An old French tune (by Georges Brassens) | Pomplamoose ft. John Schroeder
Georges Brassens - I made myself very small
I never took off my hat
In front of anyone
Now I crawl and show off
When she rings me
I was naughty dog, she makes me eat
In his handcuff
I had wolf teeth, I changed them
For quenottes, I made myself very small in front of a doll
Who closes her eyes when we lay her down
I made myself very small in front of a doll
Who goes "Mom" when you touch her I was badass, she converted me
The fine fly
And I fell all hot, all roasted
against his mouth
Who has milk teeth when she smiles
when she sings
And wolf teeth, when she's furious
How mean she is, I made myself very small in front of a doll
Who closes her eyes when we lay her down
I made myself very small in front of a doll
Who says "Mom" when you touch her I submit to her law, I spin very gently
under his rule
Although she is jealous beyond all
And even worse
A pretty periwinkle that seemed to me
prettier than her
A pretty periwinkle one day died of it
With a parasol, I made myself very small in front of a doll
Who closes her eyes when we lay her down
I made myself very small in front of a doll
Who goes "Mom" when you touch her All the sleepwalkers, all the mages have me
Said without malice
That in his arms on the cross, I will undergo my
Last torment
There are worse ones, there are better ones
But take it all
Hang yourself here, hang yourself somewhere else
If you have to hang yourself, I made myself very small in front of a doll
Who closes her eyes when we lay her down
I made myself very small in front of a doll
Who says "Mom" when you touch her
Source: youtube.com
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2023 ! Quelle joie de vous retrouver...Dans le fond, le mot ''Jour de l'an'' résume la chose : s'il n'y en avait qu'un, ce serait ce jour-là ! Avec chaque année qui s'en va, on se sent un peu responsable vis-à-vis de soi-même et des autres de faire un ''retour sur images'' rituel sur l'an fini… ce qui est sensé permettre de se projeter, en émettant quelques fantasmes, rebaptisés ''Vœux'' ou ''Souhaits'' –à réaliser ou pas--, dans l'année qui s'entr'ouvre, et que tout un chacun, en se souvenant de quelques tuiles qui ne s'oublient pas, espère voir meilleure que celle qui s'en va...
Le premier de ces deux exercices n'a pas de nom et n'est pas codifié : c'est ''à votre bonne volonté, M'sieu-Dames...'' et la Presse et les politicards s'en donnent donc à cœur joie pour trier tout ce qui les dérange, en espérant que les électeurs-victimes-contribuables-assujettis-gogos-confinables vont oublier toutes les horreurs dites ou faites au cours des 12 mois précédents. En revanche, le second exercice est plus codifié : c'est ''la cérémonie des vœux'', solennité approximative qui se rattache, en gros, à ce que les anciennes sociétés appelaient ''des rites de passage'' –qui ont malheureusement disparu : du certificat d'études au baccalauréat, de la souris de la première quenotte tombée au service militaire, ou de la Communion au Mariage, ils rythmaient les étapes d'une vie, marquant le glissement d'un ''rôle'' dans un autre...
Grâce à ces étapes bienvenues, ''le Temps'' avait un sens, et nous n'étions pas ''tout nus'' devant lui. Il ''avait le temps'', alors que, aujourd'hui, nos repères étant égarés par des systèmes ennemis de toute sagesse, les jours coulent, tantôt bien trop lentement, tantôt trop vite, dans un désordre sciemment fabriqué par des maîtres à ne plus penser, sans direction, sans sens, et sans utilité... Le rôle de l'humanité semble évoluer vers une obéissance contrainte à des forces administratives sans cesse occupées à essayer de rattraper leurs mauvaises décisions passées...
On dirait que nous avons perdu l'azimut de la flèche du temps : ''Je n'ai pas le temps'' est une phrase-type de notre époque. Un enfant devant son écran (car les enfants ne jouent plus. C'est un drame !), un adulte actif dans l'exercice de ses fonctions, une mère-au-foyer-au-boulot qui mène 2 vies en parallèle, ou un retraité pas encore trop esquinté... ''n'ont pas le temps'' : le divorce entre le temps de la vie, si riche, et celui (vide) de nos existences (qui le sont aussi, parfois) a entraîné une perte de contact avec toute notion de ''priorité''. En l'absence de tout classement possible puisqu'il n'y a plus aucun système de référence cohérent, tout devient urgent-en-soi, et si j'ose, plus c'est moins urgent, et moins ça peut attendre plus.
