Tumgik
#rituel d’amour facile
babavigantrom1 · 2 years
Text
Jeter un sort d'amour a un homme ; CANARIS SECRET D'AMOUR - Comment récupérer mon ex dans les bras d'une autre, Rituel pour faire revenir son l'être aimé.
Jeter un sort d'amour a un homme ; CANARIS SECRET D'AMOUR - Comment récupérer mon ex dans les bras d'une autre, Rituel pour faire revenir son l'être aimé.
Jeter un sort d’amour a un homme ; CANARIS SECRET D’AMOUR – Comment récupérer mon ex dans les bras d’une autre, Rituel pour faire revenir son l’être aimé. CANARIS SECRET D’AMOUR et le rituel pour faire revenir son l’être aimé. Sa Aimer et se sentir aimé est merveilleux et on donnerait tout pour cela. Pour garder l’être aimé ou le faire revenir son être aimé, on serait également prêt à tout.…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
mamadoutoulouse · 2 years
Text
Jeter un sort amoureux à distance: comment jeter un sort amoureux à distance.
Jeter un sort amoureux à distance: comment jeter un sort amoureux à distance.
Jeter un sort amoureux à distance: comment jeter un sort amoureux à distance. Rituel d’amour puissant gratuit,comment jeter un sort amoureux a distance,rituel d’amour qui fonctionne,envoutement amoureux rapide,rituel d’amour puissant avec photo,rituel d’amour facile,comment jeter un sort amoureux a distance,rituel amour photo salive,envoûtement amoureux,envouter un homme avec du sel,comment jeter…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
Text
EXPERT EN PROBLÈMES D'AMOUR MARABOUT RETOUR AFFECTIF
Tumblr media
EXPERT EN PROBLÈMES D'AMOUR MARABOUT RETOUR AFFECTIF L'expert en problèmes d'amour marabout retour affectif voyant Professeur ONI KOLEDEHOU répond a tous vos question en vous rassurant avec son savoir faire et son expertise en la connaissance des pratique au culte vodoun vous aidera a atteindre vos objectif sur ce qui concerne l’équilibre de votre vie amoureuse. Comment faire un rituel d’amour avec photo qui fonctionne ? On donnerait tout pour aimer et être aimé en retour. En effet, trouver l’amour ou reconquérir l’être aimé peut parfois être plus compliqué qu’on pourrait l’imaginer. Expert en problèmes d'amour marabout retour affectif Professeur ONI KOLEDEHOU Il existe pourtant quelques raccourcis que nous pouvons nommer ici le retour affectif
Voici quelques conseils et astuces pour vous aider à réaliser un rituel d’amour avec une photo. Expert en problèmes d'amour marabout retour affectif Professeur ONI KOLEDEHOU
La préparation avant le rituel d’amour avec expert en problèmes d'amour marabout retour affectif
Même si cette expression n’est pas souvent bien perçue par les praticiens professionnels (l’expression « rituel d’amour » lui étant préférée), l’envoutement d’une personne est un processus qui ne se fait pas du jour au lendemain.
Il faut en effet être dans un excellent état d’âme avant de vous lancer dans cette expérience. Autrement, vous perdrez non seulement votre temps, mais vous risquerez également de déclencher d’autres évènements en répétant des formules ou en exécutant des rituels inadaptés.
Pour réussir votre rituel, vous devez commencer par vous laisser submerger par des pensées positives. Ensuite, vous devez être absolument sûr de ce que vous désirez, car s’il est souvent facile de faire des rituels pour trouver l’amour, il est cependant difficile de défaire le sort.
Tumblr media
CONTACT: Tel: +229 94372948 Numéro whatssapp: +229 94372948 email: [email protected] SITE WEB: https://voyance-rituel-magie-rouge.com/
Pour ne pas vous retrouver avec une personne qui au bout de quelques semaines ne vous attire plus, vous devez donc bien réfléchir avant de prendre votre décision. Une fois que vous êtes certain de votre choix, vous devez alors commencer par rassembler les ingrédients pour le rituel.
La réalisation du rituel d’amour avec photo qui fonctionne avec Expert en problèmes d'amour marabout retour affectif Professeur ONI KOLEDEHOU Avant tout, sachez que les rituels de magie pour récupérer l’amour ou l’attirer sont généralement sans danger et peuvent être réalisés par n’importe qui, mais pas n’importe comment. Raison pour laquelle vous devez avoir en votre possession certains ingrédients indispensables si vous espérez avoir des résultats concluants. Pour réaliser un rituel d’amour qui fonctionne, vous aurez par exemple besoin de :
Des bougies blanches ou rouges ; Des pétales de rose (jaunes et blanches) ; Un verre de thé à la menthe ; Un pot de miel ; Les allumettes.
Pour commencer, déposez les bougies dans un triangle puis disposez les pétales de rose autour de ce triangle. Allumez ensuite les bougies et récitez une incantation que vous aurez préalablement écrite sur une feuille blanche en n’oubliant pas d’y mentionner votre nom et celui de votre bien-aimé(e). En ce qui concerne les paroles à prononcer, elles doivent être sincères et très précises. Une fois l’incantation finie, buvez le thé vert à la menthe et éteignez les bougies en commençant par celle de couleur blanche. Rappelons que vous devez enduire les bougies de miel avant de les allumer.
Quelques précautions à prendre
Avant de commencer votre rituel, veillez à ce que chaque ingrédient représente chacun des quatre éléments principaux à savoir l’eau, le feu, la terre et l’air.
Vérifiez également l’environnement dans lequel vous allez effectuer votre rituel. Pour avoir une chance que cela fonctionne, vérifiez que cet endroit est propre, sain, suffisamment calme pour ne pas être dérangé.
Le moment du rituel est également un facteur important dans sa réussite. Chaque jour de la semaine a son importance.
En général, les soirs de pleine lune ou à défaut le jeudi correspond aux moments propices pour jeter un sortilège d’amour. Le jeudi étant régi par Venus qui est le symbole de la féminité, de la beauté et de l’amour.
Envoûtement d’Amour avec Photo qui fonctionne – Rituel magie de Retour d’amour qui fonctionne Expert en problèmes d'amour marabout retour affectif Professeur ONI KOLEDEHOU
Il existe de nombreux rituels de magie pour l’amour se reposant essentiellement sur la magie rouge et la magie blanche. L’un des rituels de retour affectif les plus connus et les plus efficaces est l’envoûtement d’amour par photo. La réalisation d’un sort pareil requiert une très grande connaissance des sorts au risque de faire un travail de travail.
Pourquoi un envoûtement d’amour par magie pour récupérer son ex?
Plusieurs raisons peuvent pousser une personne à effectuer un envoûtement d’amour. Un amour non-réciproque, un divorce ou une séparation. Les raisons peuvent être nombreuses. Quelles que soient les raisons, un envoûtement d’amour doit être bien effectué afin d’obtenir les résultats escomptés. Parmi les rituels d’envoûtement d’amour connus , il existe le rituels d’envoûtement par photo. L’envoûtement par photo consiste à utiliser les photos des deux personnes concernées par l’accomplissement du rituel afin de procéder à l’enchantement.
L’utilisation de la photo permet d’avoir un résultat plus efficient car la photo est une représentation de la personne. C’est un support physique permettant de mettre un visage sur les personnes sur lesquelles le sort sera lancé. Contrairement à une magie qui se base sur les noms et prénoms , ce qui limite le Marabout dans son travail car plusieurs personnes peuvent avoir le même nom, l’envoûtement par permet de cibler la personne avec beaucoup plus d’efficacité.
CONTACT: Tel: +229 94372948 Numéro whatssapp: +229 94372948 email: [email protected] SITE WEB: https://voyance-rituel-magie-rouge.com/
3 notes · View notes
christophe76460 · 4 months
Text
Tumblr media
Toi, tu es un Dieu de pardons, faisant grâce, et miséricordieux. Néhémie 9. 17
Soyez bons, compatissants, vous pardonnant les uns aux autres, comme Dieu aussi, en Christ, vous a pardonné. Éphésiens 4. 32
✅ Le pouvoir du pardon
Le désir de vengeance, de représailles, de revanche, remplit l’âme d’une amertume qui la détruira si elle n’est pas apaisée par la clémence et le pardon enseignés par le Christ. Entretenir le ressentiment, c’est conserver le poids de sa souffrance et refuser la liberté que donne le pardon.
Pardonner n’est pas facile. Savoir que nous avons été les bénéficiaires de la compassion de Dieu et de son pardon doit nous inciter à vouloir agir comme lui envers les autres. À Pierre qui lui demande combien de fois il devra pardonner à son frère, Jésus répond : “70 fois sept fois” (Matthieu 18. 22), c’est-à-dire toute notre vie ! Quant à lui-même, cloué sur la croix, en proie à de terribles souffrances physiques et morales, Jésus prononce cette parole d’amour : “Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font” (Luc 23. 34).
