continue à agir comme un psychopathe à la moindre occasion. (si j’étais accusée de meurtre j’éviterais de casser les lunettes d’un gars à un dîner mais bon...)
Plus qu’un film sur la violence de son anti-héros, In a Lonely Place s’oriente sur une réflexion sur le couple. À quel moment le regard que l’on porte sur son conjoint peut-il basculer ? Jusqu’où peut aller la loyauté ? Avec une empathie parfois poussée à l’extrême pour son personnage masculin, Nicholas Ray filme ce couple dans des clairs obscurs et dans des plans très saisissants où Bogart devient un prédateur dans le regard de sa compagne. Son visage est traversé d’un éclair de lumière tandis que tout son corps est dans l’obscurité. Une reconstitution du meurtre, inspirée de sa connaissance des rouages scénaristiques, brouille les pistes entre réalité et fiction. Parce qu’il y a aussi bien sûr un petit soupçon de réflexion sur la manière dont la fiction, Hollywood et la pression des studios peuvent pousser une personne dans ses retranchements.
L’ambiguïté de ce film m’a vraiment habitée pendant plusieurs jours, la complexité du personnage et le regard que Ray pose sur lui. Et surtout ces plans incroyables qui éclairent de lumières improbables les pulsions humaines et peignent sur l’écran l’état mental des personnages.
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Je n’avais pas vu venir le crépuscule de mes idoles, pourtant on dirait que l’été 2019 nous a lancé dans une infernale course aux adieux impossibles.
Cette fois il faut se résoudre à laisser partir Daniel Johnston, poète extraordinaire, songwriter magnifique, qui a écrit tellement de tubes qu’il est dur des les dénombrer.
J’ai connu Daniel Johnston au même moment que David Berman et tous les deux ont participé à façonner les murs de ma maison intérieure — à cet âge où toute influence pouvait encore modifier mon ADN. Il est toujours bon aujourd’hui de revenir à leurs disques et pour se sentir en sécurité.
J’adorais Johnston pour ses enregistrements toujours sur le fil, pour cette force incroyable qui se dégageait d’une fragilité apparente. On a toujours l’impression que qu’une chanson va se casser la gueule et là il nous sort un refrain incroyable et on chantonne ses titres pendant des heures le sourire aux lèvres. Mais j’aimais aussi toutes les reprises qu’il inspirait, bien sûr Speeding Motorcycle par Yo La Tengo ou les Pastels mais aussi l’inoubliable Sorry Entertainer par Calvin Johnson. Pour tous et toutes, il a redéfini la figure du musicien.
Speeding Motorcycle gardera toujours une place particulière dans mon cœur aussi, ode à ce petit monde mental
We don’t have to break our necks To get our kicks
Que puis-je dire. Merci Daniel Johnston.
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culturequejepartage · 5 years
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LES POILS PUBIENS \ les poils
Une petite question :
Vous vous aimez ? Vous vous êtes déjà poser la question ?
Je vois souvent des femmes répondrent oui, et raser ses poils , partout même la moustache . Pourquoi ? Peut être qu’elles ne se rendent pas compte mais .. vous faites comme tout le monde , vous vous acceptez pas comme vous êtes née !
Ensuite un dernier mot pour les hommes ou femmes, QUAND VOUS ÊTES EN COUPLE , svp messieurs et mesdames , acceptez les poils de monsieur ou madame . C’est votre femme , ou votre homme. «  ne le laissez pas vous influencer par ce que si c’est cela , c’est que il faut tout simplement partir, si l’un n’arrive pas à accepter vos poils ou moustache . Vous êtes magnifique ! Et pas besoin de maquillage mais sa on en reparlera plus tard :) il y’a beaucoup de travail à faire sur vous même .:) bon’e journée ,prenez soin de vous
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Tu étais un beau australien avec des yeux qui charmaient si bien, mais derrière ton joli sourire d'océanien se cachait des cornes de diablen, tellement de filles sont tombées a cause de ton charme pubien.
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manwithaharmonica · 8 years
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Who you gonna call?