Alors... que laissera 2022, comme souvenirs ? Le ''tee-shirt'' kaki (et douteux) de Volodomyr Zelensky (en espérant que ce déguisement horrible ne deviendra pas une mode)... Le retour massif de l'inflation... Le changement de tête sous la Couronne dite de Saint Edouard (2 kilos d'or, 2868 diamants, 4 rubis, 17 saphirs, 11 émeraudes, et 269 perles, dit-on)... Les visages dévoilés en Iran et la connerie inverse des inconscientes pro-hijab en France... Le record historique (qui ne sera pas facile à battre) des recours au ''49-3''... Macron, ridicule, mis à bout de table par Poutine... Les résultats électoraux des ''Nupes'' (mais Dieu merci, à peine élus par erreur, ils se sont bagarrés. Mais même quelques jours, c'est déjà trop...)... Pour les quelques catholiques qui persistent encore, le motu proprio Traditionis Custodes et l'irruption mortifère du mot ''Synodalité'' –les deux seules choses dont personne n'avait besoin... Et, à titre personnel, l'encombrante présence dans mon garage de 3 jerry-can ex-d'essence (je n'ai jamais eu besoin de ces preuves de l'impéritie et du manque d'intelligence politique de nos élites (?), mais elles vont m'encombrer longtemps, comme les autres scories de toutes leurs absurdités injustifiables...).
Et quoi d'autre, encore ? Pour avoir l'air ''dans le coup'', je vais citer, sans trop y croire, la mort de Pelé et la victoire injuste de 11 argentins sur le seul M'bappé –NDLR : décidément, tout ce qui vient d'Argentine ne nous réussit pas, ces temps derniers ! Et plus sincèrement, la mauvaise nouvelle du départ du bon et si regretté Pape Emérite Benoît XVI, cet ultime rempart connu de la chrétienté contre le progressisme, mort le 31 décembre comme pour nous dire que se tournait une page de l'Histoire... Sans oublier ce gag triste que le seul fait que l'ONU ait promu la baguette de pain au rang de ''trésor de l'Univers'' aura suffi a détruire un bel équilibre pluri-séculaire : 5000 boulangers risquent de fermer prochainement (comme certains prix Nobel dits ''de la Paix'' ont été responsables de belles bagarres –on pense à Yasser Arafat, Henry Kissinger, Aun sang Suu Kyi, Barack Obama, l'éthiopien Abiyi Ahmed, voire... l'Union Européenne, ce Prix Nobel-gag attribué en 2012 !-- et d'autres). Décidément, ''l’An 2022... pouvait mieux faire''!
Côté ''bons vœux'''', commençons par l'indigestion annuelle des vœux du président, qu'évite soigneusement une immense majorité de français (1,36 millions de masos, 8,8% de part d'audience, ce coup-ci) : cette purge semble n'avoir d'autre utilité que de faire commencer le Réveillon le plus vite possible ! Dans un raz-de-marée de banalités (car qui peut souhaiter la guerre, ou la maladie ? C'est absurde, ces vœux convenus !), il peut difficilement parler d'autre chose que de paix (NDLR -- Cette année : en pleine guerre !), de santé (Cette année : sans médecins, sans hôpitaux, sans ''soignants''), de bonheur (que les idéologues de son camp s'appliquent à tuer), ou de prospérité (là... on va être servis, en 2023 : au lieu de ''belote, rebelote et dix de der'', on va ''faire capot'' !). Il a même osé ''Unis, nous vaincrons''... après avoir passé les 6 dernières années à tout faire pour qu'il ne reste rien de la réelle unité nationale qui existait encore à son arrivée, que même Hollande n'avait pas su ravager. Qu'il arrête d'abord de mentir sur notre histoire pour ''justifier'' (sic !) la haine de Tebboune (dont nous reparlerons), qu'il réintègre les pauvres victimes non vaccinées de sa haine à lui, qu'il exprime des regrets sincères pour les périodes de confinement, pour l'augmentation d'un quart de la CSG sur les retraites (à annuler d'urgence) pour Fessenheim... et il redeviendra audible. Mais pas avant, je crains !