Dans notre vie quotidienne, combien de fois sommes-nous confrontés à des petites blessures qui sont décuplées par la démesure de nos réactions ? Et surtout, ne nous arrive-t-il pas d’offenser nous-mêmes les autres ? L’amour est la source du pardon. Dépasser son orgueil de personne blessée ou désireuse de blesser, c’est ouvrir son cœur à l’amour, cet amour que Dieu verse en nous (Romains 5. 5) et que nous devons “poursuivre” (1 Corinthiens 14. 1). Poursuivre nécessite un effort constant, avec le sentiment que nous-mêmes avons été pardonnés de nos péchés par Jésus qui en a supporté la peine sur la croix. Cet amour est seul capable de nous conduire vers la joie et la paix, sentiments produits par l’action de l’Esprit Saint en nous.
⦁ Vendredi 31 mai 2024
*****************************************************************
Si… tu présentes ton offrande à l’autel et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l’autel, et va d’abord, réconcilie-toi avec ton frère ; et alors viens présenter ton offrande. Matthieu 5. 23, 24
✅ Chercher la réconciliation
Vous êtes en conflit avec une personne, et cela affecte votre vie quotidienne et peut-être même votre santé. Écoutez ce que nous dit Jésus dans la Bible et relisez le texte du jour. Cela nous interpelle, n’est-ce pas ? Peut-être attendez-vous que cette personne fasse le premier pas, et peut-être attend-elle la même chose de votre part. Et le temps passe… Aujourd’hui Jésus vous dit : “Va d’abord te réconcilier”. C’est clair et direct.
C’est même un préalable à la louange que nous offrons à Dieu (par analogie à “l’offrande à l’autel” qui fait référence aux sacrifices rituels de l’Ancien Testament). Vous craignez que cela se passe mal ? Pensez-vous qu’il faut laisser le temps passer, que les choses s’arrangeront plus tard ? N’avez-vous jamais fait l’expérience qu’en laissant une situation non réglée, elle ne peut qu’empirer et pourrir votre relation avec l’autre ? La Bible dit : “Que le soleil ne se couche pas sur votre irritation ; et ne donnez pas occasion au diable” (Éphésiens 4. 26, 27). Satan veut vous blesser tous les deux en élevant une barrière entre vous. Allez-vous le laisser faire ?
Chrétiens, n’oublions jamais que Dieu nous a pardonné nos innombrables offenses et nous a réconciliés avec lui par la mort de Jésus Christ (Romains 5. 10). Alors, dans nos désaccords avec nos frères et sœurs dans la foi, pardonnons, demandons pardon, oublions l’offense, cherchons la réconciliation. Ce qui est en jeu, ce n’est pas de retrouver seulement une saine relation avec autrui, mais aussi une vraie communion avec Dieu.
⦁ Samedi 1 juin 2024
0 notes
Text
Envoutement amoureux rapide par photo – rituel d’amour avec nom et prénom.+22951267332
Envoutement amoureux rapide par photo – rituel d’amour avec nom et prénom.
COMMENT ENVOÛTER UNE PERSONNE POUR QU’ELLE SOIT À VOUS : rituel d’envoûtement amoureux. L’Amour, nécessité au bien être des individus, est le foyer dans lequel les sentiments du couple s’enflamment pour former les liens de l’union conjugale. Les principes de la relation amoureuse et les voies par lesquelles les cœurs et les esprits se confondent, contrôlent les forces affectives qui peuvent être déclenchées par les amants, si leurs désirs amoureux sont réellement sincères et profonds. Un meilleur voyant africain, retour affectif dans tous les cas, retour affectif immédiat, revenir votre amour perdu, voyance pure et honnête Lorsque l’amour est difficile, la Voyante Medium OWO SIKA est le spécialiste du psychisme humain pour le sauvetage de la relation. Il dispose des outils spirituels pour concevoir occultes et puissantes magies rouges et blanches. Ses rituels amoureux et ses philtres d’attraction soignent les blessures affectives, amoureuses, sexuelles pour la chance d’une rencontre, le succès du couple, la réussite du mariage, la pérennité de l’union.* L’amourologie OWO SIKA est un envoûteur africain spécialiste des connexions amoureuses qui assure la conquête de l’amour ou le retour de l’être aimé. Ses différentes magies forment une emprise sur le cœur désiré pour en prendre possession. Ainsi, la capture sentimentale rend l’union heureuse en évitant les conflits de couple, l’infidélité, la jalousie pour le bénéfice d’un maraboutage de protection conjugale.*
Si vous êtes en couple, ce rituel permettra de renforcer votre couple et éviter des sorts de séparations de discorde et de désunions se qui correspond en même temps à un rituel de protection par occultisme;Si vous êtes célibataire, ce rituel vous ramènera votre ex( être aimé) ou la personne qui vous correspond grâce au retour affectif et au rituel de séduction puissant.
Rituel pour reconquérir son ex copain ou son ex copine
Vous vous êtes séparés. Votre ex a rompu la relation amoureuse et cette séparation amoureuse peut vous faire mal et vous conduire du simple chagrin d’amour à la déprime la plus totale. Aussi, pour tenter de reconquérir l’être aimé qui vous manque énormément, vous entamez votre reconquête pour lui faire regretter sa décision et le faire revenir rapidement. Rituel pour reconquérir son ex copain ou son ex copine, Rituel pour reconquérir son ex copain ou son ex copine,comment reconquérir son homme après l’avoir trompé,comment reconquérir son homme après l’avoir déçu,comment récupérer son homme en une semaine, rituel d’amour facile, rituel d’amour qui fonctionne avis, sortilège,rituel d’amour puissant avec photo rituel d’amour puissant gratuit, sorcellerie blanche amour, rituel d’amour puissant avec photo, rituel pour faire tomber quelqu’un amoureux, formule magique d’amour simple à prononcer, rituel d’amour avec du sel, incantation pour rendre amoureux
Rituel de retour affectif rapide de l’être aimé en 24h
Mes rituels de retour affectif sont des rituels très très simple facile qui ne nécessite même pas de sacrifice de poulet ou de mouton. Mes rituels de retour affectif sont très différents des rituels que d’autres marabouts font et après aucun résultat. Dites non à ces marabouts qui ne vous donnent pas les résultats que vous voulez. Mon rituel de miel pour rendre une personne amoureuse est un rituel qui vous garantit les résultats. Pour les rituels de retour affectif j’utilise le miel suivi de quelques plantes magiques suivi de quelques prières et du jour au lendemain la personne que vous aimez qui vous a quitté va revenir vers vous et demandera pardon.Mes rituels de miel sont très efficaces, vous n’allez pas en trouver 2 comme moi. PromisVous pouvez chercher chez d’autres mais je tiens à vous dire que personne ne connaît mieux que moi le rituel de miel pour rendre une personne amoureuse définitivement. C’est un rituel qui n’a aucun inconvénient, aucun risque, aucune conséquence, aucun retour négatif. Vous pouvez me confier à moi.
Rituel d’amour puissant avec photo.
Le marabout voyant medium africain OWO SIKA a toujours obtenu les résultats positifs attendus lors de ses interventions. Il est reconnu par ses pairs comme le plus grand marabout de la décennie ! Cette notoriété a été très largement médiatisée : il a obtenu la médaille d’or du meilleur marabout africain de l’année 2010, puis réélu en 2011 pour ses talents de voyant et de médium marabout hors du commun. Si vous regardez les programmes télévisés dédiés aux rites africains, vous avez peut être suivi en direct cette émission sur la grande chaîne Africable.S’il est reconnu comme le plus grand marabout a Paris, ce n’est pas un hasard.
DES RÉSULTATS RAPIDES ET DURABLES AVEC LE GRAND MARABOUT DU MONDE OWO SIKA
Le medium voyant marabout africain OWO SIKA est le marabout préféré des grands chanteurs africains. Les plus grandes stars du football africain consultent régulièrement leurs marabouts en île de France, à Paris. Comme toutes ces célébrités, n’hésitez plus à venir le rencontrer. Il intervient rapidement, avec 100% de chances de succès et dans la plus grande honnêteté.Le voyant marabout et medium OWO SIKA travaille avec tout le monde sans distinction, de sexe, de race, de religion… et en toute discrétion. Il fait preuve d’un grand sens du professionnalisme.Vous pouvez le consulter à distance, cela est tout à fait possible.-Bio du meilleur marabout de ParisAmulettes et instruments du Marabout de ParisLe voyant medium et marabout OWO SIKA est issu d’une grande famille de marabouts africains de BÉNIN. Le terme « marabout » signifie « homme saint », « homme de dieu ». Les plus grands lui ont donné leur confiance, vous pouvez également avoir foi en lui.