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adjland · 8 years
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Muiiii câlin du matin ! <3
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poesiecritique · 5 years
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d’Agnès Sorel le tombeau
d’Agnès, d’Agnès Sorel le tombeau le tombeau noir et blanc dans l’aile de la grotte ursine Saint-Ours protège Agnès Sorel  Saint-Ours protège ce qui d’Agnès Sorel reste ce qui d’une urne jetée à la révolution  dans le prieuré d’à-côté ce qui a été jeté dans une urne  quand le tombeau du coeur  au sein de la grotte ursine de Loches vers l’aile a été déplacé  une dentition parfaite du jus de putréfaction une chevelure dorée comme les poils pubiens qui s’y trouvaient l’étaient quelques os  ce qui d’une urne jetée à la révolution a été retrouvé a retrouvé  le tombeau noir et blanc d’Agnès Sorel  mais jamais jamais son coeur n’a abrité morte au Mesnil-Jouxte-Jumièges morte  Sorel son corps partitionné  embaumé son corps moins son coeur errant envoyé aux saints de Saint-Ours son coeur vers ce qui  a été conquis par la force de l’amour de l’amour de l’amour et de l’amour de la guerre  ce qui a été élevé et sera détruit  de Jumièges, la cathédrale gothique dévastée, la révolution la révolutionne nadir romantique, ruines parallèle parallèle urne jetée
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tombeau d’agnès sorel
(Isabelle de Lorraine-prem’s est Barbe Bleue, son sexe se prénomme Charles (Et son sexe, son pouvoir de la mère de Charles, d’Isabeau de Bavière Charles, elle, protège (Bonne mère lorraine, la bonne protecmère-poule son sexe l’entoure pour de son jeu l’épingle tirer (Isabelle de son propre lit, d’Anjou, de René, tire leur fille, Marguerite : à Charles-coton mariée, (Puis pour ce fil broder, sur le trône le faire monter septième Charles, asseoir de son sexe le pouvoir   (Isabelle de son propre pays, de sa Lorraine, de sa campagne d’Arc tir la flèche l’amour de la guerre, Jehanne, (Puis in fine, pour le dernier nœud noué, accroche-cœur, rêt beauté  (Isabelle de sa propre cour extrait une dame d’honneur, c’est Sorel l’amour de l’amour l’élan (Barbisa-Bleue a autour de sa bite bien attachée les quatre coins de son mouchoir, bru-mère, femme-enfante, sainte-guerrière, intelligente-amante : Barbisa-bleue n’a rien oublié  
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agnès sorel d’après jean fouquet
Mais je ne dis rien, encore rien de l’amour du tombeau Du tombeau noir et blanc Du tombeau noir Et de la statuaire blanche De la statuaire blanche posée flottant à même la peau Du marbre noir du tombeau noir Tout contre les plissés du tissu d’albâtre Ce que je sais de cet plateau de marbre noir C’est qu’il a vu le sang couler Les sangs mêlés des sangs de bêtes égorgées, agneaux-agnès, Démembrées équarries dépecées débitées Par un.e bouchèr.e-charcutièr.e Entre la peau d’albâtre et la peau noire du marbre, Entre peau et peau le sang toujours coule ferrique,              (l’ancienne restauration a nécessité qu’entre ces deux              (ces deux couleurs, ces deux pierres              (une plaque de métal vienne              (plaque plateau, gâteau de la statuaire en miette              (j’imagine cette plaque de métal              (la silhouette que dessinait, que dessine              (cette plaque de métal de celle de Sorel              (de la statuaire Sorel cette plaque d’acier              (d’acier peut-être, comme peut être de fer              (la silhouette de la dite dame de beauté              (si toujours existe, cette plaque, j’aimerais la voir  ferrique, féerique dame de beauté comme contre ton sein peint les démons, les anges, les sangs   Sont toujours bleus et rouges Veineux et artériel Vénale et arc-en-ciel Noir et blanc Tombeau
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détail du gisant d’agnès sorel (anonyme)