Ce caillou dans la chaussure chassé, restent les vœux inter-personnels, forcément plus sincères, mais pas plus crédibles pour autant. En gros, ils tournent autour de 2 idées-phares : une bonne année et une bonne santé. Question ''créativité'', c'est zéro pointé... mais l'idée générale, déjà évoquée plus haut, c'est que, quoi qu'elle apporte, l'année nouvelle ne devrait pas être ''aussi pire'' que celle qui vient de finir (et qu'on trouve, après coup, assez pourrie !). Dernier point : on ne peut pas ne pas parler des ''bonnes résolutions'' qu'on prend pour soi (en sachant qu'on ne fera rien pour qu'elles se réalisent) et pour les autres –en se fichant comme de l'an 40 qu'elles soient suivies ou non des effets soi-disant attendus ! (NDLR : avez-vous remarqué qu'il n'existe ni vœu ni vocable pour ''des mauvaises résolutions'', qui sont pourtant bien plus souvent réalisées ? Ça doit vouloir dire quelque chose, non ?).
Tout bien réfléchi, il semblerait que ce qui compte, dans ces rituels incontournables, ce n'est pas tant que tous ces vœux, souhaits, résolutions, ou promesses-à-ne-pas-tenir se transforment en réalisations... mais c'est que, comme c'est gratuit et que ça ne peut pas faire de mal, on serait idiot de s'en priver. En fonction de quoi je suis heureux de vous souhaiter UNE BONNE ET HEUREUSE ANNEE, POUR VOUS ET POUR CEUX QUI VOUS SONT CHERS... On va en avoir, dans les ''billets'' à venir, des histoires à se raconter, des trucs à se dire, des ''rabias'' à piquer, des fou-rires devant les bobards que nos nuls voudraient nous voir avaler. Ces perspectives sont autant de promesses de gourmandises à venir ! 2023 sera une bonne année...
H-Cl.
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Neanderthal baby's tooth shows he was a carnivore
Neanderthal baby’s tooth shows he was a carnivore
A prehistoric quenotte has just shed harsh light on the diet of Neanderthals, a recurring debate because the disappearance of our cousins, which occurred around 30,000 to 40,000 years ago, has been frequently attributed to their subsistence strategy. Gold, “some toddlers crunched deer, rabbit and horse from an early age“says today Klervia Jaouen, researcher at the CNRS in a study published in the…
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Georges Brassens - Je me suis fait tout petit
Je n'avais jamais ôté mon chapeau
Devant personne
Maintenant je rampe et je fais le beau
Quand elle me sonne
J'étais chien mchant, elle me fait manger
Dans sa menotte
J'avais des dents d'loup, je les ai changés
Pour des quenottes Je m'suis fait tout petit devant une poupée
Qui ferme les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout petit devant une poupée
Qui fait "Maman" quand on la touche J'étais dur à cuire, elle m'a converti
La fine mouche
Et je suis tombé tout chaud, tout rôti
Contre sa bouche
Qui a des dents de lait quand elle sourit
Quand elle chante
Et des dents de loup, quand elle est furie
Qu'elle est méchante Je m'suis fait tout petit devant une poupée
Qui ferme les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout petit devant une poupée
Qui fait "Maman" quand on la touche Je subis sa loi, je file tout doux
Sous son empire
Bien qu'elle soit jalouse au-delà de tout
Et même pire
Une jolie pervenche qui m'avait paru
Plus jolie qu'elle
Une jolie pervenche un jour en mourut
À coups d'ombrelle Je m'suis fait tout petit devant une poupée
Qui ferme les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout petit devant une poupée
Qui fait "Maman" quand on la touche Tous les somnambules, tous les mages m'ont
Dit sans malice
Qu'en ses bras en croix, je subirai mon
Dernier supplice
Il en est de pires, il en est d'meilleurs
Mais tout prendre
Qu'on se pende ici, qu'on se pende ailleurs
S'il faut se pendreJe m'suis fait tout petit devant une poupée
Qui ferme les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout petit devant une poupée
Qui fait "Maman" quand on la touche
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