Suite au diagnostic de votre situation, il promulgue les rituels adaptés :Envoûtements, désenvoûtements, incantations, potions… Tout le monde a besoin au cours de sa vie d’un coup de pouce. Quelle que soit la raison de votre « appel à l’aide ». Le marabout voyant médium OWO SIKA sera présent pour vous soutenir, vous conseiller, trouver la raison de vos malheurs et résoudre les problèmes !
Les clients du voyant medium marabout et guérisseur africain sont unanimes, ils ressentent chaque jour les bienfaits de son travail ! Des centaines de personnes lui témoignent gratitude et reconnaissance, comme vous pourrez le lire sur ces pages.
Vous craignez d’avoir été envoûté par une personne mal intentionnée ? Vous n’avancez plus, vous êtes affaibli(e), et avez des pensées continuellement négatives ? Si vous êtes victime d’un ensorcellement le voyant medium et marabout africain à Paris OWO SIKA saura le déceler et vous guérir! Pour que cela n’arrive plus, il promulgue des rituels de protection.
Le voyant medium et marabout africain est très habile pour éloigner les mauvaises ondes, le danger, la malveillance, l’échec… et attirer chance, bonheur et réussite.
Quelle que soit votre situation, le voyant marabout OWO SIKA saura vous sortir de vos tracas et alors, une vie parfaite s’offrira à vous.Tous les rites pratiqués par le voyant médium et marabout africain de Paris OWO SIKA sont sans danger, ils n’apportent que des bénéfices rapides et dans 100% des cas. Je pourrai faire preuve en vous envoyant des vidéos de témoignage des clients satisfaits un peu partout dans le monde.
Le rituel de séduction d’amour
Le rituel de séduction du médium voyant est un puissant travail de magie blanche qui rend la tâche facile à tous ceux qui ont envie d’entreprendre une vie amoureuse mais qui n’ont pas assez de cran pour s’approcher de la personne aimée.
Que cette personne soit d’un rang supérieur au votre (Une star de la musique vivant dans votre région, un homme d’affaire ou femme d’affaire qui n’est pas facile à aborder, ou quelqu’un que vous trouvez plus beau ou plus belle que vous), ce rituel peut marcher sur lui. A l’aide de ce rituel de séduction, vous pouvez séduire toute personne de votre choix et sans avoir à faire beaucoup d’effort.
Cette personne ciblée fera le travail à votre place (C’est elle qui va se manifester pour vous faire part de son envie de sortir avec vous).
C’est l’œuvre de la magie de séduction.
RECETTE POUR RÉALISER LE RITUEL
-La photo de vous deux-Vos noms et prénoms-une série de prières-Une bague traditionnel mystique-Assémandoudjétad’autres ingrédients seront aussi nécessaire selon le cas
Retour d’affection avis
Le Vaudou offre bien des possibilités exceptionnelles pour tous. C’est une alliance subtile et secrète de sons ancestraux, d’incantations magiques, de symboles telluriques, de substances et de lumières issues de bougies consacrées, vous voulez retrouver l’être aimé ? Vous désirez un désenvoûtement contre un rituel ? Quelle que soit votre situation, je m’efforce de trouver la bonne solution pour le retour de votre affection. Les rituels du grand voyant et médium incontournable OWO SIKA sont d’une efficacité incomparable.
Délais pour faire revenir votre affection
En seulement 72 heures, il peut s’occuper de votre cas. Même s’il lui arrive parfois de refuser certains rituels trop dangereux, ce choix reste avant tout pour votre bien. Contactez-moi sans crainte.
Tél/WhatsApp: 00229 51267332
https://roiassogba.fr.gd/https://roiassogbavoyance.home.blog/https://envoutement-amoureux.foroactivo.com
0 notes
Text
COMMENT FAIRE UN RITUEL D’AMOUR AVEC PHOTO QUI FONCTIONNE ?
Tumblr media
Comment faire un rituel d’amour avec photo qui fonctionne ? On donnerait tout pour aimer et être aimé en retour. En effet, trouver l’amour ou reconquérir l’être aimé peut parfois être plus compliqué qu’on pourrait l’imaginer.
Il existe pourtant quelques raccourcis que nous pouvons nommer ici « la magie de l’amour ».
Voici quelques conseils et astuces pour vous aider à réaliser un rituel d’amour avec une photo.
La préparation avant le rituel d’amour avec photo Qui Fonctionne
Même si cette expression n’est pas souvent bien perçue par les praticiens professionnels (l’expression « rituel d’amour » lui étant préférée), l’envoutement d’une personne est un processus qui ne se fait pas du jour au lendemain.
Il faut en effet être dans un excellent état d’âme avant de vous lancer dans cette expérience. Autrement, vous perdrez non seulement votre temps, mais vous risquerez également de déclencher d’autres évènements en répétant des formules ou en exécutant des rituels inadaptés.
Pour réussir votre rituel, vous devez commencer par vous laisser submerger par des pensées positives. Ensuite, vous devez être absolument sûr de ce que vous désirez, car s’il est souvent facile de faire des rituels pour trouver l’amour, il est cependant difficile de défaire le sort.
Pour ne pas vous retrouver avec une personne qui au bout de quelques semaines ne vous attire plus, vous devez donc bien réfléchir avant de prendre votre décision. Une fois que vous êtes certain de votre choix, vous devez alors commencer par rassembler les ingrédients pour le rituel.
La réalisation du rituel d’amour avec photo qui fonctionne Avant tout, sachez que les rituels de magie pour récupérer l’amour ou l’attirer sont généralement sans danger et peuvent être réalisés par n’importe qui, mais pas n’importe comment. Raison pour laquelle vous devez avoir en votre possession certains ingrédients indispensables si vous espérez avoir des résultats concluants. Pour réaliser un rituel d’amour qui fonctionne, vous aurez par exemple besoin de :
Des bougies blanches ou rouges ; Des pétales de rose (jaunes et blanches) ; Un verre de thé à la menthe ; Un pot de miel ; Les allumettes.
Pour commencer, déposez les bougies dans un triangle puis disposez les pétales de rose autour de ce triangle. Allumez ensuite les bougies et récitez une incantation que vous aurez préalablement écrite sur une feuille blanche en n’oubliant pas d’y mentionner votre nom et celui de votre bien-aimé(e). En ce qui concerne les paroles à prononcer, elles doivent être sincères et très précises. Une fois l’incantation finie, buvez le thé vert à la menthe et éteignez les bougies en commençant par celle de couleur blanche. Rappelons que vous devez enduire les bougies de miel avant de les allumer.
Quelques précautions à prendre
Avant de commencer votre rituel, veillez à ce que chaque ingrédient représente chacun des quatre éléments principaux à savoir l’eau, le feu, la terre et l’air.
Vérifiez également l’environnement dans lequel vous allez effectuer votre rituel. Pour avoir une chance que cela fonctionne, vérifiez que cet endroit est propre, sain, suffisamment calme pour ne pas être dérangé.
Le moment du rituel est également un facteur important dans sa réussite. Chaque jour de la semaine a son importance.
En général, les soirs de pleine lune ou à défaut le vendredi correspond aux moments propices pour jeter un sortilège d’amour. Le vendredi étant régi par Venus qui est le symbole de la féminité, de la beauté et de l’amour.
Envoûtement d’Amour avec Photo qui fonctionne – Rituel magie de Retour d’amour qui fonctionne
Il existe de nombreux rituels de magie pour l’amour se reposant essentiellement sur la magie rouge et la magie blanche. L’un des rituels de retour affectif les plus connus et les plus efficaces est l’envoûtement d’amour par photo. La réalisation d’un sort pareil requiert une très grande connaissance des sorts au risque de faire un travail de travail.
Pourquoi un envoûtement d’amour par magie?
Plusieurs raisons peuvent pousser une personne à effectuer un envoûtement d’amour. Un amour non-réciproque, un divorce ou une séparation. Les raisons peuvent être nombreuses. Quelles que soient les raisons, un envoûtement d’amour doit être bien effectué afin d’obtenir les résultats escomptés. Parmi les rituels d’envoûtement d’amour connus , il existe le rituels d’envoûtement par photo. L’envoûtement par photo consiste à utiliser les photos des deux personnes concernées par l’accomplissement du rituel afin de procéder à l’enchantement.
L’utilisation de la photo permet d’avoir un résultat plus efficient car la photo est une représentation de la personne. C’est un support physique permettant de mettre un visage sur les personnes sur lesquelles le sort sera lancé. Contrairement à une magie qui se base sur les noms et prénoms , ce qui limite le Marabout dans son travail car plusieurs personnes peuvent avoir le même nom, l’envoûtement par photo de cibler la personne avec beaucoup plus d’efficacité.