sur ce tombeau, il y a des poèmes, des textes et des poèmes, des prières la première court tout autour du biseau de la dalle bouchère couchée le billot noir, marbre basalte à feu et à sang et le second s’érige dalle noire qui du dais scelle vertical’horizontal le ciel c’est-à-dire le texte-pourtour 
                Cy gist noble damoyselle Agnès Seurelle en son vivant dame                 de Beaulté, de Roquesserière, d'Issouldun et de Vernon-sur                 Seine piteuse envers toutes les gens et qui largement                 donnoit de ses biens aux eglyses et aux pauvres laquelle                 trespassa le IXe jour de février l'an de grâce MCCCCXLIX,                 priies Dieu pour lame delle. Amen
le texte-pourtour dalle rectangularise plan l’horizon où s’érige le texte-ciel, petite stèle-paysage noire et verticale c’est-à-dire qu’ici c’est-à-dire que le tombeau d’Agnès Sorel rend au ciel-plan sa verticalité ici le ciel est vertical vertical vertige s’érige depuis le plan-terre terrain, pays, paysage sur lequel le corps d’une presque-reine est couché aux pieds de laquelle deux béliers, deux agneaux-agnès, sont couchés Couchée-couchés cachée-couchée cachou trop chou ne sont surtout pas sur le même plan les béliers encore-toujours-debout leurs têtes quand leurs pattes sous leur corps sont repliées debout couchés cachent de la reine de beauté ce qui le sol d’elle touchait, l’y reliait, à peine, feu fée dame de beauté, ses petits pieds le sol peut-être survolaient comme survolent la mort, comme les deux marbres se touchent sans se toucher, le contraste fait porter le regard en haut, en bas, en haut la ligne de partage se trouble, est trouble, trouble, tremblait Agnès Sorel plane aux cornes retroussées deux béliers blancs aux boucles-soies volutes nuages leurs boucles-soies mangas
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détail du gisant d’agnès sorel (anonyme) 
  Le corps d’Agnès Sorel, qui est figuré couché, pourrait tout aussi bien Etre droit debout érigé Erigé sous son dais comme contre le pilier d’une église, A l’entrée d’une église, les saints les saintes sont représenté,es Sous un dais, leur visage paisible Agnès Sorel allongée est aussi Agnès Sorel vivante debout Protégeant qui elle aime depuis le ciel La terre Depuis les béliers-nuages C’est ce rapport de la verticalité à l’horizontalité La verticalité rencontrant toujours l’horizontalité La spiritualité tout le temps la chair C’est cette figuration que je trouve Si belle Sorel Si sœur, ne délie Sorel cœur ce qui Affecte réfléchit chie
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détail du gisant d’agnès sorel (anonyme)
Aux épaules des anges la soutiennent Les épaules de Sorel, tout le haut de son corps  vu de côté n’est que draperie de plumes  Agnès supportée vole leurs ailes, ce sont les siennes Leurs ailes ses ailes qui ceignent ses mais jointes Les leurs glissées sous des coussins Qui froncent du poids de la statuaire De Sorel la robe ne découvre le sein La robe est chappe, est verticale Un motif trinitaire architecture son cintre Par le milieu Trinitaire comme hermine Si je pense au gisant d’Anne de Bretagne Le gisant de Sorel Est rigide Encore roide Pas encore dans le feu de la mort N’est pas dans le feu de sa mort figurée  Sorel Pas dans cette éternité Ainsi son visage, le visage impassible Est le visage mort, cireux Le visage sans vie des chevaliers Des preux, de celles et ceux Qui meurent servant leur idé- Qui meurent la le poursuivant En meurent, meure mercure Sorel Si au dernier instant Sorel avait été figée Aurait eu les jambes écartées de la chatte des vers Surgiraient Surgit l’évoquant manga encore Manga post-Hiroshima La mort mange A mangé Sorel la mort mercure La mort beauté meurt Son visage la voulant figer Alors que partout ce tombeau Dit le vol plan, le survol brisant toutes règles de pesanteur brisant la dame de beauté
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dessin de toshio saeki
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