PAPA LOKO VOGNON BOSSA CONTACT Appel Direct: +229 60 06 71 23 WHATSAPP/VIBER: +229 60 06 71 23 E-MAIL directe: [email protected] Site web:http://www.puissant-marabout-voyant-retour-affectif-immediat-sedonou-gueta.com
0 notes
Text
RITUEL POUR ATTIRER L’AMOUR
RITUEL POUR ATTIRER L’AMOUR
Ce rituel est utiliser pour attirer l’amour simple et facile. Il vous aidera quand l’objet de votre amour ne sait pas encore que vous l’aimez. Et vous pouvez attirer l’attention de votre objet d’amour à l’aide de ce rituel magie blanche. Les ingrédients pour ce rituel de magie blanche sont simples et accessibles : une enveloppe blanche,un ruban rouge,une bougie rouge,7 pépins de pomme,un…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
roihangbe · 2 years
Text
Rituel avec du sucre et le miel pour renforcer l'amour : sécuriser votre partenaire
Rituel avec du sucre et le miel pour renforcer l'amour : sécuriser votre partenaire. Le rituel d’amour avec du miel fonctionne parce qu’il réunit diverses caractéristiques qui favorisent l’amour entre des individus.
Rituel avec du sucre et le miel pour renforcer l’amour : sécuriser votre partenaire. Le rituel d’amour avec du miel fonctionne parce qu’il réunit diverses caractéristiques qui favorisent l’amour entre des individus. Le rituel est fondé sur la magie blanche, une pratique particulièrement réputée pour son efficacité, car basée sur un ensemble de règles et principes bien définis. Ils sont faciles à…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
mediumhounkpe · 2 years
Text
Rituel retour affectif avec une photo, rituel efficace pour récupérer son ex
Rituel retour affectif avec une photo, rituel efficace pour récupérer son ex J’ai trouvé la description de ce rituel dans l’un des vieux cahiers de ma trisaïeule parmi les rites très compliqués. Ce rituel puissant de magie blanche avec une photo est rapide, efficace et simple (sans doute, ma trisaïeule était au courant des innovations techniques de son temps et utilisait des photos dans ses…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
babavigantrom1 · 5 months
Text
Retour de l'être aimé - Rituel d'amour facile. — Rituel d'amour avec du sel. Rituel d'amour avec le nom — Rituel d'amour avec le nom femme. Tel : 0022967071763
Retour de l'être aimé - Rituel d'amour facile. — Rituel d'amour avec du sel. Rituel d'amour avec le nom — Rituel d'amour avec le nom femme.
Rituel d’amour faciles est une envoûtement amoureux suis photos, Déposez la pierre dans le bocal et recouvrez-la de pétales de roses rouges. Ajoutez une cuillère à soupe de miel et recouvrez le tout d’eau claire. Fermez bien le pot et secouez. Si votre cœur bat déjà pour quelqu’un, posez le pot sur sa photo ou sur son nom écrit sur un bout de papier blanc. Déroulement · Écrire vos nom et prénom…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
paul123love · 2 years
Text
Jeter un sort amoureux à distance: vrai marabout papa jean legbavinon
Jeter un sort amoureux à distance: vrai marabout papa jean legbavinon
Lorsque les gens veulent jeter un sort d’amour, la plupart d’entre eux veulent une réponse rapide et facile. Ils veulent que leur ex revienne rapidement, sans effort. Ils veulent que leur partenaire les aime de tout son cœur et ne les quitte jamais. Ils veulent qu’il soit à eux et à eux seuls.Lorsque vous voulez jeter un sort d’amour, ces idées ne vont pas vous aider. Vous allez simplement poser…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
nancyisabellelabrie · 3 years
Text
Qu’est-ce que la créativité? Première partie
Tumblr media
Avant d’entreprendre quoi que ce soit, le sage commence par réfléchir. Il considère tous les éléments du travail à exécuter, du problème à résoudre: ensuite il fait intervenir l’amour, c’est-à-dire le goût, l’intérêt pour la tâche à accomplir; enfin, il décide de se mettre au travail pour réaliser son projet. Donc, on peut dire que ce qu’il a bien conçu par la pensée, le sage le renforce et le vivifie par un sentiment d’amour, et enfin il le réalise grâce à une volonté sans faille. Et voyons maintenant comment s’y prennent la majorité des humains. Ils se lancent brusquement dans l’action sans avoir bien étudié le projet, ils se heurtent évidemment à des obstacles, ils souffrent, ils se lamentent, et ce n’est qu’après s’être bien lamentés qu’ils finissent par réfléchir aux causes de leurs échecs. Eh bien, c’est un peu tard, il fallait commencer par la réflexion. Omraam Mikhaël Aïvanhov
Qu’est-ce que la créativité?
La créativité, c’est l’outil principal que nous avons pour créer, s’épanouir, transformer notre vie. C’est un muscle à entraîner, que chacun de nous possède.
Avec cet outil nous fabriquons notre réalité. Dès que nous choisissons d’en être conscients, notre vérité se transforme, prend un sens différent. En fait, nous prenons la maîtrise la maîtrise de ce que nous manifestons. En comprenant bien notre processus créatif, il devient de plus en plus facile de développer nos projets, d’atteindre nos buts.
Créer consciemment, c’est aussi plonger dans un questionnement, développer des outils pour s’ancrer, évoluer vers ce que l’on désire profondément et se réaliser. À force de créer de façon consciente, nous modifions doucement notre manière d’agir, nous devenons mieux outillés et, au lieu de subir, nous endossons le rôle de co-créateur de notre vie. Le changement nous fait de moins en moins peur, puisque nous en venons à comprendre que c’est la seule chose vraiment permanente dans nos vies, et nous apprenons à travailler avec lui.
Créer, c’est aussi bricoler, chanter, s’amuser. Tout cela nous ramène au jeu. Jouer est une activité importante que l’on a presqu’exclue de nos vies en vieillisant, en devenant des adultes ayant des tonnes de responsabilités. La vie d’adulte, c’est du sérieux. Assez sérieux pour se déconnecter de notre véritable nature. Jouer nous permet d’entrer dans le monde du possible, d’essayer, sans les conséquences de la “vraie vie”. Ça détend, ça dédramatise, ça fait fonctionner notre imagination. Sans pression. Et ceci est une part très importante du processus créatif.
Le processus de la création.
La création, c’est prendre quelque chose de non défini et le modeler selon une envie, une impression, une vision. La création commence par un besoin. Un questionnement, un défi, un problème, une envie. Le coeur nous envoie une impulsion première. Et en général, le mental nous envoie des questions: ‘Qu’est-ce que je peux faire avec ça?”, “Que dois-je faire?” “Qu’est-ce que je veux et ne veux pas faire avec tout ça?”. Aussi étrange que cela puisse paraître, dans notre coeur se retrouve la carte routière de notre vie. Rien n’y est écrit d’avance, Notre coeur fonctionne comme un radar qui nous informe de ce qui est approprié pour nous, et de ce que nous devons accomplir, pour relever le défi qui se présente à nous. Il nous parle de nos propres défis aussi. Parfois ce sont des peurs qui montent, et l’on sent que nous devons les traverser, même si cela ne nous plait pas toujours. C’est dans le coeur que le germe apparaît. Par notre petite voix, notre ressenti physique. On l’appelle souvent intuition. Elle fonctionne très simplement. Et c’est un outil dont nous avons tous fait l’expérience à un moment ou l’autre de notre vie, que nous l’utilisions régulièrement ou pas.
Ensuite vient le rêve. Rêver, c’est un peu comme jouer. C’est se laisser aller dans notre imagination sans censure, sans limite ni obligation, se tremper totalement dans notre imaginaire. Ouvrir la porte à tous les possibles. Nous appelons aussi ça “visualiser”. Voir et ressentir cette réalité que l’on commence à créer,  avant même qu’elle ne se soit manifestée.
On doit savoir que cette partie du rêve est présente même quand n’est pas en train de visualiser consciemment. Quand on se met à paniquer, on est encore en train de rêver, se sont nos vieilles programmations qui réagissent. Par contre, cela met la table pour la suite. Et comme on n’est pas aux commandes, ça rend les choses plus difficiles. On se sent à la merci de l’extérieur, en n’étant pas conscient que nous sommes en train nous-même d’alimenter la possible catastrophe.
Ce qui est important avec la visualisation, c’est l’idée de nous laisser aller dans différentes directions pour explorer, et évidemment choisir. En restant branchés à notre intuition, notre “6e sens”, les choix deviennent plus faciles, plus clairs. Bien sûr il peut y avoir les peurs qui se montrent au même moment. De là l’importance de prendre les moments nécessaires pour calmer et comprendre le besoin qui se cache derrière la peur, et faire la part des choses. Ce qui nous permet d’en revenir à notre intuition, à notre sagesse intérieure. Nous nous programmons alors vers une avenue particulière et commençons à mettre en place l’énergie puis les actions appropriées qui manifesteront le résultat souhaité. Nous appelons cela émettre une intention.
Ensuite, c’est le temps de passer à l’action (structure et rituels) pour enclencher la prochaine étape sur la roue de la manifestation et commencer à obtenir des résultats concrets. On peut passer sa vie à rêver, si on ne fait pas les pas dans la matière pour concrétiser, rien n'arrivera. Sauf la frustration fort probablement grandissante, qui se montrera avec ses amies l’insécurité, la colère, le manque de confiance en soi et en la vie, etc. Pour changer les choses, il faut souvent changer sa manière de faire. Parfois certaines peurs se dépassent simplement en avançant, en agissant, en répétant le processus jusqu’à ce que notre nouvelle aptitude soit solide. D’autres peurs elles, peuvent avoir besoin de plus d’attention, de temps, de soins de guérison. Certaines de nos croyances, qui nous avaient servies par le passé, peuvent nous nuire maintenant en nous empêchant d’avancer. Mais ça aussi, ça s’accueille, ça se travaille, ça se guérit.
Et pour passer à l’action efficacement, rien de tel que de se faire un plan. Attention à ne pas tomber dans la rigidité et les expectatives irréalistes. On continue à visualiser, mais cette fois en découpant le projet en étapes, jusqu’à notre but. On agit, on avance.
Il importe de garder notre vision devant nos yeux, notre destination en tête, en vérifiant avec notre intuition si la pulsion qui nous porte est toujours présente, et réajuster au besoin. Ainsi, nous prenons de plus en plus conscience des conséquences de nos choix, nous observons si oui ou non, ce que l’on fait nous mène dans la direction souhaitée. Soyons flexibles par contre! Et gardons à l’esprit que la vie nous apporte ce que nous souhaitons de manière plus ou moins exacte par rapport à ce que l’on a souhaité au départ. La nuance est toujours importante. Tout n’est ni complètement noir ou blanc. Nous pouvons, devons même, réajuster le tir lorsque nécessaire. C’est ce que j’appelle “garder le cap”.
Finalement, “la traversée”. Nous devons accepter de réussir. Le décider profondément. C’est un point qui peut sembler aller de soi, mais ce n’est pas toujours le cas et c’est drôlement important d’en être conscient! Changer de direction lorsque nécessaire, mais en restant connecté sur notre but, parce qu’on l’a choisit consciemment. Parce que ce but est plus grand que nous. Parce que nous serons transformées par le chemin qui nous y a mené. Choisir et accepter de réussir, c’est se donner le droit de s’accomplir, se dépasser, réaliser ses rêves. Sentir profondément qu’on a le droit de manifester ce que l’on porte en nous-même. Et le manifester.
Donc: -Le besoin/le désir provoque l’intuition qui mène au rêve, puis à la structure et à l’action, ce qui nous pousse à développer des outils pour garder le cap et finalement, concrétiser notre but. Réussir. Se réaliser.
Créer, c’est interagir avec la réalité. Utiliser son pouvoir créatif consciemment, c’est aussi prendre la responsabilité de sa vie. Dans les prochains billets, nous plongerons en profondeur dans les diverses étapes du processus de création.
D’ici là, si tu le sens, partage nous ce qui monte en toi suite à la lecture de ceci. C’est quoi pour toi la créativité? Ça te sert à quoi? Comment l’utilises-tu dans ta vie? J’ai hâte de lire vos réponses!
Suggestion de lecture: Libérez votre créativité, de Julia Cameron
Illustration Nancy Isabelle Labrie, “Mon ami renard”,  Techniques mixtes sur papier et bois, 2016 DISPONIBLE. Pour me contacter, cliquez ici!
7 notes · View notes
Text
Comment rendre un homme fou amoureux de vous à distance. CONTACTEZ-MOI SUR WHATSAPP OU SUR SIGNAL: 0022969102375
Comment rendre un homme fou amoureux de vous à distance. CONTACTEZ-MOI SUR WHATSAPP OU SUR SIGNAL: 0022969102375
Un homme pour soi seul n’est pas chose facile de nos jours. Mais avec l’aide de mes rituel et sacrifice efficace, spécialiste des questions d’amour, cela est bien possible. Ainsi si vous souhaitez rendre votre homme fou amoureux de vous; ou si vous n’êtes pas très rassurée de l’amour de votre homme; ou si votre homme continue de voir ailleurs; la solution est toute trouvée avec le médium et…
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
claudehenrion · 4 years
Text
Le christianisme : la seule vraie révolution, et la seule mondialisation réussie...
  Quelques récentes allusions à l'influence du christianisme sur notre civilisation occidentale ont amené plusieurs lecteurs à me demander où je voyais une importance si grande dans la Révélation christique. Mon incompétence en matière de théologie me suggère d’éviter de m'égarer dans des arguments dogmatiques ou rituels. Mais pour qui veut comprendre les échecs à répétition de notre temps si “chahuté” , il est impossible de faire l'impasse sur l'oubli officiel où sont tombés les apports du christianisme à notre la civilisation, dite ''judéo-chrétienne''. D'autant plus que, toutes les autres solutions ayant lamentablement échoué, il se pourrait fort bien que là réside notre ultime chance de ne pas sortir à jamais de l'Histoire...
Tout en évitant, donc, ce qui ressortit de la Foi, on peut rester au niveau d'éléments plus neutres, tout en reconnaissant que, parmi nous, hommes du XXI ème siècle tout imbus de notre rationalisme et notre science (de plus en plus souvent sans conscience), nombreux sont ceux qui affichent haut et fort une possibilité de vivre “sans Dieu”, au motif que ''c'est irrationnel'' (NDLR - ce sont les mêmes qui lisent les horoscopes, font tourner des tables, visitent des voyantes, touchent du bois, ou font quelque chose de spécial le Vendredi 13 --qui, d'origine chrétienne à 100 %, porte chance ou guigne, c'est selon !). Et depuis peu sous nos latitudes, ils sont aveugles à des pratiques exogènes (port du voile ou autres rituels vestimentaires ou diététiques) qui rendent esclaves ceux qui se croient libérés mais qui font une démonstration provocante et trop souvent sanglante, hélas, que si la foi, dit-on,  peut sauver, elle peut aussi contraindre à des mœurs figées depuis l'an 622 !
  Pour commencer, il est simple de partir de l'affirmation initiale, qui est incroyable, stupéfiante : “Un Dieu unique, en trois personnes” (on dit trine, comme “Trinité”). Il y a deux mille ans plus encore qu'aujourd'hui, cet énoncé des attributs de la Divinité n'a pas été “facile à avaler”, alors que l'équation (Un = Trois), est une expérience que nous vivons souvent : tant de choses ''uniques'' se comptent deux ou trois, depuis une pièce de monnaie, qui est “une”, mais qui a une face (l'avers), un revers (parfois dit ''pile''), et une tranche, différentes mais inséparables l'une de l'autre… jusqu'à une jolie feuille de trèfle qui se compte trois (parfois quatre !), ou à nos journées qui sont ‘’matin, midi et soir’’… parmi tant d'autres exemples. 
  Mais une autre révélation a été plus traumatisante encore : jusqu’à l’apparition du Christ dans l'Histoire, la notion de dieu était une référence tribale, fermée sur elle-même, même dans les monothéismes : le Dieu d’Abraham, YHWH, n'est que “le Dieu d’Israël”, tout comme Amon-Rè ou Aton étaient à l'Egypte, Ahura Mazda aux Aryens, Tangata Manu aux seuls pascuans (ce qui limitait sa ''toute puissance'' à quelques km² !), et Zeus, sur son Olympe, était au monde hellénique, comme Jupiter aux romains, Manitou aux algonquins (et non à tous les “indiens”), Quetzalcóatl aux aztèques, Mango-Capàc aux incas ou Baal aux phéniciens… 
  Exception amusante, Rome avait empilé dans son Panthéon tous les dieux de tous les peuples conquis et intégrés à l’Imperium romanum, jusqu'à l'absurde : au temps où l’Urbs et l’Orbis ne faisaient qu'un, tout citoyen romain pouvait adorer quelque 30 000 dieux de toute sorte, de toute forme et de toute origine. (NDLR - Certains voient dans cette foule l'origine de la célèbre apostrophe d'Obélix : “Ils sont fous, ces romains !”, mais il n'en existe pas de preuve scientifique). On peut se demander quel rôle a joué cette perte de l'identité romaine dans l'effondrement d’un Empire surpuissant qui s'est trouvé tout désarmé face à l'apparition d'une simple majuscule devant le mot “Dieu”. Cette voie, que je sache, n'a jamais été explorée. 
  Et tout à coup éclate cette grande nouvelle : Dieu est un, et en plus, Il est  universel ! Ce Dieu n’appartient plus à un seul peuple, pas même à ses seuls adorateurs, mais il est au monde ! Et comme il est dit qu’il “s’est fait Homme”, il devient, en même temps, l’un des nôtres : Dieu oui, sans aucun doute, mais à jamais solidaire de toute l’Humanité passée, présente et à venir, quelles que soient ses religions, ses croyances, ses choix philosophiques. Un homme-Dieu et un Dieu-homme, pour tous, tout en un… et en trois personnes, en plus ! Deux mille ans plus tard, l’humanité ne s’est pas encore vraiment remise du choc de cette révélation. Et je ne suis pas sûr qu’elle en ait saisi toute la portée !
  Parmi tant d'autres ‘’apports’’ méconnus ou mal identifiés du message christique, cette première “mondialisation” qu'a été la révélation d'un Dieu unique pour la terre entière a certainement été la plus bouleversante, dans ses conséquences : jusqu'à ce jour, c'est la seule mondialisation positive réussie. Cette idée a été reprise ensuite, sous des formes variées dont l'Islam est à la fois un bel exemple et un superbe contre-exemple : Allah, Dieu unique s'il en est, exige malgré tout la conversion des hommes, et Il est donc, tout-à-fois, universel et spécifique à ses seuls adorateurs. D'autres méchantes copies ont pris des formes plus avariées que variées, comme les socialismes et les communismes, ces spéculations à prétentions internationalistes qui prônaient une vérité qui n'était que leur mensonge. Plus récemment, nous vivons (mal) sous le régime de la terreur que nous imposent, contre toute sagesse, la fausse écologie météo-catastrophiste greta-thunbertiste du dieu-Climat et/ou le dystopisme sanitariste ''quoi qu'il en coûtiste'' salomono-delfraisiste du néo dieu-Vaccin-seul-sauveur-du-monde''...  
  Quoi qu'il en soit, voilà tout à coup le monde pourvu d'un Dieu universel, indépendant de l'identité de ses adorateurs, le même pour tous… et qui va proclamer l'égalité “devant sa face” de tous les hommes et de toutes les femmes, des juifs ou des “gentils”, des pécheurs comme des saints… qu'il va aimer aussi fort qu'il aurait voulu qu'ils s'aiment les uns les autres ! Au delà du fait qu'il reste un bon bout de chemin à parcourir pour arriver à ce rêve d’amour universel partagé, il y a là un bouleversement dont les contre-coups n'ont pas encore été compris de tous. Comme toujours devant une vraie ’‘nouveauté”, une séparation du type “je t'aime… moi non plus”, entre “ceux qui croient” et ’‘ceux qui refusent de croire’’ va trouver là un sujet de querelle à vocation d'éternité. Nous y pataugeons, ce qui est normal. Mais nous en crevons, ce qui est vraiment triste !
  La tentation de la voie qui semble glisser toute seule, sans personne qui vous dise “ne fais pas ci, ne crois pas ça”… s'est imposée, par sa facilité apparente, et nous à entraînés vers l'abîme, créant des problèmes qui sont devenus insolubles après un siècle pendant lequel les hommes ont intimé à Dieu de se faire tout petit dans la Cité… Cette voie de la fausse facilité est, de nos jours, suivie par le plus grand nombre, en Occident (il est tellement plus tentant de se laisser aller), alors que l'autre chemin, rocailleux et exigeant, débouche in fine sur le bonheur du devoir accompli et de la “chose bien faite”… sans parler de toutes les autres perspectives qui ressortissent de la Foi et sortent donc, par prudence, des limites de ce ''billet''.
  En quittant le chemin de leurs pères, les hommes d'aujourd'hui se sont perdus eux-mêmes : le choix de la facilité ne peut logiquement les (et nous) conduire qu'à l'adoration (explicite ou implicite) de faux dieux sans existence possible. Après les dystopies socialistes et communiste du XX ème siècle, nous avons le choix entre devenir islamiste, adorer la fausse écologie punitive d'un réchauffement du climat (un seul, le même, sur toute la Terre ? Folie des cuistres !) exclusivement dû à l'homme, ou bien, depuis peu, les rituels de catacombe dus (?) à ce covid qui commande, enferme, déguise, contrôle et ravage chaque instant de nos vies.  Tout de même et honnêtement... le Dieu chrétien était vachement plus ''cool'' que tous les ersatz, imitations et autres iso-Veaux d'or que les hommes ont pu inventer !
  Ces nouvelles folies exigent une soumission de tous les instants et l'acceptation de privations et d'obligations qui ne servent à rien. Autrement, “ça se saurait” !), et un an plus tard, on n'en serait pas exactement au point de départ, ayant seulement troqué l'impéritie relative aux masques contre une impéritie relative aux vaccins --tout aussi prometteuse de lendemains qui ne chanteront pas… mais contre lesquels, en l'absence de Dieu (NDLR - Le nôtre, évidemment ! Il n’y a aucune raison d'aller chercher chez des voisins mal-intentionnés un substitut de moins bonne qualité que ce dont nous disposions !), il ne reste donc plus que le choix entre les dystopies issues du siècle dernier et nos folies sclérosantes actuelles. Et si, après tant de tentatives infructueuses de vouloir nous passer de Lui, on re-tentait quelque chose qui a fait ses preuves ? ’’Dieu, reviens, ils sont devenus fous !’’.
H-Cl.
3 notes · View notes
nonscolemondedapres · 4 years
Photo
Tumblr media
Portrait #4
Voilà, c’est mon tour, de tenter l’exercice du portrait, moi qui suis à l’intérieur de l’EN depuis plus de trente ans – 50 même, si je compte mon long cursus scolaire, avec seulement quelques 13 mois d’interruption, pour une incursion dans le milieu de l’édition pour enfants.
Après avoir été pionne, auxiliaire, je suis prof et formatrice à l’INSPE (formation des futurs profs), spécialiste des apprentissages en projet et référente culture.
Pur produit de l’EN, nourrie dans le giron de l’école laïque publique et gratuite, ascenseur social et tutti quanti ; je suis Une qui s’est cramponnée, bec et ongles, à l’école, pour ne pas tomber : question de survie.
Est-ce que j’ai ma place ici, dans cette série de portrait de parents IEF et unscho ? Est-ce que c’est MA place ? Ah cette éternelle question de la légitimité, elle vient de loin ! C’est en tout cas la place que je me choisis.
J’ai eu une de ces enfances paradoxales, pleine de la chaleur d’une tribu, de bonheurs lumineux, d’explorations, d’aventures en bandes d’enfants, de cabanes et de découvertes dans la nature. Les joies simples et sauvages d’une enfance libre, jusqu’à mes huit ans, dans le monde rural de la fin des années 60, la vie d’un bistrot de campagne où j’ai passé mes plus belles heures magiques entre parties de cartes et de billard et le bonheur de soirée chantées et contées. Puis j’ai découvert la ville et des journées à me dépasser dans la danse classique, dans les arts, la bande d’enfants de quartiers.
Mais aussi, une enfance pleine de violences : violences familiales, descentes de flics, assistantes sociales, psychologues délégués pour bilans familiaux …. Famille coup d’éclats, famille éclatée, recomposée, décomposée encore. Est-ce que j’avais ma place dans un monde où personne ne vivait les mêmes choses que moi, dans ce monde de la deuxième moitié du XXème siècle où, en campagne comme dans un petite ville bourgeoise catholique de province, les enfants de divorcés avec 4 frères de 3 pères différents – et de différentes origines-, n’étaient pas légions ?
L’école, dans tout ça, l’école avec ses contraintes immuables, ses rituels bien réglés, ses systèmes de récompenses et de punitions sans surprise et ses adultes à leur place prévisibles d’adultes a été mon port d’attache : un espace de normalité. Je pouvais y faire semblant, sans qu’on n’y remarque rien pour peu que j’en saisisse bien le fonctionnement. J’y ai eu de la chance aussi, la chance de vivre ma scolarité à une époque de transition, à une époque où il y avait encore beaucoup d’enseignants biberonnés à Piaget et Freinet, des convaincus d’un idéal pédagogique, et des gauchos, très rouges, préoccupés des enfants qu’ils avaient en charge (et ils en avaient bien moins de trente à l’époque !) qui nous faisaient sortir de l’enceinte de l’école, du collège, pour vivre des apprentissages sur le terrain, rencontrer des gens différents, expérimenter, collaborer. Ces adultes-là me sont devenus images tutélaires et ont forgé ma vocation. Et m’ont permis de ne pas trop me focaliser sur tous les autres, ceux qui tétanisaient la petite fille en moi en me rappelant par trop les échos des violences familiales.
Alors, toute petite, je me suis promis deux choses : je serai un meilleur parent que ceux que j’avais connus et je deviendrai une enseignante préoccupée de celles et ceux à qui elle enseigne. J’apprendrai la juste dose d’amour à porter sur moi, sur les autres, sur ce que je fais pour que le monde aille mieux. Et ça prendrait le temps qu’il faudra.
J’avais un but dont je ne pouvais dévier. Il me fallait me plier aux règles de l’école ; c’était le seul chemin que je voyais, le seul accessible. Très vite pourtant, j’ai compris que l’école ne fonctionnait pas à tous les coups, n’était pas bénéfique pour tous les enfants. Parce que, ce qu’elle avait représenté pour moi, elle n’avait pas su le réussir pour mes quatre frères, ni pour eux ni pour tellement d’autres que j’ai croisés par la suite. Je n’étais pas une expérience reproductible. J’étais seulement moi, avec mon histoire et mes instincts, mes intuitions.
Et pourtant, malgré ça, à l’école, j’ai toujours été trop. Trop bavarde, trop curieuse, trop littéraire, trop « présente », trop fantasque. Trop et pas assez à la fois. Sentiment de ne pas être tout à fait à ma place toujours, et SURTOUT de détester les étiquettes que l’école collait sur le dos des élèves si vite et de manière si définitive.
J’y ai refusé la voie d’excellence que l’on m’y proposait (hypokhâgne), j’ai louvoyé avec le système -puisque la vie s’était chargée de m’apprendre à m’adapter- pour parsemer ma scolarité des choses que j’aimais le plus : du théâtre, de la danse, du théâtre encore. Être sur scène finalement, c’était faire vivre pleinement l’artifice, le masque que j’avais décidé d’endosser.
J’ai réussi mon cursus scolaire sans difficulté. C’était simple pour moi, de me conformer, de fonctionner dans ces contraintes-là, qui me semblait tellement moins douloureuses que ce que j’avais vécu à la maison, facile de comprendre ce que l’on attendait de moi à l’école, au collège, au lycée, à la fac, facile pour moi de jouer ce rôle attendu de l’élève « pas trop parfaite un peu rebelle » et d’assurer le minimum nécessaire à la réussite, facile d’ingurgiter des savoirs, souvent inutiles, mais qui au moins me permettaient d’ouvrir porte sur porte et de me tenir loin d’un monde fracassé, … avec l’assurance de ne pas revenir en arrière. Portée par le désir de faire avec les autres, par un amour de l’humain qui ne m’a jamais lâché, je me suis engagée, très tôt, dans l’éducation populaire, d’abord en tant qu’animatrice, puis formatrice, puis présidente associative. J’ai fait la paix, avec le passé, avec ma famille, avec moi. Assez pour regarder mes vieux démons en face, assez pour vouloir fonder un couple et puis une famille.
Je suis devenue mère de ma première merveille l’année de mes 25 ans, l’année où je préparais les concours de l’EN. Une grossesse immensément désirée, à la fin de mes études, une grossesse heureuse, vivifiante : sages-femmes indépendantes, préparation haptonomique, chant prénatal, yoga... Un accouchement dans une clinique Leboyer, sans violence, en deux heures. Joie totale ! Je suis née à moi-même avec elle. En paix vraiment. Et forte.
J’ai été reçue, aux 2 concours : instit (on les appelait encore comme ça début 90) et prof du second degré. Mais là encore, j’ai choisi de ne pas être une « tout à fait prof » : alors que j’avais suivi des études de Lettres, puis de Français Langue étrangère, j’ai opté pour le métier de professeur documentaliste. Parce que je ne voulais pas de la prison d’une discipline qui rétrécirait le champ des possibles, qui rendrait ridiculement étroits les dialogues et les échanges avec les enfants, qui m’obligerait à les noter, à courir après un programme, à n’être qu’une quand ce que je trouvais passionnant était dans la multiplicité… Et j’ai choisi le lycée et le lycée pro, pour la certitude d’aller là où il y aurait les élèves les plus abimés par le système, ceux pour qui l’école n’avait pas été la voie de la construction mais le parcours du chaos et de l’échec. Envie de réparer l’humain. J’avais la foi, celle des hussards si chers à Blanquer, dit-on. Liberté, Egalité, Fraternité chevillés au corps et au cœur et la conviction que je pouvais être, à mon tour, un de ces adultes référents qui accompagnent les résiliences, même là où c’était particulièrement complexe.
Seulement, …  je n’ai jamais cessé de me questionner, de comparer l’éducation populaire et l’EN, de lire, de chercher à comprendre, à mieux faire, à mieux être. En tant que mère. En tant que prof. Ça m’a rendue de plus en plus « regardante ». J’avais été formée et formatée par l’école, que je le veuille ou non, et j’y croyais encore, assez pour sacrifier au rituel ma fille et mon fils de 4 ans son cadet (né en 7 minutes lui, pressé qu’il était de prendre sa place dans une fratrie où il était follement attendu).
J’étais convaincue qu’accompagnés par notre amour, notre vigilance, notre bienveillance familiale, mes deux enfants en retireraient le meilleur. Je pourrais dire que je n’ai pas vu s’éteindre chez ces enfants, mes enfants, plein de vie, de curiosités, de dons naturels, cette pure vivacité qui s’épanouissait avec nous : je mentirais. J’ai vu des enfants, mes enfants, heureux d’être au milieu des humains de tous âges et si différents qui partageaient nos vies, pleurer de devoir rester à l’école. J’ai entendu ma fille, qui parlait couramment à 10 mois sans pratiquement avoir parlé bébé, me raconter l’âpreté des relations aux autres, les injustices des punitions, dès l’école maternelle où elle était entrée à 2 ans et demi parce qu’elle me l’avait demandé et parce que c’était la norme, celle que je portais et que je transmettais sans même en avoir conscience. J’ai vu mon fils de 3 ans, qui dessinait parfaitement des micro-mondes complexes, avec de minuscules personnages et des tas de détails, cesser de dessiner quand il a été obligé de commencer à graphier à l’école, avec sa gestuelle de gaucher. J’ai vu toutes ces choses qui me serraient le cœur et sur lesquelles, ensemble, nous mettions des mots et que nous avons essayé de démonter de notre mieux, en famille, au fil des années… pour compenser. Mais je les ai laissés dans l’école, parce que j’y étais, parce que je ne voyais pas d’autres solutions possibles dans la vie qui était la mienne. Parce que je venais de si loin. Et j’avançais à petit pas vers eux, avec eux. Lentement.
Ma fille s’est adaptée au système, avec beaucoup de mots autour des situations, beaucoup d’écoute, d’échanges, pas mal d’erreurs de ma part aussi. Mon fils, bien moins facilement, mais lui, pour un problème de santé nécessitant des interventions chirurgicales pendant 4 ans, a été scolarisé à la maison, de la 3ème à la terminale, 4 mois par an. En une petite semaine de face à face pédagogique, 4 heures par jour, il rattrapait un mois de cours, y compris en terminale S. Et il a obtenu 16 au bac en espagnol en ayant travaillé tout seul, avec quelques cours du CNED, juste le strict minimum obligatoire pour pouvoir valider son année. De quoi bien questionner l’efficacité du système d’apprentissage imposé ! J’aime les belles personnes qu’elle et ils sont devenus aujourd’hui, leur fratrie complice, leur regard sur le monde qui me fait grandir sans cesse, leurs choix de vie. J’aime les entendre dire qu’ils ont pu trouver leur voie en confiance parce que leur parole était écoutée à la maison, parce qu’ils se sont toujours sentis respectés en tant que personne. Cela adoucit un peu le sentiment de culpabilité de les avoir laisser se débrouiller, malgré tout, avec tout ce qui fait violence dans l’école, tout ce qui me faisait violence, à moi de l’intérieur… et mes « C’est comme ça, hélas je sais, mais je vais vous donner des clés pour vous adapter mes enfants chéris, et passer le cap ! » pour toute réponse.
Ces clés, je continue sans cesse, chaque année, à vouloir les déposer à portée de mains des jeunes dont je croise la route. Avec la même obstination et le même amour de leurs potentiels. J’essaie d’ouvrir grand les fenêtres et les portes et de repousser les murs pour ne pas les étouffer et étouffer avec elles et eux.Je vois comment notre formation d’enseignant, loin de nous enrichir, nous rétrécit, faisant de nous des « sachants », incapables de nous penser « avec », mais toujours au-dessus, en position d’autorité, d’adulte responsable de sa classe :  la fameuse « posture du prof » attendue par l’institution ! Je vois combien il est difficile pour mes collègues, ceux que j’embarque dans la pédagogie de projets, d’accepter de ne plus être au centre, de se mettre simplement à hauteur d’élèves et de faire avec eux, d’être élèves avec eux.
Je vois comment l’obsession du programme à couvrir prime sur l’intérêt et le sens même du contenu dudit programme et comment le timing d’une séance de cours de 55 minutes ne correspond guère au temps nécessaire pour générer de la disponibilité, de la curiosité, de la digression et du dialogue avec les enfants ou les jeunes (à quelques rarissimes exceptions près).
Je vois combien une journée de cours (qui démarre parfois à 6h du matin – lorsque l’on prend en compte les temps de transport- et s’achève au lycée à 18h) ne respecte aucunement les rythmes et les besoins des adolescents et que le nombre de têtes qui s’effondrent, ou de cerveaux qui s’échappent dans le rien ou vers autre chose en sont des preuves évidentes.
Je vois bien qu’un adulte est incapable, sans manifester de l’inconfort, de suivre 8 heures de formation descendante par jour alors que c’est ce que l’on impose à un adolescent, 5 jours par semaine.
Je vois la maigre place qui est faite à la parole des adolescents, l’absence d’espace prévu pour le dialogue, la dévalorisation même de cette parole si elle n’est pas pure reproduction du contenu d’un cours. Et leur demande incessante, bruyante, de cette parole confisquée.Je vois le mépris et la condescendance, tour à tour et parfois conjointement, lors des conseils, en salle des profs, quand ce n’est pas en classe. Pas par tous mais déjà trop.
Et je vois comment celleux qui se préoccupent d’un mieux-être des jeunes souffrent, et de plus en plus, de ne pas savoir, de ne pas pouvoir.Je vois comment l’on traite l’échec, comment élèves et adultes sont renvoyés à leur échec, coupable d’échouer, alors qu’il ou elle n’est « coupable » que d’avoir essayé… ou pas.
Je vois l’effet terrible des notations sur l’estime de soi et sur l’envie de faire.Je vois ce que l’école fait des recherches en pédagogies, des théories pédagogiques alternatives, des expérimentations ou plutôt ce qu’elle n’en fait pas, la place que cela tient dans la formation des enseignants, le peu d’outils comparatistes prévus au cursus professoral.Je vois. Que l’école n’est pas la moins pire des solutions. Elle est la seule « pensée », construite pour servir les desseins d’une société. Et elle est en peine. Je suis en peine.
Ainsi c’est parce que je vois que je reste. Pour tenter de faire pour d’autres, ce que j’ai pu faire, un peu, pour mes propres enfants. Pour tenter aussi d’accompagner mes collègues vers d’autres voies, Vers d’autres VOIR. Consciente qu’il me reste encore tant de progrès à faire pour ne pas être dans le jugement, dans une forme larvée de violence, consciente aussi que je me fais complice d’un système, le rendant plus supportable en étant un « agent atténuateur » mais incapable de renoncer à agir de l’intérieur… à cause d’une promesse d’enfant.
Alors après avoir été complice et même activiste d’un système dont je vois pourtant les défauts, me voici maintenant Traîtresse (Dézécolle comme dirait Pef !) puisqu’en train de rédiger un portrait pour un groupe majoritairement coordonné par des parents IEF ? Je ne trahis rien, je confirme ma promesse, celle d’agir pour une école respectueuse des enfants, cette promesse qui me fait m’employer à rendre vivant, autant que je le peux, le triptyque républicain ET la Convention internationale des Droits de l’enfant Et les libertés individuelles.
Je suis ce que je suis : pas toujours à ma place ; je déteste les étiquettes ; je déteste ce qui réduit, ce qui enferme. Mais je ne cesserai jamais de vouloir MIEUX. Vouloir que chaque enfant, ici et dans le monde, puisse avoir accès à l’instruction, à l’altérité, aux connaissances et à la culture, selon ses besoins et ses désirs, et non pas dans un format où la contrainte dépasse de très loin les effets bénéfiques.
Vouloir que chaque enfant puisse expérimenter réellement le sens des mots Liberté, Egalité, Fraternité et non pas qu’il n’en connaisse que la saveur amère, celle de l’injonction.
Vouloir que chaque enfant soit considéré comme un être humain à part entière et non réduit à une « fonction » obligatoire d’élève et ce dès l’âge de 3 ans.
Vouloir que chaque enfant puisse choisir comment il apprend.Vouloir des ponts entre les mondes, entre les connaissances, entre les humains.Et vouloir donc que demeure l’IEF, pour toutes les familles qui en font le choix, mais aussi pour l’école de la république elle-même qui a tant à apprendre en se regardant dans ce miroir-là.
Vouloir.
En équilibre entre deux mondes qui ne s’opposent pas mais se complètent. Parce que demain c’est maintenant.
Sylvie
2 notes · View notes
otoliptique · 5 years
Text
Ces filles qui détestent les autres filles
Tumblr media
    Je me suis toujours très bien entendue avec les autres femmes. En réalité je n’ai jamais vraiment eu le choix. En effet, j’ai presque quatre sœurs et nous avons presque toujours vécu ensemble et même si tout n’a pas été simple en grandissant, je peux affirmer avec quasi-certitude que je les aime sincèrement. Hors de ma famille, j’ai toujours eu plus de facilité à “m’acopiner“ avec les filles que les garçons. Quand on est petit, les garçons ne veulent jouer qu’avec les plus mignonnes, les plus blondes et les plus douces. Autant dire que je n’étais pas exactement la candidate idéal pour participer à leur petits jeux. Et de toute façon, les filles m’ont toujours semblées être plus faciles. Leur langue ne m’était pas inconnue, je connaissais leurs codes et leurs rituels car moi aussi j’étais une fille. 
Tumblr media
   Naturellement, j’ai toujours aimé les autres filles, c’était plutôt facile pour moi. Toutefois, j’ai rapidement découvert que ce n’était pas le cas pour tout le monde, notamment pour mon ancienne meilleure amie Annie. J’ai rencontré Annie quand j’étais encore collège. Nous étions en sixième toutes les deux, dans la même école mais pas dans la même classe. Elle avait un an de plus que moi car elle avait redoublé sa première année. Il nous a fallu attendre une année avant de vraiment devenir inséparables. Nous aimions les mêmes choses : le Japon, les mangas, les emos et les One Direction. Sa famille était beaucoup moins stricte que la mienne et j’ai l’impression que c’est ce qui lui donnait autant d’assurance. Elle n‘avait pas peur d’être elle-même, de s’habiller avec ses gros pantalons noirs pleins de chaines ni même d’avoir deux horribles queues de rats qui lui pendouillaient de chaque côté de la tête. Je l’aimais beaucoup et à l’époque, c’était comme si l’avis de personne d’autre n’importait. Les choses sont restées ainsi jusqu’à ce que les garçons entrent dans l’équation.
Tumblr media
    En quatrième, Annie et moi nous sommes retrouvées dans des classes différentes. C’est à la même époque qu’elle a commencé à s’intéresser plus sérieusement aux garçons.  Nous étions moins amies et elle s’est entichée de garçons un peu plus vieux qu’ils l’aimaient moins qu’elle les aimait. Ce n’était pas de sa faute. Pourtant, c’est à cause de ça qu’elle est devenue une de ces filles qui n’aiment pas les autres filles. A force de déceptions amoureuses et de tromperies, elle en est venue à se méfier de toutes les filles qui ne faisaient pas partie de son cercle proche. Très vite la méfiance est devenue mépris, mépris qui s’est lui même changé en haine. A ces yeux, toutes représentaient une menace potentielle, une menace dont elle voulait protéger tous ceux et celles qu’elle aimait, moi y compris. Ça a commencé par des médisances sur mes amies qu’elle n’aimaient pas et c’est allé jusqu’à des mois sans m’adresser un mot car j’avais préféré le réconfort d’une autre dans un moment de faiblesse. Aujourd’hui, nous ne sommes plus amies et c’est en partie à cause de cela. Si cela peut passer pour de l’amour, je ne sentais dans tout ça que la haine. Et pour cause, si c’était bel et bien les jeunes hommes qui l’avaient brisée et qu’elle ne cessait de pardonner, elle tenait les femmes pour responsables de sa peine. 
Tumblr media
    Depuis, j’ai vu ce schéma se répéter trop souvent : une sororité abîmée pour quelques miettes d’amour rances, des femmes qui se poignardent et se bouscule pour un malheureux regard. Ces scènes m’attristent car je ne trouve rien de plus beau que de trouver amour, soutien et réconfort dans le sein d’une autre femme. S’il y a une chose que je souhaite, c’est grandir en mes sœurs et chérir ce lien si précieux qui nous unit toutes.
Tumblr media
                                                                         Kyoi. 
2 notes · View notes